首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 406 毫秒
1.
Résumé La répartition si générale de l'acide ascorbique dans tous les éléments végétaux et animaux semble indiquer que ce corps joue un rôle général et fondamental. Mais cette répartition n'est pas homogène. Elle varie beaucoup avec les organes. Sa concentration si élective dans certaines cellules parait correspondre à des propriétés fonctionnelles communes à tous ces éléments.Histochimiquement on peut déceler l'acide ascorbique jusque dans la cellule où sa présence se localise au cytoplasma ou même à certains de ses organites: chondriome, appareil de Golgi.Sa mise en évidence y dépend de divers facteurs et en particulier de la présence d'autres substances qui bloquent son pouvoir réducteur: ce dernier fait n'est peut être pas sans importance physiologique.  相似文献   

2.
Walking speeds of female Trichogramma exiguum Pinto & Platner were fastest on maize and soybean (12 cm/min), intermediate on tomato (8 cm/min), and slowest on woolly mullein, Verbascum thapsus (3 cm/min). Similarly, rates of turning along the paths of walking T. exiguum were smallest on maize (median angle=0°±15°), intermediate on soybean and tomato, and greatest on V. thapsus (median angle=30°±15°). Leaf trichome density and morphology influenced walking behavior. Walking was slowed and flight initiation delayed for T. exiguum walking on Amaranthus hybridus leaves compared to either maize or filter paper. When inundative releases are conducted, the effects of plant surfaces on searching rates and arrestment should be considered in determining release rates of Trichogramma spp.
Résumé La vitesse de marche a été déterminée en lâchant des individus sur chaque substrat végétal et en traçant leur parcours sur une plaque de verre placée à 9 mm au dessus du sujet. Les déviations angulaires de portions successives des tracés, longues de 1 mm, ont été utilisées pour mesurer les taux de changement de direction. Dans une deuxième expérience, des individus ont été lâchés au milieu d'une cercle de 40 mm de diamètre sur chaque substrat et les temps écoulés avant l'envol ou pour atteindre le bord du cercle à la marche ont servi à évaluer respectivement la propension au vol et la vitesse de déambulation.Les vitesses de marche ont été plus rapides sur maïs et soja (12 cm/min), moyennes sur tomate (8 cm/min) et les plus lentes sur Verbascum thapsus (Scrophulariaceae) (3 cm/min). De le même façon, les angles de changement de direction au cours des marches effectuées par T. exiguum ont été plus petits sur maïs, moyens sur soja et tomate, et plus grands sur V. thapsus. Chez T. exiguum marchant sur des feuilles d'Amaranthus hybridus L. (Amaranthaceae), la marche a été plus lente et l'envol plus tardif que sur maîs ou papier filtre.Lors de lâchers inondatifs, les effets des surfaces végétales sur les vitesses d'exploration et d'arrêt devraient être pris en compte pour déterminer les vitesses de lâcher des Trichogramma spp.
  相似文献   

3.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

4.
When presented with two nutritionally incomplete diets, one lacking only the protein (casein) and the other lacking only the digestible carbohydrate (sucrose), last instar larvae of Heliothis zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae) switched between the diets frequently. The ratio (casein:sucrose) of time they spent on the two diets was about 83:17. As the stadium proceeded, the relative time they spent on the sucrose diet increased. Control larvae, offered two identical, nutritionally complete diets, seldom switched between them.
Résumé Récemment nous avions montré que les chenilles du dernier stade d'H. zea (Boddie) (Lep.: Noctuidae) composaient elles-mêmes leurs repas à partir de 2 cubes d'aliments, l'un carencé en protéine (caséine), l'autre en carbohydrate assimilable (sucrose). Dans cette nouvelle étude, les témoins ont reçu deux cubes nutritivement complets et les lots expérimentaux (en auto-complexification) deux cubes nutritivement incomplets, l'un carencé en caséine, l'autre en sucrose. Les chenilles ont traversé 3 étapes pendant ce dernier stade; une phase initiale de perturbations durant laquelle elles ne mangeaient presque pas, mais changeaient souvent de cube, une phase d'installation pendant laquelle elles consommainet d'une façon plus ou moins continue; et une phase de prénymphose pendant laquelle elles vagabondaient. La phase perturbée était moins longue chez les témoins, mais les deux lots présentaient le même comportement pendant cette phase: changeant de cube jusqu' à neuf fois par heure. Dès que la prise d'aliment a commencé dans la phase installée, les témoins changeaient de cube au hasard, tandis que les chenilles en expérience en changeaient relativement plus, passant 17% de leur temps sur le sucrose et 83% sur la caséine. Les comportements étaient identiques chez les deux lots pendant la phase de prénymphose. L'autocomplexification correspond à un comportement particulier pendant le dernier stade: l'alimentation sur caséine domine tôt, elle tend ensuite à rester constante tandis que l'alimentation sur caséine est maximale vers la fin du stade. Notre hypothèse est que l'auto-complexification est gouvernée par des feedbacks physiologiques internes déterminant la prise d'aliments, et que la chenille peut apprendre à associer un goût à un contenu nutritif.
  相似文献   

5.
The survival of adults of Clausenia josefi was investigated as a function of temperature and relative humidity. Natural severe climatic conditions were simulated and the adaptability of the parasites to such conditions was determined.
Résumé Clausenia josefi, parasite interne de Planococcus vitis, cochenille qui attaque la vigne, a été trouvé dans la zone aride du sud d'Israël (Negev). La moyenne de la température maximum en été (Juillet-Août) est dans cette région de 34° et l'humidité relative moyenne à 14h00 est de 40%. Le début de l'été (Mai-Juin) est la période la plus sévère, quant à l'instabilité des conditions climatiques. L'apparition saisonnière de C. josefi est caractérisée par 2 pics, un premier en Juin et un second, plus petit, en Octobre-Novembre. L'objet de cette étude était de déterminer les effets de la température et de l'humidité sur la longévité des adultes de Clausenia josefi et d'expliquer les raisons de la réduction de ses populations en été.A 28°, des humidités relatives comprises entre 20% et 80% n'ont aucun effet mesurable sur la survie des adultes de C. josefi (Fig. 1). L'effet d'une baisse d'humidité relative (20%) est plus prononcé pour des durées d'exposition de 2h et plus à de hautes températures (43°) (Fig. 3). A 43°, l'augmentation de l'humidité relative provoque un accroissement marqué de la survie (Fig. 4).Les conditions extrêmes dans les vignobles en Mai-Juin, même pendant de courtes périodes de temps, pourraient affecter les populations de ce parasite entomophage. Le fait que les populations de l'hôte sont à un maximum entre Mai et Juin, masque probablement les effets défavorables des conditions extrêmes sur l'entomophage, de sorte que le pic de ses populations apparaît à ce moment. Puisque les conditions climatiques sont moins extrêmes en Juillet et Août, la réduction des populations du parasite pendant ces mois n'est pas due aux effets climatiques mais plutôt à la réduction des populations de son hôte.


Contribution from the Agricultural Research Organization, The Volcani Center, Bet Dagan. Israel. 1972 Series, No. 2226-E.  相似文献   

6.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
  相似文献   

7.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

8.
Résumé Nous avons observé depuis longtemps déjà que la FourmiCremastogaster scutellaris forme de grandes colonnes de récolte, formations stables pendant toute une saison. Dans une note précédente (1) nous avons montré qu'il est relativement facile d'étudier l'activité collective des ouvrières hors du nid en faisant varier les facteurs du milieu et en observant le comportement de ces colonnes. Il nous a été ainsi possible de déterminer l'existence d'un thermo-preferendum (situé aux environs de 25° pour cette espèce), pour lequel l'activité de la colonne est maxima. De même nous avons pu montrer que l'activité journalière de ces colonnes est arythmique et se trouve uniquement sous l'influence directe et mesurable de la température.Dans l'étude qui suit, nous avons cherché à savoir de quelle façon les facteurs externes déterminaient l'arrêt d'activité hivernal (hibernation) et la reprise d'activité printanière (rupture d'hibernation) des fourmilières deCr. scutellaris. Nous ne nous occuperons pas ici de ce qui se passe à l'intérieur de la fourmilière ni des incidences de l'hibernation sur le cycle biologique de la colonie (ceci fera l'objet de publicationsultérieures), mais simplement des phénomènes qui sont visibles à l'extérieur du nid et qui affectent les colonnes d'ouvriéres.  相似文献   

9.
Résumé Les auteurs ont étudié, à l'aide de différentes techniques cytologiques et histo-chimiques, la cytologie du lobe distal de l'hypophyse chez 66 exemplairse et de Xenopus laevis, lesquels ont été traités au 4-methyl-2-thiouracil et au Percorten (acétate de désoxycorticostérone).Le tableau cytologique observé dans l'hypophyse des exemplaires adultes et normaux, est fondamentalement en harmonie avec ce qu'avaient décrit les autres auteurs qui s'étaient déjà occupés de la même espèce.Dans le cadre des cellules acidophiles, que le auteurs précédents avaient considérées toutes identiques, il a cependant été possible de distinguer — surtout à la suite du traitement expérimental — un comportement variable. Forts des résultats obtenus précédemment sur cette espèce et sur d'autres, les auteurs estiment donc que les cellules acidophiles qui sont situées principalement à la partie antérieure du lobe, pourraient être les cellules responsables de la secretion de l'ACTH; quant aux cellules plus petites, plus allongées et moins nettement acidophiles qui se trouvent surtout à la partie ventrale et postérieure du lobe, elles constitueraient plutôt les cellules qui sécrètent l'hormone somatotrope.Les auteurs décrivent en outre les transformations speciales (hypertrophie cellulaire, aspect particulièrement évident du nucléole, perte de la colorabilité typique, présence de granulations acidophiles aldéhyde-fuchsine positives) que subissent les cellules thyrotropes de l'hypophyse de certains exemplaires élevés dans les aquariums du laboratoire, transformations qui vont de pair avec une hypertrophie et une altération fort marquées de la structure de la thyroïde.Ce résultat relatif à l'hyperactivité thyrotrope, laquelle serait la cause à son tour de l'hypertrophie et du tableau histologique d'hyperfonction que présente la thyroïde, est discuté et interprété, à titre d'hypothèse, en tant que la conséquence d'une diminution de l'hormone thyroïdien en circulation, ceci à la suite de conditions d'élevage peu propices.Ce travail a été publié avec l'aide du Conseil National des Recherches (C.N.R.).C'est A. Guardabassi qui a élaboré l'avant-propos et la discussion.  相似文献   

10.
Résumé Dans ce travail, nous décrivons les manifestations cliniques produites par une espèce nouvelle de Trichophyton mégasporé à culture glabre que nous avons dénommé T. immergens. Cette espèce a été constatée dans notre pays onze fois chez l'homme et une fois chez un boeuf. Sa distribution géographique englobe presque tout le pays. Les malades étaient soit des agriculteurs, ou bien ils avaient contracté la maladie à la campagne. Comme source de contagion, on peut incriminer, avec une grande certitude, les bovidés, mais, bien sûr, la maladie se propage aussi de l'homme à l'homme. La peau glabre est surtout attaquée, mais le cuir chevelu et la barbe peuvent aussi être affectés primitivement. L'affection se présente en forme de placards orbiculaires, ayant une tendance à la dissémination et à la suppuration. Il peut même se produire un vrai Kérion.Le champignon montre, autour des cheveux ou des poils, la gaine typique d'un mégaspore. Les cultures se distinguent des autres Trichophyton mégasporés à culture glabre par les deux caractères importants suivants: 1° Elles sont presque complètement immergées sur milieu glycosé; 2° elles montrent, sur milieu maltosé, un centre irrégulier et autour de ce centre un anneau de duvet blanc et une auréole composée de rayons courts, égaux et serrés; l'aspect sur milieu maltose est donc différent de celui sur milieu glycosé. Sur milieux naturels, le champignon donne une culture duveteuse et y montre une morphologie microscopique très riche: des grappes de spores simples et composées, des vrilles longues et typiques et des nombreuses hyphes recourbées en crosse.  相似文献   

11.
Résumé Pour toutes les classifications introduites entre 1923 et 1930, y compris le genreSabouraudides de la classificationOta &Langeron 1923, nous avons utilisé comme diagnoses celles que j'ai donné en 1924.Ces mêmes diagnoses peuvent être appliquées aux anciens genres cliniquesAchorion, Microsporon, Trichophyton etEpidermophyton, que les Dermatologistes préfèrent. Ces genres auront de ce fait une valeur mycologique basée sur les formes de reproduction des espèces et, ce que les Mycologues ne sauraient valablement contester. Nous pouvons ainsi adopter une seule classification sans préjudice pour le progrès de la Mycologie et qui sera en même temps accepté par les Dermatologistes que les nouveaux noms créés par les diverses classifications ont choqué et cet avis a été soutenu déjà par le Prof.Benedek.  相似文献   

12.
The effects of photoperiod and temperature on the production of sexual forms by two clones of Sitobion avenae, the grain aphid, were examined. One clone did not produce sexual forms, whereas the other did under conditions of short light (<14 h) and low temperature (15°C). Temperature and photoperiod interacted to some extent both in the production of oviparae and of males. Even when the sexual forms were produced there was always a proportion of virginoparae.
Production de sexués par Sitobion avenae, puceron monoécique
Résumé Un clone de Sitobion avenae a produit sans difficulté jusqu'à 7 générations de sexués en réaction à des photopériodes courtes (<14 h) et à de faibles températures (15°C) tandis qu'un autre clone n'en produit aucune.La proportion de sexués différait suivant les parents. La production de mâles avait une nette tendance à apparaître lors des reproduction les plus tardives. Dans les générations tardives avec jours courts, les vivipares (virginopares et gynopares) avaient eu tendance à être produits à la fin de la période de reproduction.Les gynopares (c'est à dire les parents d'ovipares) de S. avenae étaient surtout aptères, mais comprenaient beaucoup plus d'ailés que les virginopares obtenus dans les mêmes conditions. Un vivipare était induit comme gynopare (ou ses embryons étaient déterminés comme ovipares) avant la naissance, mais cette détermination pouvait apparemment encore être inversée en soumettant l'insecte à de longues photopériodes et à de hautes températures jusqu'à deux jours après la naissance.Aucun S. avenae ovipare n'a été produit jusqu'à la troisième génération. Aucun ovipare n'a été produit avec des photopériodes supérieures à 13 H 30 à 10°C, 13 H à 15°C et 8 H à 20°C. La proportion d'individus produisant des ovipares à 15°C a été plus faible qu'à 10°C pour toutes les photopériodes, et à cette dernière température beaucoup plus de vivipares étaient gynopares que virginopares.Les basses températures ont été vraisemblablement le facteur dominant de stimulation de la production de mâles de S. avenae, mais cependant il semble qu'un plus grand nombre de mâles a été produit aux températures et photopériodes intermédiaires qu'aux extrêmes.La capture de mâles ailés de S. avenae dans des pièges à succion a été généralement limitée à Octobre-soit à peu prés le moment prévu par les expériences de laboratoire. Des mâles de S. avenae sont aussi capturés fréquemment et été, ce qui peut être lié à des hivers précédents doux.
  相似文献   

13.
René Molinier 《Plant Ecology》1959,8(5-6):340-383
Conclusions La Provence apparaît, en définitive, comme un territoire des plus variés aux divers points de vue climatique, édaphique, biotique.C'est une région d'autant plus favorable aux études phytosociologiques que la variété des milieux s'y double d'une brutalité souvent étonnante des contrastes, conduisant à la juxtaposition parfois extrêmement précise d'associations végétales très différentes, dont les limites peuvent alors être cartographiquement figurées avec une très suffisante exactitude.Cette vigueur des contrastes est surtout marquée en Provence calcaire où les divers termes des séries évolutives dérivant du Quercetum ilicis climacique ou y conduisant, se juxtaposent souvent sans transition de quelque importance.Les contrastes sont cependant moins accusés en Provence cristalline et dans la Basse-Vallée du Rhône.En Crau comme en Camargue, les associations végétales se juxtaposent souvent en ceintures parallèles ou concentriques — elles s'individualisent alors facilement —, souvent en mosaïques irrégulières, au grè des variations locales des deux facteurs déterminants: l'eau en Crau, le sel en Camargue.En Provence cristalline, les Maures étant surtout faites de roches se délitant facilement (grès, micaschistes et phyllades) sous un climat chaud et humide, le sol se reconstitue facilement après sa destruction partielle par l'érosion; les contrastes sont moins tranchés; on observe des transitions nombreuses entre les divers termes des séries évolutives, dont les limites ne peuvent être fixées qu'approximativement. Nous y avons notamment abordé le problème de la forêt de chêne-liège dont la signification est loin d'être connue, non seulement en Provence mais sur toute l'étendue de son aire, en Afrique du Nord, en Espagne, au Portugal, en France méridionale, en Italie et dans les Iles de la Méditerranée occidentale.En provence cristalline, il est certain que l'homme en a considérablement assuré l'extension, directement pour l'utilisation du liège, indirectement par la coupe et le feu, et, en bien des points de la Méditerranée occidentale, le chêne-liège se présente comme une essence cultivée.Par ailleurs rien ne permet de mettre en doute son indigénat. Mais, dans les conditions actuelles du milieu en Provence cristalline:le chêne vert est possible partout;dans les conditions naturelles de la concurrence vitale le chêne vert l'emporte sur le chêne-liège.Si, donc, la forêt originelle a comporté le chêne-liège, ce ne peut être qu'à l'état d'essence secondaire et seulement en quelques points où une faible couverture forestière lui permettait de cohabiter avec le chêne vert.Les documents cartographiques au I/20 000e tendent à montrer, d'aileurs que, dans les conditions naturelles de reconstitution de la forêt ou dans le peuplement naturel des sols neufs (Isthme de Giens), c'est la chênaie de chêne vert, non la chênaie de chêne-liège qui s'installe.Les grandes unités phytosociologiques de la Provence paraissent être maintenant convenablement définies floristiquement; il convient donc d'en poursuivre l'étude écologique, dont certains aspects seulement les plus apparents—mais peut-être pas toujours les plus actifs-, ont été abordés.Notons enfin la démonstration faite, au cours de l'excursion, de la parfaite application possible des méthodes phytosociologiques à l'étude des groupements marins et la nécessité, particulièrement apparente en milieu marin, de considérer tout autant les animaux que les végétaux. L'avenir est bien aux biocénoses dont les grands traits ont été mis en évidence, quant à la côte de la presqu'île de Giens, par Roger Molinier.Reçu par la rédaction le 20. XII. 1958.avec la collaboration de ROGER MOLINIER pour la partie marine et G. TALLON pour la Camargue.  相似文献   

14.
Virgin females of Distantiella theobroma (Dist.) produced a sex attractant capable of attracting males, which was emitted only during the late afternoon. Females first became attractive 3 to 5 days after the final moult when the first eggs matured in the ovarioles.Few wild males were caught in specially designed traps each containing a virgin female, and females had to adopt a characteristic calling position as a pre-requisite to male attraction. Female age affected attractiveness: a large catch of males on the day after calling began was followed by a decline before the numbers captured increased to maximum about 9 days later. No males were captured after the 18th day of calling.Few marked males were recaptured, and these in traps closest to the point of release. The capture of wild males was enhanced by a slight breeze but depressed in dim light and rain. The degree of trap exposure to the sun did not significantly affect the numbers captured although the positioning of traps may be important.No sex attractant was found in the related cocoa capsid Sahlbergella singularis.
Résumé Les femelles vierges de la Capside du Cacaoyer Distantiella theobroma se révèlent produire un attractif sexuel capable d'attirer les mâles; seules les femelles qui prennent une posture caractéristique d'appel sont attractives. Cet appel apparaît 3 à 5 jours après la dernière mue et ne se manifeste que dans la fin de l'après-midi, de 15h30 jusqu'au crépuscule. Les mâles seuls sont alors attirés.Un piège appâté avec une femelle vierge a été conçu pour capturer vivants les mâles attirés. Pendant deux mois de piègeage sexuel (en Octobre et Novembre 1970) correspondant à 893 jours de piègeage, on a capturé seulement 73 mâles de D. theobroma. On a noté une légère tendance à un accroissement du nombre des captures quand le piège renfermait 2 femelles vierges, au lieu d'une seule, mais la différence n'est pas significative; en outre cellesci mouraient plus précocement.Les captures sont les plus nombreuses le jour même où la femelle commence à appeler, vient ensuite un déclin suivi d'un second maximum du 10e au 13e jour. Il n'y a plus de captures de mâles 18 jours après le début de la manifestation d'appel sexuel, bien que certaines femelles non accouplées continuent à prendre la position d'appel jusqu'à leur mort, soit 34 jours.Deux mâles seulement ont été recapturés sur approximativement 125 qui avaient été lâchés à partir d'un arbre fonctionnant comme marqueur radioactif. Ces 2 mâles ont été capturés dans un des pièges les plus proches du point de lâcher.L'avantage d'une légère brise sur les captures et l'orientation de vol des mâles face au vent suggèrent que ce dernier intervient sur la dispersion d'un attractif chimique. Ce n'est que dans le cas de très faibles éclairements, conséquence de nuages épais habituellement accompagnés de pluie, que la capture des mâles est réduite de façon significative.Les femelles deviennent attractives quand leurs ovarioles renferment les premiers ufs mûrs, 4 jours après la dernière mue, bien que la position d'appel commence un peu avant cette époque.Il n'y a pas de différence significative entre les captures des mâles dans deux pièges différant par leur niveau d'éclairement; mais la variance entre ces pièges est très grande et le fait que les captures sont beaucoup plus nombreuses dans l'un des pièges suggèrent que la position du piège peut avoir un effet important sur la capture des mâles.Au cours de recherches préliminaires, concernant une autre Capside voisine, Sahlbergella singularis, aucune substance attractive sexuelle n'a été trouvée.
  相似文献   

15.
Summary Scarification of a cleared Cladonia-Polytrichum site type on a deteriorated sandy area resulted, after 3 years, in a marked increase in height of white spruce (Picea glauca (Moench) Voss) transplants. This increase was presumably due to the incorporation of ground-vegetation organic matter in the surface soil. Additions of buckwheat residue, N, P, and K fertilizers, and bacterial compost, did not significantly increase height over that observed for seedlings in the scarified areas.In unscarified surface and root-zone soils, nutrients, pH, and organic-matter levels showed no appreciable difference over a period of 5 years. In scarified or in scarified-fertilized surface soils, nutrients and organic matter levels decreased during the 5 years after treatment, while soil acidity increased. In the root zone of the treated soils, potassium content increased with time, while phosphorus and pH levels remained almost constant, and nitrogen and organic matter contents declined.Nutrient-element levels in the needles of white spruce planted in treated soils exhibited changes somewhat similar to those found in the root zone of treated soils, while concentrations of N, P, and K in control transplants did not vary significantly over 5 years.
Sommaire Dans une station sablonneuse, déboisée, épuisée par l'argiculture et du type Cladonia-Polytrichum, la scarification a considérablement favorisé, après trois années, la croissance en hauteur des semis d'épinette blanche (Picea glauca (Moench) Voss). On attribue cette augmentation de croissance à l'incorporation de la matière organique, dérivant de la strate muscinale, dans la couche supérieure du sol. L'addition de sarrazin pulvérisé, d'engrais minéraux à N, P, et K, et d'un compost bactérien, n'a pas davantage favorisé la croissance en hauter des semis.Dans les places témoins, le pH, la quantité de matière organique et d'éléments nutritifs dans le sol de surface et au niveau des racines sont restés sensiblement les mêmes entre 1959 et 1963. Dans les placettes scarifées et dans d'aurtes scarifiées et fertilisées, le contenu en éléments nutritifs et en matière organique dans le sol de surface a décru avec les années, tandis que le degré d'acidité a augmenté. De 1959 à 1963, au niveau des racines, le contenu en potassium a augmenté, celui du phosphore et le pH n'ont pas changé tandis que celui de l'azote et de la matière organique a décru.On constate, en outre, une variation similaire entre la teneur en éléments nutritifs dans les aiguilles des semis plantés en sol modifié et le contenu en éléments nutritifs de ces mêmes sols échantillonnés au niveau des racines. En revanche, les concentrations de N, P, et K dans les aiguilles n'ont pas varié d'une manière significative avec les années dans les places témoins.
  相似文献   

16.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
  相似文献   

17.
Conclusion Ce travail a pour but de montrer l'importance de l'action de l'aneurine comme facteur de croissance; les différentes hypothèses relatives à l'absorption et à l'utilisation de cette vitamine sont discutées. L'hypothèse d'une resynthèse de l'aneurine est admise; cependant en considérant critiquement la question, à l'aide des données fournies par tous les microorganismes étudiés, on constate qu'un certain nombre de faits sont encore à expliquer si l'on veut justifier cette hypothèse; dans certains cas, la possibilité d'une action séparée des deux constituants peut être envisagée.En accord avec l'intervention possible de l'aneurine comme catalyseur d'oxydo-réduction, le thiazol semble spécialement important.On est en droit de parler d'un métabolisme des facteurs de croissance.L'étude de la plante supérieure, qui synthétise elle-même son aneurine indispensable peut nous apporter des arguments importants sur le métabolisme et la biosynthèse de l'aneurine. Toutes ces considérations sont basées sur l'étude de l'aneurine seule; nous savons pourtant que dans beaucoup de cas, elle agit de concert avec d'autres facteurs de croissance.  相似文献   

18.
Ce travail correspond à l'exposé que nous avons fait au Symposium consacré à la neurosécrétion tenu à Naples en mai 1953. Bien que certaines informations recueillies au cours de cette réunion ne soient pas toutes favorables à quelques unes de nos interprétations, nous avons tenu, par simple souci de correction à remettre le manuscrit tel que nous l'avions préparé et nous nous bornerons à discuter dans de courtes notes infra marginales les quelques remarques qu'ont suggérées nos conclusions.Au cours de cette réunion Monsieur le Professeur Bargmann a bien voulu nous confier les épreuves de son article sur le système diencephalo-hypophysaire chez les Poissons, paru depuis ici même [Z. Zellforsch. 38, 275 (1953)] dans lequel il étudie cette région chez divers Téléostéens, notamment l'Anguille (Anguilla vulgaris). En comparant certaines de nos conclusions et de nos figures à celles de son travail, on pourra constater leur parfaite concordance. De plus, Monsieur le Professeur Bargmann nous a indiqué que Monsieur le Docteur Diepen avait présenté au Congrès de l'Anatomische Gesellschaft à Mainz (mai 1953) une étude sur le diencéphale des Téléostéens.  相似文献   

19.
Henri Saëz 《Mycopathologia》1970,41(3-4):383-395
Résumé Chez 44 Babouins,Papio papio (Desm.), appartenant à la collection du Parc zoologique de Paris, distingués en trois groupes, en fonction de l'âge, nous avons pratiqué 101 prélèvements aux niveaux suivants du tube digestif: intestin grêle gros intestin et rectum.C'est chez les animaux les plus âgés que nous avons obtenu les valeurs les plus élevées pour les deux critères étudiés, le pourcentage de positivité et la richesse spécifique des prélèvements et ce, aussi bien en ce qui concerne l'ensemble des levures identifiées que pour les seuls constituants de la flore probable. La fréquence de ces champignons aux divers étages du tube digestif, ainsi que l'incidence saisonnière sur les isolements ont été abordés.
In 44 Baboons,Papio papio (Desm.), of the Zoological Park of Paris, 101 samples have been taken at three levels of the alimentary tract: small intestine, large intestine and rectum. Three groups of subjects have been recognized according to age. The yeasts or the yeast-like flora, have been found with maximum of frequency and diversity in the oldest animals. The variations of the isolation in the three levels of this Mammal's gut and the seasonal influence have been discussed.
  相似文献   

20.
Résumé L'analyse (acides aminés et sucres) d'extrait de feuille, de 5 variétés de manioc (Manihot esculenta), du Faux caoutchouc (Hybride deM. esculenta x M.glaziovii), du Poinsettia (Euphorbia pulcherrina) et du Talinum (Talinum triangularae), caractérisés par différents degrés de résistance par antibiose à la cochenille du manioc (Phenacoccus manihoti (Mat. Ferr.)) (Homoptera: Pseudococcidae), a été réalisée sur des extraits obtenus par centrifugation du matériel foliaire. Les teneurs en acids aminés, très différentes d'une plante à l'autre, apparaissent aussi importantes entre les variétés de l'espèce manioc qu'entre les différentes espèces végétales avec respectivement un rapport de variation de 4,5 et 5,5. De même, les teneurs en sucres (exprimées en équivalent saccharose), sont très différentes d'une plante à l'autre avec un rapport de variation de 1 à 33 entre les deux extrêmes, si l'on ne considère que l'espèceM. esculenta, il n'est plus que de 3,5.Des différences dans les proportions relatives des acids aminés libres d'extrait de feuille sont observées aussi bien entre les variétés de manioc qu'entre les espèces végétales. Cependant pour toutes les plantes étudiées l'acide glutamique, la glutamine, l'ethanolamine, et l'alanine représentent près de 50% des acides aminés de l'extrait de feuille; l'acide aspertique, l'asparagine et la sérine près de 20% tandis que la tyrosine, la méthionine, l'isoleucine, la leucine et la lysine sont présents en très faibles pourcentages.Le degré de résistance à la cochenille du manioc des différentes plantes-hôtes n'a pu être relié, ni à la teneur de leur extrait de feuille en acides aminés et en sucres, ni à leur composition relative en acides aminés. Il n'a pu être non plus relié au rapport Sucres/Acides aminés Nos résultats suggèrent que des caractéristiques biochimiques autres que celles étudiées dans ce travail interviennent dans les mécanismes de résistance vis-à-vis de la cochenille du manioc.
Summary The levels of sugars and amino acids were determined in leaf extracts from a number of plants showing different levels of resistance to the cassava mealybug,Phenacoccus manihoti (Homoptera: Pseudococcidae). There were five varieties of cassava (Manihot esculenta), as well as a hybrid obtained by crossingM. esculenta andM. glaziovii, poinsettia (Euphorbia pulcherrina) and talinum (Talinum triangularae). The variability in the total concentration of amino acid concentrations was as great between varieties of cassava as at the species level. In contrast, there was much less variability in the concentration of sugars at the intervarietal that at the interspecies level.While there were both intervarietal and interspecific differences in the amino acid composition, glutamic acid, glutamine, ethanolamine and alanine represented nearly 50% of the total in all plants examined. Aspartic acid, asparagine and serine accounted for approximately 20%, while tyrosine, methionine, isoleucine, leucine and lysine are present at low levels.The different levels of resistance noted in the different plants were not associated with the concentrations of either amino acids or sugars, the ratios of sugar/amino concentrations or the amino acid compositions obtained from leaf extracts. This suggests that other aspects of plant chemistry confer resistance to cassava mealybugs.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号