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1.
The seasonal fluctuations in numbers, sex ratios and the changes in the reproductive status of the Mexican fruit fly, Anastrepha ludens, caught in McPhail traps in citrus orchards and the effect of control measures on them, were examined in Belize, Central America. Evidence is presented that the seasonal increase in numbers was derived mainly from infestations in grapefruit and that harvesting played a significant part in controlling numbers by removing infested fruit. In orchards where sprays were not used to control the fruit fly, the sex ratio and the proportion of fecund females were very variable but there were always greater numbers of females — often two to four times as many. During spray programs the sex ratio approached unity and the proportion of fecund females decreased to zero. The sex ratio therefore gave an indication of the mean reproductive status of the female flies in the traps and thus the capacity of a local population to initiate infestations as well as the efficiency of control measures used.
Résumé Effectifs, taux sexuel, périodes de reproduction, ainsi que leurs variations au cours de l'année et après application de mesures de lutte ont été étudiés chez la mouche des fruits mexicaine A. ludens dans des vergers d'agrumes de Belize (Amérique centrale), à l'aide de pièges McPhail.Les effectifs d'A. ludens sont caractérisées par une progression régulière à partir d'un minimum entre juin et septembre, jusqu'à un maximum en février ou mars. Ces variations saisonnières dépendent de la présence de fruits mûrs, de pamplemousses notamment. Le taux sexuel des adultes capturés dans des vergers non traités est très variable, mais les sont toujours plus nombreuses (souvent 2 à 4 fois plus) que les mâles. Pendant la saison des pamplemousses, les peuvent pondre dans les fruits mûrs qui abondent; si la proportion de augmente, celle des fécondes diminue. Après un traitement efficace à l'aide d'un attractif insecticide à base d'hydrolisat de protéines, le taux sexuel tend vers 1 : 1, les fécondes tendant à disparaître et la majorité des caputées étant fraîchement émergées et immatures.Pendant la saison des pamplemousses, le taux sexuel donne des indications sur le potentiel reproducteur des , sur leur aptitude à provoquer une infestation, ainsi que sur l'efficacité et la persistance des attractifs insecticides utilisés pour la lutte contre la mouche des fruits.
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2.
The amounts of four pteridine compounds, xanthopterin, isoxanthopterin, 6-biopterin and pterin and a further unidentified substance, termed modified xanthopterin, were determined in the heads of adult Pectinophora scutigera (Holdaway) (Lepidoptera: Gelechiidae), aged between 2 and 50 days and reared in the laboratory at 25°C. The level of isoxanthopterin was also determined in the thoraces and abdomens of moths aged between 2 and 40 days. The levels of xanthopterin, and modified xanthopterin decreased markedly in the heads of males and females with increasing moth age, while those of pterin decreased more slowly and 6-biopterin remained largely unchanged. Isoxanthopterin decreased in male heads from 38.3 ng/head at 2 days to 22.7 ng/head at 50 days, but in females levels increased from 41.2 ng/head at 2 days to 150.4 ng/head at 50 days. Similar changes in the amounts of isoxanthopterin with increasing moth age were observed in male and female thoraces and abdomens. The results are discussed in relation to using pteridine compounds for estimating the physiological age of P. scutigera.
Résumé En chromatographie liqudde à haute performance (HPLC) à détection par fluorescence, 4 composés ptéridiniques: la xanthoptérine, l'isoxanthoptérine, la 6-bioptérine et la ptérine ont été décelés dans les têtes de P. scutigera Holdaway (Lep. Gelechiidae) adultes. Un autre composé, dénommé xanthoptérine modifiée, a été décelé aussi dans les têtes de papillons; de même l'isoxanthoptérine a été décelée dans les thorax et abdomens.Les concentrations de ces ptérines ont été dosées dans les têtes des papillons de 2 à 50 jours au laboratoire à 25°C. Les concentrations d'isoxatthoptérine ont été dosées dans les thorax et les abdomens de 2 à 40 jours. La xanthoptérine de la xanthoptérine modifiée diminuent nettement avec l'âge, tandis que la ptérine diminue plus lentement et que la 6-bioptérine se maintient pratiquement sans changements. L'isoxanthoptérine diminue dans les têtes de mâles de 38,3 ng/tête à 2 j à 22,7 ng/tête à 50 j, mais chez les femelles les concentrations augmentent nettement de 41,2 ng/tête à 2 j à 150,4 ng/tête à 50 j. Des modifications de même type ont été observées dans les thorax et les abdomens des mâles et des femelles.Les modifications de concentration de la xanthoptérine modifiée des têtes de papillons peuvent être utilisées pour évaluer l'âge physiologique de mâles et des femelles de P. scutigera. La confiance dans ces estimations peut être améliorée en se référant aux concentrations d'isoxanthoptérine dans les thorax des mâles et au rapport isoxanthoptérine/xanthoptérine modifiée dans les têtes de femelles.
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3.
No significant variation in mating activity was observed among eight laboratory strains of the Mediterranean fruit fly (medfly), Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae). Two methods were used to select strains showing high and low mating activity: a single pair technique (SP) assessing time to mating and a mass technique (M) based on a mating index. Reciprocal pairings between fast and slow selected lines showed that the difference between the SP lines was female-determined whereas the difference between the M lines depended on the behaviour of both sexes. M selection, irrespective of its direction, affected two courtship parameters, vibration distance and vibration duration both of which tended to be shorter. M selection was also associated with a reduction in startle activity in females.
Résumé Aucune variation significative n'a été observée dans les activités sexuelles de huit souches de laboratoire de la mouche méditerranéenne du fruit, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera Tephritidae).Deux méthodes ont été utilisées pour sélectionner des souches manifestant une activité sexuelle basse ou élevée: une technique utilisant un seul couple (SP), basée sur la durée de la période avant copulation, et une technique de masse (M), basée sur un index d'accouplement.Des appariements réciproques entre les lignées rapides et lentes ont montré que la différence entre les lignées SP était déterminée par les femelles, tandis que la différence entre les lignées M résultait du comportement des deux sexes. La sélection M, quelle que soit sa direction, affects deux paramètres, la distance entre partenaires lors de la vibration et la durée de la vibration qui tous deux tendent à se raccourcir. La sélection M est aussi associée à une réduction de la réaction des femelles à un brusque stimulus lumineux (Startle activity).
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4.
Conclusion En 1959, dans une note (2) à l'Académie des Sciences, nous écrivions, en conclusion d'un travail préliminaire sur l'étude immunoélectrophorétique desCandida: Si l'avenir apportait la démonstration de résultats similaires obtenus avec d'autres champignons que les levures du genreCandida, on disposerait en mycologie d'une méthode générale d'analyse des fractions antigéniques...; de plus, les connaissances acquises dans ce domaine auraient vraisemblablement d'heureuses répercussions pratiques sur les problèmes taxonomiques en suspens et sur le diagnostic sérologique des mycoses. Six ans plus tard, il nous semble que l'application de l'immunoélectrophorèse à la mycologie ait tenu ses promesses. Sans se substituer à d'autres techniques, ne fut-ce que parce que son objet est limité à l'étude des fractions antigéniques solubles ou à celle des anticorps précipitants, et parce que sa mise en oeuvre est souvent longue et délicate, elle complète heureusement ces techniques, apportant effectivement, dans bien des cas, un argument nouveau, analytique et élégant, à la taxonomie des champignons et ouvrant une voie nouvelle au diagnostic sérologique de certaines mycoses.(avec la collaboration technique deM. Brugge)Communication présentée à l' International Society for human and animal mycology, Third meeting. Edinburgh, July 31st-August 2nd, 1964.  相似文献   

5.
Multiple enzyme forms of -mannanase activity fromPolyporus versicolor were puritied to molecular homogeneity by a sequence involving DEAE Bio-Gel A chromatography, gel filtration on Sephadex G-100 and high-performance liquid chromatography using anion exchange and hydrophobic Interaction media. Overall, 7.6% of input activity was recovered in four -mannanases, A, B, C and 2A, which were purified 112.6-, 165.5-, 143.7-and 19.9-fold respectivety. The -mannanases were acidic proteins displaying isoelectric points from 3.75 to 4.6, molecular weights in the range of 33,900 to 57,500 and increasing hydrophobicity in the order of C>B>2A>A. Optimal pH and temperature for the hydrotysis of glucomannan by all activities were pH 5.5 and 65°C, respectively. All preparations exhibited activity after 30 min at 65°C, or after protease digestion. Although the response of individual enzymes to selected ions was variable, all -mannanases were inhibited in decreasing order of Hg2+>Cu2+>Zn2+>Mn2+. All activities functioned as endomannanases.
Résumé De multiples formes enzymatiques de l'activité -mannanasique dePolyporus verslcolor ont été purifiées jusqu'à l'homogénéité moléculaire par une séquence impliquant la chromatographie sur Bio-gel DEAE A, la filtration sur gel de Sephadex G-100, et la chromatographie liquide à haute performance utilisant l'échange anionique et les milieux à interaction hydrophobique. On a récupéré en tout 7.6% de l'activité Initiale dans quatre -mannanases, A, B, C, et 2A, qui ont été purifiées respectivement 112.6, 165.5, 143.7 et 19.9 fois. Les -mannanases sont des protéines acidiques exhibant des pointsiso-électriques de 3.75 à 4.6, des poids moléculaires compris entre 33 900 et 57 500, et une hydrophobicité croîssante dans l'ordre C>B>2A>A. Les pH et température optimum pour l'hydrolyse de la glucamannane par toutes les activités sont de 5.5 et 65°C respectivement. Toutes les préparations exhibent encore une activité après 30 minutes et 65°C ou après la digestion protéolytique. Bien que la réponse individuelle des enzymes à quelques ions choisis était variable, toutes les -mannanases sont inhibées dans l'ordre décroissant: Hg2+>Cu2+>Zn2+>Mn2+. Toutes les activités fonctionnent comme endomannanases.


This article is issued as NRCC No. 31269.  相似文献   

6.
Paul Sentein 《Chromosoma》1968,24(1):67-99
Résumé L'acide butyrique M/1000 agit sur les mitoses de segmentation en provoquant trois sortes d'anomalies: 1) dispersion de systèmes fibrillaires mitotiques monocentriques (cytasters) ou monopolaires (hémifuseaux), 2) concentration en un système multipolaire plus ou moins cohérent, 3) systèmes fibrillaires mitotiques en sphère creuse. Le premier type apparaît à l'ana-télophase, le second à la métaphase, le troisième à la prophase; une forme de transition s'observe à la télo-prophase. La dispersion des centres secondaires à l'ana-télophase est en relation avec le fait que ces phases correspondent à la période normale de fibrillogenèse externe, où les fibrilles se tendent des pôles vers la membrane. Normalement elles commencent à régresser aussitôt après avoir atteint celle-ci (phénomène de feed-back). Leur réorganisation anormale vers de multiples centres de convergence confirme d'une part que tout affaiblissement de l'activité polaire entraîne une libération de centres cellulaires autonomes, d'autre part que cette activité est insuffisamment affaiblie pour déterminer une diminution très importante de la fibrillogenèse. La concentration en un système multipolaire, à la métaphase (maximum de la fibrillogenèse interne) correspond à l'orientation de la fibrillogenèse vers les centromères des chromosomes et celle-ci persiste même quand ceux-ci sont ramollis et fortement agglutinés par l'action de l'acide butyrique. Les systèmes fibrillaires en sphères creuses à la prophase sont la manifestation d'une intermittence qui se produit à la régression de la fibrillogenèse interne: il s'agit d'une sorte de vague, qui entraîne tous les systèmes fibrillaires vers une région centrale. Le système fibrillaire du diastème est toujours en balancement avec les systèmes fibrillaires de la mitose, c'est-à-dire qu'il tend à s'épandre et à bourgeonner, chaque fois que ceux-ci sont plus ou moins diminués. Les relations de ces systèmes entre eux sont expliquées par une conception générale de la genèse des fibrilles.La concentration à M/100 agit plus vite et produit seulement des pôles creux: à la prophase on observe une inversion de la fibrillogenèse qui se développe vers l'extérieur, comme l'aster, au lieu de former un fuseau vers le noyau.En face des mitoses habituelles, qui ont une fonction distributive, car elles se bornent à répartir dans les cellules-filles le matériel genétique et cytoplasmique de la cellule-mère, il faut placer celles qui n'ont pas seulement une fonction distributive, mais aussi une fonction de conservation et de construction: ce sont les mitoses de segmentation, qui doivent préserver jusqu'à la gastrulation l'architecture structurée du cytoplasme de l'uf avec ses différenciations corticales présomptives.
Butyric acid M/1000 induces abnormalities of the segmentation mitoses: 1) dispersion of monocentric mitotic systems at ana-telophase, 2) concentration into a multipolar system at metaphase, 3) fibrillar systems in hollow sphere at prophase. The first corresponds to the external fibrillogenesis (building of aster and orientation of cytoskeleton), the second to the metaphasic internal fibrillogenesis of the spindle, the third to a sweeping of fibrillar system during the reversion of the first to the second mechanism. The diastematic fibrillar system, always in balance with mitotic fibrillogenesis, is abnormal and not efficient. Concentration M/100 acts more quickly and produces an inverted fibrillogenesis at prophase. — The absence of regulation into a predominant bipolar system and the precedence of the furrow inhibition explain the failure of parthenogenesis by butyric acid in amphibians.


A la mémoire d'Eugène Bataillon.  相似文献   

7.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

8.
Guinea  Emilio 《Plant Ecology》1954,5(1):147-156
Résumé Cette étude vise à faire remarquer la signification, les limites et les caractéristiques du sous-secteur Cantabrique du secteur Ibéro-Atlantique lequel a été proposé pour la première fois dans mon récent travail Geografía Botanica de Santander, Santander, p. 101 (1953).Ce sous-secteur comprend la bande étroite des bords du Nord de la Péninsule Ibérique, limité par la mer Cantabrique et comprenant les provinces de Guipuzcoa, Vizcaya, Santander et la partie Est de la province des Asturies, plus une bande de transition qui, tout le long du versant sud de la Cordillera Cantábrica, suit les limites septentrionales des provinces de Navarre, Alava, Burgos, Palencia, et le coin Nord-Est de Leon.A l'Est, ses limites disparaissent graduellement dans le secteur Pyrénéen, à l'Ouest, il atteint la zone siliceuse des Asturies. Il représente la limite sud de la Province Atlantique.Le climat est humide et tempéré, les hivers sont doux et les étés pluvieux, excepté aux hautes altitudes (au-dessus des 1.000 m). Le relief est très accidenté et montagneux, mais les pics ne dépassent pas les 2.700 m, avec des ruisseaux torrentiels qui rendent possible des innondations comme celles qui ont pris places en automne de 1953. La structure géologique comprend surtout du calcaire du Cretacé avec en plus des grandes masses de dolomites et du calcaire Carbonifère du massif de Picos de Europa. Dans la zone centrale de la Cordillera Cantábrica surgissent quelques rochers du Triassique et d'autres du Jurassique en de petites surfaces. Les terres argileuses et calcaires, très lavées par une pluie intense sont moins répandues (plus nombreuses que les terres siliceuses), avec un pH presque neutre, mais avec des variantes un peu prononcées vers l'acidité (quelques exceptions). Il y a un climax prédominant de forêts du (Quercetum roboris, Fagetum sylvaticae) strictement liées aux pentes des montagnes Cantabres et de Quercetum pyrenaici sur les pentes du sud.Les activités anthropogéniques ont causé la déforestation de la plus grande partie du territoire et ont fait place a un grand développement des landes de l'Uleto-ericetum (Atlantic).Il y a une représentation intéressante du Quercetum ilicis ericetosum sur les bandes de calcaire au-dessous de 800 m. Il est très rare sur les sols siliceux. Les communautés de prairie qui représentent un plagioclimax maintenu par l'homme, éliminent une grande partie de l'Uleto-ericetum que nous avons déjà cité.Il y a des grands champs de maïs et de betteraves à sucre et une extension moindre de céréales et de jardins potagers, et il en resulte une pauvre végétation ségétale et des bords des chemins. Les communautés végétales des plages, falaises, et bords de la mer, celles des mares et des ruisseaux sont très peu développées.On cultive avec intensité le Pinus radiata et l'Eucalyptus globulus. Il reste à exploiter en grand, l'agriculture, les pâturages, et la sylviculture.

Received for publication 15.I.1954.  相似文献   

9.
The significance of pattern in vegetation   总被引:1,自引:0,他引:1  
Résumé A l'encontre de Scurfield (1956), il est inexact d'attribuer le pattern (écart à une distribution au hasard des espèces et des individus) dans les groupements végétaux, exclusivement ou principalement à la concurrence. Il peut être dû à la modification du régime physique ou à la morphologie, ou au comportement reproductif des espèces en question. L'hypothèse de Scurfield d'une tendance à une régularité croissante, inhérente à la végétation en évolution, n'est pas confirmée, Au contraire, il semble qu'il y ait une tendance à une diminution de l'intensité de pattern, et un accroissement de l'échelle de pattern au cours de la succession. L'étude du pattern peut constituer un instrument écologique utile.  相似文献   

10.
Résumé Les auteurs étudient par des techniques enzymatiques (phosphatases alcalines, phosphatases acides et adénosines triphosphatases) et des techniques autoradiographiques (par la glycine 3H), les cellules du revêtement de la paroi alvéolaire du rat Wistar. Après avoir rapporté les caractéristiques enzymatiques des différents types de cellules, les auteurs aboutissent à un certain nombre de conclusions concernant la cytophysiologie et le métabolisme des phospholipides au niveau du poumon.Cette étude qui fait suite à une étude histochimique et histo-enzymologique en microscopie optique, leur permet de penser que les pneumocytes granuleux ou cellules à inclusions lipidiques ou cellules alvéolaires de type II jouent un rôle particulier dans l'élaboration du surfactant. En effet, des inclusions lipidiques complexes ont été retrouvées dans les mitochondries; elles sont par ailleurs le siège d'une réaction positive par les déshydrogénases, elles incorporent précocement la glycine tritiée et possèdent une période constante de 55–56 Angströems. Les images de secrétion exocrine retrouvées permettent de penser que ces cellules synthétisent des phospholipides (au niveau des mitochondries) destinés à l'élaboration du surfactant. La positivité des A.T. Pases au niveau de leurs villosités traduit une activité de transfert énergétique au niveau des membranes.Il existerait donc deux types de figures lamellaires au niveau des cellules bordant l'alvéole: les unes sont situées dans les pneumocytes granuleux et ne sont pas positives aux phosphatases acides; elles sont surement à l'origine du surfactant. Les autres sans période caractéristique marquées par une réaction phosphatasique acide nette correspondent à du matériel phospholipidique phagocyté et sont situées dans les cellules alvéolaires ou endo-alvéolaires à activité macrophagique.
Ultrastructural histochemical study of the rat pulmonary alveolus
Summary The alveolar cells of the rat have been studied autoradiographically (glycine 3 H) as well as with certain enzyme demonstrating methods (alkaline phosphatases, acid phosphatases and A.T. Pases). The enzymatic features of the different cell types are given and conclusions about the cytophysiology and the phospholipid metabolism in the lung are suggested.The authors think that the granular pneumocytes (or phospholipid inclusion cell or Type II alveolar cell) play a role in the surfactant elaboration. Complex lipid inclusion bodies are to be seen in the mitochondria, which are dehydrogenase positive, incorporate glycine 3H, and possess a constant structural period of 55–56 Å. The exocrine secretion figures suggest that these cells synthesize phospho-lipids in their mitochondria; these lipids are part of the surfactant. The positive A.T. Pases on the microvilli of type II alveolar cell are an indication for an active membrane transport.There are two types of lamellar bodies in the alveolar cells: the first occur in the granular pneumocyte; they are acid phosphatase negative and are certainly the source of the surfactant; the second occur in the alveolar macrophages; they do not exhibit a constant periodicity, they are acid phosphatase positive and are thought to represent engulfed phospholipids.
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11.
F. Collot 《Acta biotheoretica》1991,39(3-4):287-298
Resume Pour étendre la notion d'entropie, l'auteur tente de dégager la signification de la probabilité relative w de Boltzmann dans sa formule S = k.log.w. Celui-ci introduit implicitement une partition d'un ensemble E de molécules en classes d'équivalence, les divers états macroscopiques du gaz; w est le rapport de la probabilité de l'état dont on cherche à définir l'entropie à celle de l'état le plus improbable.L'auteur propose de généraliser le concept toutes les fois ob sur un ensemble probabilisable E il sera possible de faire une partition.La complexité d'une structure peut être définie par le nombre d'aspects différents que peut prendre le graphe sous-jacent à celle-ci. Alors toute stricture a une probabilité d'occurrence, et l'on peut y définir une G-entropie.Appliquant ensuite ce concept à la théorie de l'information de Shannon, l'auteur montre que la quantité d'information apportée par un message est différente de la G-entropie, mais que les deux grandeurs y prennent fortuitement la même valeur. Le concept permet également d'introduire une information liée au message, une autre au code, et une information totale.Le concept d'émergence permet ensuite de comprendre la raison pour laquelle celle-ci s'accompagne d'une augmentation de G-neguentropie.L'entropie est considérée depuis Boltzmann comme une borne mesure du désordre d'un gaz, d'où son intérêt en morphogénèse, en théorie des systèmes, et de l'information. Cependant son application directe pose des problèmes, et il parait préférable de tenter auparavant de généraliser le concept en le randant plus abstrait. La première difficulté à laquelle on se heurte alors est l'interprétation du nombre w de la formule de Boltzmann.  相似文献   

12.
Résumé Les capacités visuelles de la coccinelle H. axyridis, espèce utilisée en lutte biologique, ont été étudiées l'aide de formes géométriques différentes et de leurres qui miment un puceron. Les larves et les adultes de cette coccinelle semblent présenter une vision à distance (perception de formes géométriques) et une vision de proximité (perception de leurres comparables à des proies). Cette vision qui est plus développée chez les adultes, permet à cette coccinelle de changer l'orientation de ses déplacements soit pour entrer en contact avec ces cibles artificielles soit pour passer à proximité. Toutefois, ces performances ont été mises en évidence dans des conditions particulières, les cibles et les leurres présentant un fort contraste par rapport à l'environnement.  相似文献   

13.
The effects of three constant (15°C, 20°C and 25°C) and one alternating (16–22°C, mean 19.5°C) temperatures on development, mortality, feeding, fecundity and longevity of Liriomyza trifolii (Burgess) on tomato plants cv. Moneydor were examined in the laboratory. Development rates and thresholds for each instar were estimated by means of linear regression. No correlation was found between life history variables and pupal length. Further, data on the biology of L. trifolii are given and discussed.The intrinsic rate of increase, rm, varied from-0.0023 viable female eggs//day at 15°C to 0.1254 eggs//day at 25°C and net reproduction from one viable female egg/ at 15°C to 26 eggs/ at 20°C. Generation time varied from 48 days at 15°C to 24 days at 25°C. Ninety % oviposition occurred within the first 115 degree-days of adult life at both 20°C and 25°C. Fecundity and longevity were highly correlated with the number of feeding punctures. The data indicate that tomato is a suitable host plant allowing populations of L. trifolii to increase if temperatures are above 16°C.
Influence de la température sur la biologie de Liriomyza trifolii élevé sur tomates
Résumé La vitesse de développement, la mortalité, l'alimentation, la fécondité et la longévité de L. trifolii (Burgess) élevés sur plants de tomates du cultivar Moneydor ont été examinées au laboratoire sous 3 températures constantes (15°C, 20°C et 25°C) et une thermopériode (16/22°C, moyenne 19,5°C). Les taux de développement et les seuils de chaque stade ont été déterminés à partir des droites de régressions. Aucune corrélation n'a été mise en évidence entre ces variables biologiques et la taille des pupes. De plus, certaines données sur la biologie de L. trifolii sont fournies et discutées.Le taux intrinsèque d'accroissement, rm a varié de-0,0023 oeuf viable/femelle/jour à 15°C à 0,1254 oeuf viable/femelle/jour à 25°C et la reproduction nette de 1 oeuf femelle viable/femelle à 15°C à 26 oeufs femelles viables/femelle à 25°C. La durée d'une génération a varié de 48 jours à 15°C à 24 j à 25°C. 90% de la ponte a eu lieu dans les 115 premiers degrés jours de la vie imaginale à 20 et 25°C. La fécondité et la longévité étaient fortement liées au nombre de piqûres nutritionnelles. Ces résultats montrent que la tomate est un hôte convenable permettant aux populations de L. trifolii de se développer lorsque la température est supérieure à 16°C.
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14.
Groups of Glossina morsitans morsitans Westwood fed at emergence and thereafter daily, every second or third day respectively, up to the end of their first pregnancy cycle, survived well (73–79%) and produced virtually the same number of puparia/ (0.83–0.85) in the same puparial weight class (23–24 mg). However, adult survival (29%), number of puparia/ (0.30) and puparial weight (19 mg) were much lower in the group consistently fed every 4th day after the initial meal at emergence. It is proposed that tsetse colonies could be fed on Mondays, Wednesdays and Fridays without jeopardising adult survival, puparial production/ and the size (weight) of puparia produced.
Performances en Zambie de la mouche Tsé-Tsé (Glossina morsitans morsitans) élevée en utilisant différents régimes alimentaires
Résumé Afin d'estimer si une alimentation quotidienne de G. morsitans morsitans présente un avantage sur une alimentation moins fréquente, nous avons enrigestré la survie des adultes, la production et le poids des pupes chez des individus nourris à l'émergence et, ensuite, tous les jours ou tous les 2, 3 ou 4 jours. Les femelles alimentées quotidiennement, ou tous les 2 ou 3 jours, ont produit le même nombre de pupes (0,83–0,85), avec des poids de même ordre (23–24 mg), et avec une aussi bonne survie (73 à 79%). Alimentées tous les 4 jours, elles ont produit 0,30 pupe/femelle, pesant 19 mg/pupe et avec une plus faible survie (29%). Ces résultats montrent qu'il est inutile de nourrir les mouches chaque jour au lieu de tous les 2 ou 3 jours. Cependant une alimentation à des intervalles supérieurs à 3 jours, a eu des conséquences clairement défavorables. Ainsi, peuvent être considérablement réduits et le travail et le coût des élevages, sans porter préjudice à la production, en alimentant les mouches 3 fois par semaine, par ex. les lundis, mercredis et vendredis.
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15.
Résumé L'action exercée par le sulfate d'atropine et le méprobamate sur les cellules gonadotropes de la préhypophyse a été étudiée chez des rattes offrant des cycles de 4 jours, dans des conditions où ces 2 substances bloquent les phénomènes de ponte ovulaire. La dégranulation des cellules, qui se produit durant l'après-midi du prooestrus, pendant la phase préovulatoire du cycle, chez des rattes non traitées, est inhibée par ces 2 substances antiovulatoires. De même l'atropine et le meprobamate suppriment les modifications des cellules que l'on observe normalement du matin, 11 h, à la fin de l'après-midi du prooestrus. Chez les femelles soumises à l'action antiovulatoire de ces deux substances, les cellules conservent l'après-midi du prooestrus l'aspect qu'elles offrent le matin de ce même jour, elles ne présentent donc plus les phénomènes, d'abord, de charge granulaire, puis, de dégranulation que l'on observe chez des rattes non traitées. On peut donc admettre que l'atropine et le méprobamate bloquent à la fois l'excrétion de LH et celle de FSH par les cellules respectivement et de la pars distalis et que la ponte ovulaire résulte de l'action synergique de ces deux hormones gonadotropes sur l'ovaire.
Influence of antiovulatory agents in the proestral phase of the ovarian cycle on the excretory gonadotropic aactivity of the - and -cells in the rats anterior hypophysis
Summary Cytological and numerical modifications of the and pituitary gonadotroph cells caused by antiovulatory doses of atropine and meprobamate have been studied in 4-day cyclic female wistar rats. The cells degranulation which normally occurs on the afternoon of prooestrus during the preovulatory stage of the cycle was inhibited in treated animals. Both antiovulatory substances also suppressed the morphological changes of the cells observed in control animals from the morning (11 a.m.) to the late afternoon of prooestrus. The successive stages of secretory and excretory activities of these cells noted in non treated females during the prooestrous period of the cycle were no more observed in blocked animals. The cells of these animals appeared unmodified at 5–6 p. m. with respect to those of females sacrificed earlier at 11 a.m. Atropine and meprobamate may be therefore supposed to prevent the release of both gonadotrophic hormones L. H. and F. S. H. which act synergically in the determinism of ovulation in the Rat.
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16.
Moore  Lucy B. 《Plant Ecology》1954,5(1):268-278
Résumé Rumex acetosella est une plante naturalisée très répandue en Nouvelle Zélande, tant en terre arable que dans la végétation indigène modifiée. Dans des vallées en cuvettes de l'Ile Sud, ayant une précipitation annuelle de 300 à 700 mm, des milliers d'hectares qui n'ont jamais été labourés portent à présent R. acetosella (2n=42) comme espèce la plus importante, accompagnée de mauvaises herbes naturalisées et indigènes. Ce sont des régions où les prairies naturelles à touffes de Festuca novaezelandiae ont été ravagées au cours d'un siècle par des incendies successives et par la paissance de moutons et de lapins, animaux introduits par l'homme. Le groupement végétal à Rumex — produit d'origine exotique (exotic-induced) — tel qu'il se trouve dans la partie nord de l'Ile Sud, est étudié et quelques relevés en sont presentés. Une comparaison est dressée entre cette région et d'autres en Nouvelle Zélande, ainsi qu'avec les îles Tristan da Cunha dans l'Atlantique du sud et Masafuera dans le Pacifique du sud. Le Rumecetum, qui s'est propagé là où se trouvent en assez grand nombre ces animaux introduits, pourrait bien continuer à exister indéfiniment, à moins que ceux-ci ne disparaissent.

Received for publication 15.X.1953.  相似文献   

17.
The available evidence is in agreement with the postulate that all phytophagous insects require chemotactic (usually gustatory) stimuli to release feeding activity. Some of the soluble nutrients in plants serve this function. In the case of oligophagous insects food selection is further guided by perception of non-nutritive substances (token stimuli) of limited botanical distribution. The food range of all phytophagous insects is circumscribed by the distribution of repellants, rejectants and toxins. These concepts are developed and outlined in symbolic form.
Résumé L'importance des stimulants alimentaires token a été clairement démontrée par exemple chez Plutella maculipennis Curt., Pieris brassicae L. et P. rapae L., lesquels, à l'état larvaire, reconnaissent leur plante-hôte, les Crucifères, au goût de glucosides de l'huile de moutarde tels que la sinigrine et la sinalbine. Bien qu'elles soient presque les seules démonstrations indiscutables de l'action de ces stimulants token parmi les insectes phytophages il a été admis que ce phénomène explique en général la sélection de la plante hôte par les insects oligophages et que la présence de substances désagréables au goût dans les végétaux est suffisant pour expliquer les préférences de plantes alimentaires des insectes polyphages. Cependant, ces vues ne rendent pas compte du fait que ces phagostimulants token peuvent exiger la présence de constituants nutritifs afin d'obtenir une réponse alimentaire chez les insectes oligophages. En outre les insectes polyphages demandent des stimuli chimiotactiques positifs pour déclancher une activité alimentaire. Aucun effet inhibiteur de substances végétales désagréables n'est simplement superposé à ce phénomène de base.Un autre fait significatif est que le saccharose, constituant universellement distribué chez les végétaux, est avidement goûté par de nombreux insectes, et on pourrait penser à priori que son rôle est important dans la nature comme stimulus effecteur d'alimentation chez les insectes phytophages. De récentes investigations ont montré que d'autres substances nutritives variées telles que le glucose, des acides aminés, des amides et des vitamines peuvent aussi déclancher d'une manière indépendante l'activité alimentaire.Une interprétation totale de la connaissance utile à présent est que de nombreuses conditions sont exigées pour rendre compte des phénomènes d'alimentation chez les insectes et de la sélection de l'hôte. Ceci inclut la présence de stimulants alimentaires token (si nécessaires), la présence de certains constituants sapides et l'absence de substances répulsives ou désagréables au goût. Tandis que ces conditions, admettant un substrat ingestible, sont nécessaires et suffisantes pour une alimentation normale un développement satisfaisant exige en plus la présence de constituants nutritifs essentiels autres que les substances sapides déjà mentionnées et l'absence de toxines.Certains constituants végétaux peuvent avoir plusieurs fonctions dans ce schéma et quelques exemples sont considérés.

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18.
The fecundity of the South India strain of Callosobruchus maculatus (Fab.) (Bruchidae: Coleoptera) is 73 eggs for females developing in 31 days and increases to 94 eggs for females emerging after 41 days. Fed females lay 45–55 more eggs which is the egg-equivalent of the reserves unfed females had to sacrifice for activity. Competition as a larva did not reduce a female's fecundity. Oviposition is inhibited when females are given 25 or fewer beans for oviposition and it is reversed if females find fresh beans. Oviposition is generally released by beans carrying a below average number of eggs, thus, the eggs are almost uniformly distributed over the beans. Eggs are preferentially placed on the largest egg-free beans as expected if oviposition is released when a beetle goes from a smaller to a larger bean. The cues resulating host preferences, cowpea > mung pigeonpea chickpea, are secondary to the cues producing hyperdispersion and the selection of larger beans. We present a model for the oviposition behavior that accounts for the observed responses to species, size, and egg load of oviposition sites.
Résumé La fécondité de femelles isolées avec un mâle, sans aliment ni eau, et laissées sans perturbation avec 50 graines au moins sert de fécondité standard. Elle augmente avec le temps de développement de l'uf à l'adulte de 73 ufs (32 j) à 94 ufs (44 j). La fécondité potentielle, obtenue avec des femelles alimentées sur sucre est de 125 ufs. Des femelles maintenues avec moins de 25 graines réduisent leur fécondité.Plus de la moitié des femelles distribuent leurs ufs uniformément jusqu'à une densité de 1,5 uf. L'uniformité peut provenir de l'induction de réactions de ponte par les graines portant moins d'ufs que l'effectif moyen. L'hyperdistribution au dessus des densités de 3 ufs/graine révèle l'aptitude à distinguer les graines avec 3 ufs des graines avec 4 ufs. Il y a moins d'écarts par rapport à l'uniformité (erreurs) avec des graines à surface rugueuse. Des femelles avec 10 graines font moins d'erreurs que des femelles avec 50 ou 100 graines.Les ufs sont ajoutés aux plus grosses graines sans ufs; ainsi, plus il y a de graines qui portent des ufs, plus le poids des graines avec ufs diminue. Un tel schéma est prévisible si la ponte est induite par des graines plus grosses que les graines rencontrées précédemment. Les femelles présentent un ordre de préférence clair quand elles sont en rapport avec leurs hôtes classiques: Vigna unguiculata > V. radiata > Cajanus cajan > Cicer arietinum Les caractères spécifiques de l'hôte, plutôt que la taille ou la texture de la surface servent à la distinction entre les graines d'un même hôte.Ces résultats expérimentaux peuvent être utilisés pour la modélisation du comportement de ponte d'une femelle.
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19.
The parthenogenetic ichneumon wasp Venturia (= Nemeritis( canescens (Grav.) carries a single egg in readiness for oviposition in a cavity right at the tip of the long ovipositor. The egg is passed into the cavity during a flexing or cocking movement of the abdomen, and this behaviour can be used to determine whether or not Venturia has deposited an egg into its host. The cocking movement shows that Venturia tends to avoid superparasitism.
Résumé l'Ichneumonide parthenogénétique Nemeritis canescens porte un seul uf prêt à être pondu dans une cavité fusiforme, juste à la pointe de son long ovipositeur. L'uf est éventuellement émis quand l'ovipositeur pénètre dans une chenille hôte. L'uf chemine le long de l'ovipositeur, et est mis en place dans la cavité apicale pendant un mouvement de flexion très caractéristique de l'abdomen (Cocking Fig. 2) qui est bien distinct du mouvement accompli au moment même de la piqûre de l'hôte (Stabbing Fig. 2).Le mouvement dit d'armement (Cocking) est toujours effectué juste après la ponte dans un hôte sain, assurant ainsi la mise en place d'un nouvel uf pour une autre piqûre. L'absence du mouvement de Cocking entre deux actes de piqûre dans deux hôtes successifs indique que la piqûre dans le premier hôte n'a pas été suivie de ponte.En utilisant le mouvement de Cocking comme indicateur de ponte on peut démontrer que Nemeritis reconnaît la présence d'un uf dans une hôte cinq minutes après que celui-ci a été parasité, et évite le superparasitisme en effectuant une piqûre non suivie de ponte. La proportion de piqûres stériles s'accroît quand l'hôte héberge un uf dont le développement est plus avancé, l'évitement du superparasitisme atteint sa plus forte proportion 30 minutes seulement après le dépôt du premier uf (Fig. 3).
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20.
Copulation duration of Glossina pallidipes from Lambwe Valley (0° 35, S, 34° 15 E) and Kibwezi Forest (2° 27 S, 37° 55 E) in Kenya, was investigated in the laboratory. The difference in mean copulation time between the populations was highly significant. Reciprocal copulations showed that the trait is predominantly or only determined by the male. F1 and F2 male hybrid durations were similar and intermediate between the parental durations. The variances of the F2 hybrid durations were not significantly larger than those of the F1 hybrids. Male hybrids from backcrosses had durations on the average intermediate between their parents'. Reciprocal F1 hybrid male durations gave different means. It is inferred that the trait, in the two populations investigated, is under polygenic control by factors distributed on an unknown number of autosomes and on the X chromosomes.
Résumé On a étudié et comparé en laboratoire, la durée de copulation de deux populations de Glossina pallidipes du Kenya, l'une de Lambwe Valley (0°35S, 34°15E) l'autre de Kibwezi Forest (2°27S, 37°55E). Les femelles agées de 7–8 jours sont accouplées avec des mâles agés de 14–18 jours, à une température d'environ 27.5° C. La différence de la durée moyenne de copulation entre les deux populations est hautement significative: 21,8 min pour les mouches originaires de Lambwe, contre 59,0 min pour celles originaires de Kibwezi. Des accouplements croisés ont montré que le caractère est avant tout ou uniquement déterminé par le mâle. Les durées de copulation avec des mâles hybrides F1 et F2 sont semblables et intermédiaires avec celles observées chez les parents. Les variances de la durée de copulation pour les mâles hybrides F2 ne sont pas significativement plus grandes que celles des hybrides F1. Les mâles hybrides issus de croisements de retour offrent des durées de copulation en moyenne intermédiaires avec celles des parents. Les mâles hybrides réciproques F1 ont des durées de copulation ayant des valeurs moyennes différentes.Il est conclu que le caractère évoqué, dans les deux populations testées, obéit à un contrôle polygénique, dont les facteurs sont distribués à la fois sur un nombre inconnu d'autosomes et sur les chromosomes X. Il est suggéré que le paramètre durée de la copulation peut apporter une information complémentaire dans l'étude systématique des populations de Glossina pallidipes.


Financed by grants from Uppsala University, The Royal Swedish Academy of Science and The Lars Hierta's Memory Foundation.  相似文献   

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