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1.
The respiration of pupae ofTrichoplusia ni decreased considerably following parasitization by the chalcidoidBrachymeria intermedia. Furthermore, the process of host tissue development appeared to be arrested within 48 hr indicating that this parasite quickly kills the host insect. The rate of oxygen consumption of parasitized pupae corresponded well with the observed development of the parasite.Parasite larvae fed actively and grew on conventional defined artificial media and larval development was completed on several diets of variable composition. However, following the elimination of the meconium most individuals died as prepupae. Few pupae were obtained and no adults emerged. Survival appeared to correlate with the observable protein content of developing larvae and possible factors influencing further development were discussed.
Résumé La respiration des chrysalides deTrichoplusia ni diminue brutalement après attaque parBrachymeria intermedia. De plus, le développement des tissus de l'hôte paraît être arreté en 48 h, montrant que ce parasite tue rapidement l'insecte hôte. Le taux de consommation de la nymphe parasitée correspond bien au développement observé du parasite.Les larves du parasite consomment activement et croissent sur substrat artificiel conventionnel et le développement larvaire est complet sur différents régimes de compositions variables. Cependant, à la suite de l'élimination du méconium, la plupart des individus meurent en prénymphes. Quelques nymphes sont obtenues mais aucun adulte n'émerge. La survie paraît liée à la teneur mesurable de proteïnes de la larve en développement; des facteurs pouvant influer sur le développement ultérieurs sont discutés.
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2.
As the temperature at which larvae of C. capitata were reared decreased from 30° to 25° to 20° the yield of pupae from eggs increased from 15% to 25% to 30% and the mean weight of pupae decreased. Within each temperature regime the weight of pupae produced on successive days declined and the fat content of those pupae varied.
Résumé On a étudié l'effet de température d'élevage larvaire de 20°, 25° et 30°. La durée du développement s'accroît de 7 à 13 jours pour des températures respectives de 30° et 20°. Lorsque la température d'élevage baisse, le nombre de pupes produites par rapport aux oeufs s'accroîts de 15% à 20% et 30% et le poids moyen des pupes diminue.Pour chaque régime de température il y a une nette réduction du poids des pupes produites au cours des jours successifs et la teneur en lipides de celles-ci varie également. L'émergence moyenne des adultes à partir de pupes produites dans un élevage à 30° est plus élevée que celle obtenue dans des élevages à 25° et 20°.Tandis que la vitesse du développement, le contrôle du métabolisme des graisses et la production de pupes peuvent être des facteurs primaires intervenant dans le choix de la température d'élevage pour la production de masse de la mouche des fruits, il faudrait aussi considérer les effets de cette température d'élevage sur d'autres aspects de la biologie de l'insecte.
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3.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

4.
The utilization of carbohydrates by the large milkweed bug, Oncopeltus fasciatus (Dallas), was studied by feeding the nymphs on chemically defined diets and recording the effects of the various sugars on growth, development, survival, and reproduction. The carbohydrate utilization by the early nymphal stages was largely similar to that observed for later ones. The results showed that some dietary carbohydrate is necessary for maintaining O. fasciatus on chemical diets. Arabinose and rhamnose were of poor value, but the insect was able to utilize glucose, fructose, mannose, galactose, sucrose, maltose, trehalose, lactose, turanose, melibiose, raffinose, and melezitose. The degree of utilization for each sugar, however, differed. Glucose promoted best growth and development among monosaccharides, sucrose among disaccharides, and melezitose among trisaccharides. The optimum level of sugar in the diet was around 4%, and a higher or lower concentration (2, 8, 12%) usually reduced growth. Viable eggs were obtained on some of the diets.
Résumé La valeur nutritive de plusieurs glucides pour la punaise de l'asclépiade, Oncopeltus fasciatus, a été déterminée en élevant des larves sur des régimes nutritifs de composition chimique connue. Les effets des sucres sur la croissance, le développement, la longévité et la reproduction ont été établis, et ces effets apparaissent semblables chez les très jeunes larves de même que chez les larves plus âgées. Les résultats indiquent que la présence d'un sucre dans le régime nutritif est indispensable pour la survie de l'insecte. Cependant certains sucres, tels que l'arabinose ou le rhamnose n'ont que peu ou pas de valeur nutritive, tandis que d'autres (glucose, fructose, mannose, galactose, sucrose, maltose, tréhalose, lactose, turanose, mélibiose, raffinose et mélézitose) ont une valeur nutritive variant de faible à élevée. Les sucres qui ont donné les meilleurs résultats sont le glucose, le sucrose, et le mélézitose. La concentration glucidique optimale dans le régime se situe à 4% et une concentration moindre (2%) ou plus élevée (8 ou 12%) ralentit généralement la croissance. Les larves sur certains régimes se sont développées jusqu'au stade adulte et des ufs fertiles ont été pondus.
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5.
Summary The hemolymph ofVespa orientalis is rich in saccharolytic enzymes which convert poly- and disaccharides into monosaccharides.During the life of the insect the enzymatic activity is probably controlled by a hormonal feedback reaction which is analogous for most living organisms. After removal of hemolymph from the insect, the enzymes start uncontrolled activity, which is limited only by the amount of available substrate. Thus the liberated monosaccharides express the total available energy reserve and the initial levels, which represent the immediate requirement of the insect.Both factors are governed by the seasonal, environmental, physical and physiological requirements of the individual insect and are widely variable.The enzyme levels and the substrate reserves generally tend to increase with maturation, but functional and caste differences are significant.The enzyme assays of the fresh and of the incubated hemolymph provides valuable information on the developmental and the biological status of the insects.
Résumé L'hémolymphe duVespa orientalis est riche en enzymes saccharolytiques, ceux qui transforment les poly- et disaccharides en monosaccharides.Durant la vie de l'insecte, l'activité enzymatique est contrôlée par la réaction hormonale du retour des aliments, qui est analogue chez la plupart des organismes vivants. Après l'extraction de l'hémolymphe de l'insecte, les enzymes mettent en train une activité incontrôlable, qui ne cesse que par l'épuisement du substrat disponible. Les monosaccharides ainsi libérés font connaître la réserve totale de l'énergie valable et les quantités initiales qui sont l'expression du besoin immédiat de l'insecte.Cex deux facteurs dépendent de la saison, de l'environnement, des besoins physiques et physiologiques de chaque insecte individuel, et sont extrêmement variables.Les valeurs des enzymes et les réserves du substrat sont d'habitude disposées à augmenter en parallèle à la maturation; mais les divergences qui existent quant à la caste et à la fonction spécifique restent significatives.Les essais enzymatiques de l'hémolymphe fraîche ainsi que de l'hémolymphe incubée offrent des renseignements de valeur sur l'état développemental et biologique de l'insecte.


This research study was carried out with the aid of Ford Research Grant No. B III/6 accorded to Dr. JacobIshay.  相似文献   

6.
Rates of feeding of larvae of Culex pipiens in distilled water and larval water (water in which larvae were held overnight at a density of 1–2 larvae/ml) were compared by two methods. One method depended on assessing the relative rate of displacement of kaolin from the gut when kaolin-glutted larvae were provided with charcoal powder in the test liquids. The other method involved observation of changes in the time spent filtering by individual larvae transferred between distilled and larval water. Compared with plain water, larval water stimulates increased rates of feeding by the same or other conspecific larvae.
Résumé L'eau dans laquelle on a maintenu des larves pendant une nuit, à la densité de 1–2 larves ml, stimule l'activité de filtration et la prise de nourriture de larves introduites isolément dans ce milieu, par comparaison avec des larves témoins placées dans de l'eau distillée. La comparaison de l'activité alimentaire a été faite selon deux méthodes. La première méthode utilise des larves gavées de poudre de kaolin ajoutée à l'eau du milieu d'élevage; ces larves sont transférées ensuite dans de l'eau distillée ou de l'eau ayant hébergé de nombreuses larves (eau de larves) eau à laquelle on ajoute de la poudre de charbon. La quantité de charbon filtrée et absorbée peut alors être appréciée et comparee pour l'eau distillée et pour l'eau de larves. La seconde méthode est basée sur la mesure du temps passé en activité de filtration, pour des larves isolées introduites dans de l'eau distillée ou de l'eau, ayant hébergé, de larves.Ces expériences démontrent que l'eau d'êlevage des larves groupées renferme un principe phagostimulant apporté par les larves elles-mêmes.
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7.
Four bioassay techniques are described for use at successive stages in the formation of beecomb protected by Bacillus thuringiensis against attack by larvae of Galleria mellonella. The precision of the assays was closely related to the degree with which the technical conditions could be tailored to minimise sources of variation. An economical and accurate assay with an artificial food medium detected differences of x 1.6 in the innate potency of bacterial products. An assay to test the effect on potency of a natural food, pounded broodcomb, was less precise. Differences of x 2.9 were detected by assay on foundation beeswax designed to investigate survival of bacterial during processing in the wax factory. Replicating the assay with different insect batches greatly improved precision despite variation in susceptibility to the bacteria between the batches, which was largely circumvented by using potency ratios against a standard bacterial preparation. An assay of the final broodcomb, formed from bacteriatreated foundation wax, was much less accurate because of variation in potency in replicate pieces of broodcomb. This series of four assays is satisfactory for research purposes and may be of some use for quality control if a commercial system for protecting beecomb is adopted.
Résumé Quatre techniques pour les tests biologiques sont décrites pour l'emploi quand on utilise Bacillus thuringiensis comme élément portecteur contre les attaques des rayons de cire par les chenilles de Galleria mellonella, en incorporant des bactéries dans le substrat de cire lors de sa préparation industrielle en vue de servir à la fabrication des rayons à miel.La précision des résultats des tests réalisés dépend étroitement des conditions techniques rigoureuses qui doivent être normalisées afin de réduire les causes de variation.Un test économique et précis avec un milieu alimentaire artificiel a permis de déceler des différences de l'ordre 1.6 x dans l'efficacité des produits bactériens ainsi utilisés.Un test, pour mesurer l'effet d'une nourriture naturelle, comme un broyat de rayon à miel, sur le pouvoir protecteur de la bactérie, s'est révélé moins précis.Des différences d'efficacité de l'ordre de 2.9 x ont été mises en évidence dans un test concu pour préciser les conditions de survie des bactéries au cours de la préparation industrielle des feuilles de cire gauffrée utilisée comme substrat pour les rayons à miel. La répétition du test avec des lots différents d'insectes démontra amplement sa précision, en dépit d'une variation dans la sensibilité de ces différents lots à la bactérie, variation dont il a été tenu compte en exprimant l'efficacité des produits testés par rapport à l'efficacité d'une préparation bactériologique standard testée simultanément sur le même lot d'insectes.Un test effectué avec le rayon à miel, construit par les abeilles à partir de la cire gauffrée ayant recu une incorporation de bactéries lors de sa fabrication industrielle, s'est révélé beaucoup moins précis, en raison de la variation observée dans l'efficacité entre les divers échantillons de rayons.Cette série de quatre essais est satisfaisante pour les besoins de la recherche et elle pourait être utilisée jusqu'a un certain point, pour le contrôle de la qualité de la cire gauffrée manufacturée, si on adoptait commercialement la possibilité de protéger les rayons à miel contre la teigne des ruches.
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8.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

9.
Diapause termination under natural and simulated overwintering conditions, the effect of subzero temperature on postdiapause development and the relationship between postdiapause development rate and constant and fluctuating temperatures was studied in a Dutch population ofAphelinus mali Hald. (Hymenoptera: Aphelinidae).The rate of diapause termination was similar in larvae overwintering under natural and simulated conditions. Most larvae had terminated diapause by the last week of February. Some female larvae may have remained in diapause until the end of March. The exposure of postdiapause larvae to –10°C for two weeks did not affect their survival or postdiapause development rate.PostdiapauseA. mali larvae could complete development and the adults emerge from their mummified aphid hosts at constant temperatures from 12 to 24°C. Although some larvae completed postdiapause development at 10°C, few emerged. The theoretical threshold temperature (to) for postdiapause development was 9.4°C and the thermal constant (K) 136.4 degree-days. K was 121.4 and 134.8 for first and 50% emergence, respectively.The number of heat units accumulating above 9.4°C to 1st and 50% emergence was similar under constant and fluctuating temperatures.
Fin de la diapause et exigences thermiques pour le développement après la diapause d'Aphelinus mali soumis à des températures constantes ou à des thermopériodes
Résumé L'achèvement de la diapause en conditions naturelles ou simulant l'hiver, les effets des températures inférieures à zéro sur le développement après la diapause et les relations entre la vitesse de développement après la diapause et les températures constantes ou en thermopériodes ont été examinés sur des populations néerlandaises d'A. mali (Hymenop.; Aphélinidae).Les taux d'achèvement de la diapause de larves hivernantes étaient semblables en conditions naturelles ou simulées. La plupart des larves ont terminé leur diapause la dernière semaine de février. Quelques larves femelles sont restées en diapause jusqu'à fin mars. L'exposition pendant 2 semaines des larves sorties de diapause à –10 °C ne compromet pas leur survie ou leur taux de développement après la diapause.Les larves ayant diapause peuvent terminer leur développement et les adultes émerger des pucerons momifiés aux températures constantes comprises entre 12 et 24 °C. Bien que quelques larves achèvent leur développement à 10 °C, peu émergent. La température seuil théorique de développement après la diapause (to) a été de 9,4 °C et la constante thermique (K), 136,5 degrés-jours. Pour la première émergence et pour 50% d'émergences, les valeurs de K étaient respectivement: 121,4 et 134,8.Le nombre d'unités thermiques pour la première émergence et pour 50% d'émergences était le même à température constante ou avec une thermopériode.
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10.
Changes in the respiratory rates of standard, overcrowded, and starved fourth-instar Aedes aegypti are compared. The respiratory effects of varying larval densities during and prior to measurement are investigated. In addition, the results of exposure of standard and over-crowded larvae to growth-retarding factors (GRF) at various concentrations are also evaluated.
Résumé Le but de cette étude est d'étudier les modifications de l'activité respiratoire chez des larves du 4ème stade mises respectivement en condition d'élevage standard, en condition de surpeuplement, et en condition de restriction alimentaire.Les conditions de surpeuplement et de restriction alimentaire entrainent un abaissement significatif du niveau du métabolisme respiratoire. L'activité respiratoire des larves élevées en condition standard, prend des valeurs plus élevées quand la mesure est faite sur un plus grand nombre de larves rassemblées dans le tube-test; par contre les conditions de mesure (15, 25 ou 35 larves dans le tube-test) ne modifient pas la valeur de l'activité respiratoire des larves élevées en condition de surpeuplement. Quand des larves élevées en milieu surpeuplé et en milieu standard sont soumises à de fortes concentrations des facteurs retardant la croissance (Growth-retardant factors; GRF de Moore & Fisher 1969) l'activité respiratoire est stimulée. Dans les conditions de surpeuplement et de restriction alimentaire, deux types facteurs pourraient agir sur le métabolisme respiratoire, des facteurs chimiques et des facteurs mécaniques tels que l'agitation des individus dans un espace étroit (par exemple le tube-test).
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11.
The chemical composition of yeast cells of Oidiodendron kalrai was analyzed and is expressed as percent dry weight. Cultures were grown in tryptone broth and in a liquid synthetic medium containing ammonium salts as a nitrogen source. After 48 h, carbohydrate levels were higher in the synthetic medium, but lipid levels were lower. Deoxyribonucleic acid (DNA), ribonucleic acid (RNA), and protein contents did not differ significantly in the two media. The chemical components were also studied at different stages of growth. DNA remained relatively constant, but other components varied with the age of culture. The RNA was 6.6% at 18 h and declined rapidly to 5% by 24 h and remained constant. An initial protein content of 23% at 18 h increased rapidly to 37% by 48 h and gradually declined to 30% by day 10. The lipid content of 33% at 18 h decreased over the entire growth period to 10% by day 10. An initial carbohydrate level of 30% increased to a maximum of 54% by day 5 and then declined.
Resume La composition chimique de la levure Oidiodendron kalrai a été étudiée, la proportion des composants est exprimée en pourcentage. Deux milieux de culture ont été utilisés: un bouillon à base de tryptone et un milieu synthétique liquide comprenant des sels minéraux comme source d'azote. Après 48 heures de culture, la teneur en glucides est plus importante en milieu synthétique mais le contenu lipidique est infèrieur avec ce même milieu. Les proportions de ADN, ARN et protéines diffèrent peu suivant le milieu de culture employé. L'analyse chimiq ïe de la levure a été également faite a différents stades de la croissance cellulaire. Le taux de ADN reste relativement constant, mais celui des autres constituants varie avec l'âge des levures. Le contenu en ARN est de 6.6% après 18 heures de croissance puis il diminue rapidement pour atteindre un minimum de 5% à partir de 24 heures. La proportion initiale en protéines est de 23% à 18 heures, elle augmente rapidement jusqu'à 37% à 48 heures, puis elle diminue peu à peu jusqu'à un minimum de 30%, atteint après 10 jours de croissance. La composition lipidique qui est de 33% à 18 heures, diminue ensuite jusqu'à un minimum de 10% après une période d'incubation de 10 jours. La teneur en glucides qui est initialement de 30%, augmente et atteind un maximum de 54% en 5 jours puis décroît.
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12.
Female blowflies (Phormia regina Meigen) which had been fed either sucrose (S flies) or sucrose and yeast (SY flies) were tested for their response to novel odours in an actograph. All responded with an increase in activity. S flies were consistently more responsive than SY flies both in their increase in activity and in the number of different odours to which they responded significantly. S flies found food rapidly over a short distance when they were made active either by a stimulating odour or by mechanical agitation. Olfaction, rather than vision, was demonstrated to be the sense mediating the increase in activity.
Résumé Des effluves de banane, pomme, foie de buf et levure ont été testées en actographe contenant 20 femelles de Phormia regina de 2 à 9 jours. Ces mouches avaient été nourries antérieurement, soit sur sucrose seul à 0,1M (mouches S), soit sur sucrose (0,1M) et 10% de levure (mouches SY). L'activité des mouches croît quand les odeurs sont introduites, mais il en est de même quand le courant d'air pur est changé.L'augmentation de l'activité provoquée par la banane, la pomme, et la levure est significativement supérieure pour les mouches S, à celle provoquée par le changement du courant d'air (Fig. 1). Chez les mouches SY l'augmentation significative est observée avec la banane et la levure (Fig. 2). Les mouches S sont plus actives et répondent mieux que les mouches SY: Une goutte de levure dans un récipient avec des mouches S de 6 jours stimule leur activité et la goutte est trouvée rapidement (16 sec.). Des gouttes d'eau ou de sucrose ne stimulent pas l'activité, et les mouches mettent beaucoup plus long-temps pour les trouver (> 100 sec.). En secouant les récipients pour rendre les mouches actives on obtient une découverte des gouttes d'eau ou de sucrose aussi rapide que la découverte des gouttes de levures par les mouches non perturbées. Des mouches antennotectomisées, non perturbées, mettent 252 sec. pour trouver une goutte de levure, mais des mouches antennotectomisées et agitées artificiellement trouvent les gouttes presqu'aussi rapidement que les mouches normales non perturbées (Fig. 3).
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13.
Summary The factors influencing the size of hibernating larvae have been investigated. The large ones are formed early in summer, become quiescent at an important developmental stage known as brain position 0.5, and then pass through a period of slow growth characterised by high ratios of growth rate to development rate. They can be forced to metamorphose by vernal workers or temperatures as high as 25°C when they always yield workers. The medium larvae are formed after the large, and have reached the quiescent diapause stage (brain 0.5) before winter.The small larvae are formed last of all, and do not reach this stage before winter. They are plastic, and their development can be influenced experimentally by varying the worker type and the incubation temperature. Male larvae do not have a diapause.Vernalisation is an essential step in the queen formation process. The ability of large female larvae to sustain a high ratio of growth rate to development rate increases gradually from nil to full during winter. Males and the smallest female larvae are, on the other hand, unaffected. Vernalisation also develops the mechanism by which intercastes are avoided.
Résumé On a déterminé les facteurs qui influencent la taille des larves d'hiver. Les grosses larves qui apparaissent au début de l'été deviennent quiescentes à un stade ontogénétique important désigné par: ganglions cérébroïdes 0,5; puis elles passent par une période de lent accroissement que caractérise la haute raison de la vitesse de l'accroissement par rapport à celle du développement. La métamorphose peut être produite par l'action des ouvrières vernales ou par des températures assez hautes (25°C); de telles larves donnent surtout des ouvrières. Les larves de taille moyenne se produisent après les grosses larves, et elles atteignent le stade de la diapause (ganglion cérébroïde, 0,5) avant l'hiver. Les petites larves se forment les dernières et n'atteignent pas ce stade avant l'hiver. Elles sont plastiques et leur développement peut être modifié expérimentalement si l'on change le type d'ouvrières nourricières et la température d'élevage. Les larves mâles ne subissent pas de diapause.La vernalisation est un processus essentiel pour la production des femelles-(reines). La faculté des grosses larves femelles à soutenir une haute raison de la vitesse de l'accroissement par rapport à celle du développement augmente peu à peu, pendant l'hiver, de zéro jusqu'au maximum. D'autre part, les larves mâles et les plus petites larves femelles ne changent pas. La vernalisation développe aussi le processus par lequel sont évitées les intercastes.

Sumario Por examinación de los factores que influyen el tamaño de las larvas en invernación, se ha determinado que las mayores se forman en la primera parte del verano y quedan durmientes durante un importante estado del desarrollo conocido como (posición cerebral 0,5). Luego pasan por un perido de crecimiento lento caracterizado por alta proporciôn de crecimiento a la proporción de desarrollo.Puédese enforzar su metamorfosis, por medio de trabajadores vernales o temperatura hasta 25°C cuando rinden siempre trabajadores.La larva mediana fórmase después de la mayor y llega al estado durmiente del (diapause) cérebro 0,5 antes del invierno.La larva menor es última en formarse y no llega a este estado antes de comenzar el invierno. Debido a su plasticidad, se puede influir su desarrollo experimentando con la variación de los trabajadores y la temperatura de incubación. Larva del sexo masculino no pasa por este estado.Vernalización es un paso esencial en el proceso de formación de la reina. La abilidad de la larva hembra mayor de sostener un alto porcentaje de crecimiento hasta llegar al de desarrollo, se aumenta gradualmente de cero para completarse durante el invierno.Mientrastanto, los machos y la larva hembra menor quedan sin afectarse. Asimismo la vernalización asiste al desarrollo del mecanismo por el cual se evita fecundación cruzada.
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14.
Résumé Des élevages expérimentaux deCallosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera, Bruchidae) sur les graines deVicia faba décortiquées ou non, ou sur des pastilles faites des mêmes graines, ont permis de mettre en évidence une barrière empêchant le développement de la bruche.Avec les graines entières, toutes les larves meurent au premier stade enfoncées dans le tégument; alors qu'elles se développent normalement dans les graines décortiquées.Avec des pastilles de broyats de graines non décortiquées, la majorité des larves meurt avant le terme de leur développement; la plus forte mortalité est observée au quatrième stade larvaire. Les larves, qui survivent, accusent une augmentation de leur durée de développement par rapport à celles qui se nourrissent aux dépens des pastilles faites de graines sans tégument.  相似文献   

15.
Résumé L'élevage au laboratoire du criquet migrateur Locusta migratoria L. se fait généralement sur des graminées sauvages comme le roseau (Phragmites communis T.), le bambou (Sasa japonica L.), le pâturin (Poa annua L.) ou des graminées cultivées tel le blé par exemple (Triticum sativum Vill.). Malgré les efforts faits par de nombreux auteurs, le développement complet n'a pu encore être obtenu sur un milieu nutritif de type holidique ou synthétique c'est-à-dire totalement défini du point de vue chimique. Par contre, deux milieux nutritifs semi-synthétiques et qualifiés de méridique par Dougherty (1959), permettent au criquet de se développer dans des conditions satisfaisantes. L'un comporte des feuilles sèches de roseau, (Borisova, 1966) l'autre seulement de l'extrait aqueux de pâturin (Rigollet, 1966).Nous avons repris les conclusions des précédents auteurs et cherché à obtenir un milieu nutritif de type méridique capable de satisfaire les exigences alimentaires des larves du criquet migrateur prises dès l'éclosion. Nous avons aussi tenu à voir si l'introduction d'une photopériode dans les conditions d'élevage ne modifie pas l'assimilation des éléments nutritifs ingérés et digérés.Il apparaît ainsi qu'une croissance régulière et satisfaisante des larves peut être obtenue sur des milieux nutritifs semi-synthétiques ne comportant pas de particules végétales. Celles-ci sont remplacées par de l'extrait de blé, de pâturin ou de salade qui représente à peine un pour cent du poids sec de l'aliment. Cependant, les extraits interviennent différemment selon le stade dy développement et le sexe des larves, la composition de base du milieu, la durée journalière de l'éclairement.Par ailleurs, quel que soit le régime alimentaire auquel sont soumises les larves, une photopériode de douze heures améliore la croissance pondérale et diminue la durée du développement, par rapport à ce qui est observé en éclairement continu. Il paraît enfin démontré que les larves femelles, en fin de développement, se montrent plus sensibles que les larves mâles, en face de déficiences ou de déséquilibres nutritionnels.
Summary Laboratory rearing of the migratory locust Locusta migratoria usually is on such wild Gramineae as the reed (Phragmites communis), bamboo (Sasa japonica), meadow grass (Poa annua) or on cultivated Gramineae, for example on wheat (Triticum sativum). Complete development has not yet been obtained on a diet of the holidic or synthetic type. On the other hand there are two meridic or semi-synthetic diets, that allow the locust to develop satisfactorily. One consists of dried reed leaves (Borisova, 1966), the other includes merely aqueous extract of meadow grass (Rigollet, 1966).We have sought a diet of the meridic type that would satisfy the alimentary requirements of nymphs of the migratory locust taken shortly after hatching. We also investigated whether introduction into the rearing conditions of a photoperiod modifies the assimilation of the nutritive elements that were eaten and digested.Regular and satisfactory growth of the nymphs could be obtained on semi-synthetic diets that contain no vegetable particles. The latter are replaced by an extract of wheat, meadow grass, or lettuce, amounting scarcely to 1% of the dry weight of the food. However, the effect of the extracts differs according to the developmental stage and sex of the nymphs, the basic composition of the medium, and the diurnal duration of lighting.Besides, whatever the alimentary regime to which the nymphs are subjected, a photoperiod of 12 hours improves the gain in weight and reduces the duration of development, relative to what is seen under constant illumination. Finally, it is demonstrated that female nymphs, at the end of the developmental period, are more sensitive than male nymphs to nutritional deficiencies or disequilibria.
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16.
Diapause requirements of eggs of Zeiraphera canadensis Mutuura and Freeman (Lepidoptera: Tortricidae) are satisfied by 15 weeks of storage at 0.5°C. Temperatures above 30°C are lethal for this life stage. Temperature-dependent development of larvae fed on white spruce, Picea glauca (Moench) Voss, and of pupae was observed under laboratory conditions. The shortest development times were observed at 28°C. Larvae are tolerant to heat, and developed at 32°C, a lethal temperature for pupae. There was little variation of development rates in all stages of the life cycle, explaining the high degree of phenological synchrony reported in populations of this species. A phenological model was developed and calibrated to simulate the relative abundance of the various immature stages under field conditions. The calibration process suggested that temperature in the microhabitat of eggs may be very close to air temperature, but that temperatures under bud caps where larvae are feeding may rise several degrees above air temperature. For the purposes of planning the timing of survey and control practices, degree-day requirements for 10% egg hatch and 75% adult emergence were estimated based on a 4.4°C threshold temperature.
Résumé La diapause des oeufs de Zeiraphera canadensis Mutuura et Freeman (Lepidoptera: Tortricidae) a été complétée après 15 semaines d'élevage à 0,5°C. A ce stade de leur développement, une température supérieure à 30°C leur est létale. Les relations entre la température et le développement des larves sur l'épinette blanche, Picea glauca (Moench) Voss, et des pupes ont été observées au laboratoire. Les temps de développement les plus courts ont été observés à 28°C. Les larves sont tolérantes à la chaleur et se développent à 32 C, une température qui est létale aux pupes. II y a peu de variabilité des taux de développement de tous les stades immatures. Ceci explique le haut degré de synchronie observé au sein de populations de cet insecte. Un modèle simulant la phénologie a été mis au point et calibré pour prédire la fréquence des divers stades du cycle vital sous des conditions de terrain. La processus de calibration a révélé que la température dans le microhabitat des oeufs est très semblable à celle de l'air, mais que les larves, retrouvées sous l'enveloppe des bourgeons, sont exposées à des températures pouvant excéder celle-ci de plusieurs degrés. Pour des fins de planification du synchronisme entre le développement de l'insecte et des programmes de suivi et de lutte, le nombre de degré-jours nécessaires pour atteindre 10% d'éclosion des oeufs ou 75% d'émergence des adultes ont été estimés à partir d'une température seuil de 4,4°C.
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Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

19.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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20.
Evidence is presented in support of the hypothesis that in Piezosternum calidum the mid-gut contents consist of symbiotic bacteria from the gastric caeca, and are not derived from the plant sap ingested. A similar process has been observed in other large sap-sucking Heteroptera, of which Mygdonia tuberculosa (Coreidae) has been studied as an example, the site of bacterial digestion is usually posterior to an interruption in the continuity of the mid-gut, but in P. calidum the gut is continuous and the contents fill it completely. It is suggested that the mid-gut contents of some other sap-sucking Heteroptera with continuous guts may also prove to be derived from their bacterial symbionts.
Résumé Les Hétéroptères suceurs de sève possèdent sur le mesenteron postérieur de nombreux coecums remplis de bactéries symbiotiques. Chez beaucoup d'espèces, par exemple Mygdonia tuberculosa (Coreidae) le mesenteron est interrompu dans sa région moyenne et la partie postérieure renferme un contenu digestif qui représente les bactéries coecales digérées. La partie antérieure contient peu de matière solide provenant de la sève de la plante-hôte. Chez Piezosternum calidum, suceur de sève sur des cucurbitacées; l'intestin moyen n'est pas interrompu et est complètement rempli par un matériel presque solide. Ce contenu digestif est uniforme d'aspect sur coupes histologiques et sa composition riche en acides aminés, le rapproche davantage des bactéries coecales que de la sève de la plante-hôte. Le mesenteron présente d'ailleurs une région très acide où les bactéries pourraient être digérées. Ces bactéries se cultivent sur un milieu à base d'acide urique, de nitrate ou d'ammoniaque, en ce qui concerne la source d'azote. L'utilisation massive des bactéries symbiotiques par l'insecte lui est peut-être nécessaire car la source d'azote dans la plante n'est pas directement assimilable. La continuité de la lumière intestinale est peut-être liée à l'absence dans la sève de la plante d'une substance qui serait nuisible aux bactéries.
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