首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 15 毫秒
1.
L’étude de la respiration de l’abeille domestique, Apis mellifera intermissa, à l’état isolé a été réalisée sur les quatre haplotypes existant en Tunisie : A1, A4, A8 et A9 et sous différentes températures : 0°, 10°, 15°, 20°, 25°, 30° et 35°C. Des mesures effectuées sur 1000 abeilles isolées (250 de chaque haplotype) ont montré que la consommation d’oxygène de l’abeille varie en fonction de la température. L’intensité respiratoire des haplotypes augmente progressivement à partir de 0°C pour atteindre son maximum à 15°C. Au-delà de cette température, la consommation d’oxygène de l’abeille diminue progressivement. Pour les basses températures (0° et 10°C), la respiration de l’abeille dépend aussi du facteur génétique et la consommation d’oxygène est faible mais ne s’annule pas. Cette étude a montré qu’il existe une différence de consommation d’oxygène entre les haplotypes A1 et A8 et les haplotypes A4 et A9 pour les basses températures. Le déclenchement de la thermogenèse chez les haplotypes A1 et A8 se produit à 15°C, alors que chez les haplotypes A4 et A9, il a lieu à une température plus basse et qui est de 10°C.  相似文献   

2.
The main characteristics of the imaginal and preimaginal development and the reproduction ofOrius laevigatus were studied at 15, 20, 25 and 30°C. Temperature greatly influences the developmental and reproductive biology of this species. The lowest developmental threshold is 10,6°C. Reproduction is greatly reduced at 15°C relative to the higher temperatures tested. O. laevigatus is well adapted to relatively high temperature conditions. The best development and reproduction rates are observed between 20 and 30°C with a theoretical optimum at 26°C.
Résumé Les principales caractéristiques du développement pré-imaginal et imaginal ainsi que la reproduction d'Orius laevigatus sont étudiées à des températures de 15, 20, 25 et 30°C. La température influence considérablement le développement embryonnaire et post-embryoannaire de cette espèce. Le zéro théorique de développement se situe à 10,5°C. Les capacités reproductrices sont fortement perturbées à des températures inférieures à 15°C. Les résultats montrent queO. laevigatus est une espèce adaptée à des conditions thermiques relativement élevées. C'est entre 20 et 30°C, avec un optimum de 26°C, que s'expriment le mieux les capacités de développement et de reproduction de ce prédateur.
  相似文献   

3.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

4.
Spruce budworm larvae,Choristoneura fumiferana (Clem.) (Lepidoptera: Tortricidae), in early-, mid- and latediapause (maintained at 2°C), were exposed to various sub-zero temperatures, above the supercooling point, for different periods to determine the insect’s cold-hardiness in terms of non-freeze survival. Larvae which were in the middle of diapause showed the highest survival (percentage of larvae emerging from hibernacula after diapause), followed by larvae in late- and early-diapause respectively. When exposed to −23°C, larvae which were acclimatized to outside air temperatures had a much higher survival than the larvae maintained at 2°C. This survival was correlated with a glycerol content that was ten times higher and a depressed supercooling point in acclimatized larvae compared to lab-maintained larve. Experiments also demonstrated that mortality of the larvae maintained in an extended supercooled state at −23°C was due to cold injury rather than freezing. The present study supports the hypothesis that glycerol may have a cryoprotective role other than depressing the supercooling point in freeze-intolerant insects and highlights the importance of investigating non-freeze mortality during insect diapause.
Résumé Des larves de tordeuse des bourgeons de l’épinette,Choristoneura fumiferana (Clem.), en début, milieu et fin de diapause (maintenue à 2°C) furent soumises à divers régimes de températures supérieures au point de congélation cellulaire, de fa?on à déterminer la capacité de l’insecte à survivre à ces températures. Les larves en milieu de diapause furent celles ayant le mieux survécu (proportion des larves émergeant de leur hibernacula après la diapause). Elles furent suivies respectivement par celles en fin et en début de diapause. La suivie larvaire, suite à une exposition à −23°C, fut plus élevée dans le cas des larves préalablement acclimatées aux températures de terrain que dans le cas des larves maintenues à 2°C. Comparativement aux larves non acclimatées sur le terrain, le point de congélation cellulaire des larves acclimatées était inférieur et leur contenu en glycérol était dix fois plus élevé. Cette étude a aussi montré que la mortalité des larves maintenues durant une longue période à −23°C ne fut pas causée par un phénomène de congélation cellulaire mais plut?t par d’autres effets létaux du froid. Les résultats de cette étude sont en accord avec l’hypothèse selon laquelle le glycérol jouerait, en tant que cryoprotectant, un r?le autre que celui d’abaisser les points de congélation cellulaire des insectes du type intolérant au gel. De plus, ces résultats montrent l’importance d’étudier la mortalité induite par les températures situées au-dessus du point de congélation cellulaire durant la diapause de l’insecte.
  相似文献   

5.
The effect ofCyrtobagous salviniae, Samea multiplicalis, andPaulinia acuminata on the growth ofSalvinia molesta was assessed in relation to temperature in field cages at 2 sites in Brazil, a canal with running-water and a lagoon with stillwater. Each insect species reduced the growth ofS. molesta over a mean leaftemperature range of 16–30°C, causing more damage as temperature increased. There was no difference between the 3 species in response to temperature. These results and their implication to the performance of these insects as biological control agents againstS. molesta are discussed.
Résumé L'effet deCyrtobagous salviniae, deSamea multiplicalis et dePaulinia acuminata sur la croissance deSalvinia molesta a été étudié en relation avec la température dans des cages implantées dans 2 situations au Brésil, un canal avec de l'eau courante et une lagune avec de l'eau stagnante. Chaque espèce réduit la croissance deS. molesta dans une gamme de températures des feuilles s'étendant de 16° à 30°C, les dégats augmentent avec l'accroissement de la température. Il n'y a pas de différence entre les 3 espèces vis-à-vis de leur réaction à la température. Ces résultats et leur implication quant au rendement de ces insectes comme agents biologiques de lutte contreS. molesta sont discutés.
  相似文献   

6.
Résumé Cette étude avait pour objectif la mise au point d'un élevage du parasitePauesia cedrobii Stary & Leclant sur son h?te spécifiqueCedrobium laportei Remaudière, ce dernier étant multiplié sur des jeunes plants de cèdreCedrus atlantica Manetti. Dans des chambres climatisées à température et humidité relative constantes, on a placé des enceintes d'élevage assurant respectivement 8 et 16 heures d'éclairement. Pendant la phase d'éclairement, et malgré 2 ventilateurs chargés d'assurer l'extraction de l'air, la température des enceintes a augmenté d'environ 3°C. Au total, 9 conditions climatiques ont été testées, chacune pendant un an et demi. A 4°C, le parasite ne s'est pas multiplié. A 8°C, il s'est maintenu pendant une année environ, mais cette température s'est montrée encore trop proche de son seuil inférieur de développement et de celui de son h?te. A 12°C, on a observé un bon équilibre entre le parasite, qui s'est développé normalement, et son h?te, qui n'a jamais disparu. A 20°C, les élevages ont eu un bon rendement pendant 6 mois, mais il n'a pas été possible de les maintenir pendant plus longtemps. A cette température, et plus encore à 25°C, les plants de cèdre ont présenté des sympt?mes de dépérissement. A 25°C, les résultats mettent en évidence une action défavorable de la température sur tous les niveaux trophiques. En règle générale, les jours longs ont été un peu plus favorables aux élevages.   相似文献   

7.
D. G. James 《BioControl》1992,37(2):259-264
The effect of temperature on the rate of development ofPristhesancus plagipennis Walker was determined by rearing individuals under a range of constant temperatures (22.5–35°C). Rates of development changed in a linear fashion from 22.5–30°C. Estimates of lower developmental thresholds were obtained for egg (13.1°C), nymphal (15.5°C) and egg to adult development (15.4°C). Fastest rates of nymphal and egg development occurred at 30 and 32.5°C, respectively. A requirement of 845.7 DD (degree days) was estimated for development from egg to adult. Nymphal survivorship was highest between 25 and 30°C.
Résumé L'effet de la température sur la vitesse de développement dePristhesancus plagipennis a été déterminé par élevage des insectes dans une gamme de températures constantes allant de 22,5 à 35°C. La vitesse de développment est une fonction linéaire de la température entre 22,5 et 30°C. Le seuil théorique de développement a été estimé à 13,1°C pour l'œuf, 15,5°C pour la nymphe et 15,4°C pour le développement larvaire. Les plus grandes vitesses de développement de l'œuf et de la larve ont été obtenues respectivement à 30 et 32,5°C. 845,7 degrés-jours sont nécessaires pour le développement de l'œuf à l'adulte. La survie des nymphes a été la plus élevée entre 25 et 30°C.
  相似文献   

8.
Résumé La longévité, la fécondité, le nombre d'adultes émergés, le sex-ratio et le cycle de développement deTrichogramma evanescens Westwood etTrichogrammatoidea lutea Girault ont été étudiés sur un h?te de substitution (Anagasta kuehniella) ou sur un h?te naturel (Helicoverpa armigera), ainsi que le nombre d'œufs parasités par ces 2 espèces. La longévité des ♀♀ des 2 oophages est très influencée par l'alimentation. Une ♀ deT. evanescens nourrie vit 7 fois plus longtemps qu'une privée d'alimentation et celle deT. lutea 5 fois plus. La présence de l'h?te joue également un r?le non négligeable. La fécondité est plus élevée chezT. evanescens (42 œufs en moyenne) que chezT. lutea (31 œufs). Cependant le nombre moyen d'œufs deH. armigera parasités par ♀ ainsi que le nombre d'adultes émergés sont presque équivalents chez les 2 espèces parasito?des. Le sex ratio (♂♂/♀♀) est de 0,59 chezT. evanescens et de 0,71 chezT. lutea. Quant à la durée de développement, elle est plus longue chezT. evanescens que chezT. lutea aux basses températures (36 jours contre 30 jours à 15°C). Cette différence est moins marquée lors de l'augmentation de la température (4 h à 30°C). La température de 35°C s'avère néfaste pour le développement des 2 espèces oophages ce qui restreint la possibilité de leur utilisation en lutte biologique au Maroc. Des études complémentaires seront à développer pour vérifier leur aptitude dans les conditions de terrain.   相似文献   

9.
J. Fargues 《BioControl》1972,17(3):319-337
Résumé L’étude des facteurs liés au germe entomopathogène montre l’importance du choix de la souche du Champignon et de l’inoculum. Le biotype le plus virulent estB. bassiana no 18, son optimum thermique se situe à 25°C et il est confirmé que la mortalité des larves est fonction de la dose de spores utilisée. De plus, le terme du processus infectieux peut être retardé ou avancé, la mortalité différée étant d’autant plus importante que l’inoculum est plus réduit. Les facteurs liés à l’h?te ont été considérés par rapport à la sensibilité des différents stades du développement et par rapport au r?le de la mue dans le rejet des téguments. Après contamination des 4 stades larvaires deL. decemlineata il n’y a pas de différence de niveau de mortalité totale, par contre, l’examen de la mortalité différée met en évidence une résistance croissante à la mycose au cours du développement larvaire. Plus les larves sont proches de la mue au moment du traitement, plus la mortalité différée est importante et, à partir d’un certain seuil, variable avec la dose de spores, le niveau de mortalité cumulée baisse. Une attention particulière a été portée à la température, dont dépend la durée du développement larvaire du Doryphore. Les meilleures conditions d’infection sont réalisées à 20°C en raison de l’allongement corrélatif de la durée de l’intermue, bien que l’optimum thermique de l’Insecte et du Champignon se situe à 25°C. Le r?le de la température sur l’infection appara?t beaucoup plus important que celui de l’humidité.
Summary Study of factors relating to the pathogenic microorganism showed the importance of the fungus strain used.B. bassiana, as a species, is ubiquitous, but the virulence of different biotypes towards a particular host is very variable. The selected biotype isB. bassiana no. 18, its thermal optimum is 25°C and it is confirmed that larval mortality is a function of the spore dose employed. Moreover, after inoculation, the infection process can be accelerated or retarded with the doses used. The retarded mortality is more significant when the inoculum is reduced. Two factors relating to the host were considered: the susceptibility of different developmental stages and the role of the moult by the casting of the skin. When the four larval stages ofL. decemlineata are contaminated, there is no difference in susceptibility if the total mortality is used as the sole criterion; however, the retarded mortality reveals a marked susceptibility in the first instar, a lesser susceptibility in the second and third and relative resistance in the fourth. When the treatment is applied towards the next moult, the mortality is retarded, and an application very near the next moult gives lower cumulative mortality. As for abiotic factors, particular attention has been paid to temperature, in order to influence the rate of larval development. Above 20°C, there is a drop in the level of cumulative mortality and an increase in the retarded mortality. The best conditions for infection occur at 20°C because of the consequent lengthening of the instar, although the optimum temperature for both insect and fungus is 25°C. Infection appears to be influenced more by temperature than humidity.


Ce travail fait partie d’une thèse de 3e cycle en Biologie animale (mention Entomologie), soutenue le 22 mars 1972 devant la Commission d’examen de l’Université de Paris-VIe.  相似文献   

10.
A comparative study was made of the tolerance of wild-type (WT) vs. laboratory-reared (LR)Trichogramma chilonis Ishii (=T. confusum Vigg.) for low (2°C) and high (35°C) temperatures. The wild-type populations orginated from two geographical regions viz., Vijayapura (near Bangalore) and Hyderabad. Probit analysis of the data to determine the precise LT50 showed that the WT populations survived high and low temperatures better than the LR populations.
Résumé Une étude comparative a été effectuée sur la tolérance à des températures basses (2°C) et élevées (35°C) deTrichogramma chilonis Ishii provenant de la nature par rapport à une souche de laboratoire. Les populations sauvages provenaient de 2 régions: Vijayupara (près de Bangalore) et Hyderabad. Une analyse probit des données destinée à déterminer le temps létal 50 a montré que les populations sauvages survivent mieux aux températures extrêmes que la population d'élevage.
  相似文献   

11.
L’objectif de ce travail est d’étudier l’influence des températures hivernales sur la survie des B. tabaci adultes. Les individus sont soumis à un cycle de températures qui correspond aux températures observées pendant les 24 heures d’une des journées les plus froides de l’hiver du sud de la France (Perpignan). L’évolution de ces températures est reproduite en conditions contrôlées, et les individus sont exposés à un, trois ou quatre de ces cycles. Après un cycle de 24 heures, le taux de survie moyen des individus est de 73,5% alors que celui du lot témoin est de 85%. Après une exposition à 3 cycles, le taux moyen de survie reste encore relativement élevé (44,4%). Les chances de survivre à 4 cycles de 24 heures est de 7,4%. Le Nord méditerranéen semble être une zone tampon pour le maintien en extérieur des populations de B. tabaci car ni les températures minimales régulièrement enregistrées, ni leur durée, ne sont clairement limitantes.  相似文献   

12.
Résumé La nécessité d'aménager dans un batiment existant et assez vieux, un nouvel insectarium pour l'élevage deProspaltella perniciosi, entomophage du Pou de San José, a déterminé la mise en œuvre des techniques dont il est fait état. Une entière indépendance de la lumière du jour est acquise dans le local d'élevage deProspaltella par l'utilisation d'un système d'éclairage par 39 tubes pouvant être allumés par groupes au gré des besoins. Le local est entièrement climatisé ce qui permet de travailler par un système de programmation à des températures allant de 10° à 30°C.   相似文献   

13.
J. Chazeau 《BioControl》1974,19(2):183-193
Afin de préciser l'action prédatrice deStethorus madecassus surTetranychus neocaledonicus, la consommation des différents stades du prédateur a été étudiée dans une enceinte à température constante. A 25°, la consommation totale est de 494 ?ufs de tétranyque pour l'ensemble des 4 stades larvaires. A cette température, elle est de 46,8 femelles de tétranyque par jour pour une femelle fécondée deStethorus, 21,3 pour un mâle, et 13,1 pour une femelle vierge. Des essais complémentaires en conditions ambiantes naturelles ont permis de s'assurer de la validité de ces résultats. Les tests à 20° et 30° montrent que, dans cet intervalle, la consommation des adultes double sensiblement pour une élévation de température de 5°, et qu'une forte corrélation positive existe entre la voracité et la fécondité individuelles des femelles.  相似文献   

14.
J. Claret 《BioControl》1978,23(4):411-415
Résumé La diapause larvaire facultative de l'ichneumonidePimpla instigator F. est sous la dépendance de la photopériode et de la température. Les courbes de la réponse photopériodique sont établies pour plusieurs températures. Les basses températures augmentent le pourcentage de larves en diapause, tandis que les hautes tendent à annuler l'effet des photopériodes inductrices de la diapause. A 30°C aucun animal ne diapause, quelle que soit la photopériode. Les larves males entrent plus facilement en diapause que les larves femelles.
Summary Larval diapause ofPimpla instigator is dependent on photoperiod and temperature. The photoperiodic induction response curves are compared at different levels of constant temperature. Low temperatures enhance the diapause-inducing effect of photoperiods, whereas high temperatures reduce it. The larval diapause was not induced at any photoperiod when the insects were reared at 30°C.
  相似文献   

15.
G. Fabres  C. Reymonet 《BioControl》1991,36(1):121-129
Résumé Dans la région béarnaise, la récolte des gousses m?res deLathyrus sylvestris et deLathyrus latifolius, avant la déhiscence, puis la mise en éclosoir de leurs graines, permet l'obtention des adultes de la brucheBruchus affinis et de son ectoparasite larvaireDinarmus acutus. Ces derniers sortent en petits nombres à l'automne de la même année puis de fa?on massive au printemps de l'année suivante, après une diapause au dernier stade larvaire. Un élevage en continu, de nombreuses générations successives, en conditions semi naturelles de température et de photopériode, a montré la présence simultanée d'individus diapausants et non diapausants tout au long de l'hiver, et l'absence totale de diapausants dès le mois de mai. Les larves diapausantes produisent une substance orangée qui marque l'arrêt de développement. Compte tenu de la biologie de la bruche et de son parasite larvaire: développement larvaire à l'intérieur des graines et vie des adultes à l'extérieur, nous avons choisi d'étudier l'influence des conditions thermiques sur les larves et de la photopériode sur les adultes du parasite. Les résultats obtenus montrent que les températures basses n'induisent pas d'arrêt de développement. Par contre, une photopériode jours courts, appliquée aux adultes, provoque l'entrée en diapause d'un fort pourcentage des larves de la descendance. Les résultats présentent une certaine variabilité selon la descendance et le rang de la ponte. Le détail des résultats est examiné dans le cadre de l'induction maternelle de la diapause larvaire et de l'hypothèse d'une horloge chimique à l'origine du marquage des diapausants (substance orangée) et de la variabilité enregistrée.   相似文献   

16.
Development times at constant temperatures were determined for the egg, larval and pupal stages ofCoccinella 7-punctata L., recently introduced to U.S.A. Males and females developed at the same rate. The egg stage lasted from 2.3 to 13.0 days at 30° and 15°C, respectively. Larvae feeding onAcyrthosiphon pisum (Harris), pea aphids, required from 6.2 to 31.1 days at 32.5°, and 17.0°C, respectively. These development rates are similar to those reported in the European literature.
Résumé Les durées de développement à températures constantes ont été déterminées pour l'œuf, les stades larvaires et l'imago deCoccinella 7-punctate récemment introduit aux états-Unis. Les males et les femelles se développent au même rythme. Le stade œuf dure de 2,3 à, 13,0 j à 30° et 15°C, respectivement. L'alimentation des larves avec le puceron du poisAcyrtosiphon pisum (Harris) dure 6,2 et 31,1 j à 32,5 et 17,0°C, respectivement. Le stade nymphal est observé pendant 2,8 et 13,0 j à ces mêmes températures. Ces vitesses de développement sont les mêmes que celles données dans la littérature européenne.
  相似文献   

17.
Temperature-dependent development ofCoccinella trifasciata LeConte from Corvallis, Oregon, was assessed for the general population and compared among a subset of isofemale lines. All eggs died at 10 and 34°C. Survival ranged between 63.3–96.7% from 18–34°C. Development from oviposition to adult ranged from 44.2 days at 18°C to 11.1 days at 34°C. Mean adult weight did not differ among temperatures, and was 15.2 mg overall. For the species, heat-unit requirements for development from egg to adult were 227 degree-days above a developmental threshold of 12.7°C. Values for the developmental threshold differed among isofemale lines, and ranged from 11.4–14.5°C with heat-unit requirements ranging from 186–260 degree-days above their respective threshold. The isofemale line producing the fastest rate of immature development at 18°C was characterized by a heat-unit requirement of 260 degree-days above a developmental threshold of 11.4°C. The isofemale line producing the slowest rate of immature development at 18°C was characterized by a heat-unit requirement of 186 degree-days above a developmental threshold of 14.5°C. Implications of using isofemale lines in culturing biological control agents are discussed.
Résumé L'effet de la température sur le développement deCoccinella trifasciata (provenant de Corvallis, Oregon) a été étudié pour la population générale et comparé entre lignées isofemelles. Aucum œuf ne survit à 10 et 34°C. Le taux de survie est compris entre 63,3% et 96,7% pour des températures situées entre 18 et 34°C. La durée du développement, de la ponte à l'état adulte, dure de 44,2 jours à 18°C à 11,1 jours pour une température de 34°C. Le poids moyen de l'adulte ne change pas en fonction de la température et il est de 15,2 mg. Pour l'espèce, les besoins pour le développement complet de l'œuf à l'adulte, sont de 227 degrés-jour au-dessus du seuil de développement de 12,7°C. Les valeurs de ce seuil diffèrent entre les lignées isofemelles et sont comprises entre 11,4 et 14,5°C pour des durées se situant entre 186 et 260 degrés-jour au-dessus des seuils respectifs. La lignée isofemelle ayant la vitesse de développement larvaire la plus rapide à 18°C est caractérisée par un besoin de 260 degrés-jour au-dessus du seuil de 11,4°C. Celle ayant la vitesse de développement la plus lente à 18°C est caractérisée par un besoin de 186 degrés-jour au-dessus du seuil de 14,5°C. L'intérêt de l'utilisation de lignées isofemelles dans l'élevage d'agents de lutte biologique est discuté.
  相似文献   

18.
A comparative account is given of the rate of infestation of seedlings of Triplochiton scleroxylon Schum. by Diclidophlebia sp. under three regimes of ‘shade’. Population increase in relation to leaf production under the different regimes, and insect activity in ‘Deep shade’ is also discussed. Shade decreased the rate of infestation of the host plant and the build-up of populations of the insect. Under ‘Deep shade’ practically no infestation occurred, probably because the adult insects were less active there. Shading is recommended as a method of silvicultural control of this pest in nursery and transplant beds.
Effet de l'ombre sur le taux d'infestation de Triplochiton scleroxylon par le psylle Diclidophlebia sp
Résumé On a étudié l'influence de l'ombre sur le taux d'infestation d'une plante (Triplochiton scleroxylon) par un Psylle, Diclidophlebia sp. en utilisant trois degrés différents d'éclairement, correspondant à ce qu'on a nommé ≪ombre foncée≫, ≪ombre claire≫, et ≪ombre nulle≫. L'éclairement et la température ont été mesurées et chacune des expériences a été répétée quatre fois. On a enregistré chaque semaine: (a) le nombre total de feuilles (b) le nombre de feuilles infestées et (c) le nombre de psylles adultes présents sur les jeunes plantes. Une rectification a été faite pour les feuilles endommagées par d'autres espèces d'insectes. On a donc calculé le pourcentage de feuilles infestées par des larves et le nombre des insectes adultes pour cent feuilles. On a trouvé une différence significative du taux d'infestation, entre les trois expériences correspondant à des éclairements variés. On a observé que l'ombre diminue l'intensité des attaques de Diclidophlebia sp. sur sa plante-h?te. Le taux d'infestation des feuilles et l'ensemble de la population d'insectes furent fort réduits chez les plantes soumises aux régimes d'éclairement ≪ombre foncée≫ et ≪ombre claire≫. Il n'y avait pratiquement pas d'infestation des plantes en ≪ombre foncée≫. La rareté des insectes dans ce cas fut considérée en rapport avec (1) le taux de protéines et/ou des hydrates de carbone dans les feuilles des jeunes plantes qui sont ombragées et (2) l'incidence d'un éclairement réduit du type ≪ombre foncée≫. On a conclu que l'élément le plus important est le niveau bas de l'éclairement d? à l'ombrage, qui réduit l'activité des insectes adultes. L'ombrage ayant peu d'influence sur la croissance des jeunes plantes de Triplochiton scleroxylon, on a recommandé ce moyen pour protéger semis et pépinières contre les attaques de Diclidophlebia.
  相似文献   

19.
A. Kiyindou  G. Fabres 《BioControl》1987,32(2):181-189
Résumé Hyperaspis raynevali Mulsant est une coccinelle prédatrice dePhenacoccus herreni Cox & Williams en Guyane. Elle a été introduite au Congo pour particier à la régulation des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Avant les lachers de plein champ, une étude a été conduite au laboratoire pour tenter de quantifier son pouvoir de multiplication et comparer ce dernier à celui des coccinelles locales précédemment étudiées. La capacité d'accroissement d'une population deP. raynevali est de 0,081 (rc deLaughlin) dans les conditions du laboratoire avec un taux net de reproduction de 271,7 et une durée de génération de 69 jours. La durée du développement préimaginal est sensiblement allongée aux températures inférieures à 25°C et la mortalité embryonnaire reste élevée aux différentes conditions thermohygrométriques testées.   相似文献   

20.
The following aspects ofHypoaspis miles' biology were investigated; development rate of egg to adult at different temperatures, fecundity, longevity and rate of predation on sciarids. With an increase in temperature the time taken for development decreased from 33.7 days at 15°C to 9.2 days at 28°C. The threshold temperature forH. miles to complete its life cycle was between 10° and 12°C. When fed onAcarus siro, H. miles laid 2–3 eggs a day and unfertilized eggs only developed into males. Adults ofH. miles (0–1 day old) survived for 24.0±1.4 days without food and if fed for 6 days and then starved, females lived for 65.4±2.6 days which was significantly longer than males (45.2±3.0 days). With food, 60% of males and females survived for 142 days. All larval instars of sciarids were attacked byH. miles although the numbers consumed were dependent on the size of the larvae. Egg predation was negligible and pupae were not attacked. In productivity studies ofH. miles in culture (fed onA. siro), the time taken for the mites to reach a density of 45–65,000/litre ranged from 76 to 23 days at 15° and 28°C respectively.
Résumé Différents aspects de la biologied'Hypoaspis miles sont examinés: vitesse de développement de l'oeuf à l'adulte à différentes températures, fécondité, longévité et voracité sur les sciarides. Avec une augmentation de la température, la durée du développement passe de 33,7 jours à 15°C à 9,2 jours à 28°C. La température minimale qui permet le développement complet deH. miles est située entre 10 et 12°C. Quand il est nourri d'"itAcarus siro, H. miles pond 2 à 3 oeufs par jour et seuls les oeufs non fécondés donnent des males. Les adultes deH. miles (agés de 0 à 1 jour) survivent pendant 24±1,4 jours sans nourriture et si elles sont nourries pendant 6 jours puis privées de nourriture, les femelles vivent 65,4±2,6 jours, ce qui est significativement plus long que les males (45,2±3 jours). Avec de la nourriture, 60% des males et des femelles vivent pendant 142 jours. Toutes les larves de sciarides sont attaquées parH. miles, mais le nombre de proies consommées dépend de la taille des larves. La prédation des oeufs est négligeable et les pupes ne sont pas attaquées. Dans des études sur la productivité deH. miles en élevage (nourri deA. siro), la durée nécessaire aux acariens pour atteindre une densité de 45–65 000/1 est de 76 et 23 jours à 15°C et 28°C respectivement.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号