首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 31 毫秒
1.
Résumé ChezCalotermes flavicollis, la formation des sexués néoténiques est plus facile, ou plus rapide, dans le sexe femelle que dans le sexe mâle.Les sexués femelles montrent un pouvoir inhibiteur à l'égard des individus femelles; les sexués mâles inhibent les mâles de façon moins complète; la stabilisation complète peut être obtenue dans les élevages unisexués, formés uniquement de mâles ou de femelles.La régulation du nombre des néoténiques ne se fait pas de la même façon dans les élevages et dans les élevages . Dans les premiers, 2 néoténiques subsistent, quelquefois 3; dans les seconds ne persiste qu'un seul néoténique , rarement deux.Ces résultats mettent en lumière le rôle différent joué par les mâles et les femelles dans les sociétés de Termites.  相似文献   

2.
Résumé Nos méthodes expérimentales permettent l'isolement d'une larve de sexe déterminé par hôte de l'ectoparasite grégaire Dinarmus vagabundus et du solaitire, D. basalis. Des hôtes porteurs de 3 à 8 larves par hôte de D. vagabundus sont aussi isolés. Dans ces conditions la quantité de nourriture disponible est la même pour toutes les densités larvaires étudiées.Les larves élevées en solitaire des deux espèces assimilent une quantité de nourriture significativement supérieure à celle assimilée par les . Ceci conduit à des adultes de poids moyen supérieur à celui des . Le poids moyen des et des de D. vagabundus diminue significativement aux fortes densités larvaires. L'intensité de la liaison entre la quantité de nourriture assimilée et la biomasse produite s'affaiblit au fur et à mesure que la densité larvaire par hôte augmente.Les de D. vagabundus de poids moyen (0,42 mg) engendrent deux fois et demi plus de descendants que les lilliputiennes (0,20 mg) émergées d'hôtes à forte densité larvaire. Celles de D. basalis (0,65 g) sont moins prolifiques que les de D. vagabundus.  相似文献   

3.
Résumé Pour rechercher le poireau, Acrolepiopsis assectella doit utiliser des stimulus olfactifs issus du végétal-hôte et notamment les substances soufrées spécifiques. Le pouvoir attractif de l'«odeur» du poireau et celui de différents thiosulfinates et disulfures trouvés dans cette plante sont donc étudiés et comparés par olfactométrie. Le comportement de mâles et de femelles vierges et fécondées est observé, en fonction de l'âge des imagos, pendant la scotophase. Alors qu'un courant d'air sans «odeur» significative déclenche essentiellement l'orientation et l'immobilisation des insectes face au flux, la plus part des mâles et des femelles quel que soit leur état sexuel sont attirés par le courant d'air lorsque celui-ci transporte l'«odeur» du poireau ou les substances volatiles étudiées. La sensibilité à l'«odeur» de la plante-hôte semble se modifier avec l'âge des insectes, les mâles âgés et les jeunes femelles étant les plus attirés. Cependant, ces dernières conservent une forte sensibilité une fois fécondées. Aux âges où l'«odeur» du poireau est la plus efficace, les thiosulfinates déclenchent chez les mâles et les femelles vierges une attraction plus importante que les disulfures, le radical propyle étant plus actif que le méthyle. Le thiosulfinate de dipropyle, labile, très abondant dans le poireau, semble donc avoir un rôle informationnel prépondérant.
Summary To find the leek, Acrolepiopsis assectella uses olfactory stimulants from the hostplant, and specially the specific sulphur compounds. The attractiveness of the leek smell and of different thiosulfinates and disulfides found in this plant were studied and compared in an olfactometer. The behaviour of , and virgin or mated was observed during the scotophase according to to the age of the adults. In a clean air current the insects orient and remain stationary. The majority of and virgin or mated move upwind when the air current bears the leek smell or the voltile sulphur compounds. The sensitivity to the hostplant smell seems to change with the age of the insect, old and young being most attracted. Once mated, the retain a high sensitivity. When the responsiveness to the leek smell is highest (at 1 day and 5 days) the thiosulfinates have a greater effect than the disulfides in both and virgin . The propyl moiety is more active than the methyl one. The labile dipropyl thiosulfinate (propyl propanethiosulfinate), very profuse in the leek, seems to have the major role.
  相似文献   

4.
Résumé G. mellonella infestée au dernier stade larvaire avec 1, 2, 3 ou 5 planidia/hôte (ph/H) produit 1 à 5 pupes/hôte (pu/H). La mortalité des chenilles augmente avec le nombre de pl/H. Le poids des pupes et décroît avec un nombre croissant de pu/H (18,2 à 12,9 mg pour les et 12,5 à 9,7 mg pour les ). Le développement larvaire dure 8,7 j. chez les et 8,3 chez les ; il est peu affecté par le superparasitisme. Avec 1, 2, 3 et 5 pl/H nous obtenons 0,84–1,61–2,17 et 3,43 pu/H et 0,81–1,48–2,10 et 3,11 imagos/H. L'optimum est de 3 pl/H ou 1 à 2=pl/H pour obtenir des parasitoïdes plus lourds.
Summary The influence of superparasitism on larval and pupal development is investigated. Last-larval instar G. mellonella (200±5 mg) were infected with 1, 2, 3 or 5 planidia/host (pl/H) producing 1 to 5 pupae per host (pu/H). Host mortality (8.6–8.3–14.3 and 22.2%) increased with the number of planidia. The planidia may transmit a bacteriosis. Pupal weight ( and ) decreased as number of pu/H increased. pupae were heavier than ones: 12.9 to 18.2 mg for against 9.7 to 12.5 mg for . Larval development lasted slightly longer for (8.7 d.) than for (8.3 d.), and its duration was little affected by superparasitism. 1, 2, 3 or 5 pl/H yielded 0.84–1.61–2.17 and 3.43 pu/H and 0.81–1.48–2.10 and 3.11 adults/H. An optimum was obtained with 3 planidia of L. diatraeae on G. mellonella or 1 to 2 to obtain heavier parasitoids.
  相似文献   

5.
A pilot experiment in genetic control of the German cockroach was conducted aboard a small vessel based at Norfolk, Virginia. It utilized sterile (double translocation heterozygotes) whose sterility effects were due to embryonic lethality plus complete entrapment of any remaining viable embryos within the egg case. Initial infestations were reduced by insecticides prior to male release. Three releases of unmated were made at monthly intervals. Infested harborages, located in the course of insecticide application, were used as release sites. The experiment was terminated after 41/2 months. The results showed that released joined groups near release sites and that they competed well against wild type . Apparently neither they nor with which they mated moved far from these sites. Sterility effects differed in respect to specific sites and general areas. Population growth was retarded markedly in the galley, the area of heaviest initial infestation. Terminal infestation was heaviest in the mess deck, although the highest sterility among occurred at/near the mess-deck release site (only one mess deck-infested site was found prior to initation of the experiment). It is suggested that a slight increase in the number released would have suppressed/eliminated groups inhabiting galley harborages, but that site selection was the major problem in the mess deck. Analyses of nymphal age classes and mating types among led to a hypothesis that insecticide-induced dispersal of nymphs resulted in the infestation of many new mess-deck harborages. Population growth was unchecked at these sites because they were too far removed from the sterile male release sites.
Résumé Une expérience pilote dans la lutte génétique contre Blattella germanica L. a été réalisée sur un petit navire encré à Norfolk, Virginie. La léthalité embryonnaire des mâles stériles utilisés (hétérozygotes à double translocation) était associée au piégeage des quelques embryons viables dans les oothèques. Les pullulations initiales avaient été réduites par des insecticides avant le lâcher des mâles. Des mâles vierges ont été lâchés à trois reprises à un mois d'intervalle. Les abris contaminés, localisés au cours des traitements insecticides, ont été utilisés comme lieux de lâcher. L'expérience s'est achevée au bout de quatre mois et demi. Les résultats montrent que les mâles introduits rejoignent les autres blattes près des lieux de libération et qu'ils ne sont pas défavorisés dans leur compétition avec les autres mâles. Ni eux, ni les femelles avec lesquelles ils se sont accouplés, ne s'éloignent apparemment de ces emplacements. Les effets de stérilisation varient en fonction des sites spécifiques et des zones plus vastes. La croissance de la population est significativement retardée dans la cuisine, zone où l'infestation initiale était la plus élevée. L'infestation finale la plus importante est dans le pont du mess, bien que la stérilité des femelles la plus élevée s'observe à (ou près) du lieu de libération au pont du mess (seulement un lieu d'infestation avait été observé sur le pont du mess avant le début de l'expérience). On pense qu'une légère augmentation de l'effectif libéré aurait supprimé (ou éliminé) les groupes occupant des abris dans la cuisine, mais que la sélection des sites était le principal problème pour le pont du mess. L'analyse des classes d'âges des larves et des catégories de femelles accouplées laisse supposer que la dispersion des larves provoquée par l'insecticide a entrainé la contamination de beaucoup de nouveaux abris dans le pont du mess. La croissance de la population n'a pas été contenue dans ces sites parce qu'ils étaient trop éloignés des lieux de lâcher des mâles stériles.
  相似文献   

6.
Crowding of lepidopterous larvae can influence adult morphology and physiology. With P. gamma and P. brassicae increasing emergence weight was not accompanied by proportionately as great increases in wing area. Larval crowding decreases both weight and wing area and accentuates thedisproportion in the relation between wing area and weight. In the two species fore- and hind-wings are differently affected and the sexes were also affected differently. A warmer season also decreases fore- and hind-wing areas but distinct differences exist in the relative extent of the decreases. To obtain adequate data, both fore- and hind-wings must be measured.
Résumé Le groupement chez les larves de lépidoptères provoque la réduction du poids et des dimensions des ailes chez les adultes, et il est possible qu'elle contribue à provoquer la migration par son effet sur la morphologie et la fonction. Le rapport entre le poids total et la surface des ailes est souvent appelé wing loading et on sait que ce rapport croît avec l'accroissement de poids des différentes espèces animales qui volent.L'effet du groupement larvaire sur le poids du corps et le wing loading chez Plusia gamma L. et Pieris brassicae L. a été étudié en comparant les adultes nouvellement éclos d'élevage de larves solitaires et de larves groupées. Le groupement réduit le poids et la surface des ailes d'une façon non proportionnelle, mais toutefois décroissante, wing loading. Pour chaque espèce et chaque sexe, le wing loading décroît pour un poids à l'éclosion décroissant, et ceci explique partiellement l'effet du groupement sur le wing loading.Chez P. gamma l'aile antériure était plus grande que l'aile postérieure. Toutefois l'aile antérieure était la plus réduite en dimensions par le groupement, l'effet étant le plus marqué chez la femelle. La température affectait aussi le poids et la surface des ailes. Dans les élevages d'individus isolés, des températures plus élevées réduisaient principalement le poids des mâles, et la surface de leurs ailes postérieures, tandis que les surfaces des ailes antérieures et postérieures des femelles étaient plus affectées, de sorte que le wing loading décroissait chez les mâles et augmentait chez les femelles.Chez P. brassicae l'aile postérieure est la plus grande et décroissait davantage avec le groupement. Le groupement ne paraissait pas affecter différemment les deux sexes, mais les résultats semblaient indiquer que l'effet pouvait être accentué chez les mâles et diminué chez les femelles quand les températures baissaient. Comme chez P. gamma des températures plus élevées diminuaient le poids et la surface des ailes chez P. brassicae mais du fait que la surface des ailes était la plus affectée, le wing loading augmentait chez les deux sexes. Le groupement, cependant, accentuait l'effet de la température sur le poids tandis qu'elle réduisait le wing loading. ainsi chez les deux espèces, les réductions du poids et de la surface des ailes dûes à l'élévation de la température ne sont pas identiques avec les réductions dûes au groupement.Les expériences ont montré également que, alors que les mesures directes de certaines dimensions pouvaient présenter une précision adéquate, les renseignements sur les ailes antérieures et postérieures devaient être groupés.
  相似文献   

7.
The seasonal fluctuations in numbers, sex ratios and the changes in the reproductive status of the Mexican fruit fly, Anastrepha ludens, caught in McPhail traps in citrus orchards and the effect of control measures on them, were examined in Belize, Central America. Evidence is presented that the seasonal increase in numbers was derived mainly from infestations in grapefruit and that harvesting played a significant part in controlling numbers by removing infested fruit. In orchards where sprays were not used to control the fruit fly, the sex ratio and the proportion of fecund females were very variable but there were always greater numbers of females — often two to four times as many. During spray programs the sex ratio approached unity and the proportion of fecund females decreased to zero. The sex ratio therefore gave an indication of the mean reproductive status of the female flies in the traps and thus the capacity of a local population to initiate infestations as well as the efficiency of control measures used.
Résumé Effectifs, taux sexuel, périodes de reproduction, ainsi que leurs variations au cours de l'année et après application de mesures de lutte ont été étudiés chez la mouche des fruits mexicaine A. ludens dans des vergers d'agrumes de Belize (Amérique centrale), à l'aide de pièges McPhail.Les effectifs d'A. ludens sont caractérisées par une progression régulière à partir d'un minimum entre juin et septembre, jusqu'à un maximum en février ou mars. Ces variations saisonnières dépendent de la présence de fruits mûrs, de pamplemousses notamment. Le taux sexuel des adultes capturés dans des vergers non traités est très variable, mais les sont toujours plus nombreuses (souvent 2 à 4 fois plus) que les mâles. Pendant la saison des pamplemousses, les peuvent pondre dans les fruits mûrs qui abondent; si la proportion de augmente, celle des fécondes diminue. Après un traitement efficace à l'aide d'un attractif insecticide à base d'hydrolisat de protéines, le taux sexuel tend vers 1 : 1, les fécondes tendant à disparaître et la majorité des caputées étant fraîchement émergées et immatures.Pendant la saison des pamplemousses, le taux sexuel donne des indications sur le potentiel reproducteur des , sur leur aptitude à provoquer une infestation, ainsi que sur l'efficacité et la persistance des attractifs insecticides utilisés pour la lutte contre la mouche des fruits.
  相似文献   

8.
Résumé On compare l'ultrastructure et la localisation des phosphatases acides au niveau des cellules hypophysaires delta et beta, chez des Cailles mâles thyroïdectomisées et maintenues en photopériode courte ou bien castrées, puis placées en photopériode longue. On étudie en outre, dans ces deux cas, les effets d'injections de doses croissantes de thyroxine.La thyroïdectomie provoque la transformation des cellules delta en cellules de thyroïdectomie groupées en îlots à la périphérie du lobe céphalique. Ces cellules sont pauvres en phosphatases acides. La thyroxine (10 g/j pendant 2 jours) provoque la régression de ces cellules et l'apparition de lysosomes. Les cellules beta ne sont pas modifiées par la thyroïdectomie.La castration-photostimulation stimule les cellules beta localisées dans le lobe céphalique. Elle provoque dans les deux lobes de la glande l'hypertrophie et la vacuolisation des cellules delta qui se distinguent des cellules de thyroïdectomie par la présence de nombreux lysosomes. La thyroxine freine simultanément l'activation des cellules delta et des cellules beta, en provoquant la formation de lysosomes, mais la dose efficace chez le mâle photostimulé (20 g et 60 g/j pendant 5 jours) est sans effet chez le castrat photostimulé (dose efficace 180 g/j).Pour interpréter ces faits, on admet que les cellules delta, thyréotropes et les cellules beta, gonadotropes, seraient simultanément soumises à un contrôle freinateur des hormones thyroïdiennes et des stéroïdes mâles.
Thyroidectomy cells and castration cells in the Japanese quail, Coturnix coturnix japonica Ultrastructure and cytoenzymology
Summary The ultrastructure and the localization of acid-phosphatase activity are compared in beta and delta pituitary cells of male Japanese quail, either thyroidectomized and maintained in short days, or castrated then put in long days. Moreover, in these two cases, the effects of brief treatments with increasing doses of thyroxine are studied.Thyroidectomy induces transformation of delta cells into thyroidectomy cells arranged in clumps at the periphery of the cephalic lobe. The acid-phosphatase activity of such cells is low. Thyroxine (10 g per day for two days) causes regression of these cells and the appearance of numerous lysosomes. Beta cells are not modified by thyroidectomy.Castration and exposure to long days stimulate beta cells, localized in the cephalic lobe. It induces, also, in both pituitary lobes, hypertrophy and vacuolization of delta cells which differ from thyroidectomy cells by the presence of numerous lysosomes.Thyroxine in photostimulated quail inhibits both delta- and beta-cell stimulation and increases the frequency of lysosomes but the effective doses on males (20 g or 60 g per day for five days) are inactive on castrates, the response of which is obtained with 180 g per day.In order to explain these data, a hypothesis is suggested: Thyrotropic delta cells and gonadotropic beta cells are both subject to a double inhibiting control by thyroid hormones and male steroids.
Nous remercions très vivement pour leur excellente collaboration technique Mme Renée Picart (préparation des tissus pour la microscopie électronique) et M. Claude Pennarun (photographe).  相似文献   

9.
Résumé L'action exercée par le sulfate d'atropine et le méprobamate sur les cellules gonadotropes de la préhypophyse a été étudiée chez des rattes offrant des cycles de 4 jours, dans des conditions où ces 2 substances bloquent les phénomènes de ponte ovulaire. La dégranulation des cellules, qui se produit durant l'après-midi du prooestrus, pendant la phase préovulatoire du cycle, chez des rattes non traitées, est inhibée par ces 2 substances antiovulatoires. De même l'atropine et le meprobamate suppriment les modifications des cellules que l'on observe normalement du matin, 11 h, à la fin de l'après-midi du prooestrus. Chez les femelles soumises à l'action antiovulatoire de ces deux substances, les cellules conservent l'après-midi du prooestrus l'aspect qu'elles offrent le matin de ce même jour, elles ne présentent donc plus les phénomènes, d'abord, de charge granulaire, puis, de dégranulation que l'on observe chez des rattes non traitées. On peut donc admettre que l'atropine et le méprobamate bloquent à la fois l'excrétion de LH et celle de FSH par les cellules respectivement et de la pars distalis et que la ponte ovulaire résulte de l'action synergique de ces deux hormones gonadotropes sur l'ovaire.
Influence of antiovulatory agents in the proestral phase of the ovarian cycle on the excretory gonadotropic aactivity of the - and -cells in the rats anterior hypophysis
Summary Cytological and numerical modifications of the and pituitary gonadotroph cells caused by antiovulatory doses of atropine and meprobamate have been studied in 4-day cyclic female wistar rats. The cells degranulation which normally occurs on the afternoon of prooestrus during the preovulatory stage of the cycle was inhibited in treated animals. Both antiovulatory substances also suppressed the morphological changes of the cells observed in control animals from the morning (11 a.m.) to the late afternoon of prooestrus. The successive stages of secretory and excretory activities of these cells noted in non treated females during the prooestrous period of the cycle were no more observed in blocked animals. The cells of these animals appeared unmodified at 5–6 p. m. with respect to those of females sacrificed earlier at 11 a.m. Atropine and meprobamate may be therefore supposed to prevent the release of both gonadotrophic hormones L. H. and F. S. H. which act synergically in the determinism of ovulation in the Rat.
  相似文献   

10.
No significant variation in mating activity was observed among eight laboratory strains of the Mediterranean fruit fly (medfly), Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae). Two methods were used to select strains showing high and low mating activity: a single pair technique (SP) assessing time to mating and a mass technique (M) based on a mating index. Reciprocal pairings between fast and slow selected lines showed that the difference between the SP lines was female-determined whereas the difference between the M lines depended on the behaviour of both sexes. M selection, irrespective of its direction, affected two courtship parameters, vibration distance and vibration duration both of which tended to be shorter. M selection was also associated with a reduction in startle activity in females.
Résumé Aucune variation significative n'a été observée dans les activités sexuelles de huit souches de laboratoire de la mouche méditerranéenne du fruit, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera Tephritidae).Deux méthodes ont été utilisées pour sélectionner des souches manifestant une activité sexuelle basse ou élevée: une technique utilisant un seul couple (SP), basée sur la durée de la période avant copulation, et une technique de masse (M), basée sur un index d'accouplement.Des appariements réciproques entre les lignées rapides et lentes ont montré que la différence entre les lignées SP était déterminée par les femelles, tandis que la différence entre les lignées M résultait du comportement des deux sexes. La sélection M, quelle que soit sa direction, affects deux paramètres, la distance entre partenaires lors de la vibration et la durée de la vibration qui tous deux tendent à se raccourcir. La sélection M est aussi associée à une réduction de la réaction des femelles à un brusque stimulus lumineux (Startle activity).
  相似文献   

11.
    
Zusammenfassung Beim wildenPlatypoecilus maculatus aus Mexiko, der im männlichen Geschlecht heterogamet ist (Gordon 1946), ist neben dem gonosomalen noch ein autosomales System von Geschlechtsrealisatoren am Werke (vgl.Öktay 1959). Es vermag in extremen Konstellationen, die zufalls- oder selektionsbedingt sein können, denXY-Mechanismus epistatisch zu überlagern, so da\XY-Individuen zu determiniert werden können.XY- sind voll vital und fertil und ergeben in Paarungen mitXY- nebenXX- undXY- voll vitale und fertileXY-.Auf Grund der vorliegenden Kreuzungsergebnisse und der Befunde anderer Autoren wird angenommen, daß der normalerweise rein gonosomale Geschlechtsbestimmungsmodus vonPlatypoecilus maculatus aus dem primitiveren autosomal polyfaktoriellen, der unter anderem bei einem nahen Verwandten dieser Art,Xiphophorus helleri, vorkommt (Kosswig 1931 ff.), hervorgegangen ist.Mit 1 Textabbildung  相似文献   

12.
Zusammenfassung Die Arbeit stellt die Frage nach den Kriterien des fossil belegten Biologischen Aufstiegs der Organismenwelt, d.h. derjenigen Vervollkommnung, die sich nicht innerhalb des Rahmens eines gegebenen Bauplans hält, wie die Anpassungsvervollkommnung, sondern über verschiedenrangige Baupläne hinweg zu höheren Typen führt, z.B. von den Fischen über die Amphibien und Reptilien zu den Säugern bzw. Vögeln. Ausführlich werden zwei Gruppen von Kriterien besprochen, ihr Inhalt dargelegt und ihre Eindeutigkeit zur Charakterisierung des Biologischen Aufstiegs untersucht. Die erste Gruppe umfasst die Kriterien der zunehmenden Differenzierung und harmonischeren Integration. Diese legen die morphologisch-physiologische Differenzierung oder genauer die Ganzheit der Organismen zugrunde, d.h. ihre Vielheit in der Einheit. Die zweite Kriteriengruppe, nämlich zunehmende Umweltunabhängigkeit und zunehmende individuelle Autonomie, geht von den Beziehungen des Organismus zur Umwelt und zu andern Lebensformen aus und betont die Subsistenz der Individuen, d.h. ihr grösseres oder geringeres Losgelöstsein oder ihre Selbständigkeit. Da nun Ganzheit und Subsistenz die entscheidenden Elemente einer biologischen Definition des Individuums sind, lässt sich sagen, dass der Biologische Aufstieg eines Organismus um so höher ist, je stärker seine Ganzheit und Subsistenz und damit sein Individuumsein ist.Eindeutigkeit kommt allen genannten Kriterien nicht zu. Die Gründe für ihre Unschärfe sind verschiedener Art. Zunächst gibt es noch keine eindeutige und vollständige Definition des biologischen Individuums, so dass sich nicht eindeutig umreissen lässt, was einem Organismus eine stärkere oder weniger starke Individualität verleiht. Dann sind die Linien, über die sich Vervollkommnungen vollziehen und von denen die eine innerhalb des Bauplans bleibt (Anpassungsvervollkommnung), die andere aber über ihn hinausführt (Biologischer Aufstieg) so innig und in so eigenartiger Weise miteinander verflochten, dass sie sich nicht sauber scheiden und in ihren charakteristischen Merkmalen genau beschreiben lassen. Jeder Vertreter eines Bauplans, ganz gleich von welcher Ranghöhe, ist nämlich notwendig in eine Umwelt eingepasst und irgendwie spezialisiert. Es gibt keine Typen mit reinen Bauplanmerkmalen, die nach keiner Richtung hin eine Anpassungsvervollkommnung, sondern nur Merkmale des Biologischen Aufstiegs aufweisen. Schliesslich kennen wir fossil nur die Entfaltung oder Ausgestaltung der Grossbaupläne des Tierreichs, nämlich des Wirbeltierstammes und der verschiedenen Gruppen der Wirbellosen, nicht aber das Interessanteste und Wichtigste, nämlich ihren Biologischen Aufstieg zu der organisatorischen Höhe, mit der sie sich im Silur bzw. im Kabrium bereits vorstellen. Das erst würde einen tieferen Einblick in das Wesen des Biologischen Aufstiegs vermitteln.
Summary This article deals with the question of the criteria for the biological ascent (Biologischer Aufstieg) of the organic world, resting on fossil evidence. That is, of that improvement which is not only restricted to the framework of a given general structure (Bauplan) as is the improvement of adaptation, but which also leads beyond general structures (Baupläne) of differentiated levels to a higher type,e.g. from the fishes through the amphibians and reptiles to the mammals or birds. Two groups of criteria are discussed at length, their content exposed and their univocity for the characterisation of this biological ascent is examined. The first group includes the criteria of increasing differentiation and more harmonious integration. The basis for these is the morphological-physiological differentiation, or more exactly, the totality of the organisms,i.e., their variety-in-unity. The second group of criteria, increasing independence of environment and increasing individual autonomy, is derived from the relationships of the organism to its environment and to other living forms, and stresses the subsistence of individuals,i.e., their greater or lesser degree of independence or self-sufficiency. Now since totality and subsistence are the decisive elements in a biological definition of the individual, it may be said that the biological ascent of an organism is higher, the more perfect its totality and subsistence and therefore its individuality is.The criteria mentioned are not univocal. The reasons for this lack of clarity are varied. First of all, there is no univocal and complete definition of the biological individual, so that it cannot be exactly stated just what gives an organism a more or less perfect individuality. Then the lines, along which improvements are made, and according to which the one remains within the general structure (improvement of adaptation) and the other goes beyond the general structure (biological ascent), are so intimately and singularly bound together, that they cannot be cleanly distinguished, and their characteristic notes exactly described. For each representative of a general structure, regardless of its level, is necessarily fitted into an environment and somehow or other specialised. There are no types with only notes of the general structure which show in no direction an improvment of adaption, but only the signs of biological ascent. Finally, we only have fossil evidence for the development or deployment of the great general structures (Grossbaupläne) of the animal world, namely that of the vertebrates and of the different groups of invertebrates, not for the most interesting and most important, that is, their biological ascent to the level of organisation with which they are found in the Silurian or Cambrian periods. Only that would give us a deeper insight into the essence of biological ascent.

Résumé Ce travail pose la question des critères de la progression biologique (Biologischer Aufstieg), d'après les documents fossiles, dans le monde des organismes, c'est-à-dire de ce perfectionnement qui ne s'arrête pas à l'intérieur du cadre d'un phylum (Bauplan) donné, comme le perfectionnement de l'adaptation, mais qui conduit, au-de-là de phylums (Baupläne) de rang différent, à des types supérieurs, par exemple, des Poissons pas les Amphibies et les Reptiles jusqu'aux Mammifères ou aux Oiseaux. Deux groupes de critères y sont recensés en détail, leur contenu est exposé, et on les examine pour voir s'ils caractérisent sans ambiguïté la progression biologique. Le premier groupe comprend les critères de différenciation croissante et d'intégration harmonique. Ils sont fondés sur la différenciation morphophysiologique ou plus exactement sur la totalité des organismes, c'est-à-dire leur multiplicité dans l'unité. Le second groupe de critères, à savoir indépendance croissante du milieu et autonomie individuelle croissante, part des relations de l'organisme au milieu et aux autres formes vivantes et souligne la subsistence des individus, c'est-à-dire leur plus ou moins grande indépendence ou leur stabilité interne. Comme totalité et subsistence sont les éléments décisifs d'une définition biologique de l'individu, on peut dire que la progression biologique d'un organisme est d'autant plus élevée que sa totalité et subsistence et par là son être individuel sont plus accusés.Tous les critères mentionnés ne sont pas uniformes. Les motifs de leur imprécision sont divers. Tout d'abord, il n'y a pas encore de définition unique et complète de l'individu biologique, de sorte qu'on ne peut circonscrire d'une manière univoque ce qui confère à un organisme une individualité plus forte ou moins forte. Ensuite les lignées au-delà desquelles s'accomplissent des perfectionnements, et dont l'une reste intérieur au phylum (perfectionnement de l'adaptation), tandis que l'autre le transcende (progression biologique), sont entrelacées si intimement et d'une façon si particulière qu'elles ne se laissent pas séparer franchement et décrire rigoureusement selon leurs signes distinctifs. Tout représentant d'un phylum, peu importe son palier, est en effet nécessairement inséré dans un milieu et en quelque façon spécialisé. Il n'existe pas des types à caractères phylétiques purs, qui ne montrent dans aucune direction un perfectionnement de l'adaptation, mais seulement des marques caractéristiques de la progression biologique. Enfin nous ne connaissons pas les restes fossiles que le développement ou la formation des grands phylums (Grossbaupläne) du règne animal, à savoir du rameau des Vertébrés et des divers groupes des Invertébrés, mais non pas le plus intéressant et le plus important, leur progression biologique jusqu'au degré d'organisation qu'ils présentent déjà à l'époque du Silurien ou plutôt du Cambrien. C'est cela seulement qui permettrait une vue plus profonde sur la nature de la progression biologique.
  相似文献   

13.
Résumé Les capacités visuelles de la coccinelle H. axyridis, espèce utilisée en lutte biologique, ont été étudiées l'aide de formes géométriques différentes et de leurres qui miment un puceron. Les larves et les adultes de cette coccinelle semblent présenter une vision à distance (perception de formes géométriques) et une vision de proximité (perception de leurres comparables à des proies). Cette vision qui est plus développée chez les adultes, permet à cette coccinelle de changer l'orientation de ses déplacements soit pour entrer en contact avec ces cibles artificielles soit pour passer à proximité. Toutefois, ces performances ont été mises en évidence dans des conditions particulières, les cibles et les leurres présentant un fort contraste par rapport à l'environnement.  相似文献   

14.
Mattres  Dieter 《Zoomorphology》1962,51(4):375-546
Ohne ZusammenfassungAlphabetisches Verzeichnis der im Text gebranchten Abkürzungen AK Anbieten der Kopfgrube () - AR-seitig außenrandseitig (auf Elytre bezogen) - EO Elytralorgan (EO-Arten = Arten mit Elytralorganen im männlichen Geschlecht) - f Flucht () - F Flucht () - FA, fa frontale Auseinandersetzung (, ) - FS, fs Fühlertrillern bzw. Frontalspiel (, ) - gk Grubenknabbern () - IR-seitig innenrandseitig (auf Elytre bezogen) - K Kopulation - KG Kopfgrube (KG-Arten = Arten mit Kopfgrube im männlichen Geschlecht) - KI Abdomenkitzeln () - KV Kopulationsversuch () - LP-Feld den weiblichen Labialpalpen korreliertes Drüsenporenfeld - MP-Feld den weiblichen Maxillarpalpen korreliertes Drüsenporenfeld - 180 Drehung des um 180° - ob Organbeißen () - ok Organknabbern () - OZ Organzuwendung () - P Prüfung der Kopulationsbereitschaft durch - RB rückwärtige Berührung durch - SLV Seitwärtslauf nach vorn () - SLH Seitwärtslauf nach hinten () - U Umrundung () - vl Vorwärtslauf () - 180 Drehung des um 180° Habilitationsschrift.  相似文献   

15.
Résumé Cette étude met en évidence l'efficacité du dépôt d'un marquage odorant dans la reconnaissance de l'entrée du nid par les butineuses de bourdons. L'étude du comportement olfactif de ces ouvrières a consisté à observer leur réponse en présence d'un marqueur odorant déposé par d'autres ouvrières en utilisant la méthode du choix binaire. Les observations ont été faites avec des colonies de plusieurs espèces: Pyrobombus (P.) hypnorum L., Pyrobombus (M.) lapidarius L., Bombus lucorum L., Megabombus (T.) pascuorum Scop., Pyrobombus (P.) pratorum L. et Bombus terrestris L. L'expérimentation a consisté également à faire varier qualitativement la stimulation, ce qui a permis d'étudier la capacité des ouvrières à distinguer l'odeur de la substance déposée par les individus de leur propre colonie de celle déposée par les individus d'une autre colonie, isospécifique ou hétérospécifique. Pour chaque espèce étudiée, les ouvrières retournant au nid font un choix en fonction de la nature du marquage. L'écart entre les pourcentages de réponses est plus important dans le cas du choix entre papier marqué et papier vierge (expérience 1) que dans celui entre papier marqué par la colonie et papier marqué par une colonie étrangère hétérospécifique (expérience 3). Une moindre dispersion des réponses apparaît dans le choix entre papier marqué par la colonie et papier marqué par une colonie étrangère isospécifique (expérience 2). La discussion porte également sur le marquage de l'entrée du nid chez des espèces d'Hyménoptères solitaires terricoles, fonction attribuée à la sécrétion de la glande de Dufour. Le mécanisme de ce marquage chez les Apoïdes sociaux reste à étudier.  相似文献   

16.
Un apport unique de 10 g d'hormone juvénile 1, réalisé chez des criquets du dernier stade larvaire à corpora allata intacts ou préalablement soumis à une application de precocène 2, provoque, à la mue suivante, l'apparition d'individus dont les caractéristiques sont intermédiaires entre celles du dernier stade larvaire et celles de l'imago. Cependant, les criquets traités par le précocène 2 présentent des variations phénotypiques plus prononcées, se traduisant par un maintien accru des caractéristiques larvaires. Les études ultrastructurales montrent que les corpora allata dégénèrent rapidement sous l'action des 400 g de précocène 2.
Summary In fifth instar locusts, with intact corpora allata or previously subjected to precocene 2 action, a single injection of 10 g juvenile hormone 1 leads, at the next molt, to the appearance of individuals displaying characters ranging from the typical larval to the typical imaginal ones. But, unexpectedly, the phenotypic variations are more marked in the precocene 2 treated locusts, and are typified by an increased retention of larval characters. Electron microscopic studies indicate that the use of 400 g of precocene 2 rapidly leads to the degeneration of the corpora allata.
  相似文献   

17.
The effect of the temperature-humidity factor on the reaction of two different visual stimuli has been investigated with Chorthippus brunneus (Thunb.) (= Chorthippus bicolor Charp.), Chorthippus longicornis (Latr.) (= Ch. parallelus Zett.) and Mecostethus grossus (L.). At low and high temperatures (high and low relative humidities), the three species show a greater preference for surroundings with vertical stripes than for white surroundings. At medium temperature and relative humidity, the preference for white surroundings is greater than for surroundings with vertical stripes. In a comparison between the three species at high temperature, they show regarding their intensity of preference for surroundings with vertical stripes a ranking order which is identical with that of their preference for dense grass vegetation in natural environments. In a comparison between and at high temperature, show a greater preference for surroundings with vertical stripes than .
zusammenfassung Die Wirkung des Temperatur-Luftfeuchtigkeits-Faktors auf die Reaktion gegenüber zwei optischen Reizen wurde bei Chorthippus brunneus (Thunb.) (= Chorthippus bicolor Charp.). Chorthippus longicornis (Latr.) (= Ch. parallelus Zett.) und Mecostethus grossus (L.) untersucht. Bei niederen und hohen Temperaturen (hoher und niederer relativer Luftfeuchtigkeit) zeigen die drei Arten eine größere Bevorzugung für Umgebungen mit vertikalen Streifen als für weiße Umgebungen. Bei mittlerer Temperatur und relativer Feuchtigkeit ist die Bevorzugung weißer Umgebung größer als für Umgebungen mit vertikalen Streifen. Bei einem Vergleich der drei Arten bei hoher Temperatur ergibt sich hinsichtlich der Stärke ihrer Bevorzugung für vertikal gestreifte Umgebung eine Rangfolge, die mit der ihrer Bevorzugung dichter Grasvegetation in natürlicher Umgebung identisch ist. Bei einem Vergleich zwischen und bei hoher Temperatur zeigen die eine größere Präferenz für Umgebung mit Vertikalstreifung als die .
  相似文献   

18.
The amounts of four pteridine compounds, xanthopterin, isoxanthopterin, 6-biopterin and pterin and a further unidentified substance, termed modified xanthopterin, were determined in the heads of adult Pectinophora scutigera (Holdaway) (Lepidoptera: Gelechiidae), aged between 2 and 50 days and reared in the laboratory at 25°C. The level of isoxanthopterin was also determined in the thoraces and abdomens of moths aged between 2 and 40 days. The levels of xanthopterin, and modified xanthopterin decreased markedly in the heads of males and females with increasing moth age, while those of pterin decreased more slowly and 6-biopterin remained largely unchanged. Isoxanthopterin decreased in male heads from 38.3 ng/head at 2 days to 22.7 ng/head at 50 days, but in females levels increased from 41.2 ng/head at 2 days to 150.4 ng/head at 50 days. Similar changes in the amounts of isoxanthopterin with increasing moth age were observed in male and female thoraces and abdomens. The results are discussed in relation to using pteridine compounds for estimating the physiological age of P. scutigera.
Résumé En chromatographie liqudde à haute performance (HPLC) à détection par fluorescence, 4 composés ptéridiniques: la xanthoptérine, l'isoxanthoptérine, la 6-bioptérine et la ptérine ont été décelés dans les têtes de P. scutigera Holdaway (Lep. Gelechiidae) adultes. Un autre composé, dénommé xanthoptérine modifiée, a été décelé aussi dans les têtes de papillons; de même l'isoxanthoptérine a été décelée dans les thorax et abdomens.Les concentrations de ces ptérines ont été dosées dans les têtes des papillons de 2 à 50 jours au laboratoire à 25°C. Les concentrations d'isoxatthoptérine ont été dosées dans les thorax et les abdomens de 2 à 40 jours. La xanthoptérine de la xanthoptérine modifiée diminuent nettement avec l'âge, tandis que la ptérine diminue plus lentement et que la 6-bioptérine se maintient pratiquement sans changements. L'isoxanthoptérine diminue dans les têtes de mâles de 38,3 ng/tête à 2 j à 22,7 ng/tête à 50 j, mais chez les femelles les concentrations augmentent nettement de 41,2 ng/tête à 2 j à 150,4 ng/tête à 50 j. Des modifications de même type ont été observées dans les thorax et les abdomens des mâles et des femelles.Les modifications de concentration de la xanthoptérine modifiée des têtes de papillons peuvent être utilisées pour évaluer l'âge physiologique de mâles et des femelles de P. scutigera. La confiance dans ces estimations peut être améliorée en se référant aux concentrations d'isoxanthoptérine dans les thorax des mâles et au rapport isoxanthoptérine/xanthoptérine modifiée dans les têtes de femelles.
  相似文献   

19.
Copulation duration of Glossina pallidipes from Lambwe Valley (0° 35, S, 34° 15 E) and Kibwezi Forest (2° 27 S, 37° 55 E) in Kenya, was investigated in the laboratory. The difference in mean copulation time between the populations was highly significant. Reciprocal copulations showed that the trait is predominantly or only determined by the male. F1 and F2 male hybrid durations were similar and intermediate between the parental durations. The variances of the F2 hybrid durations were not significantly larger than those of the F1 hybrids. Male hybrids from backcrosses had durations on the average intermediate between their parents'. Reciprocal F1 hybrid male durations gave different means. It is inferred that the trait, in the two populations investigated, is under polygenic control by factors distributed on an unknown number of autosomes and on the X chromosomes.
Résumé On a étudié et comparé en laboratoire, la durée de copulation de deux populations de Glossina pallidipes du Kenya, l'une de Lambwe Valley (0°35S, 34°15E) l'autre de Kibwezi Forest (2°27S, 37°55E). Les femelles agées de 7–8 jours sont accouplées avec des mâles agés de 14–18 jours, à une température d'environ 27.5° C. La différence de la durée moyenne de copulation entre les deux populations est hautement significative: 21,8 min pour les mouches originaires de Lambwe, contre 59,0 min pour celles originaires de Kibwezi. Des accouplements croisés ont montré que le caractère est avant tout ou uniquement déterminé par le mâle. Les durées de copulation avec des mâles hybrides F1 et F2 sont semblables et intermédiaires avec celles observées chez les parents. Les variances de la durée de copulation pour les mâles hybrides F2 ne sont pas significativement plus grandes que celles des hybrides F1. Les mâles hybrides issus de croisements de retour offrent des durées de copulation en moyenne intermédiaires avec celles des parents. Les mâles hybrides réciproques F1 ont des durées de copulation ayant des valeurs moyennes différentes.Il est conclu que le caractère évoqué, dans les deux populations testées, obéit à un contrôle polygénique, dont les facteurs sont distribués à la fois sur un nombre inconnu d'autosomes et sur les chromosomes X. Il est suggéré que le paramètre durée de la copulation peut apporter une information complémentaire dans l'étude systématique des populations de Glossina pallidipes.


Financed by grants from Uppsala University, The Royal Swedish Academy of Science and The Lars Hierta's Memory Foundation.  相似文献   

20.
Different varieties of citrus exhibit a great variation in their susceptibility to infestation by the red scale, Aonidiella aurantii. Among the thirteen varieties investigated, mandarin clemantine, santara and baladi, orange baladi and rough lemon are the most resistant; while lemon baladi, sour orange and grapefruit are the most susceptible. The susceptibility to infestation decreases with the increase of oil glands in the leaves and fruits of citrus. The total amount of nitrogen, phosphorus and carbohydrates in the leaves of different varieties shows no correlation with their susceptibility to infestation.
Résumé Différentes variétés de Citrus montrent de grandes variations dans leur sensibilité aux attaques par Aonidiella aurantii. Parmi les 13 variétés étudiées, les plus résistantes sont: mandarine clémentine, mandarine baladi et rough lemon, tandis que lemon baladi; sour orange et pamplemousse sont les plus sensibles.La sensibilité aux infestations décroît proportionnellement avec l'accroissement du nombre des glandes à huiles essentielles sur les feuilles de citrus. La quantité totale d'azote, de phosphore et d'hydrates de carbone dans les feuilles des différentes variétés ne montre aucune corrélation avec leur sensibilité aux infestations.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号