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1.
Résumé Les auteurs ont étudié quelques enzymes de la chaîne ganglionnaire chezEisenia foetida.La recherche histochimique a permis de révéler la présence dans les pyrénophores des cellules nerveuses d'une réaction positive pour la phosphatase acide, pour l'ATPase, pour la succino-déshydrogénase, pour la cytochrome-oxydase et pour les estérases. L'acétylcholinestérase est sourtout concentrée au niveau du tissu conjonctif de la chaîne ganglionnaire qui forme une gaine épaisse autour des neurocordes et qui enveloppe les pyrénophores ainsi que les différents faisceaux de fibres nerveuses. Dans le cas de tous les enzymes que les auteurs ont pris en considération, l'axoplasme des neurocordes, qui est pauvre en organules cellulaires et très fluide, ne révèle, même lorsque les fibres nerveuses du neuropylème présentent une activité assez nette (phosphatase acide, succino-déshydrogénase), aucune réaction ou, tout au plus, une réaction très faible. Les auteurs discutent les résultats auxquels ils ont abouti en les comparant `a ceux qu'ont obtenus d'autres auteurs qui ont étudié le système nerveux de certains Vertébrés ou Invertébrés.Avec 6 Figures dans le TexteL'agencement du travail est dû à A.Guardabassi.  相似文献   

2.
The sex pheromone produced by virgin female S. solanivora moths has been shown to contain (E)-3-dodecenyl acetate with approximately 2% of the Z isomer by electroantennography and gas chromatography. In the field, traps baited with (E)-3-dodecenyl acetate alone or in combination with 1% or 2% of the Z isomer caught at least as many male S. solanivora moths as those baited with virgin female moths, and there was some evidence that addition of 5% of the Z isomer reduced catches.
Résumé S. solanivora est l'un des plus importants lépidoptères détruisant les pommes de terre en Amérique Centrale. L'analyse par chromatographie en phase gazeuse (GC) des produits obtenus par lavage de l'ovipositeur de femelles vierges, associée à des électro-anténnogrammes (EAG) a révélé un composé actif unique en EAG. Les durées de rétention pour ce constituant correspondaient à celles des acétates monoinsaturés à 12 carbones, et les analyses sur colonne GC liées avec une phase liquide cristal ont montré un pic principal correspondant à l'acétate (E)-3-dodécénul et un pic secondaire, correspondant à l'isomère Z, et au niveau de 2,5% du pic principal. L'acétate dodécyl a aussi été décelé en quantités variables, approximativement 10% du pic principal.Dans la nature, des pièges contenant de l'acétate (E)-3-dodécényl, seul ou mélangé avec 1 ou 2% de l'isomère Z, ont capturé autant des mâles de S. solanivora que des pièges contenant des femelles vierges, et certaines indications montrent que l'addition de 5% de l'isomère Z réduit les captures.
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3.
The food selection behaviour of male fifth instar nymphs of Locusta migratoria was monitored on the host plant wheat and on the non-host plants Senecio vulgaris, S. jacobaea and Brassica oleracea. The non-hosts were rejected, but the mode of rejection altered with time in a way which suggested associative learning. This hypothesis was tested and the results discussed in relation to classical theories of learning.
La sélection des aliments chez les criquets: Le rôle de l'apprentissage dans le comportement de rejet
Résumé Des larves mâles de cinquième stade de Locusta migratoria ont été placées dans des cages avec des végétaux qui pouvaient être changées sans troubler les insectes. Le contact avec des pieds de blé entraînait généralement une palpation suivie de morsures et alors d'alimentation continue. Les plantes non-hôtes Senecio vulgaris, S. jacobaea et Brassica oleracea étaient rejetées, d'abord après morsures suivant la palpation, mais ultérieurement par palpation seule. Nous avons vérifié l'hypothèse que la sensation obtenue par palpation était initialement inadéquate pour provoquer le rejet, ce qui était assuré par les morsures ultérieures mais qu'avec l'expérience l'insecte apprenait à lier la sensation de palpation avec celle de morsures et progressivement rejetait après palpation seule. Ainsi les 8 premiers contacts avec des aliments désagréables ont été observés, soit quant S. vulgaris était présenté continuellement, soit quand S. vulgaris était remplacé par une autre plante désagréable après 4 contacts. Une analyse mathématique des résultats révèle une tendance au rejet par palpation seule à travers les contacts successifs, et que cette tendance est interrompue et se restaure quand l'espace végétal est changé. Ces résultats sond discutés dans le contexte des théories de l'apprentissage et on en a conclu que le phénomène observé est le résultat d'un apprentissage associatif.
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4.
In northeastern North Carolina, outbreaks ofTetranychus urticae Koch on commercial corn and peanut plantings were observed to coincide with flowering and fruiting of the crop host. In greenhouse studies, when equal mite numbers were started on plants in either vegetative or reproductive growth stages, populations increased significantly more after 3–4 weeks on reproductive plants of both corn and peanut. This direct response of mite populations to differences in plant phenology appears to be an important component in the population dynamics ofT. urticae. The importance of this effect in understanding mite outbreaks on corn and peanut is discussed, especially in reference to the corn-peanut agroecosystem in North Carolina.
Réponse de populations deTetranychus urticae Koch., aux phénologies du maïs et de l'arachide
Résumé Les populations de tétraniques sont souvent associées à la floraison et à la fructification des plantes attaquées. Dans les agrosystèmes maïsarachide du N.E. de la Caroline du Nord, l'augmentation rapide de populations deT. urticae a été observée lors de la maturation des épis mâles du maïs et du maximum de floraison de l'arachide. Bien que ces observations suggèrent une relation causale avec la phénologie des plantes hôtes, il est difficile de déterminer dans les conditions de la nature si l'augmentation des populations d'acariens sur les stades reproducteurs des plantes est due à une réponse à la phénologie des cultures ou à une autre cause, comme le passé de la population ou une immigration. Des expériences ont été réalisées dans une serre pour mettre en évidence l'action de la phénologie du maïs et de l'arachide sur les populations d'acariens en maîtrisant ces autres hypothétiques facteurs. Des effectifs identiques d'acariens femelles ont été libérés sur des plantes à des stades tant végétatifs que reproductifs, et ensuite laissés sans interventions pendant plusieurs semaines, au bout desquelles les effectifs sur chaque plante ont été dénombrés. Sur les deux hôtes, les populations sur plante à un stade reproducteur avaient augmenté significativement plus que sur les plantes de même espèce à un stade végétatif. Ces résultats montrent queT. urticae répond directement à des différences entre plantes à un stade végétatif et à un stade reproductif. Cette réponse semble jouer un rôle important dans la dynamique des populations deT. urticae.
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5.
Résumé Chez Diadromus pulchellus WSM et D. collaris Gr., Hyménoptères Ichneumonidés parasitoïdes spécialistes des nymphes d'A. assectella lépidoptère inféodé aux Allium, des EAG sont enregistrés en réponse à l'odeur du poireau sain ou attaqué par les larves du phytophage, odeurs actives par ailleurs sur leur comportement locomoteur (cinèses). Le thiosulfinate de dipropyle (Ti-P2) très spécifique et abondant dans les Allium, et instable, est le mieux perçu par les deux parasitoïdes mais n'a aucun effet locomoteur chez D. pulchellus contrairement aux disulfures et thiosulfonates, plus stables et moins spécifiques. Les propriétés de l'acétate d'éthyle, actif sur l'antenne des deux parasitoïdes, et sur la locomotion de D. pulchellus expliqueraient en partie les activités biologiques du poireau attaqué sur ces parasitoïdes. Des EAG sont aussi obtenus chez les deux espèces avec l'odeur du chou et de composés soufrés plus ou moins spécifiques des Crucifères. Le thiocyanate de méthyle (TCN-M), le plus actif sur l'antenne et seul efficace sur le comportement locomoteur (de D. pulchellus), expliquerait en partie l'installation reconnue de D. collaris sur Plutella maculipennis spécialiste des Crucifères et rend celle de D. pulchelles vraisemblable.L'odeur des larves de dernier stade d'A. assectella est seule efficace sur l'antenne et la locomotion des femelles de D. pulchellus. Les mâles de ce dernier réagissent (EAG, locomotion) à des odeurs de cocons de l'hôte et particulièrement à ceux occupés par une femelle de leur espèce.  相似文献   

6.
The apple maggot fly, Rhagoletis pomonella (Walsh), has only recently been found in Utah infesting sour cherry, Prunus cerasus L. An electrophoretic comparison of flies from Utah cherries with flies from Illinois hawthorns, Crataegus mollis (T. & G.) Scheele (a native host within the native range of the fly), show a marked reduction of genetic variability in the Utah sample. This result is indicative of a genetic bottleneck associated with the establishment of the apple maggot population in Utah cherries.
Résumé R. pomonella (Walsh), est originaire de Crataegus dans l'Amérique du N.E. Il attaque de nombreux autres fruits, y compris les pommes et les cerises aigres (Prunus cerasus). La mouche a été récemment signalée en Utah, à la fois sur cerises et sur Crataegus douglasii. Nous avons comparé les niveaux de variabilité génétique d'une population de l'Utah contaminant les cerises et d'une population de l'Illinois contaminant C. mollis (la population de l'Illinois est représentative des niveaux de variabilité génétique dans l'aire d'origine de la mouche).La variabilité génétique à 17 loci a été évaluée par électrophorèse sur gel d'amidon. 10 de ces loci sont polymorphes dans la population d'Illinois, mais seulement 4 dans la population de l'Utah. Les fréquences alléliques de ces 4 loci de R. pomonella diffèrent significativement en Utah et en Illinois. La population de l'Utah présente nettement moins d'allèles par locus, un plus faible pourcentage de loci polymorphes et une hétérozygotie moyenne plus faible que la population de l'Illinois. Tous ces résultats sont conformes aux conséquences prévisibles d'un goulot d'étranglement.Deux explications existent pour cette perte de variabilité, toutes les deux liées à la combinaison de la faible taille de la population et de la dérive génétique ultérieure. Pour la première, la colonisation du cerisier par les mouches venant de Crataegus peut avoir provoqué un goulot d'étranglement génétique. Au contraire, la réduction de la variabilité peut avoir été la conséquence de la colonisation de l'Utah par R. pomonella. Nous retenons cette dernière comme la cause la plus vraisemblable de la variabilité génétique de la population de R. pomonella contaminant les cerises de l'Utah.
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7.
Résumé Certains stades juvéniles de charançons des céréales du genreSitophilus ont été soumis à un séjour prolongé dans des compositions gazeuses modifiées par le dioxyde de carbone (CO2).Les auteurs se sont placés dans des conditions de teneur en CO2 constante (50%), associée à des teneurs en oxygène comprises entre 4 et 20%, pour étudier les conditions d'une synergie entre l'effet spécifique du CO2 et la présence d'une forte teneur résiduelle en oxygène. Les effets ont été observés sur les stades juvéniles les plus évolués (larves et nymphes) des espècesS. oryzae (L.) etS. granarius (L.), (Coleoptera: Curculionidae).L'accroissement de la vitesse de mortalité chezS. oryzae est significative avec l'augmentation de la pression partielle d'oxygène. Cet effet de synergie provoqué par l'oxygène n'est pas significatif avecS. granarius, bien qu'il existe aussi avec cette espèce une tendance à l'amélioration de l'efficacité insecticide à court terme avec les mélanges à forte teneur résiduelle en oxygène.Il en est déduit des hypothèses sur les effets des mélanges gazeux à composition modifiée par le CO2 au niveau de la physiologie générale de ces insectes, qui est très difficile à appréhender directement à cause du mode de développement des stades juvéniles des charançons (formes cachées dans le grain).  相似文献   

8.
Mark-release studies of Calosoma sycophanta L. (Carabidae) in two 40000 m2 areas were done using traps deployed in 10 by 10 grids. In both areas, gypsy moths, Lymantria dispar L. (Lymantriidae), were abundant the first but not the second year of sampling. The distribution of carabid larvae was also investigated in the first year at one of the sites and the distribution of gypsy moth larvae found under burlap bands determined for 2 years at the other site. Dispersions of beetles and prey were evaluated by Taylor's logarithmic meanvariance method and Iwao's mean-mean crowding method. Taylor's method gave the most consistent results, and the slopes of the regression lines were used to determine degree of clumping.To evaluate dispersal of adult beetles, recapture data were analysed using the Fisher-Ford and Jolly-Seber methods in conjunction with Jackson's method for separating survival and emigration. A new method for estimating emigration was found to be most consistent with the Fisher-Ford-Jackson procedure. The tendency of the beetles to aggregate (measured via Taylor's method) was generally highest for males. In one site, emigration and degree of aggregation for males appeared to vary together, while at the other site no relationship was evident. Females showed few tendencies to aggregate. Both beetle larvae and gypsy moth larvae had clumped distributions.
Résumé L'étude par capture-recapture de Calosoma sycophanta L. (Carabidae) a été effectuée dans deux parcelles de 4 ha en utilisant des pièges distribués sur une grille de 10 sur 10. Pendant la première année d'échantillonnage, Lymantria dispar L. (Lymantriidae) était abondant et les calosomes se sont reproduits, tandis que la seconde année les papillons étaient beaucoup moins nombreux. La distribution des larves de carabes a été examinée aussi pendant la première année sur l'une des stations, et celle des chenilles pendant les deux années avec des toiles d'emballage sur l'autre station. Les dispersions des adultes et larves de calosomes et des chenilles de Lymantria ont été calculées en utilisant la régression du logarithme naturel de la variance de l'échantillon sur le logarithme naturel de la moyenne (méthode de Taylor) et la régression de l'indice de Lloyd d'agrégation moyenne sur la moyenne (méthode d'Iwao). La méthode de Taylor a donné les résultats les plus logiques, et les pentes ont servi à mesurer le degré d'agrégation. Les recaptures de calosomes adultes ont été analysées par les méthodes de Fisher-Ford et Jolly-Seber, associées à la méthode de Jackson pour séparer survie et migration. De même, une nouvelle méthode pour déterminer directement la migration en découvrant combien d'insectes recapturés ont abandonné les microparcelles s'est révélée comme la plus cohérente avec le procédé Fisher-Ford-Jackson. La tendance à l'agrégation est plus forte chez les mâles (d'après la pente du logarithme de la moyenne par rapport au logarithm e de la variance de l'échantillon). La migration et le degré d'agrégation paraissent varier ensemble dans une station, tandis que dans l'autre une telle relation n'apparaît pas clairement. Les femelles malgré des taux de migration variés mais généralement faibles, n'ont jamais pr'esenté de tendance significative à l'agrégation. A l'opposé, les larves de calosomes et de Lymantria ont presenté des distributions agrégatives.
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9.
Ovipositor washings and volatiles from virgin female Scirpophaga incertulas (Walker) (Lepidoptera: Pyralidae) were analysed by gas chromatography (GC) linked to electroantennography (EAG). Two EAG responses were observed at retention times consistent with those of monounsaturated 16-carbon aldehydes and monounsaturated 16-carbon alcohols. Analysis of ovipositor washings on high-resolution, capillary GC columns showed peaks which cochromatographed with (Z)-11-hexadecenal, (Z)-9-hexadecenal, (Z)-11-hexadecen-1-ol and hexadecanal. EAG responses of male S. incertulas to synthetic hexadecenal isomers were greatest for the (Z)-11 and (Z)-11 isomers. Field tests in the Philippines showed that traps baited with a mixture of (Z)-11-hexadecenal and (Z)-9-hexadecenal in the naturally occurring 3:1 ratio caught significantly more male S. incertulas moths than those baited with a virgin female moth. Addition of (Z)-11-hexadecen-1-ol to this mixture reduced trap catches.
Résumé Des produits provenant du lavage d l'ovipositeur et des substances volatiles de femelles vierges de S. incertulas Walker (Lep.: Pyralidae) ont été examinées en chromatographie en phase gazeuse (GC) avecélectroantennogramme simultané(EAG). Deux réponses EAG ont été enregistrées à des temps de rétention correspondant à ceux des aldéhydes monoinsaturés 16 carbones et des alcools monoinsaturés 16 carbones. L'analyse des produits provenant du lavage de l'ovipositeur en colonnes GC capillaires à haute résolution a donné des pics correspondant aux (Z)-11-hexadécenal, (Z)-9-hexadécenal, (Z)-11-hexadecen-1-ol et à l'hexadecanal. Les réponses EAG de mâles de S. incertulas aux isomères synthétiques d'hexadécenal étaient plus intenses pour les isomères (Z)-11 et (E)-11. Des essais en champ aux Philippines ont montré que les pièges contenant un mélange de (Z)-11-hexadécenal et de (Z)-9-hexadécenal dans le rapport natural 3/ 1 capturaient plus de mâles de S. incertulas que ceux contenant une femelle vierge. L'addition au mélange de (Z)-11-hexadecen-1-ol réduit les captures.
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10.
Greenhouse and field studies were conducted to determine the mechanisms of resistance (tolerance, antibiosis and antixenosis) in common beans Phaseolus vulgaris L. to the leafhopper Empoasca kraemeri Ross & Moore (Homoptera: Cicadellidae). No antibiosis effects were detected in any of the bean lines investigated. However, in both free choice and no choice tests in the greenhouse, ovipositional antixenosis was detected, and appeared to increase with increasing plant age in resistant bean lines. The results of the field study were similar to those obtained in the greenhouse and suggested that bean line EMP 81 possessed only tolerance as a mechanism of resistance to leafhoppers, while EMP 89, EMP 94, EMP 97 and EMP 82 were non-preferred by ovipositing leafhoppers.
Résumé Des expériences en serres et en champ ont servi à analyser la résistance de P. vulgaris à E. kraemeri. L'importance de l'antibiose dans la résistance à E. kraemeri a été examinée en serre avec 5 variétés résistantes: EMP 81, EMP 82, EMP 89, EMP 94, EMP 97 et un témoin sensible BAT 41, 7 jours après le semis (cotylédons épanouis) et 20–25 j (2 à 3 feuilles). L'examen de la mortalité embryonnaire, du développement larvaire et du poids des larves de 5è stade n'a permis de déceler aucune manifestation d'antibiose sur les différentes variétés.Les préférences pour les lieux de ponte et d'alimentation ont été examinées avec des expériences avec des ou sans choix. Aucune variété n'a été plus rejetée que BAT 41 à 7 et 20–25 j pour l'alimentation. Par contre avec un choix libre, EMP 89 et EMP 97 ont reçu moins de pontes à 7 j que les autres variétés. A 25 j, EMP 89, EMP 94 et EMP 97 portaient moins de larves que BAT 41, EMP 81 ou EMP 82. Cette dernière cependant en l'absence de choix portait moins d'oeufs que BAT 41. L'antixénose de la ponte semble croître avec le développement de la plante pour EMP 89 et EMP 94, bien que la résistance à la ponte ait été plus stable aux fortes populations de E. kraemeri avec EMP 94 que EMP 89.Les résultats en champs, semblables à ceux des serres, ont suggéré que EMP 81 ne présente que la tolérance comme moyen de résistance à E. kraemeri tandis que EMP 89, EMP 94, EMP 97 et EMP 82 n'étaient pas préférentiellement choisis pour la ponte.
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11.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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12.
Juvenile praying mantids are faced with a wide variety of prey types, including physiologically harmful ones. How they respond to these prey, behaviorally and physiologically, is examined in this study. By adapting a technique developed by Blau et al. (1978) for herbivorous insects, we determined the deterrence and toxicity of unpalatable prey. Artificial diets containing different percentages of cardenolide-containing prey were offered to third instar juveniles. When fed diets containing small proportions of unpalatable milkweed bugs (Oncopeltus fasciatus Dallas), juvenile mantids (Tenodera sinensis Saussure) showed a slight decrease in consumption and growth. In contrast, with an intermediate proportion of milkweed bugs in the diet, feeding was not inhibited and, correspondingly, a marked reduction in growth rate occurred. Yet higher proportions of milkweed bugs in the diet acted primarily as a feeding deterrent. Mantids from different egg cases responded differently to the same range of milkweed bug diets. This variation was evident both in acceptance of the novel diet and in relative consumption rates.
Résumé De jeunes mantes ont été mises en présence d'une grande diversité de proies, y compris certaines physiologiquement nocives. La pénurie alimentaire peut être sévère dans la nature pour les jeunes mantes (Hurd & Rathet, 1986), et par conséquent, elles peuvent attaquer la plupart des proies rencontrées. Nous avons examiné comment les mantes réagissent éthologiquement et physiologiquement aux proies toxiques. A partir de la technique utilisée par Blau & al (1978) pour des insectes herbivores, nous avons examiné l'effet dissuasif et la toxicité de proies au goût désagréable. Des régimes artificiels avec différents pourcentages de proies contenant des cardénolides ont été proposés à des juvéniles de stade 3. Les courbes de l'efficacité de la croissance (taux de croissance relative en fonction du taux de consommation relative) pour différents lots traités ont été comparées à une courbe de référence (régime artificiel témoin ne contenant pas de cardénolides) en accord avec Blau et al. (1978). Les courbes significativement plus basses que la courbe de référence indiquent une efficacité de croissance inférieure et ainsi un effet toxique. Les individus de ces groupes ont consommé autant que les témoins, mais leur croissance a été inférieure. A l'opposé, quand les proies contenant des cardénolides étaient répulsives, la distribution de RGR/RCR coïncide avec la courbe de référence, mais montre des valeurs de RCR plus faibles. Ainsi les réponses des mantes indiquent les propriétés dissuasives ou toxiques de ces régimes.Quand elles consommaient des régimes contenant de faibles proportions de Oncopeltus fasciatus Dallas au goût désagréable, les mantes juvéniles, Tenodera sinensis Saussure ont présenté une légère diminution de la consommation et de la croissance. A l'opposé, avec une proportion intermédiaire de O. fasciatus dans le régime, la consommation n'a pas été inhibée et une réduction marquée du taux de croissance a été observée. De plus, il y a eu un effet compensateur des concentrations intermédiaires de O. fasciatus dans le régime alimentaire avec augmentation de la consommation, lorsque cette dernière n'est pas fortement inhibée et que l'on observe un effet immédiat sur la croissance. De plus fortes proportions de O. fasciatus dans le régime alimentaire agissent d'abord comme répulsif. Les mantes de différentes oothèques réagissent différemment, tant en ce qui concerne l'acceptation que les taux de consommation à la même gamme de régimes contenant O. fasciatus. Une des 3 oothèques acceptait deux fois moins le nouveau régime que les deux autres oothèques; 2 des 3 oothèques ont présenté des taux de consommation respectivement de la moitié et du dixième de la troisième oothèque.
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13.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

14.
The responses of male and female Glossina pallidipes Austen to a visual target were recorded in a slow-speed wind tunnel, using a video system. Addition of ox odour or carbon dioxide at an equivalent concentration to the airstream resulted in an increase in flight activity and a marked increase in flies alighting on the visual target. In the absence of ox odour flights were characterised by a number of collisions with the walls and ceiling of the cage used to retain the flies, whereas in the presence of ox odour the flies circled around the centre of the cage avoiding the edges. Removal of the visual target did not alter this response. The results are discussed in the light of field observations on the behaviour of G. pallidipes around baited targets. When flies were observed in groups, mutual disturbance increased the activity during control periods thus masking the activating effect of ox odour. The activity of individual flies occurred in bursts (22.1 s mean duration) consisting of a number of flights (3.3 s mean duration) and longer periods of inactivity (85.8 s mean duration). The burst lenght did not change when ox odour was added to the airstream but the number of flights per burst increased. These results are discussed in relation to the random dispersal theory of tsetse populations.
Résumé Les réactions de G. pallidipes mâles et femelles, à l'odeur de vache, au gaz carbonique et à des stimulations visuelles ont été enregittrées sur un système vidéo, lors d'expériences dans un tunnel à vent à faible vitesse. Les adultes ont été mis à jeûner pendant 3 jours après leur premier repas, avant d'être introduits à l'intérieur du tunnel à vent dans une cage en fil nylon, conçue pour maintenir les mouches dans le champ de la caméra. Dans les premières expériences, 10 mouches ont été observées simultanément. L'introduction d'odeur de vache ou de CO2 n'a augmenté l'activité d'aucun des deux sexes, mais a brutalement accru le nombre de vols s'achevant sur une cible mate noire. Une étude plus précise et continue pendant 60 minutes, de groupes de 5 mâles et de 5 femelles, a révélé que les envols n'étaient pas indépendants et que les perturbations mutuelles avaient masqué l'action stimulante de l'odeur de vache et du CO2. Pour surmonter le problème des perturbations mutuelles, les mouches ont été observées individuellement. Mâles et femelles ont répondu par une augmentation de l'activité de vol à l'introduction d'odeur de vache dans le courant d'air. Les mâles ne se sont posés sur les cibles que dans les minutes ayant suivi l'addition d'odeur de vache, tandis que les femelles se sont posées tout le long de l'expérience, le nombre d'atterrissages s'étant accru significativement avec l'addition d'odeur de vache. L'odeur de vache a modifié le type de vol, passant du vol au hasard entraînant de nombreuses collisions avec les parois et le plafond de la cage, à un vol plus direct provoquant le tournoiement des mouches dans la cage. Par ailleurs, ce comportement a subsisté après le retrait des cibles mates noires de la cage. On peut en conclure que l'odeur de vache active les femelles et augmente la perception visuelle du paysage. L'activité de G. pallidipes avait lieu avec de brêves poussées (durée moyenne 22,1 secondes) de nombreux vols, suivies de périodes d'inactivité plus longues (durée moyenne 85,8 secondes). La durée moyenne d'un vol était de 3,3 s. Partant de ces données et d'une vitesse de vol estimée à 5,0 m/s, la longeur d'un vol élémentaire pour une dispersion théoriquement au hasard, est 16,5 m. La durée de la poussée d'activité n'a pas changé avec l'introduction d'odeur de vache, mais le nombre de vols par poussée a augmenté, et bien qu'il ait été impossible de comparer la durée des périodes de repos avec et sans odeur, des expériences précédentes suggèrent qu'elles devraient diminuer en présence d'odeur.
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15.
The length of the time young gypsy moth, Lymantria dispar L. (Lepidoptera: Lymantriidae), larvae remain in litter after failing from trees would help in understanding the impact of predation by ants, as ants appear to be important predators of gypsy moths only in litter. To obtain information on caterpillar litter residence times, visual activity of larvae was investigated in the laboratory by presenting them with vertical dark silhouettes of various widths in a 1 m wide cylindrical arena. Their limit of angular resolution was about 1°. This value helped to determine distances to trees caterpillars could be expected to orient toward from randomly-located points in a forest. These data were used with results on litter crawling speed of instars 1, 2, and 3 in a simulation model that generated litter residence times averaging serveral hours. By combining results with a previously-developed model of ant predation in forest litter, it was estimated that about half of unfed first instars falling into the litter would survive, whereas only about 10% of 2nd and 3rd instars would. The implications these results have for control of the gypsy moth are discussed.
Résumé La prédation par les fourmis du genre Formica spp. a une influence importante sur les premiers stades de L. dispar (Lepido., Lymantriidae) en Amérique du Nord. La durée du temps passé dans la litière par les jeunes chenilles après être tombées des arbres doit permettre de comprendre l'impact de la prédation par les fourmis. Pour connaître le temps de séjour des chenilles dans la litière, l'acuité visuelle des chenilles a été examinée au laboratoire en leur présentant des silhouettes noires verticales de différentes largeurs dans une arène circulaire de 1 m de diamètre. La limite de leur angle de résolution était d'environ 1°. Cette valeur a été utilisée pour déterminer les distances (jusqu'à 5 m) quelles que soient les orientations dans la forêt, d'arbres supposés susceptibles d'orienter les chenilles. Les arbres aux silhouettes acceptables étaient distribués uniformément entre 1 et 5 m.Les vitesses de déplacement dans la litière des stades 1, 2, et 3 ont été mesurées par observation directe dans la forêt (elles variaient de 0.9 à 1,54 cm/min). La distance des arbres et la vitesse de déplacement on servi à construire un modèle de simulation qui a donné un temps moyen de séjour de plusieurs heures. En combinant ces résultats avec un modèle précédemment publié de la prédation par les fourmis dans la litière de la forêt, qui utilisait le temps de contact des chenilles avec les fourmis et les taux de captures victorieuses pour estimer la mortalité, nous avons déterminé que la moitié environ des chenilles non alimentées de premier stade tombées dans la litière pourraient survivre, tandis que la survie pour le second et le troisième stade ne serait que de 10%. La discussion porte sur l'importance de ces résultats dans la lutte contre L. dispar.
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16.
The hardness (i.e. resistance to penetration) of water-saturated polyporus and of various plant structures, determined by a 0.254 mm diameter needle-penetrometer, ranged from 12–50 and 11–112 g/mm respectively. The isolated mandibular stylets of three species of Homoptera (Typhlocyba rosae, Philaenus spumarius, Macropsis fuscula) possessed tapered but non-curved apices while the maxillaries were incurved to varying extents: this condition was reversed in two Heteroptera (Orthotylus ochrotrichus, Tingis cardui) where the mandibulars were incurved and the maxillaries straight. Insertion of the isolated stylets into wet polyporus produced curved paths closely related to the stylet structure with the average radius of curvature of the path decreasing by half in the hard (50 g/mm) compared with the soft (12 g/mm) polyporus. These results are related to published information on the stylet paths of these and related insects when they are feeding. Directional control of the stylets in plant tissue is considered to be primarily a function of the mandibular stylets in the Heteroptera and of the maxillaries in the Homoptera, for species in which the maxillary stylets are independently-moving.
Résumé La dureté (c'est-à-dire la résistance à la pénétration) de petits morceaux de polypore saturés d'eau est évaluée d'après la force nécessaire pour assurer l'enfoncement d'une aiguille d'un diamètre de 0,254 mm; celle-ci est comprise entre 12 et 50 g/mm. La dureté moyenne ainsi établie est évidemment plus grande que celle obtenue avec une aiguille de 0.142 mm; par ailleurs, si le polypore est remouillé, après avoir été séché, il ne montre aucun changement significatif de sa dureté; celle-ci est inversement proportionnelle à la teneur en eau.La dureté de divers organes des plantes, déterminée avec une aiguille de 0,254 mm, varie de 11,3 g/mm (nervure principale d'une feuille de tabac) à 112,2 g/mm (tige de chèvrefeuille), bien que certains tissus puissent avoir des valeurs moyennes bien au-dessus ou bien audessous de celle de l'organe entier. Comme avec le polypore, il y a une relation inverse entre la dureté et la teneur en eau.L'examen des extrêmités des stylets isolés chez trois espèces d'Homoptères et deux espèces d'Hétéroptères, montre que chez les Homoptères les mandibules sont droites et acérées alors qu'elles sont courbes chez les Hétéroptères; la condition inverse s'observe pour les maxilles. La courbure des stylets qui se voit chez l'insecte vivant quand leur extrémité est prolongée au-dela du faisceau, varie avec les espèces. Pour les maxilles, elle est plus grande chez Typhlocyba rosae que chez Philaenus spumarius et Macropsis fuscula (Homoptères), et pour les mandibules, elle est plus grande chez Tingis cardui que chez Orthylus ochrotrichus (Hétéroptères).Des stylets isolés enfoncés dans du polypore tendre ou dur (12 et 50 g/mm respectivement) suivent des trajets courbes en rapport avec la structure des stylets et avec la dureté du substrat.Des résultats publiés pour d'autres espèces d'Hémiptères au sujet de la pénétration des stylets dans les tissus des plantes sont confrontés aux résultats précédents. On en conclut que les trajets sinueux observés pour les stylets des Hétéroptères (O. ochrotrichus et T. cardui) et de petits Homoptères (Typhlocyba rosae) sont surtout le fait des stylets mandibulaires et maxillaires respectivement présentant une courbure. La courbure moins accentuée des stylets maxillaires de plus grands Homoptères (P. spumarius et M. fuscula) est à rapprocher du trajet plus droit des stylets de ces espèces, avec un changement de direction limité aux tissus vasculaires les plus durs.
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17.
Laboratory experiments tested whether two economically-important sibling species of tephritid fruit flies have evolved distinct egg-laying responses to chemical stimuli on the fruits of their respective hostplants. The egg-laying preferences displayed by apple maggot flies, R. pomonella, and blueberry maggot flies, R. mendax, on artificial fruits treated with apple and blueberry extract paralleled their egg-laying responses to whole apples and blueberries. R. pomonella flies laid more eggs than R. mendax flies in artificial fruits treated with extract from ripe McIntosh apples, and vice versa for artificial fruits treated with extract from ripe Bluehaven blueberries. Furthermore, both species laid more eggs in artificial fruits treated with extract from their respective host fruits than control artificial fruits which were not treated with fruit extract. Prior electroantennogram recordings from R. mendax and R. pomonella flies exposed to volatiles from pentane extracts of apples and blueberries indicate that the antennal sensitivity of both species is selectively tuned to their respective host fruit odors. This differentiation in their olfactory responses to fruit odors could be important in mediating their distinct ovipositional responses to blueberry and apple fruits. Extract from unripe McIntosh apples also elicited egg laying by R. pomonella flies, however, artificial fruits treated with unripe apple extract received 1.9 times fewer eggs than those treated with ripe apple extract. Moreover, the numbers of R. pomonella ovipositor punctures and eggs placed in wax artificial fruits were increased when the artificial fruits were treated with a blend of 7 identified apple esters. Black coloration on these artificial fruits and the presence of apple esters had a synergistic effect on the egg-laying behavior of R. pomonella flies, which caused them to lay substantially more eggs per black fruit than white fruit treated with the same concentration of apple esters. In summary, our results indicate that the egg-laying responses of R. pomonella flies are mediated by the integration of information from fruit chemical and visual cues, and that R. mendax and R. pomonella flies have evolved divergent egg-laying responses to chemical stimuli on the fruits of their respective hostplants. These findings are discussed in the context of other studies on plant compounds which influence the ovipositional behavior of phytophagous Diptera.
Stimuli chimiques des pommes et des myrtilles induisant la ponte des espèces jumelles, Rhagoletis pomonella et R. mendax
Résumé Des fruits artificiels en cire traités avec des extraits de fruits ont provoqué chez les espèces jumelles de R. mendax (Curran) et R. pomonella (Walsh) des réactions de ponte différentes suivant les stimulations chimiques par les fruits. Le comportement de ponte sur des fruits artificiels traités avec des extraits au pentane des myrtilles mûres (Vaccinium corymbosum L.) et de pommes mûres (Malus pumila Miller = Pyrus malus L.), est le même que sur des fruits naturels, ce qui montre que la réponse aux stimulations chimiques provenant du fruit constitue un aspect important de la reconnaissance de l'hôte. R. pomonella pond plus d'ufs que R. mendax sur les fruits artificiels traités à l'extrait de pommes mûres; c'est l'inverse pour les fruits traités aux extraits de myrtille. Les fruits artificiels traités avec des pommes ou des myrtilles provoquent la ponte de R. pomonella, tandis que les myrtilles mûres seules provoquent la ponte de R. mendax. Les extraits de pommes vertes stimulent la ponte de R. pomonella mais elle est alors 2 fois plus faible qu'avec des extraits de pommes mûres. Un mélange de 7 esters identifiés dans l'extrait de pomme induit aussi la ponte de R. pomonella. Le nombre de piqûres de tarièresfli dans les fruits artificiels en cire et le nombre d'ufs par fruit ont été augmentés par addition d'esters de pommes à des fruits blancs ou noirs. La couleur des fruits artificiels influence aussi la réaction de ponte de R. pomonella; la fréquence des piqûres de tarière contenant un uf et le nombre d'ufs par fruit étaient significativement plus élevés sur les fruits noirs que sur les fruits blancs traités avec la même concentration d'esters de pomme. Les fruits artificiels noirs traités avec la concentration la plus stimulante d'esters de pommes ont reçu 2, 3 fois plus d'ufs que les fruits blancs avec les mêmes concentrations en esters. Ces résultats montrent que les esters de pomme et la couleur noire stimulent synergiquement la ponte de R. pomonella sur des fruits artificiels.
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18.
Wild Phaseolus vulgaris L. accessions containing arcelin codominant alleles 1 through 5 were reconfirmed and characterized for resistance to the Mexican bean weevil, Zabrotes subfasciatus (Boheman) (Coleoptera: Bruchidae). Accession G 02771 (arcelin 5) had the highest level of antibiosis resistance, followed by G 12952 (arcelin 4), G 12882 (arcelin 1) and G 12866 (arcelin 2). Arcelin 3 accessions conferred the lowest levels of resistance. As the presence of arcelin is inherited as a single dominant gene, a backcross breeding program has been used to transfer resistance to the Mexican bean weevil from wild beans to bean cultivars using serological techniques to detect the presence of arcelin and replicated insect feeding tests to measure resistance levels. Progeny containing arcelin 1 showed resistance equal or superior to that of the resistant check. Arcelin 2-deerived lines had intermediate levels of resistance while no resistant progenies were obtained from crosses with arcelin 3 and 4 sources. Results are discussed in relation to the deployment of arcelin alleles in bean cultivars.
Valeurs comparées de 5 types d'arcéline dans l'obtention de lignées de Phaseolus vulgaris résistantes à Zabrotes subfasciatus
Résumé La résistance à Zabrotes subfasciatus est associée à la présence d'arcéline, une nouvelle protéine des graines, découverte chez quelques populations de Phaseolus vulgaris. 5 types d'arcéline, hérités comme allèles codominants ont été décrits dans la littérature. Nous avons reprécisé les différentes populations contenant différents types d'arcéline et caractérisé leurs résistances à Z. subfasciatus. La population G 02771, correspondant à l'arcéline 5, présente la résistance la plus élevée par antibiose, suivie de G 12952 (arcéline 4), G 12882 (arcéline 1) et G 12866 (arcéline 2). Les populations contenant l'arcéline 3 présentent le moins de résistance à Z. subfasciatus.Un programme de croisements en retour associé à des tests sérologiques pour déceler la présence d'arcéline chez les descendants jeunes et des expériences répétées d'alimentation par les insectes vec BC2F3 a été réalisé pour transférer la résistance de populations naturelles à des cultivars de haricots. Les lignées, provenant de croisements avec des populations sauvages avec de l'arcéline 1, ont été fortement résistantes à Z. subfasciatus. Les lignées contenant de l'arcéline 2 ont été considérées comme ayant une résistance intermédiaire. Les lignées avec arcélines 3 et 4 étaient sensibles. Les raisons de l'échec du transfert de la résistance élevée des parents contenant de l'arcéline 4, sont inconnues. On a constaté que la concentration de l'arcéline dans les lignées contenant cet allèle était très faible, tandis que la concentration en arcéline 1 restait remarquablement élevée. Les recherches sont poursuivies pour déterminer les raisons de l'absence de transfert de l'arcéline 4 chez les descendants contenant cet allèle. Quoi qu'il en soit, les caractéristiques agronomiques et les qualités des lignées résistantes (codées RAZ) ont été évaluées en vue d'une diffusion pour les programmes nationaux de recherche des pays de basses altitudes intertropicaux ou Zabrotes subfasciatus fait des dégâts importants.
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19.
Electroantennograms (EAGs) were recorded from unmated, laboratory-reared, male and female oriental fruit flies, Dacus dorsalis, in response to a range of between C1 and C12 carbon chain-length saturated and unaturated aliphatic alcohols and aldehydes, most all of which are known host-plant volatiles. Only two of the 35 compounds tested elicited significantly larger EAGs from female than male antennae. For the two functional-group series tested, aldehydes elicited responses greater than or equal to the responses to the alcohols. In general, the unsaturated alcohols did not elicit responses significantly different from the saturated alcohols. However, the unsaturated aldehydes, (E)-2-hexenal and 10-undecenal, elicited larger amplitude EAGs than their saturated analogs. EAGs were significantly greater for a particular carbon chain-length, with responsiveness to primary alcohols peaking at C6 and aldehydes peaking at C7. The (E)-2- monoenic alcohols peaked at C6, while the (E)-3-alcohols plateaued between C5 and C8. The greatest EAG responses of all compounds tested were elicited by the saturated and unsaturated C6 alcohols and aldehydes which are constitutents of the general green-leaf volatile complex that emanates from most plants. The potential adapative benefit of selective sensitivity to green-leaf volatiles is discussed in regards to foraging behaviors of oriental fruit flies.
Résumé Des électroantennogrammes (EAG) ont enregistré les réponses, en élevages de femelles et mâles vierges de Dacus dorsalis, à une gamme de chaînes de carbones de C1 à C12 saturés et non-saturés d'alcools aliphatiques et d'aldéhydes, dont beaucoup sont connus comme substances volatiles des végétaux. Seulement 2 des 35 composés examinés ont provoqué des EAG significativement plus importants chez les femelles que chez les mâles. Pour les séries des deux groupes fonctionnels examinés, les aldéhydes ont provoqué des réponses supérieures ou égales aux alcools. En général, les réponses aux alcools nonsaturés n'étaient pas significativement différentes des réponses aux alcools saturés. Cependant, les aldéhydes non-saturés, (E)-2-hexénal et 10-undécénal, ont induit des EAG de plus grande ampleur que leurs analogues saturés. Les EAG étaient significativement les plus importants pour une chaîne de longueur particulière, la réponse aux alcools primaires culminant en C6 et les aldéhydes en C7. Les alcools monoéniques (E)-2- culminaient en C6, tandis que les alcools (E)-3- étaient étales entre C5 et C8. Les EAG les plus importants ont été obtenus pour tous les composés examinés avec les alcools et aldéhydes en C6 qui appartiennent à l'odeur verte complexe émise par beaucoup de plantes. Le bénéfice adaptatif potentiel de la sensibilité sélective à l'odeur verte des feuilles est examinée en fonction du comportement de prospection de D. dorsalis.
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20.
The feeding behaviour of Nilaparavata lugens was monitored on three rice varieties showing different levels of resistance in the Philippines, using a video-assisted observation method. N. lugens made more frequent, shorter probes on the moderately resistant IR46 and resistant IR62 rice varieties than on the susceptible IR22. Honeydew production was significantly lower on the resistant varieties though insect weight gains in 24 h were similar on IR46 and IR22, both being significantly greater than on the highly resistant variety.Population development, growth index and damage ratings were low on IR62 indicating antibiosis and/or non preference. When IR46 plants were infested as seedlings population increase, growth index and damage ratings were similar to those on the susceptible IR22. When infested at a later stage of plant growth the damage rating showed a moderate level of resistance though some population development was maintained, indicating antibiosis and tolerance. N. lugens started probing less frequently after surface exploration on both resistant varieties than on IR22 suggesting the presence of a resistance factor associated with the surface waxes of these varieties.
Résumé Le comportement alimentaire de Nilaparvata lugens sur variétés de riz, sensible (IR22), partiellement résistante (IR46) et fortement résistante (IR62), a été contrôlé avec une méthode associant la vidéo à l'observation. N. lugens faisait des piqûres plus fréquentes et plus brèves sur IR46 et IR62, que sur la variété sensible. La production de miellat était significativement plus faible sur les variétés résistantes, bien que les gains de poids des insectes aient été les mêmes en 24 h sur IR46 et IR22, les deux étant significativement supérieurs à celui sur IR62.La croissance de la population, l'indice de croissance et le taux de dégâts étaient tous plus faibles sur IR62, ce qui révèle une antibiose et/ou une absence de préférence. Quand la contamination des IR46 a au lieu au stade semis, la croissance de population, l'indice de croissance et le taux de dégâts étaient semblables à ceux de la variété sensible IR22. Quand la contamination avait lieu à un stade ultérieur, le laux de dégâts révélait un niveau modéré de résistance bien qu'une certaine croissance de population se soit maintenue, ce qui révèle antibiose et tolérance.Après exploration de la surface des feuilles des deux variétés résistantes, N. lugens sondait moins fréquemment que sur IR22, ce qui laisse présumer un facteur de résistance associé aux cires superficielles de ces variétés.
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