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1.
Hawkins, A.F.A., Andrianarimisa, A., Rakotonomenjanahary, O.M. & Raminoarisoa, V.M. 2000. Inventaire des oiseaux de la Reserve Naturelle Integrale de Zahamena, Madagascar. Ostrich 71 (1 & 2): 317.

Zahmena est une Reserve Naturelle Integrale de 73 160 ha situé dans le centre-est de Madagascar. Nous y avons visités 4 sites entre 465–1490 m d'altitude. Nous avons trouvé 17 espéces d'oiseaux inconnus jusque là dans là Reserve. Maintenant, un total de 108 espéces d'oiseaux est ainsi recensée dans la Reserve, y compris 36 de 38 espèces limitées aux forêts humides de l 'est de Madagascar. Le site le plus riche, tout au niveau des espèces forêtières qu'au niveau d'espèes menackes, était le site le plus oriental et le plus bas (Namarafana). Les communautkes d'oiseaux étaient diffbrents selon on se situait dans les montagnes ou en basse altitude. Parmi les espbces recensks se trouvaient l'Aigle Sexpentaire de Madagascar Eutriorchis astur et le Newtonie de Fanovana Newtonia fdnovanae, tous deux trouves uniquement dans le site situk a la plus basse altitude.  相似文献   

2.
Huit espèces de Lasioglossum sont inventoriées de Nouvelle-Calédonie. Un nouveau sous-genre cleptoparasite endémique, avec une nouvelle espèce, Lasioglossum (Parachilalictus n. subg. ) neocaledonicum n. sp., est décrit. Les espèces endémiques suivantes du sous-genre Chilalictus sont nouvelles : Lasioglossum (Chilalictus) alticola n. sp., L. (C.) tchambae n. sp. et L. (C.) webbi n. sp. Une nouvelle sous-espèce, Lasioglossum (Chilalictus) polygoni austrocaledonicum n. ssp., est décrite de Nouvelle-Calédonie et d'Australie. Les espèces australiennes L. (Chilalictus) lanarium (Smith 1853) et L. (C.) instabilis (Cockerell 1914) sont découvertes pour la première fois en Nouvelle-Calédonie. Lasioglossum (Parasphecodes) sulthicum (Smith 1853) est la première espèce de ce sous-genre australien signalé en Nouvelle-Calédonie. L’émergence du parasitisme et la spéciation en condition insulaire font l'objet d'une discussion. Le cleptoparasitisme du nouveau sous-genre Parachilalictus n. subg. peut être établi en examinant un ensemble de caractères morphologiques convergents chez les groupes parasites de Halictidae dont les principaux sont la réduction de la brosse collectrice de pollen sur les pattes postérieures et l'aplatissement de la quille du labre. La forte ressemblance de Parachilalictus n. subg. avec les espèces de Chilalictus endémiques de Nouvelle-Calédonie et son absence en Australie suggère une spéciation locale et récente. Les deux nouvelles espèces endémiques décrites dans le sous-genre Chilalictus et dont Parachilalictus n. subg. pourrait avoir émergé ont une distribution montagnarde (L. alticola n. sp. , L. tchambae n. sp.). Dans le complexe L. polygoni (Cockerell 1929), la spéciation s'exprime par la variation de la densité et la force de la ponctuation. A basse altitude et le long de la côte ouest plus sèche, on trouve la sous-espèce typique polygoni. A des altitudes variant de 5 à 1150m, il existe clairement deux autres sous-espèces. La nouvelle sous-espèce austrocaledonica ne se trouve que dans la partie sud de l’île, en milieu ouvert de « maquis » tandis que la sous-espèce delobeli Pauly & Munzinger 2003 a une distribution plus étendue sur les massifs montagneux de la partie est, et a été rencontrée essentiellement le long de pistes forestières en forêt dense humide. Cette dernière sous-espèce habite aussi l'Australie.  相似文献   

3.
Les vingt-quatre espèces actuellement attribuées au genre Megalocoleus sont réexaminées après étude de tous les types disponibles. Les genitalia mâles et femelles apportent des caractères discriminants beaucoup plus fiables que les caractères externes et sont souvent indispensables pour séparer les espèces. Quelques caractères externes se révèlent néanmoins utiles mais ces derniers sont particulièrement difficiles à apprécier sur les spécimens qui ne sont pas en parfait état. Au terme de cette revue, il apparaît que le genre ne pourra être correctement défini qu’après étude de toutes les espèces décrites dans le genre voisin Amblytylus. Les modifications suivantes peuvent être néanmoins proposées dès à présent:– Réhabilitation d’une espèce, Megalocoleus krueperi (Reuter, 1879) bona species; en conséquence, M. satrapes Horváth, 1907 et M. binotatus (Wagner, 1953), auparavant synonymes de M. lunula, deviennent synonymes de M. krueperi (Reuter, 1879). – Mise en synonymie de 8 espèces: M. hungaricus Wagner, 1944 n. syn. de M. naso (Reuter, 1879); M. ocrensis Wagner, 1972 n. syn. de M. exsanguis (Herrich-Schaeffer, 1835); M. bifidus Wagner, 1973 n. syn. et M. fasciatus Wagner, 1969 n. syn. de M. lunula (Fieber, 1861); M. hirsutus Drapolyuk, 1991 n. syn. de M. signoreti (Reuter, 1879); M. confusus Wagner, 1958 n. syn. et M. pericarti Linnavuori, 1970 n. syn. de M. molliculus (Fallén, 1807). – Exclusion du genre Megalocoleus de quatre espèces; trois sont mises en synonymie: M. femoralis (Reuter, 1879), n. syn. de Tinicephalus hortulanus (Meyer-Dür, 1843), M. fumanae Wagner, 1974 n. syn. de Tinicephalus croceus Wagner 1969, M. servadeii Wagner, 1954 n. syn. d’Amblytylus tarsalis Reuter, 1894; une espèce, M. atricornis devient Tinicephalus atricornis (Wagner, 1965) n. comb. Une clé d’identification pratique (en français et en anglais), basée sur des caractères externes, tente de séparer les 14 espèces de Megalocoleus que le genre compte après cette étude.  相似文献   

4.
L'analyse des caractères végétatifs, floraux et palynologiques des échantillons cubains de Cneorum permet de conclure qu'ils appartiennent à L'espèce C. tricoccon L. déjà largement représentée sur le Bassin méditerranéen.

Vegetative, floral and palynological characters of the Cuban specimens of Cneorum suggest that they belong to the species C. tricoccon L. widely dispersed in the Mediterranean basin.  相似文献   

5.
6.
7.
Les vingt-deux espèces actuellement répertoriées dans le genre paléarctique Amblytylus Fieber ont été examinées. Le genre est redéfini principalement d’après les caractères des genitalia mâles. Dix espèces sont maintenues dans le genre: A. albidus (Hahn 1834), A. amoenus Wagner 1958, A. arnoldiorum Kerzhner 1977, A. brevicollis Fieber 1858, A. concolor Jakovlev 1877, A. crassicornis Wagner 1964, A. jani Fieber 1858, A. montanus Wagner 1974, A. nasutus (Kirschbaum 1856), A. peitho Linnavuori 1997; toutefois, A. amoenus est considérée comme incertae sedis et A. jani comme nomen dubium. Deux espèces sont transférées dans le genre Megalocoleus Reuter: Megalocoleus delicatus (Perris 1857) n. comb., Megalocoleus tarsalis (Reuter 1894) n. comb. Dix espèces sont mises en synonymie; soit avec une espèce d’Amblytylus: A. similis Wagner 1971 n. syn. de A. albidus (Hahn 1834); A. gregarius Linnavuori 1961 n. syn. de A. brevicollis Fieber 1868; A. vittiger Reuter 1899 n. syn., A. longicornis Wagner 1953 n. syn. et A. eckerleini Wagner 1964 n. syn. de A. concolor Jakovlev 1877; soit avec une espèce de Megalocoleus: A. erectus Wagner 1971 n. syn. de M. longirostris (Fieber 1861); A. glaucicollis Kerzhner 1977 n. syn. de M. exanguis (Herrich-Schaeffer 1835); A. macedonicus Wagner 1956 n. syn. de M. naso (Reuter 1879) n. comb.; A. luridus Hoberlandt 1961 n. syn. et A. scutellaris Horvath 1905 n. syn. de M. delicatus (Perris 1857) n. comb. Un lectotype est désigné pour quatre espèces (Lopus nasutus Kirshbaum, Amblytylus vanduzeei Blatchey, Amblytylus scutellaris Horváth, Capsus delicatus Perris). Une clé d’identification pratique bilingue (français et anglais) basée surtout sur des caractères externes tente de séparer les espèces d’Amblytylus. Une clé révisée des espèces de Megalocoleus est également fournie. Les deux genres Amblytylus et Megalocoleus, très semblables par l’habitus, restent difficiles à définir. Seules les plantes-hôtes - des Poaceae chez les Amblytylus, des Asteraceae chez les Megalocoleus - et dans une moindre mesure la vesica pourvue de deux processus apicaux (Amblytylus) ou d’un seul (Megalocoleus) semble indiquer l’existence de deux groupes d’espèces distincts.  相似文献   

8.
Un des problèmes taxonomiques les plus compliqués concernant les Trichoptères européens est celui de la plupart des espèces ibériques et pyrénéennes du genre Micrasema, habitants caractéristiques du Rhitral, ces espèces restant à ce jour imparfaitement connues et difficiles à déterminer. L´étude d’un grand nombre d´exemplaires (mâles) a permis de trouver une solution pour la plupart des problèmes. M. servatum (Navás 1918), distribuée dans les parties N.O. de la Péninsule; M. cenerentola Schmid 1952, connue du Centre et du N.O. de l´Espagne; et M. salardum Schmid 1952, connue des Pyrénées Orientales espagnoles, sont des espèces distinctes. M. gabusi Schmid 1952 décrite de la Sierra Nevada, est un synonyme de M. longulum McLachlan 1876, une espèce largement distribuée en Espagne. M. difficile Mosely 1933, décrite des Pyrénées françaises, est un synonyme de M. vestitum Navás 1918, espèce endémique des Pyrénées Centrales et Occidentales (France et Espagne). L´identité de M. moestum (Hagen 1868) pose un problème particulier : il est possible que sous ce nom on désigne actuellement une paire d´espèces cryptiques à l´état adulte, qu´il est pratiquement impossible de distinguer par leurs genitalia, mais dont les larves sont bien distinctes.  相似文献   

9.
Les utérus sont prélevés par dissection des femelles âgées soit de 2 jours (P. caudata), soit de 2 à 4 jours (L. diatraeae); ils contiennent alors des oeufs qui viennent juste d'être fécondés. Ces utérus sont placés aseptiquement sur des milieux de culture pour observer l'embryogénèse éventuelle des oeufs. Un milieu physiologique simple (Y) et un milieu nutritif complet (M) sont testés sous deux formes, liquide ou gélifiée avec 0,5% d'agarose. Chez les deux espèces le développement embryonnaire complet a pu être observé in vitro. Les meilleurs résultats, qui fournissent le même pourcentage de larves qu'in vivo, sont constatés avec le milieu M agarosé. Sur les milieux liquides le rendement en larves est inférieur de moitié environ par rapport aux milieux gélifiés correspondants. Avec les milieux simples Y, mème si un fort pourcentage de larves est obtenu (Y agarosé), celes-ci meurent rapidement. Seul le milieu M permet d'obtenir des larves d'excellente viabilité et aptes à se développer. La composition du milieu, mais aussi les possibilités respiratoires offertes aux oeufs agissent sur l'embryogénése.  相似文献   

10.
Un nouvel hybride de digitale est décrit, d'Anilion, dans la chaîne du Pilion (Pélion), dans le nord de la Grèce: le Digitalis × pelia. Les parents sont les D. graeca Ivanina et D. grandiflora Miller. C'est la première mention de cet hybride, encore qu'il ne semble pas rare dans les régions où les deux espèces parentes voisinent. On trouve dans la chaîne du Pilion au sens large une autre espèce de digitale: le D. lanata2); cette espèce ne peut entrer en ligne de compte comme parent de notre hybride. L'hybridation a probablement été déclanchée par des modifications de l'environnement.  相似文献   

11.
Rakotonomenjanahary, M.O. & Hawkins, A.F.A. 2000. Le Projet ‘Zicoma’ ou ‘zones d'importance pour la conservation des oiseaux a Madagascar’. Ostrich 71 (1 & 2): 168–171.

Madagascar a seulement 277 espèces d'oiseau recensées jusqu'à maintenant. Mais le niveau d'endémisme est très élevé avec 110 espèces endéemiques, 37 genres endémiques et 5 familles endémiques. Selon les critères internationaux, 45 eqèces sont menacées globalement et 9 autres espèces sont des oiseaux à territoire restreint. Au cours d'un atelier, 37 ornithologues basés à Madagascar ont identifyé 53 sites qui sont considérés comme ZICO confirmé et 52 autres ZICO provisoires. ASITY, la première association pour les ornithologues Malagasy, était constituée pendant I'atelier. Le programme ZICOMA commencera en 1997 avec la formation technique des chercheurs Malagasy pour faire des missions sur le terrain des ZICO nonfirmés.

Rakotonomenjanahary, M.O. & Hawkins, A.F.A. 2000. The Important Bird Areas programme in Madagascar. Ostrich 71 (1 & 2): 168–171.

Madagascar does not have a rich avifauna, with 277 species recorded to date. However, the level of endemism is very high: 110 endemic species, 37 endemic genera, and 5 endemic families. Following international criteria, 45 species are globally threatened and a further 9 qualify as restricted area species. A workshop involving 37 Madagascar-based ornithologists identified 53 confirmed IBA's, and a further 52 possible IBA's. ASITY, the first Malagasy ornithological society, was founded during this meeting. The Zicoma project, commencing in 1997, will focus on the assessment of the unconfirmed IBA sites, and on the training of local personnel.  相似文献   

12.
Résumé L'effet des destruxines A, B et E dans la pathogénèse deMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sor. a été étudié chez les larves du 3e stade des scarabéidesCetonia aurata L. etOryctes rhinoceros L. L'expérimentation a consisté à essayer de modifier, en injectant des destruxines, la sensibilité des larves à un inoculum fongique (spécifique ou non spécifique) introduit dans la cavité générale. Les essais de toxicité des destruxines à l'égard des 2 espèces-?tes montrent une détoxification rapide chez les larves deC. aurata et, à l'opposé, un effet cumulatif des injections répétées chez les larves deO. rhinoceros. Dans les éssais pathologiques sur l'espèceC. aurata, l'évolution de la maladie chez les larves contaminées par l'inoculum spécifiqueM.a. 32 n'est pas modifiée par une injection unique de 2–6,6 ou 20 μg de destruxines par g d'insecte ou par 4 injections fractionnées de 2 μg/g à 2 j d'intervalle. En revanche, dans le cas du germe non spécifique,M.a. 51, on observe un effet sensibilisant tardif. Chez les larves deO. rhinoceros, les 3 injections fractionnées de destruxines à la dose de 1 μg/g stimulent l'activité de la souche spécifiqueM.a. 51, puisque le temps létal 50 % d'un inoculum de 10 spores/larve est ramené de 11,2 j à 6,7 j par l'addition des toxines. L'effet des destruxines dans la pathogénèse deM. anisopliae semble donc lié à l'aptitude de l'espèce-h?te à détoxifier ces substances. Ce r?le dépend aussi de la capacité du germe à produirein situ des mycotoxines comme le suggère la sensibilisation tardive des larves deC. aurata au pathotype non spécifique.
Summary The presence of mycotoxins like destruxins in insects infected by the entomopathogenic hyphomyceteMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sor. is well established. In the case of the scarabeid larvae ofCetonia aurata L. and ofOryctes rhinoceros L. contaminated by this fungus, a cytotoxic effect on hemocytes was demonstrated in previous studies. Thus, the role of purified destruxins A, B and E in modifiying the pathogenicity of 2 isolates ofM. anisopliae in these insects was studied. Single and split inoculations of destruxins, either alone or in combination with fungal spore injection were experimented. The difference in action of destruxins applied in split doses, in these 2 host species indicated a rapid detoxification in larvae ofC. aurata as against a cumulative effect inO. riinoceros. The results indicated that the development of the disease inC. aurata larvae, inoculated with the specific strainM.a 32 was notmodified by combined injection of a single dose (2; 6.6 and 20 μg/g of larval weight) or by split dose applications (4 injections of 2 μg/g at 2 days interval). With the non specific strainM.a. 51, a high sensitivity of larvae was seen at a later period after the treatment. InIO. rhinoceros larvae, 3 split applications of destruxins at a dose of 1 μg/g stimulated the activity of the specific strainM.a. 51, since LT 50, which was 11.2 days at a dose of 10 conidia/larva, has been found to be reduced to 6.7 days by addition of the toxins. Thus, the role of desdtruxins in influencing the pathogenicity ofM. anisopliae depends on: (1) the host species and their ability to detoxify destruxins, and (2) the pathotypes and their capacity to produce toxins in their specific or non specific host, as indicated in the case ofC. aurata larvae.
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13.
Mougin, J.-L., Granadeiro, J. P., Jouanin, C. & Roux, F. 1999. Philopatry and faithfulness to nest site in Cory's Shearwaters Calonectris diomedea at Selvagem Grande. Ostrich 70 (3&4): 229–232.

Nearly fledged Cory's Shearwater Calonectris diomedea chicks at Selvagem Grande occasionally desert their nest sites during the night, but generally return before dawn. The temporary use of other nest sites is rare and lasts less than two days. Almost all chicks from Selvagem Grande return to the island for their first breeding attempt; very few breed at islands outside the archipelago. On Selvagem Grande, almost half the males return to their native colony whereas more than 90% of females recruit to other colonies. Inter-colony movements sometimes exceed 1 km, but, if they return to their native colony, both sexes settle within 20 m of their natal site. From the second breeding attempt onwards, most birds of both sexes are faithful to the nest site. On average, less than 20% of birds desert their former nest site each year, with a shift of about 4 m only. Most nest shifts follow a breeding failure or a temporary respite from breeding, and are accompanied by a switch in partners.

Mougin, J.-L., Granadeiro, J. P. Jouanin, C. & Roux, F. 1999. Philopatrie et fidélité au nid chez le Puffin cendré Calonectris diomedea de Selvagem Grande. Ostrich 70 (3&4): 229–232.

Le poussin en fin de croissance du Puffin cendré Calonectris diomedea de Selvagem Grande déserte parfois son nid pendant la nuit, mais y revient généralement avant le jour. L'utilisation temporaire d'un autre site de nid est rare et dure moins de deux jours. Les jeunes adultes nés à Selvagem Grande reviennent presque toujours nicher sur l'île et extrêmement rarement en dehors de l'archipel. A Selvagem Grande, près de la moitié des mâles reviennent à leur colonie de naissance, mais moins de 10% des femelles. Le déplacement est parfois supérieur à 1 km mais, s'ils reviennent à leur colonie natale, les deux sexes s'établissent à moins de 20 m du nid où ils sont nés. A partir de leur deuxième reproduction, les deux sexes sont fidèles à leur nid. Moins de 20% des oiseaux changent de nid d'une année à l'autre, avec un déplacement de 4 m seulement, le plus souvent à la suite d'un échec ou d'une interruption temporaire de la reproduction, ce déplacement étant le plus souvent accompagne d'un changement de partenaire.  相似文献   

14.
Resumé

Corrélation entre le nombre des chromosomes et les dimensions des microscopores dans la taxonomie botanique. spectre génétique pollinique.

Le concept de proportion domine dans la nature vivante. L'intéraction du noyau et du cytoplasme détermine sur le volume de ce dernier et en conséquence sur la cellule à l'état jeune, une régulation des dimensions cellulaires.

Non seulement la forme des divers pollens, mais aussi leurs dimensions (en tenant compte des fluctuation possibles), constituent des caractères qui peuvent avoir une importance taxonomique, tant par eux memes que par le fait d'etre mis en rapport avec les nombres des chromosomes.

On a déjà constaté que le numéro diploïde 24 est le plus fréquent, soit dans le règne animal que dans le régne végétal et que les numéros diploïdes compris entre 12 et 32 sont plus fréquents dans les plantes, que les autres numéros. Corrélativement l'A. a constaté que le diamètre équatorial le plus fréquent dans les pollens est celui de 23–25 microns; suivent, avec des fréquences décroissantes, les mesures 16–14–18–32–12 etc. microns.

De même, tandis que les numéros diploïdes éleves (2a = 100–200) sont très rares dans les plantes, les espéces avec des pollens à grains volumineux sont elles aussi en nombre très réduit.

Parmi les Convolvulacées, au nombre chromosomique diploïde 2n = 14 de Cuscuta europaea correspondent des microspores de 18–25 μ à 2n = 50 de Convolvulus arvensis, microspores de 50–70 μ, tandis que les Ipomées ayant un nombre élevé de chromosomes (2n = 60, 2n = 90 ca.) ont des grains de pollen d'un diamètre de 150–210 microns. Parmi les Nyctaginacées, le genre Bougainvillea (2n=20) a des pollens de petites dimensions dont le diamètre equatorial est de 30–40 microns, tandis que le genre Mirabilis (2n = 58) a des graines de pollens de grandes dimensions, de 160–226 microns de diamètre.

Bien d'autres exemples de corrélation semblables, appartenant à plusieurs genres et families de plantes, peuvent être cités, sur la base de l'examen des pollens de plus de 1000 espèces.

Si des espèces de proche parenté et semblables au point de vue de la taxonomie, diffèrent entre elles par le nombre des chromosomes respectifs, elles diffèrent aussi quant aux dimensions des pollens.

Le cardinal diamétrique equatorial des grains de pollens des espèces vraisemblablement élémentaires et de leurs variétés est souvent très proche du cardinal chromosomique diploïde des entités respectives; il est quelquefois un des ses multiples, très rarement un sous-multiple.

Tandis que la proportionalité entre les dimensions des grains de pollen et le nombre des chromosomes est fréquente dans les espèce élémentaires, elle nè se rencontre pas dans beaucoup d'autre cas, à cause de l'interférence de la polyploïdie. Dans les Cucurbitacées, aux pollens avec grains de 20 et 22 μ (Bryonia dioica, Momordica charantia) correspondent 2n = 20 et 2n = 22 respectivement; tandis que dans les espèces à gros grains de pollens (Cucurbita pepo: 170 μ; Cucumis sativus: 72–76 μ) ont a trouvé jusqu'à present: 2n = 40,42 (80) et 2n = 14,28 respectivement.

Une des manifestations de la polyploïdie, est la présence dans les pollens de macro-grains, de grains abortifs, de sillons et de pores aberrants, en somme de grains atypiques par leur forme et parfois aussi par leur coleur, présence qui, outre à indiquer l'origine hybride, peut, dans certains cas, inciter à faire des recherches sur les parents supposés et à tirer un plus grand parti de ces caractères.

Dans bien de cas il est possible de dessiner les spectre des pourcentages selon lesquels les différentes entités on concouru à la constituion de la variété ou de la cultivar.

L'A. propose d'appeler un tel diagramme: spectre génétique pollinique. [Agrave] le définir concourent aussi bien les différences morphologiques et microchimiques, que le pourcentage des grains physiologiquement inactifs (abortifs).

La biométrie est très utile dans l'interprétation des préparations microscopiques hétérogènes des allopolyploïdes.  相似文献   

15.
L'étude des pelotes de pollen et de nectar récoltés par les abeilles (Apis mellifera Var. mellifera), porte sur deux ruches d'un rucher situé dans une plantation d'Actinidia deliciosa Chev., dans la Province de Pontevedra (N. O. de l'Espagne). Les pelotes de pollen ont été recueillies dans des trappes à pollen pendant la période de floraison d'Actinidia deliciosa Chev. Des prélèvements de pollen ont également été effectués dans les jabots et les intestins des abeilles capturées a l'entrée des ruches. L'étude de tous ces échantillons a permis d'établir divers spectres palynologiques. Simultanément, une analyse de la concentration du pollen de cette espèce libéré dans l'atmosphère a été entreprise.

Les taxons les plus fréquemment récoltés par les abeilles sont: Taraxacum officinale Weber, Cistus psilosepalus Sweet, et des Crucifères avec un type pollinique affine de celui de Sinapis sp. Le pollen d'Actinidia deliciosa Chev. n'apparaît en quantité élevée dans l'atmosphère que pendant la période de pollinisation. Eucalyptus globulus Labill., Castanea sativa Miller et Taraxacum officinale Weber sont les principales sources nectarifères recherchées par les abeilles.

In order to carry out a study of pollen and nectar collected by bees (Apis mellifera Var. mellifera) we have choosen two hives from a apiary situated in a culture of Actinidia deliciosa Chev. in the province of Pontevedra (NW Spain). The pollen loads were collected during the flowering period, the intestine content and the honey sac of the bees were analysed from a palynological point of view. At the same time, a comparative analysis of the pollen content of this specimen in the atmosphere was made. The most important taxa in the pollen collected by bees are: Taraxacum officinale Weber, Cistus psilosepalus Sweet, and Sinapis sp. During the pollinization period the pollen of Actinidia deliciosa Chev. appears in high quantity in the air. The analysis of honey sac and intestine show that Eucalyptus globulus Labill., Castanea sativa Miller and Taraxacum officinale Weber are the principle nectar sources.  相似文献   

16.
Dans la nature, les ♀♀ d'A. obtectus pondent dans les gousses sèches de P. vulgaris, par des fentes de déhiscence, ou après avoir pratiqué avec leurs mandibules une perforation sur une suture de la gousse (généralement la suture ventrale). Le taux de contamination est déjà très fort (0.40) après seulement 2 à 3 jours d'exposition au stade phénologique propice à la ponte. Ce taux augmente avec la durée d'exposition mais se stabilise assez vite pour des durées supérieures à 5 jours. Par contre, le nombre d'?ufs déposés par gousse contaminée augmente régulièrement en fonction de la durée d'exposition, les ♀♀ concentrant leur ponte dans certaines gousses en utilisant la même perforation. Ces résultats permettent de discuter les hypothèses émises à la suite de travaux ayant mis en évidence, au laboratoire, l'existence, chez A. obtectus, de «phéromones répulsives» de marquage du lieu de ponte. A. obtectus — P. vulgaris — Oviposition behaviour— Eggs distribution. A. obtectusP. vulgaris — comportement de ponte — distribution des pontes. Nous remercions le Professeur V. Labeyrie pour son aide critique.  相似文献   

17.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

18.
In Loimosina, during spermiogenesis, the zone of differentiation of the spermatid contains two centrioles continued as two 9 +‘1’axonemes. One of the axonemes lengthens and will become the principal axoneme of the spermatozoon. The other axoneme is as long as the first one at the beginning of spermiogenesis, but is shorter in the mature sperm cell. The spermatozoon consists of several regions: (a) at the anterior end, the centriolar derivative of the principal axoneme; (b) a short region which shows cortical microtubules coinciding with external ornamentations; (c) a long uniflagellate region, with mitochondrion; (d) a biflagellate region containing the anterior slender part of the nucleus; (e) the posterior part of the nucleus, with no accompanying cytoplasmic organelles. Spermiogenesis and sperm structure in Loimosina differ from what is known in all other described monogeneans, excepting the monocotylid Heterocofyle to which they show close resemblances. However, the alteration of the second axoneme is more complete in Heterocofyle than in Loimosina. Comparative study of spermiogenesis and sperm ultrastructure thus shows an interesting coincidence with classical phylogenies of the monogeneans, in which the families Loimoidae and Monocotylidae are closely related. Chez Loimosina, pendant la spermiogenèse, la zone de différenciation de la spermatide contient deux centrioles prolongés par deux axonemes de type 9 +‘1′. L'un des axonemes s'allonge et deviendra l'axonème principal du spermatozoïde mûr. Le deuxième axontme est aussi long que le premier au début de la spermiogenèse, mais il est plus court dans le spermatozoïde mûr. Le spermatozoïde comprend: (a) à l'avant, le dérivé centriolaire de l'axonème principal; (b) une courte région contenant quelques microtubules corticaw longitudinaux coincidant avec des omementations extramembranaires; (c) une longue région miflagellée avec mitochondrie; (d) une région biflagellée contenant La partie antérieure effilée du noyau; (e) la région postérieure du noyau, sans organites cytoplasmiques accompagnateurs. La spermiogenèse et la structure du spermatozoïde de Loimosina sont différentes de ce qui est connu chez tous les autres Monogènes décrits, excepté le Monocotylidae Heterocofyle auquel elles ressemblent beaucoup. Toutefois, l'altération du deuxième axonème est moins complète chez Loimosina que chez Heterocotyle. L'étude comparée des spermatozoïdes et des spermiogenèses montre une bonne coincidence avec les phylogenèses classiques, dans lesquelles les familles Loimoidae et Monocotylidae sont proches.  相似文献   

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C. A. Dedryver 《BioControl》1981,26(4):381-393
Résumé L'étude comparée de l'action limitative de 3 espèces d'Entomophthoraceae sur les pucerons des céréales a été effectuée dans l'Ouest de la France (Bassin de Rennes essentiellement) de 1975 à 1978. La quasi-totalité des cas de mycose sont dus àErynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Conidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaud. & Keller etEntomophthora planchoniana Cornu. L'analyse de la répartition des différentesEntomophthoraceae au cours de l'année montre queE. neoaphidis est l'espèce qui a la plus grande période d'activité (elle se manifeste pendant pratiquement toute l'année sur les populations anholocycliques) et qui infecte, à un moment donné, le plus de pucerons.C. obscurus dispara?t en général en hiver après la formation abondante de spores durables et ne réappara?t qu'au cours du printemps. D'une année sur l'autre, à un instant donné,C. obscurus est rarement déterminé sur plus de 25% du total des pucerons mycosés récoltés. Enfin,E. planchoniana a une période d'activité essentiellement estivale qui peut se prolonger en automne sur les pucerons pullulant sur ma?s. C'est sur ces derniers qu'elle semble la plus efficace. Sur blé d'hiver, l'action apparente deE. neoaphidis et deC. obscurus n'est pas la même selon l'espèce de pucerons et la position de ceux-ci sur la plante:E. neoaphidis est encore plus pathogène pourM. dirhodum que pourS. avenae etC. obscurus semble davantage parasiter les pucerons situés sur le feuillage que ceux situés sur les épis. Enfin, l'étude de l'action deE. neoaphidis, C. obscurus etE. planchoniana en fonction de la taille de la colonie (ou du ?groupe? de pucerons) montre que l'action deE. neoaphidis semble indépendante de la densité de pucerons alors que le développement deC. obscurus dans les colonies est moins rapide que l'augmentation de taille de celles-ci. D'une manière générale, l'action deE. planchoniana est moins bien connue du fait du manque de matériel. La prédominance deE. neoaphidis s'explique par l'excellente adaptation de cette espèce à l'anholocyclie des pucerons, par sa faible spécificité à l'intérieur du groupe des aphides et par le nombre important de conidies qu'elle projette en atmosphère saturante. Cette espèce semble avoir les meilleures potentialités entomopathogènes en tant qu'agent de lutte biologique en cultures céréalières, mais son emploi futur sera subordonné à sa production de masse sous forme stable et pathogène.
Summary The role of 3 species ofEntomophthoraceae on cereal aphids in the West of France from 1975 to 1978 was compared. Almost all the infected aphids were killed byErynia neoaphidis Remaud. & Henn.,Conidiobolus obscurus (Hall & Dunn), Remaud. & Keller andEntomophthora planchoniana Cornu. A study of the distribution of the different species ofEntomophthoraceae during the year shows thatE. neoaphidis has the longest period of activity and infects most aphids. C. obscurus generally disappears in winter after an abundant formation of resting spores and reappears during the spring. On each sampling date,C. obscurus infects generally no more than 25% of the diseased aphids.E planchoniana occurs essentially during the summer and autumn on aphids living on ma?ze on which it seems to spread efficiently. On winter wheat the action ofE. neoaphidis andC. obscurus is different, depending on the species of aphid and on the position occupied by the aphids on the plant:E. neoaphidis is more pathogenic forM. dirhodum than forS. avenae andC. obscurus seems more pathogenic for the aphids (whatever the species) on leaves than for the aphids on ears. Finally the efficiency ofE. neoaphidis, C. obscurus andE. planchoniana relative to the size of the populations of the different samples was studied: the pathogenicity ofE. neoaphidis seems to be density independant, whereas the development ofC. obscurus in the colonies is slower than the rate at which they increase in size. Little is known about the pathogenicity ofE. planchoniana because of the lack of material. The prevalence ofE. neoaphidis is explained by its adaptation to the anholocycly of the aphids, by the broad spectrum of species it infects and by the numerous conidia it produces in a moist atmosphere. This species seems to have the best potential as an agent of biological control in cereal but currently its mass production poses problems.


Avec la collaboration technique d'Augustine Gellé etSylvie Tanguy  相似文献   

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