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1.
Resume Les poussières d'amiante qui polluent la surface des sols dans la région de Thetford Mines, Black Lake et Asbestos, province de Québec, sont riches en magnésium et en fer. Cette pollution minière, à long terme, réduit la microflore totale du sol; elle abaisse les populations de champignons et des bactéries obligatoirement hétérotrophes à l'avantage des populations bactériennes facultativement hétérotrophes et autotrophes qui sont ravorisées. Dans des essais à court terme, ces derniers groupes de bactéries augmentent en nombre lors de l'application massive de poudre d'amiante, alors que le nombre total de bactéries reste constant. D'autres formes plus simples de Mg diminuent les populations bactériennes telluriques.
Summary Asbestos mining dusts which pollute soil surfaces in the area of Thetford Mines, Black Lake and Asbestos, Province of Quebec, contain large amounts of magnesium and iron. In the long run, these mining pollutants reduce total soil microflora; they decrease fungal populations and obligate heterotrophic bacteria, whereas facultative heterotrophic and autotrophic bacteria are enhanced. In short term experiments, the later groups of bacteria increase in number when high doses of asbestos powder were applied, although total number of bacteria remains constant. Other simple Mg formulations reduce bacterial soil populations.


Contribution no. 86

Ministère de l'Agriculture du Canada

Ministère de l'Agriculture du Québec  相似文献   

2.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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3.
Conclusions Il n'est pas impossible, en toute première approximation, d'assimiler une société d'insectes à un système multistable (Ashby) et les individus qui la composent à un ensemble d'organes de base (von Neuman).Ce sont là, en effet, deux façons de raisonner qui permettent de retrouver par la théorie de nombreauses formes de comportement observées dans la nature et, surtout, d'aborder de manières complémentaires l'important problème des interactions sociales et de la transmission de l'information entre insectes sociaux.Il est clair, à la lumière des travaux d'Ashby, qu'un certain bruit de fond est nécessaire à l'intérieur d'une société d'insectes, afin de réaliser l'indépendance relative des différents sous-systèmes, dont l'ensemble est susceptible de s'adapter, dans des délais convenables, à toute modification d'environnement. Quant aux théories devon Neuman, elles permettent de comprendre comment l'existence de ce bruit de fond, si elle est cause du caractère aléatoire et plus ou moins incorrect de la transmission de l'information, n'entrave pas pour autant le fonctionnement correct et fidèle de l'ensemble de la société.Il est, par ailleurs, curieux de constater que l'étude des systèmes cybernétiques auxquels nous nous sommes constamment référé ici,visait à l'origine la mise en évidence des analogies qu'ils présentent avec le cerveau. Or, si l'on veut bien admettre le bien-fondé des considérations développées dans cet article, il existe des rapports relativement étroits entre ces systèmes et ceux que constituent les insectes sociaux. Il semble, dès lors, que l'application de la cybernétique à l'étude des sociétés d'insectes constitue une méthode d'investigation qui devrait se révéler fructueuse et conduire, en particulier, à un renouveau de la théorie du superorganisme.  相似文献   

4.
Résumé Les auteurs ont étudié le rein de Triturus cristatus carnifex (Laur.) au point de vue anatomique, cytologique et cytochimique. Venant confirmer des données d'auteurs précédents, ils ont signalé la présence dans le rein de cet Urodèle de deux régions, rein génital et rein pelvien, lesquelles diffèrent quant à leur aspect, à la disposition des néphrons et aux rapports que la première de ces région entretient, chez le mâle, avec la gonade. Ils soulignent les différences qui caractérisent les néphrons du rein génital chez les deux sexes.Ce recherches confirment la présence dans le néphron du Triton de cinq segments qui se suivent dans l'ordre ci-après: collet cilié, segment à bordure en brosse que l'on peut diviser en deux tronçons P1 et P2, segment intermédiaire cilié, segment à bâtonnets, segment d'union. De nombreux néphrostomes constituent autant de communications entre les néphrons et le coelome. De ces néphrostomes part un canal néphrostomial souvent assez long, canal qui, après un parcours ondulé, débouche dans un collet. Dans le rein génital du mâle, les néphrostomes font défaut.La position des différents segments du néphron dans le rein correspond à celle observée par d'autres auteurs chez des Urodèles d'espèces différentes: les glomérules, les segment à bâtonnets et les néphrostomes sont situés dans la région ventrale; dans les régions dorsale et dorso-latérale, on trouve au contraire les segments à bordure en brosse; les collets et les segments intérmédiaires sont situés entre ces deux régions.Le diamètre du néphron est variable; il atteint son minimum au niveau du collet et du segment intermédiaire.Dans la région apicale des cellules du collet on a observé des granulations P.A.S. positives qui font défaut dans les autres segments ciliés du néphron (canal néphrostomial et segment intermédiaire). Parmi les activités enzymatiques étudiées, seule la 5-nucléotidase est présente dans le collet.La distribution différente des substances P.A.S. positives et du pigment permet de diviser le segment à bordure en brosse en deux tronçons P1 et P2 qui passent progressivement l'un dans l'autre. Dans P1 le matériel P.A.S. positif est formé de fines granulations presque toujours situées au dessus du noyau — granulations qui sont aussi Hale et F.P. positives — et d'amas irréguliers situés à la base de la cellule et le long des limites cellulaires. Dans P2 les substances P.A.S. positives sont formées par contre de granulations de dimension variable; généralement d'une certaine dimension, ces granulations sont situées en position paranucléaire; elles sont Hale, F.P. positives et nettement acidophiles.Tout le matériel P.A.S. positif mentionné ci-dessus ne semble guère être de nature mucopolysaccharide acide ni de nature glycogénique.Dans P2 on observe des gouttes de pigment jaune-brun, faiblement F.P. positif, pigment qui constitue le caractère le plus typique de ce segment.Dans tout le segment à bordure en brosse les cellules revèlent une faible pyroninophylie cytoplasmatique qui semble légèrement plus accentuée dans P2. Dans P2, et plus particuliérement dans sa moitié distale, on observe de fréquentes images difficiles à préciser au microscope optique; ces images pourraient être attribuées aussi bien à des phénomènes de sécrétion que d'absorption.Le segment à bordure en brosse est le le segment où l'on peut démontrer histochimiquement le plus grand nombre d'activités enzymatiques. On a pu confirmer en effet la présence et la localisation de l'activité phosphatasique alcaline non spécifique aussi bien que de celle acide et décrire la localisation de celles lipasique, glucose 6-phosphatasique et 5-nucléotidasique. L'activité succinodéshydrogénasique et celle ATPasique, au niveau du chondriome, sont très faibles.Le segment intermédiaire cilié est caractérisé par l'absence de substances P.A.S. positives dans ses cellules.Le caractère le plus évident du segment à bâtonnets est fourni par sa richesse en chondriome, par la présence de matériel bleu alcian positif dans quelques-unes de ses cellules, et par l'intensité des réactions ATPasique et succino-déshydrogénasique. Dans le tiers distal de ce segment on peut mettre en évidence une faible activité lipasique.Lors de la discussion, les auteurs insistent tout particulièrement sur les données histochimiques obtenues, notamment en ce qui concerne le comportement des systèmes enzymatiques et le caractère spécifique des réactions obtenues dans le cadre des conditions tecniques adoptées.Recherche conduite et publiée avec une contribution du Consiglio Nazionale delle Ricerche.  相似文献   

5.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

6.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

7.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

8.
The coefficient of dispersion, an index of the relative proportion of the population at high and low densities, was calculated for a number of outbreak area populations of the red locust. The comparison of these indices showed that the proportion of the population at high densities was greatest near the middle of the adult locust's life. The data suggested that the proportion of locusts at high densities was greater with higher mean locust densities and after the formation of swarms. On the other hand this value was probably lower in a habitat made up of patches of tall and short grass or of burnt-off ground and unburnt stands, than in uniform grassland, and was probably also lower after insecticide attack than before.
Résumé Les populations adultes du criquet nomade dans certains foyers d'origine ont été estimées pendant un certain nombre d'années. La technique employée consiste à conduire un véhicule suivant un tracé préétabli de façon à couvrir systématiquement la superficie et de compter le nombre de sauterelles chassées d'une bande de la largeur d'un Land Rover; les nombres sont notés tous les 160 mètres.Le coëfficient de dispersion (la variance divisée par la moyenne) a été calculé par le comptage des criquets s'envolant dans les sections de 160 m. Celui-ci est un index de la proportion relative de criquets à des densités hautes et basses. Il est indépendant de la grandeur totale de la population de sorte qu'il est possible de faire des comparaisons tant entre les distributions de la population dans des régions différentes et les distributions existant à des périodes différentes dans la même région.La comparaison de ces indices démontra qu'en général le coëfficient de dispersion était le plus élevé vers le milieu du stade adulte (juin, juillet, aôut) c.à.d. qu'à ce moment la plus grande proportion de la population était concentrée sur la plus petite surface.A cause du nombre d'exemples relativement petit il est difficile de déterminer l'effet indépendant d'autres facteurs sur le coëfficient de dispersion. Il est cependant probable qu'à une densité moyenne de criquets plus élevée la proportion de criquets était plus grande à des densités élevées.En outre la densité des criquets formant des essaims est en effet très élevée; la formation d'essaims tendait à accroître le coëfficient de dispersion.Un traitement insecticide paraissait réduire le coëfficient de dispersion. Ceci n'est pas surprenant puisque seuls les essaims en repos on été attaqués.Enfin il est possible que la proportion de criquets à des densités élevées était plus grande dans un habitat relativement uniforme que dans un habitat consistant en des morceaux de terre avec des herbes longues et courtes ou en des terres incinérées et des plages non incinérées.
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9.
Bésumé La décomposition profonde des roches dans les tropiques humides exerce une grande influence sur l'écologie de la végétation tropicale. L'épaisseur des couches de sol peut atteindre à peu près 20 mètres dans l'Etat de Saint Paul (Brésil). Elle permet la constitution de réserves d'eau considérables dans les couches inférieures du sol.Cette réserve, alimentée par les pluies de l'été, ne s'épuise pas facilement dans la saison sèche, de sorte qu'une végétation relativement hygrophile, en particulier forestière se maintient en bon état pendant toute la période sèche.Une conséquence moins favorable est le lessivage des sols par les fortes précipitations. Les sols tropicaux s'opposent moins à la lixiviation que ceux des climats tempérés. Ainsi, une grande quantité de sels disparaît en profondeur inaccessible aux racines les plus profondes. Par la même raison, les racines ne peuvent compenser les pertes du lessivage en récuperant des ions de la roche mère. Après le déboisement surtout le contact des racines profondes avec les roches est interrompu. Les nouvelles plantations, aux plantes faiblement enracinées, n'établissent plus ce contact; l'ensemble de ces phénomènes explique la détérioration rapide des terres tropicales, après le déboisement de la forèt vierge.Des photographies prises à Campos do Jordâo-région montagneuse d'une hauteur d'environ 1.800 mètres-montrent la décomposition des roches. Les couches visibles sur les photos 1–4 sont attribuées à la formation de S. Roque (Algonkien). L'amollissement du matériel se reconnaît à la manière dont il est travaillé (fig. 1 et 2). Parfois, un filon de quartz est le seul indice indiquant qu'il s'agit de matériel décomposé in loco (fig. 3 et 4).La décomposition profonde ne peut pas être expliquée par des grandes variations de temperature, puisqu'elle s'effectue dans des profondeurs où les températures sont à peu près constantes. Elle ne peut être due non plus aux températures élevées des régions tropicales, puisque dans les montagnes de Campos do Jordâo la moyenne annuelle de la température correspond, à peu près, à 12°C. La richesse des eaux tropicales en H2CO3 pourra être invoquée difficilement, car on observe aussi une forte attaque des roches siliceuses comme les foyaites dans les montagnes de l'Itatiaya vers 2400 m. d'altitude (fig. 5, 6). L'érosion est due aux eaux de pluie et l'eau de pluie stagnante creuse des trous (fig. 5). Peut-être la richesse des précipitations tropicales en HNO2 (tableau 2) en est la cause; l'oxydation du fer bivalent produirait l'amollissement rapide des roches aussi bien dans le climat tempéré des montagnes tropicales que dans les plaines basses et chaudes.

Manuskript eingegangen am 23-IV-1949.  相似文献   

10.
Résumé Certains stades juvéniles de charançons des céréales du genreSitophilus ont été soumis à un séjour prolongé dans des compositions gazeuses modifiées par le dioxyde de carbone (CO2).Les auteurs se sont placés dans des conditions de teneur en CO2 constante (50%), associée à des teneurs en oxygène comprises entre 4 et 20%, pour étudier les conditions d'une synergie entre l'effet spécifique du CO2 et la présence d'une forte teneur résiduelle en oxygène. Les effets ont été observés sur les stades juvéniles les plus évolués (larves et nymphes) des espècesS. oryzae (L.) etS. granarius (L.), (Coleoptera: Curculionidae).L'accroissement de la vitesse de mortalité chezS. oryzae est significative avec l'augmentation de la pression partielle d'oxygène. Cet effet de synergie provoqué par l'oxygène n'est pas significatif avecS. granarius, bien qu'il existe aussi avec cette espèce une tendance à l'amélioration de l'efficacité insecticide à court terme avec les mélanges à forte teneur résiduelle en oxygène.Il en est déduit des hypothèses sur les effets des mélanges gazeux à composition modifiée par le CO2 au niveau de la physiologie générale de ces insectes, qui est très difficile à appréhender directement à cause du mode de développement des stades juvéniles des charançons (formes cachées dans le grain).  相似文献   

11.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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12.
Evidence is presented in support of the hypothesis that in Piezosternum calidum the mid-gut contents consist of symbiotic bacteria from the gastric caeca, and are not derived from the plant sap ingested. A similar process has been observed in other large sap-sucking Heteroptera, of which Mygdonia tuberculosa (Coreidae) has been studied as an example, the site of bacterial digestion is usually posterior to an interruption in the continuity of the mid-gut, but in P. calidum the gut is continuous and the contents fill it completely. It is suggested that the mid-gut contents of some other sap-sucking Heteroptera with continuous guts may also prove to be derived from their bacterial symbionts.
Résumé Les Hétéroptères suceurs de sève possèdent sur le mesenteron postérieur de nombreux coecums remplis de bactéries symbiotiques. Chez beaucoup d'espèces, par exemple Mygdonia tuberculosa (Coreidae) le mesenteron est interrompu dans sa région moyenne et la partie postérieure renferme un contenu digestif qui représente les bactéries coecales digérées. La partie antérieure contient peu de matière solide provenant de la sève de la plante-hôte. Chez Piezosternum calidum, suceur de sève sur des cucurbitacées; l'intestin moyen n'est pas interrompu et est complètement rempli par un matériel presque solide. Ce contenu digestif est uniforme d'aspect sur coupes histologiques et sa composition riche en acides aminés, le rapproche davantage des bactéries coecales que de la sève de la plante-hôte. Le mesenteron présente d'ailleurs une région très acide où les bactéries pourraient être digérées. Ces bactéries se cultivent sur un milieu à base d'acide urique, de nitrate ou d'ammoniaque, en ce qui concerne la source d'azote. L'utilisation massive des bactéries symbiotiques par l'insecte lui est peut-être nécessaire car la source d'azote dans la plante n'est pas directement assimilable. La continuité de la lumière intestinale est peut-être liée à l'absence dans la sève de la plante d'une substance qui serait nuisible aux bactéries.
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13.
L. Lison 《Protoplasma》1929,7(1):489-504
Conclusions Envisageant le comportement général des amibocytes des Invertébrés au point de vue de son expression physique et mécanique, nous en arrivons à la conclusion qu'aucun des phénomènes spécifiques qu'ils présentent ne peut Être rapporté à une simple application de pures lois physico-chimiques. Dans la physiologie des pseudopodes lamellaires des amibocytes, on avait voulu faire intervenir pour une large part les phénomènes de tension superficielle. Nous avons montré que le rôle de ces derniers est en réalité absolument secondaire et ne peut Être pris en considération. La genèse des ptéropodes avec leur forme typique ne peut Être assurée qu'avec le concours de forces étrangères, difficiles à déterminer d'ailleurs. Bien plus, le maintien des ptéropodes ne peut Être assuré qu'en dépit mÊme des forces de tension superficielle; ces dernières tendent à faire rétracter le pseudopode; et si celui-ci jouit d'une stabilité considérable, celle-ci est due précisément à des forces antagonistes des forces de tension superficielle et qui disparaissent à la mort de la cellule.La rétraction physiologique des ptéropodes est d'une complexité telle qu'on ne peut raisonnablement la regarder comme résultant du libre jeu des lois physiques connues.MÊme des manifestations assez comparables, morphologiquement tout au moins, à des phénomènes physiques simples, tels que l'étalement des lames hyaloplasmiques ou leurs propriétés d'adhésivité aux corps solides révèlent des propriétés qui ne peuvent Être rapportées à des lois physiques connues.Bref, le comportement général de la lamelle hyaloplasmique de l'amibocyte ne peut Être situé dans le domaine physique dont certains auteurs avaient voulu le faire dépendre. Son étude relève du domaine biologique.  相似文献   

14.
Unless leaf-water content is maintained near the saturation level of excised leaves via high humidities and leaf-water supplementation via the petiole, larval growth is suppressed. In 87 paired feeding experiments involving sixteen species of Lepidoptera, the effects on larval growth of leaves with, and without, leaf-water supplementation were compared. Suppressive effects upon the efficiencies of larval growth were observed for larvae fed leaves without water supplementation. These effects were more pronounced for tree leaf-feeders than for forb leaf-feeders.
Résumé La croissance des chenilles est supprimée quand la teneur en eau des feuilles coupées n'est pas maintenue proche de la saturation grâce à une humidité ambiante élevée et grâce à un apport d'eau supplémentaire par le pétiole. La comparaison des effets sur le développement larvaire de 16 espèces de Lépidoptères avec ou sans apport supplémentaire d'eau foliaire a été effectuée au cours de 87 expériences.L'absence d'apport supplémentaire d'eau affecte la croissance des chenilles alimentées sur feuilles. Les effets les plus marqués s'observent sur l'avant dernier stade et sont plus nets sur les chenilles consommant les feuilles d'arbres que sur celles consommant les plantes herbacées. L'E.C.D. (efficacité de conversion de la biomasse digérée) subit la réduction la plus nette, particulièrement chez les chenilles consommatrices de feuilles d'arbres. La teneur en eau de ces dernières est faible même quand elles sont saturées. La croissance des chenilles observée dans ces expériences laisse supposer que les feuilles d'arbres, avec une teneur à saturation de 50% à 75% d'eau, ne permettent pas le taux de croissance des chenilles des plantes herbacées dont la teneur en eau est de 80% à 95%.Un apport supplémentaire en eau pour les feuilles d'arbres peut empêcher la combustion superflue de biomasse assimilée et d'énergie pour l'eau métabolique, ainsi que toutes les tentatives pour mesurer les dépenses respiratoires liées au degré de spécialisation alimentaire larvaire ou les possibilités de détoxification devraient comprendre un apport supplémentaire d'eau pour maintenir la saturation des feuilles coupées. Même alors, l'efficacité des conversions de biomasse végétale, d'énérgie et d'azote pendant la croissance larvaire dépend fortement des disponibilités, pour les larves, des différentes plantes-hôtes, en eau foliaire.
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15.
Laboratory groups of the Formosan subterranean termite, Coptotermes formosanus Shiraki (Isoptera: Rhinotermitidae), were fed for 14 days on wood shavings soaked in acetone solutions of 0%, 0.5% or 1% concentrations of the dye, Sudan Red 7B or on shavings not soaked in acetone (0% non-acetone, NA). Termites feeding on dyed wood became visibly stained red. Groups of dyed or non-dyed termites were then placed in containers and allowed to feed on non-dyed wood for 21 days. Dyed termites had lower numbers of symbiotic protozoans, lower feeding rates, and lower survivorship than did non-dyed termites. Survivorship was significantly lower in the 1% concentration than in the 0.5% concentration. Covariate analyses suggested that Sudan Red acts both directly and indirectly (via suppression of gut fauna) to reduce vigor in termites. Because there is variable survival response to this dye by different populations of C. formosanus, we recommend preliminary tests of dye toxicity before using it extensively in experiments.
Résumé Le colorant rouge Soudan 7B (BASF, Wyandotte Corp.) soluble dans l'huile, est un marqueur efficace des termites pour les études dans la nature. Quand les termites consomment des matériaux marqués par ce colorant, ils deviennent nettement colorés en rouge. Bien que certains travaux indiquent que le rouge Soudan n'augmente pas considérablement la mortalité, il n'y a aucune donnée concernant l'effet du colorant sur l'alimentation des termites.Un groupe de Coptotermes formosanus récolté au lac Charles en Louisiane, a été alimenté pendant 14 jours sur copeaux de Pinus sp. colorés avec des solutions 0, 0.5% et 1% (en poids) de rouge Soudan 7B dans l'acétone, ou sur copeaux non colorés et sans acétone (NA). Les groupes de termites colorés ou non sont alors placés dans des récipients pour s'alimenter sur bois non coloré pendant 21 jours. Des différences significatives ont été observées (t. 1): les termites colorés avaient moins de protozoaires symbiontes, consommaient moins de bois et vivaient moins long-temps que les termites sans colorant (t. 2). La survie a été plus faible avec la concentration 1% qu'avec 0.5%. Le nombre de protozoaires était plus faible avec une solution acétonique sans rouge Soudan qu'avec du bois sans acétone, ce qui suggère que l'effet négatif du rouge Soudan sur les protozoaires a pu être augmenté par l'extraction d'une substance favorisant les protozoaires contenue dans les copeaux de pin.La chute de la prise de nourriture a été accompagnée d'une chute parallèle de l'effectif de protozoaires. En réexaminant les résultats de Lai et al. (1983), nous constatons qu'eux aussi avaient observé une réduction de l'effectif de protozoaires de C. formosanus sous l'effet du rouge Soudan. Dans notre étude, nous trouvons que 49,6% de l'effet réducteur du colorant sur la nutrition est expliqué par l'effet simultané sur les protozoaires. Nos résultats sur la survie confirment dans l'ensemble ceux de Su et al. (1983 a) sur C. formosanus de Louisiane. Cependant, C. formosanus de Hawaï (Lai et al., 1983) et de Floride (Su et al., 1988) avaient des taux de survie bien plus élevés. C. formosanus présente nettement des réactions variables au rouge Soudan. Dans notre travail, 64,1% de l'effet du colorant sur la survie a été expliqué par des modifications chez les protozoaires. Ainsi, il semble que le rouge Soudan agisse directement sur l'alimentation et la survie de C. formosanus, et indirectement par la suppression de sa faune intestinale.Bien que nos résultats montrent les effets délétères du rouge Soudan 7B sur C. formosanus, il reste le meilleur colorant pour les termitologistes. par suite de la variabilité de son effet sur la survie, nous conseillons des tests de toxicité avant son utilisation intensive dans des expériences.
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Summary 1. The Los Angeles-Long Beach, California, Harbor underwent its first major development early in the twentieth century. It is now the third largest port in the United States, a focal point for seven million southern California residents.2. Pressures for pollution abatement and for development of a deeper water port make an integrated research program necessary.3. Allan Hancock Foundation personnel have undertaken a comprehensive study with support from the federal Sea Grant Program, private industry and local harbor departments.4. Plankton-productivity, marine and public health microbiology, midwater settling rack fauna, benthic fauna, water quality parameters, circulation patterns, and sediment content have been sampled.5. Sequence of red tide and other phytoplankton blooms have been postulated and predicted.6. Plankton-settling volumes have been good indicators of short-term stress or pollution.7. Settling racks suspended monthly have shown a much greater diversity of species and higher categories present in the water column than are present in polluted bottom muds.8. Some 60 species of 30 polychaete families were taken in bottom samples throughout the harbor.9. Settling rack sampling measures relatively short-term stress and benthic sampling is a good indicator of longer-term stress.
Etude in situ de l'interface entre le milieu naturel et le milieu modifé par l'homme dans un grand port urbain
Extrait Les eaux du port de Long-Beach-Los Angeles, dans la baie de San Pedro en Californie, ont été relativement peu étudieés par rapport á celles des autres grands ports urbains dans le monde. L'urgente necessité de réduire la pollution et les besoins opposeés de developpement industriel ont été á l'origine de l'établissement d'un projetpilote de surveillance et de recherches, par la récolte d'echantillons en bateau et in situ et par des études de laboratoire. Les paramètres suivants ont été étudiés: courbes de température, de salinité, de pH, de turbidité; analyse quantitative des métaux rares, (oligo-éléments), des métaux lourds et des matières organiques; mesures de productivité par les méthodes d'assimilation du carbone-14 et par la spectrophotométrie des pigments; des échantillons benthiques, récoltés avec la drague de Campbell et tamisés, ont été identifiés au niveau de l'espèce. Les oeufs, larves, et petits organismes planctoniques qui ne pourraient survivre sur les sédiments pollués ont été récoltés au moyen de cadres-porte-lames suspendus et protégés par un tamis. Le recensement de espèces des poissons et l'éxamen de leur état physiologiques est en cours. L'inventaire des bactéries a été effectué dans les eaux avoisinant le dégorgement des déchets industriels et des égouts, en relation avec les recrudescences périodiques de la reproduction du phytoplancton. L'étude bactériologique des microorganismes de la «marée rouge» et l'étude des effets de chocs thermiques ont été entreprises. Les résultats montrent que la méthode des cadres «porte-lames» apporte sur la nature et la répartition de la faune des informations que ne procurent pas les récoltes en bateau. Les mesures de plancton se sont avéreés les meilleurs indicateurs des effets nocifs á court terme, tandis que les échantillonnages benthiques rendent mieux compte des effets à long terme.
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Visual symptoms of malnutrition associated with the unsatisfactory development of natural and planted black spruce seedlings in a 20-year-old burn suggested low supply and uptake of nitrogen, phosphorus, and possibly other nutrients as the primarily adverse factors.In order to test the hypothesis, both soil and foliage of the species there and in another climatic region were compared and the diagnosis partly confirmed. Of the elements studied (K, Mg, Ca, P, Mn, Fe, and N) only nitrogen was found to be related to needle colour and poor leader growth.A lichen crustLecidea granulosa rich in nutrients, especially nitrogen, dominates the sites. The crust decomposes very slowly and retains large proportions of available nutrients in its tissues. Incorporation of the crust in the mineral soil is suggested as a means of accelerating nutrient cycling and promoting development of future plantations.
Sommaire Nous basant sur certains symptômes de déficiences minérales, nous avons émis l'hypothèse que la faible croissance des jeunes épinettes noires et de celles plantées dans le brûlis de 1941 de la rivière York, était surtout attribuable à la carence de l'azote et du phosphore et peut-être aussi à d'autres éléments dans le sol et les tissus. L'hypothèse a été vérifiée et partiellement confirmée. De tous les éléments étudiés (K, Mg, Ca, P, Mn, Fe et N), seul l'azote est relié à la couleur des aiguilles et à la croissance de la flèche terminale. Cette relation cependant est beaucoup plus marquée lorsque la couleur est estimée à l'aide de comparaison avec des semis recueillis sur la place même de l'étude plutôt qu'avec le guide des couleurs de Munsell.Les résultats de cette étude ont été comparés avec d'autres déjà obtenus avec l'épinette noire, ayant le même âge et croissant dans un sol de même texture mais dans des régions climatiques différentes. Même si le contenu minimum en azote d'un sol est susceptible de varier d'une région climatique à l'autre, il semblerait que la disponibilité de l'azote dans le brûlis de la rivière York est nettement insuffisante pour espérer le développement normal d'une plantation d'épinettes noires.A la suite de travaux préliminaires faits en serre, nous avons constaté que le lichenLecidea granulosa, riche en azote et qui recouvre en partie l'aire étudiée, favorisait la croissance des jeunes épinettes quand il était broyé et incorporé au sol minéral. On suggère donc, comme moyen d'amélioration du sol en vue de futures plantations, de broyer sur place ce lichen et de l'incorporer au sol.
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René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

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The effects of some chemical substances on feeding response were studied in the larvae of Pieris brassicae L. Some synergistic effects between feeding stimulants were found. The larvae appeared to be highly sensitive to deterrents. In the medial sensillum styloconicum of the maxillae a chemoreceptor is present which is stimulated by a wide range of specific feeding inhibitors among which many belong to the alkaloids. Some physiological properties of the deterrent sensitive receptor are given and its significance in food selection behaviour is discussed.
Résumé Les effets de quelques substances chimiques sur la prise de nourriture ont été étudiés chez la chenille de Pieris brassicae. Des effets synergiques se manifestent entre certains acides aminés ou certaines vitamines et le saccharose, lorsque ces produits sont à des concentrations appropriées. Par ailleurs les chenilles se montrent très sensibles à la présence de substances inhibant la prise de nourriture. Un neurone chimiorécepteur appartenant au sensillum styloconicum médian des maxilles se révèle sensible à une grande variété de ces substances inhibitrices, dont la plupart appartiennent aux alcaloides stéroides. Ce récepteur est sensible aux composés voisins de l'ecdysone présents dans certaines plantes, et son rôle physiologique est discuté, en rapport avec le comportement alimentaire et le choix de la nourriture.
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M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

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