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1.
When females of the screw-worm fly, Chrysomya bezziana Villeneuve, were given a choice of solutions of protein, sucrose and water, their protein intake was substantial only on days 2, 3 and 4 after emergence, and during the 3 days following the first oviposition. Protein consumption by males remained consistently low for 10 days following emergence.Protein ingestion by laboratory-bred autogenous and anautogenous females, autogenous wild females of C. bezziana, and females of the anautogenous blowly species, Chrysomya megacephala (F), was compared. During the first ovarian cycle (days 1–6), protein solution accounted for 9.5% and 9.4% of the total liquid intake of laboratory-bred and wild anautogenous females of C. bezziana. Protein ingestion by C. megacephala females during the first ovarian cycle represented 23% of the total liquids. During the second ovarian cycle in C. bezziana, protein ingestion represented 21% of total liquids.The presence of dry sucrose or sucrose solution of high concentration depressed protein intake during the first ovarian cycle in C. bezziana.Most feeding by females occurred during the photophase with early morning and late evening peaks in carbohydrate ingestion and a late afternoon peak in protein ingestion.The ecological implications of the results are discussed.
Résumé Quand les femelles de Chrysomya bezziana Villeneuve ont le choix entre des solutions de protéine, de sucrose et d'eau, la consommation de protéines n'est importante que lesond, troisième et quatrième jours après l'émergence, et pendant les 3 jours suivant la première ponte. La consommation de protéines par les mâles reste faible pendant les 10 jours qui suivent l'émergence.Les consommations de protéines par des femmelles de Chrysomya bezziana (sauvages autogènes, elevées en laboratoire autogènes et anautogènes) et par des femelles de l'espèce anautogène Chrysomya megacephala F. ont été comparées. Pendant le premier cycle ovarien (jours 1 à 6) les solutions de protéine ingérées par les femelles autogènes (issues du laboratoire et sauvages de Chrysomya bezziana) correspondent respectivement à 9,5% et 9,4% du liquide total absorbé. Pendant le premier cycle ovarien la quantité de protéine ingérée par les femelles de Chrysomya megacephala représente 23% du liquide absorbé total. Pendant le second cycle ovarien de Chrysomya bezziana, les protéines ingérées représentent 21% de l'absorption totale de liquide.La présence de sucrose sec ou en liquide à concentration élevée réduit la consommation de protéines pendant le premier cycle ovarien de Chrysomya bezziana.L'essentiel de l'alimentation des femelles en carbohydrates a lieu pendant la photophase avec des pics tôt le matin et tard le soir, et avec un pic en find d'après midi pour les protéines.Les conséquences écologiques de ces résultats sont discutées.
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2.
Genetic regulation of autogenous fecundity was examined in the mosquito Aedes atropalpus. Only one of four subspecies was found to contain all the genetic factors needed to produce, without blood-feeding, an average in excess of 150 eggs/female. This was the type form, A. a. atropalpus, which possessed the gene for autogeny (A) and a genetic background which enhanced fecundity. In contrast, strains of A. a. epactius, A. a. perichares and A. a. nielseni lacked both genetic systems. When the genome of A. a. atropalpus was progressively replaced by repeated crossing to the other subspecies, a stepwise decrease in autogenous fecundity was noted over several generations. However, this trend was stopped and in certain cases reversed by back-crossing to the type form. Thus it appears that in the type-form genome there are several modifier genes which enhance the expression of the gene A.
Résumé Aedes atropalpus dont l'aire d'extension s'étend du Labrador au Panama présente quatre sous-espèces, dont une seule, la forme-type A. a. atropalpus, est autogène, les trois autres: A. a. epactius, A. a. perichares, A. a. nielseni étant anautogènes. Les femelles anautogènes sont homozygotes pour l'allèle récessif, a.Les hybrides F1 issus de croisements entre les lignées autogènes et anautogènes sont autogènes, mais leur fécondité est réduite. Des croisements de retour répétés entre ces hybrides et les formes anautogènes aboutissent à une réduction progressive de la fécondité. Cependant cette réduction peut être stoppée et, dans certains cas, inversée par croisement de retour avec la forme-type autogène. Ces faits conduisent à envisager que le génome des femelles de type autogène contient, outre le gène dominant A, un certain nombre de gènes modificateurs qui en renforcent l'expression. Les trois sous-espèces anautogènes manqueraient de certains, sinon de tous ces gènes modificateurs. La réduction progressive de la fécondité chez les hybrides résulterait de la perte successive au cours des croisements de retour, de ces gènes modificateurs.
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3.
The vast majority of females of the Old World screw-worm fly, Chrysomya bezziana Villeneuve (Diptera: Calliphoridae), from field populations and from normally maintained laboratory cultures are autogenous. Anautogenous C. bezziana females which are smaller in size are produced when the larval feeding period is curtailed. Autogenous and anautogenous C. bezziana were compared with reference to abdominal larval fat body (LFB), ovarian development and protein relationships. At emergence, autogenous C. bezziana have larger amounts of LFB relative to body size than anautogenous C. bezziana. Volume of LFB is directly correlated with body size in females showing autogeny but there is no correlation with size in females in the anautogenous size classes. Males and females of equal sizes have the same volume of LFB and their rates of LFB depletion are similar and temperature-dependent. In autogenous females, about 70% of the LFB disappears before vitellogenesis begins. LFB disappears more rapidly in smaller flies. In anautogenous C. bezziana females, access to a source of protein from the time of adult emergence reduced the rate of LFB depletion, but in autogenous flies the depletion rate is not affected by diet.LFB protein accounts for about 24% of total protein in newly emerged autogenous females of C. bezziana. The protein content of the mature ovaries of non-protein-fed wild C. bezziana is 85% of that of the original LFB protein. Non-protein-fed anautogenous C. bezziana of the same age have negligible quantities of ovary protein.
Résumé Les femelles provenant de populations naturelles ou d'élevages traditionnels en laboratoire de la mouche Chrysomya bezziana sont en large majorité autogènes. Des femelles de C. bezziana non-autogènes et de taille réduite sont obtenues lorsque la durée de l'alimentation larvaire est abrégée. Les relations entre corps gras abdominal des larves (CGL = LFB dans le texte anglais), développement ovarien et réserves protéiniques ont été comparées chez les femelles autogènes et non-autogènes. A l'émergence, les femelles autogènes ont un CGL rapporté au poids corporel plus abondant que les femelles non-autogènes. Le volume du CGL est en relation directe avec la taille des femelles autogènes, mais cette corrélation ne se vérifie pas chez les femelles non-autogènes. A taille égale, mâles et femelles ont un volume égal de CGL, lequel s'épuise à la même vitesse, dépendant de la température. Chez les femelles autogènes, 70% environ du CGL disparaît avant le début de la vitellogenèse. Le CGL décroît plus rapidement ches les mouches de petite taille. Chez les femelles autogènes, le taux d'utilisation du CGL n'est past affecté par l'alimentation; chez les femelles non-autogènes en revanche, l'accès à une source de protéines après émergence des adultes réduit le taux d'utilisation du CGL.Les protéines provenant du CGL représentent quelque 24% du total des protéines ches les femelles autogènes fraîchement émergées. Chez C. bezziana, prélevé dans des populations naturelles et n'ayant pas reçu d'appoint en protéines, les ovaires mûrs contiennent 82% des protéines du CGL d'origine. Au même âge, les femelles non-autogènes n'ayant reçu aucun appoint en protéines ont des quantités insignifiantes de protéines ovariennes.
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4.
The number of ovarioles in female Musca vetustissima (potential fecundity/ovarian cycle) is positively correlated with fly size (headwidth) and potential fecundity does not vary between successive ovarian cycles. Field females of average headwidth (2 mm) have a mean potential fecundity of 25 eggs/cycle. Females are anautogenous, needing to ingest protein-rich material in order to mature their oocytes. Females that obtain insufficient protein material for maturation of full egg complements may cease ovarian development before or during early vitellogenesis, or resorb some of their oocytes and mature the remainder. Field females consistently matured in excess of 85% of their egg complements, indicating that female M. vetustissima have ready access to protein-rich material in the field.
Résumé Le nombre d'ovarioles des Musca vetustissima femelles (fécondité potentielle/cycle ovarien) est lié directement à la taille de la mouche (largeur de la tête); la fécondité potentielle ne varie pas entre les cycles ovariens successifs. Les femelles de la nature, d'une largeur de tête moyenne (2 mm) ont une fécondité potentielle moyenne de 25 oeufs par cycle. Les femelles anautogènes, ont besoin d'un repas riche en protéines pour produire des oeufs mûrs. Les femelles qui n'obtiennent pas la quantité suffisante de protéines pour permettre la maturation d'un lot complet d'oeufs peuvent interrompre leur développement avant ou pendant le début de la vitellogenèse, ou résorber certains ovocytes tout en conduisant à maturité le reste. Les femelles de la nature conduisent a maturité 85% de leurs lots d'oeufs, montrant ainsi que les femelles de M. vetustissima y ont un accès facile à des aliments riches en protéines.
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5.
Oviposition by Lucilia cuprina Wiedemann (Diptera, Calliphoridae) was examined in relation to period of oviposition site-deprivation and egg-load. Effects of oviposition site-deprivation were examined by comparing oviposition performance of individual females that had matured their batch of oocytes within the previous 24 h with that of females which had reached ovarian maturity 8 days previously. Egg-load was manipulated by causing females of this anautogenous species to consume different amounts of protein-rich material. In no-choice experiments, individual females of the different categories were given access for 4 h to oviposition substrate, soaked with (i) liver exudate, (ii) the exudate diluted 16-fold or (iii) the undilated exudate containing the oviposition deterrent sodium chloride at a concentration of 2 M. These solutions elicited oviposition from different proportions of females, but neither these proportions, nor the interval between introduction of the oviposition site and the initiation of oviposition, was significantly affected by the period of oviposition site-deprivation or the number of eggs matured by the females.
Résumé L'effet de la privation de lieu de ponte a été étudié en comparant les pontes de femelles isolées ayant formé leurs ufs mûrs dans les 24 heures précédentes, à celles de femelles ayant atteint leur maturité sexuelle 8 jours avant. La rétention ovocytaire est provoquée en faisant consommer aux femelles de cette espèce anautogène différentes quantités d'aliments riches en protéines. La ponte de femelles dont le contingent total de leurs ovocytes s'est développé, — c'est-à-dire 260 —, après consommation ad libitum de foie de mouton pendant 48 heures, a été comparée à celle de femelles ayant formé 190 ovocytes mûrs après ingestion d'une quantité limitée de jus de foie.Dans des expériences sans choix, les femelles isolées de différences catégories ont eu accès pendant 4 heures au substrat de ponte trempé: 1) dans du jus de foie, 2) dans du jus dilué 16 fois, 3) dans du jus de foie non dilué mais contenant NaCl (inhibiteur de la ponte) à la concentration de 2 M. Le jus non dilué a provoqué une forte stimulation, induisant la ponte de 80% des femelles. Le jus dilué et celui contenant NaCl n'ont induit la ponte que de 40% des femelles avec des niveaux de stimulation bien plus faibles. La date d'introduction du lieu de ponte et le taux de rétention des ovocytes mûrs n'ont eu auçun effet sur la proportion de femelles réagissant à ces 3 types de stimulation.
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6.
The majority of wild and laboratory-reared Chrysomya bezziana Villeneuve (Diptera: Calliphoridae) are autogenous, maturing their ovaries during the first ovarian cycle in the absence of external sources of protein. Very few females mature all their oocytes however, resorption occurring in approximately 30% of oocytes if protein is not available and 10% when protein is ingested. Protein-fed flies produce larger eggs than protein-deprived ones. Females which are underfed as larvae are small and anautogenous, requiring external sources of protein to mature their ovaries. Protein-fed autogenous and anautogenous females mature a similar proportion of oocytes. During the second and subsequent ovarian cycles C. bezziana females are physiologically anautogenous although ad lib. protein feeding during the first ovarian cycle results in most females reaching an early stage of vitellogenesis in the second ovarian cycle. Protein-deprived females cease second cycle development in a previtellogenic stage. When females are given access ad lib. to protein, approximately 16% fewer oocytes are matured in the second and subsequent ovarian cycles than in the first cycle. Oosorption occurs during the early stages of vitellogenesis (stages IV–VI) and follows a similar temporal pattern in successive ovarian cycles.
Résumé La plupart des femelles de C. bezziana provenant de populations naturelles ou d'élevages au laboratoire sont autogènes, leurs ovocytes murissent sans apport externe de protéines au premier cycle ovarien. Chez très peu de femelles tous les ovocytes murissent; environ 30% d'entre eux sont résorbés sans, et 10% avec ingestion de protéines. Les mouches nourries de protéines ont des oeufs légèrement plus grands (1,31 à 1,33 mm de long) que celles privées de protéines (1,29 mm). Les femelles issues de larves sousalimentées sont de taille réduite, non-autogènes, et leurs ovocytes exigent un apport externe de protéines pour mûrir. 88% à 90% des ovocytes des femelles autogènes ou non nourries de protéines parviennent à maturité. A partir du second cycle ovarien, aucune femelle n'est autogène; 56% de celles qui ont disposé de protéines à discrétion pendant le premier cycle ovarien atteignent un stade précoce de vitellogenèse au second. Les femelles privées de protéines ne dépassent pas un stade de prévitellogenèse au second cycle ovarien. Le nombre d'ovocytes parvenant à maturité au cours du cycle second et des suivants n'est diminué que d'environ 16% par rapport au premier cycle si les femelles ont libre accès aux protéines. Quel que soit le cycle ovarien, la résopption a lieu à un stade précoce de vitellogenèse (stade IV à VI) et se déroule de manière comparable dans tous les cycles.
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7.
In the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina, the number of ovarioles, and hence the maximum number of eggs developed in each ovarian cycle, is a linear function of adult size (headwidth). Field females have a mean headwidth of 3.0 mm (range=2.30–3.50 mm) and a mean potential fecundity/cycle of 232 eggs (range=111–318 eggs). Realised fecundity is influenced by the quality and amount of protein in the adult diet. All field females appear to have the same minimum protein requirement for egg maturation, i.e., whatever their size (potential fecundity) females must obtain sufficient protein to mature at least 110 eggs in order to become gravid. Females whose protein intake exceeds this minimum but falls short of the amount needed for maturation of their full egg complements resorb some of their oocytes and mature the remainder. Since potential fecundity increases with fly size, large females resorb more oocytes than small females under suboptimal protein regimes, i.e., the proportion of oocytes resorbed increases with fly size. Under field conditions, females rarely matured full complements of eggs, which indicates a general shortage of protein-rich material. The mean reduction in fecundity of field females during these studies was 53.4 eggs/cycle (23.2%).
Résumé Chez Lucilia cuprina Wied., le nombre d'ovarioles, et ainsi le nombre maximum d'oeufs développés au cours de chaque cycle ovarien, est une fonction linéaire de la taille de l'adulte (largeur de la tête). La largeur moyenne de la tête des femelles de la nature est 3 mm (2,3 à 3,5) et la fécondité potentielle moyenne par cycle de 232 oeufs (111 à 318).La fécondité réelle est influencée par la qualité et la quantité de protéines dans le régime alimentaire. Toutes les femelles de la nature semblent avoir les mêmes exigences minimales en protéines pour la maturation des ovocytes, c'est à dire que quelle que soit leur taille (fécondité potentielle) les femelles doivent obtenir les protéines suffisantes à la formation d'au moins 110 ovocytes pour devenir gravides. Les femelles dont l'absorption de protéines dépasse ce minimum, mais est insuffisant pour permettre la maturation de la totalité de leurs ovocytes, en résorbent quelques uns et conduisent à maturité le reste. Puisque la fécondité potentielle augmente avec la taille des mouches, les grosses femelles résorbent plus d'ovocytes que les petites avec un régime suboptimal en protéines, c'est à dire que la proportion d'ovocytes résorbés augmente avec la taille des mouches. Dans les conditions de la nature, la totalité des ovocytes parvient rarement à maturité, ce qui indique une limitation générale en aliments riches en protéines. La réduction moyenne de la fécondité chez les femelles de la nature a été au cours de cette étude de 53.4 oeufs par cycle (23,2%).
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8.
Laboratory experiments and observations on the oviposition behaviour of the almond seed wasp Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) revealed that the females of this species deposit a host-marking pheromone, immediately after an oviposition, by dragging the tip of their abdomen on the fruit surface. This pheromone enables them to discriminate between the infested and uninfested fruit and to select for oviposition the latter. Its primary function is apparently the prevention of repeated ovipositions in already infested fruit, thus contributing to the optimal utilisation of the available resources for larval development. The responses of individual females to different treatments of almonds, in a series of two-choice tests, revealed that the pheromone can be perceived by the females on direct contact and, when at high concentrations, also olfactorily from a short distance. The pheromone was present inside the abdomen and thorax of females but not of males, and, although water soluble, could not be entirely removed from heavily infested almonds when rinsed with water. Direct observations revealed that after an average of 3.7 successive visits to pheromone-bearing almonds, females were induced to walk or, most often, fly away from the experimental set-up. This suggests that the pheromone may also contribute to the dispersion of the wasps.
Résumé Des expériences de laboratoire et des observations concernant le comportement de ponte de Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) ont montré que, immédiatement après la ponte, les femelles déposent une phéromone de marquage de l'hôte en trainant le bout de leur abdomen sur la surface de l'amande. Cette phéromone les rends capable de distinguer les fruits infectés des non-infectés dt de sélectionner pour la ponte les derniers. Apparemment, la fonction principale de cette phéromone est la prévention de la répétition des ovipositions dans les fruits déjà infectés et la répartition uniforme des oeufs dans les amandes, contribuant ainsi à la meilleure utilisation des ressources disponsibles pour le développement des larves. Des expériences de deux choix entre des fruits de différents traitements ont montré que la phéromone pouvait être perçue par les femelles par le direct contact et, quand elle était à hautes concentrations, par olfaction d'une courte distance. La phéromone était présente dans l'abdomen et dans le thorax des femelles, et bien qu'elle soit soluble à l'eau, elle ne pouvait pas s'éloigner entièrement par lavage des amandes sérieusement infectées à l'eau. Les observations ont démontré qu'après un numéro de 3.7 visites successives sur des amandes portant de la phéromone les femelles s'éloignaient du lieu de ponte en marchant ou, le plus souvant, en s'envolant, ce qui suggère que la phéromone contribue à la dispersion des femelles.
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9.
In ambiphasic females of Acyrthosiphon pisum Harris the antero-posterior disposition of the amphigonic and parthenogenetic ovarioles varies in accordance with the conditions under which they were produced.In ambiphasic females born when the mother stops producing parthenogenetic daughters and starts producing amphigonic daughters, the parthenogenetic ovarioles are located anteriorly. On the other hand, in ambiphasic females born when the mother stops producing amphigonic daughters and starts producing parthenogenetic daughters, the parthenogenetic ovarioles are located nearer the posterior region. This shows that when differentiation of the ovarioles takes place contemporaneously with the switching of the maternal tendency affecting the daughter's reproductive category, the asynchrony in the development of the different ovarioles determines whether or not the ovary becomes ambiphasic.
Résumé Chez Acyrthosiphon pisum l'apparition de femelles ambiphasiques dans la descendance d'une génitrice parthénogénétique ne peut avoir lieu que lorsque celle-ci cesse de produire des femelles de l'une catégorie génétique et commence à en produire de l'autre catégorie.L'examen de la gonade des femelles ambiphasiques a mis en évidence l'existence de deux types différents d'ovaires caractérisés par la disposition particulière des ovarioles amphigoniques et parthénogénétiques.Chez les femelles ambiphasiques qui naissent quand les génitrices cessent de donner des femelles parthénogénétiques et commencent à engendrer des femelles amphigoniques, les ovarioles du type parthénogénétique sont situés près de la région céphalique, tandis que ceux du type amphigonique se situent au voisinage de la région postérieure. Au contraire, chez les ambiphasiques qui naissent quand les génitrices cessent de produire des femelles amphigoniques et commencent à donner des femelles parthénogénétiques, les ovarioles de la région céphalique sont du type amphigonique, tandis que ceux de la région postérieure sont du type parthénogénétique.Cette donnée, ainsi que l'asynchronisme dans le développement des différents ovarioles qui a pu être vérifié par l'analyse cytologique des embryons femelles, indique que la détermination de l'ovaire ambiphasique est provoquée par le changement des conditions physiologiques de la génitrice. Celles-ci règlent la détermination des femelles ambiphasiques à condition que ce changement ait lieu en même temps que la différenciation de la gonade embryonnaire.
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10.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
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11.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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12.
Adult female Blattella germanica (L.) (Dictyoptera: Blattellidae) carrying oothecae were confined in cages with bait formulations of boric acid or hydramethylnon at 90% r.h. and either 20° or 28° C until all had been killed. Females poisoned by hydramethylnon retained their oothecae at death, while a considerable proportion of those killed by boric acid deposited their oothecae prematurely. Oothecae from both groups of insects were monitored until they either hatched or lost viability. Oothecae from both 7–14 day old adults and 14–21 day old adults poisoned with hydramethylnon showed reduced hatching relative to controls at 20° but not at 28 °C, an effect attributed to premature loss of water-exchange between oothecae and female adult during the maturation process. Fewer oothecae hatched from females poisoned with boric acid at both temperatures, and the proportion of those which did hatch was higher in the group retained by the female at death than in the group prematurely deposited. These results for the boric acid-treated females and results which showed no significant difference between the hatch of oothecae from hydramethylnon-treated females and decapitated females suggested that transfer of insecticide from treated female to oothecae was not important in reducing hatch for either compound. Reinfestation as a consequence of the failure of conventional blatticides to prevent hatching of oothecae carried by female B. germanica is discussed.
Résumé Des femelles adultes de B. germanica, maintenues à 20° ou 28° C et 90% HR, ont été exposées, 7 à 14 jours ou 14 à 21 jours après l'émergence à des appâts contenant de l'hydraméthylnone ou de l'acide borique. Empoisonnées par l'hydraméthylnone les femelles retiennent leur oothèque jusqu'à la mort, tandis que empoisonnées par l'acide borique, elles déposent leur oothèque prématurément. Toutes les oothèque des femelles empoisonnées ont été maintenues dans les mêmes conditions écologiques jusqu'à ce qu'elles éclosent ou se révèlent non viables. Avec l'acide borique, une réduction des naissances a été observée pour les oothèques des mères des 2 classes d'âges et aux 2 températures, ce qui n'a eu lieu qu'à la température basse avec l'hydraméthylnone. L'effet ne semble pas dû au transfert de l'insecticide de la femelle à l'oothèque et est plus probablement provoqué par la fin des échanges d'eau entre la mère et l'oothèque, à la mort ou lors de l'émission prématurée. Pour les femelles traitées à l'acide borique, la proportion d'éclosion d'oothèques est plus importante chez les femelles ayant retenu leur oothèque jusqu'à la mort que chez celles qui les ont émises prématurément. Les femelles empoisonnées lors d'opérations d'éradication peuvent mourir ou déposer leurs oothèques loin des zones traitées; les larves éclosant de ces oothèques peuvent maintenir la contamination.
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13.
Apterous virginoparae of Megoura viciae Buckton starved during the fourth instar lost weight but nevertheless completed their development, showing that growth and development could proceed independently. Their weight at the end of starvation was a function of initial weight. Aphids used considerable amounts of lipid during starvation, and if allowed to feed on becoming adult showed a delayed onset to reproduction. Starvation in the fourth instar arrested embryogenesis, and in small aphids resulted in degeneration of gonadal and somatic tissues.
Résumé Des virginipares de M. viciae Buckton, privées de nourriture à partir de la mue au quatrième stade, achèvent leur développement et muent en adulte en perdant du poids; elles montrent que croissance et développement peuvent être indépendants. Le jeûne pendant le quatrième stade provoque en moyenne la perte de 84% des réserves lipidiques. Le poids à la mue imaginale dépend significativement du poids lors de la mue du quatrième stade: de petits pucerons achèvent leur développement plus lentement que les gros. Le jeûne pendant le 4ème stade interrompt l'ovulation et le développement des gonades; lorsque les adultes peuvent se réalimenter après ce jeûne, la période précédant la ponte est plus longue. L'examen histologique montre que les pucerons les plus petits subissent une régression somatique et gonadale plus importante que les plus lourds: la dégenérescence des gonades apparaît chez les petits pucerons après le jeûne au 4ème stade, tandis que les plus gros voient leur potentiel reproductif réduit par un arrêt de l'embryogenèse.
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14.
Temporal changes in the egglaying behaviour of the Hessian fly   总被引:1,自引:0,他引:1  
Responses of mated female Hessian flies were investigated by analysing the behaviour of individual flies in wheat and oats. The behavioural repertoire of such females included: flying, alighting on leaves, arching of the body so that the tip of the abdomen touched the leaf surface, antennation, movements of the tip of the abdomen across the leaf at right angles to leaf veins, sitting with the ovipositor straight but still extended, and sitting with the ovipositor telescoped into the body. After alighting, females on wheat showed a higher frequency of transitions from arching to antennation and a lower frequency of transitions from arching to abdomen straight than females on oats. During the first 5 min of observations, individuals released into arenas with wheat arched and antennated 2–3 times more frequently than females released into oats. Time allotted to behaviours also differed; during the first 5 min, females in wheat spent 50 percent more time arching, whereas females in oats spent 50 percent more time sitting. Females in wheat also stayed longer and laid 4 times more eggs than females in oats. Temporal changes in egglaying were monitored by quantifying hourly rates of egglaying in no-choice assays for several hours following mating at 9:00 am. During the first and second hours post-mating, egglaying occurred infrequently. However, during the third hour post-mating (11:00 am to noon) females on wheat laid 5 times more eggs than females on oats. Rates of egglaying decreased on wheat but increased on oats during the fourth hour, and then during the fifth hour, decreased on both wheat and oats. Changes in egglaying responses were also evident when behaviours of individual females were measured 1–3 h vs. 3–7 h post-mating. Females deprived of host plants and released into wheat or oats later in the day showed higher frequencies of arching and antennation and laid more eggs before leaving the arena.
Résumé Les réactions de femelles préalablement accouplées de Mouches de Hesse ont été examinées en analysant le comportement de femelles isolées sur blé et sur avoine. Le répertoire comportemental de ces femelles comprenait: le vol, l'atterrissage sur feuille, la flexion du corps de sorte que l'extrémité de l'abdomen touchât la surface de la feuille, l'antennation, les mouvements de l'extrémité de l'abdomen sur la feuille à angle droit des nervures, le repos avec la tarière droite et encore dévaginée, le repos avec la tarière télescopée à l'intérieur du corps. Sur blé plus que sur avoine, les femelles après atterrissage ont présenté une fréquence plus élevée de passage de la flexion à l'antennation que de la flexion à l'abdomen droit. Durant les 5 premières minutes d'observation, les individus libérés dans des enceintes avec blé fléchirent et antennèrent 2 à 3 fois plus que ceux libérés sur avoine. Les durées des différentes séquences différaient aussi: sur blé, pendant les 5 premières minutes, les femelles passèrent plus de 50% du temps à fléchir, tandis que sur avoine elles passèrent plus de 50% du temps en repos. Les femelles restèrent aussi plus longtemps sur les feuilles de blé et y pondirent 4 fois plus d'oeufs que sur avoine.Les femelles de M. destructor ont montré une plasticité du seuil d'acceptation. Pendant les premières heures de ponte, elles ont été très sélectives et refusèrent, ou ne pondirent que quelques oeufs sur avoine, mais acceptèrent volontiers le blé. La discrimination s'est poursuivie tant que les femelles ont eu accès au blé en même temps qu'à l'avoine. Cependant, quand les femelles ont été privées de blé pendant plusieures heures, l'acceptation de l'avoine a augmenté. Cet accroissement de l'acceptation a eu lieu à peu près au moment où les femelles sur blé pondaient leurs derniers oeufs.
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15.
A comparison was made in a 16-sided outdoor cage measuring 15 m in diameter of the numbers and physiological stages of mosquitoes taken in a light trap sample from a known population. For each brood, six suction and five light collections were made each night for six successive nights. Both response to light and flight activity tended to increase with age. However, neither the numbers taken at different times during the night nor the ovarian composition of the samples were comparable to collections made outdoors. These differences were probably caused by the contrast between illumination levels inside and outside the cage interacting with the circadian rhythm of crepuscular activity and the physical restrictions of the cage.
Résumé Le but de cette étude est de déterminer le rapport existant entre un échantillonnage par piège lumineux et la population réelle.Des moustiques, venus d'atteindre le stade imaginal, sont relâchés dans une vaste cage de 15 m de diamètre et de 2.5 m d'hauteur, puis sont seulement alimentés de sucre. La proportion de femelles autogènes, le taux d'accouplements, et les réserves énergétiques de chaque couvée ont été précisés. Pour chaque couvée, un mécanisme d'échantillonnage fait alternativement des échantillons par aspiration ou par lumière (en realité aspiration et lumière) pendant six nuits successives. L'échantillon par aspiration 1er commençait au coucher de soleil et terminait au crépuscule astronomique. Un échantillon (échantillon 2me), de duration 5 minutes, se faisait à cette heure et encore à 2200 (échantillon 4me), 0000 (échantillon 6me), 0200 (échantillon 8me) et au crépuscule astronomique du matin (échantillon 10me). Les échantillons 3me, 5me, 7me, 9me et 11me occupaient toutes les autres heures. Du clair de lune simulé se fournissait pour maintenir un niveau uniforme d'illumination pendant toutes les heures sauf les temps des échantillons crépusculaires. En compensation pour les durées inégales des échantillons par aspiration, on a reduit les données au nombre d'individus capturés en 5 minutes. Un échantillon à filet de balayage se faisait suivant les opérations de chaque nuit. Chaque jour on collectionnait les moustiques morts et on estimait les moustiques vivants dans la cage. On examinait les moustiques capturés pour déterminer l'état des ovaires des femelles. En addition, on opérait le mécanisme d'échantillonnage au dehors de la cage.Chaque couvée possédait ses propres caractéristiques concernant la proportion de femelles autogènes et accouplés, et pour les deux sexes la proportion alimenté de sucre, les réserves énergétiques, la mortalité, la réaction à la lumière et le niveau de l'activité du vol. Pour les femelles le niveau de l'activité du vol et la réaction à la lumière semblaient à augmenter avec l'âge, et la réaction à la lumière accroissait plus rapidement qu'accroissait l'activité du vol. A des heures différentes de la nuit il y avait peu de variation d'état des ovaires des femelles échantillonnées, mais il y avait plus de variation entre les échantillons par les méthodes différentes; par example, la proportion la plus petite des femelles gravides s'échantillonnait par filet de balayage et la proportion la plus grande par piège lumineux. La proportion la plus grande des moustiques alimentés de sucre aussi s'échantillonnait par filet de balayage.Les échantillons par aspiration 1er et 11me étaient petits et ne montraient pas des cimes d'activité crépusculaire, tandis que les échantillons 7me et 9me étaient plus grands que les 3e et 5me. Les échantillons par piège de lumière 2e et 10me prenaient deux fois plus des femelles que chacun des autres échantillons par piège de lumière. Le dessin des échantillons par aspiration et par piège de lumière dans la cage ne ressemblait pas au dessin au dehors. Ces différences probablement ont été causées par le contraste entre les niveaux d'illumination à l'intérieur et à l'extérieur de la cage qui s'entragit avec le rhythme circadien d'activité crépusculaire et les restrictions physiques imposées par la cage. Le comportement normal n'était pas possible et les résultats d'échantillonnage obtenus dans une cage, même tellement grande, n'étaient pas comparable aux résultats aux conditions naturelles.
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16.
Ovarian maturation was prevented in 7-, 22-, 23- and 28-day-old females of Dacus oleae (Gmelin) (Diptera: Tephritidae), developed in the pre-imaginal stages at LD 12:12, 19±1°C and kept as adults at LD 16:8, 26±1°C without access to olive fruits. In females of the above ages having continuous access to olive fruits and held under the same photoperiod and temperature conditions, 54, 87 and 100%, respectively, had mature oocytes. When the females had access to domes of paraffin wax, the percentages of females with mature oocytes were intermediate between those with and those without access to olive fruits. Under the above photoperiod and temperature conditions unfavorable for maturation, 50% of 4-week-old females had mature oocytes if exposed for one week to olive fruits during their first week and 91% if exposed during their 4th week of adult life. The respective percentages with wax domes in the cages were again intermediate between those with olives and those without olives or wax domes. The presence of olive fruits had also a strong positive effect on the ovarian maturation of females which developed from egg through the adult stage at LD 16:8, 26±1°C, a condition favoring ovarian maturation. Access to wax domes had again an intermediate effect on maturation. It is concluded therefore that the lack of ovarian maturation of D. oleae females which is observed under a short photophase during the pre-imaginal stages if followed by a long photophase and an increase of temperature during the adult stage, continues at least till the end of the 4th week of adult life in the absence of olive fruits but is averted when such fruits are offered to the adult flies.
Résumé La maturation ovarienne des femelles adultes agées de 7, 22–23 et 28 jours de D. oleae ayant accompli leur développement embryonnaire, larvaire et nymphal en LD 12:12, 19±1°C et maintenues en LD 16:8, 26±1°C, sans accès à des olives, est inhibée. Dans les mêmes conditions, mais avec accès permanent à des olives, 54% des femelles ont des ovocytes mûrs à 7 jours, 87% à 22–23 jours et 100% à 28 jours. Avec des femelles ayant accès à des domes de paraffine, les pourcentages d'individus ayant des ovocytes mûrs sont intermédiaires entre ceux des deux situations précédentes. Dans les conditions cidessus défavorables à la maturation ovarienne, 50% des femelles de 28 jours ont des ovocytes mûrs si elles sont en présence d'olives durant leur première semaine de vie imaginale et 91% si elles sont en présence la 4éme semaine. Les pourcentages respectifs concernant les femelles pourvues de dômes de paraffine sont encore intermédiaires entre ceux des femelles avec olives et ceux de femelles privées de tout substrat. La présence d'olives a aussi un effet fortement positif sur la maturation ovarienne de femelles ayant accompli leur développement pre-imaginal et maintenues aussi à l'etat adulte en conditions LD 16:8, 26±1°C, favorisant la maturation ovarienne. L'accès à des dômes de paraffine a, là encore, un effet intermédiaire. On conclut par conséquent que la non maturation ovarienne des femelles de D. oleae qui est causée par une photopériode à jour court pendant la vie pre-imaginale accompagné par une photopériode à jour long et une augmentation de la température pendant la vie imaginale persiste au moins jusqu'à la fin de la quatrième semaine de la vie imaginale en absence d'olives, mais ne se produit pas si on met les femelles adultes en présence d'olives.
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17.
The influence of odours of fresh larval rearing medium and of con-specific adult males and females on the distribution of eggs laid by E. cautella, was studied in choice experiments. Odours of larval rearing medium localised oviposition in the vicinity of the medium. Airborne stimuli from pairs of con-specific males and females exerted a similar influence. The strength of the response of ovipositing females increased linearly with a logarithmic increase in the number of con-specific paris.Odours from adult males exerted a major influence in this response to pairs, although airborne stimuli from females may have played a minor role. Positive responses were obtained to odours from methylene chloride extracts of the wings and genitalia of males, but not to extracts of the rest of the body of males, or to female body parts.This response of ovipositing females is discussed briefly in relation both to its possible biological function and to the control of E. cautella.
Influence de stimuli odorants issus des adultes d'ephestia cautella, et véhiculés par l'air, sur le comportement de ponte de cette espéce

Résumé L'influence des odeurs propres d'un milieu d'élevage larvaire et celle des odeurs émises par les adultes de chaque sexe de même espèce, sur le choix du substrat de ponte des femelles d'E. cautella, ont été étudiées expérimentalement. Il est reconnu que les odeurs sui-generis du milieu d'élevage larvaire provoquent la ponte dans le voisinage immédiat de ce milieu; une influence analogue est mise en évidence, des stimuli odorants issus des mâles ou des femelles de cette même espèce. La réponse positive des femelles pondeuses s'accroît de façon linéaire et en fonction logarithmique avec le nombre de couples en présence (Fig. 1).Les odeurs émises par les mâles adultes exercent une influence prépondérante, bien que les mêmes stimuli issus des femelles puissent jouer un rôle mineur. Des réponses positives sont obtenues à partir d'extraits d'ailes et de genitalia mâles dans le chlorure de méthylène; les autres parties du corps du mâle ne sont pas attractives, de même que les extraits du corps des femelles.Cette réponse des femelles d'E. cautella, dans leur comportement de ponte, est discutée quant à sa signification biologique, mais aussi en vue d'une orientation plus localisée et plus efficace de la lutte contre cet insecte, dans les entrepôts de grains ou farine.
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18.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

19.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
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20.
Unless leaf-water content is maintained near the saturation level of excised leaves via high humidities and leaf-water supplementation via the petiole, larval growth is suppressed. In 87 paired feeding experiments involving sixteen species of Lepidoptera, the effects on larval growth of leaves with, and without, leaf-water supplementation were compared. Suppressive effects upon the efficiencies of larval growth were observed for larvae fed leaves without water supplementation. These effects were more pronounced for tree leaf-feeders than for forb leaf-feeders.
Résumé La croissance des chenilles est supprimée quand la teneur en eau des feuilles coupées n'est pas maintenue proche de la saturation grâce à une humidité ambiante élevée et grâce à un apport d'eau supplémentaire par le pétiole. La comparaison des effets sur le développement larvaire de 16 espèces de Lépidoptères avec ou sans apport supplémentaire d'eau foliaire a été effectuée au cours de 87 expériences.L'absence d'apport supplémentaire d'eau affecte la croissance des chenilles alimentées sur feuilles. Les effets les plus marqués s'observent sur l'avant dernier stade et sont plus nets sur les chenilles consommant les feuilles d'arbres que sur celles consommant les plantes herbacées. L'E.C.D. (efficacité de conversion de la biomasse digérée) subit la réduction la plus nette, particulièrement chez les chenilles consommatrices de feuilles d'arbres. La teneur en eau de ces dernières est faible même quand elles sont saturées. La croissance des chenilles observée dans ces expériences laisse supposer que les feuilles d'arbres, avec une teneur à saturation de 50% à 75% d'eau, ne permettent pas le taux de croissance des chenilles des plantes herbacées dont la teneur en eau est de 80% à 95%.Un apport supplémentaire en eau pour les feuilles d'arbres peut empêcher la combustion superflue de biomasse assimilée et d'énergie pour l'eau métabolique, ainsi que toutes les tentatives pour mesurer les dépenses respiratoires liées au degré de spécialisation alimentaire larvaire ou les possibilités de détoxification devraient comprendre un apport supplémentaire d'eau pour maintenir la saturation des feuilles coupées. Même alors, l'efficacité des conversions de biomasse végétale, d'énérgie et d'azote pendant la croissance larvaire dépend fortement des disponibilités, pour les larves, des différentes plantes-hôtes, en eau foliaire.
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