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1.
Résumé 1. Les travaux deSarà (1953) et deBurton (1963) ont remis en question la valeur systématique des caractères morphologiques dans la classification des Eponges Calcaires, et ont proposé de considérer de nombreuses formes connues comme des variétés individuelles et régionales d'espèces très plastiques et variables. Nous avons essayé de préciser, par l'observation directe en plongée libre, la distribution et les préférences écologiques des Calcaires, de définir ainsi les limites naturelles de leurs populations, et d'étudier ensuite la variabilité des caractères morphologiques à l'intérieur de ces populations.2. Nous exposons ici l'exemple des espèces des genresClathrina etAscandra, étudiées en Adriatique, dans les régions de Marseille et de Roscoff. Leur distribution est en rapport direct et très précis avec l'exposition aux vagues et à la lumière, à tel point que sur une surface réduite plusieurs espèces se succèdent et se remplacent en fonction de l'exposition de l'endroit. Dans la règion de Roscoff cette distribution est plus large ce qui est dû aux effets des marées, mais les zones écologique préférentielles pour les espèces deClathrina ont pu être établies en fonction de l'importance de l'apport des sédiments par les eaux côtières.3. La possibilité de définir des populations dont la distribution est très précisemment délimitée malgré une coexistence dans un espace réduit, et qui ne sont pas réliées par les formes transitoires, permet d'éliminer l'hypothèse de la cospécificité de ces populations. Elle permet également d'établir les variations morphologiques possibles au sein d'une espèce, de retenir les caractères significatifs pour la classification, et finalement de distinguer les espèces qui se ressemblent morphologiquement. Dans le cas d'animaux qui, commeClathrina, possèdent très peu de caractères utilisables en systématique, c'est la seule façon de résoudre les problèmes de leur taxonomie.
The importance of research on the ecological distribution for the taxonomy of calcareous sponges
The particular difficulties of the taxonomy of calcareous sponges are due to their great plasticity and their capacity for adaptation which obscure the natural limits of species. An attempt was made to define the natural populations of the Mediterranean species of the generaClathrina andAscandra through a study of their ecological distributions. The populations not connected by the transitory forms were defined by their ecological preferences, and, as they are found in a close cohabitation, were treated as having the specific values. The variability of different morphological features is discussed, the features significant for taxonomy are pointed out and the morphologically close species are defined.
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2.
Twenty-fiveBacillus isolates comprising eight species fromdaddawa, daddawansoya, oglrl, okplhe andugba (all Nigerian fermented plant proteins) all produced glutamic acid in varying concentrations when grown in a basal medium. Glutamic acid release during the course of termentation indaddawa showed a corresponding release pattern by the fermentingBacillus subtilis isolate in the basal medium.
Résumé Vint-cinq isolats deBacillus, comprenant nult espèces, à partir dedaddawa, dedaddawan-soja, d'origi, d'okpihe et d'ugba (toutes protéines fermentées de plantes Nigérianes) produlsent tous de l'acide glutamique en concentration variable lorsqu'on les cultive sur un milieu de base. Le profil de relarguage d'acide glutamique pendant la fermentation dedaddawa était semblable à celui de la fermentation par l'isolate deBacillus subtilis dans le milieu de base.
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3.
Résumé Les symptômes de la carence en halogènes chezLemna minor, L. Perpusilla etSpirodella polyrrhyza sont très voisins.Les besoins en chlore des deux premières espèces sont particulièrement faibles. Exprimés en concentrations nécessaires pour atteindre 50 pour cent du maximum accessible de la récolte dans les conditions expérimentales décrites, ils sont respectivement de 7 et 3 µg de Cl par litre pourL. minor etL. perpusilla. La carence en halogènes est particulièrement difficile à obtenir chez ces deux espèces.Les besoins deSpirodela polyrrhyza dont la biologie et les conditions naturelles de vie sont très voisines de celles deL. minor sont beaucoup plus élevés, et exprimés de la même manière, égaux à 27 µg de Cl par litre. Cette espèce est, de ce fait, à recommander dans les recherches concernant les halogènes.
Summary The symptoms of halogens deficiencies inLemna minor, L. perpusilla andSpirodela polyrrhyza are very similar.The chlorine requirements of the two first species are particularly small. Expressed in terms of concentrations giving 50 per cent of the available maximum crop, in the above mentioned experimental conditions, the data are 7 and 3 µg of Cl per liter forL. minor, andL. perpusilla respectively. The halogens deficiency is difficult to obtain particularly in those two species.The needs ofSpirodela polyrrhyza, the natural conditions of live and the biology of which are very similar to those ofL. minor, are much higher, and — expressed in the same way — amount to 27 µg of Cl per liter. This species s therefore to be recommended in work concerning halogens.
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4.
The intrinsic rates of increase (rm) ofCyrtobagous salviniae Calder & Sands from Brazil andC. singularis Hustache from Trinidad W.I., were determined in the laboratory at 23°C, 27°C and 31°C on nitrogen-rich plants of the aquatic weed,Salvinia molesta Mitchell.Variation in oviposition and immature survivorship accounted for most of the differences between species in rm values (exponential growth of a stable-age population in a non-limiting environment). Values for rm were higher forC. salviniae (0.210, 0.366, 0.404) than forC. singularis (0.148, 0.140, 0.064) at the three temperatures respectively. At all temperatures,C. salviniae laid seven times more eggs thanC. singularis while at 31°C oviposition was reduced for both species by 45%, and was accompanied by a reduction in egg hatch. Oviposition byC. salviniae was almost continuous (92% of weeks with some eggs laid) whereas oviposition byC. singularis was intermittent (50% of weeks) with intervals averaging 3 weeks without oviposition. Nitrogen concentration inS. molesta affected reproduction byC. singularis more thanC. salviniae, an increase of 0.1% (dry wt) increasing weekly oviposition by 7.0% and 3.6% respectively.The differences in rm for the two weevil species are discussed in relationship to their potential as biological control agents.
Taux intrinsèques d'accroissement deCyrtobagous singularies Hustache andC. salviniae Calder & Sands, utilsés dans la lutte biologique contreSalvinia molesta Mitchell
Résumé Les taux intrinsèques d'accroissement (rm) deC. salviniae du Bresil et deC. singularis de Trinidad, ont été établis au laboratoire à 23°C; 27°C; 31°C, sur des plants deS. molesta riches en azote.Les différences entre les rm des deux espèces provenaient pour l'essentiel de la ponte et de la mortalité préimaginale. Aux 3 températures, les valeurs de rm deC. salviniae (0.210; 0.366; 0.404) étaient supérieures à celles deC. singularis (0.148; 0.140; 0.064). A toutes les températuresC. salviniae a pondu 7 fois plus d'oeufs queC. salviniae; à 31°C, la ponte a été réduite de 45% pour les 2 espèces et été accompagnée d'une diminution des taux d'éclosion. La ponte deC. salvinae était presque continue (92% des semaines avec des oeufs), tandis que celle deC. singularis était intermittent (50% des semaines avec pontes), les interruptions étant en moyenne de 2 semaines. La teneur deS. molesta en azote a affecté la reproduction deC. singularis plus que celle deC. salviniae; un accroissement de 0.1% en poids sec, augmentant les pontes hebdomadaires respectivement de 7% et de 3.6%.Les différences de valeur de rm des 2 espèces sont examinées pour évaluer leurs potentialités comme éléments de la lutte biologique.
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5.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

6.
Threshold dosage and type of dispersive response by aphids to the alarm pheromone, (E)--farnesene, were determined for fourteen species in the subfamilies Aphidinae and Chaitophorinae. Dosage required to disperse 50% of the most and least sensitive species was 0.02 ng and 100 ng, respectively. Some species dispersed at low dosages by walking and at high dosages by falling; others dispersed only by walking regardless of dosage. Sensitivity to alarm pheromone and type of dispersive response are interrelated with aggregation density and whether the aphid is myrmecophilous.
Résumé Quatorze espèces d'Aphides appartenant aux sous-familles des Aphidinae et Chaitophorinae ont été testées pour leur réponse à la phéromone d'alarme EBF, sur la base de la dose limite efficace et du type de réponse par dispersion des individus. Les doses d'EBF nécessaires pour disperser 50% des individus chez l'espèce la plus sensible sont de 0,02 ng, contre 100 ng pour l'espèce la moins sensible. Certaines espèces se dispersaient en marchant pour de faibles doses et en se laissant tomber pour de fortes doses; d'autres se dispersaient seulement en marchant, quelle que soit la dose. La sensibilité et le mode de réponse à la phéromone sont en relation avec la densité des groupements et avec le fait que l'espèce est ou non myrmécophile.
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7.
L. A. Caines 《Hydrobiologia》1965,25(1-2):289-301
Summary Preliminary observations on the increases in phosphorus concentration of seven aquatic plant species, following the addition of superphosphate fertilizer to the water of a Perthshire loch, showed that in only two species, Myriophyllum alterniflorum and Potamogeton praelongus, was the increased uptake significant.Estimations of the phosphorus content of these species in unfertilized water were made over a period of two years and the results demonstrate the existence of a seasonal cycle, related to the development of the plants. Enrichment of Scottish hill lochs with superphosphate produced significant increases in the phosphorus concentration of two species of Myriophyllum, M. alterniflorum and M. spicatum. The increases from fertilizer application in May were not sufficient to offset the seasonal decline which occurs in May and June, but fertilizer application in August produced a significant upward trend.
Résumé Des observations préliminaires des accroissements de la concentration de phosphore de sept espèces de plantes aquatiques, à la suite de l'addition d'engrais phosphatique à l'eau douce d'un lac en Perthshire, Ecosse, montrèrent qu'en deux espèces seulement l'accroissement à l'absorption de phosphate était significatif.Des estimations du contenu de phosphore de ces espèces à l'eau douce infertilisée ètaient faites au cours d'une période de deux années et les résultats d'émontrent l'existence d'un cycle qui dépend de la saison, connexe au développement des plantes. L'enrichissement de quelques lacs aux montagnes écossaises avec phosphate produisit des accroissements significatifs de la concentration de phosphore de deux espèces de Myriophyllum, Myriophyllum alterniflorum et Myriophyllum spicatum. Les accroissements résultants de l'application d'engrais en mai ne suffisaient pas de compenser le déclin saisonnier qui se présente en mai et juin, mais l'application d'engrais en août produisit une tendance ascendante et significative.
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8.
Reproductive data were collected on individually-held adult oriental fruit flies, Dacus dorsalis, melon flies, Dacus cucurbitae, and Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata including age-by-parity relations, birth interval, frequency distribution of individual egg production levels and the concentration of reproduction among females in a cohort. Specific findings include: i) delay in reproductive peaks in a cohort after eclosion is due almost entirely to the variance in attainment of reproductive maturity among individuals; ii) low reproductive output of reproductively mature melon flies is due mostly to long birth intervals; iii) high egg production in both the medfly and the oriental fruit fly is due to their consistency of egg laying levels and frequency (short birth intervals). Discussion stresses the importance of viewing reproduction, not as a singular and discrete life history trait, but as consisting of subcomponents of daily parity, cumulative parity and birth interval.
Résumé Les informations sur la reproduction ont été obtenues à partir d'adultes de Dacus dorsalis, D. cucurbitae, C. capitata, élevés individuellement. Elles portent sur les paramètres suivants: distribution par âge en fonction de la fécondité, échelonnement des pontes, distribution des niveaux quotidiens de ponte, fréquence des pondeuses par cohorte.Différents caractères spécifiques ont été mis en évidence: 1) La variabilité de la date d'apparition de la maturité reproductive est pour l'essentiel responsable du retard dans les dates de reproduction maximale; 2) De 30 à 50% des femelles de D. dorsalis âgées de 10 jours pondent plus de 50 oeufs/jour pendant les deux semaines qui suivent, tandis que seulement 10 à 20% des femelles des deux autres espèces parviennent à pondre cette quantité d'oeufs à n'importe quel âge; 3) D. cucurbitae ayant atteint sa maturité pond environ pendant 40% des jours (c.à.d. chaque 2,5 j), tandis que les deux autres espèces pondent au moins quelques oeufs pendant 80% des jours (c.à.d. chaque 1,25 j); 4) La production élevée d'oeufs de C. capitata et de D. dorsalis est due à la régularité de leur niveau de ponte et à la fréquence (faible espacement); 5) Les fractions des effectifs qui ont pondu au moins 600 oeufs en 30 jours étaient approximativement de 0,8, 0,7, et 0,4 pour D. dorsalis, C. capitata, D. cucurbitae; 6) 50% des femelles de chacune des trois espèces contribuent en gros pour 65% à la ponte.
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9.
Résumé Etude d'un complexe de sources, situé dans la Plaine du Danube Inférieur (= Plaine Roumaine ou Plains de Valachie), à 100 m d'alt. environ. La station se caractérise par un complexe de facteurs uniques dans ce coin de (Europe: abondance de l'eau phréatique froide sortant à jour sur une surface restreinte, protection efficace grâce à une saulaie compacte, variété des substrats et abondance des sources trophiques. Ces éléments rendent possible l'existence d'une faune relique, comprenant rotifères, tardigrades, coléoptères, trichoptères, hydracariens, etc., espèces ayant ici leur seule station de la Plaine Roumaine. Les espèces qu'on signale dans le travail sont soit formes de montagne, soit à aréal septentrional ou septentrional-occidental, soit, enfin, caractéristiques pour les tourbières d'altitude, souvent même pour les tourbières acides à Sphagnum. On considère la faune du complexe de Corbii Ciungi comme un rests remarquable de la faune aquatique ayant peuplé la Plaine Roumaine antérieurement à la mise en friche sauvage des forêts et à l'extension impétueuse de l'agriculture, phénomènes ayant radicalement transformé ce territoire.  相似文献   

10.
Female brown-banded cockroaches, Supella longipalpa (F.) (Dictyoptera: Blattellidae), failed to elevate consumption rates when fed a 5% protein diet compared with females fed either 25% protein or commercial rat food. Adult performance was directly influenced by dietary protein level: Females fed 65% protein died rapidly, while in females fed 5% protein feeding and reproductive rates were reduced after production of three oothecae. In females fed a low protein diet as both late instar nymphs and as adults, mating was delayed and they required more time to form oothecae than females switched to 25% protein as adults. The role of nymphal reserves in adult reproduction is discussed.
Résumé La consommation et la reproduction de S. longipalpa ont été examinées lors de la consommation d'aliment standard pour rat et de régimes artificiels contenant 5, 25 et 65% de protéines. Les femelles élevées sur régime à 5% de protéines ne consomment pas plus et leur reproduction est significativement inférieure à celle de femelles élevées sur aliment standard ou à 25% de protéines; après la production de 3 oothèques, la reproduction de ces femelles se ralentit, leur consommation diminue et les oothèques deviennent plus petites que celles des femelles élevées sur un régime à 25% de protéines. Nous supposons que les premiers cycles reproductifs de ces femelles ont été assurés avec les réserves accumulées pendant la vie larvaire. Les femelles alimentées sur régime à 5% de protéines à la fois pendant le dernier stade larvaire et pendant la vie imaginale ont besoin de beaucoup plus de temps pour s'accoupler et pour produire des oothèques que les femelles alimentées sur régime à 5% pendant le dernier stade larvaire et transférées adultes sur un régime à 25% de protéines. Ainsi, les réserves larvaires sont une ressource importante améliorant la reproduction des adultes ayant un régime pauvre en protéines. Cependant, le passé alimentaire larvaire a peu d'effet sur la reproduction des adultes alimentés convenablement.
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11.
Résumé Les nombreuses mesures effectuées pour évaluer le métabolisme de base chez l'homme ont montré qu'il existe une différence dans le métabolisme basal en relation avec le sexe. Le métabolisme de l'homme étant en moyenne supérieur de 6 à 7% au métabolisme de la femme.Ce caractère de sexualité ne peut pas se rattacher directement à une différence dans le comportement des glandes génitales ou des hormones de l'un et l'autre sexe et nous ne pouvous pas le considérer comme une espèce de caractère sexuel secondaire.Les recherches deRiddle et ses collaborateurs sur le métabolisme du Pigeon ont montré que, pour l'uf et l'embryon de cette espèce, le métabolisme du mâle est plus élevé que celui de la femelle.Divers autres travaux font ressortir la mÊme différence de métabolisme en faveur du mâle dans d'autres espèces; Rat, Batraciens etc.Ce caractère de sexualité, métabolisme plus élevé chez le mâle, est une conséquence de l'activité respiratoire plus forte dans les cellules de ce sexe. L'interprétation des expériences deRiddle sur les embryons nous permet de rattacher la plus grande activité respiratoire de ces cellules à leur pouvoir d'oxydation (rH intracellulaire) plus élevé.Les différences sexuelles dans le métabolisme nous apparaissent alors comme une manifestation de la 1e loi de sexualisation cytoplasmique et nous pouvons supposer que ces différences de métabolisme ont une aussi grande généralité que la loi dont elles sont une des conséquences.  相似文献   

12.
When females of the screw-worm fly, Chrysomya bezziana Villeneuve, were given a choice of solutions of protein, sucrose and water, their protein intake was substantial only on days 2, 3 and 4 after emergence, and during the 3 days following the first oviposition. Protein consumption by males remained consistently low for 10 days following emergence.Protein ingestion by laboratory-bred autogenous and anautogenous females, autogenous wild females of C. bezziana, and females of the anautogenous blowly species, Chrysomya megacephala (F), was compared. During the first ovarian cycle (days 1–6), protein solution accounted for 9.5% and 9.4% of the total liquid intake of laboratory-bred and wild anautogenous females of C. bezziana. Protein ingestion by C. megacephala females during the first ovarian cycle represented 23% of the total liquids. During the second ovarian cycle in C. bezziana, protein ingestion represented 21% of total liquids.The presence of dry sucrose or sucrose solution of high concentration depressed protein intake during the first ovarian cycle in C. bezziana.Most feeding by females occurred during the photophase with early morning and late evening peaks in carbohydrate ingestion and a late afternoon peak in protein ingestion.The ecological implications of the results are discussed.
Résumé Quand les femelles de Chrysomya bezziana Villeneuve ont le choix entre des solutions de protéine, de sucrose et d'eau, la consommation de protéines n'est importante que lesond, troisième et quatrième jours après l'émergence, et pendant les 3 jours suivant la première ponte. La consommation de protéines par les mâles reste faible pendant les 10 jours qui suivent l'émergence.Les consommations de protéines par des femmelles de Chrysomya bezziana (sauvages autogènes, elevées en laboratoire autogènes et anautogènes) et par des femelles de l'espèce anautogène Chrysomya megacephala F. ont été comparées. Pendant le premier cycle ovarien (jours 1 à 6) les solutions de protéine ingérées par les femelles autogènes (issues du laboratoire et sauvages de Chrysomya bezziana) correspondent respectivement à 9,5% et 9,4% du liquide total absorbé. Pendant le premier cycle ovarien la quantité de protéine ingérée par les femelles de Chrysomya megacephala représente 23% du liquide absorbé total. Pendant le second cycle ovarien de Chrysomya bezziana, les protéines ingérées représentent 21% de l'absorption totale de liquide.La présence de sucrose sec ou en liquide à concentration élevée réduit la consommation de protéines pendant le premier cycle ovarien de Chrysomya bezziana.L'essentiel de l'alimentation des femelles en carbohydrates a lieu pendant la photophase avec des pics tôt le matin et tard le soir, et avec un pic en find d'après midi pour les protéines.Les conséquences écologiques de ces résultats sont discutées.
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13.
Summary Alates ofTrinervitermes appear in the mounds two or three weeks before their first flights. Those ofT. carbonarius fly first towards the end of May, the other four species in mid-June. Development of alates inT. ebenerianus was accelerated by moisture. The mean sex ratio of all five species in 3664 per cent, males to females, comparable to the percentages of soldiers and workers in young colonies. Flights of alates are late nocturnal, most often at low air temperatures with high relative humidities. «Tandem behaviour» follows wing shedding and precedes «digging-in». A relatively strong stimulus is needed to initiate flight. Thimogtaxis is important in nest site selection. Development of young colonies was followed in glass plate observation nests. The timetable of main events is given for all five species; oviposition and hatching rates and lengthsof instars are tabulated comparatively. The rates of development of young colonies are discussed in relation to their possible adaptive significance.
Résumé On trouve les ailés deTrinervitermes dans leurs termitières de deux à trois semaines avant les premiers vols. ChezT. carbonarius, les vols commencent vers la fin de mai, et chez les autres espèces à la mi-juin. On accélérait la croissance des nymphes deT. ebenerianus en humidifiant les termitières. Le rapport moyen des sexes est 36,64 pour cent, mâles à femelles, et c'est en proportion comparable au rapport entre les soldats et les ouvriers dans les colonies jeunes. Les vols des ailés ont lieu à une heure avancée de la nuit, et ils se présentent le plus souvent en conditions de températures peu élevées, et d'humidités relatives élevées. Le «comportement en tandem» suit l'amputation des ailes et précède le creusement d'une chambre nuptiale. La thygmotaxie est importante en ce qui concerne le choix d'un emplacement pour cette chambre. On a observé le développment des colonies nouvelles dans des nids sous verre. La table chronologique des événements d'importance est donnée pour les cinq espees. On a disposé en tables les données relatives à l'oviposition et à l'éclosion pour effectuer des comparaisons entre les cinq espèces. On examine les vitesses de croissance des jeunes colonies en fonction de leurs significations adaptives.
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14.
Résumé Nous avons observé depuis longtemps déjà que la FourmiCremastogaster scutellaris forme de grandes colonnes de récolte, formations stables pendant toute une saison. Dans une note précédente (1) nous avons montré qu'il est relativement facile d'étudier l'activité collective des ouvrières hors du nid en faisant varier les facteurs du milieu et en observant le comportement de ces colonnes. Il nous a été ainsi possible de déterminer l'existence d'un thermo-preferendum (situé aux environs de 25° pour cette espèce), pour lequel l'activité de la colonne est maxima. De même nous avons pu montrer que l'activité journalière de ces colonnes est arythmique et se trouve uniquement sous l'influence directe et mesurable de la température.Dans l'étude qui suit, nous avons cherché à savoir de quelle façon les facteurs externes déterminaient l'arrêt d'activité hivernal (hibernation) et la reprise d'activité printanière (rupture d'hibernation) des fourmilières deCr. scutellaris. Nous ne nous occuperons pas ici de ce qui se passe à l'intérieur de la fourmilière ni des incidences de l'hibernation sur le cycle biologique de la colonie (ceci fera l'objet de publicationsultérieures), mais simplement des phénomènes qui sont visibles à l'extérieur du nid et qui affectent les colonnes d'ouvriéres.  相似文献   

15.
Résumé L'électrophorèse en gélose pratiquée sur les antigènes des espèces deCandida étudiées, met en évidence 6 fractions. La séparation bien que sommaire a permis l'appréciation de la nature chimique de ces antigènes. La zone de faible mobilité anodique constitue le composant majeur de nature essentiellement protéique, tandis que la fraction lente est intensément révélée par la coloration à l'acide périodique-réactif de Schiff. L'électrophorèse en gel d'amidon, grâce au grand pouvoir de résolution du support a fourni une meilleure séparation des protéines. Intéressants mais insuffisants, les résultats acquis par ces deux types d'électrophorèse de zone sont très largement complétés par ceux de l'immunoélectrophorèse. Cette dernière méthode d'une haute spécificité encore qu'elle reste tributaire de la qualité des immunsérums employés a conduit à un dénombrement précis des fractions antigéniques desCandida puis à la mise en évidence des antigènes communs et spécifiques des espèces étudiées. Les résultats obtenus confirment ceux que nous avons obtenus précédemment (Biguet & coll., 1959a, 1959b, 1960) quant aux affinités réciproques de certaines espèces. Reposant sur des bases physico-chimiques très différentes, ils rejoignent et confirment les travaux extrêment importants de l'école japonaise deTsuchiya et apportent un nouvel argument immunologique à l'hétérogénéité du genreCandida. Sous l'angle taxonomique au moins, il semble que notre méthode présente sur celle des auteurs japonais l'avantage de révéler un nombre beaucoup plus considérable de fractions, partant de permettre en particulier la mise en évidence de divergences de structure qui échapperaient par l'utilisation de leur technique (par exemple, celle qui séparentC. pseudotropicalis deC. macedoniensis).
Summary Agar electrophoresis carried out on antigens ofCandida species studied yielded six fractions. The separation, though summary, permitted the evaluation of the chemical nature of the antigens. The zone of the weak anionic motility constitutes the major component, essentially proteinic in nature, while the slow fraction is intensely revealed by the PAS stain. Starch gel electrophoresis, due to its great power of resolution, yielded better separation of proteins. The results obtained by these two types of zone electrophoresis, interesting but not sufficient, are a great deal complemented by the results of immuno-electrophoresis. The latter method of high specificity, even though it depends on the quality of the immune serum used, led to a precise enumeration of the antigenic fractions ofCandida, furthermore to the evidence of common and specific antigens of the species studied. The results obtained confirmed those previously obtained (Biguet et coll., 1959a, 1959b, 1960) concerning the reciprocal affinities of certain species. Resting on very different physico-chemical bases, they confirm the extremely important work of the school ofTsuchiya and bring a new immunologic argument as to the heterogeneity of the genusCandida. At least under taxonomic point of view, it seems that our method shows an advantage compared with that of the Japanese authors in revealing a much greater number of fractions, consequently in permitting the proof of divergence of structure which would escape by using their technique (e.g. those which separateC. pseudotropicalis fromC. macedoniensis).
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16.
Summary Observations on the yellow antsLasius flavus De Geer were carried on by the author in Western Siberia, Tuva, Khakassia, the Altai and the Tien Shan Mountains.The yellow ants, as most of the ant species, lead two modes of social life: they may have either single, not connected with each other nests, or friendly, closely built nests, which form large colonies. The colonies ofL. flavus often occupy large territories, where they built hundreds and even thousands of nests. These colonies frequently become habitats of numerous species of other ants. They built their nests on the mounds ofL. flavus and penetrating into the channels, gradually destroy the hosts. The colonies ofL. flavus are ouster not by single nests, but mainly by mutually related colonies of other ant species. Occupying a nest of the hosts of this territory, they come into contact with each other and become hostile. Thus colonies ofL. flavus become the theatre of struggle between nest colonies of other ant species; this fact has been observed as a widely spread natural phenomenon.
Résumé L'auteur rapporte ses observations concernant leLasius jaune —Lasius flavus De Geer —, effectuées dans l'ouest de la Sibérie, à Touva, en Abkhasie, dans les contrées de l'Altaï et dans les montagnes du Tian-Chan.LeLasius jaune, comme la plupart des fourmis, a la propriété de posséder un habitat en commun sous deux formes: des fourmilières isolées n'ayant aucun rapport entre elles et des fourmilières vivant en bonne entente dans un voisinage proche au sein d'importantes colonies. Les colonies duLasius recouvrent la plupart du temps d'immenses étendues occupées par des centaines et même des milliers de fourmilières.Ces colonies sont souvent envahies par des fourmis d'un grand nombre d'autres espèces. Ces dernières établissent leur habitat sur celui desLasius jaunes et, s'introduisant par les passages de leur construction, en extermine peu à peu les habitants. Le délogement des colonies deLasius jaunes n'est pas le fait des fourmilières isolées; il est essentiellement dû à l'envahissement par d'autres fourmilières d'espèces apparentées. Ces dernières, occupant progressivement le territoire conquis, se trouvent bientôt en contact qui dégénère en antagonisme agressif. Ainsi, les colonies deLasius jaune se trouvent être le théâtre de la lutte entre fourmilières de diverses espèces; ce phénomène est l'expression d'une loi générale.
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17.
The hardness (i.e. resistance to penetration) of water-saturated polyporus and of various plant structures, determined by a 0.254 mm diameter needle-penetrometer, ranged from 12–50 and 11–112 g/mm respectively. The isolated mandibular stylets of three species of Homoptera (Typhlocyba rosae, Philaenus spumarius, Macropsis fuscula) possessed tapered but non-curved apices while the maxillaries were incurved to varying extents: this condition was reversed in two Heteroptera (Orthotylus ochrotrichus, Tingis cardui) where the mandibulars were incurved and the maxillaries straight. Insertion of the isolated stylets into wet polyporus produced curved paths closely related to the stylet structure with the average radius of curvature of the path decreasing by half in the hard (50 g/mm) compared with the soft (12 g/mm) polyporus. These results are related to published information on the stylet paths of these and related insects when they are feeding. Directional control of the stylets in plant tissue is considered to be primarily a function of the mandibular stylets in the Heteroptera and of the maxillaries in the Homoptera, for species in which the maxillary stylets are independently-moving.
Résumé La dureté (c'est-à-dire la résistance à la pénétration) de petits morceaux de polypore saturés d'eau est évaluée d'après la force nécessaire pour assurer l'enfoncement d'une aiguille d'un diamètre de 0,254 mm; celle-ci est comprise entre 12 et 50 g/mm. La dureté moyenne ainsi établie est évidemment plus grande que celle obtenue avec une aiguille de 0.142 mm; par ailleurs, si le polypore est remouillé, après avoir été séché, il ne montre aucun changement significatif de sa dureté; celle-ci est inversement proportionnelle à la teneur en eau.La dureté de divers organes des plantes, déterminée avec une aiguille de 0,254 mm, varie de 11,3 g/mm (nervure principale d'une feuille de tabac) à 112,2 g/mm (tige de chèvrefeuille), bien que certains tissus puissent avoir des valeurs moyennes bien au-dessus ou bien audessous de celle de l'organe entier. Comme avec le polypore, il y a une relation inverse entre la dureté et la teneur en eau.L'examen des extrêmités des stylets isolés chez trois espèces d'Homoptères et deux espèces d'Hétéroptères, montre que chez les Homoptères les mandibules sont droites et acérées alors qu'elles sont courbes chez les Hétéroptères; la condition inverse s'observe pour les maxilles. La courbure des stylets qui se voit chez l'insecte vivant quand leur extrémité est prolongée au-dela du faisceau, varie avec les espèces. Pour les maxilles, elle est plus grande chez Typhlocyba rosae que chez Philaenus spumarius et Macropsis fuscula (Homoptères), et pour les mandibules, elle est plus grande chez Tingis cardui que chez Orthylus ochrotrichus (Hétéroptères).Des stylets isolés enfoncés dans du polypore tendre ou dur (12 et 50 g/mm respectivement) suivent des trajets courbes en rapport avec la structure des stylets et avec la dureté du substrat.Des résultats publiés pour d'autres espèces d'Hémiptères au sujet de la pénétration des stylets dans les tissus des plantes sont confrontés aux résultats précédents. On en conclut que les trajets sinueux observés pour les stylets des Hétéroptères (O. ochrotrichus et T. cardui) et de petits Homoptères (Typhlocyba rosae) sont surtout le fait des stylets mandibulaires et maxillaires respectivement présentant une courbure. La courbure moins accentuée des stylets maxillaires de plus grands Homoptères (P. spumarius et M. fuscula) est à rapprocher du trajet plus droit des stylets de ces espèces, avec un changement de direction limité aux tissus vasculaires les plus durs.
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18.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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19.
An artificial bean seed system was used to evaluate the effects of a cysteine proteinase inhibitor (E-64) and a serine proteinase inhibitor (Bowman-Birk inhibitor) on the developmental time and mortality of the common bean weevil, Acanthoscelides obtectus (Say). These inhibitors were incorporated into artificial bean seeds on which the insect fed. To better understand the mode of action of these inhibitors, free amino acids were also added to the seeds, alone and in combination with the inhibitors. E-64 was found to be highly effective in delaying development and increasing mortality of the insect. Both effects were directly related to the concentration of E-64. Bowman-Birk inhibitor had little effect on these parameters. Assays of gut proteolytic activity of insects reared on artificial seeds with various levels of E-64 demonstrated a direct relationship between E-64 concentration in the diet and reduction of gut proteolytic activity. Free amino acid supplementation to the diet did not prevent inhibition of gut proteolytic activity by E-64, but did reverse its effects on developmental time and mortality, strengthening the hypothesis that E-64 operates by inhibition of essential digestive proteinase activity.
Résumé Des grains artificiels de haricot ont été utilisés pour évaluer les effets sur la durée de développement et la mortalité d' Acanthoscelides obtectus. Say d'inhibiteurs de la protéinase de la cystéine (E-64) et de la protéinase de la sérine (l'inhibiteur de Bowman-Birk). Ces inhibiteurs avaient été incorporés dans les grains artificiels. Pour mieux comprendre leur voie d'action, des acides aminés libres étaient ajoutés à ces graines, seuls ou combinés aux inhibiteurs. E-64 a très efficacement retardé le développement et accru la mortalité; ces 2 effets étaient liés à sa concentration. L'inhibiteur de Bowman-Birk a eu peu d'effets sur ces paramètres. Des expériences sur l'activité protéolytique du tube digestif d'insectes élevés sur des graines artificielles avec différentes concentrations de E-64 ont montré une relation directe entre la concentration en E-64 et la réduction de l'activité protéolytique. L'addition d'acides aminés libres dans l'aliment n'a pas empêché l'inhibition de l'activité protéolytique par E-64, mais a inversé ses effets sur la durée de développement et la mortalité, renforçant l'hypothèse que E-64 agit en inhibant l'activité protéinase digestive essentielle.
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20.
The chemical composition of yeast and mycelial cells of three strains ofHistoplasma capsulatum was analyzed and is expressed as per cent dry weight. Cultures were grown in a liquid synthetic medium, mycelial cells at 25°C and yeast at 37°C on gyrotory shakers. After 7 days, deoxyribonucleic acid (DNA), ribonucleic acid (RNA), and protein were higher in the yeast cells while mycelial cells contained more lipid and carbohydrate. The components of one strain were also studied at different stages of growth. The DNA in both yeast and mycelial cells remained relatively constant, but other components varied with the age of culture. In yeast cells the RNA level was 6.8 % at 2 days and then declined sharply remaining constant around 3.5 %. A protein content of 29 % on day 2 decreased gradually to 19 % on day 14. An initial lipid content of 21 % rose to 33 % on day 5 and then decreased. Similarly, an initial carbohydrate level of 17 % rose to 25 % on day 7 and then declined. The mycelial cells contained 4 % RNA up to 10 days followed by a slight decline to 3 % on day 14. A protein content of 20 % on day 5 increased to 24 % on day 10 and then decreased to 15 % on day 28. The lipid content of 33 % on day 5 rose to 38 % on day 7 and then decreased gradually. The carbohydrate level of 20 % at 5 days increased to 38 % on day 10 and declined gradually to 27 % after 28 days.
Résumé La composition chimique des cellules levuriformes et mycéliennes de trois souches deHistoplasma capsulatum a été déterminée. Le champignon a été cultivé dans un milieu synthétique liquide secoué à 25° C pour la phase mycélienne et à 37° C pour la phase levuriforme. Après 7 jours d'incubation, les cellules levuriformes étaient plus riches en acides nucléiques et en protéines que les cellules mycéliennes qui étaient par contre plus riches en lipides et en hydrates de carbone. La composition d'une des souches fut étudiée à différentes étapes de la croissance. La teneur en ADN des deux phases resta relativement constante mais des variations furent observées dans le cas des autres constituants chimiques. Pour ce qui est des levures, l'ARN qui constituait 6,8 % du poids des cellules sèches à deux jours, tomba rapidement à 3,5 % et resta constant. Les proteines passèrent de 29 % au deuxième jour à 19 % au quatorzième jour. Au contraire, la teneur en lipides passa d'un valeur initiale de 21 % à 33 % au cinquième jour, pour diminuer de nouveau par la suite. De même, une teneur initiale en hydrates de carbone de 17 % passa à 25 % au septième jour puis diminua par la suite. Dans les cas des cellules mycéliennes contenaient 4 % de ARN jusqu'au dizième jours, puis cette valeur tomba légèrement jusqu'à 3 % au quatorzième jour. Les protéines qui représentaient 20 % au cinquième jour augmentèrent jusqu'à 24 % au dizième jour pour tomber à 15 % au vingthuitième jour. La teneur en lipides de 33 % au cinquième jour augmenta jusqu'à 38 % au septième jour pour diminuer graduellement. De même les taux en hydrates de carbones qui représentaient 20 % au cinquième jour augmentèrent jusqu'à 38 % au dixième jour et diminuèrent graduellement jusqu'à 27 % au vingt-huitième jour.
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