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1.
The flower thrips Kakothrips pisivorus (Westwood) (Thysanoptera) breeds in flowers of Vicia faba L. (Leguminosae). The egg and larval stages combined outlast the flowers. Each larva must move between the flowers on a plant at least once. The presence of old larvae in buds demonstrates successful inter-floral movement by larvae. If thrips leaving a dying flower transfer to a new flower nearby, old larvae will accumulate at the end of a spatial sequence of adjacent short-lived flowers. The distribution of K. pisivorus on the plant was investigated. Old larvae did accumulate in flowers at the end of V. faba racemes, as predicted. The relationship between floral lifespan, floral display, and flower inhabitants is discussed. The distribution of the thrips is relevant to sampling procedures.
Disposition des fleurs de Vicia faba et distribution de Kakothrips pisivorus
Résumé K. pisivorus Westwood (Thysanoptera) se développe dans les fleurs de Vicia faba L. (Leguminosae). Les durées combinées des stades embryonnaires et larvaires dépassent celles des fleurs. Chaque larve doit changer de fleur sur la plante au moins une fois. La présence de larves agées dans les bourgeons provient de l'existence de déplacements larvaires interfloraux réussis. Si les thrips quittant une fleur sénescente gagnent une nouvelle fleur voisine, les vieilles larves s'accumuleront à la fin d'une série de fleurs de courte durée de vie. La distribution de K. pisivorus sur la plante a été examinée; des fleurs du même âge ont été échantillonées dans 3 positions sur les inflorescences. Il n'y a pas eu d'effet significatif de la position des fleurs sur les oeufs et larves 1. Les adultes passent une partie de la journée sur les fleurs les plus proches peut-être parce qu'elles sont les plus hautes. A l'extrémité des inflorescences de V. faba, l'accumulation de larves agées était supérieure à celle prévue. La discussion porte sur les relations entre la durée de vie des fleurs, leur position et les insectes que les occupent. La distribution des thrips influe sur les techniques d'échantillonnage.
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2.
Larvae of the bean weevil C. maculatus feeding in a single bean apparently respond to vibrations from each other's chewing: one larva feeds normally, the other is inhibited. If the burrows of the larvae intersect, the inhibited larva dies. If the dominant larva pupates or dies without the burrows intersecting, the inhibited larvae then feeds and matures if enough food remains. Since females add second eggs to the largest beans after most beans carry a single egg, competition is most common in the largest available beans, precisely where inhibited larvae can benefit from avoiding a contest.
Résumé Lors de la compétition, les larves réagissent l'une par rapport à l'autre, même lorsque leurs galeries sont séparées. L'une est inhibée, tandis que l'autre se comporte comme si elle était seule. Le signal provoquant ces réactions, qui peut traverser du papier métallique, est dû vraisemblablement aux vibrations de mastication des larves; ces dernières perçoivent ces signaux tout au long de leur vie active. La larve la plus âgée ne l'emporte pas obligatoirement, ce qui signifie que le signal indique plus que l'âge.Les conditions expérimentales peuvent inverser les réponses des unes et des autres, bien que la larve la plus âgée puisse souvent mourir de ces conditions anormales de compétition. L'avantage potentiel associé à l'inhibition du futur perdant est mis en évidence en collant ensemble des graines. Quand la larve dominante se nymphose, la larve inhibée recommence à s'alimenter et achève son développement. En ayant eu son alimentation interrompue et en restant dans une galerie superficielle, la larve inhibée évite les affrontements et peut se développer lorsque la larve dominante meurt ou se nymphose, puisque la galerie de la larve inhibée n'avait pas été sectionnée.La stratégie de ponte réduit la fréquence de la compétition en uniformisant la distribution des oeufs; elle augmente les chances de survie des larves vaincues avec l'addition des oeufs sur les graines les plus grosses quand les disponibilités sont limitées. L'étude de l'évolution de ces adaptations a été possible puisque, comme on le sait, C. maculatus est génétiquement polymorphe pour les caractères déterminant le comportement de ponte des femelles et la compétition larvaire.
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3.
The effects of food texture and burrowing on mandible wear in the predatory carabid beetle Pterostichus melanarius Illiger were investigated by feeding adults soft or hard food in jars with or without soil. Both the incisor cusp (mandible tip) and cutting surface of the mandibles erode more in response to the combination of hard food and burrowing than to hard food alone. Females were found to erode their mandibles more than males in the hard-food-only treatment, whereas males wore down their mandibles more than females in the soil-only treatment. Female P. melanarius collected in a cereal field contained signficantly more solid food items compared with males. Differences in behaviour apparently resulted in differential wear patterns between the sexes.It is shown that the process of mandible wear in P. melanarius will result in worn mandibles in their first year as adults. However, mandible size of field-sampled females were found to be best correlated with females (of similar age) in the experiment exhibiting extensive wear (foraged hard food and burrowed in soil). The mandibles of field-sampled males were similar to those of males in the hard-food-only and the soil-only treatments, which showed only slight to moderate wear. The influence of mandible wear on fecundity and survival in P. melanarius as well as in other carabid species is discussed.
Usure des mandibules du carabe, Pterostichus melanarius Illiger, en fonction de l'alimentation et du comportement de fouissage
Résumé L'analyse de l'influence de la texture des aliments et du fouissage, sur l'usure des mandibules a été effectuée en nourrissant P. melanarius avec des aliments de différentes duretés dans des récipients contenant ou non du sol. Les aliments durs seuls usent moins le bord incisif (extrémité de la mandibule) et la surface coupante, que leur association avec le fouissage. En présence exclusive d'aliments durs, les femelles avaient érodé plus vite leurs mandibules que les mâles, tandis que chez ceux-ci le fouissage seul les avaient usé plus vite que chez les femelles. Des femelles récoltées dans un champ de céréales contenaient plus d'aliments durs que les mâles. Les différences de comportement avaient provoqué apparemment des types d'usure différents suivant les sexes.Les adultes usent leurs mandibules au cours de leur première année de vie imaginale. Cependant, la taille des mandibules des femelles échantillonnées dans la nature correspondait mieux à celle des femelles (de même âge) provenant des expériences ayant provoqué une forte usure (aliment dur et fouissage du sol). Les mandibules des mâles échantillonnés présentaient seulement une usure modérée et ressemblaient à celles des mâles ayant consommé soit des aliments durs, soit foui le sol. La discussion a traité des relations entre l'usure des mandibules, la fécondité et la longévité de P. melanarius et d'autres espèces de carabes.
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4.
Résumé Dans les sociétés dePachycondyla caffraria les ouvrières nourrices regroupent les larves qui ont redressé leur région antérieure à la suite des palpations antennaires reçues, puis les nourrissent. Nous avons pu montrer expérimentalement que cette réaction de redressement de l'avant du corps est le seul indice qui permette aux ouvrières de reconnaître les larves affamées. Elles ne savent pas déceler les larves qu'elles n'ont pas sélectionnées à ce moment, si celles-ci ont expérimentalement été placées dans le groupe des larves qu'elles vont nourrir.
Observations on the signals preparing for larval feeding in the ponerine ant Pachycondyla caffraria (Smith)
Summary In colonies ofPachycondyla caffraria the nurse workers gather together the larvae which lift the anterior part of their body as a result of the antennal palpation they receive, and then feed them. We have shown experimentally that this response of raising the anterior part of the body is the only signal by which workers are able to recognize hungry larvae. They are not able to detect larvae they have not selected, as follows from experiments in which such larvae are placed in the group of larvae that they are about to feed.
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5.
Larvae of Heliothis zea (Boddie) were fed foliage of the resistant wild tomato Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) and susceptible L. esculentum (cultivar Walter), either with the glandular trichomes removed or with the trichomes intact. Response variables measured included larval mortality, larval weight, consumption rate (CR), and efficiency of conversion of ingested material (ECI). Resistant foliage was found to contain factors in both the trichomes and leaf lamellae which increased larval mortality, reduced larval weight, reduced CR, and, except in second instars, reduced ECI. Susceptible foliage also contained trichome-based factors which increased larval mortality and decreased weight, as well as CR of second instars and ECI of fifth instars. Implications of these findings for breeding resistant tomato cultivars are discussed.
Résumé La tomate sauvage, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) est fortement résistant à Heliothis zea. Les études préalables ont indiqués que la résistance est associée avec la présence de 2-tridécanone dans les extrémités des poils glandulaires de la tomate sauvage, et que les facteurs dans la lamelle des feuilles sont peut-être impliqués. À déterminer la présence des facteurs lamellaires et à caractériser de plus les facteurs de résistance dans les extrémités des poils glandulaires aussi, nous nourrissions les larves du feuillage résistant de PI 134417 et du feuillage susceptible L. esculentum (lignée Walter) les deux avec les extrémités des poils glandulaires enlèvés ou avec les extrémités des poils glandulaires intacts. Nous mesurions la mortalité des larves, les poids des larves, la taux de consommation relative et l'efficacité de conversion de matière mangé.On se trouvait le feuillage résistant à contenir les facteurs, tous deux dans le feuillage lamellaire et dans les extrémités des poils glandulaires, qui causaient l'augmentation de mortalité, les poids plus basses, la taux de consommation relative plus basse, et, hormis dans le cas des larves en phase deuxième, l'efficacité de conversion réduite. Le feuillage susceptible contenait aussi les facteurs dans les extrémités des poils glandulaires qui augmentaient la mortalité, diminuaient les poids et la taux de consommation relative des larves en phase deuxième, et diminuaient l'efficacité de conversion des larves en phase cinquième. Cettes conclusions indiquent la présence des facteurs de résistance en outre de 2-tridécanone et peuvent fournir les indices à l'identité de ces facteurs.
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6.
When subjected to high population densities, Psoquilla marginepunctata (Hagen) produced more macropterous females than males. This sex ratio bias was due to the greater sensitivity of female nymphs to crowding. About 50% of the female nymphs, subjected to crowding up to the end of the 4th instar and later, developed into marcropterous adults. In males, macroptery never reached 50% under the conditions studied. If the nymphs were brought under crowding conditions during one of the six instars only, less than 50% macroptery occurred in both sexes.The effect of crowding was probably mediated through physical contacts between nymphs. Nymphs reared under crowded but uncontaminated conditions, responded more strongly than nymphs kept under contaminated conditions. Contamination, especially by excreta, probably reduced the number of contacts between nymphs, while uncontaminated condition increased contacts, and hence promoted macroptery.Periodic shortage of food induced macroptery in isolated nymphs. Starvation possibly reduced the secretory activity of the corpora allata, resulting in juvenile hormone deficiency which in turn led to the development of long-winged forms.
Résumé Aux fortes densités, Psoquilla marginepunctata produit plus de macroptères femelles que mâles. Ce taux sexuel biaisé est provoqué par la plus grande sensibilité des larves femelles au groupement. Environ 50% des larves femelles, groupées jusqu'à la fin du 4ème stade larvaire et plus, donnent des adultes macroptères. Dans ces conditions, la macroptérie des mâles n'atteint jamais 50%. Les larves groupées pendant un seul des 6 stades ne donnent jamais 50% de macroptères dans aucun des sexes. Les effets du groupement sont probablement provoqués par les contacts physiques entre larves. Les larves groupées dans des conditions sanitaires satisfaisantes réagissent plus fortement que lorsque les conditions sont peu satisfaisantes. La contamination, particulièrement par les excréments, réduit probablement le nombre de contacts entre les larves, tandis que la propreté augmente les contacts, et ainsi provoque la macroptérie. L'absence périodique d'aliments induit la macroptérie chez les larves isolées. Il est possible que le jeûne réduise l'activité sécrétrice des corpora allata, provoquant un déficit en hormone juvénile qui, ainsi, entraîne la formation d'individus à ailes longues.
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7.
Many larvae from wild-caught female Glossina palpalis palpalis R.-D. treated topically with dieldrin or sumicidin or sumithrin or permethrin failed to pupariate and many larvae from mothers treated with sumicidin or sumithrin or neopynamin formed small or malformed puparia which failed to eclode. Puparia produced soon after maternal handling often did not emerge and many produced by flies starved more than 3 days also did not emerge. Very many puparia from dieldrin-treated mothers failed to emerge and non-emergence was common for puparia from flies treated with endosulfan or sumithrin or deltamethrin. Non-emerging puparia were produced soon after pyrethroid-treatment, probably due to effects on larval integumentand muscles, but were produced later after organochlorine-treatment, due to ingestion of insecticide by larvae while in utero.
Résumé Les expériences ont porté sur des femelles sauvages de Glossina palpalis palpalis R.D. capturées dans la nature. Les comparaisons ont porté sur l'état et les performances de lots de pupes provenant de mouches non-traitées et de larves mûres traitées localement avec de l'acétone (témoin) ou avec 14 insecticides différents.Toutes les larves témoin se sont nymphosées, mais le taux d'échec augmentait avec la diéldrine, la sumicidine, la sumithrine et la permethrine. Les pupes anormales (petites ou déformées) étaient plus nombreuses dans le lot témoin que dans le lot non-traité, et les fréquences étaient plus élevées que chez le témoin avec la sumidicine, la sumithrine et la néopynamine.Seulement 3 mouches sont issues de 107 pupes anormales; il n'y a eu aucune éclosion pour 28% des pupes du lot témoin contre 15% pour le lot non-traité. Pour le témoin le taux d'émergence était faible dans les pupes formées le premier jour (jour du traitement), par suite de la manipulation maternelle; il n'a pas augmenté jours 2 et 3, mais a diminué par la suite à cause du jeûne in utero. Les doses élevées de tous les insecticides réduisent plus les émergences que les doses faibles. Les organophosphates et le propoxur ne limitent pas les émergences, mais elles sont réduites par l'endosulfane, la sumithrine et la deltaméthrine, et très fortement par la diéldrine. Les pupes stériles ont été surtout formées dès le traitement aux pyréthroïdes (jour 1); et surtout plus tard (jours 2 et 3) lors des traitements aux organochlorés. L'ingestion par la larve in utero de grandes quantités d'insecticides pendant les 3 jours précédant la parturition était la principale cause de mortalité, et aussi de la forte tolérance aux organochlorés des femelles prégnantes. Les effets de pyréthroïdes sur l'activité musculaire réduisent aussi les émergences.Aucune mouche ne s'est alimentée après les traitements.
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8.
Females of the gall midge Rabdophaga terminalis (H. Loew) (Diptera: Cecidomyiidae) are very selective in their choice of host plants at oviposition. In preference trials, eggs were laid almost exclusively on S. alba and S. fragilis. One single oviposition occurred on S. viminalis but none on S. triandra, S. daphnoides or S. smithiana. Significantly more eggs were laid on S. alba than on S. fragilis. No differences were detected between clones of the same species regarding oviposition in laboratory trials. Within the species of S. alba, larger buds were preferred. However, this did not explain the preference of S. alba to S. fragilis. There was agreement between plant species selected by the females and survival of the larvae. No galls developed when eggs were transferred to species that were not oviposited on. There was no difference between S. alba and S. fragilis in larval growth, but after two weeks of development there was a significantly higher proportion of larvae in cocoons and pupae on S. alba. There was a negative linear relationship between weight of larvae and larval number per gall, indicating larval competition. The negative slope was steeper for S. alba than for S. fragilis when larvae were weighed after two weeks of development. There were some discrepancies between laboratory and field data on infestation of S. alba and S. fragilis. Higher infestation levels were related to denser stands in the field.
Résumé Etude de la ponte et des performances larvaires de Rabdophaga terminalis (Diptera; Cecidomyiidae) sur plusieurs espèces de saules avec examen particulier de l'influence de la taille des bourgeons.La ponte et les performances larvaires de la cécidomyie galliforme, Rabdophaga terminalis (H. Loew) ont été étudiées sur plusieurs espèces et clones de saules cultivés en Suède. Les femelles sélectionnent avec soin les plantes hôtes lors de la ponte. Dans des essais préférentiels, les oeufs ont été pondus presque exclusivement sur S. alba et S. fragilis; une ponte a été observée sur S. viminalis et aucune sur S. triandra, S. daphnoïdes ou S. smithiana. Significativement plus d'oeufs ont été pondus sur S. alba que sur S. fragilis. Les essais au laboratoire n'ont pas permis de déceler des différences entre clones de la même espèce. Chez S. alba, les plus gros bourgeons étaient préférés, mais ceci ne permet pas d'expliquer la préférence pour S. alba par rapport à S. fragilis. Il y a coïncidence entre les plantes choisies par les femelles et al survie des larves; il n'y avait pas développement de galles quand des oeufs étaient transférés sur des espèces qui n'avaient pas reçu de pontes. La croissance larvaire sur S. alba et S. fragilis ne présentait pas de différences, mais après 2 semaines de développement il y avait significativement plus de larves en cocons et pupes sur S. alba. La corrélation entre le poids des larves et le nombre de larves par cellule était linéaire et négative, ce qui indique une compétition larvaire; la pente était plus raide pour S. alba que pour S. fragilis quand les larves étaient pesées au bout de 2 semaines de développement. Il y a eu quelques discordances entre les résultats au laboratoire et les données de terrain sur la contamination de S. alba et S. fragilis. Les plus fortes contaminations étaient observées à l'extérieur sur pépinières denses.
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9.
The effects of tree species, shoot age, and sex of larvae on food consumption and utilization were investigated in a factorial experiment. Diets prepared from lyophilized and powdered current-year shoots, from two age classes (sample dates) of Picea glauca (Moench) Voss, Picea rubra, Sarg., and Picea mariana (Mill.) B.S.P., were evaluated for eight performance criteria. All factors had significant effects on all criteria except for tree species on assimilation efficiency, shoot age on development time, and sex on net growth efficiency. Eight of the possible 24 two-factor interactions and one of the possible eight three-factor interactions were significant. Food utilization efficiencies and relative growth rate were in the low and moderate characterization limits for immature arthropods; relative consumption rates were high. The higher performance values on Picea glauca were related to this species greater vulnerability to spruce budworm. Performance criteria of similar larvae on an artificial diet were compared with those on the foliage-diets.
Résumé L'auteur a déterminé la quantité d'aliments utilisées, à 22±0,5 °C, par des larves de Tordeuse des bourgeons de l'épinette parvenues à leur sixième stade de développement qui s'étaient nourries d'un régime artificiel et d'aiguilles de l'année en cours lyophilisées et réduites en poudre, prélevées à deux dates différentes, à 10 jours d'intervalle, et provenant d'épinettes blanchés (Picea glauca [Moench] Voss), d'épinettes rouges (Picea rubra Sarg.) et d'épinettes noires (Picea mariana [Mill.] B.S.P.). Les femelles ont invariablement ingéré une quantité significativement plus importante de tous les régimes que les mâles, consommant 24% de plus d'aiguilles d'épinette noire et 73% de plus d'aiguilles d'épinette blanche.Les femelles prenaient en général plus de temps pour parvenir au stade de chrysalide et avaient un taux d'utilisation des aliments significativement plus élevé. L'efficacité nette de la croissance chez les deux sexes ne présentait toutefois aucune différence significative. La performance des larves ayant ingéré des aiguilles provenant de deux classes d'âge différait de façon significative mais non pas uniforme d'un régime à l'autre: les aiguilles d'épinette blanche plus récentes donnaient une performance généralement plus élevée contrairement aux aiguilles plus jeunes d'épinette rouge et d'épinette noire. Les larves ingéraient une quantité significativement plus élevée, avaient un taux de consommation et de croissance supérieur et augmentaient davantage leur biomasse avec des aiguilles d'épinette blanche. L'efficacité d'utilisation des aliments et le taux de croissance relatif étaient de faibles à modérément faibles pour un lépidoptère arboricole phyllophage; la vitesse d'ingestion relative était élevée. La qualité des aiguilles des trois essences d'épinettes était faible. Les aiguilles d'épinette blanche permettaient aux larves d'avoir une performance significativement plus élevée, performance mesurée à partir de plusieurs critères, alors que les aiguilles d'épinette rouge et d'épinette noire donnaient une performance égale. La supériorité des performances obtenues avec l'épinette blanche explique la plus grande vulnérabilité de cette essence à la Tordeuse des bourgeons de l'épinette.
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10.
Oviposition behavior and larval mortality of the pea weevil, Bruchus pisorum L. on Lathyrus tingitanus L. and Lathyrus sativus L. were studied to determine the mechanisms by which these plant species resist pea weevil attack. Female weevils caged on pods of these species oviposited at a reduced rate compared to those caged on pods of pea, Pisum sativum L. Females kept in vials in the laboratory and given a choice between L. sativus pods and pea pods oviposited at a higher rate on pea and the glass vial than on L. sativus. Two to three days following oviposition, L. tingitanus pods developed callus tissue growth beneath the eggs. These growths later covered much of the pod. L. sativus pods exhibited a similar response to hatching larvae. Pea weevil larvae attempting to penetrate pods of both species died. Larvae placed inside L. sativus pods established in seeds and had no greater mortality after 72 h than those placed inside pea pods. Identified defenses in lathyrus against pea weevil attack consist of antibiosis as well as antixenosis. These resistance mechanisms are located in the pod.
Résumé Les espèces de Lathyrus sont indemnés d'attaques de la bruche du pois, Bruchus pisorum, bien que le pollen de deux membres de ce genre ait induit, après ingestion, l'ovogenèse des femelles. La ponte et la mortalité larvaire de B. pisorum sur L. tingitanus et L. sativus (Leguminosae) ont été examinées pour déterminer les mécanismes permetant à ces espèces de résister à l'attaque de cette bruche. Des femelles aux ovaires développés ont été mises en cage en serre, avec des gousses de chacune des deux espèces de Lathyrus et de Pisum sativum; les femelles ont pondu beaucoup moins sur Lathyrus que sur Pisum. Au laboratoire, des femelles aptes à pondre, placées dans des bocaux avec des gousses de même taille de L. sativus et P. sativus, ont pondu sur le pois et le bocal que sur L. sativus.Deux à 3 jours après contamination par les oeufs de bruche, les gousses de L. tingitanus forment des cals sous les oeufs. Ces excroissances s'étendent de telle sorte que la majorité de la gousse en est recouverte quelques jours plus tard; les gousses de L. sativus présentent une réponse semblable mais plus localisée. La croissance du cal se produit en réponse à l'éclosion plutôt qu'à la ponte, car aucune n'a été observée sous les oeufs qui n'ont pas éclos, et aucune s'étend au-delà des zones immédiatement sous les oeufs éclos. Les larves de B. pisorum tentant de pénétrer dans les gousses des 2 espèces meurent, tandis que des larves placées à l'intérieur des gouses de L. sativus n'ont pas présenté une mortalité supérieure dans les graines au bout de 72 h à celle des larves placées à l'intérieur des gousses de pois. On peut envisager que la reconnaissance de stimuli dissuasifs par les femelles de bruches ait pu évoluer en réponse à la présence de mécanismes de défense de la gousse.
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11.
The relative attractiveness of velvet leaf (Abutilon theophrasti Medicus), cotton (Gossypium hirsutum L.) (host plants) and groundcherry (Physalis angulata L.) (nonhost plant), and cotton plants with or without nectaries and with or without glands to Microplitis croceipes Cresson (Hymenoptera: Braconidae) was determined in a wind tunnel. Female parasitoids flew significantly more to glandless than to glanded cotton; response to nectaried and nectariless cotton was similar. Velvet leaf and cotton were favored significantly over groundcherry; parasitoids being equally responsive to both host plant species. Addition of larval frass alone or in combination with host larvae significantly improved the attractivity of the nonhost plant (groundcherry) to the parasitoids. There was no difference in attractiveness of groundcherry terminals with or without host larvae. Parasitoid search time was significantly increased with addition of larval frass. In the presence of cotton, however, kairomone-treated groundcherry remained unattractive.
Résumé L'influence des nectaires et des glandes du coton, et l'attractivité des feuilles veloutées du coton (plante hôte) et de Physalis angulata sur Microplitis croceipes, ont été déterminées dans des expériences avec tunnel à vent. Les résultats ont montré que les parasitoïdes femelles sont significativement plus attirés par les cotons sans glandes que par les cotons glanduleux, tandis que la présence ou l'absence de nectaires ne modifie pas l'attractivité du coton. Elles réagissent de la même façon aux feuilles veloutées. P. angulata traité avec des crottes de chenilles, présenté seul ou en combinaison avec du coton, attire plus de femelles que des pousses de P. angulata non traitées. L'addition de chenilles hôtes seules n'améliore pas significativement l'attractivité de la plante. P. angulata traité avec des kairomones est demeuré inattractif quand il était proposé en même temps que du coton.
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12.
Previous foraging studies of individual Rhagoletis flies predict a positive relationship between the density of host fruits and probability of fruit infestation. This study examines how fruit density and other traits influence the distribution of Rhagoletis indifferens Curran larvae in an abandoned orchard. In 1986, when the level of fruit infestation was high, both the number of larvae/fruit and the percentage of fruits attacked were independent of fruit density at all spatial scales examined (among trees, within trees, or among fruit clusters). In 1987, when the level of fruit infestation was low and fruits were sampled throughout the season, the number of larvae/fruit was either independent of fruit density or, contrary to prediction, was inversely dependent on fruit density and tree size. In fruit-parasitic insects, as in many parasitoids, population-level responses to spatial variation in host density may be difficult to predict from analyses of individual behavior.
Résumé Des études précédentes sur Rhagoletis avaient suggéré que différentes caractéristiques de la plant-hôte,-densité des fruits, taille de la plante, présence de phéromones de marquage, etc.-, influençaient la prospection par les femelles gravides. Ce travail examine si ces caractéristiques sont utilisables pour prévoir la distribution des larves de R. indifferens dans un verger abandonné; par exemple, si une prospection concentrée dans les zones de forte densité de fruits entraîne une relation positive entre densité des hôtes et intensité des contaminations.En 1986, le niveau d'attaque était élevé: 89% des fruits examinés contenaient au moins une larve. Tant le nombre de larves par fruit que le pourcentage des fruits attaqués étaient indépendants de la densité des fruits et de l'échelle spatiale utilisée: entre les arbres, dans l'arbre, parmi le paquet de fruits. L'abondance de larves n'était pas plus liée à la taille de l'arbre, qu'à son aspect ou à sa position dans le verger. En 1987, quand l'attaque a été faible (<60% des fruits attaqués), l'échantillonnage des fruits pendant toute la saison a donné un nombre de larves par fruit, soit indépendant de la densité de fruits, soit, à l'opposé de nos prévisions, inversement dépendant de la taille de l'arbre et de sa densité en fruits. Bien que des infections multiples de fruits aient été fréquentes (17% des fruits contenaient de une à cinq larves), les larves étaient clairement distribuées uniformément parmi les fruits de l'arbre, probablement par suite de la présence de phéromones de marquage déposées après la ponte. Les mouches peuvent déceler lors de leur ponte la présence de larves d'autres espèces dans le fruit; la distribution des asticots est en relation négative avec celles des chenilles qui entrent plus tôt dans les fruits.Chez les insectes des fruits, comme chez de nombreux parasitoïdes, les réponses des populations aux variations spatiales de la densité de l'hôte peuvent difficilement être déduites de l'analyse du comportement individuel.
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13.
Mark-release studies of Calosoma sycophanta L. (Carabidae) in two 40000 m2 areas were done using traps deployed in 10 by 10 grids. In both areas, gypsy moths, Lymantria dispar L. (Lymantriidae), were abundant the first but not the second year of sampling. The distribution of carabid larvae was also investigated in the first year at one of the sites and the distribution of gypsy moth larvae found under burlap bands determined for 2 years at the other site. Dispersions of beetles and prey were evaluated by Taylor's logarithmic meanvariance method and Iwao's mean-mean crowding method. Taylor's method gave the most consistent results, and the slopes of the regression lines were used to determine degree of clumping.To evaluate dispersal of adult beetles, recapture data were analysed using the Fisher-Ford and Jolly-Seber methods in conjunction with Jackson's method for separating survival and emigration. A new method for estimating emigration was found to be most consistent with the Fisher-Ford-Jackson procedure. The tendency of the beetles to aggregate (measured via Taylor's method) was generally highest for males. In one site, emigration and degree of aggregation for males appeared to vary together, while at the other site no relationship was evident. Females showed few tendencies to aggregate. Both beetle larvae and gypsy moth larvae had clumped distributions.
Résumé L'étude par capture-recapture de Calosoma sycophanta L. (Carabidae) a été effectuée dans deux parcelles de 4 ha en utilisant des pièges distribués sur une grille de 10 sur 10. Pendant la première année d'échantillonnage, Lymantria dispar L. (Lymantriidae) était abondant et les calosomes se sont reproduits, tandis que la seconde année les papillons étaient beaucoup moins nombreux. La distribution des larves de carabes a été examinée aussi pendant la première année sur l'une des stations, et celle des chenilles pendant les deux années avec des toiles d'emballage sur l'autre station. Les dispersions des adultes et larves de calosomes et des chenilles de Lymantria ont été calculées en utilisant la régression du logarithme naturel de la variance de l'échantillon sur le logarithme naturel de la moyenne (méthode de Taylor) et la régression de l'indice de Lloyd d'agrégation moyenne sur la moyenne (méthode d'Iwao). La méthode de Taylor a donné les résultats les plus logiques, et les pentes ont servi à mesurer le degré d'agrégation. Les recaptures de calosomes adultes ont été analysées par les méthodes de Fisher-Ford et Jolly-Seber, associées à la méthode de Jackson pour séparer survie et migration. De même, une nouvelle méthode pour déterminer directement la migration en découvrant combien d'insectes recapturés ont abandonné les microparcelles s'est révélée comme la plus cohérente avec le procédé Fisher-Ford-Jackson. La tendance à l'agrégation est plus forte chez les mâles (d'après la pente du logarithme de la moyenne par rapport au logarithm e de la variance de l'échantillon). La migration et le degré d'agrégation paraissent varier ensemble dans une station, tandis que dans l'autre une telle relation n'apparaît pas clairement. Les femelles malgré des taux de migration variés mais généralement faibles, n'ont jamais pr'esenté de tendance significative à l'agrégation. A l'opposé, les larves de calosomes et de Lymantria ont presenté des distributions agrégatives.
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14.
The impact of nodules of Rhizobium on Sitona hispidulus (F.) developmental success was investigated in both laboratory and field situations. In the laboratory, alfalfa (Medicago sativa L.) and red clover (Trifolium pratense L.) were grown with two nutrient solutions, one of which fostered and one of which inhibited nodulation. Neonate larvae were introduced onto the roots and survivorship and development monitored. Survivorship was greatly enhanced by the presence of nodules. Preference tests performed with neonate larvae indicated a strong attraction to root nodules. Field studies which used nitrogen fertilization to delay onset of nodulation in established alfalfa demonstrated that numbers of larvae and emerging adults were significantly lower in the nitrogen treated plots than in the control plots.
Résumé L'influence des nodosités rhizobiales sur le développement et la survie de Sitona hispidulus a été étudiée en intervenant sur la nodulation de la plante. Au laboratoire, la luzerne (Medicago sativa) et le trèfle rouge (Trifolium pratense) se sont développés dans des pièces climatisées sur un substrat de sable/vermiculite et sur deux types de solutions nutritives (l'une avec azote, l'autre sans azote). La présence d'azote inhibe la nodulation des racines inoculées avec du Rhizobium. Des larves néonates ont été placées sur des racines et examinées après plusieurs semaines de croissance. La présence de nodules a eu un effet hautement significatif sur la survie larvaire. De plus, la présence de nodosités a effecté le développement larvaire, en augmentant le taux de développement sur luzerne et en le réduisant sur trèfle. Une expérience destinée à examiner la rapidité d'agrégation des larves néonates sur des racines nodulées ou non, révèle une forte préférence pour les racines à nodosités.Des expériences dans la nature ont permis de retarder la nodulation de la luzerne en dormance pendant l'hiver par apports d'azote; l'échantillonnage des larves et des émergences d'adultes a indiqué une diminution significative des populations dans les parcelles ayant reçu de l'azote.
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15.
Phytoseius hawaiiensis (Acari: Phytoseiidae) had relatively long periods of preoviposition, oviposition and postoviposition (4.6, 46.9 and 52.0 days, respectively, at 24 °C), and a relatively low fecundity (31.4 eggs per female), compared to other phytoseiid species. The most favorable food tested was all stages of Oligonychus punicae (Hirst), but various other species of mite prey as well as pollen also promoted oviposition. Extreme variation was observed in hatching time of the eggs, from 10 min (rare) to over 4 days (common). Occasionally, females apparently retain their eggs until just before larvae hatch, as eggs containing developed larvae were observed inside some females. Results of experiments suggested that unsuitable substrate (e.g. for oviposition) is a factor which induces longer egg retention prior to oviposition.
Résumé Chez Phytoseius hawaiiensis, les durées des périodes précédant la ponte, correspondant à la ponte et succédant à la ponte, sont relativement longues; respectivement 4, 6; 31, 4 et 52 jours à 24 °C; dans ces conditions, la fécondité est relativement basse: 31, 4 oeufs par femelle. Oligonychus punicae (aux différents stades) a constitué le meilleur aliment essayé, mais diverses autres espèces d'acariens ainsi que le pollen induisent la ponte. La date d'éclosion des oeufs a présenté une très grande variabilité, de 10 min (rare) à plus de 4 jours (fréquent). Souvent, les femelles semblent retenir leurs oeufs jusqu'au moment précédant l'éclosion des larves, car des oeufs contenant des larves développées on été observés dans quelques femelles. Les résultats des expériences ont suggére qu'un substrat défavorable (pour la ponte) induit une plus longue rétention de la ponte.
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16.
The searching mechanisms of Syrphus ribesii (L.) larvae were examined in relation to degree of starvation. Satiated larvae remained close to aphids when not feeding probably due to reduced speeds of locomotion and thigmokinesis. The locomotory mechanisms used by 24-h starved larvae resulted in a concentrated searching pattern whereas those of 48-h starved larvae produced a higher level of dispersion. The role of these differences in the searching process of this predator is discussed.
Comportement de prospection en fonction du jeûne chez Syrphus ribesii (L.) (Diptera, Syrphidae)
Résumé Le comportement de prospection en fonction de l'importance du jeûne a été examiné chez des larves de Syrphus ribesii L. Les larves rassasiées présentaient une faible vitesse de déplacements frontaux et étaient thigmocinétiques, si bien qu'elles restaient, en absence d'alimentation, près de la proie. Après 24 h de jeûne, elles présentaient un taux de projection (séquence précédant la capture de pucerons) et une vitesse plus élevés, et elles n'étaient plus thigmocinétiques. Les projections étaient distribuées au hasard au cours du chemin prospecté, et il y avait un taux de déviations élevé en présence d'obstacles, comme des hordes de femelles, au lieu de passer outre. Ces résponses produisaient un faible niveau de dispersion et une prospection de type concentré. Toutefois après 48 h de jeûne, les larves avaient le taux de projection et la vitesse les plus élevés. Leurs projections étaient groupées le long du chemin parcouru et le taux de déviation était bas. Le résultat en était un niveau élevé de dispersion.
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17.
The effects of 2-undecanone, a compound found in the glandular trichomes of the wild tomato, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull, PI 134417, on the larvae of Heliothis zea (Boddie) and Manduca sexta (L.) were studied by rearing the larvae on artificial diets containing this chemical. 2-Undecanone increased larval mortality of H. zea in the first 48 h when combined with 2-tridecanone, but not alone, and caused deformity and mortality of H. zea pupae both alone and in combination with 2-tridecanone. 2-Undecanone had no effect on M. sexta larvae or pupae. Potential implications of these findings for insect pest management are discussed.
Résumé Le 2-undécanone est une methyle cétone qui se trouve avec le 2-tridécanone dans les extrémités des poils glandulaires des feuilles de la tomate sauvage: Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull, PI 134417. Notre étude entreprendait à rechercher le rôle du 2-undécanone dans la resistance de cette plante à Heliothis zea et Manduca sexta.Les produits chimiques synthétiques s'étaient incorporés en diète artificièlle sur laquelle les insectes ont élevés. Le 2-undécanone a causé peu de mortalité des larves de H. zea sauf quand il soit combiné avec le 2-tridécanone, dans quel cas on trouve, dans les premiers 48 heures, une augmentation de mortalité, en comparaison au 2-tridécanone seul. Aussi le 2-undécanone a causé les difformités des nymphes de H. zea et la mortalité dans l'étage de nymphe, toutes les deux seul et en combinaison avec le 2-tridécanone. En contrast, le 2-undécanone n'a pas produit un effet sur les larves ou nymphes de M. sexta.L'élevage sélective des lignes de tomates de niveau plus élevé de 2-undécanone pourrait utile pour la lutte contre le H. zea. En combinaison avec des niveaux élevés du 2-tridécanone, c'est possible de reduire les populations nuisibles des larves. Il peut aussi réduire le nombre des lépidoptères adultes produit dans la récolte de tomate. Toutefois, il ne serait pas probablement de valeur dans la lutte contre le M. sexta.
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18.
A series of experiments were conducted to determine the infection sites of the entomopathogenic fungus Beauveria bassiana after ingestion by the larvae of Aedes aegypti. The timing of the host death in relation to larval molting, the principle sites of fungal infection and development in host tissues were studied. Fungal conidiospores (CS) and blastospores (BS) were used separately for treatment of mosquito larvae. Although in most instances CS germinated and developed within the host, in others there was a premature abortion of the fungal development cycle. On the other hand, BS ingested by the larvae showed differences in the fungal development stages in the larval tissues. While the two primary infection sites were the head and the anal region, the most preferred site for fungal development was the larval gut. No more than two cycles of fungal development can occur in the host. Although both CS and BS are effective as larvicides, BS is far more pathogenic.
Résumé Une série d'expériences a été menée afin de déterminer les emplacements d'infection du fongus entomopathogénique Beauveria bassiana (souche GK 2016) lequel avait été ingesté des larves d'Aedes aegypti. On a étudié le moment de la mort des hôtes en relation des mues des larves, les emplacements principaux où se conduit l'infection fongale et le développement du fongus dans des tissus divers d'hôte. On a utilisé les conidiospores (CS) et les blastospores (BS) séparément pour traitement des larves des moustiques. Bien que dans la plupart des cas CS ait germiné et se soit développé chez l'hôte, en d'autres cas, CS a germiné mais n'avait pas produit du BS évidemment grâce à l'avortement prématuré du cycle de développement des fongus chez l'hôte. Le BS qui avait été ingesté dans les larves présentait des stages différents de développement du fongus dans les tissus des larves. Quoique les deux emplacements placements principaux étaient la tête et la région anale, l'emplacement préféré pour le développement du fongus était l'intestin des larves. Nous montrons qu'il n'y a plus de deux cycles de développement du fongus chez l'hôte. Bien que CS et BS soient efficaces comme larvicides, BS est de loin plus pathogène.
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19.
The behavior of nonirradiated and radiation-sterilized laboratory-adapted Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae), was observed on apples hung on guava trees in outdoor cages in Hawaii. Oviposition and resting behavior, and physical encounters between flies were recorded. The numbers of nonirradiated females observed resting on fruit were reduced several fold by the presence of irradiated females, either alone or with irradiated males, but not by irradiated males alone. Similarly, the number and duration of nonirradiated females observed ovipositing was reduced by the presence of irradiated females. In control cages (all nonirradiated flies), females averaged 255.9±15.0 (SE) seconds on fruit, while nonirradiated and irradiated females in the mixed (treatment) cage averaged 157±19.8 seconds and 77.5±7.5 seconds on fruit, respectively. Irradiated females behaved skittishly on fruit and frequently engaged in physical encounters with other flies. By reducing oviposition of normal females, irradiated females may help suppress wild populations in sterile-insect release programs.
Influence de la présence de femelles irradiées sur la ponte de Ceratitis capitata
Résumé Les comportements de ponte et de repos et le nombre de rencontres de mouches irradiées ou non, d'une souche de laboratoire de C. capitata ont été examinés sur des pommes suspendues sur des goyaviers dans des cages, hors du laboratoire, à Hawaï. Le nombre de femelles non-irradiées stationnant sur les fruits était réduit de plusieurs fois par la présence de femelles irradiées, soit seules, soit avec des mâles irradiés, mais non par la présence exclusive de mâles irradiés. De même, le nombre de femelles non-irradiées en train de pondre, ainsi que la durée des pontes étaient réduits par la présence de femelles irradiées. Dans les cages témoins (sans mouche irradiée), les femelles restent en moyenne 255,9±15,0 sec (SE) sur les fruits, tandis que les femelles nonirradiées et irradiées mélangées dans les cages traitées, séjournent respectivement 157±19,8 et 77,5±7,5 sec sur les fruits. Les femelles irradiées se sont comportées capricieusement sur les fruits et ont souvent eu des contacts physiques avec les autres mouches. En réduisant la ponte des femelles normales, les femelles irradiées peuvent contribuer à supprimer les populations sauvages dans les programmes de lâchers d'insectes stériles.
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20.
A chemically defined synthetic rearing medium was used to compare larval growth of Aedes aegypti with or without crude animal lecithin or synthetic dipalmitoyl lecithin. Pupal weights, adult female life spans and oviposition histories of pupae and adults derived from synthetic diet rearings and from crude culture (liver powder) rearings were also compared. Both lecithins improved larval growth rate; optimal concentrations reduced time to pupation by 2 and 1 days for animal and synthetic lecithins respectively, and animal lecithin was better tolerated by the mosquito larvae at the higher concentrations tested. Addition of crude animal lecithin to the basal synthetic rearing medium had little effect on the weights of male and female pupae, but it increased adult female life spans and improved weekly egg production. In no case did mosquitoes from axenic rearings in synthetic media deviate greatly from limits specified by earlier workers for field-derived mosquitoes.
Résumé Les développements larvaires d'Aedes aegypti ont été comparés sur des substrats alimentaires avec ou sans lecithine animale brute ou DL-a-dipalmitoyle lecithine synthétique.Les comparaisons ont porté aussi sur les poids nymphaux, la longé-vité et la fécondité de femelles élevées sur régime synthétique ou à partir de poudre de foie.Les deux types de lecithines améliorent le développement larvaire; les concentrations optimales des deux régimes (lecithine animale et lecithine synthétique) avancent respectivement la pupaison de 2 et 1 jour; les lecithines animale et synthétique sont tolérées par les larves respectivement jusqu'aux concentrations de 0,008 et 0,006%.L'addition de lecithine animale brute au régime contenant de la lecithine synthétique a eu peu d'effets sur les poids des nymphes mâles et femelles mais a augmenté la longévité et la fécondité hebdomadaire des femelles.Les performances des moustiques élevés sur substrat aseptique synthétique n'ont jamais été très éloignées des limites indiquées antérieurement par les travaux sur moustiques provenant de la nature.
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