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1.
Rakotonomenjanahary, M.O. & Hawkins, A.F.A. 2000. Le Projet ‘Zicoma’ ou ‘zones d'importance pour la conservation des oiseaux a Madagascar’. Ostrich 71 (1 & 2): 168–171.

Madagascar a seulement 277 espèces d'oiseau recensées jusqu'à maintenant. Mais le niveau d'endémisme est très élevé avec 110 espèces endéemiques, 37 genres endémiques et 5 familles endémiques. Selon les critères internationaux, 45 eqèces sont menacées globalement et 9 autres espèces sont des oiseaux à territoire restreint. Au cours d'un atelier, 37 ornithologues basés à Madagascar ont identifyé 53 sites qui sont considérés comme ZICO confirmé et 52 autres ZICO provisoires. ASITY, la première association pour les ornithologues Malagasy, était constituée pendant I'atelier. Le programme ZICOMA commencera en 1997 avec la formation technique des chercheurs Malagasy pour faire des missions sur le terrain des ZICO nonfirmés.

Rakotonomenjanahary, M.O. & Hawkins, A.F.A. 2000. The Important Bird Areas programme in Madagascar. Ostrich 71 (1 & 2): 168–171.

Madagascar does not have a rich avifauna, with 277 species recorded to date. However, the level of endemism is very high: 110 endemic species, 37 endemic genera, and 5 endemic families. Following international criteria, 45 species are globally threatened and a further 9 qualify as restricted area species. A workshop involving 37 Madagascar-based ornithologists identified 53 confirmed IBA's, and a further 52 possible IBA's. ASITY, the first Malagasy ornithological society, was founded during this meeting. The Zicoma project, commencing in 1997, will focus on the assessment of the unconfirmed IBA sites, and on the training of local personnel.  相似文献   

2.
Une analyse bibliographique exhaustive révèle que 71 espèces et sous-espèces d’Odonates sont présentes sur l’ensemble des îles voisines de Madagascar appartenant aux archipels des Mascareignes, des Comores et des Seychelles. Le taux d’endémisme maximal pour l’ensemble des îles voisines de Madagascar est de 34 %. Le taux d’endémisme est sensiblement plus important dans les Mascareignes (34 %) qu’aux Comores (23 %) ou aux Seychelles (19 %). Le peuplement odonatologique y est dominé par les Libellulidae (36 taxons) et les Coenagrionidae (18 taxons). Chaque archipel possède au moins un des 23 taxons endémiques présents sur ces îles. Les Seychelles comptent deux genres monospécifiques endémiques: Allolestes et Leptocnemis. Les Mascareignes abritent deux genres endémiques: Thalassothemis et Coenagriocnemis. Ce dernier a subi une radiation évolutive au sein de l’archipel. Les îles voisines de Madagascar se caractérisent par une radiation évolutive des genres Hemicordulia et Gynacantha à l’échelle de la région. Les affinités géographiques sont principalement afro-tropicales. La colonisation à partir de l’Afrique est le fait de taxons particuliers qui ne sont pas un échantillon aléatoire de l’ensemble du pool continental. Sur l’ensemble des îles voisines de Madagascar, la richesse spécifique des peuplements d’Odonates d’affinité africaine est maximale sur les îles proches du continent.  相似文献   

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Du fait de l’histoire géologique des Mascareignes et des trajectoires cycloniques dans le sud-ouest de l’océan Indien, l’affinité de la faune odonatologique de la Réunion est essentiellement mauricienne. L’étude de la distribution des Odonates en fonction des différents écosystèmes aquatiques de l’île montre que: 1. Les espèces indigènes ayant une vaste répartition géographique se rencontrent essentiellement dans les écosystèmes ouverts de basse et moyenne altitude (de 0 à 800 m d’altitude). Ces écosystèmes peuvent héberger jusqu’à 13 espèces et possèdent les plus fortes densités odonatologiques. 2. La faune odonatologique de la Réunion se distingue de celle des autres îles de la sous-région malgache par la présence de deux espèces continentales cantonnées à des altitudes supérieures à 1000 m. 3. Les espèces endémiques fréquentent surtout les écosystèmes forestiers. Ces écosystèmes ne présentent au plus que cinq espèces de la faune odonatologique de l’île. En définitive, il apparaît donc que la spéciation des Odonates à la Réunion ne se fait pas dans les écosystèmes diversifiés comportant des espèces à large répartition géographique, mais dans un ensemble d’écosystèmes marginaux à faible diversité odonatologique.  相似文献   

5.
Hawkins, A.F.A., Andrianarimisa, A., Rakotonomenjanahary, O.M. & Raminoarisoa, V.M. 2000. Inventaire des oiseaux de la Reserve Naturelle Integrale de Zahamena, Madagascar. Ostrich 71 (1 & 2): 317.

Zahmena est une Reserve Naturelle Integrale de 73 160 ha situé dans le centre-est de Madagascar. Nous y avons visités 4 sites entre 465–1490 m d'altitude. Nous avons trouvé 17 espéces d'oiseaux inconnus jusque là dans là Reserve. Maintenant, un total de 108 espéces d'oiseaux est ainsi recensée dans la Reserve, y compris 36 de 38 espèces limitées aux forêts humides de l 'est de Madagascar. Le site le plus riche, tout au niveau des espèces forêtières qu'au niveau d'espèes menackes, était le site le plus oriental et le plus bas (Namarafana). Les communautkes d'oiseaux étaient diffbrents selon on se situait dans les montagnes ou en basse altitude. Parmi les espbces recensks se trouvaient l'Aigle Sexpentaire de Madagascar Eutriorchis astur et le Newtonie de Fanovana Newtonia fdnovanae, tous deux trouves uniquement dans le site situk a la plus basse altitude.  相似文献   

6.
Connu d’Afrique continentale et des Mascareignes, le genre Leptocerina Mosely est, ici, signalé de Madagascar. Cinq espèces endémiques sont décrites, quatre sont nouvelles, la cinquième a été décrite dans le genre Leptocerus Leach. Leur répartition géographique est étudiée et analysée en fonction de critères écologiques.  相似文献   

7.
Nous avons récolté 32 espèces de Collemboles dans les sables littoraux de Madagascar, dont huit nouvelles pour la science, 23 nouvelles pour l’île. Près de 30% sont endémiques et 70 % psammobiontes. Le nombre total de Collemboles connus de Madagascar est maintenant de 103 espèces, avec 74% d’endémiques.  相似文献   

8.
Afin de connaître la faune des cicadiaires dans le vignoble tunisien, plusieurs collectes ont été réalisées. Ces prélèvements de 1109 spécimens, effectuées aussi bien sur la vigne que sur les adventices, au cours de l’année 2001, ont concerné plusieurs parcelles, dans les principales régions viticoles du pays : Rafraf, Baddar, Mraissa, Belli, Gobba et Bousalem. Trente espèces d’Hemiptera: Cicadomorpha et Fulgoromorpha, ont été collectées dont les espèces vectrices de phytoplasme et les espèces aux dégâts directs sur la vigne. 82,50% des espèces de cicadelles rencontrées en Tunisie sont signalées comme vecteurs de virus ou de phytoplasmes causant des maladies graves ou comme ravageurs directs des cultures. Les 17,49% restant ne jouent pas de rôle important sur les cultures.  相似文献   

9.
Huit espèces de Lasioglossum sont inventoriées de Nouvelle-Calédonie. Un nouveau sous-genre cleptoparasite endémique, avec une nouvelle espèce, Lasioglossum (Parachilalictus n. subg. ) neocaledonicum n. sp., est décrit. Les espèces endémiques suivantes du sous-genre Chilalictus sont nouvelles : Lasioglossum (Chilalictus) alticola n. sp., L. (C.) tchambae n. sp. et L. (C.) webbi n. sp. Une nouvelle sous-espèce, Lasioglossum (Chilalictus) polygoni austrocaledonicum n. ssp., est décrite de Nouvelle-Calédonie et d'Australie. Les espèces australiennes L. (Chilalictus) lanarium (Smith 1853) et L. (C.) instabilis (Cockerell 1914) sont découvertes pour la première fois en Nouvelle-Calédonie. Lasioglossum (Parasphecodes) sulthicum (Smith 1853) est la première espèce de ce sous-genre australien signalé en Nouvelle-Calédonie. L’émergence du parasitisme et la spéciation en condition insulaire font l'objet d'une discussion. Le cleptoparasitisme du nouveau sous-genre Parachilalictus n. subg. peut être établi en examinant un ensemble de caractères morphologiques convergents chez les groupes parasites de Halictidae dont les principaux sont la réduction de la brosse collectrice de pollen sur les pattes postérieures et l'aplatissement de la quille du labre. La forte ressemblance de Parachilalictus n. subg. avec les espèces de Chilalictus endémiques de Nouvelle-Calédonie et son absence en Australie suggère une spéciation locale et récente. Les deux nouvelles espèces endémiques décrites dans le sous-genre Chilalictus et dont Parachilalictus n. subg. pourrait avoir émergé ont une distribution montagnarde (L. alticola n. sp. , L. tchambae n. sp.). Dans le complexe L. polygoni (Cockerell 1929), la spéciation s'exprime par la variation de la densité et la force de la ponctuation. A basse altitude et le long de la côte ouest plus sèche, on trouve la sous-espèce typique polygoni. A des altitudes variant de 5 à 1150m, il existe clairement deux autres sous-espèces. La nouvelle sous-espèce austrocaledonica ne se trouve que dans la partie sud de l’île, en milieu ouvert de « maquis » tandis que la sous-espèce delobeli Pauly & Munzinger 2003 a une distribution plus étendue sur les massifs montagneux de la partie est, et a été rencontrée essentiellement le long de pistes forestières en forêt dense humide. Cette dernière sous-espèce habite aussi l'Australie.  相似文献   

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Resumé

Corrélation entre le nombre des chromosomes et les dimensions des microscopores dans la taxonomie botanique. spectre génétique pollinique.

Le concept de proportion domine dans la nature vivante. L'intéraction du noyau et du cytoplasme détermine sur le volume de ce dernier et en conséquence sur la cellule à l'état jeune, une régulation des dimensions cellulaires.

Non seulement la forme des divers pollens, mais aussi leurs dimensions (en tenant compte des fluctuation possibles), constituent des caractères qui peuvent avoir une importance taxonomique, tant par eux memes que par le fait d'etre mis en rapport avec les nombres des chromosomes.

On a déjà constaté que le numéro diploïde 24 est le plus fréquent, soit dans le règne animal que dans le régne végétal et que les numéros diploïdes compris entre 12 et 32 sont plus fréquents dans les plantes, que les autres numéros. Corrélativement l'A. a constaté que le diamètre équatorial le plus fréquent dans les pollens est celui de 23–25 microns; suivent, avec des fréquences décroissantes, les mesures 16–14–18–32–12 etc. microns.

De même, tandis que les numéros diploïdes éleves (2a = 100–200) sont très rares dans les plantes, les espéces avec des pollens à grains volumineux sont elles aussi en nombre très réduit.

Parmi les Convolvulacées, au nombre chromosomique diploïde 2n = 14 de Cuscuta europaea correspondent des microspores de 18–25 μ à 2n = 50 de Convolvulus arvensis, microspores de 50–70 μ, tandis que les Ipomées ayant un nombre élevé de chromosomes (2n = 60, 2n = 90 ca.) ont des grains de pollen d'un diamètre de 150–210 microns. Parmi les Nyctaginacées, le genre Bougainvillea (2n=20) a des pollens de petites dimensions dont le diamètre equatorial est de 30–40 microns, tandis que le genre Mirabilis (2n = 58) a des graines de pollens de grandes dimensions, de 160–226 microns de diamètre.

Bien d'autres exemples de corrélation semblables, appartenant à plusieurs genres et families de plantes, peuvent être cités, sur la base de l'examen des pollens de plus de 1000 espèces.

Si des espèces de proche parenté et semblables au point de vue de la taxonomie, diffèrent entre elles par le nombre des chromosomes respectifs, elles diffèrent aussi quant aux dimensions des pollens.

Le cardinal diamétrique equatorial des grains de pollens des espèces vraisemblablement élémentaires et de leurs variétés est souvent très proche du cardinal chromosomique diploïde des entités respectives; il est quelquefois un des ses multiples, très rarement un sous-multiple.

Tandis que la proportionalité entre les dimensions des grains de pollen et le nombre des chromosomes est fréquente dans les espèce élémentaires, elle nè se rencontre pas dans beaucoup d'autre cas, à cause de l'interférence de la polyploïdie. Dans les Cucurbitacées, aux pollens avec grains de 20 et 22 μ (Bryonia dioica, Momordica charantia) correspondent 2n = 20 et 2n = 22 respectivement; tandis que dans les espèces à gros grains de pollens (Cucurbita pepo: 170 μ; Cucumis sativus: 72–76 μ) ont a trouvé jusqu'à present: 2n = 40,42 (80) et 2n = 14,28 respectivement.

Une des manifestations de la polyploïdie, est la présence dans les pollens de macro-grains, de grains abortifs, de sillons et de pores aberrants, en somme de grains atypiques par leur forme et parfois aussi par leur coleur, présence qui, outre à indiquer l'origine hybride, peut, dans certains cas, inciter à faire des recherches sur les parents supposés et à tirer un plus grand parti de ces caractères.

Dans bien de cas il est possible de dessiner les spectre des pourcentages selon lesquels les différentes entités on concouru à la constituion de la variété ou de la cultivar.

L'A. propose d'appeler un tel diagramme: spectre génétique pollinique. [Agrave] le définir concourent aussi bien les différences morphologiques et microchimiques, que le pourcentage des grains physiologiquement inactifs (abortifs).

La biométrie est très utile dans l'interprétation des préparations microscopiques hétérogènes des allopolyploïdes.  相似文献   

12.
Randrianasolo, H. 2000. Écologie alimentaire des groupes plurispecifiques d'oiseaux de la foré pluviale du Parc National de Ranomafana, Madagascar. Ostrich 71 (1 & 2): 315.

Le but de cette étude est d'identifier la niche écologique et les recouvrements éventuels des especès d'oiseaux qui rentrent dans la composition des groupes plurispècifiques qui frequentent la strate arbustive de la forêt pluviale du Parc National de Ranomafana, localisé à une altitude moyenne de 1 200 m dans le sud-est de Madagascar. Les espèces les plus communes qui rentrent dans la composition de ces groupes plurispècifiques sont le Bulbul de Madagascar Phyllastrephus madagascariensis, le Bulbul zosterops Phyllastrephus zostemps, I'Oxylabe à gorge blanche Oxyrabes madagascariensis. 1'Eroesse à queue étagee Hartertula flavoviridis, toutes principalement insectivores. L'écologie alimentaire de ces espéces n'a pas encore fait l'objet d'é'tudes detaillees. Cabondance relative des espéces rentrant dans la composition des groupes a été éstimée par la methode des transects par itineraire echantillon realises dans la forê La surface minimale nécessaire à chaque groupe a été éstimée en prenant en consideration le nombre d'individuel de chaque espèce dans chaque groupe. Pour chaque individu les paramétres suivants ont été relevis et comparees avec ceux collectts pour les autres individus, a savoir la hauteur de capture des proies, la nature du substrat utilisk dans le cadre de la capture, le diamttre et la position du substrat et le pourcentage d'ombrage. Un total de 411 observations vient etayer cette etude ecologique. Par ailleurs des mesures morphometretriques ont été réalisées sur différents individus des différentes espéces (bec, tarse, doigt, ongle, aile et queue). La niche Ccologique de chacune de ces esptces forestitres est definie et justifyée par l'analyse conjuguee de ces données écologiques et morphometriques.  相似文献   

13.
14.
A partir de dissections systématiques de femelles capturées sur le terrain, une étude des caractéristiques de la reproduction de Machaeridia bilineata Stål a été réalisée dans les savanes de Lamto (Côte d'Ivoire), complétée par quelques données en provenance de Ouango-Fitini. Cet acridien univoltin, une des espèces dominantes de Lamto, passe la saison sèche au stade d'imago immature. Le dépôt du vitellus commence dans les ovocytes vers la mi-février, soit près de 2 mois après les mues. Au cours de sa vie, une femelle ne pond en moyenne qu'une fois et demi à deux fois, mais avec un taux de réussite de 95%. Chaque femelle produit alors de 15 à 20 ?ufs. Une des caractéristiques de cette espèce est la rétention des ovocytes dans les calices avant la ponte. A Ouango-Fitini, les phénomènes sont décalés de 5 à 6 semaines par rapport à Lamto. Il n'y a pas de lien entre le début de la maturation sexuelle et le passage des feux. Pour la période d'étude, il existe une relation avec l'arrivée des premières pluies, mais les limites de ce synchronisme restent à préciser.  相似文献   

15.
Le percher est un comportement répandu chez les espèces d’un assemblage de Scarabaeinae d’une forêt non perturbée de Guyane française. Quarante-trois espèces de percheurs ont été répertoriées sur 7 ans d’échantillonnage. Les fouisseurs diurnes de petite taille (moyenne 7,0 mm) dominaient sur les feuilles isolées et autour des défécations de Singes hurleurs ou des fèces humaines, avec une hauteur moyenne de percher de 62,8 cm. Les hauteurs étaient positivement corrélées aux tailles des insectes excepté pour cinq grandes espèces dont trois possédaient une défense chimique contre les prédateurs. Deux complexes mimétiques ont été identifiés. L’agrégation en dehors de la présence de ressource a été montrée. Les défécations de singes provoquaient une concentration d’insectes dont des Canthon (Glaphyrocanthon) arboricoles qui formaient leurs pilules sur les feuilles. D’autres espèces perchaient en attente de rencontrer au sol un partenaire ou de se livrer au kleptoparasitisme. Les signaux olfactifs pourraient jouer un rôle dans diverses modalités du percher. Compétition et prédation semblent être les principales contraintes auxquelles le percher répond.  相似文献   

16.
K. C. Mathur 《BioControl》1967,12(4):443-448
Résumé La recherche des ennemis naturels deBissetia steniellus (Hampson) [Lep. Pyralidae] gravement nuisible à la canne à sucre dans la province du Punjab, a permis de découvrir six espèces parasites des chenilles et deux autres parasites des chrysalides. Aucune de ces espèces n'avait été trouvée auparavant sur cet h?te. L'auteur suggère l'extension de cette étude en vue de vérifier le r?le du BraconideStenobracon deesae Cameron vis-à-vis de ce Lépidoptère d'une part, et de rechercher au Vietnam de nouveaux parasites de cette espèce pour leur introduction ultérieure en Inde d'autre part.

This research has been financed in part by a grant made by the United States Department of Agriculture under P.L. 480.  相似文献   

17.
Dans le cadre de l’inventaire des Eumaeini de Guyane (Lycaenidae, Theclinae), trois nouvelles espèces sont décrites: Siderus nouraguensis n. sp., Nicolaea salki n. sp. et Ostrinotes silva n. sp. Elles appartiennent à des genres différents regroupés dans la section Tmolus de la tribu des Eumaeini. La première espèce provient de la Réserve Naturelle des Nouragues (ONF/CNRS). Elle a été capturée au sommet de l’inselberg dans un biotope très particulier (savane-roche) et pourrait être inféodée à cette végétation typique basse et xérophile poussant sur la roche. En plus d’être écologiquement inhabituelle, cette espèce est morphologiquement insolite puisque c’est la seule dans ce groupe dont les genitalia mâle possèdent des soies sur la partie dorsale du vinculum. Les deux autres espèces ont été capturées dans la forêt primaire de la montagne de Kaw mais également dans d’autres pays d’Amérique du Sud.  相似文献   

18.
La perte de la biodiversité est plus accentuée dans les écosystèmes aquatiques continentaux que dans les autres types d‘écosystèmes. L’élaboration d’une stratégie de conservation adéquate de la biodiversité aquatique s’avère donc cruciale. Elle doit cependant être basée sur l’identification des espèces et des habitats nécessitant un plus grand effort de conservation. Dans ce travail, les espèces les plus menacées des coléoptères aquatiques du Rif (Nord du Maroc) sont identifiées en utilisant un système de catégorisation pour classer les espèces selon leur priorité de conservation ou leur degré de vulnérabilité. Haliplus andalusicus, Metaporus meridionalis, Hydrochus obtusicollis, Hydrochus tariqi, Limnebius mesatlanticus, Ochthebius atriceps, Ochthebius extraneus et Ochthebius lanarotis présentent une haute vulnérabilité à une échelle régionale et méritent d’être inscrites sur la future liste rouge des espèces menacées du Rif. Parmi ces espèces Hydrochus obtusicollis et Ochthebius lanarotis sont proposées pour qu’elles soient inscrites, sur la liste rouge IUCN dans la catégorie “Endangered”. Il s’agit de deux espèces endémiques du Maroc, de distribution très restreinte, la première exclusive du Rif, et leurs habitats souffrent de plusieurs impacts. L’état de conservation de ces espèces nécessite que des mesures urgentes soient prises, pour la protection de leurs habitats. Les actions de préservation doivent inclure les habitats aquatiques du Rif comme les sources, les cours supérieurs et moyens des oueds, les cours d’eau salés, les marais et les tourbières.  相似文献   

19.
Résumé

Wasmannia auropunctata (Roger 1863) est une fourmi originaire d’Amérique du Sud. Elle a été introduite au Gabon vers 1920 par des agronomes qui l’ont utilisée comme agent de lutte biologique contre certains insectes parasites du cacaoyer. Aujourd’hui, cette fourmi se retrouve en zone forestière même hors des anciennes plantations de cacaoyers. Depuis 1984, sa présence a été signalée dans le parc national de la Lopé qui fait partie des réserves protégées du Gabon. Des études antérieures réalisées en Nouvelle-Calédonie ont montré que la présence de W. auropunctata a d’énormes conséquences sur la biodiversité car elle a fait disparaître l’ensemble des fourmis de cette région. Quel peut donc être l’impact de sa présence au Gabon dans la zone de la Lopé? Ces études préliminaires de l’impact de W. auropunctata sur la biodiversité de la Lopé ont consisté à évaluer la dispersion de cette espèce et la densité relative des autres espèces de fourmis en présence sur le site. Les résultats montrent que W. auropunctata se répartit selon un gradient décroissant du point d’introduction vers l’intérieur de la forêt jusqu’à une distance de 120 m. Il n’y a pas de W. auropunctata au-delà de cette distance. Du point d’introduction jusqu’à 80 m de distance, la densité relative des autres espèces de fourmis varie de 0 à 10 %. Lorsqu’il y a forte densité de W. auropunctata, les autres espèces de fourmis sont absentes.  相似文献   

20.
Seulement 21 espèces d’Apoidea sont répertoriées de Nouvelle-Calédonie. La pauvreté de cette faune est paradoxale si on la compare à la richesse et l’endémicité de la flore de l’île, mais s’expliquerait par le fait qu’elle a été isolée avant ou peu après l’apparition des Apoidea vers – 130 millions d’années. Les auteurs comparent aussi les données de plusieurs îles des océans Pacifique et Indien. Deux nouvelles espèces de Halictidae sont décrites: Homalictus cocos et Lasioglossum (Chilalictus) delobeli. Une nouvelle synonymie est établie: Homalictus risbeci (Cockerell, 1929) = Homalictus crotalariae (Cockerell, 1929). Deux taxons, Chalicodoma umbripenne et Megachile laticeps, sont signalés pour la première fois en Nouvelle-Calédonie. Les relations entre les Apoidea et les 22 espèces végétales, sur lesquelles ces insectes ont été capturés, sont présentées et commentées.  相似文献   

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