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1.
Functions describing instantaneous development rates in constant and natural temperature regimes were obtained for pupae of the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina (Wiedemann). These were derived using a technique that directly calculates rate functions from development-time observations made under any temperature regime. The functions indicated similar instantaneous development rates for constant and natural temperatures up to 30°C. At 30° the constant-temperature function reached a plateau which was maintained to the constant-temperature thermal limit. The natural-temperature function, however, continued its ascending phase to 34°, and then fell sharply to zero at 42°.The median survival temperatures of pupae for single 7-h exposures, daily 7-h exposures, and continuous exposures to high temperatures were 44.7, 39.2, and 34.4°, respectively. Development was completed at constant 15° but not at 10°. Median survival times at constant 10, 5, 0 and-5° were 4.3, 4.2, 2.5 and 1.5 days. Mortality was slight for single or daily 7-h exposures to-5°, but was complete for all except brief single exposures to-10°.
Influence des températures constantes et de la thermopériode sur le taux de développement et la survie des pupes de Lucilia cuprina
Résumé Des fonctions associant les taux de développement aux températures en conditions constantes et en thermopériodes naturelles ont été établies pour les pupes de L. cuprina. La fonction pour les conditions naturelles décrit les taux de développement immédiat-c'est-à-dire les taux de développement existant en réponse à la température pour chaque laps de temps (en réalité, pour un court intervalle), plutôt que le taux moyen pour une gamme de températures. La fonction pour les températures constantes décrit à la fois les taux de développement instantané et moyen (ceux-ci étant équivalents, en ne supposant pas de réponses spécifiques suivant l'âge en conditions constantes). Les fonctions ont été dérivées en utilisant une technique qui calcule directement les fonctions des taux à partir des observations sur les durées de développement faites dans chaque condition de température.Les fonctions ont révélé des taux de développement instantanés semblables pour les températures jusqu'à 30°C. A 30°C la fonction pour la température constante a atteint un plateau qui s'est maintenu jusqu'à la limite thermique. La fonction pour les thermopériodes naturelles a continué de s'élever jusqu'a 34°C, et alors a chuté brutalement jusqu'à zéro à 42°C. Dans la région d'où les lots de pupes ont été obtenus les températures subies par les pupes dans les zones non ombragées dépassent fréquemment 50°C pendant l'été. Les taux de développement des pupes aux températures au dessus de 30°C, où les fonctions avec températures constantes et thermopériodes deviennent différentes, sont cependant cohérent avec les expériences dans la nature avec L. cuprina. Les températures médianes de survie des pupes pour une exposition unique de 7 h, pour des expositions quotidiennes de 7 h et pour une exposition constante à haute température étaient respectivement de 44,7; 39, 2 et 34,4°C. Par comparaison avec des températures estivales du sol de 50°C et plus, il semble vraisemblable que la mortalité nymphale est un facteur important de déclin des populations de L. cuprina au milieu de l'été.
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2.
The development time, survivorship and age-specific fecundity of apterous and alate virginoparae of the sowthistle aphid, Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), reared on Sonchus oleraceus L., were measured under various temperature and light regimes. Within the temperature range of daily means of 12.5–24°C, speed of development and reproductive rate increased, while life span and total fecundity decreased, with an increase in temperature. The relationship between temperature and rate of development was nearly linear, with a notional development threshold estimated at about 2°C. The intrinsic rate of increase (rm) was positively correlated with temperature when calculated on a daily basis, but was inversely related to temperature when measured on a physiological time scale. Alatae generally had a longer development time, and achieved a lower reproductive rate and life-time fecundity, than apterae reared under identical conditions.Comparison of aphid performance under constant and alternating temperature regimes, and between successive generations under the same regime, showed that (1) the conditions experienced by the aphid as an embryo within its mother are important in determining survival and development and (2) tolerable temperature limits vary with the pattern and amplitude of the fluctuations of temperature.At 22°C, changes of photoperiod within the range of 12D:12L to 8D:16L had little effect on aphid performance.
Résumé La durée du développement, le taux de survie et la fécondité en fonction de l'âge ont été suivis chez les virginipares aptères et ailés du puceron: Hyperomyzus lactucae L., élevé sur Sonchus oleraceus L., et soumis à différentes conditions de température et de lumière. A l'intérieur de la gamme de températures moyennes de 12,5 à 24°C, la vitesse de développement et le rythme de reproduction augmentent, tandis que la longévité et la fécondité totale diminuent. La relation entre la température et la durée du développement est presque linéaire, avec un seuil théorique de développement évalué à environ 2°C. Le taux intrinsèque d'accroissement est lié positivement à la température calculée sur une base quotidienne, mais la relation est inversée quand la température est mesurée sur une échelle physiologique. Pour des conditions d'élevage identiques, les ailés ont eu, dans l'ensemble, une durée de développement plus longue, un taux de reproduction et une fécondité totale plus faibles que les aptères.La comparaison des performances des pucerons sous thermopériodes ou températures constantes, ou entre les générations en conditions identiques, a montré (1) que les conditions subies par l'embryon dans la mère conditionnent la survie et le développement; (2) que les limites des températures tolérables changent en fonction du type et de l'amplitude des fluctuations de température.A 22°C, des modifications de la photopériode, dans la gamme; 12D:12L à 8D:16L, ont eu peu d'effet sur les performances des pucerons.
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3.
A direct causal relationship was demonstrated between soil temperature and insect ovipositional propensity. When ovipositional substrates (soils) at 5, 15, 22, 30, 35, and 40°C were presented in multiple treatment (choice) tests with air temperature at 15 or 22°C, onion flies, Delia antiqua (Meigen) (Diptera: Anthomyiidae), laid the most eggs in the 22°C substrate. Only 50 eggs were laid when air temperature was increased to 30°C, as compared to 454 and 1128 eggs at 22 and 15°C, respectively. Thus, an air temperature of 30°C appears to be near the upper limit of onion fly ovipositional activity. The numbers of flies observed (counts taken every 15 min) on substrates ranging from 15 to 40°C were not significantly different. Reduced alightment/arrestment does not explain reduced oviposition on the warmer substrates; however, it may partly explain reduced oviposition on 5°C substrates. The range of substrate temperatures facilitating substantial oviposition was narrower than that eliciting alightment/arrestment on the substrate. The ca. 20°C ovipositional optimum corresponds well with temperatures favoring egg survival and development.
Résumé La température du sol est réglée, dans les pondoirs de D. antiqua, par un thermoblock, tandis que toutes les autres variables, associées au succédané d'oignon servant de stimulus de ponte, sont maintenues constantes. Une relation causale entre température du sol et activité de ponte est mise en évidence. Quand il y a choix entre des substrats de ponte à 5, 15, 22, 30 et 40°C, avec une température de l'air de 22°C, les mouches pondent surtout dans le substrat à 22°C. L'optimum thermique est de 20°C quand la température de l'air est abaissée à 15°C. La ponte n'est que de 50 ufs quand la température de l'air est portée à 30°C, contre respectivement 454 et 1128 ufs à 22 et 15°C. Ainsi, une température de l'air de 30°C paraît proche de la limite supérieure de l'activité de ponte de D. antiqua. Le nombre de mouches observées sur le substrat (toutes les 15 min.) ne varie pas significativement quand la température du substrat est entre 15 et 40°C. La gamme de températures provoquant la fixation sur le substrat est plus large que celle des températures provoquant une ponte importante. L'optimum de 20°C correspond bien aux températures favorables à la survie et à la croissance de D. antiqua.Ce travail montre l'effet important de facteurs abiotiques sur l'acceptation de la plante-hôte.
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4.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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5.
Temperature can affect the survival rate through each immature stage of life history and hence the rate of survival from egg to adult emergence. This phenomenon was investigated experimentally by using both regimes of constant temperature and ones in which temperatures fluctuated on a daily basis with rates of heating and cooling approximating to those found in the field. In fluctuating regimes, the highest temperatures tolerated for a few hours on a daily basis were higher than those tolerable on a constant basis. The highest tolerable daily maximum was influenced to some extent by the daily minimum. Regimes near the tolerable threshold that were experienced during one stage of the life history adversely affected the survival rate during the next stage, even if the latter experienced optimal conditions. The results in dicate that, in nature, survival from egg to adult is unlikely if daily maxima prevail in the region of 38–40°C for more than 7 days.
Affectien de température sur le développement couronné de succès chez Dacus tryoni dans des régimes à des températures constantes et fluctuantes
Résumé La température peut affecter le taux de survie, pour chaque stade d'immaturité, dans l'histoire d'une vie et d'où le taux de survie de l'oeuf à son apparition adulte. Ce phénomène a été étudié à titre expérimental en utilisant les deux régimes à une température constante et l'un d'eux à des températures variées sur une base journalière avec un taux approximatif de chauffage et refroidissement comme ceux que l'on trouve dans ce domaine.Dans un régime de fluctuation, les températures les plus élevées pendant quelques heures sur une base journalière étaient plus fortes que celles tolérées sur une base constante.La maximum journalier de la température la plus élevée supportable était influencé, jusqu'à un certain point, par le minimum journalier.Les régimes qui ont fait l'expérience proche du seuil du supportable au cours d'un stade, dan l'histoire d'une vie, on affecté défavorablement le taux de survie du stade suivant, même si ce dernier a expérimenté les conditions optimal.Les résultats indiquent que, dans la nature, la survie d'oeuf à adulte est improbable si le maxima journalier de 38–40°C prédomine dans la région pendant plus de 7 jours.
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6.
The effects of photoperiod and temperature on the production of sexual forms by two clones of Sitobion avenae, the grain aphid, were examined. One clone did not produce sexual forms, whereas the other did under conditions of short light (<14 h) and low temperature (15°C). Temperature and photoperiod interacted to some extent both in the production of oviparae and of males. Even when the sexual forms were produced there was always a proportion of virginoparae.
Production de sexués par Sitobion avenae, puceron monoécique
Résumé Un clone de Sitobion avenae a produit sans difficulté jusqu'à 7 générations de sexués en réaction à des photopériodes courtes (<14 h) et à de faibles températures (15°C) tandis qu'un autre clone n'en produit aucune.La proportion de sexués différait suivant les parents. La production de mâles avait une nette tendance à apparaître lors des reproduction les plus tardives. Dans les générations tardives avec jours courts, les vivipares (virginopares et gynopares) avaient eu tendance à être produits à la fin de la période de reproduction.Les gynopares (c'est à dire les parents d'ovipares) de S. avenae étaient surtout aptères, mais comprenaient beaucoup plus d'ailés que les virginopares obtenus dans les mêmes conditions. Un vivipare était induit comme gynopare (ou ses embryons étaient déterminés comme ovipares) avant la naissance, mais cette détermination pouvait apparemment encore être inversée en soumettant l'insecte à de longues photopériodes et à de hautes températures jusqu'à deux jours après la naissance.Aucun S. avenae ovipare n'a été produit jusqu'à la troisième génération. Aucun ovipare n'a été produit avec des photopériodes supérieures à 13 H 30 à 10°C, 13 H à 15°C et 8 H à 20°C. La proportion d'individus produisant des ovipares à 15°C a été plus faible qu'à 10°C pour toutes les photopériodes, et à cette dernière température beaucoup plus de vivipares étaient gynopares que virginopares.Les basses températures ont été vraisemblablement le facteur dominant de stimulation de la production de mâles de S. avenae, mais cependant il semble qu'un plus grand nombre de mâles a été produit aux températures et photopériodes intermédiaires qu'aux extrêmes.La capture de mâles ailés de S. avenae dans des pièges à succion a été généralement limitée à Octobre-soit à peu prés le moment prévu par les expériences de laboratoire. Des mâles de S. avenae sont aussi capturés fréquemment et été, ce qui peut être lié à des hivers précédents doux.
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7.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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8.
Diapause requirements of eggs of Zeiraphera canadensis Mutuura and Freeman (Lepidoptera: Tortricidae) are satisfied by 15 weeks of storage at 0.5°C. Temperatures above 30°C are lethal for this life stage. Temperature-dependent development of larvae fed on white spruce, Picea glauca (Moench) Voss, and of pupae was observed under laboratory conditions. The shortest development times were observed at 28°C. Larvae are tolerant to heat, and developed at 32°C, a lethal temperature for pupae. There was little variation of development rates in all stages of the life cycle, explaining the high degree of phenological synchrony reported in populations of this species. A phenological model was developed and calibrated to simulate the relative abundance of the various immature stages under field conditions. The calibration process suggested that temperature in the microhabitat of eggs may be very close to air temperature, but that temperatures under bud caps where larvae are feeding may rise several degrees above air temperature. For the purposes of planning the timing of survey and control practices, degree-day requirements for 10% egg hatch and 75% adult emergence were estimated based on a 4.4°C threshold temperature.
Résumé La diapause des oeufs de Zeiraphera canadensis Mutuura et Freeman (Lepidoptera: Tortricidae) a été complétée après 15 semaines d'élevage à 0,5°C. A ce stade de leur développement, une température supérieure à 30°C leur est létale. Les relations entre la température et le développement des larves sur l'épinette blanche, Picea glauca (Moench) Voss, et des pupes ont été observées au laboratoire. Les temps de développement les plus courts ont été observés à 28°C. Les larves sont tolérantes à la chaleur et se développent à 32 C, une température qui est létale aux pupes. II y a peu de variabilité des taux de développement de tous les stades immatures. Ceci explique le haut degré de synchronie observé au sein de populations de cet insecte. Un modèle simulant la phénologie a été mis au point et calibré pour prédire la fréquence des divers stades du cycle vital sous des conditions de terrain. La processus de calibration a révélé que la température dans le microhabitat des oeufs est très semblable à celle de l'air, mais que les larves, retrouvées sous l'enveloppe des bourgeons, sont exposées à des températures pouvant excéder celle-ci de plusieurs degrés. Pour des fins de planification du synchronisme entre le développement de l'insecte et des programmes de suivi et de lutte, le nombre de degré-jours nécessaires pour atteindre 10% d'éclosion des oeufs ou 75% d'émergence des adultes ont été estimés à partir d'une température seuil de 4,4°C.
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9.
As the temperature at which larvae of C. capitata were reared decreased from 30° to 25° to 20° the yield of pupae from eggs increased from 15% to 25% to 30% and the mean weight of pupae decreased. Within each temperature regime the weight of pupae produced on successive days declined and the fat content of those pupae varied.
Résumé On a étudié l'effet de température d'élevage larvaire de 20°, 25° et 30°. La durée du développement s'accroît de 7 à 13 jours pour des températures respectives de 30° et 20°. Lorsque la température d'élevage baisse, le nombre de pupes produites par rapport aux oeufs s'accroîts de 15% à 20% et 30% et le poids moyen des pupes diminue.Pour chaque régime de température il y a une nette réduction du poids des pupes produites au cours des jours successifs et la teneur en lipides de celles-ci varie également. L'émergence moyenne des adultes à partir de pupes produites dans un élevage à 30° est plus élevée que celle obtenue dans des élevages à 25° et 20°.Tandis que la vitesse du développement, le contrôle du métabolisme des graisses et la production de pupes peuvent être des facteurs primaires intervenant dans le choix de la température d'élevage pour la production de masse de la mouche des fruits, il faudrait aussi considérer les effets de cette température d'élevage sur d'autres aspects de la biologie de l'insecte.
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10.
The effects of three constant (15°C, 20°C and 25°C) and one alternating (16–22°C, mean 19.5°C) temperatures on development, mortality, feeding, fecundity and longevity of Liriomyza trifolii (Burgess) on tomato plants cv. Moneydor were examined in the laboratory. Development rates and thresholds for each instar were estimated by means of linear regression. No correlation was found between life history variables and pupal length. Further, data on the biology of L. trifolii are given and discussed.The intrinsic rate of increase, rm, varied from-0.0023 viable female eggs//day at 15°C to 0.1254 eggs//day at 25°C and net reproduction from one viable female egg/ at 15°C to 26 eggs/ at 20°C. Generation time varied from 48 days at 15°C to 24 days at 25°C. Ninety % oviposition occurred within the first 115 degree-days of adult life at both 20°C and 25°C. Fecundity and longevity were highly correlated with the number of feeding punctures. The data indicate that tomato is a suitable host plant allowing populations of L. trifolii to increase if temperatures are above 16°C.
Influence de la température sur la biologie de Liriomyza trifolii élevé sur tomates
Résumé La vitesse de développement, la mortalité, l'alimentation, la fécondité et la longévité de L. trifolii (Burgess) élevés sur plants de tomates du cultivar Moneydor ont été examinées au laboratoire sous 3 températures constantes (15°C, 20°C et 25°C) et une thermopériode (16/22°C, moyenne 19,5°C). Les taux de développement et les seuils de chaque stade ont été déterminés à partir des droites de régressions. Aucune corrélation n'a été mise en évidence entre ces variables biologiques et la taille des pupes. De plus, certaines données sur la biologie de L. trifolii sont fournies et discutées.Le taux intrinsèque d'accroissement, rm a varié de-0,0023 oeuf viable/femelle/jour à 15°C à 0,1254 oeuf viable/femelle/jour à 25°C et la reproduction nette de 1 oeuf femelle viable/femelle à 15°C à 26 oeufs femelles viables/femelle à 25°C. La durée d'une génération a varié de 48 jours à 15°C à 24 j à 25°C. 90% de la ponte a eu lieu dans les 115 premiers degrés jours de la vie imaginale à 20 et 25°C. La fécondité et la longévité étaient fortement liées au nombre de piqûres nutritionnelles. Ces résultats montrent que la tomate est un hôte convenable permettant aux populations de L. trifolii de se développer lorsque la température est supérieure à 16°C.
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11.
The survival of adults of Clausenia josefi was investigated as a function of temperature and relative humidity. Natural severe climatic conditions were simulated and the adaptability of the parasites to such conditions was determined.
Résumé Clausenia josefi, parasite interne de Planococcus vitis, cochenille qui attaque la vigne, a été trouvé dans la zone aride du sud d'Israël (Negev). La moyenne de la température maximum en été (Juillet-Août) est dans cette région de 34° et l'humidité relative moyenne à 14h00 est de 40%. Le début de l'été (Mai-Juin) est la période la plus sévère, quant à l'instabilité des conditions climatiques. L'apparition saisonnière de C. josefi est caractérisée par 2 pics, un premier en Juin et un second, plus petit, en Octobre-Novembre. L'objet de cette étude était de déterminer les effets de la température et de l'humidité sur la longévité des adultes de Clausenia josefi et d'expliquer les raisons de la réduction de ses populations en été.A 28°, des humidités relatives comprises entre 20% et 80% n'ont aucun effet mesurable sur la survie des adultes de C. josefi (Fig. 1). L'effet d'une baisse d'humidité relative (20%) est plus prononcé pour des durées d'exposition de 2h et plus à de hautes températures (43°) (Fig. 3). A 43°, l'augmentation de l'humidité relative provoque un accroissement marqué de la survie (Fig. 4).Les conditions extrêmes dans les vignobles en Mai-Juin, même pendant de courtes périodes de temps, pourraient affecter les populations de ce parasite entomophage. Le fait que les populations de l'hôte sont à un maximum entre Mai et Juin, masque probablement les effets défavorables des conditions extrêmes sur l'entomophage, de sorte que le pic de ses populations apparaît à ce moment. Puisque les conditions climatiques sont moins extrêmes en Juillet et Août, la réduction des populations du parasite pendant ces mois n'est pas due aux effets climatiques mais plutôt à la réduction des populations de son hôte.


Contribution from the Agricultural Research Organization, The Volcani Center, Bet Dagan. Israel. 1972 Series, No. 2226-E.  相似文献   

12.
Mythimna convecta adults, reared at 22°C on semi-artificial diet or oat seedlings (Avena sativa L.), were exposed to a range of constant temperatures between 10° and 30°C. Pre-oviposition period and adult life span were inversely proportional to temperature. Mean life span was significantly longer in virgin than in mated females. Actual fecundity and fertility of eggs peaked at 20°C and declined towards both high and low temperatures. Most eggs were laid during the first few days after mating, irrespective of temperature. Potential fecundity varied with pupal weight and larval nutrition. Mean daily oviposition was expressed as % potential fecundity realized and, like survival, the relationship with time was summarized using non-linear regression models. The optimum temperature for the survival of males and virgin females was 22.5°C.
Résumé Des adultes de Mythimna convecta, élevés à 22° avec un aliment semi-artificiel ou sur des pousses d'Avena sativa L, ont été exposés à une gamme de températures constantes entre 10 et 30°. Les durées de la période précédent la ponte et la longvité ont été inversement proportionnelles à la température. La longvité des femelles vierges était significativement supérieure à celle des femelles accouplées. La fécondité réelle et la fertilité des oeufs ont été maximales à 20° et se sont abaissées tant pour les températures faibles qu'élevées. Quelle que soit la température, plus d'oeufs ont été pondus dans les jours suivant l'accouplement. La fécondité potentielle changeait avec le poids des nymphes et l'alimentation larvaire. La ponte moyenne quotidienne a été déterminée comme la pourcentage exprimé de la fécondité potentielle, et, ainsi que la survie, la relation avec le temps a été résumée en utilisant des modèles de régression non-linéaires. La température optimale pour la survie des mâles et des femelles vierges a été de 22.5°.
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13.
Several methods for hatching the eggs and rearing individuals of the first generation (fundatrices) of Sitobion avenae were investigated. The most successful methods were incubation of the eggs on grass seedlings at 2°C and rearing the fundatrices on grass seedlings (overall survival 66%) and incubation of the eggs in plastic boxes at 2°C and rearing the fundatrices on wheat seedlings (overall survival 62%).
Résumé L'éclosion des oeufs de S. avenae peut être induite par le transfert à 10°C ou 12°C, après une incubation de 75–120 jours à 2°C. Le pourcentage le plus élevé d'éclosions a été obtenu quand les oeufs avaient incubé pendant 100 à 110 jours à 2°C (67% at 71.5% respectivement) dans des petites boîtes de plastique, ou pendant 100 jours à 2°C sur des pousses de graminées (73.5%). Si les oeufs sont pondus sur blé, la plante ne peut pas tolérer la période d'incubation, mais cet obstacle peut être surmonté en obligeant les ovipares à pondre leurs oeufs sur de pousses de graminées, comme Poa annua, hôte convenable pour les fondatrices. Les ovipares peuvent aussi pondre sans difficultés sur autre chose que des végétaux, et des récipients peuvent ètre mis à incuber sans contenir du matériel végétal.
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14.
The effects of constant temperature (23 °C), food quality (B, natural diet i.e. powdered oak bark; B+C, natural diet enriched with powdered sweet crackers) and season on larval development of the cerambycid Morimus funereus L. were studied. The temperature of 23 °C exerted an unfavourable effect on larvae collected from oak stumps in September and bred on B; i.e. the larvae died within 30 days. When the larvae consumed B+C the unfavourable effect of temperature was abolished and the larvae increased their weight by 543%, 897% and 1179% in 1, 2 and 3 months, respectively. Newly hatched summerand winter-larvae developed successfully on B+C, while all the winter-larvae died within 40 days on B. Larvae of an identical parentage hatched in different phases of the annual cycle and showed seasonal differences in the rate of development and survival when reared on B+C at 23 °C. The fastest development and the highest survival rate were observed in larvae which emerged in early- and midsummer, whereas the slowest development and the lowest survival rate were in those hatched in late summer. The synchronized seasonal changes of adults and their offspring, as expressed at different levels of biological organization, suggest the existence of an endogenous annual rhythm which is dependent upon the expression of different genes in the course of the annual cycle.
Résumé L'étude a porté sur les effets d'une température constante (23 °C), de la qualité de l'aliment,-B = aliment naturel, c'est-à-dire de l'écorce de chêne pulvérisée; B+C = aliment naturel enrichi avec de la poudre de biscuits sucrés-, et de la saison sur le développement larvaire de M. funereus L. La température de 23 °C a été défavorable aux larves récoltées en septembre dans des souches de chênes et élevées sur aliment B: les larves étaient mortes en 30 jours. Avec aliment B+C, l'effet défavorable a été neutralisé et le poids des larves augmenté de 543%, 897% et 1179% en 1, 2 et 3 mois. Des larves néonates d'été ou d'hiver se sont bien développées sur B+C, mais toutes les larves d'hiver étaient mortes sur B en 40 j. Des larves de mêmes parents, écloses à différentes époques de l'année, ont présenté des différences saisonnières du taux de survie et de la vitesse de développement lors de leur élevage à 23 °C sur B+C. Le développement le plus rapide et la meilleure survie ont été obtenus avec des larves écloses au début ou au milieu de l'été; tandis que le développement le plus lent et la plus mauvaise survie ont été obtenus avec les larves écloses à la fin de l'été. Les changements saisonniers synchrones des adultes et de leurs descendants, exprimés à différents niveaux d'organisation biologique, suggèrent l'existence d'un rythme annuel endogène qui dépend de l'expression de différents gènes au cours du cycle annuel.
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Résumé Chez l'embryon de Pleurodèle au stade 34, la durée du cycle cellulaire et de ses phases varie peu selon les tissus mais dépend étroitement de la température. Le temps de génération et la durée de la phase S sont environ 3 ou 4 fois plus longs à 12° C qu'à 26° C. Lorsque la température s'élève, la phaseG 2 est abrégée dans les mêmes proportions que la phaseM; par contre, la durée de la phaseG 1 qui est nulle à 12° C s'allonge considérablement pour représenter environ 1/4 de la durée totale du cycle cellulaire à 26° C. La durée de cette phase est d'autant plus longue, à une température donnée, que les cellules sont plus différenciées. Les tissus étudiés représentent des populations cellulaires en croissance exponentielle. Le coefficient de prolifération, duquel dépend la base de la fonction exponentielle de croissance, est indépendant de la température mais particulier à chaque tissu. Il est d'autant plus faible que le tissu est plus différencié. En revanche, la vitesse de multiplication des cellules, qui est inversement proportionnelle au temps de génération, varie largement en fonction de la température; en outre, elle semble déterminer à elle seule la vitesse du développement des embryons aux températures choisies.
Autoradiographic study of the effect of temperature on cellular proliferation in late embryos ofPleurodeles waltlii Michah. (Amphibia, Urodela)
Summary We observed in Pleurodeles embryos, stage 34, that the duration of the cell cycle and its phases was approximately the same for every tissue but was easily modified by varying the temperature. The generation time and the duration of S phase in embryos submitted to a 12° C temperature instead of 26° C are tripled or quadrupled. A temperature rise produced a proportionale shortening inG 2 andM phases and a lengthening inG 1 phase. ThisG 1 phase is not detectable at 12° C but represent a 1/4 of the total generation time at 26° C. The more differentiated the cells are, the longer is theG 1 time. The cell population studied during these experiments are growing exponentially. Growth fraction, which represents the exponential growth basis, is temperature independent but has a tissue specificity. This growth fraction is smaller the more the tissue is differentiated. However, the relative rate of cell division, inversely proportional to the generation time, is temperature dependent and appears to control the embryo's relative rate of growth under different temperatures.
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Life table studies were conducted to assess the effect of constant temperature on the rate of population growth of the cassava mealybug, Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Four temperatures, between 20 and 30.5°C, were tested. An inverse relationship was observed between temperature and most demographic parameters.The intrinsic rate of natural increase (rm) increased from 0.1 at 20°C to 0.2 at 27°C and 30.5°C. The net reproductive rate varied between 426.3 at 30.5°C and 584.7 at 20°C. The mealybug population reached 50% mortality after 37.5, 21.5, 19.0 and 19.0 days respectively at 20, 23.5, 27 and 30.5°C. The results indicate that P. manihoti can persist and increase in numbers within the range between 20 and 30.5°C.
Influence de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc Phenococcus manihoti
Résumé Des tables de vie ont été établies pour déterminer l'effet de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc, Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr., et ainsi comprendre les changements au sein des populations du ravageur dans les champs et mener à bien le programme de lutte biologique organisé à l'I.I.T.A. contre cette cochenille. P. manihoti, introduit à partir de l'Amérique latine en Afrique, y menace la production du manioc (Manihot esculenta Crantz).Le taux intrinsèque d'accroissement natural (rm) a augmenté de 0.114 à 20°C, à 0.185 à 27°C, avant de descendre à 0.182 à 30.5°C. Le taux net de reproduction (Ro) a été relativement élevé (426–584 oeufs femelles/génération). Dans nos conditions expérimentales, la mortalité a atteint 50% au bout de 37.5, 21.5, 19.0 jours respectivement à 20, 23.5, 27 et 30.5°C. La durée du cycle et le coefficient d'accroissement () étaient inversement liés à la température. Le ravageur possède la capacité de doubler sa population en 6.08 jours à 20°C alors que 3.81 jours seulement suffisent pour doubler la population à 30.5°C.Ces résultats nous ont permis de comprendre et d'expliquer l'énorme pouvoir de pullulation de la cochenille observé dans les champs pendant la saison sèche; il s'ensuit que les lâchers des entomophages produits en élevages doivent se faire très tôt au début de la saison sèche, afin de contrecarrer la grande fertilité et la capacité d'augmentation rapide des populations de P. manihoti.
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Résumé L'incubation des oeufs d'Archanara sparganii, Esper (Lepidoptera: Noctuidae) s'étend sur 8 à 9 mois dans les conditions naturelles. Elle est temporairement interrompue par une diapause qui intervient à un stade précoce de l'embryogénèse et se prolonge de l'été à la fin de l'hiver. Au laboratoire, l'incubation est néanmoins possible à température constante entre 8 et 21 °C. Une étude expérimentale a montré que l'intensité de la diapause s'accroît lorsque la température en début d'incubation est portée pendant 15 jours de 11 °C à 15 °C et 21 °C. Aucun des modèles expérimentaux faisant intervenir la température n'a permis d'éviter totalement la diapause. La durée de celle-ci a néanmoins été réduite des trois quarts dans certaines circonstances, rendant possible l'éclosion des larves avant l'hiver. Ces résultats servent à interpréter les altérations du cycle biologique du nord au sud de la distribution d'A. sparganii. La perte rapide de réceptivité de Typha spp. à l'égard des larves jeunes justifie par ailleurs une entrée en diapause précoce de l'espèce sous climat méditerranéen.  相似文献   

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Under field conditions in eastern South Dakota, USA three different planting dates of corn and three times of egg infestation were used to imposed synchronous and asynchronous timing of corn growth and Diabrotica virgifera virgifera LeConte egg hatch and subsequent development. Median occurrence of each of the three larval stages and of the adult stage for each of the infestation-planting treatments was determined by relating occurrence to thermal units and to days after infestation. No significant differences were found among the treatments for median occurrence of each life stage when the thermal unit approach was used. However, significant differences were found among treatments for median occurrence when the day after infestation approach was used. Consistent parameters are needed for prediction of the occurrence of life stages of this insect. Despite the various imposed conditions, this study indicates that the least variable method of predicting life stage occurrence and adult emergence of D. v. virgifera was the use of thermal unit accumulations (base 11°C).
Résumé Dans les conditions de l'est du Sud Dakota (USA), 3 dates de semailles de maïs et 3 dates de contamination avec des ufs de D. virgifera virgifera LeConte ont servi à imposer ou à empêcher la synchronisation des éclosions des ufs et par conséquent des développements ultérieurs. Les dates médianes d'apparition de chacun des 3 stades larvaires et des imagos ont été déterminées en relation avec les unités de température et le nombre de jours depuis la contamination. Aucune différence significative entre les dates médianes d'apparition n'a été mise en évidence par utilisation des unités de température; par contre, ces différences deviennent significatives lorsque l'on utilise le nombre de jours depuis la contamination. Des paramètres fiables sont nécessaires pour prédire la présence des différentes stades de cet insecte. En dépit des différentes conditions imposées pour cette étude, la méthode la moins capricieuse pour prédire l'apparition d'un stade larvaire et l'émergence des adultes est la somme de températures avec une base de 11°C.
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Developmental rates of three encyrtid mealybug parasitoids were examined under constant, cycling and glasshouse temperatures. Under constant conditions the rate of development increased with rising temperature up to 35°C, but a constant 40°C was lethal. Under cycling conditions, 12 h periods at 40°C could be tolerated. Developmental rates under cycling conditions could be calculated from constant temperature data, by incrementing development on an h/h basis. A new technique was developed to determine the lower thresholds for development, using cycling regimes and to calculate the rates of development over short periods at high temperature. A previously untested polynomial regression technique was used to predict mean developmental periods under glasshouse conditions. These predictions were considerably more accurate than day-degree (Do) predictions when substantial periods at extreme temperatures were involved, but not significantly different from day-degree predictions under hot-house conditions. In addition a method was developed to calculate a 95% range for emergence, which gave consistently good estimates of first and last eclosion observed under fluctuating conditions.
Résumé Les vitesses de développement de 3 parasitoïdes de cochenilles ont été étudiées dans les conditions de température de serre, avec thermopériode ou en température constante. En conditions constantes, la vitesse augmente jusqu'à 35°C, mais est létale à 40°C. Avec thermopériode, une thermophase de 40°C peut être tolérée pendant 12 heures. Les vitesses de développement sous thermopériodes pourraient être calculées à partir des données obtenues en conditions constantes, modifiées en fonction des durées respectives des cryophases et thermophases. Une méthode originale est présentée pour obtenir les seuils inférieurs de développement, en utilisant des thermopériodes, et pour calculer les vitesses de développement à températures élevées.Une méthode de régression polynomiale, non vérifiée préalablement, a été utilisée pour prévoir les durées moyennes des développements sous serre. Ces estimations sont beaucoup plus sûres que les prédictions basées sur le concept de degré-jour (Do), lorsque les températures extrêmes durent longtemps, mais en serre chaude elles ne présentent aucune différence significative. De plus, une méthode d'évaluation des 95% d'émergences, a donné de bonnes estimations des premières et dermières émergences en conditions périodiques.
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20.
The supercooling point (SCP) of individual Epirrita autumnata eggs (approx. 60 eggs batch-1) was tested each month from September (eggs newly laid) to April under laboratory conditions simulating winter temperatures in the field (from +4 to-30 °C). Parallel to each test, one batch of eggs was transferred from the acclimation treatment to room temperature (22 °C) and the incubation duration to the first 50% hatch was recorded, giving a measure of embryo growth at the time of the SCP test. Data also give information on egg mortality, which generally was low.The SCP was found to be equivalent to the lower lethal temperatures for this species. Already in autumn, the SCP was in a low range of-34.9 to-36.5 °C and either rose (at a storage temperature of -3 °C) to a range between-28.3 and-29.8 °C in February, due to reduced cold hardiness during embryogenesis, or remained unchanged because the eggs were in quiescence (at -10 °C).The time to 50% hatch at 22 °C decreased from 60 days to 10–14 days in January when it either continued to decrease up to hatch (at -3 °C), or remained unchanged, indicating end of diapause in January. In December, 260 degree-days (DD) above a threshold of +5.8 °C was required for 50% hatch; in February the corresponding figures were 362 DD and-2 °C.When the supercooling point moved from the low to the high SCP range, the frequency distribution of the individual SCPs changed from positively to negatively skewed. The transition was rapid, intermediary distributions being flat and covering both ranges.Thus, in the field the eggs run the risk of freezing mainly at two temperature levels: below about-36 °C during diapause and post-diapause quiescence (in midwinter) and below about-29 °C during embryogenesis (in late winter spring).
Résumé La température de congélation (supercooling point: SCP) de chaque uf de E. (Oporinia) autumnata (Lépido, géométride) (environ 60 ufs par ponte) a été examinée chaque mois, de septembre (ufs venant d'être pondus) à avril, dans des conditions simulant les températures hivernales de la nature (de-30° à +4 °C). Parallèlement à chaque expérience, une ponte était transférée aux fins d'acclimatation à la température du laboratoire (22 °C) pour noter la durée d'incubation des premiers 50% d'ufs éclos, afin d'avoir une donnée sur la durée du développement embryonnaire à l'époque de l'expérience de congélation, et sur la mortalité embryonnaire, d'ailleurs généralement basse.Le point de congélation (SCP) a correspondu pour cette espèce aux températures létales les plus basses. En automne déjà, la SCP avait une gamme basse de-34.9 à-36.5 °C et, soit s'élevait (pour une température de conservation >-3 °C) à une gamme de-28.3 à-29.8 °C en février, par suite de la diminution de la résistance au froid pendant l'embryogenèse, soit demeurait inchangée parce que les ufs étaient quiescents (<10 °C).Le temps d'éclosion 50 à 22 °C s'est abaissée de 60 j à 10–14 j en janvier pour ensuite, soit continuer de diminuer jusqu'à l'éclosion (>-3 °C), soit rester inchangé indiquant la fin de la diapause en janvier. En décembre, 260 degrés-jours (DD) au-dessus du seuil de +5.8 °C ont été nécessaires pour obtenir 50% d'éclosions, en février il a fallu 362 DD et-2 °C.Quand la température de congélation était déplacée de faibles à fortes valeurs de la SCP, la distribution des fréquences des SCP individuelles passait d'un biais positif à un biais négatif. La transition était rapide, les distributions intermédiaires étant plates et recouvrant les deux gammes.Ainsi les risques de congélation des ufs dans la nature se situent à deux niveaux: environ audessous de-36 °C pendant la diapause et la quiescence post-diapause (au milieu de l'hiver), et au-dessous d'environ-29 °C pendant l'embryogenèse (en fin d'hiver et au printemps).
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