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1.
Résumé Une étude au champ de la dynamique des populations de la cochenille du manioc Phenacoccus manihoti Matt.-Ferr. (Hom. Pseudococcidae) et des agents biologiques qui lui sont associés a été entreprise dans 4 parcelles de manioc Manihot esculenta Crantz (Euphorbiacée) situées dans 2 localités différents du Congo. Elle a essentiellement montré que les 7 à 16% de parasitisme développés par le parasitoïde exotique Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hym. Encyrtidae), 4 ans après son introduction, n'affectent pas significativement la dynamique des populations du ravageur. Les taux importants d'hyperparasitisme (67 à 100%) dont le parasitoïde primaire est l'objet limitent la reproduction de ses populations. Toutefois il est difficile de conclure quant à l'impact réel des hyperparasites sur l'efficacité de l'auxiliaire dans la lutte contre la cochenille.
A field study of cassava mealybug Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr. (Hom. Pseudococcidae) population dynamics, together with that of associated biological agents was made on 4 sample plots in cultivated manioc Manihot esculenta Crantz (Euphorbiacée) in two different areas of the Congo. It showed that four years after introduction, the 7 to 16% of parasitism attributable to the exotic parasitoid Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hym. Encyrtidae), did not significantly affect pest population dynamics. High levels of hyperparasitism (67% to 100%) to which the parasitoid is itself subject limits its population levels. It is, however, impossible to determine the real effect of hyperparasites on the efficiency of the auxiliary in the biological control of the mealybug.
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2.
The capability of Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hymenoptera: Encyrtidae) to control the cassava mealybug (CM) Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr. (Homoptera: Pseudococcidae) was investigated in Nigeria using physical and chemical exclusion experiments. In two sleeve cage experiments CM populations, about 2 months after artificial infestation, were 7.0 and 2.3 x lower on artificially infested cassava tips covered with open cages than on tips in closed cages which excluded most parasitoids. On similarly infested but uncovered tips, CM populations were 24.3 and 37.5 x lower, and parasitisation rates were higher. In an artificially infested field which was treated weekly with carbaryl, parasitisation rates were below 10% and CM populations exceeded 200 per tip. In the chemically untreated plot, parasitisation rates were up to 25% and CM densities were mostly below 10 per tip. This study demonstrates the efficiency of E. lopezi in controlling its host under the experimental conditions.
Résumé La capacité d'E. lopezi de contrôler la cochenille farineuse du manioc a été évaluée au Nigéria en excluant le parasitoïde de son hôte par des moyens physiques et chimiques. Dans deux expériences utilisants des manchons les populations de la cochenille deux mois après l'infestation artificielle étaient 7.0 et 2.3 fois plus basses sur les branches couvertes d'un manchon ouvert que sur les branches couvertes par un manchon fermé, qui excluait la plupart des parasitoïdes. Sur les apex sans manchons, également infestés artificiellement, les populations de la cochenille étaient 24.3 et 37.5 fois plus bas tandis que le degré de parasitisme était plus élevé. Dans un champ infesté artificiellement et partiellement traité chaque semaine avec du carbaryl, le pourcentage de parasitisme restait au-dessous de 10%, et les populations de la cochenille dépassaient 200 par apex. Dans la partie non-traitée, le parasitisme atteignait 25% et la densité de la cochenille restait pour la plupart du temps au-dessous de 10 cochenilles par apex. Ces expériences démontrent la capacité d'E. lopezi de maintenir son hôte à un bas niveau dans des conditions expérimentales.
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3.
Encapsulation of Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hymenoptera, Encyrtidae) by the cassava mealybug Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Homoptera, Pseudococcidae) was studied in the laboratory under controlled conditions (thermohygrometry and photoperiod as close as possible to field conditions): temperature, 26±1 °C; relative humidity, 80±10%; photoperiod, 12 h. Encapsulation began with melanin deposits forming on the parasitoid envelopes at different developmental stages: egg chorion and cuticle of L2 and L3 larvae. It led to the formation of an amorphous capsule from which parasitoids could occasionally escape. Encapsulation affected 26.7% of all parasitoids in solitary parasitism. There was a highly significant increase in the level of encapsulation (83.3%) in superparasitism. Encapsulation was more likely when egg laying occurred in the median body zone of host mealybugs but it was not related either to the sequence of eggs deposited or to the duration of egg laying. These results have significant implications for the assessment of E. lopezi parasitoid efficiency and should be considered in the current biological control program on P. manihoti in Africa.
Mélanisation et encapsulement des ufs et des larves d'Epidinocarsis lopezi par son hôte Phenacoccus manihoti: effets du superparasitisme et des modalités de la ponte
Résumé L'encapsulement d'Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hyménoptère, Encyrtidae) par la cochenille du manioc Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Homoptère, Pseudococcidae) a été étudié au laboratoire en conditions standardisées de thermohygrométrie et de photopériode aussi proches que possible de celle existant sur le terrain: température: 26±1 °C; hygrométrie relative: 80±10%; photopériode: 12 heures.Le phénomène débute par un dépot de mélanine sur les enveloppes du parasitoïde à différents stades de son développement: chorion de l'uf ou cuticule des larves L2 et L3. Il aboutit à la formation d'une capsule amorphe dont le parasitoïde parvient parfois à s'échapper. L'encapsulement affectant 26,7% des individus en situation de parasitisme solitaire est très significativement augmenté dans le cas de superparasitisme où ce taux concerne jusqu'à 83,3% des Hyménoptères en développement mais dans ces situations de superparasitisme, un Hyménoptère adulte est toujours obtenu d'une cochenille infestée.L'encapsulement est par ailleurs favorisé lorsque la ponte du parasitoïde s'effectue dans la région médiane de la cochenille mais ne dépend pas du rang de ponte des ufs et de la durée de la piqûre.Nos résultats, confirmés par des travaux de terrain au Congo, indiquent qu'un tel taux d'encapsulement a une incidence sur l'efficacité parasitaire d'Epidinocarsis lopezi et qu'il doit être pris en considération dans le progamme de lutte biologique en cours en Afrique contre Phenacoccus manihoti.
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4.
Life table studies were conducted to assess the effect of constant temperature on the rate of population growth of the cassava mealybug, Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Four temperatures, between 20 and 30.5°C, were tested. An inverse relationship was observed between temperature and most demographic parameters.The intrinsic rate of natural increase (rm) increased from 0.1 at 20°C to 0.2 at 27°C and 30.5°C. The net reproductive rate varied between 426.3 at 30.5°C and 584.7 at 20°C. The mealybug population reached 50% mortality after 37.5, 21.5, 19.0 and 19.0 days respectively at 20, 23.5, 27 and 30.5°C. The results indicate that P. manihoti can persist and increase in numbers within the range between 20 and 30.5°C.
Influence de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc Phenococcus manihoti
Résumé Des tables de vie ont été établies pour déterminer l'effet de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc, Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr., et ainsi comprendre les changements au sein des populations du ravageur dans les champs et mener à bien le programme de lutte biologique organisé à l'I.I.T.A. contre cette cochenille. P. manihoti, introduit à partir de l'Amérique latine en Afrique, y menace la production du manioc (Manihot esculenta Crantz).Le taux intrinsèque d'accroissement natural (rm) a augmenté de 0.114 à 20°C, à 0.185 à 27°C, avant de descendre à 0.182 à 30.5°C. Le taux net de reproduction (Ro) a été relativement élevé (426–584 oeufs femelles/génération). Dans nos conditions expérimentales, la mortalité a atteint 50% au bout de 37.5, 21.5, 19.0 jours respectivement à 20, 23.5, 27 et 30.5°C. La durée du cycle et le coefficient d'accroissement () étaient inversement liés à la température. Le ravageur possède la capacité de doubler sa population en 6.08 jours à 20°C alors que 3.81 jours seulement suffisent pour doubler la population à 30.5°C.Ces résultats nous ont permis de comprendre et d'expliquer l'énorme pouvoir de pullulation de la cochenille observé dans les champs pendant la saison sèche; il s'ensuit que les lâchers des entomophages produits en élevages doivent se faire très tôt au début de la saison sèche, afin de contrecarrer la grande fertilité et la capacité d'augmentation rapide des populations de P. manihoti.
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5.
Epidinocarsis lopezi is used as a biological control agent against the cassava mealybug, Phenacoccus manihoti, a serious pest of cassava in Africa. The efficiency of parasitoid mass-rearing is maximized when maximum numbers of healthy female wasps are obtained, since only female parasitoids attack the mealybugs.Highly variable sex ratios are often found in parasitic Hymenoptera. Local mate competition (LMC) is one of the evolutionary models which provide predictions about sex allocation. In this paper we show that E. lopezi does not respond to parasitoid density with a change in sex ratio. We also show that in the field, no local mating structure exists, and that mating is random. Therefore, a shift in sex ratio in response to parasitoid density as predicted by LMC theory would not be adaptive. E. lopezi also does not change its sex allocation when ovipositing in already parasitized hosts. Hence host-size distribution and differential mortality are the only factors that can influence sex ratio in mass-rearings.
Résumé E. lopezi est utilisé dans la lutte biologique contre Phenacoccus manihoti, important ravageur du manioc en Afrique. Puisque seules les femelles du parasitoïde attaquent la cochenille, l'efficacité de l'élevage de masse de l'entomophage sera optimale quand le maximum de femelles saines sera obtenu.Les rapports des sexes des hyménoptères parasites varient très souvent. La compétition sexuelle locale (LMC) constitue l'un des modèles qui fournissent des prédictions de la distribution des sexes. Cette note montre que la proportion des sexes de E. lopezi n'est pas modifiée par la densité du parasitoïde. Par ailleurs, les accouplements s'effectuent au hasard dans la nature et il n'y a pas de structure locale d'accouplement. Par conséquent, le biais, prévu par la théorie du LMC, et introduit par la densité du parasitoïde dans la distribution des sexes, n'a pas de valeur adaptative. E. lopezi ne modifie pas non plus la distribution du sexe de ses descendants quant il pond dans de hôtes déjà parasités. Ainsi, la répartition en taille des hôtes et la mortalité différentielle sont les seuls facteurs qui influent sur la proportion des sexes dans les élevages de masse.
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6.
Résumé L'étude des variations d'abondance et des factuers de régulation de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero 5 ans après l'introduction du parasito?de néotropicalEpidinocarsis lopezi (de Santis) révèle la constance des pullulations du ravageur depuis 9 ans. Les pics de pullulations s'observent surtout en début de saison des pluies. Aucune corrélation n'a pu être établie entre les paramètres caractérisant les pluies et les variations du nombre de cochenilles. Nos observations confirment que l'entomophthoraleNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller est le principal facteur de régulation de la cochenille au Congo. L'impact des prédateurs de la cochenille ne semble pas s'être modifié depuis 1979: la coccinelleExochomus flaviventris Mader reste le prédateur le plus actif. L'acclimatation du parasito?deE. lopezi s'est traduite par une augmentation du taux de parasitisme par un facteur 2 à 3. Elle n'a cependant pas permis de modifier l'allure et l'ampleur des pullulations de la cochenille. Enfin, la co?ncidence entre les brutales augmentations du nombre de cochenilles et de profondes modifications de la physiologie du manioc laisse à penser que cette dernière joue un r?le important.   相似文献   

7.
Résumé L'analyse (acides aminés et sucres) d'extrait de feuille, de 5 variétés de manioc (Manihot esculenta), du Faux caoutchouc (Hybride deM. esculenta x M.glaziovii), du Poinsettia (Euphorbia pulcherrina) et du Talinum (Talinum triangularae), caractérisés par différents degrés de résistance par antibiose à la cochenille du manioc (Phenacoccus manihoti (Mat. Ferr.)) (Homoptera: Pseudococcidae), a été réalisée sur des extraits obtenus par centrifugation du matériel foliaire. Les teneurs en acids aminés, très différentes d'une plante à l'autre, apparaissent aussi importantes entre les variétés de l'espèce manioc qu'entre les différentes espèces végétales avec respectivement un rapport de variation de 4,5 et 5,5. De même, les teneurs en sucres (exprimées en équivalent saccharose), sont très différentes d'une plante à l'autre avec un rapport de variation de 1 à 33 entre les deux extrêmes, si l'on ne considère que l'espèceM. esculenta, il n'est plus que de 3,5.Des différences dans les proportions relatives des acids aminés libres d'extrait de feuille sont observées aussi bien entre les variétés de manioc qu'entre les espèces végétales. Cependant pour toutes les plantes étudiées l'acide glutamique, la glutamine, l'ethanolamine, et l'alanine représentent près de 50% des acides aminés de l'extrait de feuille; l'acide aspertique, l'asparagine et la sérine près de 20% tandis que la tyrosine, la méthionine, l'isoleucine, la leucine et la lysine sont présents en très faibles pourcentages.Le degré de résistance à la cochenille du manioc des différentes plantes-hôtes n'a pu être relié, ni à la teneur de leur extrait de feuille en acides aminés et en sucres, ni à leur composition relative en acides aminés. Il n'a pu être non plus relié au rapport Sucres/Acides aminés Nos résultats suggèrent que des caractéristiques biochimiques autres que celles étudiées dans ce travail interviennent dans les mécanismes de résistance vis-à-vis de la cochenille du manioc.
Summary The levels of sugars and amino acids were determined in leaf extracts from a number of plants showing different levels of resistance to the cassava mealybug,Phenacoccus manihoti (Homoptera: Pseudococcidae). There were five varieties of cassava (Manihot esculenta), as well as a hybrid obtained by crossingM. esculenta andM. glaziovii, poinsettia (Euphorbia pulcherrina) and talinum (Talinum triangularae). The variability in the total concentration of amino acid concentrations was as great between varieties of cassava as at the species level. In contrast, there was much less variability in the concentration of sugars at the intervarietal that at the interspecies level.While there were both intervarietal and interspecific differences in the amino acid composition, glutamic acid, glutamine, ethanolamine and alanine represented nearly 50% of the total in all plants examined. Aspartic acid, asparagine and serine accounted for approximately 20%, while tyrosine, methionine, isoleucine, leucine and lysine are present at low levels.The different levels of resistance noted in the different plants were not associated with the concentrations of either amino acids or sugars, the ratios of sugar/amino concentrations or the amino acid compositions obtained from leaf extracts. This suggests that other aspects of plant chemistry confer resistance to cassava mealybugs.
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8.
G. Reyd  R. Gery  A. Ferran  G. Iperti  J. Brun 《BioControl》1991,36(2):161-171
Résumé Hyperaspis raynevali Muls. est une coccinelle coccidiphage appelée à intervenir en lutte biologique contre la cochenille du manioc:Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero en Afrique. Au laboratoire, ce prédateur est multiplié sur la cochenille du manioc et sur la cochenille farineuse des agrumesPlanoccus citri Risso (proie de substitution). L'étude des aptitudes trophiques d'H. raynevali élevée avec ces 2 espèces de cochenille a été entreprise afin de comparer la valeur alimentaire respective de ces proies. Les résultats montrent que la qualité nutritive deP. manihoti est légèrement supérieure à celle deP. citri pour les larves et les adultes de la coccinelle, à condition de ne pas utiliser le poinsettia, comme végétal de substitution pour élever la cochenille du manioc. De plus,P. citri constitue une proie que l'on peut avantageusement utiliser au Congo afin de produireH. raynevali pour entreprendre une opération de lutte biologique contreP. manihoti.   相似文献   

9.
Females of Epidinocarsis diversicornis (Howard) killed cassava mealybugs, Phenacoccus herreni Cox & Williams, through host feeding and piercing (i.e. ovipositor insertion and its consequences). Parasitoids fed on 9% of 592 hosts in which ovipositor insertion was achieved. For hosts which were attacked but not fed on, mortality in the first 72 h was significantly greater than that of controls and was highest in the first nymphal instar. No host feeding by Acerophagus coccois Smith was observed in 494 attacks. Mortality due to piercing was significantly greater than control values, but did not differ between host life stages.
Résumé La prise de nourriture et les piqûres (c'est-à-dire l'insertion de la tarière et ses conséquences) de Epidinocarsis diversicornis tuent Phenacoccus herreni. Les adultes s'alimentent sur 9% des 592 cochenilles dans lesquelles la tarière a pénétré. La mortalité au cours des 72 premières heures est beaucoup plus élevée chez les hôtes attaqués mais qui n'avaient pas subi une prise de nourriture, que chez les témoins; elle était particulièrement élevée chez les cochenilles du premier stade larvaire. Pour 494 attaques par Acerophagus coccois, aucune prise de nourriture n'a été observée; la mortalité était plus élevée que chez les temoins, sans qu'il y ait eu de différences suivant les stades.
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10.
The sex pheromone of Epidiaspis leperii Sign. females was extracted by immersing virgin females in five different solvents. Chloroform showed to be the best solvent. Bioassay in the field was carried out by using plastic cup traps baited with chloroform and acetone extracts. Chloroform extracts lured the highest number of E. leperii males as well as well as the red pear scale ectoparasite Aphytis mytilaspidis (Le Baron). Chloroform extracts became inactive after one day. The plastic cup trap was very effective for collecting the wingless males.The behaviour and movements of males were observed and illustrated in response to one, three, five and seven female equivalents. All males failed to show mating behaviour at one female concentration, whereas 40, 80 and 100% showed such behaviour at successive concentrations. The time spent exhibiting mating behaviour increased in proportion to increasing female-equivalent concentration.
Résumé Le phéromone sexuelle de E. leperii a été extraite par immersion de femelles vierges dans 5 solvants différents. Le chloroforme s'est avéré le meilleur solvant. Les expériences dans la nature ont été réalisées avec des pièges en plastique contenant des extraits obtenus à partir du chloroforme et de l'acétone. Ce type de piège en plastique est très efficace pour capturer les mâles aptères. Les extraits obtenus à partir du chloroforme ont attiré le plus de mâles de E. leperii et d'ectoparasites (Aphytis mytilaspidis) de cette cochenille, mais ils ont perdu leur efficacité au bout d'un jour.Le comportement et les mouvements des mâles ont été enrigestrés lors de leurs réactions en présence de 1, 3, 5 et 7 équivalents femelles. A la concentration correspondant à un équivalent femelle, aucun mâle n'a présenté de comportement copulatoire, tandis qu'il s'exprimait respectivement chez 40, 80 et 100% des mâles aux 3 autres concentrations. Le temps consacré au comportement copulatoire croît avec la teneur en équivalent femelle.
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11.
In a choice test among six life stages of Phenacoccus herreni Cox & Williams, Epidinocarsis diversicornis (Howard) used its antennae to examine adult and 3rd stadium females more than other stages and preferentially attempted to oviposit in these plus 2nd stadium females. Success of ovipositor insertion was unaffected by host stage. The outcome of these behaviors was preferential oviposition by E. diversicornis in the large female host stages. Acerophagus coccois Smith also preferentially examined larger female mealybugs (second and third stadium nymphs and adults) more than other stages and successfully inserted its ovipositor in these stages more often than in second stadium male nymphs and male cocoons, resulting in a similar preference in this species for larger female host stages. When given a choice between adult female hosts of two species, P. herreni and Phenacoccus gossypii Townsend & Cockerell, E. diversicornis exhibited a clear preference for P. herreni; whereas A. coccois preferred P. gossypii.
Résumé Epidinocarsis diversicornis (Howard), ayant la possibilité de choisir entre six stades différents de Phenacoccus herreni Cox & Williams, examine avec ses antennes plus particulièrement les adultes et les larves femelles du 3ème stade, et essaie de pondre de préférence dans ces stades et les larves femelles de second stade. L'insertion de la tarière s'effectue aussi bien quel que soit le stade de l'hôte. Il résulte de ces différents aspects du comportement que E. diversicornis pond de préférence dans les femelles des stades les plus avancés. Acerophagus coccois Smith préfère aussi examiner les cochenilles femelles les plus grosses (second et 3ème stade larvaires et adulte), et introduit sa tarière avec succès dans ces stades plus souvent que dans les larves mâles de second stade ou les cocons mâles; il en résulte aussi pour cette espèce une préférence pour les femelles des stades les plus gros.Quand on leur a donné le choix entre des femelles des deux espèces de cochenilles (P. herreni et Phenacoccus gossypii Towsend & Cockerell), E. diversicornis manifestait une nette préférence pour P. herreni, tandis que A. coccois préférait P. gossypii.
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12.
Nineteen cohorts of Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae) reared at various temperaturelight regimes were exposed to attack by Aphidius sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae) at different ages of their development. Irrespective of host age at the initial parasitization and rearing conditions, the rates of reproduction, development and survival were unaffected until the parasites within had completed approximately 30, 40 and 55% of their total development respectively. As a result, aphids parasitized in the first or early second instar failed to reach maturity. Thereafter, the numbers of young produced by parasitized aphids increased rapidly as the age of the hosts at initial parasitization increased, and aphids parasitized 3 days after the final moult or later showed similar potential to contribute to future population increase.In comparison with the effects on host moulting, those on wing development of the potentially alatiform nymphs appeared much sooner after the beginning of parasitization, but again with the time lags being more or less independent of host age at the initial parasite attack. Consequently, the extent of wing development depended entirely on the age of the hosts when attacked.These results showed that the age of the host at the initial parasite attack is crucial in determining the consequences of parasitization on the host.
Résumé Dix-neuf cohortes d'Hyperomyzus lactucae L. (Homoptera: Aphididae), élevées dans différentes conditions de lumière et de température, ont été exposées à différents moments de leur développement aux attaques d'Aphidius sonchi Marsh. (Hym. Aphidiidae). Quels que soient les conditions d'élevage et l'âge des pucerons quand ils ont été parasités, la survie, le développement et la reproduction n'ont été affectés que lorsque les parasites avaient accompli 30, 40 et 55% de leur développement total. Ainsi, les pucerons parasités au premier stade ou au début du second ne parvenaient pas à atteindre la maturité. Par la suite, le nombre de jeunes produits par les pucerons parasités a cru rapidement au fur et à mesure que l'âge de ces derniers au moment où ils avaient été parasités la dernière mue ou plus tard présentaient la même potentialité pour contribuer à l'accroissement ultérieur de la population.Comparés aux effets sur la mue, les effets sur le développement alaire des larves potentiellement ailées apparaissent beaucoup plus tôt après le moment où le puceron a été parasité, mais là aussi avec des délais plus ou moins indépendants de l'âge de l'hôte lors de la première attaque du parasite. Par conséquent, le degré de développement des ailes dépendait totalement de l'âge du puceron lorsqu'ila été parasité.Ces résultats ont montré que l'âge du puceron lors de la première attaque détermine les conséquences du parasitisme de l'hôte.
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13.
Résumé L'Hyménoptère parasito?deEpidinocarsis lopezi (De Santis) a été introduit d'Amérique du Sud au Congo pour le contr?le des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Dans les conditions du laboratoire, les principaux paramètres du développement ont été étudiés: le temps de développement entre la ponte de l'œuf et l'émergence de l'adulte est en moyenne de 15,6 jours; le taux sexuel est de 56% de femelles en maintien de souche, variable selon le stade des h?tes présentés; la longévité des ♀♀ est de 42,26 jours; la fécondité moyenne pour des ♀♀ nourries de miel s'établit autour de 207,6 œufs sur une période de 40 jours (5,2 œufs par jour en moyenne), elle est inférieure en absence d'alimentation (141 œufs au total et 3,8 par jour); le stade h?te choisi pour la ponte est essentiellement la larve L3 (à un moindre degré les jeunes ♀♀ sans ovisac); le superparasitisme peut atteindre 64% en situation de raréfaction de l'h?te, mais il n'est que de 5,7% en présence de fortes proportions de L3. Après des lachers expérimentaux, l'auxiliaire s'est acclimaté dans les champs expérimentaux et a colonisé les champs voisins. Ses taux de parasitisme achevé ont atteint un maximum de 15,4% des stades préférentiels (22% pour le parasitisme en cours) avant le pic de gradation de la cochenille. Ces données présententE. lopezi comme un parasito?de ayant de bonnes qualités intrinsèques mais qui, à l'heure actuelle, ne parvient pas à réguler les populations de la cochenille dans la zone où il a été laché.   相似文献   

14.
Walking speeds of female Trichogramma exiguum Pinto & Platner were fastest on maize and soybean (12 cm/min), intermediate on tomato (8 cm/min), and slowest on woolly mullein, Verbascum thapsus (3 cm/min). Similarly, rates of turning along the paths of walking T. exiguum were smallest on maize (median angle=0°±15°), intermediate on soybean and tomato, and greatest on V. thapsus (median angle=30°±15°). Leaf trichome density and morphology influenced walking behavior. Walking was slowed and flight initiation delayed for T. exiguum walking on Amaranthus hybridus leaves compared to either maize or filter paper. When inundative releases are conducted, the effects of plant surfaces on searching rates and arrestment should be considered in determining release rates of Trichogramma spp.
Résumé La vitesse de marche a été déterminée en lâchant des individus sur chaque substrat végétal et en traçant leur parcours sur une plaque de verre placée à 9 mm au dessus du sujet. Les déviations angulaires de portions successives des tracés, longues de 1 mm, ont été utilisées pour mesurer les taux de changement de direction. Dans une deuxième expérience, des individus ont été lâchés au milieu d'une cercle de 40 mm de diamètre sur chaque substrat et les temps écoulés avant l'envol ou pour atteindre le bord du cercle à la marche ont servi à évaluer respectivement la propension au vol et la vitesse de déambulation.Les vitesses de marche ont été plus rapides sur maïs et soja (12 cm/min), moyennes sur tomate (8 cm/min) et les plus lentes sur Verbascum thapsus (Scrophulariaceae) (3 cm/min). De le même façon, les angles de changement de direction au cours des marches effectuées par T. exiguum ont été plus petits sur maïs, moyens sur soja et tomate, et plus grands sur V. thapsus. Chez T. exiguum marchant sur des feuilles d'Amaranthus hybridus L. (Amaranthaceae), la marche a été plus lente et l'envol plus tardif que sur maîs ou papier filtre.Lors de lâchers inondatifs, les effets des surfaces végétales sur les vitesses d'exploration et d'arrêt devraient être pris en compte pour déterminer les vitesses de lâcher des Trichogramma spp.
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15.
Stomatal conductance, mesophyll conductance, transpiration and photosynthesis varied considerably by within-plant locations on celery (Apium graveolens L.), but specific opposite leaves proved equivalent. Using such comparable leaves, feeding damage by Liriomyza trifolii (Burgess) (Diptera: Agromyzidae) larvae or adults was found to reduce significantly the capacity of celery for photosynthetic activity. In field trials where populations of L. trifolii were manipulated with pesticides, numbers of leaves, plant height, and numbers of petioles per plant were significantly greater in treatments with low leafminer densities. In treatments where L. trifolii was encouraged, harvest was delayed by up to 3 weeks. Related laboratory studies indicated that the pesticides used in the field trial neither promoted nor slowed celery growth. None of the physiological parameters measured at either 1.5 h or 7 days post-treatment was significantly affected.
Résumé Les conductances des stomates et du mésophylle, la transpiration et la photosynthèse varient considérablement suivant la position des feuilles dans un pied de céleri (Apium graveolens L.) mais ces paramètres sont identiques pour des folioles opposées.En utilisant de telles folioles comparables, une réduction singificative de l'activité photosynthétique du céleri a été observée lors des dégâts alimentaires par les larves et les adultes de Liriomyza trifolii Burg. (Dipt. Agromyzidae). Dans des essais en champ où des populations de L. trifolii ont été contrôlées avec des insecticides, les nombres de pétioles et de folioles et la hauteur des plantes étaient significativement plus élevés là où les traitements avaient entraîné de faibles densités de mineuses. Dans les parcelles où L. trifolii avait été avantagé, la récolte avait été retardée jusqu'à 3 semaines. Des essais parallèles au laboratoire ont montré que les insecticides utilisés dans ces essais au champ, n'avaient ni accéléré, ni retardé la croissance du céleri. Aucun des paramètres physiologiques mesurés après 1,5 heure ou 7 jours après le traitement n'avait été modifié.
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16.
Résumé H. raynevali est la principale espèce de coccinelle importée de l'Amérique latine et acclimatée par l'I.I.T.A. pour lutter contre la cochenille du maniocP. manihoti. E. flaviventris etD. hennesseyi sont 2 autres coccinelles prédatrices présentes au sein de la biocoenose de la cochenille du manioc. Après avoir étudié leur biologie au laboratoire, on a pu comparer leurs potentialités respectives. A partir de ces résultats, on a tenté de déterminer le r?le que chaque espèce prédatrice pourrait éventuellement jouer dans les conditions naturelles et de définir les périodes les plus propices à la manifestation d'une meilleure efficacité.   相似文献   

17.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
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18.
Mating ability, sexual aggressiveness and competitiveness of irradiated males subjected to 12-krad dose in air as compared to untreated males of Glossina palpalis palpalis (Rob.-Desr.) were evaluated in relation to the time required for initiation and completion of copulation with the transfer of viable and motile sperm into the female spermathecae. Males of G. p. palpalis can inseminate up to eight females. The minimum age for successful insemination is 4-days-old while the minimum copulatory time for optimal insemination is 40 min. However, sterile males require at least a day longer to mature (day 4 instead of day 3) and remained in copula for longer period but they become aspermic at the same rate as fertile males. There was significant reduction (P<0.05) in female fecundity during a mixed mating test involving a ratio of one sterile to one fertile male. Therefore 12-krad-treated males could satisfy the mating requirements of female G. p. palpalis.
Résumé L'aptitude à l'accouplement, l'agressivité sexuelle et le succès dans la compétition ont été comparés chez des mâles soumis à 12 krad dans l'air et des mâles témoins. Ces paramètres ont été évalués en fonction du temps nécessaire pour provoquer l'accouplement et l'accomplir avec le transfert de spermatozoïdes viables et mobiles dans la spermathèque de la femelle. Un mâle de G. p. palpalis peut inséminer jusqu'à 8 femelles. L'âge minimum pour obtenir une insémination réussie est 4 jours, tandis que le temps de copulation minimal pour une insémination optimale est 40 mn. Cependant les mâles stériles demandent au moins 1 jour supplémentaire pour atteindre leur maturité (4ème jour au lieu du 3ème); ils restent accouplés pendant plus longtemps, mais deviennent aspermiques au même taux que les mâles fertiles. Il y a eu une réduction significative de la fécondité des femelles (P>0.05) après accouplements mixtes impliquant autant de mâles stériles que de mâles fertiles. Ainsi des mâles traités avec 12 krad pourraient satisfaire les exigences sexuelles de femelles de G. p. palpalis.
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19.
During 4-day field exposure intervals, Phenacoccus herreni Cox & Williams, third-instar mealybugs on artificially infested potted cassava plants were reduced 73% from initial densities of 235.7–1100.2/infested plant to 63.7–314.2/plant due to dispersal, rain, and predation. Frequency of parasitoid attack did not differ between high and low mealybug densities. The same species of parasitoids, in approximately the same proportions, were reared from mealybugs on artificially infested potted plants as from field mealybugs (Acerophagus coccois) Smith, 88.1% and Epidinocarsis diversicornis (Howard), 11.3%. Parasitoid attack rates on artificially exposed mealybugs, when combined with a simulation model of parasitism, accurately predicted observed levels of stage-specific parasitism in the field population.
Résumé Pendant des expositions de 4 jours dans la nature de plants en pots de M. esculenta contaminés artificiellement par des P. herreni du troisième stade, les densités de cochenilles ont été réduites de 73%: de 235.7–1100.2/par plant contaminé à 63.7–314.2/par plant, par suite des évasions, de la pluie et de la prédation. Les attaques de parasitoïdes ne changent pas suivant les densités de cochenilles. Les mêmes espèces de parasitoïdes, ont été élevées dans à peu près les mêmes proportions (Acerophagus coccois, 88.1%, et Epidinocaris diversicornis, 11.3%) à partir de cochenilles sur pots artificiellement contaminés ou de manioc de la nature. Les taux d'attaques par les parasitoïdes sur les cochenilles artificiellement exposées, associés à un modèle de simulation du parasitisme, ont permis de prévoir avec précision les niveaux de parasitisme observés pour chaque stade dans la population de la nature.
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20.
Experiments were conducted outdoors and in the insect rearing laboratory at the International Institute of Tropical Agriculture (IITA) in Nigeria. Four or five nights pairing duration gave the highest mating percentage and oviposition by the pod borer. Direct observations on adult mating revealed that some males mated more than once. The majority of females mated only once. A one-to-one ratio (with 10 males: 10 females) gave the best results for mating and oviposition. Mating took place between 21.00 h and 05.00 h when temperature ranged between 20–25°C and rh over 80% with peak activity occurring between 02.00 and 03.00 h. Oviposition followed a similar trend to that observed for mating with an equal sex ratio (of 10 or more pairs per cage) giving the highest egg count. The average number of eggs laid was ca. 400 per female. These results show a much higher oviposition potential for Maruca testulalis than has been previously reported. The results are discussed with regard to the rearing of this species under laboratory conditions.
Accouplement et comportement de ponte de Maruca testulalis
Résumé Tant de l'extérieur qu'au laboratoire (à l'IITA au Nigéria), la durée optimale de maintien des couples de M. testulalis Geyer (Lep. Pyralidae) pour obtenir l'accouplement et la ponte a été de 4 à 5 nuits, toutefois les meilleurs résultats ont été obtenus à l'extérieur. L'observation directe a révélé que contrairement aux femelles, les mâles peuvent copuler plus d'une fois. Le meilleur rapport sexuel pour obtenir l'accouplement et la ponte est 1/1 (10 mâles/10 femelles), suivi de près par un raport avec excédent de mâles. L'accouplement a lieu entre 21 h et 5 h quand la température est entre 20 et 30°C et HR supérieure à 80%; un pic est observé entre 2 et 3 h. La ponte présente la même tendance que l'accouplement, avec une production d'ufs plus élevée pour au moins 10 couples par cage. Le nombre moyen d'ufs par femelle est environ 400. Ces résultats sont supérieurs à ce qui avait été indiqué précédemment. La discussion porte sur les difficultés rencontrées pour élever cette espèce au laboratoire.
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