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1.
Zusammenfassung Das allgemeine Prinzip der Relativität der Begriffe — vom Verfasser a. a. O. dargelegt — behauptet, dass ein und dieselbe Situation der Wirklichkeit auf verschiedene Weisen beschrieben werden kann, die sprachlich und begrifflich zwar verschieden sein mögen, doch grundsätzlich die gleichen bleiben. Die verbalen oder begrifflichen Unterschiede führen uns zu der falschen Annahme, dass den Elementen, welchen im Denken oder im sprachlichen Ausdruck weniger Bedeutung zugemessen wird, auch weniger Bedeuten in Wirklichkeit zukommen, oder dass sie weniger real sind.Die bedeutendste Anwendung dieser Lehre auf die Biologie betrifft die Interpretation des Individuellen. Soll man das Individuum als eine Einheit verstehen, oder kommt der Begriff der Einheit einerseits den Teilen zu, wie z. B. Zellen, Molekülen und Atomen, oder andererseits höheren und synthetischen Einheiten wie z.B. Klassen, Arten, dem élan vital, u.s.w. ? Alle diese drei Ansichten haben etwas für sich, doch stehen auch jeder entscheidende Gegengründe gegenüber, so dass die einzig-mögliche Schlussfolgerung die Annahme der Begriffsrelativität ist. Jeder der drei Standpunkte ist nur in so weit wahr, als er etwas Positives beibringt, falsch jedoch solange er nur die beiden andern leugnet.
Résumé Le principe de la relativité des concepts, ayant une application générale dans toutes: parties de la philosophie et de la science, est développé ailleurs par l'auteur. Ce principe propose qu'une situation quelconque peut être discutée dans plusieurs manières, se différant entre elles dans le choix des mots ou des concepts, tout en étant au fond indentiques. Les differences linguistiques ou conceptuelles nous mènent à l'assomption fausse que les éléments moins importants dans la pensée ou dans le langage sont moins importants dans la nature, ou même que ces éléments sont moins réels.En biologie, ce principe a une importance notable en ce qui concerne l'interprétation de l'individu. Doit-on entendre par l'individu les cellules, les molécules, les atomes, et les autres éléments qui le composent; ou bien l'individu même; ou encore doit-on oublier et l'individu et les éléments qui le composent, et baser sa philosophie sur les entités synthétiques telles que les espèces, les genres, et l'élan vital ? Chacune de ces trois opinions a des considérations en sa faveur; mais chacune d'elles se bute à des objections plus considérables encore qui l'empêchent d'être acceptée. La seule conclusion qui semble être possible est l'adoption du principe de la relativité des concepts, et l'assomption que chaque manière d'envisager l'individu est valide tant qu'elle a quelque chose de positif à dire; chaque manière est fausse quand elle nie Ja validité des autres points de vue.
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2.
L'écologie     
Conclusions L'écologie cherche à connaître les conditions d'existence des organismes par rapport à leur milieu physique et biotique.D'une part elle étudie les exigences des organismes envers le milieu et leurs adaptations à celui-ci; d'autre part, elle recherche comment le milieu influe sur les organismes. Or, puisque chaque être vivant fait partie du milieu des autres et que sa présence et son activité modifient le milieu physique et biotique pour lui-même comme pour les autres, l'écologie est amenée à considérer en général les interactions entre les facteurs constitués par les organismes ainsi que par les agents inorganiques.Toutefois, la complexité de ces interactions est telle qu'à leur analyse physico-chimique s'opposent des difficultés partiellement insurmontables. La raison en est que les multiples facteurs écologiques n'agissent pas isolément, mais en combinaison dans l'espace et dans le temps. Il en résulte des états d'équilibre relatif dont seule l'expérience multiséculaire de la nature nous révèle l'aboutissement avec certitude. Aussi bien l'écologiste qui veut en tenir compte commence-t-il ses recherches par le relevé qualitatif et quantitatif des groupements biologiques spontanés. Le chercheur les reconnaît à la constance relative de leur composition, dans les divers endroits où ils sont réalisés, constance résultant de l'équilibre relatif entre les facteurs. C'est exactement pour de tels groupements queMöbius à créé le terme de biocénose. Ainsi la biocénotique peut être considérée comme la propédeutique d'une écologie justement conçue; elle ne serait que préparatoire et provisoire si la Science pouvait un jour entièrement éclaircir le jeu des forces écologiques.Enfin en essayant de bien situer l'écologie dans le cadre des disciplines biologiques voisines, il est utile d'avoir présent à l'esprit l'ébauche suivante d'un nouveau système de la biologie:
Zusammenfassung Oekologie, Ethologie, Biogeographie und Biocoenotik werden noch häufig miteinander verwechselt. Diese Disziplinen lassen sich an Hand des Schemas unterscheiden, das in vorstehenden Schlussfolgerungen wiedergegeben ist. Dieses Schema ist zugleich ein Beitrag zu einem neuen, dreidimensionalen System der Biologie.Speziell wird auf den methodischen Unterschied zwischen Oekologie und Biocoenotik eingegangen. Die Biocoenotik kann als eine unentbehrliche Vorstufe der Oekologie angesehen werden, insofern sie die natürliche Vergemeinschaftung der Organismen als ein grossartiges, von der Natur selbst eingesetztes Experiment betrachtet. Ihre Aufgabe ist es, dass Ergebnis dieses Experiments zu beschreiben. Die Lebensgemeinschaften, die sie dabei unterscheidet, sind gekennzeichnet durch ihre häufig wiederkehrende, einigermassen konstante Zusammensetzung, entsprechend den relativen Faktoren-Gleichgewichten, welche sich im Laufe der Jahrhunderte einstellen. Die Lebensgemeinschaften sind aber viel leichter zu erfassen als die Faktoren-Gleichgewichte und deren biologische Bedeutung. Ihre Abgrenzung erfolgt, — wie in der Taxonomie diejenige der Arten — auf Grund objektiver Diskontinuitäten. Letztere gründen sich in der Biocoenotik auf die sich ökologisch ersetzenden (vikariirenden) Arten. Sie sind die Prüfsteine für die Grundeinheiten der Biocoenotik: die Biocoenosen.] Soweit die Organismen einer Biocoenose aufeinander einwirken, stellen sie gleichzeitig einen Konnex dar; und soweit sie in ihren Ansprüchen oder Anpassungen übereinstimmen, gehören sie auch zum gleichen Lebensformen-Typ. Es ist praktisch, drei Grössenordnungen von Biocoenosen zu unterscheiden: Synusien, Assoziationen und Biome.

L'écologie
Postface Dans mes Analyses et synthèses biocénotiques (1947a), j'ai discuté la conception d'Agrell, qui se base sur des stations-types préétablies. Depuis,Agrell a consacrédeux articles polémiques (Opusc. ent., Lund, 1948) à soutenir que ses Bestandestypen s'identifient aux groupements écologiques tels que je le conçois.Il n'en est rien.Dans l'idée d'Agrell, tous les relevés provenant d'un même type de stations font a priori partie d'un même Bestandestyp. La conséquence en est que certaines espèces en réalité vicariantes, c'est-à-dire ne cohabitant jamais -Tetracanthella wahlgreni etFolsomia brevicauda, par exemple — se trouvent réunies, sur le papier, dans une même communauté. Au contraire, dans mon système, les relevés faits dans un certain type de stations (AH par exemple, cf.Gisin, 1947a) sont classés tantôt dans un groupement (2b), tantôt dans un autre (3a), d'après leur composition faunistique servant d'indicateur. Cette différence explique amplement les discordances qu'Arell relève entre mes indices d'abondance-fréquence et les siens, discordance prouvant une fois de plus que les Bestandestypen et les groupements ne sont pas la même chose. Agrell qualifie de résidu l'un de mes groupements. Or, rien n'est plus résiduel queson Bestandestyp 2, qui représente l'ensemble de 7 stations sur 10, celles qui restent après avoir retranché les 3 stations de milieux extrêmes. Agrell reproche à ma méthode de laisser inclassables certains relevés dépourvusd'espèces vicariantes. Cela n'est-il pas préférable au classement de force de relevés, fragmentaires et aux calculs hasardeux basés sur des unités hétérogènes?Enfin,Agrell estime que le choix des espèces caractéristiques est subjectif. J'ai: montré qu'il ne l'est ni plus ni moins que celui des caractères spécifiques en taxonomie.
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3.
Summary Great theoretical value has always been attached toBoveri's discovery as regards chromatin diminution inAscaris, for this discovery appeared to expose the mechanism causing the propagative cells, in which all chromatin remains, to originate an entirely new organism, whereas the soma cells of which the chromosomes have been diminished are only capable of specific differentiation.Boveri was further able to show that, not only do the soma and propagative nuclei differ from each other, but that rather the character of the cell-plasma decides whether the nucleus diminishes or not. Considerations are brought forward to prove that the diminisher hypothesis as given byKing andBeams, is untenable. Diminution has always been supposed to result in the loss of the totipotence of the diminished nuclei. In the light of recent chromosome research this course of events does not seem probable. Therefore the following theory is brought forward: When the egg ofAscaris is split, blastomeres originate, which differ from each other as to the plasma. In proportion to the quality of the surrounding plasma, now these now other genes of the totipotent nucleus react in different cells, thus originating the specific differentiation of the cell in question. This cooperation between plasma and nucleus is, however, at first obstructed in the large collective chromosomes ofAscaris, by the presence of their thickened ends. In order to keep up this cooperation a certain quality of plasma is needed, situated in a certain horizontal zone of the egg. As soon as, in the course of the division, nuclei come to rest in different zones, a diminution occurs, and differentiation of the cells in question sets in. Towards the end of the embryonic development the ends of the chromosomes are lost in the propagative cells, and also in these cells differentiation occurs.
Résumé On a toujours attribué une haute signification théorique à la découverte deBoveri, de la diminution des chromatines chez l'ascaris puisqu'elle semblait expliquer le mécanisme qui cause que les cellules propagatrices où séjourne, la totalité de l'effectif des chromatines, font de nouveau sortir d'elles-mêmes un organisme entier, pendant que les cellules somatiques, dont les chromosomes ont été diminués, ne sont plus capables qu'à produire une différenciation spécifique. De plus,Boveri a pu démontrer, que les noyaux somatiques et propagateurs ne sont pas, à peu de chose près, différents, mais que c'est bien plus la qualité du plasme des cellules qui décide si les noyaux qui leur ont été distribués, diminuent ou non. Des arguments sont apportés, qui démontrent que l'hypothèse du diminisher échafaudée parKing etBeams est insoutenable. En général on s'est représenté. l'action de la diminution de telle façon que la totipotentialité des noyaux diminués a été perdue. Cependant, le fait n'est pas acceptable quand on le considère à la lumière de la recherche moderne sur les chromosomes. Par conséquent, nous proposons l'opinion suivante: Dans l'uf de l'ascaris, des blastomères différant plasmatiquement les uns des autres prennent naissance pendant le fendage. Selon l'état du plasme environnant, dans les cellules individuelles on voit réagir certain gène, dans les autres un autre gène du noyau totipotentiel, causant ainsi la différenciation des cellules visées. Cette collaboration entre le plasme et le noyau est cependant premièrement bloquée dans les grands chromosomes collectifs de l'ascaris par la présence des bouts de chromosomes épaissis. Pour leur conservation une certaine qualité de plasme est requise qui se trouve dans une zone horizontale déterminée de l'uf. Dès que, dans le procès du fendage, des noyaux arrivent dans d'autres zones du plasme, la diminution a lieu, et la différenciation des cellules visées s'opère. Cependant, après la conclusion du développement embryonal, les bouts des chromosomes se perdent dans les cellules propagatrices et la différenciation a lieu aussi dans ces cellules.
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4.
Summary The orthogenetic development of some characteristic features during the evolution of the Hominidae has been pointed out. Especially brain- and skull development have been dwelt on (see Fig. 1). A parallel has been drawn with the orthogenetic development of some characteristic features during the evolution of the Equidae. It appears that during human evolution early-ontogenetic features come more and more to the front whereas during the evolution of Horses these characters are more and more pushed back in ontogeny. By this, human evolution, at least as concerns the orthogenetically developing features which happen to be very characteristic of the organisation of Man, shows a generalising developmental tendency whereas that of Horses shows on the whole a specialising tendency.Some modes in which early-ontogenetic characters can be present in the adult stages are dealt with such asBolk's theory of retardation andSchindewolf's theory of proterogenesis which are considered not to differ very much in essentials. Also the principle of development along a roundabout way (Prinzip der umwegigen Entwicklung. ofNauck) is mentioned in this connection and some examples are given.A better understanding of orthogenetic evolution and of the differences existing between that of the Hominidae and that of the Equidae is found in the principle of heterochronic development, the change of developmental intensity and the rate of growth of features in the ontogenies of allied forms. This is illustrated by the two diagrams of Fig. 2. Here we also established connection with the science of genetics which can explain experimentally the heterochronous shifting of features in compared ontogenies by difference in rate of action and quantitative action value of genes or sets of genes.
Zusammenfassung Es wird gezeigt wie die phylogenetische Entwicklung einiger charakteristischen Merkmale bei den Hominiden orthogenetisch verläuft. Vor allem werden Gehirn- und Schädelentwicklung (s. Fig. 1) in dieser Weise betrachtet. Vergleichenderweise wird die orthogenetische Entwicklung von einigen charakteristischen Merkmalen während der Phylogenie der Equidae besprochen. Es ergibt sich, dass während der menschlichen Evolution früh-ontogenetische Merkmale immer mehr in den Vordergrund treten während solche in der Phylogenie der Equiden immer mehr zurück treten in der Ontogenie. In dieser Weise zeigt sich die menschliche Evolution, wenigstens was den sich orthogenetisch entwickelnden Merkmalen anbelangt, welche gerade sehr charakteristisch für die Organisation des Menschen sind, eine verallgemeinerende Entwicklungstendenz, die der Equidae dagegen eine spezialisierende.Einige Möglichkeiten durch welche früh-ontogenetische Merkmale im erwachsenen Zustand auftreten können werden besprochen, so die Retardationstheorie vonBolk und die Proterogenesistheorie vonSchindewolf. Diese werden als nicht grundverschieden betrachtet. Auch das Prinzip der umwegigen Entwicklung vonNauck wird in diesem Zusammenhang genannt und einige Beispiele gegeben.Das Prinzip der heterochronischen Entwicklung, die Abänderung der Entwicklungsintensität und der Wachstumsgeschwindigkeit bei Merkmalen von verwandten Formen bietet uns einen besseren Begriff von der orthogenetischen Evolution und von dem oben angeführten Unterschied zwischen der menschlichen Phylogenie und der der Equidae. Dies wird näher ausgeführt und mit Beispielen belegt mit Hilfe der beiden Diagramme von Fig. 2. In dieser Weise wird auch eine Verbindung hergestellt mit der genetischen Wissenschaft, die in experimenteller Weise im Stande ist die heterochrone Verschiebung von Merkmalseigenschaften in vergleichbaren Ontogenesen durch Unterschiede in der Geschwindigkeit der Wirkung und in dem quantitativen Verwirklichungswert der Gene zu erklären.

Résumé Il est démontré que le développement phylogénétique de certains caractères morphologiques chez les Hominides est orthogénétique. Principalement le développement du cerveau et du crâne (Fig. 1) est discuté dans cette connection. Comparativement le développement orthogénétique de certains caractères pendant la phylogénie des Equides est traité. Il résulte que pendant l'évolution humaine des caractères fetaux se misent progressivement en premier plan dans les ontogénèses pendant que ceux dans la phylogénie des Equides se misent de plus en plus en arrière-plan ontogénétiquement. Dans cette manière l'évolution humaine montre, aux moins relative aux caractères orthogénétiques, qui sont exactement très caractéristiques pour l'organisation de l'Homme, une tendence généralisante de développement, celle des Equides au contraire une tendence spécialisante.Quelques possibilités avec lesquelles des caractères fetaux peuvent paraître dans la phase adulte sont discutées comme la théorie de retardation deBolk et la théorie de développement proterogénétique deSchindewolf. Celles-ci sont regardées comme principalement pas différentes. Aussi le principe de développement selon un détour (Prinzip der umwegigen Entwicklung deNauck) est nommé dans cette connection et quelques exemples en sont donnés.Le principe du développement hétérochronique, le changement de l'intensité et de la vitesse du développement chez des caractères des formes alliés, nous donne un meilleur notion de l'évolution orthogénétique et de la différence, cité ci-dessus, entre la phylogénie humaine et celle des Equides. Ceci est démontré détaillé avec des exemples à l'aide des deux diagrammes de Fig. 2. Dans, cette façon une connection est mise avec la science génétique, qui peut expliquer expérimentalement le développement hétérochronique des caractères morphologiques dans des ontogénèses comparables par des différences dans la vitesse d'action et dans la réalisation quantitative des gènes.
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5.
Summary Kleinschmidt's definition of the Weltformenkreis as the smallest systematical unit of affinity removes any danger of obliterating the type and at the same time opens a way for judging the superior taxonomic groups on principle differently from the subspecies of a Formenkreis.It is demonstrated that the characters of geographical subspecies (Rassen) are characters of apparent shaping, those of the species however are characters of construction and qualitative and autonomic ones. It is the type differentiating in quality that justifies the definition of species. As the characters of type do not necessarily appear gradual and quantitative, but are qualitative, the types cannot be derived from one another, unless they are conceived by the common superordinate idea of the superior systematical category next in order.The distinct division of species is opposed to the hypothetical continuity of the pedigree, which cannot be explained by a consanguinity nor by an affinity based on reproduction. The pedigree, however, is an expression of the spiritual order of nature, in which the types appear as units hierarchically graduated and determined by entelechy, not by dead matter.Within the systematical units there is a creative evolution, steadily pursuing its aim and leading from the primitive stage to the differentiated one, beginning with a juvenile phase, which is followed by orthogenetic maturity and, finally, by the aged stage with its detypification. The adaptation to the environment (biotope) may be also proved for the primitive forms and is an organic part of the whole design of the world for them as well as for the specialized and differentiated forms. — The formation of new types cannot be explained in a merely mechanical way; everywhere, even in the gens and genoms, we state ingenious modifications, which do not only bring about a reaction of a single modification to the whole, but operate from the whole. Since the origin of man, since the tertiary formation, the creation of species has completely ceased. There are only alterations of subspecific character.After a digressive treatise on the fundamental difference of man and animal in order to explain the type the superior systematical categories are characterized as spiritual realities. It is especially for the genus that a revision is necessary. The reality of the common origin of certain species within the genus is not based on reproduction (as it is the case in the Formenkreis), but on the superior totality comprising the species. Individuals can be conceived by the character of the species, species by the character of genus only. This is an evidence for the methodicalness of creative nature. It excludes any evolution of the genus from bottom to top, which is irregular, accidental or immediately formed by environment. From this we derive the comprehensive right of a natural system which now is more than mere classification.
Résumé Kleinschmidt qui donne une définition du Weltformenkreis comme la plus petite unité d'affinité systématique, déjoue le danger d'oblitérer le type et offre, en même temps, la possibilité de juger les groupes taxonomiques supérieurs par principe différemment de la souspèce d'un Formenkreis.Nous démontrons que les caractères des souspèces géographiques sont des caractères du façonnement extérieur, tandis que ceux de l'espèce sont des caractères de la construction d'une manière qualitative et autonome. Le type différent en qualité justifie seulement la définition de l'espèce. Comme les caractères du type n'apparaissent pas nécessairement graduels et quantitatifs, mais sont au contraire, qualitatifs, les types ne se dérivent pas l'un de l'autre, à moins qu'ils ne soient compris par la commune idée supérieure du plus sublime groupe systématique.La division distincte des espèces s'oppose à la continuité hypothétique de la généalogie, qui ne s'explique pas par une consanguinité ni par une affinité se fondant sur la reproduction, mais qui est plutôt une expression du régime spirituel de la nature, dans lequel les types se présentent comme des unités rangées hiérarchiquement et réglées par l'entéléchie et non par la matière.Dans les unités systématiques il y a une évolution créatrice qui tend continuellement à son but et mène de la phase primitive à la phase différentiée commençant par un état juvénile, qui est succédé par la maturité orthogénétique et enfin par l'âge avec sa détypification. L'adaptation au milieu est démontrée pour les formes primitives et représente un élément organique du grand projet mondial pour elles aussi bien que pour les formes spécialisées et différentiées. — La formation de types nouveaux ne s'explique pas seulement d'une manière mécanique; partout, même dans les genes et les genomes, nous observons des transformations ingénieuses, qui ne sont pas seulement une réaction d'une modification particulière à l'ensemble, mais un effet de l'ensemble. Depuis l'origine de l'homme, depuis la période tertiaire la formation d'espèces est complètement finie. À présent il n'y a plus que des variations d'un caractère souspécifique. Après un traité digressif sur la différence essentielle de l'homme et de l'animal pour expliquer le type les groupes systématiques supérieurs sont caractérisés comme des réalités spirituelles. C'est surtout pour le genre (genus) qu'une révision est nécessaire. La réalité de la racine commune de certaines espèces dans le genre (genus) ne se fonde pas sur la reproduction (comme cela est juste pour le Formenkreis), mais sur la totalité supérieure qui implique toutes les espèces. Des individus sont compris par le caractère d'espèce, des espèces seulement par le caractère de genre. C'est une preuve de la méthode de la nature créatrice. Elle exclut une évolution de genre du bas en haut, qui est irrégulière, faite par hasard ou formée directement par le milieu. De là nous dérivons le droit compréhensible d'un système naturel, qui est désormais plus qu'une simple classification.
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6.
Résumé L'ensemble des recherches faites sur la sexualisation cytoplasmique a permis de montrer que les faits exprimés par les deux premières lois de sexualisation cytoplasmique traduisent des phénomènes très généraux de la sexualité, mais aucune démonstration expérimentale des lois n'avait été tentée.Les rapports intimes qui existent entre les faits exprimés par ces lois permettent de supposer que les deux énoncés traduisent peut être deux aspects différents d'un même phénomène. Il semble donc illusoire de chercher à donner pour chaque énoncé une démonstration indépendante et nous avons essayé d'établir une démonstration d'ensemble.L'état d'avitominose B entraine dans l'organisme une série de perturbations: 1 dans le métabolisme, 2 dans l'énergétique des tissus, 3 dans la respiration intracellulaire. Cet ensemble de modifications se trouve être analogue à celui qu'entrainerait une diminution du rH intracellulaire.D'autre part, la carence en vitamine B entraine une hyperlipémie qui place les cellules dans des conditions de nutrition nouvelles par rapport aux graisses dont elles disposent.L'ensemble de ces perturbations, tant dans la valeur du rH intracellulaire que dans les conditions de nutrition par rapport aux lipides, réalise, d'après les lois de sexualisation cytoplasmique, des conditions particulièrement défavorables à la polarisation des cellules dans le sens mâle.Or, on peut constater que, dans l'organisme ainsi modifié expérimentalement par l'avitominose, parmi toutes les cellules, ce sont les cellules polarisées dans le sens mâle qui se trouvent être le plus rapidement et le plus fortement frappées.Le rapprochement de ces diverses constatations nous parait constituer une véritable démonstration expérimentale des deux lois de sexualisation cytoplasmique.Une partie des recherches concernant la sexualisation cytoplasmique a été faite avec un microscope offert par la fondationElizabeth Thompson. L'auteur exprime sa gratitude au comité de cette fondation.  相似文献   

7.
Summary The word Umwelt is not translated as yet and can perhaps not be translated. In its orginal and well known sense, inaugurated byUexküll, it means of the relations of an organism to its surroundings only those going over the receptive (sense-) organs and the effective organs (muscles, glands), while vegetative relations to the medium,e.g. respiration are excluded. The Umwelt-conception of ecology has always been a wider one, but by feeling only, without definition. H.Weber has tried to develop a general biological Umwelt-conception, including a 11 relations. In spite of this claim he states, the Umwelt of a species be only those external conditions which are indispensable for its life. Here is demonstrated that this conception is quite insufficient, especially because it does not contain so fundamentally important relations as the enemies of an organism and the reactions of the organism upon its surroundings (e.g. formation of limestone, humification of soil, turning of lakes into land by vegetation). Furthermore, that conception of Umwelt does not contain external conditions determinating the phenotype but not indispensable for the life of the species. A general biological conception of Umwelt, asWeber claims to have created, is impossible; the conception is divided in steps corresponding to its application in different branches of science. In physiologye.g. only the direct relations of an organism come in question, in epidemiology the vital relations only. The ecological conception is the most comprehensive (the real general one), containing all those parts of the surroundings to which an organism has direct or definite indirect relations, and is the complex of them.
Résumé Le mot Umwelt n'est pas traduit et ne peut pas être traduit peut-être. Dans son sens original et bien connu, créé parUexküll, il comprend des relations d'un organisme à ses environs celles seulement, qui passent par les organes recepteurs (organes de sens) et les organes effectuants (muscles, glandes), pendant que les relations végétatives au médium, p.e. respiration ne sont pas comprises. L'écologie toujours a fait usuage du mot Umwelt dans un autre sens, mais intuitivement, sans définition. H.Weber a essayé de développer une conception Umwelt, dont il prétend la signification dans toute la biologie et qui comprenne toutes les relations. Malgré cette prétention,Weber comprend dans sa définition de la Umwelt d'une espèce ces relations seulement, qui sont indispensables pour leur vie. Ici est démontré que cette conception est tout à fait insuffisante, surtout pare qu'elle ne comprend pas des relations d'une importance si fondamentale comme l'ennemi d'un être vivant et les réactions de l'être vivant qui transforment ses environs (p.e. formation de pierre à chaux, humification du sol, transformation en terre d'un lac par la végétation). Y manquent aussi des conditions extérieures, déterminantes le phénotype, mais qui ne sont indispensables pour la vie de l'espèce. Une signification générale du mot Umwelt pour toute la biologie est impossible, la conception est divisée en échelons qui correspondent à l'application dans des branches différentes de la science. En physiologie p.e. il ne s'agit que des relations directes, en épidémiologie des relations d'importance vitale seulement. La signification écologique est la plus ample (la vraiment générale), comprenant toutes ces parties du milieu, auxquelles un organisme a des relations directes ou indirectes, dont la Umwelt est le complexe.
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8.
Summary The Yellow oat-grass association (Trisetetum flavescentis) was already described and referred to by several authors in Switzerland, originally by Stebler & Schroeter in 1892. It represents the manured meadows for haymaking in the mountain regions (Alps and Jura) in the widest sense. Similar associations are found in the Pyrenean Mountains (Braun-Blanquet), the French Central Mountains (Braun 1915, Luquet 1926), the Vosges (Issler 1936), the German Central Mountains Tüxen 1937) and the Carpathian Mountains (Szafer, Pawlowski & Kulcynski 1923 & 1927).200 grassland inventories forming the basis of the investigations were made in 15 different regions within the area, in which Yellow oat-grass associations occur. Method and evaluation of results are based upon the principles of the School Zurich-Montpellier (Braun-Blanquet 1928).A comparison of the said inventories from the different regions mainly led to the distinction of geographical variants. Three distinct types thereof are to be considered as subassociations (Jura, Tavetsch, Lower Leventina); the other types may be divided into two groups, viz. the Yellow oat-grass associations of the northern Lower Alps on the one hand and that of the central alpine valleys on the other hand (see Table I). However, the rather large number of common characteristic species as well as the permanent companion species indicate that all studied grassland samples belong to one and the same association, viz. the Trisetetum flavescentis (see Table II).The most important factors affeting the formation of the Yellow oat-grass association are humidity, manuring, utilization and altitude. Soil conditions, exposition, slope etc. are factors mainly responsible for the establishment of subassociations and facies within the association.In the last chapter, the author gives a survey on the systematic position and the sociological subdivision of the Trisetetum flavescentis.
Resume La prairie de l'avoine jaunâtre (Trisetetum flavescentis) fut décrite par Stebler et Schröter en 1892. Depuis, plusieurs auteurs suisses l'ont mentionnée ou décrite. Elle représente plus ou moins toutes les prairies grasses de l'étage subalpin des montagnes (Jura, Alpes). Des associations semblables se rencontrent dans les Pyrenées (Braun-Blanquet), dans le Massif central de France (Braun 1915, Luquet 1926), dans les Vosges (Issler 1936), dans les montagnes de l'Allemagne centrale (Tüxen 1937) et dans les Carpathes (Szafer, Pawlowski et Kulcynski 1923, 1927).200 relevés de 15 régions différentes, répandues dans une grande partie de la Suisse, forment la base de notre recherche (v. fig. 1, p. 3). La méthode et l'évaluation des résultats suivent les principes de l'école Zurico-montpelliéraine.La comparaison des relevés, arrangés en tableaux pour chaque region, menait tout d'abord à la distinction de races géographiques. Trois de ces variantes sont si bien caractérisées qu'on doit les considérer comme sous-associations (Jura, Tavetsch, Tessin). Les autres types sont divisés en deux groupes: les prairies à Trisetum flavescens des Préalpes septentrionales et celles des vallées des Alpes centrales (v. tableau I). Le grand nombre d'espèces communes, caractéristiques et compagnes, prouvent que tous nos relevés appartiennent à la même association, au Trisetetum flavescentis (v. tableau II).Les facteurs les plus importants qui décident de l'existence de l'association sont l'altitude, l'humidité (du sol), la fumure, et le fauchage. Les autres facteurs édaphiques, l'exposition, l'inclinaison etc. président à l'individualisation des sous-associations et des faciès.Le dernier chapitre donne un aperçu de la position systématique et de la subdivision du Trisetetum flavescentis.In der vorliegenden Abhandlung sind die Vegetationsaufnahmen aus der vom Verfasser 1947 publizierten Arbeit: F. Marschall: Die Goldhaferwiese (Trisetetum flavescentis) der Schweiz. Eine soziologisch-oekologische Studie. Beitr. z. geob. Landesaufnahme der Schweiz 26, Bern 1947 verwertet. Eine grössere Zahl von eigenen weiteren Aufnahmen sowie eingehenderes Literaturstudium machten indessen eine wesentlich andere Darstellung und Auswertung der Ergebnisse nötig, insbesondere was die Charakterartenliste und die Einteilung der Untereinheiten anbetrifft.


Manuskript eingegangen am 2-XII-1949.  相似文献   

9.
Biotypology     
Résumé L'auteur décrit dans cette troisième communication le développement de la constitution humaine basant sur une différente célérité de la différentiation des parties élémentaires du corps. L'isodromie des parties homologiques de deux individus est représentée par la même célérité de leurs phases de la différentiation, l'anisodromie par une célérité différente. Chapitre B: Le phénomène de la retardation ou de l'accélération de la differentiation est appliqué à une classification typologique de l'homme. Chapitre C: La normalité biologique est le degré moyen de la célérité de la différentiation des parties élémentaires. Chapitre D: Le phénomène de la célérité différente des phases de la différentiation est appliqué au domaine de l'écologie de l'homme. La normalité de la biocénose (van der Klaauw) et la normalité biologique de la constitution d'un groupe d'individus représentent la base typologique de la personalité de l'homme.  相似文献   

10.
Summary The bipolar type systems in the sense ofKretschmer, Jaensch, Jung and psychology of form current in presentday psychology are subjected to criticism from the point of view of their practical utility for the diagnosis of human beings, since they are unable to do justice to the complexity of human nature. The author sees two chief problems in the concept of type. According to their function, types are comparable with ultimate forms in which conclusions are drawn from a number of familiar characteristics as to the simultaneous occurrence of the remaining characteristics which are more difficult to apprehend empirically. Their nature places types in close analogy to forms and melodies. Assignment to certain types is not a mere classification, but a heuristic speculation. The response of primitive organisms to complexes of characteristics represents a phylogenetically older form of typological conclusion. Special emphasis is laid upon the intimate relation existing between the typological method of apprehension and the active side of organisms. Brief reference is made to the way in which types can be statistically derived, the apriority problem of the type and the transmission of types by heredity.
Résumé Les systèmes de types bipolaires usuels dans la psychologie actuelle d'aprèsKretschmer, Jaensch etJung et la psychologie de la structure de formes (Gestaltpsychologie) sont soumis à une critique établie du point de vue de son application pratique au diagnostic humain, car ils ne permettent pas de venir à bout de la nature humaine. L'auteur voit dans la notion des types deux problèmes principaux: d'après leur fonction les types sont comparables à des syllogismes dans lesquelles à l'intérieur d'une série de caractères associés on déduit d'un certain nombre de caractères connus la présence de caractères individuels difficiles à saisir empiriquement. D'après leur nature les types sont en analogie avec les figures et les mélodies. L'ordonnancement des types n'est pas une simple classification mais une entreprise heuristique. La recherche des complexes de caractères dans les organismes primitifs représente une forme phylogénétiquement ancienne de la déduction typologique. La relation étroite entre le mode de conception typologique et la manière d'agir des organismes est particulièrement souligné. La déductibilité statistique, la question d'apriorité des types et leur hérédité sont brièvement effleurées.


Nach einem Vortrag in der Deutschen Philosophischen Gesellschaft, Ortsverein Magdeburg, am 28. XI. 1941.  相似文献   

11.
Zusammenfassung Gegenüber den Ansichten vonJ. Gross (1925), der den Mendelismus für die Stütze der selektionsdarwinistischen Evolutionserklärung halten will, stellt der Verfasser die Argumente zusammen, die beweisen können, dass, im- Grunde genommen, beide Lehren identifiziert sein sollten, da sie mit gleichem Begriffe der allerkleinsten, von einander unabhängigen, hauptsächlich äusserlichen, unbestimmten und meistens nur geringere Lebensbedeutung zeigenden Varianten operieren, deren Ursachen, nachDarwin, öfters unbekannt, das Entstehen sogar zufällig bleiben, d.h. dass sie vollständig den Regeln der Wahrscheinlichkeitsrechnung unterworfen sein müssen, was-im Mendelismus – gleichfalls in dem freien Zusammentreffen und dem Kombinieren der mendelnden Merkmale sein Ausdruck findet, was inbezug auf die sich abspielenden Interaktionen der Genallele, und zwar in Folgte der Anteilnahme von immer zwei Elternseiten, mit allgemeiner Gleichung desNewtonschen Binoms ausgedruckt werden kann, wie das der Verfasser im Jahre 1938 entwickelte.Der alte Vorwurf somit, der seit langem dem Darwinismus gemacht wurde, es habe eine allzugrosse Bedeutung den zufälligen Variationen beigemessen, sollte, im Grunde genommen, von dem Standpunkte der Wahrscheinlichkeitstheorie für ein Argument zugunsten ebengleich des Darwinismus, als des Mendelismus angeführt werden. Umso mehr, wenn es gelingen könnte die Ansicht vonTh. H. Morgan (1919) zu bestätigen, dass die Entwickelung eines jeden beliebigen Merkmals, bloss kraft seines Anwachsens, die Chancen für die weitere Entwickelung desselben in der eingenom-. menen Richtung vergrössert.Zugleich wird jedoch ein deutlicher Vorbehalt gemacht, dass die erschlossene Identifizierung einstweilen nur die microevolutiven Vorgänge (lautW. Ludwig's Terminologie, 1938) betreffen könnte, keineswegs aber die natürliche Zuchtwahllehre, die vor allem die Dynamik der Populationsänderungen behandelt.
Résumé En s'opposant aux points de vue exprimés parJ. Gross (1925) que la doctrine mendélienne aurait pu être considérée comme le support de celle du sélectionisme darwinien, l'auteur avance des preuves que tous les deux devraient au fond s'identifier, parce qu'elles basent leurs déductions sur les variantes minimes, en majeure partie concernant les traits extérieurs, très souvent d'une importance vitale insignifiante, en même temps peu définies et réciproquement indépendantes, l'origine desquelles, selonDarwin, reste d'ordinaire inconnue, l'apparition même étant imprévue et fortuite, ce qui signifie, qu'elles doivent être assujetties complètement aux règles, requisitions et conséquences de la théorie de probabilité, tandis que dans le mendélisme la même chose se manifeste également dans les associations en majeure partie libres et indépendantes des caractères semblables, qui représentent les interactions combinatoires géniques entre les paires allélomorphiques, qui grâce à la participation de pas plus que deux partenaires parentals s'expriment dans une équation générale du binôme newtonien (1938).De cette manière, l'objection faite jadis contre la doctrine darwinienne d'avoir assigné un poids trop grand au hasard des variations indéfinies, doit être au fond considérée, au point de vue de la théorie de probabilité, plutôt comme l'argument de l'appui en faveur de cette doctrine, aussi bien naturellement que du mendélisme même, lui aussi étant une expression de cette théorie. Cela d'autant plus s'il était possible de confirmer les idées deTh. H. Morgan (1919), selon lequel le développement d'un trait quelconque, une fois commencé, acquiert, par la seule apparition, plus de chances pour son progrès consécutif dans le même endroit.Néanmoins, toute réserve est prise par l'auteur au fait, que cette identification déduite ne saurait être attribuée pour le moment du moins, qu'aux phénomènes microévolutifs (conformément à la terminologie deW. Ludwig, 1938) et qu'elle ne pourrait jamais être appliquée à la théorie de la sélection naturelle, cette denière concernant avant tout les facteurs impliqués dans la dynamique des changements quantitatifs des populations.
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12.
Summary Giving the foundation of his doctrine of the Umwelten v.Uexküll considersKants idealism as the best starting point. The present essay, to the contrary, tries to demonstrate, that the peculiarity of his problems rather corresponds to the logical and metaphysical position ofLeibniz's monadology and so shares its philosophical profundity as well as its ontological difficulties. Cardinal points of this correspondence are the following: 1) There is a plurality of subjective worlds=Umwelten=monads. 2) They are completely isolated one from another. 3) The subject bilds up its reality quite autonomically according to an ideal and specific law=plan=conception. 4) The individual vital laws harmonize according to an optimal general plan. 5) The objective space is denied and regarded as the formalized system of living subjective centres=points of view. 6) Therefrom results the difficulty of explaining a causality of inconscious nature, which is independent from the subject. 7) From this follows the necessity of speculatively amplifying the conception of subject or monad as well as finally displacing the problem of reality into the metaphysical-religious sphere of a supreme (divine) monad or subject.
Résumé En donnant les raisonnements de sa doctrine des Umwelten, M. v.Uexküll considère l'idéalisme deKant comme le meilleur point de départ. Par contre le présent essai cherche à démontrer que la disposition du problème effectivement en question le met plutÔt en parallèle, du point de vue du criticisme et de la métaphysique, avec la monadologie deLeibniz, à l'ampleur philosophique de laquelle elle participe aussi bien qu'à ses difficultés ontologiques. Les points cardinaux de cette concordance sont les suivants: 1) la pluralité des mondes subjectifs=Umwelten =monades; 2) leur intégral isolement réciproque; 3) l'autonomie du sujet quant à la construction de sa réalité, suivant une loi (=plan=conception) idéelle et spécifique; 4) l'harmonie de toutes les lois vitales et individuelles suivant un plan d'ensemble tendant à un optimum; s) le reniement de la réalité absolue de l'espace objectif et son interprétation comme système formalisé de centres subjectifs vivants (= points de vues); 6) la difficulté qui en résulte pour l'admissibilité d'une causalité de la nature inconsciente, indépendante du sujet; 7) la nécessité, en découlant, d'une amplification spéculative de l'idée du sujet ou de la monade, ainsi que, finalement, le renvoi du problème de la réalité dans la sphère métaphysico-religieuse d'une monade suprÊme (divine) ou d'un suprÊme sujet.


Für die französische und englische Ausarbeitung der Zusammenfassungen bin ich Herrn DrAlbrecht und Frl. TrudeWeltzien in Hamburg zu aufrichtigem Dank verpflichtet.

Habilitationsreferat vor der Philosophischen FakultÄt der Hansischen UniversitÄt am 14. Januar 1939.  相似文献   

13.
Zusammenfassung Man unterscheidet in der Organisation verschiedener Tiere folgende Kategorien von Parallelismen: 1) die Homologien, welche auf einen gemeinsamen Ursprung der betreffenden Organe hinweisen, 2) die Analogien, die als eine Folge von ähnlichen Funktionen (typische Analogie) oder der äusseren Wirkungen (Isomorphie) sekundär enstehen, 3) die Homomorphien, wodurch ich diejenigen Übereinstimmungen im Körperbau von verschiedenen Tieren bezeichne, welche auf Grund der allgemeinen Gesetze der Morphogenese zustande kommen. Das Studium der Homologien ist historischer Art, dasjenige der Homomorphien und Analogien typologischer Art.Man kann weiter unterscheiden: eine allgemeine Homomorphie, welche sich im Tierreiche überall, wo dazu günstige Bedingungen vorhanden sind, offenbart (z.B. trajektorielle Strukturen), und eine spezielle Homomorphie, welche als eine der Möglichkeiten bei einer begrenzten Anzahl von Tierformen hervortritt (z.B. die Komplexaugen neben den anderen drei Haupttypen von Sehorganen). Die Grenze zwischen diesen beiden Kategorien ist natürlich nicht sehr deutlich, ebenso wie manchmal die Grenze zwischen Homologien, Homomorphien und Analogien. Alle diese Erscheinungen beruhen letzten Endes auf morphogenetischen Gesetzen, können also als Homomorphien im weitesten Sinne des Wortes bezeichnet werden.
Sur l'homomorphie générale et spéciale
Résumé Dans l'organisation des divers animaux on peut distinguer les parallélismes suivants: 1) les homologies qui dénotent la descendance des porteurs des organes similaires d'un seul et même ancêtre, 2) les analogies qui se forment sous l'influence d'une fonction analogue ou des mêmes conditions extérieures, et 3) les homomorphies qui représentent la manifestation des propriétés fondamentales de la substance animée. Les homologies sont les phénomènes de l'ordre historique, tandis que les homomorphies et les analogies doivent être étudiées d'après une méthode typologique.Si une similitude homomorphique des formes se manifeste partout dans le règne animal ou au moins dans tous les cas où se trouvent des conditions favorables, il faut parler d'une homomorphie générale (p. ex. les structures trajectorielles). Si au contraire on observe le parallélisme seulement dans les cas isolés, comme p. ex. les yeux composés chez les Arthropodes, les Vers et les Mollusques, il faut parler de l'homomorphie spéciale. La limite entre ces deux catégories des phénomènes n'est pas très précise. De même il est difficile parfois de définir strictement si nous avons à faire à une homologie, à une analogie ou à une homomorphie. Tous ces phénomènes-là dépendent finalement des lois morphogénètiques. C'est pourquoi qu'on peut les indiquer comme des homomorphies dans le sens le plus étendu de ce mot.
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14.
Summary Certain palaeontological observations, of which some examples are described do not fit in either a Lamarckian or Darwinian view of evolution. Both of these mechanistic theories assume small character-changes in the end stages of ontogeny, which gradually (whether through adaptation or selection) accumulate and are supposed thus to have given rise to all evolutionary progress. Palaeontology, on the other hand, teaches that the fundamental qualitative changes in the morphological plan have taken place in a saltatory manner in more or less young ontogenetic stages (Law of early ontogenetic origin of types). Only after the morphological plan has been built in a phylogenetic phase of explosive, early ontogenetic changing of type follows a phase of stable, continous evolution. It is shown that, theoretically, no other kind of fundamental change in the organisation is possible and that many, otherwise inexplicable, phenomena, the lack of transition forms, the question of ancestral stocks, the ideas of the biology of organisms as a whole etc., find their explanation by this means.
Résumé Il y a certaines observations paléontologiques, dont l'auteur donne plusieurs exemples, et qu'on ne pourrait mettre d'accord avec un aspect larmarckienne ou darwinienne. Ce sont là des essais mécaniques d'explication, qui comptent avec de petites modifications de caractères dans les derniers stades de l'ontogénèse qui se totalisent peu à peu (soit par adaptation soit par sélection) et devraient ainsi avoir occasionné tout progrès phylogénétique. Par contre, la paléontologie enseigne que les transformations qualitatives profondes des plans de constructions ont évolué par bonds dans les stades ontogénétiques plus ou moins juvéniles (La loi de la formation des types dans les stades juvéniles de l'ontogénie). C'est seulement après que les types ont été formés dans une phase phylogénétique de transformation explosive et juvénile, qu'une phase d'une évolution stable et continue vient s'y ajouter. On démontre que théoriquement un autre procédé d'un changement profond d'organisation est absolument impossible et que de cette manière un grand nombre de phénomènes par ailleurs incompréhensibles trouvent de la sorte leurs explications: par exemple l'absence des formes transitoires, la question des formes de racines, les conceptions de la biologie du tout de l'organisme etc.
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15.
Zusammenfassung Alle Formen von Leben entstanden aus der primitiven Zelle, betrachtet eher als eine Art denn als ein Individuum, welches die Fähigkeit für ununterbrochene Selbst-Teilung besass. Fortgesetzte Vermehrung der Zellen mag eins von drei verschiedenen Verfahren folgen: 1. Die zwei Zellen von jeder Teilung hervorgehend, mögen sich vollständig von einander trennen; diese Linie der Entwicklung der primitiven Zelle rief die Protozoa hervor. 2. Während die Zellen sich teilen, mögen sie mehr oder weniger unregelmässig zusammen hängen. Diese Linie rief die Porifera (Schwämme) hervor. 3. Die sich teilenden Zellen mögen regelmässig zusammenhängen, eine Blastula und eine Gastrula bildend. Die Gastrula ist fähig eine unbestimmte Anzahl von Variationen hervorzubringen, und durch diese Variationen in der Gastrula entstanden alle Tier-Typen ausser der Protozoa und der Porifera.Diese Linien der Entwicklung von der einzelnen Zelle stellen alle die physischen und geometrischen entfaltungsfähigen Möglichkeiten, denkbar im Falle von Zellen, dar, die die Kraft besitzen sich durch Selbst-Teilung zu vermehren. Da diese entfaltungsfähigen Linien einfach mechanische Antworten auf die geometrischen und physischen Eigentümlichkeiten sind, eigen der Vermehrung der sich selbst teilenden Zellen, so gibt es keine Rechtfertigung für die Annahme einer bestimmten Ordnung in ihrem Vorkommen. Es ist logischer anzunehmen, dass die primitive Zelle gleich nach ihrem Erscheinen sich nach jeder möglichen Richtung gleichzeitig entwickelte, kurz, dass alle die Haupttypen des Tierlebens gleichzeitig erschienen.Es gibt keinen Beweis gegen diese Annahme, welche in Übereinstimmung mit dem geologischen Hintergrund des Lebens ist, wie wir es verstehen; mit der Fossilien-Urkunde, wie illustriert durch Fossilien von genau vergleichbaren Umgebungen; und mit der angenommenen Nötigkeit für ein System von Kontrolle und Ausgleich zwischen den verschiedenen Typen von Leben.
Résumé Toutes les formes de la vie proviennent d'une cellule primitive unique, considérée comme espèce plutôt que comme individu, possédant le pouvoir de se multiplier par bi-partition répétée. La propagation continue de cellules peut avoir lieu de trois façons différentes: 1. Les deux cellules, après la division, peuvent se séparer complètement l'une de l'autre; cette forme de propagation de la cellule primitive a donné lieu aux Protozoaires. 2. Les cellules, en se divisant, peuvent rester liées plus ou moins irrégulièrement; cette forme de propagation caractérise les Porifères (spongiées). 3. Les cellules, en se divisant, peuvent rester liées selon un arrangement régulier, en formant une blastula et une gastrula; la gastrula peut être formée selon un infinité de modalités, et c'est à ces différences de la formation de la gastrula que sont dues toutes les espèces animales exceptés les Protozoaires et les spongiées.Ces formes de propagation de la cellule unique représentent la somme des possibilités d'arrangement permises par les lois de la géométrie et de la physique. Du moment que ces procédés de propagation sont soumis à un arrangement mécanique gouverné par des lois physiques et géométriques, il n'y a pas lieu d'admettre qu'il y ait, dans leur succession, d'ordre déterminé. Il est plus logique de supposer qu'aussitôt parue la cellule primitive se soit propager simutanément dans toutes les directions concevables, en d'autres mots que toutes les phyla animales se soient différenciées au même moment.Aucune preuve ne démont cette hypothèse qui, d'ailleurs, concorde avec les prémises géologiques de la vie telles que nous les comprenons, avec les vestiges fossilisés de couches géologiques strictément comparable, et avec la théorie qui admet l'établissement de l'équilibre entre les différentes espèces animales au moyen d'un contrôle et de limitations mutuelles.
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16.
Zusammenfassung Von der Prämisse ausgehend, dass die zentrale, wenn auch am grössten umstrittene, wenngleich am wenigsten aufgeklärte Frage des ganzen Evolutionsproblems sich auf die Art und Weise des ersten Entstehen der evoluirenden Merkmale bezieht, bringt der Verfasser eine allgemeine Klassifikation der Evolutionstheorien auf die autogenetische und statistische dar, indem jedoch die ersten mit schwer greifbaren Faktoren allzusehr überlastet zu sein scheinen, die zweiten aber mit der Notwendigkeit der Annahme einer unumgänglich dissipativen Irreversibilität der progressiven Entwicklung zu rechnen haben, die jedoch mit keinen uns bekannten Evolutionsbeweisen bestätigt werden kann. Infolgedessen hebt der Verfasser ein dritter-eigener-Evolutionsgedanke hervor, und zwar in kombinatorischer Fassung, den er auf der Tatsache zu gründen sucht, dass erstens jeweilige Evolution vor allem eine Übertragung der sich mehr und mehr komplizierenden Zusammensetzungen der Eigenschaften von einer Geheration auf die andere darstellt, und zwar, zweitens, so, dass diese Übertragung einer vom Verfasser im Jahre 1938 aufgestellten allgemeinen Gleichung derMendel Gesetze gehorcht und Ausdruck einesNewtonschen Binomierens mit ununterbrochen wachsenden Koeffizienten der Kreuzungspotenz (bezw. des Heterozygotieranges) darstellt.Ferner, in einem Entwurf der historischen Entwicklung dieser Anschauung, sucht er,Johannsen's Stellung gegenüber, im Altertum an dieHeraclitische Mannigfaltigkeit-Einheits-Lehre anzuknüpfen, insbesondere aber sie mit demAnaxagorasschen Begriff von Homoiomerien in Zusammenhang zu bringen, die, in neueren Zeiten, lassen sich unmittelbar an den Mendelismus und denJohannsenschen Genbegriff anschliessen, um weiter, über diePearson's undPhilipchenko's allgemeine Gleichungen, zum Verfassers eigenen Begriff der genotypischen Binomionen zu gelangen. Das allmähliche kombinatorisch zustandekommende Kompliziertwerden derselben soll uns den Verlauf der sich abspielenden organismischen Evolution schematisch oder eigentlich symbolisch veranschaulichen.Endlich, sich über die rein theoretische Möglichkeit einer Annahme der noph weiteren, hinzukommenden und übergeordneten, Evolutionsfactoren überlegend, die auf diese oder jene Weise seine auf die natürliche Kombinatorik totalisierende, ordnende und zugleich auch inbezug auf die allgemeine Evolution richtende Einflüsse ausüben könnten, kommt der Verfasser zum Schluss, dass der wissenschaftliche Erkenntniswert solcher, dazu biologisch ziemlich geheimnisvoller Factoren, für die exacte Evolutionsuntersuchungen einstweilen recht gering bleiben müsste.
Résumé En tenant compte du fait que le problème central, en même temps le plus controversé et obscur de l'évolution concerne la question de la première origine des caractères évolutifs, l'auteur émet, sous ce point de vue, une classification générale des théories de l'évolution, en les divisant en autogénétistes et statistiques, les premières étant surchargées par l'objection d'opérer avec des facteurs peu concrets et peu saisissables tandis que les secondes sont forcées d'admettre l'irréversibilité dissipative du développement progressif, qui cependant n'a pu être confirmée par aucune des évidences rapportées en faveur de l'évolution.En conséquence, l'auteur propose et soumet à une discussion un peu élargie une troisième possibilité-la sienne: celle de la conception de l'évolution notamment basée sur les processus combinatoires, en l'appuyant sur les faits incontestables, que chaque évolution consiste, avant tout, en une transmission ininterrompue de traits se compliquant de plus en plus à travers les générations successives, bien que les combinaisons impliquées soient gouvernées par l'équation générale des lois deMendel, établie par l'auteur en 1938, et faisant une expression des opérations du binôme newtonien, les indices de puissance duquel croissent graduellement.Dans une esquisse historique du développement préalable de cette conception, l'auteur retrace ses racines dans la philosophie grecque, en descendant jusqu'à la thèse deHeraclitedes alliages des multiplicités dans l'unité des choses et la retrouve avant tout dans la conception des homoïomeries d'Anaxagore, ce qui s'attache, dans les temps nouveaux, de la manière la plus immédiate, au mendélisme, à la conception du gène, émis parJohannsen, et aboutit, par l'intermédiaire des équations produites parPearson etPhilipchenko, à la notion des binomions introduits par lui-même pour déterminer les groupes seuls homogènes au cours de l'évolution progressive. Or, les complications combinatoires, graduelles mais croissantes, de ces combinaisons les plus naturelles constitueraient une suite schématique ou plutôt symbolique de l'évolution accomplissante.Enfin, en réfléchissant sur la possibilité théorique d'admission des facteurs totalitaires en surplus, ordonnant le jeu combinatoire bien qu'aussi directeurs par rapport aux tendences générales de l'évolution organique, l'auteur aboutit à la conclusion que la valeur explorative (heuristique et analytique) de tels facteurs, du reste bien mystérieux, pour les recherches précises du procédé de l'évolution serait cependant très restreinte.
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17.
J. A. Serra 《Genetica》1943,23(1):300-314
Résumé Des méthodes d'isolement se basant sur l'adsorption, ont permis d'isoler des mélanines des cheveux et des poils de plusieurs Mammifères. Ces pigments ont une partie protéique et un mélanoïde. Il semble très probable que ce soit essentiellement la partie protéique qui est différente selon la mélanine, selon la couleur des cheveux. Des analyses de quelques acides aminés de la partie protéique, ont été faites; ces analyses permettent la distinction de cette partie protéique et différente des kératines.Au schéma de la pigmentogenèse des mélanines des poils du lapin nous avons ajouté un présumable système final de réactions sur lequel interviennent les facteurs de coloration B/b et C/c.Travail réalisé dansl'Instituto de Antropologia et leLaboratório Químico de l'Université. Un résumé a été présenté au Congrès pour le Progrès des Sciences, Porto 1942. Le Fundo Sá Pinto de l'Université a contribué pour l'acquisition du matériel.  相似文献   

18.
Summary The laws of vital phenomena are to a high degree in contradiction with the principle of absolute causality. Hence the problem arises, what position and rank this principle occupies in biology. The solution of this contradiction might be found in a relaxation of the principle, or in its broadening or by means of the addition of a second heterogenic principle of relationship.The first solution is today rather in favour, since modern physics, especially based on the Uncertainty Principle ofHeisenberg, is inclined to repudiate a strictly causal connection of events in the realm of atomic processes.Broadening of the principle of causality is aimed at to a certain degree by the doctrine of holism. According to this theory biological axioms, principles, and laws are the more universal and the more widely valid, and physical laws should be deduced from them by simplification (Ad. Meyer).The third way is followed by vitalistic doctrines.The trialistic doctrine, presented by the author, represents a development of vitalistic theory. It does not content itself with establishing the fact of the heterogenity of causal and biological laws, but tries to go beyond this and to understand, why the laws of the organic world are of just their special kind and not of another. Moreover it attempts to fit these distinctive principles into the universal system of laws. The trialistic theory divides the wholeness of events into three fundamentally different dimensions, into matter, psyche and spirit, or within the special sphere of living forms into: material, vital and organismic dimension. While in the material sphere the causal connection remains dominant, solely and absolutely, the spiritual or organismic dimension is ruled by finality, a mode of connection of a special kind, caracterized by an active influence on the present of the non-realised future.The interposition of a neutral sphere opens up the possibility of understanding the interweaving of causal and final laws, without interference with one another.
Résumé Les lois des apparitions de la vie sont difficilement conciliables avec le principe d'une causalité absolue. Le problème se pose donc de savoir, quelle position et quel rÔle ce principe occupe en biologie. La solution de cette contradiction pourrait Être trouvée dans une atténuation ou un élargissement de ce principe comme tel ou par l'adjonction d'un second principe de liaison hétérogène.La première solution est en faveur aujourd'hui depuis que la physique moderne, s'appuyant principalement sur la Unsicherheitsrelation deHeisenberg, tend à renoncer à une liaison strictement causale de ce qui se passe dans le domaine des processus atomiques.L'élargissement du principe de causalité est désiré en un certain sens par le holisme. Selon cette théorie les axiomes, les principes et les lois biologiques sont plus universels et d'une valeur plus étendue et il faut en déduire les règles physiques par dérivation simplifiante (Ad. Meyer).La troisième solution nous est donnée par les doctrines vitalistes.La théorie présentée par l'auteur, appelée trialiste, met en avant un développement de la doctrine vitaliste. Il ne lui suffit pas de s'arrÊter à l'existence de l'hétérogénité des lois causales et biologiques, mais elle veut aller plus loin, afin de savoir pourquoi les règles déterminant l'organisme sont telles et pas autres. Et elle cherche à mettre de l'ordre dans les principes déterminants en les ènboÎtant dans le système universel de lois. La théorie trialiste divise l'univers des événements en trois dimensions qui sont: Matière, Psyché et Esprit, ou dans le domaine spécial des formes vivantes en: Matière, Dimension vitale et Dimension organismique. Tandis que dans la dimension matérielle la connexion causale est uniquement et absolument valable, la dimension spirituelle ou organismique est régie par la Finalité, un mode de connexion d'un genre spécial, désigné par une influence active du présent par le futur non réalisé.L'interposition d'une sphère neutre nous amène à la possibilité de comprendre l'enchaÎnement es lois causales et finales sans que les unes détruisent les autres.
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19.
Summary I tried to analyse the proceedings of heredity, methodologically separating the factors of irritation and the reaction upon it on the part of the living substance. The question was, to investigate the development of the hereditarily directed growth of the cells by formative irritation according to the conception of H.Driesch, that is to say in their homogeneousness with the biological reaction upon irritation on the part of the nutritive substances. It so became evident, that mechanism and vitalism have to co-operate in separate sections of investigation: the first towards the substancially conceivable side, the latter towards an irrational order of ideas, as vitalism lays them down in Entelechy.Practically the same idea is expressed inSpemann's Regenerations by looking on the Organisatoren as substancial bearers of hereditary immaterial factors. The same thing results in all probability from an analysis ofPawlow's conditioned Teflexes.From all this results, that mechanism and vitalism ought to supplement one another in acting conjointly as to the conception of totality in the organic structure. In his Holism,Adolf Meyer, going beyond mechanism and vitalism, placed his conceptions of totality at the head and by simplification deducted the simple from the complicated.Hans Schmalfuss says: simplifying and complicating have each of them three sides, a substancial one, a planning-one (von Uexküll) and one constructed by thought. The planning side is the connecting link between the substancial side and the one constructed by thought and cannot be separated from either. He proves this by thorough argument in his Substance and Life. He is able to include naturallyvon Uexküll's Planlehre.All this corresponds to the adaptation of all that is living to the environment as belonging to a harmonious life of the individual. Even here the extreme mechanists suppose themselves able to draw upon the future and therefore remain implacable adversaries of vitalism. Perhaps there might be a reconciliation even here, if the order of ideas about an All-life as well as an All-plan combined with Holism should prove indispensable in scientifically enlightening the mystery of life.There follow a few words concerning the problem of heredity of qualities acquired, erworbene Eigenschaften (V. e. E.).
Résumé J'ai essayé d'analyser les procédés de l'hérédité en séparant méthodologiquement les facteurs de l'irritation et ceux de la réaction de la part de la substance vivante. Il s'agit ici du développement de la croissance (dirigée par droit d'hérédité) des cellules par l'irritation formative d'après la conception de H.Driesch, cela veut dire d'après leur homogénéité avec la réaction biologique de la substance nutritive. Il se montra ainsi, que le mécanisme et le vitalisme doivent coopérer: le premier du côté substantiellement concevable, le dernier du côté de l'ordre des idées irrationelles telles que le vitalisme les expose dans l'entéléchie.Pratiquement, la même idée est exposée dans les Régénérations deSpemann, en regardant les Organisatoren comme porteurs des facteurs héréditaires et immatériels. Le même résultat se montre avec probabilité dans une analyse des réflexes conditionels dePawlow.De tout cela résulte, que le mécanisme et le vitalisme devraient suppléer l'un l'autre dans un travail commun quant à la notion de totalité dans la croissance organique. Dans son Holisme,Adolf Meyer, allant au delà du mécanisme et du vitalisme, a mis à la tête la conception de totalité et par la simplification il a déduit le simple du compliqué.Hans Schmalfuss dit: la simplification et la complication ont chacune trois côtés, un côté substantiel, un côté planlich (von Uexküll) et un côté provenant de la pensée. Le côté planlich est le lien entre le côté substantiel et celui provenant de la pensée et ne peut être séparé d'aucun des deux. Il prouve cela par un argument profond dans son livre la Substance et la Vie. Il inclut tout naturellement la Planlehre devon Uexküll.Tout cela correspond à l'adaptation de tout ce qui est vivant à son milieu, faisant ainsi part de la vie harmonieuse de l'individu. Il est vrai, que les extrêmes mécanistes croient pouvoir tirer sur l'avenir et c'est pour cette raison, qu'ils restent des adversaires implacables du vitalisme. Peut-être y aura-t-il une réconciliation si les ordres d'idées d'un All-Leben ainsi que d'un All-Plan combinés avec le Holisme se trouvent être indispensables à l'éclaircissement du mystère de la vie selon la science.Quelques mots suivent concernant le problème de l'hérédité des qualités acquises, erworbene Eigenschaften (V. e. E.).
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20.
Ohne ZusammenfassungCe n'est pas sans raison queDuchesne qualifiait cette espèce de polymorphe: aucune autre, dans la famille des Cucurbitacées (et peut-être dans tout le règne végétal), ne subit des métamorphoses aussi nombreuses et aussi brusques ...  相似文献   

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