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1.
Les affinités fauniques et la délimitation même du Turkestan en tant qu’entité biogéographique sont mal connues ou controversées. Elles sont discutées ici dans le cadre d’une révision systématique des espèces d’abeilles rubicoles du genre Ceratina. Onze espèces, dont une nouvelle: Ceratina (Euceratina) haladai n. sp., y sont répertoriées. Trois espèces sont redécrites et une clé d’identification est proposée. Toutes ces espèces sont soit présentes dans la région ouest-paléarctique, soit de proches parentes d’espèces méditerranéennes. Aucune espèce ne présente d’affinités notables avec les taxons orientaux ou est-paléarctiques. La carte de distribution de chaque espèce est établie et comparée à la distribution des biomes régionaux. Comme elles sont très largement polylectiques, les plantes butinées ne constituent probablement pas un facteur limitant de leur distribution. A l’inverse, leur nidification rubicole les cantonne à des biotopes riches en ronces (Rubus species) ou en autres plantes à tiges creuses ou médullaires (par ex. Verbascum species). Ceci explique leur implantation plutôt synanthrope en montagne et le long des fleuves.  相似文献   

2.
Cette publication présente les résultats d’une étude de 6.263 spécimens de Xylocopinae récoltés en France métropolitaine (France continentale et Corse) et en Belgique et qui proviennent de récoltes personnelles et de 63 institutions et collections privées. Les Xylocopinae de France sont représentées par 11 espèces du genre Ceratina et 4 espèces du genre Xylocopa. Seules deux de ces espèces sont présentes en Belgique : Xylocopa violacea (L.) et Ceratina cyanea (Kirby). Un nouveau sous-genre pour le genre Ceratina est décrit : Dalyatina n. subg. Il comporte l’espèce méditerranéenne Ceratina parvula Smith présente en France, ainsi que six autres espèces d’Afrique subsaharienne. Pour chaque genre, sous-genre et espèce, les auteurs fournissent une diagnose, une diagnose différentielle, la liste des fleurs visitées, la liste des sites de nidification, la carte de distribution en France métropolitaine, un diagramme phénologique et une clé d’identifi cation des genres, sous-genres et espèces. La systématique, la biogéographie, l’écologie et le sexe ratio des espèces sont présentés et discutés. Les Xylocopinae apparaissent comme très largement polylectiques mais montrent une très nette affinité envers les Lamiaceae, les Asteraceae Cardueae et, pour le genre Xylocopa, envers les Fabaceae. Toutes les espèces présentent une phénologie estivale qui s’étend d’avril à septembre. Le sexe-ratio de la plupart des espèces est biaisé vers les femelles. Aucun mâle de C. parvula, pour 120 femelles, n’a été observé ce qui suggère que, en France du moins, l’espèce pourrait se reproduire par parthénogenèse thélytoque comme c’est le cas de C. dallatorreana Friese. La publication comprend 62 dessins au trait, 18 photos au microscope électronique à balayage, 17 cartes, 14 graphiques de phénologie, une liste de 232 espèces de fleurs visitées par les Xylocopinae, dont 176 observations originales, et 171 références.  相似文献   

3.
4.
Randrianasolo, H. 2000. Écologie alimentaire des groupes plurispecifiques d'oiseaux de la foré pluviale du Parc National de Ranomafana, Madagascar. Ostrich 71 (1 & 2): 315.

Le but de cette étude est d'identifier la niche écologique et les recouvrements éventuels des especès d'oiseaux qui rentrent dans la composition des groupes plurispècifiques qui frequentent la strate arbustive de la forêt pluviale du Parc National de Ranomafana, localisé à une altitude moyenne de 1 200 m dans le sud-est de Madagascar. Les espèces les plus communes qui rentrent dans la composition de ces groupes plurispècifiques sont le Bulbul de Madagascar Phyllastrephus madagascariensis, le Bulbul zosterops Phyllastrephus zostemps, I'Oxylabe à gorge blanche Oxyrabes madagascariensis. 1'Eroesse à queue étagee Hartertula flavoviridis, toutes principalement insectivores. L'écologie alimentaire de ces espéces n'a pas encore fait l'objet d'é'tudes detaillees. Cabondance relative des espéces rentrant dans la composition des groupes a été éstimée par la methode des transects par itineraire echantillon realises dans la forê La surface minimale nécessaire à chaque groupe a été éstimée en prenant en consideration le nombre d'individuel de chaque espèce dans chaque groupe. Pour chaque individu les paramétres suivants ont été relevis et comparees avec ceux collectts pour les autres individus, a savoir la hauteur de capture des proies, la nature du substrat utilisk dans le cadre de la capture, le diamttre et la position du substrat et le pourcentage d'ombrage. Un total de 411 observations vient etayer cette etude ecologique. Par ailleurs des mesures morphometretriques ont été réalisées sur différents individus des différentes espéces (bec, tarse, doigt, ongle, aile et queue). La niche Ccologique de chacune de ces esptces forestitres est definie et justifyée par l'analyse conjuguee de ces données écologiques et morphometriques.  相似文献   

5.
R. S. Pickard 《BioControl》1975,20(2):143-151
A nest ofEctemnius cavifrons Thomson is examined, and its provisions analysed. A sample of the adult syrphid population flying during the provisioning period is also examined. The relative abundance of syrphid species found in the wasps' provisions is compared with that in the surrounding habitat.
Résumé La diversité spécifique des syrphides de 6 subdivisions de l'habitat avoisinant le nid étudié a été comparée à celle trouvée dans ce nid, afin de caractériser la variabilité de la population dans l'ensemble de l'habitat. Les facteurs intervenant dans la sélection des proies sont discutés brièvement. Les provisions des guêpes sont constituées entièrement deSyrphidae parmi lesquels trois espèces sont significativement plus abondantes que les autres:Syrphus balteatus DeGeer,S. ribesii L. etS. vitripennis Meigen: elles représentent au minimum 45% (n=269) des mouches récoltées. Quatre espèces sont significativement plus abondantes dans l'habitat que les autres:Melanostoma mellinum L.,S. balteatus, S. ribesii etS. vitripennis: elles constituent 69% de l'échantillonnage (N=2205). Il y avait au moins 44 espèces deSyrphidae dans l'habitat, mais seules 15 d'entre elles ont été identifiées dans les provisions des guêpes. Deux espèces,Syrphus lunulatus Meigen etLeucozona lucorum L. sont ajoutées à la liste de proies donnée parHam & Richards (1926).
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6.
La perte de la biodiversité est plus accentuée dans les écosystèmes aquatiques continentaux que dans les autres types d‘écosystèmes. L’élaboration d’une stratégie de conservation adéquate de la biodiversité aquatique s’avère donc cruciale. Elle doit cependant être basée sur l’identification des espèces et des habitats nécessitant un plus grand effort de conservation. Dans ce travail, les espèces les plus menacées des coléoptères aquatiques du Rif (Nord du Maroc) sont identifiées en utilisant un système de catégorisation pour classer les espèces selon leur priorité de conservation ou leur degré de vulnérabilité. Haliplus andalusicus, Metaporus meridionalis, Hydrochus obtusicollis, Hydrochus tariqi, Limnebius mesatlanticus, Ochthebius atriceps, Ochthebius extraneus et Ochthebius lanarotis présentent une haute vulnérabilité à une échelle régionale et méritent d’être inscrites sur la future liste rouge des espèces menacées du Rif. Parmi ces espèces Hydrochus obtusicollis et Ochthebius lanarotis sont proposées pour qu’elles soient inscrites, sur la liste rouge IUCN dans la catégorie “Endangered”. Il s’agit de deux espèces endémiques du Maroc, de distribution très restreinte, la première exclusive du Rif, et leurs habitats souffrent de plusieurs impacts. L’état de conservation de ces espèces nécessite que des mesures urgentes soient prises, pour la protection de leurs habitats. Les actions de préservation doivent inclure les habitats aquatiques du Rif comme les sources, les cours supérieurs et moyens des oueds, les cours d’eau salés, les marais et les tourbières.  相似文献   

7.
B. J. Wood 《BioControl》1963,8(1):67-82
Résumé L'application d'insecticides de contact sur lesCitrus à Chypre a apporté des perturbations à l'équilibre naturel si bien que certains insectes nuisibles ont pris une importance accrue et de sévères infestations d'insectes normalement sans importance sont survenues. Ceci est particulièrement sensible dans le cas des Coccides. La situation dans les cultures non traitées révèle de fa?on évidente que, à partLepidosaphes beckii newm., les cochenilles nuisibles ont des ennemis naturels capables d'assurer un contr?le économique en l'absence de facteurs adverses susceptibles de freiner leur activité. L'équilibre naturel du Pou rouge (Aonidiella aurantii mask) est très facilement bouleversé. Il devient spécialement dangereux quand les insecticides de contact sont utilisés. Les ennemis les plus fréquents des Cochenilles desCitrus sont répertoriés. Dans quelques cas, l'importance relative des espèces attaquant certains insectes nuisibles dans des situations variées, est précisée. L'importation de 5 espèces d'Aphytis est notée. L'intégration de la lutte chimique qui est nécessaire avec la lutte biologique est discutée. Enfin, les moyens de détermination des programmes de traitements sont esquissés.   相似文献   

8.
Les bourdons constituent l’un des groupes de pollinisateurs les plus importants dans les écosystèmes montagnards. Cependant, la faune des bourdons du Parc National des Pyrénées occidentales (PNPO) est encore peu connue. Pendant trois ans, la faune des bourdons du Parc National des Pyrénées occidentales a fait l’objet d’une surveillance. Les inventaires effectués en juillet- août 2002, 2003 et 2005 ont permis l’observation de 5889 spécimens de bourdons de 29 espèces. Si l’on tient compte des observations des cinquante dernières années, la diversité spécifique du parc s’élève à 30 espèces de bourdons. Une telle diversité spécifique est remarquable et comparable à celle observée dans d’autres secteurs du massif pyrénéen. La faible différence entre les faunes du Parc et des réserves naturelles d’Eyne et de Nohèdes (Pyrénées-Orientales) rend compte du caractère exceptionnellement diversifié de la faune des bourdons du massif pyrénéen en général.  相似文献   

9.
Afin de connaître la faune des cicadiaires dans le vignoble tunisien, plusieurs collectes ont été réalisées. Ces prélèvements de 1109 spécimens, effectuées aussi bien sur la vigne que sur les adventices, au cours de l’année 2001, ont concerné plusieurs parcelles, dans les principales régions viticoles du pays : Rafraf, Baddar, Mraissa, Belli, Gobba et Bousalem. Trente espèces d’Hemiptera: Cicadomorpha et Fulgoromorpha, ont été collectées dont les espèces vectrices de phytoplasme et les espèces aux dégâts directs sur la vigne. 82,50% des espèces de cicadelles rencontrées en Tunisie sont signalées comme vecteurs de virus ou de phytoplasmes causant des maladies graves ou comme ravageurs directs des cultures. Les 17,49% restant ne jouent pas de rôle important sur les cultures.  相似文献   

10.
Résumé. La leishmaniose cutanée est un important problème de santé publique dans la province de Sidi Kacem au nord-ouest du Maroc. L'incidence de cette affetion, due aussi bien à Leishmania tropica qu'à L. infantum est en augmentation progressive depuis 1997. La présente étude a été menée dans le but d'étudier l'écologie et la dynamique des populations des vecteurs de cette maladie dans les principaux foyers de cette province. Un total de 4504 spécimens appartenant à deux genres et six espèces a été capturé à l'aide de pièges adhésifs et lumineux, dans cinq foyers. Les espèces dominantes sont Phlebotomus sergenti représentant 42,6% du total des phlébotomes capturés et P. longicuspis avec 27,2% des captures. Ces deux espèces sont présentes de mai à novembre et évoluent en deux générations avec deux pics de densité, le premier en juin et le second en septembre. En considérant la grande spécificité vecteur-parasite connue en épidémiologie des leishmanioses ainsi que l'abondance des espèces capturées pendant la saison favorable à la transmission, P. sergenti et P. longicuspis seraient respectivement les vecteurs les plus probables des leishmanioses à L. tropica et à L. infantum dans la région étudiée. Le risque de transmission de la maladie serait plus grand durant le deuxième pic de densité en fin été- début automne.  相似文献   

11.
Du fait de l’histoire géologique des Mascareignes et des trajectoires cycloniques dans le sud-ouest de l’océan Indien, l’affinité de la faune odonatologique de la Réunion est essentiellement mauricienne. L’étude de la distribution des Odonates en fonction des différents écosystèmes aquatiques de l’île montre que: 1. Les espèces indigènes ayant une vaste répartition géographique se rencontrent essentiellement dans les écosystèmes ouverts de basse et moyenne altitude (de 0 à 800 m d’altitude). Ces écosystèmes peuvent héberger jusqu’à 13 espèces et possèdent les plus fortes densités odonatologiques. 2. La faune odonatologique de la Réunion se distingue de celle des autres îles de la sous-région malgache par la présence de deux espèces continentales cantonnées à des altitudes supérieures à 1000 m. 3. Les espèces endémiques fréquentent surtout les écosystèmes forestiers. Ces écosystèmes ne présentent au plus que cinq espèces de la faune odonatologique de l’île. En définitive, il apparaît donc que la spéciation des Odonates à la Réunion ne se fait pas dans les écosystèmes diversifiés comportant des espèces à large répartition géographique, mais dans un ensemble d’écosystèmes marginaux à faible diversité odonatologique.  相似文献   

12.
Lauteur consigne principalement ici les cymbalisations de onze espèces de Cigales vivant dans le Nord de la Thaïlande et représentant huit genres. Deux d’entre elles se sont révélées inédites, tandis que cinq autres sont nouvelles pour la cicadofaune thaïlandaise. Chaque espèce étudiée reçoit les éléments propres à établir sa carte d’identité originale, associant l’identité photographique à l’identité acoustique, qu’accompagnent des notes taxonomiques, éco-ethologiques et biogéographiques.  相似文献   

13.
M. Kehat 《BioControl》1967,12(2):119-125
Résumé Pendant la période de 1961–1965 une étude a été faite sur les entomophages de la cochenille du palmier-dattier,Parlatoria blanchardi Targ., en Isra?l. Parmi les ennemis naturels les plus efficaces, il faut citer les Coccinellides, les Hyménoptères parasites et les Coléoptères du genreCybocephalus. Seulement 7 espèces de Coccinellides parmi les 25 trouvées sur les palmiers sont des prédateurs directs deParlatoria. Leur répartition varie dans les différentes régions du pays. Quatre espèces dePharoscymnus ont une importance primordiale et sont largement distribuées. L'espèce la plus fréquente et la plus répandue estPh. numidicus Pic.

Contribution from The National and University Institute of Agriculture, Rehovot, Israel. 1966 Series No. 1073-E.  相似文献   

14.
H. Thill 《BioControl》1964,9(3):239-242
Résumé Les acariens prédateurs vivant sur pruniers, font partie de 8 espèces de la famille desPhytoseiidae, dont 1, espèce appartient au genrePhytoseiius et 7 au genreTyphlodromus. Seules trois de ces espèces sont assez nombreuses pour avoir de l'importance comme ennemis des araignées rouges. Leur présence au cours des années 1956 à 1962 a été soumise à des changements qui sont dus en première ligne à la lutte phytosanitaire, vis-à-vis de laquelle les espèces des acariens prédateurs sont d'une sensibilité différente. Les conditions climatiques se sont avérées être d'une influence analogue.   相似文献   

15.
Un des problèmes taxonomiques les plus compliqués concernant les Trichoptères européens est celui de la plupart des espèces ibériques et pyrénéennes du genre Micrasema, habitants caractéristiques du Rhitral, ces espèces restant à ce jour imparfaitement connues et difficiles à déterminer. L´étude d’un grand nombre d´exemplaires (mâles) a permis de trouver une solution pour la plupart des problèmes. M. servatum (Navás 1918), distribuée dans les parties N.O. de la Péninsule; M. cenerentola Schmid 1952, connue du Centre et du N.O. de l´Espagne; et M. salardum Schmid 1952, connue des Pyrénées Orientales espagnoles, sont des espèces distinctes. M. gabusi Schmid 1952 décrite de la Sierra Nevada, est un synonyme de M. longulum McLachlan 1876, une espèce largement distribuée en Espagne. M. difficile Mosely 1933, décrite des Pyrénées françaises, est un synonyme de M. vestitum Navás 1918, espèce endémique des Pyrénées Centrales et Occidentales (France et Espagne). L´identité de M. moestum (Hagen 1868) pose un problème particulier : il est possible que sous ce nom on désigne actuellement une paire d´espèces cryptiques à l´état adulte, qu´il est pratiquement impossible de distinguer par leurs genitalia, mais dont les larves sont bien distinctes.  相似文献   

16.
Les espèces seychelloises du genre Cratopus Schoenherr 1823 sont révisées, et quatre nouveaux taxons sont décrits. Espèce de grande taille (16–19 mm), C. roberti n. sp. possède dix stries élytrales, des fémurs antérieurs portant de petits denticules, y compris sur la dent, et un revêtement squamuleux vert métallique, avec une bande blanche le long de la base et des côtés des élytres, ainsi que sur les côtés du prothorax. Long de 8–10 mm, C. venustus n. sp. se reconnait à ses téguments noirs et brillants, sa vestiture réduite bleu-vert métallique, ses douze stries élytrales de forts points, ainsi qu’à ses interstries 8 et 9 caréniformes. C. griseovestitus northislandensis n. ssp. diffère de la forme nominative C. griseovestitus griseovestitus Linell 1887 par ses téguments coriacés et sa vestiture métallique du dessus dense, à reflets cuivre doré ou verts, et non gris blanchâtre ou bleuâtre. C. griseovestitus fregata n. ssp. diffère de son côté de la forme nominative par ses téguments bruns plus ou moins foncés, saupoudrés de poils et de squamules très petits. Les synonymies de C. parcesquamosus Fairmaire 1893 et de C. abbotti Linell 1907 avec C. aurostriatus Fairmaire 1892 sont confirmées, et enfin un tableau de détermination des espèces seychelloises du genre est donné. Les Cratopus des Seychelles se divisent en un ensemble de trois espèces du groupe de griseovestitus, à large répartition, habitant les côtes et les îles coralliennes basses et probablement d’arrivée récente, et un ensemble de six espèces limitées aux îles granitiques, où cinq d’entre elles ont une distribution limitée à l’intérieur d’une île ou deux. Elles sont certainement de souche beaucoup plus ancienne. Les Cratopus des Seychelles sont folivores à l’état adulte, et souvent polyphages. Une liste de leurs plantes-hôtes connues est donnée.  相似文献   

17.
18.
Seulement 21 espèces d’Apoidea sont répertoriées de Nouvelle-Calédonie. La pauvreté de cette faune est paradoxale si on la compare à la richesse et l’endémicité de la flore de l’île, mais s’expliquerait par le fait qu’elle a été isolée avant ou peu après l’apparition des Apoidea vers – 130 millions d’années. Les auteurs comparent aussi les données de plusieurs îles des océans Pacifique et Indien. Deux nouvelles espèces de Halictidae sont décrites: Homalictus cocos et Lasioglossum (Chilalictus) delobeli. Une nouvelle synonymie est établie: Homalictus risbeci (Cockerell, 1929) = Homalictus crotalariae (Cockerell, 1929). Deux taxons, Chalicodoma umbripenne et Megachile laticeps, sont signalés pour la première fois en Nouvelle-Calédonie. Les relations entre les Apoidea et les 22 espèces végétales, sur lesquelles ces insectes ont été capturés, sont présentées et commentées.  相似文献   

19.
Nous rapportons les résultats sur la distinction entre deux espèces sympatriques du genre Phlebotomus, vecteurs de la leishmaniose viscérale à Leishmania infantum en Algérie. Dans les pays circum mediterranéen, Phlebotomus perniciosus Newstead 1911 a révélé l’existence de morphes atypiques qui sont à l’origine d’erreurs d’identification et par conséquent d’une confusion avec l’espèce voisine Phlebotomus longicuspis Nitzulescu 1930. Nous avons utilisé les critères morphologiques comme une première approche sur les variations morphologiques de ces espèces. L’identification repose, outre les caractères des appareils génitaux, sur le dénombrement des soies médianes des coxites qui permettent de déterminer l’existence de morphotypes particuliers de Phlebotomus perniciosus dans les localités prospectées.  相似文献   

20.
Résumé H. raynevali est la principale espèce de coccinelle importée de l'Amérique latine et acclimatée par l'I.I.T.A. pour lutter contre la cochenille du maniocP. manihoti. E. flaviventris etD. hennesseyi sont 2 autres coccinelles prédatrices présentes au sein de la biocoenose de la cochenille du manioc. Après avoir étudié leur biologie au laboratoire, on a pu comparer leurs potentialités respectives. A partir de ces résultats, on a tenté de déterminer le r?le que chaque espèce prédatrice pourrait éventuellement jouer dans les conditions naturelles et de définir les périodes les plus propices à la manifestation d'une meilleure efficacité.   相似文献   

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