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1.
Immature Chrysopa sp. and Nabis capsiformis required 335 and 325 d°, respectively, for development from egg to adult, while larvae of Micromus tasmaniae were able to complete development at 5°. Mean adult female longevity and oviposition rate at 23° were 52 d (max. 83 d) and 18.1 eggs/d, and 30 d (max. 43 d) and 10.4 eggs/d for C. sp. and N. capsiformis respectively, and oviposition rate of M. tasmaniae averaged 19.1 eggs/d during 5 weeks. Reduced longevity and increased oviposition rate at higher temperatures were accounted for by basing adult biology on physiological time above the immature developmental thresholds. Intrinsic rates of increase were thus calculated as 9.820, 6.868, and 8.366 eggs/103 d° above thresholds of 10.5°, -2.9°, and 11.3° for C. sp., M. tasmaniae, and N. capsiformis, respectively.
Résumé L'examen a porté sur l'influence de différentes températures constantes sur le développement et la biologie imaginale de trois espèces prédatrices (Chrysopa sp., peut-être C. signata, Micromus tasmaniae et Nabis capsiformis) récoltées dans des champs de coton du sud-est du Queensland en Australie. C. sp. et N. capsiformis ont besoin respectivement de 335° au dessus d'un seuil de 10.5° et de 325° au dessus d'un seuil de 11.3°, pour se développer de l'oeuf à l'adulte. Les larves de M. tasmaniae pouvant effectuer la totalité de leur dévelopment a 5°.-A 23° les longévités des femelles adultes et les taux de ponte de C. sp. et N. capsiformis sout en moyenne de 52 j. (maximum 83) et 30 j. (maximum 43) d'une part et 18.1 et 10.4 ufs par jour d'autre part. Le taux de ponte de M. tasmaniae est de 19,1 ufs par jour pendant 5 semaines à 23°. La longévité réduite et le taux de ponte accru aux températures supérieures sont interprétés en basant la biologie imaginale sur le temps physiologique au dessus des seuils de développement.Les taux d'accroissement intrinsèque (rm) sont plus élevés aux températures élevées, principalement à la suite du taux de développement accru. M. tasmaniae possède le rm le plus élevé à toutes les températures par suite d'un développement rapide et de seuils thermiques bas, d'une brève période précédant la ponte et d'une date de ponte maximum précoce. Le rm de C. sp. est plus élevé que celui de N. capsiformis à la suite de son taux de ponte plus élevé.Les valeurs de rm fixées à partir du temps physiologique sont respectivement: 9,820, 6.868 et 8,366 ufs femelles/103 d° au dessus des seuils de 10,5°, -2,9° et 11,3° pour C. sp., M. tasmaniae et N. capsiformis.
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2.
Salinas, G., Fernández, V., Fernández, C., and Selkirk, M. E. 1998.Echinococcus granulosus: Cloning of a thioredoxin peroxidase.Experimental Parasitology90, 298–301.  相似文献   

3.
Résumé L'intérêt principal de la chétotaxie des cercaires de Digènes réside dans sa relation avec le système nerveux très stable et à évolution très lente. L'analyse phénétique de la chétotaxie des cercaires est réalisée chez 12 Microphallidae, dont cinq Maritrema, cinq Microphallus, un Megalophallus, un Gynaecotyla, trois Lecithodendriidae, dont un Pseudocephalotrema, un Prosotocus, un Pleurogenoides et trois Renicolidae: Renicola sp., Cercaria sp. 7 et Cercaria sp. 8 de Richard (1971). Les sensilles des cercaires sont mises en évidence par imprégnation au nitrate d'argent. Il est admis qu'une ou plusieurs sensilles, repérées dans un même site chez des cercaires différentes, sont homologues et, qu'au cours de l'évolution, la chétotaxie tend à se compliquer. Aux niveaux pris en compte, les sensilles sont répertoriées en absence, présence et nombre. Ceci permet de classer les cercaires de la plus simple à la plus complexe, à l'intérieur de chaque genre, puis de proche en proche au sein d'une même famille. Les familles peuvent être comparées entre elles, à leur tour. Le total des sensilles C+AID+P+U est de 36 à 47 pour les Maritrema, 40 à 52 pour les Microphallus, 51 à 52 pour Megalophallus, 57 à 58 pour Gynaecotyla. Ces cercaires n'ont ni acétabulum, ni sensille S. Le total correspondant est de 56 à 64 pour Pseudocephalotrema, 60 à 68 pour Prosotocus, 66 à 72 pour Pleurogenoides, 67 à 79 pour Renicola. Ces cercaires ont un acétabulum et le nombre de sensilles S doit s'ajouter au total des autres papilles prises en compte. Ces données suggèrent que, dans l'ensemble analysé, le genre Maritrema est le plus primitif et Renicola le plus évolué. Les auteurs admettent une origine commune aux trois familles considérées et proposent leur regroupement en superfamille Microphalloidea.La chétotaxie des Plagiorchioidea est connue pour les cercaires de Cephalogonimus. Plagiorchis, Astiotrema, Leptophallus, Opisthioglyphe, Haplometra, Haematoloechus, Skrjabinoeces, Macrodera et Omphalometra. Toutes ces cercaires ont plus de 80 sensilles C+AID+P+U et présentent une relative homogénéité; pour ces raisons, seule la chétotaxie d'Omphalometra est comparée à celle des 16 Microphalloidea. Cette comparaison paraît exclure l'hypothèse d'une origine plagiorchioïde des Microphallidae. Dans le sous-ordre des Plagiorchiata, la superfamille Microphalloidea serait la plus primitive.
The main interest of digenean cercarial chaetotaxy lies in its close association with the nervous system, which is very stable and evolves very slowly. A phenetic analysis of the chaetotaxy was completed for the following: (i) 12 microphallids, including five Maritrema spp., five Microphallus spp., one Megalophallus sp. and one Gynaecotyla sp., (ii) three lecithodendriids, including one Pseudocephalotrema sp., one Prosotocus sp. and one Pleurogenoides sp.; (iii) three renicolids, Renicola sp., Cercaria sp. 7 and Cercaria sp. 8 of Richard (1971). The cercarial sensilla were stained using a silver nitrate impregnation technique. It was assumed that, when one or several sensilla are observed in the same locus in different cercariae, they are homologous, and that, during the course of evolution, chaetotaxy becomes more complicated. At each locus, the presence or absence and the number of sensilla were listed. This allowed a classification of the cercariae from the simplest to the most complex, firstly within each genus and subsequently within the same family. The families themselves were then compared. The total number of sensilla, C+AID+P+U, was 36–47 in Maritrema, 40–52 in Microphallus, 51–52 in Megalophallus and 57–58 in Gynaecotyla. These cercariae have no acetabulum or S sensilla. The total number of sensilla, C+AID+P+U, was 56–64 in Pseudocephalotrema, 60–68 in Prosotocus, 66–72 in Pleurogenoides and 67–79 in Renicola. These cercariae have an acetabulum and the number of the S sensilla must be added to the total. These data suggest that, within the sample analysed, the genus Maritrema is the most primitive and the genus Renicola the most evolved. The authors assume that the three families studied here have a common origin and may be grouped together in the superfamily Microphalloidea. The cercarial chaetotaxy of the Plagiorchioidea is known for Cephalogonimus, Plagiorchis, Astiotrema, Leptophallus, Opisthioglyphe, Haplometra, Haematoloechus, Skrjabinoeces, Macrodera and Omphalometra. All of these cercariae exhibit more than 80 C+AID+P+U sensilla and display a relative homogeneity; for these reasons, only the chaetotaxy of Omphalometra is compared with those of the 16 microphalloids. This comparison allows us to reject the hypothesis for the origin of the Microphalloidea within the Plagiorchioidea. In the suborder Plagiorchiata, the superfamily Microphalloidea appears to be the most primitive.
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4.
Developmental rates for Phenacoccus herreni Cox & Williams were determined at 18°, 20°, 22°, 25°, 30° and 35°C for the egg, all juvenile male and all juvenile female stadia. Longevity was determined for adult females and adult males. Developmental rates for the P. herreni parasitoid Epidinocarsis diversicornis (Howard) were determined at 18°, 20°, 25° and 30°C for the oviposition-to-mummy-formation period and the mummy-formation-to-adult-eclosion period. Developmental rates were determined for the P. herreni parasitoid Acerophagus coccois Smith for the same two life stages at 20°, 25° and 30°C. Least-squares-derived polynomial equations or logistic equations were fitted to each data set (except for A. coccois) so that rates could be interpolated for temperatures between observed points for use in an analysis of the impact of these parasitoids on population dynamics of P. herreni. Results of this analysis are presented separately.
Résumé Les vitesses de développement des oeufs et de tous les stades larvaires mâles et femelles de P. herreni Cox & Williams ont été déterminées à 18°, 20°, 22°, 25°, 30° et 35°C. La longévité des adultes mâles et femelles a été déterminée. Les vitesses de développement de la ponte à la formation du cocon et de celleci à l'émergence de E. diversicornis Howard, encyrtide parasite de P. herreni ont été déterminées à 18°, 20°, 25° et 30°C. Il en a été de même pour un second encyrtide parasite A. coccois Smith à 20°, 25° et 30°C. Les équations polynomiales des derniers carrés dérivés et les équations logistiques ont été ajustées pour chaque lot de données (à l'exception de A. coccois) de façon à ce qu'elles aient pu être interpolées pour analyser l'impact de ces parasites sur la dynamique de population de P. herreni. Les résultats de cette analyse sont présentés à part.
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5.
Laboratory-reared and wild-collected adult female Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata Wiedemann, were exposed to two host fruit species, sweet orange (Citrus sinensis L.) and mock orange (Murraya paniculata Jack: Rutaceae). The effect of experience with a fruit species on acceptance of these fruit species (i.e., learning) differed between lab and wild females, but only for flies that were exposed to mock orange. Similar differences in fruit acceptance between lab and wild females were observed when individuals experienced with one fruit species were exposed to the other fruit species (i.e., switching). Finally, when each group was exposed to sweet orange, wild flies subsequently deprived of host fruit retained the effect of exposure on acceptance of mock orange 1 day longer than did lab flies subsequently deprived of host fruit. An hypothesis is presented by which selection under artificial culture gave rise to these differences.
Résumé Des Ceratitis capitata femelles, élevées au laboratoire ou obtenues dans la nature à partir d'Eriobotrya japonica, ont été mises en présence de Citrus sinensis et de Murraya paniculata. L'effet de l'accoutumance à une espèce de fruit sur l'acceptation ultérieure des fruits d'une espèce déterminée (c'est-à-dire l'apprentissage) n'était pas le même pour les mouches sauvages et pour les mouches de laboratoire accoutumées à M. paniculata. Les mouches sauvages accoutumées à M. paniculata tentent de pondre dans C. sinensis beaucoup moins fréquemment que dans M. paniculata. Par contre, les mouches de laboratoire accoutumées à M. paniculata tentent de pondre dans M. paniculata aussi souvent que dans C. sinensis. Des différences du même type entre mouches sauvages et mouches du laboratoire ont été observées quand les individus mis en expérience avec une espèce de fruit ont été ensuite exposés à l'autre espèce, c'est-à-dire lors de réapprentissage. L'acceptation finale par les mouches de laboratoire dépend un peu plus de l'exposition à C. sinensis et un peu moins à celle de M. paniculata que lors de l'acceptation finale par des mouches sauvages. Enfin, des mouches sauvages accoutumées à C. sinensis et privées de leurs fruits, conservent un jour de plus l'effet de l'accoutumance, lors de l'acceptation de M. paniculata, que les mouches de laboratoire placées dans les mêmes conditions.Nous émettons l'hypothèse qu'une sélection due aux conditions d'élevage est à l'origine de ces différences. L'élevage dans de grandes bouteilles de polyéthylène peut sélectionner des mouches qui apprennent plus difficilement en présence de petits fruits comme M. paniculata et qui conservent l'influence de l'expérience pendant un temps plus bref.
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6.
Feeding deterrent activities of ellagic acid, two ellagitannins, gallic acid, pyrogallol, and several gallic acid derivatives towards three species of aphids were determined. The most sensitive species tested was Schizaphis graminum (Rondani), the least sensitive was Acyrthosiphon pisum (Harris). Myzus persicae (Sulzer) was of intermediate sensitivity. Ellagic acid (ED50=15 ppm) and n-decyl gallate (ED50=16 ppm) were particularly potent against S. graminum, while n-octyl gallate was the most active compound tested against A. pisum (ED50=182 ppm) and M. persicae (ED50=56 ppm). The ellagitannins, geraniin and pedunculagin, were active against S. graminum and M. persicae, but not against A. pisum. Methylation of the free hydroxyl groups of gallic acid resulted in a large decrease in activity, while esterification of its carboxyl group with alkyl chains of increasing length resulted in increasing activity against S. graminum. Against A. pisum and M. persicae, ellagic acid, gallic acid and 3,4,5-trimethoxybenzoic acid were inactive, whereas pyrogallol and the gallate esters were at least moderately active as feeding deterrents.
Résumé L'examen a porté sur l'action répulsive, lors de l'alimentation de trois espèces de pucerons, de l'acide ellgique, de deux ellagitanins, de l'acide gallique, du pyrogallol et de plusieurs dérivés de l'acide gallique. Schizaphis graminum Rondani a été l'espèce la plus sensible, tandis que Acyrthosiphon pisum. Harris a été la moins sensible; la sensibilité de Myzus persicae Sulzer était intermédiaire. L'acide ellagic (ED50=15 ppm) et le n-décyl gallate (ED50=16 ppm) ont été particulièrement actifs contre S. graminum, tandis que le n-octyl gallate a été le produit le plus actif contre A. pisum (ED50=182 ppm) et M. persicae (ED50=56 ppm). Les ellagitanins, géraniine et pédunculagine ont été actifs contre S. graminum et M. persicae, mais pas contre A. pisum. La méthylation des groupes hydroxyl libres de l'acide gallique a réduit fortement l'activité, tandis qu l'estérification de son groupe carboxyl avec des chaînes alkyl de longuers croissantes a augmenté l'activité contre S. graminum. Les acides ellagique, gallique et 3,4,5-triméthoxybenzoïque ont été inactifs contre A. pisum et M. persicae, tandis que le pyrogallol et les esters de gallate on été pour le moins des répulsifs modérément actifs au cours de l'alimentation.
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7.
The effect of plant growth substances (PGSs) on conchocelis growth of Alaskan Porphyra (P. abbottiae V. Krishnam., P. pseudolanceolata V. Krishnam., P. pseudolinearis Ueda) was investigated. Growth was measured under different combinations of PGS concentrations (0, 0.1, 0.2, 0.4, 0.8, 1.6, and 3.2 ppm), PGS type (gibberellic acid, kinetin, and indole‐3‐acetic acid), temperature (7, 11, and 15°C), and photoperiod (16:8 light:dark [L:D] cycle and 8:16 L:D cycle). Plant growth substances effectively promoted the growth of Porphyra conchocelis. Depending on culture conditions, growth rates were increased relative to controls 6.9%–31.7% for P. abbottiae, 4.7%–25.7% for P. pseudolanceolata, and 8.9%–35.1% for P. pseudolinearis. Maximal growth of P. abbottiae occurred with 0.8 ppm kinetin, 15°C, and short‐day conditions (8:16 L:D). Porphyra pseudolanceolata exhibited maximal growth with 0.4 ppm indole‐3‐acetic acid, 7°C, and long days (16:8 L:D). Indole‐3‐acetic acid also effected maximal growth of P. pseudolinearis at 0.4 ppm, 15°C, and long‐day conditions (16:8 L:D). For P. abbottiae and P. pseudolinearis, intermediate PGS concentrations (0.4–1.6 ppm) had the greatest growth‐stimulating effects, whereas for P. pseudolanceolata, higher growth generally occurred at lower concentrations (0.1–0.8 ppm). Kinetin and indole‐3‐acetic acid had more influence on the conchocelis phase than gibberellic acid. The PGS concentrations greater than 1.6 ppm had a diminishing effect on growth, especially in P. pseudolanceolata. For P. abbottiae and P. pseudolinearis, higher temperatures resulted in higher growth rates, in contrast to P. pseudolanceolata, which grew faster at the lower temperatures.  相似文献   

8.
Abdeen, H. H., Attallah, A.-F. M., El-Mohamady, H. I., Harrison, R. A., and Mansour, M. M. 1998.Schistosoma mansoni: The circulating cathodic antigen forms an abundant product of 41/42 kDa in the urine of infected patients.Experimental Parasitology90, 286–289.  相似文献   

9.
Kumagai, M., Makioka, A., Ohtomo, H., Kobayashi, S., and Takeuchi, T. 1998.Entamoeba invadens:Reversible effects of aphidicolin on the growth and encystation.Experimental Parasitology90, 294–297.  相似文献   

10.
Sur quelques Mesocyclops (Crustacea,Copepoda)   总被引:3,自引:3,他引:0  
Resumé Après un rappel des critères morphologiques qu'il faut considérer en taxonomie des Copépodes du genre Mesocyclops, 14 espèces de ce genre sont décrites our redécrites, à savoir: M. granulatus nov.sp., M. thermocyclopoides, M. isabellae nov.sp., M. Kieferi, M. pehpeiensis, M. ogunnus, M. splendidus, M. brevisetosus, M. borneoensis nov.sp., M. tobae, M. pseudospinosus nov.sp., M. darwini nov.sp., M. notius, et M. australiensis, toutes formes des régions tropicales de l'Asie méridionale ou de l'Australasie.  相似文献   

11.
The humidity reactions of intact and antennaless specimens of Carpophilus dimidiatus and C. hemipterus were studied. The results suggested that the hygroreceptors mediating a response to high humidities are situated on the antennae in both species and those mediating a response to low humidities, in the case of C. dimidiatus, elsewhere on the body.
Résumé On a étudié la réaction à l'humidité de Carpophilus hemipterus et C. dimidiatus intacts et sans antennes. Les résultats suggèrent que les hygrorécepteurs qui répondent aux humidités élevées se trouvent sur l'antenne dans les deux espèces et ceux qui répondent aux basses humidités sur l'antenne de C. hemipterus et dans une autre partie du corps de C. dimidiatus.


On transfer from tropical Stored Products Centre, O.D.M., Slough, Bucks  相似文献   

12.
Powdered dried ginkgo tree leaves were subjected to various chemical extractions and successive extracts were monitored for antifeedant activity against larvae of Pieris brassicae. Many fractions moderately inhibited food intake, and some were deterrent at levels as low as 25–50 ppm. Some behaviourally highly active fractions were tested electrophysiologically for neural responses in the maxillary taste sensilla. These extracts appeared to stimulate deterrent receptors. There were distinct differences in responses between Pieris brassicae and P. rapae. Ginkgolide A, B, and C each strongly stimulated deterrent receptors in P. rapae, which corresponds with the observation (Matsumoto & Sei, 1987) that these compounds are effective antifeedants for this species. No toxic effects were observed in insects after feeding for 24 h on diets containing ginkgo extracts.
Résumé Des feuilles de Gingko séchées et broyées ont été soumises à différentes extractions. On a testé l'activité déterrante (antiapprétant) des extraits successifs sur les larves de Pieris brassicae. Un grand nombre de fractions inhibent modérément la consommation, et certaines sont déterrantes à des concentrations aussi faibles que 25–50 ppm. Par électrophysiologie, on a testé la réponse nerveuse des sensilles gustatives maxillaires à certaines fractions qui montraient une forte action sur le comportement. Il s'avère que ces extraits stimulent les récepteurs déterrants. Les réponses diffèrent pour P. brassicae et P. rapae. Les gingkolides A, B et C stimulent chacun fortement les récepteurs déterrants chez P. rapae, ce qui correspond aux observations (Matsumoto & Sei, 1987) selon lesquelles ces composés sont des antiappétants efficaces pour cette espèce. On n'a pas observé d'effet toxique sur les insectes nourris durant 24 heures par des diètes contenant des extraits de Gingko.
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13.
Multiparasitism studies were conducted in the laboratory between the egg-larval polyembryonic parasitoid Copidosoma floridanum (Ashmead) (Hymenoptera: Encyrtidae) and the larval endoparasitoid Microplitis demolitor Wilkinson (Hymenoptera: Braconidae) in the mutual host Pseudoplusia includens (Walker) (Lepidoptera: Noctuidae). Most multiparasitized hosts produced either a C. floridanum brood or died without any parasitoid emergence. Most multiparasitized hosts underwent supernumerary molting; however, multiparasitized hosts that produced a C. floridanum brood exhibited growth characteristics associated with C. floridanum parasitism while multiparasitized hosts that died exhibited growth characteristics more typical of M. demolitor parasitism. Multiparasitized hosts that produced a C. floridanum brood increased in weight, and usually exhibited the behavioral and morphological characteristics associated with initiation of metamorphosis. In contrast, multiparasitized hosts that ultimately died gained little weight and exhibited no characteristics associated with metamorphosis. M. demolitor progeny died in multiparasitized hosts as eggs or first instar larvae, but no direct evidence was found to indicate that physical attack by C. floridanum precocious larvae was responsible for their elimination.
Résumé Lors de l'étude au laboratoire du multiparasitisme de Pseudoplusia includens Walker (Lépido. Noctuidae) par le parasitoïde ovolarvaire polyembryonnaire C. floridanum Ashmead (Hyméno. Encyrtidae) et l'endoparasitoïde larvaire M. demolitor Wilkinson (Hyméno. Braconidae), soit les hôtes donnent en majorité C. floridanum, soit ils meurent sans que quoi que ce soit émerge. P. includens non parasité présente 5 stades larvaires; les hôtes parasités par C. floridanum subissent 5 ou 6 stades avant le développement complet du parasitoïde, et les hôtes parasités par M. demolitor muent en stade 5 avant émergence du parasitoïde. Par contre, les hôtes multiparasités muent en stade 7; ceux qui produisent une couvée de C. floridanum ont présenté la croissance caractéristique des hôtes parasités par C. floridanum, tandis que les hôtes multiparasités qui sont morts avaient présenté la croissance caractéristique des hôtes parasités par M. demolitor. La plupart des hôtes multiparasités desquels C. floridanum a émergé ont augmenté de poids et présenté les caractères associés au début de la métamorphose. La descendance de M. demolitor est morte dans les hôtes multiparasités au stade uf ou chenille du premier stade, mais il n'y avait aucum indice d'attaque physique par des larves de C. floridanum qui auraient été responsables de leur élimination.
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14.
The fluorescein arsenical hairpin binder (FlAsH) shows much promise to determine the relative orientations of protein regions and structures even in living cells and in the plasma membrane. In this study, we characterized FlAsH's photophysical properties by steady-state anisotropy and time-resolved single photon counting for further applications with G-protein coupled receptors. We find that FlAsH has a relatively high initial anisotropy of 0.31 ± 0.01 and a three-component fluorescence lifetime with an average of 4.1 ± 0.1 ns. We characterized the FlAsH fluorophore orientation in the α2A adrenergic receptor revealing rigid orientations of FlAsH in the membrane plane for rotational correlation times of ∼50 ns in living cells. To elucidate the fluorophore-membrane orientation and rotational correlation time, an anisotropy treatment similar to that of another researcher (Axelrod, D. 1979. Biophys. J. 26:557–573) was developed. The rotational correlation times were observed to increase by up to 16 ns after agonist addition. The rotational correlation time also allowed for a comparison to the theoretical relationship between translational and rotational diffusion (originally proposed by Saffman, P. G., and M. Delbrück. 1975. Proc. Natl. Acad. Sci. USA. 72:3111–3113) and revealed a discrepancy of a factor between 10 and 100.  相似文献   

15.
The generaPeracreadium Nicoll, 1909 andCainocreadium Nicoll, 1909 are redefined and their validity discussed. Only one species ofPeracreadium, P. characis (Stossich, 1886) n. comb., is believed to occur in the Mediterranean region. This species, which is restricted toDiplodus [=Puntazzo] puntazzo and had previously been considered to be aspecies inquirenda, is redescribed and distinguished from other species of the genus; a neotype is designated.Cainocreadium labracis (Dujardin, 1845), the only species of the genus occurring in the Mediterranean region, is described fromDentex dentex and discussed in relation to its more usual host, the moronidDicentrarchus labrax.
Résumé Les auteurs redéfinissent et discutent la validité des genresPeracreadium Nicoll, 1909 etCainocreadium Nicoll, 1909. Dans le genrePeracreadium, une seule espèceP. characis (Stossich, 1886) n. comb. a été trouvée jusqu'à ce jour en Méditerranée; elle parasiteDiplodus (=Puntazzo) puntazzo. Cette espèce était considérée comme unespecies inquirenda; elle est redécrite et comparée aux autres espéces de ce genre; un néotype lui est attribué. Dans le genreCainocreadium, une seule espèceC. labracis (Dujardin, 1845) est connue de Méditerranée. Celle-ci est redécrite à partir d'exemplaires trouvés chezDentex dentex.
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16.
Summary Tannin at 1% (w/v) did not inhibit the growth ofLentinus edodes, but did inhibitPleuroius florida, P. sajor-caju, P. cystidosus, Agaricus bisporus andVolvariella volvacea. The inhibition was not due to its acidity.
Tolérance de Lentinus edodes aux ajouts de tannin
Résumé Le tannin à la concentration de 1% (p/v) n'inhibe pas la croissance deLentinus edodes, mais inhibe celle dePleurotus florida, P. sajor-caju, P. cystidosus, Agaricus bisporus, etVolvariella volvacea. L'inhibition n'est pas due à son acidité.
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17.
18.
Résumé Une analyse par électrophorèse des protéines à 20 locus a été réalisée sur trois espèces du genre Mastomys au Sénégal. Malgré l'absence de locus diagnostique, une approche multivariée par analyses factorielles (AFC et AFD) permet néanmoins de reconnaître de façon sûre une des espèces en présence (M. cf. natalensis, 100% d'individus bien classés par l'AFD) et d'attribuer correctement les individus des deux autres espèces (M. erythroleucus et M. huberti) dans 92% et 77% des cas respectivement. Bien qu'écologiquement nettement différenciées, ces deux dernières espèces apparaissent très proches génétiquement (DNei=0,12) et montrent par ailleurs de hétérozygoties très elevées. Les faibles distances génétiques entre les trois espèces contrastent avec la forte différenciation chromosomique observée par ailleurs. Chez M. erythroleucus et M. huberti, les distances génétiques observées entre populations continentales ne sont pas corrélées avec les distances géographiques alors que les populations insulaires présentent une nette baisse de variabilité, en relation probable avec leur isolement géographique important. Par ailleurs, chez M. huberti, plusieurs populations s'écartent fortement de la panmixie. Ces tensions génétiques pourraient résulter de phénomènes d'introgression avec M. erythroleucus.
Compared genetic structures of three species of African rodents of the genus Mastomys from Senegal. A protein electrophoresis analysis at 20 loci was performed on three species of the genus Mastomys from Senegal. Although no diagnostic locus was found between the three species, they can be readily recognized by multivariate analysis (100% of the M. cf. natalensis, 92% of the M. erythroleucus and 77% of the M. huberti individuals could be correctly classified by discriminant analysis). Although ecologically quite clearly differentiated, M. erythroleucus and M. huberti were found to be genetically very close (DNei=0.12) and display very high heterozygosities. On the whole, the small genetic distances between the three species contrast with the high chromosomal differentiation that has been reported in another study. In M. erythroleucus and M. huberti, genetic distances between mainland populations are not correlated with geographic distances, whereas insular populations show an important decrease of variability probably linked with their geographic isolation. In M. huberti, some populations show a strong departure from panmictic equilibrium: these genetical tensions could result from introgression phenomena with M. erythroleucus.
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19.
Artificial generation of oxygen superoxide radicals in actively growing cultures of Mycobacterium tuberculosis, Myc. smegmatis, and Corynebacterium ammoniagenes is followed by accumulation in the bacterial cells of substantial amounts of 2-C-methyl-D-erythritol-2,4-cyclodiphosphate (MEcDP) — an intermediate of the non-mevalonate pathway of isoprenoid biosynthesis (MEP) — most possibly due to the interaction of the oxygen radicals with the 4Fe-4S group in the active center and inhibition of the enzyme (E)-4-oxy-3-methylbut-2-enyl diphosphate synthase (IspG). Cadmium ions known to inhibit IspG enzyme in chloroplasts (Rivasseau, C., Seemann, M., Boisson, A. M., Streb, P., Gout, E., Douce, R., Rohmer, M., and Bligny, R. (2009) Plant Cell Environ., 32, 82–92), when added to culture of Myc. smegmatis, substantially increase accumulation of MEcDP induced by oxidative stress with no accumulation of other organic phosphate intermediates in the cell. Corynebacterium ammoniagenes, well-known for its ability to synthesize large amounts of MEcDP, was also shown to accumulate this unique cyclodiphosphate in actively growing culture when NO at low concentration is artificially generated in the medium. A possible role of the MEP-pathway of isoprenoid biosynthesis and a role of its central intermediate MEcDP in bacterial response to nitrosative and oxidative stress is discussed.  相似文献   

20.
Flight behavior of parasitoids Microsplitis croceipes Cresson (Braconidae) and Campoletis sonorensis (Cameron) (Ichneumonidae) was examined in a wind tunnel. Both species exhibited odor directed, oriented flights to cotton, although flight frequency was related to variation in wind velocity or differential cotton volatile emission with changes in wind velocity, or both. Flight frequency at constant wind velocity was affected by illumination. Microplitis croceipes was attracted to the wind borne odor of Heliothis virescens (F.) frass and larvae, whereas C. sonorensis was not. Possible interaction of the wind borne odors from the habitat and host is suggested for parasitoids.
Résumé Le comportement de vol de M. croceipes Cres. (Hym. Braconidae) et de C. sonorensis Cam. (Hym. Icheumonidae) a été étudié en olfactométrie dans un tunnel à vent. Les femelles des deux espèces, et non les mâles, ont un vol orienté par l'odeur des feuilles fraîches de coton (Gossypium hirsutum L.). La fréquence d'envol est liée aux changements de vitesse du vent, aux variations d'émissions, par le cotonnier, des substances volatiles, en fonction de la vitesse du vent, ou aux deux. La fréquence d'envol à vitesse de vent constante dépend de l'éclairage. La fréquence d'envol de C. sonorensis augmente avec des intensités lumineuses relativement fortes et diminue avec des intensités relativement faibles. L'inverse est observé avec M. croceipes. Le vent chargé d'odeurs de larves ou d'extréments d'Heliothis virescens F., attire M. croceipes et non C. sonorensis. Nous suggérons une éventuelle interaction des odeurs portées par le vent et provenant de l'habitat et de l'hôte.
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