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1.
The host-selection behaviour of nine strains ofTrichogramma spp., towards eggs ofMamestra brassicae, Pieris brassicae andP. rapae, was investigated in laboratory experiments in order to select candidate strains for inundative releases against these species. Experiments were carried out by continuously observing the behaviour of individual females, which were offered equal numbers of eggs of two host species arranged in a grid.M. brassicae was a highly acceptable host species for all strains, whereas the acceptability of the twoPieris species was similar within strains, but varied between strains. Considering the variation in acceptance ofPieris eggs, strains either showed: (1) no preference betweenMamestra andPieris (High PierisAcceptance = HPA strains), (2) a preference forMamestra (Variable PierisAcceptance = VPA strains), or (3) an aversion forPieris (Low PierisAcceptance = LPA strains). Females of VPA strains showed a high acceptance ofPieris eggs if the preferredMamestra eggs were absent. They contacted comparatively fewerPieris eggs in presence ofMamestra eggs, which indicates selection of hosts at a distance. HPA strains probably are the best candidates for inundative releases.
Sélection hôte-espèce par différences souches de l'æuf-parasiteTrichogramma spp.
Résumé Le comportement de sélection de l'hôte par neuf souches deTrichogrammes, vis-à-vis d'ufs deMamestra brassicae, Pieris brassicae etP. rapae a été étudié au laboratoire afin de sélectioner des souches candidates pour des lâchers inondatifs contre ses espèces. Des expériences ont été menées par observations en continu du comportement de femelles auxquelles était offert un nombre égal d'ufs de deux espèces d'hôtes, disposés selon un grille.M. brassicae est un espèce-hôte fortement acceptée par toutes les souches. Au contraire, l'acceptabilité des deux espèces dePieris, semblable pour chaque souche, varie entre les souches. En tenant compte de la variation d'acceptance des ufs dePieris les souches (1) ne montrent aucune préférence entreMamestra etPieris, (2) montrent une préférence pourMamestra, ou(3) une aversion pourPieris. Des femelles des souches du second groupe acceptent fortement les ufs dePieris si les ufs deMamestra, préférés, sont absents. Comparativement, elles rentrent en contact avec moins d'ufs dePieris en présence d'ufs deMamestra. Ceci indique une sélection des hôtes à distance. Les souches du premier groupe sont probablement les meilleures candidates pour des lâchers inondatifs.
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2.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

3.
The fecundity of the South India strain of Callosobruchus maculatus (Fab.) (Bruchidae: Coleoptera) is 73 eggs for females developing in 31 days and increases to 94 eggs for females emerging after 41 days. Fed females lay 45–55 more eggs which is the egg-equivalent of the reserves unfed females had to sacrifice for activity. Competition as a larva did not reduce a female's fecundity. Oviposition is inhibited when females are given 25 or fewer beans for oviposition and it is reversed if females find fresh beans. Oviposition is generally released by beans carrying a below average number of eggs, thus, the eggs are almost uniformly distributed over the beans. Eggs are preferentially placed on the largest egg-free beans as expected if oviposition is released when a beetle goes from a smaller to a larger bean. The cues resulating host preferences, cowpea > mung pigeonpea chickpea, are secondary to the cues producing hyperdispersion and the selection of larger beans. We present a model for the oviposition behavior that accounts for the observed responses to species, size, and egg load of oviposition sites.
Résumé La fécondité de femelles isolées avec un mâle, sans aliment ni eau, et laissées sans perturbation avec 50 graines au moins sert de fécondité standard. Elle augmente avec le temps de développement de l'uf à l'adulte de 73 ufs (32 j) à 94 ufs (44 j). La fécondité potentielle, obtenue avec des femelles alimentées sur sucre est de 125 ufs. Des femelles maintenues avec moins de 25 graines réduisent leur fécondité.Plus de la moitié des femelles distribuent leurs ufs uniformément jusqu'à une densité de 1,5 uf. L'uniformité peut provenir de l'induction de réactions de ponte par les graines portant moins d'ufs que l'effectif moyen. L'hyperdistribution au dessus des densités de 3 ufs/graine révèle l'aptitude à distinguer les graines avec 3 ufs des graines avec 4 ufs. Il y a moins d'écarts par rapport à l'uniformité (erreurs) avec des graines à surface rugueuse. Des femelles avec 10 graines font moins d'erreurs que des femelles avec 50 ou 100 graines.Les ufs sont ajoutés aux plus grosses graines sans ufs; ainsi, plus il y a de graines qui portent des ufs, plus le poids des graines avec ufs diminue. Un tel schéma est prévisible si la ponte est induite par des graines plus grosses que les graines rencontrées précédemment. Les femelles présentent un ordre de préférence clair quand elles sont en rapport avec leurs hôtes classiques: Vigna unguiculata > V. radiata > Cajanus cajan > Cicer arietinum Les caractères spécifiques de l'hôte, plutôt que la taille ou la texture de la surface servent à la distinction entre les graines d'un même hôte.Ces résultats expérimentaux peuvent être utilisés pour la modélisation du comportement de ponte d'une femelle.
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4.
Telenomus lobatus Johnson & Bin (Hymenoptera: Scelionidae), previously known only from the eggs of a berothid species, emerged from field-collected eggs of the chrysopid Mallada macleodi. In the laboratory, host species differentially influenced development, survival, and size of the parasitoid. Females parasitized between 55 and 65% of the available eggs of Chrysoperla (C. carnea, C. harrisii, and C. rufilabris), and these yielded 98 to 100% adult parasitoids within an average of 13 days. In contrast, eggs of Chrysopa were parasitized less frequently, (C. chi: 50%; C. oculata: 16%; C. quadripunctata: 1.3%) and relatively few (C. chi: 5.6%; C. oculata: 21%) or no (C. quadripunctata) parasitoids survived to adult emergence. Preimaginal development of T. lobatus in eggs of C. chi and C. oculata was approximately two days longer than in eggs of Chrysoperla spp. Although eggs of Meleoma dolicharthra were parasitized infrequently (approx. 16%), they yielded 100% adult parasitoids. Anomalochrysa maclachlani eggs were parasitized at low rates (1.8%) and parasitoid survival was intermediate (40.7%). Among all species, size of the host egg was positively related to the size of the emerging parasitoid adult.
Résumé T. lobatus Johnson & Bin (Hym. Scelionidae) connu jusqu'ici uniquement comme parasitoïde des ufs de Berothidae, a étè obtenu d'ufs du chrysope, Mallada macleodi récoltés dans la nature. Au laboratoire, l'espèce de l'hôte influe sur le développement, la survie et la taille du parasitoïde. Les femellles ont parasité 55 à 65% des ufs disponibles de Chrysoperla (C. carnea, C. harrisii, C. rufilabris) et ceux-ci ont donné 98 à 100% de parasitoïdes adultes en 13 jours en moyenne. Par contre, les ufs de Chrysopa étaient moins souvent parasités,-C. chi: 50%; C. oculata: 16%; C. quadripunctata: 1,3%-, et relativement peu de parasitoïdes avaient survecu jusqu'à l'émergence,-C. chi: 5,6%; C. oculata: 21%; C. quadripunctata: 0. Le développment préimaginal est approximativement 2 jours plus long dans les ufs de C. chi et C. oculata que dans ceux de Chrysoperla spp. Bien que les ufs de Meleoma dolicharthra aient été peu parasités,-environ 16%-, 100% ont donné des parasitoïdes adultes. Les ufs de Anomalochrysa maclachlani ont été peu parasités,-1,8%-, et le taux de survie a été moyen: 40,7%. Pour toutes les espèces, la taille de l'uf de l'hôte était liée positivement à la taille du parasitoïde obtenu.
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5.
The extent to which the parasitoid Cotesia glomerata (L.) (Hymenoptera: Braconidae) discriminates between parasitised and unparasitised host larvae was tested by comparing the mean clutch sizes laid in thirty unparasitised and thirty parasitised two day-old Pieris brassicae (L.) (Lepidoptera:Pieridae) larvae. No eggs were laid in any of the previously-parasitised hosts. In contrast, eggs were laid in all but two of the unparasitised hosts. Most host-rejections involved only a brief insertion of the ovipositor, lasting two seconds or less. However, nearly a third occurred after a more prolonged insertion of the ovipositor, with a mean duration of twenty seconds: not significantly different from that of a normal oviposition.
Résumé Cotesia glomerata (L.) (Hymenopteres: Braconidae) montre deux types de comportement associés à l'oviposition et à l'insertion dans des larves (Pieris brassicae (L.), Lepidoptères: Pieridae) hôtes. Dans le premier cas, il s'agit d'une longue insertion de l'ovipositeur d'une duree de cinq a vingt secondes d'habitude. Dans le second cas, on voit le comportement après une insertion de l'ovipositeur durant deux secondes ou moins. Chez les C. glomerata et chez les autres espèces parasitoides, la première catégorie de comportement a été interprétée comme pondaison (comportement ovipositif) quand à la seconde, elle a été définie comme rejet des hôtes préparasitisés (ou comportement exploratoire). Dans cette étude-ci, on a enregistré la réaction (ovipositive exploratoire) de six guêpes chacuner exposées alternativement à cinq larves parasitisées et à cinq larves non parasitisées âgées de deux jours, le nombre d'ufs pondus dans chacune etant déterminé par dissection. Les ufs pondus par les premières et deuxièmes femelles pouvaient être distinguées par leur grandeux et par leur apparence. Parmi les trente hôtes nonparasitisés initialement, vingt-huit furent parasitisés durant leur comportement ovipositif. On a exploré l'un trouvant qu'aucun uf n'avait été pondu. La guêpe avait montré un comportement ovipositif envers un autre hôte sans pondre d'uf. Aucun des trente hôtes parasitisés auparavant et qui furent réexposés n'avait été super parasitisé. On avait testé vingt et une hôte et la guêpe avait réagi ovipositivement à neuf d'entre eux sans pour autant pondre d'uf. Il n'y avait pas eu de différence marquante entre la durée moyenne d'un comportement ovipositif des guêpes s'attaquant à des hôtes non-parasitisés (lorsque des ufs avaient été pondus dans tous les cas sauf un) et par celles qui s'étaient attaquées à des hôtes parasitisés (alors qu'aucun uf n'avait été pondu).
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6.
New strains of O. fasciatus, reared at 30°C either on seeds of sunflower (strain S) or mixed sunflower and cashew nuts (strain CS), were used. Females of wild (+) or mutant (wb) genotype were mated in various sequences with + males (some of them chemosterilized or castrated) or wb males. Eggs of each clutch laid were counted and characterized as: infertile, or non-viable (apparently fertile but unable to hatch), or hatching into + or wb nymphs. Mating with a second male (except a castrate) causes partial or complete replacement of the spermathecal store of spermatozoa provided by the first male. A model of the replacement mechanism is proposed, which suggests that a volume of semen five times greater than the capacity of the spermatheca must be transferred by the male to cause the complete disappearance of the previous store of sperm.In the absence of males, or in the presence of castrate males, fertile eggs may be laid for at least 5 weeks but in most cases the store of sperm becomes exhausted sooner. The minimum store of sperm (estimated from the total count of viable eggs) is highly variable (40–400, mean 180). The percent of viable eggs in successive egg-clusters declines proportionately as the sperm store is reduced from 60 to 0.
Résumé En vue d'analyser les conséquences d'accouplements successifs chez Oncopeltus fasciatus, on a utilisé des femelles de deux souches: l'une de type sauvage (+), l'autre correspondant à un mutant à corps blanc (wb, mutant autosomique récessif). Ces femelles subissent des croisements alternés avec les mâles de l'une ou l'autre souche; en outre, certains mâles utilisés étaient soit castrés chirurgicalement (effet de l'accouplement sans transfert de sperme), d'autres avaient subi une application topique d'un chimiostérilisant (tetramine) pouvant donner des ufs fécondés, mais non viables.L'accouplement avec un second mâle (sauf un castré) provoque le remplacement partiel complet dans la spermathèque du stock de spermatozoïdes issu d'un premier mâle. Un modèle du mécanisme de remplacement est proposé selon lequel un volume de sperme 5 fois plus grand que la capacité de la spermathèque devrait être introduit par le second mâle pour assurer la disparition complète du dépôt précédent.En l'absence d'accouplement renouvelés, ou en présence de mâles castrés la ponte d'ufs fécondés peut durer au moins 5 semaines, mais dans la plupart des cas le dépôt de spermatozoïdes s'épuise plus tôt. Le stock minimum de spermatozoïdes, estimé d'après le nombre total d'ufs viables, est très variable (40–400, moyenne 180). Le pourcentage d'ufs viables dans les pontes successives diminue proportionnellement à la réduction de ce stock au-dessous d'un minimum de 60.
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7.
Oviposition rate and developmental capacity was determined for Amblyseius hibisci (Chant), A. limonicus Garman and McGregor, A. largoensis (Muma), Metaseiulus pomoides Schuster & Pritchard, M. occidentalis (Nesbitt), Typhloseiopsis arboreus (Chant), Typhodromus pyri Scheuten, Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, and Iphiseius degenerans (Berlese) on both artificial and natural diets. Oviposition and development occurred in seven of nine species when fed artificial diet and in all species when fed natural diets (phytophagous mites or pollen). The combined mean oviposition rate (21-d tests) for all species which oviposited on artificial diet was ca. one third the rate achieved by these species when tested on natural diets. Eggs and immature stages derived from oviposition tests with artificial diet showed no abnormalities and developmental times (egg to egg) were similar to those observed on natural diets. Predator cultures maintained on artificial diet showed gradual declines in viability within 2–3 months and only A. hibisci survived longer than 6 months. Adult predators of species which failed to oviposit when fed artificial diet survived longer than adults tested in the absence of food and water. Immature stages of these species failed to develop on artificial diet.
Ponte et developpement d'acariens predateurs alimentes a partir d'un regime artificiel et d'un regime naturel (Acari: Phytoseiidae)
Résumé Le nombre d'ufs pondus par 7 espèces de Phytoseiidae nourries sur milieu artificiel a varié de 0,1 à 1,2 uf/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 0,5 uf/femelle/jour pour une période de ponte moyenne de 18,5 jours.Deux espèces, Phytoseiulus persimilis et Metaseiulus occidentalis nourries sur milieu artificiel, n'ont pas pondu; leurs longévités moyennes ont été respectivement de 11,3 et de 10,3 jours.Avec un régime naturel (acariens phytophages ou pollen), le nombre d'ufs pondus, pour 9 espèces de Phytoseiidae a varié de 0,8 à 3,2 ufs/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 1,7 uf/femelle/jour pour une durée moyenne de la période de ponte de 19,0 jours.La viabilité des ufs provenant des expériences de ponte avec régime artificiel était elevée chez toutes les espèces prédatrices et les durées du développement sur milieu artificiel étaient semblables à celles observées avec régime naturel. La viabilité des élevages de prédateurs maintenus sur milieu artificiel a diminué progressivement et la plupart des élevages avaient disparu en moins de 6 mois. Les tentatives d'élevage de P. persimilis et M. occidentalis sur milieu artificiel ont été négatives bien que les prédateurs adultes femelles aient eu une plus grande longévité sur milieu artificiel qu'en absence de nourriture et d'eau.
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8.
A considerable amount of work has been recently devoted to the study of progeny allocation strategies by insect parasitoids under different environmental constraints (see Waage, 1986, for a review). All these studies present each of the oviposition strategies (e.g. number of eggs laid per host, superparasitism) as a phenomenon which is progressively settled by natural selection during the course of generations. However, this optimal progeny allocation theory is conceivable only if the variation in wasp's biological traits involved are under a genetic control on which natural selection could act. We have decided therefore to look for a genetic variability in these traits in a Trichogramma maidis Pintureau & Voegelé (Hym.; Trichogrammatidae) population.Based on histological staining which allows to count the number of Trichogramma eggs deposited in each host (Ephestia kuehniella Zeller), we compared different wasp isofemale lines (i.e. families) each of which was submitted to different conditions (i.e. parasite/host ratios).The results show that the control of superparasitism seems to be genetically determined. This appears true both for the average number of eggs deposited in each host, and for the frequency distribution of wasp eggs among hosts.The evolutionary consequences of such results and their possible applications in order to improve the wasp's mass-rearing conditions are discussed.
Résumé Récemment, de nombreux travaux ont été publiés dans le but de mieux comprendre les différentes stratégies de reproduction (i.e. répartition de la progéniture parmi les hôtes) présentées par les insectes parasitoides sous différentes contraintes environnementales (cf. Waage, 1986, pour une synthèse). L'ensemble de ces travaux considère chacune de ces stratégies (e.g. nombre d'ufs déposés par hôte, décision de superparasiter) comme un phénomène progressivement mis en place par la sélection naturelle au cours des générations. Ceci n'est cependant concevable que si les caractères biologiques en cause chez les parasites sont sous la dépendance d'une variation génétique sur laquelle la sélection naturelle peut agir.Les expériences présentées ici ont donc eu pour but de voir si ces caractères sont effectivement déterminés génétiquement dans une population de Trichogramma maidis Pintureau & Voegelé (Hym.; Trichogrammatidae).Grâce à l'utilisation d'une coloration histologique qui permet de compter le nombre d'ufs de trichogrammes déposés dans chaque hôte, différentes lignées isofemelles (i.e. familles) ont été comparées, et ce selon différentes conditions expérimentales correspondant à différentes valeurs du rapport nombre de femelles parasites sur nombre d'hôtes offerts.Les résultats obtenus motrent que le phénomène du superparasitisme semble être déterminé génétiquement. Ceci est constaté aussi bien au niveau du nombre moyen d'ufs de trichograme déposés par hôte, que dans les caractéristiques des distributions des ufs de parasites parmi les hôtes.Les conséquences évolutives de tels résultats, ainsi que leurs applications possibles dans le but d'améliorer les conditions d'élevage de masse de ces insectes, sont discutées.
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9.
Quality control charts were employed to monitor the quality of several parameters during mass rearing of the T : Y(wp +)30C strain of Ceratitis capitata (Wiedemann), in which male and female flies emerge from brown and white puparia, respectively. Egg hatch and pupal recovery in this genetic sexing strain were below that reported for a wild-type Sohag strain, whereas pupal size, adult emergence and flight ability were higher. The overall recovery from eggs to adult flies capable of flight was similar in the two strains but egg production in T:Y(wp +)30C was reduced to about 56% of that of Sohag. The quality control charts showed an acceptable level of variation within sets of data but the level between data sets was occasionally out of control. This indicated the presence of uncontrolled conditions during the rearing process, possibly arising from variations in the quality of the larval diet. It is concluded that the quality of T : Y(wp +)30C renders this strain suitable for mass rearing in sterile insect technique (SIT) programmes requiring the elimination of the female flies prior to the release of sterilized males. The next step should involve further quality assessments both under field cage and under field release conditions. The importance of optimal and standardized dietary conditions is stressed in relation to the quality of mass reared medflies.
Résumé Des normes de qualité ont été utilisées pour relever la valuer de plusieurs paramètres lors de l'élevage industriel de la souche T : Y(wp +)30C de C. capitata Wied. dont les mâles et les femelles émergent respectivement de pupes brunes et blanches. Les taux d'éclosion et d'obtention de pupes sont plus faibles avec cette souche qu'avec la souche souvage Sohag; par contre, la taille des pupes, le taux d'émergence des adultes et l'aptitude au vol étaient plus élevés. La fréquence totale des adultes capables de voler par rapport au nombre initial d'ufs a été de 0,297 contre environ 0,311 pour Sohag. Cependant, la production d'ufs a été réduite à environ 56% de celle de Sohag. Les tableaux de contrôle de la qualité ont révélé un niveau de variation acceptable à l'interieur rieur des lots de données, mais la variabilité entre les lots excédait les normes admissibles. Ceci implique des paramètres incontrôlés pendant l'élevage de masse, probablement liés à des variations de la qualité de l'aliment. On peut en conclure que la qualité de la souche T : Y(wp +)30C la rend utilisable pour un élevage de masse dans des programmes d'utilisation d'insectes stériles (SIT) exigeant l'élimination des femelles avant le lâcher de mâles stériles. La prochaine étape impliquera de nouvelles épreuves de qualité dans des cages en champ et dans les conditions de libération dans la nature. L'importance des conditions optimales d'une alimentation standardisée est soulignée par la qualité des mouches obtenues en élevage de masse.
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10.
The minimum number of sperm stored in the spermatheca of many individual females of Oncopeltus fasciatus (maintained at 20°–22° C on milkweed seed), estimated from the total count of fertile eggs laid after mating and isolation, is variable (100–1000, mean 400). This variability may result from very slow sperm transfer and the highly variable duration of copulation. Spermatozoa can survive at least 5 months, but the reserve is often completely depleted by egg fertilization. There is no correlation between the number of sperm stored and the egg production rate. The percentage of fertile eggs remains high (95%) while the number of stored sperm is above 100, but then falls linearly; this suggests that fertilization may be monospermic.
Résumé Le nombre d'ufs fertiles et infertiles déposés par des femelles d'Oncopeltus fasciatus, isolées après accouplement, a été compté chaque semaine, en vue d'évaluer la quantité et la longévité des spermatozoïdes stockés dans leur spermathèque. Quand une femelle cesse de pondre des ufs fertiles, un nouveau mâle est introduit afin de vérifier si, après un second accouplement cette femelle peut utiliser un nouvel apport de spermatozoïdes. Les estimations obtenues correspondent à un minimum car il est supposé qu'un seul spermatozoïde est utilisé pour la fécondation de chaque uf.Le nombre moyen de spermotozoïdes stockés a été de 370 pour un lot de 26 femelles, après un seul accouplement, mais on observe cependant une très grande variabilité (100–1000). Cette variabilité peut résulter de la lenteur du transfert des spermatozoïdes au cours de l'accouplement et dépendre ainsi de la durée de l'accouplement. Les spermatozoïdes peuvent survivre au moins 5 mois mais la réserve est souvent complètement utilisée pour la fertilisation des ufs. Il n'y a pas de corrélation entre le nombre de spermatozoïdes stockés et la fécondité. Le pourcentage d'ufs fertiles reste élevé (95%) tant que le nombre de spermatozoïdes en réserve est au-dessus de 100, mais régresse ensuite de façon linéaire audessous de ce nombre. Cela suggère que la fertilisation peut bien être monospermique.
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11.
Five populations of Tetranychus neocaledonicus, collected in various biotopes from different plants, were studied in order to become informed about variation in this species. It appeared that all strains differed with respect to longevity and fecundity. Crossings resulted in incompatibility, hybrid inviability, hybrid sterility and hybrid breakdown. It is suggested that the great interpopulational variation as found in T. neocaledonicus is a consequence of the haplo-diploid system.An important difference in longevity and fecundity between mated and unmated females has been stated for all strains. Outcrosses with males from another species indicated that it is not the fertilization, but the insemination only which induces the enhanced fecundity in T. neocaledonicus. Irradiated males appeared to be able to inseminate females effectively, resulting in the prevention of viable diploid offspring.
Résumé A la suite d'une étude morphologique concluant à l'homogénéité d'un grand nombre de prélèvements de Tetranychus neocaledonicus, dans plusieurs régions de la zone intertropicale, les auteurs proposent 3 séries d'expériences portant sur la physiologie et la compatibilité de quelques souches de ce taxon.La première série d'essais, porte sur la comparaison de la longévité et de la fécondité de femelles fécondées ou non, appartenant à 4 souches prélevées à Madagascar et à une souche originaire de Louisiane (U.S.A.). Pour ces souches élevées dans des conditions identiques, les femelles fécondées pondent davantage et vivent moins longtemps que les femelles vierges. Les graphiques fournis et les tests statistiques employés, montrent que suivant leur appartenance à l'une des 5 souches, les femelles étudiées ont une longévité propre et présentent du point de vue de la reproduction, des différences très nettes.La seconde série d'expériences a pour but de vérifier la compatibilité entre les différentes souches malgaches précédentes, aussi bien entre elles qu'avec la souche Louisiane white eye, marquée génétiquement et dérivant de la souche Louisiane précédente. Un croisement a été également tenté entre une souche de T. neocaledonicus et une souche de T. urticae. Huit croisements ont été ainsi réalisés avec chaque fois le croisement réciproque. La composition des F1, F2 et F3 est analysée. Une très forte agressivité des mâles à l'égard des jeunes femelles est chaque fois constatée. Le croisement de T. neocaledonicus avec T. urticae n'entraîne aucune hybridation. Entre les souches de T. neocaledonicus il y a formation de femelles, dans l'un des 2 sens au moins mais les femelles produites en F1 se révèlent stériles dans 5 cas sur 12 et peu de souches semblent vraiment compatibles au-delà de la F3. Finalement, les différences entre les souches du point de vue physiologique et les incompatibilités génétiques, amènent les auteurs à considérer qu'il y a, en fait, plusieurs espèces d T. neocaledonicus devant être groupées en un complexe. Ces croisements permettent aussi de remarquer, que l'abaissement de la longévité des femelles fécondées, dépend étroitement du taux de fécondation des ufs.La troisième série d'expériences tente d'expliquer l'augmentation de la production d'ufs chez les femelles fécondées. Les pontes des 14 premiers jours de vie, de femelles de la souche Lousiane fécondées ou non, sont comparées à celles de femelles fécondées, par des mâles de la même souche, irradiés aux rayons X ou par des mâles de T. urticae. La technique d'élevage employée ici permet l'intervention de plusieurs mâles. L'analyse de la F1 et la quantité d'ufs produits à la suite du croisement avec les mâles de T. urticae, prouvent que l'augmentation de la ponte est dûe à un phénomène indépendant du taux de fécondation des ufs.Les auteurs signalent, en conclusion, que les incompatibilités entre les différentes souches de T. neocaledonicus pourraient être utilisées en lutte biologique par voie génétique, mais que la stérilisation des mâles aux rayons X, obtenue au cours de la dernière série d'expériences, aboutit aux mêmes résultats et paraît plus sûre.
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12.
Dacus tryoni (Frogg.) (Diptera: Tephritidae) is the main tephritid pest of cultivated fruits in Australia. D. jarvisi (Tryon) is also able to infest these fruits. Some factors influencing the rate at which D. tryoni and D. jarvisi exploit patches of host fruits were examined to determine whether one species may have an advantage when they exploit the same fruits in the field. Measurements of the intrinsic rate of increase, ovariole number, clutch size and egg size and the influence of body size on these parameters were made for both species in the laboratory. Up to 10 weeks of age D. tryoni produced twice as many eggs as D. jarvisi, most during a peak 3–5 weeks after adult emergence. The difference in fecundity up to 10 weeks can be explained partly by the higher number of ovarioles in D. tryoni (38/ovary) compared to D. jarvisi (27/ovary). In addition D. tryoni produces smaller eggs than D. jarvisi and distributes them in smaller clutches; 3–4 eggs/clutch vs 10–15. In both species there was a positive correlation between ovariole number and body size (as measured by wing length). By contrast, egg size remained constant over a broad range of body sizes. The influence of these life history differences on the interaction between D. tryoni and D. jarvisi in the field is discussed.
Résumé D. tryoni Frogg est la principale téphrididae nuisible aux fruits cultivés en Australie. Cependant, plusieurs autres espèces de Dacus, dont D. jarvisi Tryon sont susceptibles de contaminer ces fruits. Quelques facteurs influant sur le taux de contamination de fruits ont été examinés pour déterminer si une espèce peut être avantagée lors de l'exploitation des mêmes fruits dans la nature. L'influence de la taille de l'adulte sur le taux d'accroissement intrinsèque, sur le nombre d'ovarioles, sur l'effectif des pontes et sur la taille des ufs a été examinée au laboratoire sur les 2 espèces. Pendant les 10 premières semaines, D. tryoni produit 2 fois plus d'ufs que D. jarvisi, la plupart étant pondus entre la 3e et la 5e semaines après l'émergence. La production de D. tryoni diminue rapidement après ce maximum. D. jarvisi ne présente pas ce maximum précoce, et la production des ufs se fait au même rythme entre les 3e et 7e semaines, avant de diminuer graduellement. La différence de fécondité au bout de 10 semaines peut être expliquée partiellement par le plus grand nombre d'ovarioles de D. tryoni (38/ovaire) contre 24/ovaire pour D. jarvisi. De plus, D. tryoni forme des ufs plus petits que D. jarvisi et l'effectif de chacune de ses pontes est plus limité: 3 à 4 ufs contre 10 à 15. Chez les deux espèces, il y a une relation directe nette entre le nombre d'ovarioles et la taille du corps de la femelle (mesurée par la longueur de l'aile). Par contre, la taille des ufs est indépendante d'une grande gamme de tailles du corps des femelles. Les caractéristiques biologiques de D. tryoni le rendent capable de contaminer rapidement les bouquets de fruits qu'il vient de coloniser, ce qui réduit les disponibilités pour les autres espèces susceptibles de contaminer ces fruits. Dans le cas particulier de D. jarvisi, D. tryoni a peu d'impact sur son niveau de population, puisque D. jarvisi peut exploiter aussi son hôte d'origine, Planchonia careya: Il ne tend à entrer en compétition avec D. tryoni que pour une ou deux générations tardives en été, quand l'hôte partage (la goyave) est souvent abondant. Néanmoins, si les fruits sont rares à cette époque ou si les 2 espèces sont obligées de partager leurs hôtes pendant plusieurs générations (hors de l'aire de Planchonia), D. tryoni aura un avantage certain.
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The distribution of eggs on sorghum by Atherigona soccata Rond. and host preference for oviposition were studied. The female laid her eggs more or less evenly on sorghum leaves, laying one or two eggs per leaf. Under field conditions eggs were most frequently laid on the third leaf, followed by the second leaf, while under insectary conditions the second leaf was preferred to the third. Sorghum bicolor was markedly preferred to other graminaceous plant species, Digitaria scallarum, Rottboellia exaltata, Setaria verticillata and Panicum maximum.
Résumé Nos observations montrent que les femelles d'Atherigona soccata répartissent leurs ufs plus ou moins au hasard sur les feuilles de Sorgho, déposant 1 à 2 ufs par feuille. Dans les conditions naturelles les ufs sont plus fréquemment déposés d'abord sur la 3ème feuille, puis sur la 2ème feuille, tandis qu'en insectarium la 2ème feuille est préférée à 3ème. Sorghum bicolor est nettement préféré à d'autres espèces de graminées, comme Digitaria scallarum, Rottboellia exaltata, Setaria verticillata et Panicum maximum.
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Résumé L'activité maximale de ponte des femelles vierges de Diadromus pulchellus Wsm., pourvues en hôtes 24 h après leur émergence, est atteinte au 9ème jour. Comme les femelles inséminées, les femelles vierges ont tendance à concentrer les pontes sur un même hôte car dans nos conditions expérimentales, un tiers des hôtes parasités ont été superparasités. Ce superparasitisme entraîne une perte de 31,1% des ufs émis. Les maximum d'hôtes parasités et superparasités sont atteints au moment de la plus forte activité de ponte.L'équivalence des effectifs des descendances théoriques (calculées à partir du nombre d'ufs sains émis) et des descendances réelles de femelles vierges, signifie d'une part, que, comme chez tous les hyménoptères à parthénogénèse arrhénotoque, les larves mâles issues d'ufs infertilisés sont hautement viables et d'autre part, que la larve victorieuse du combat larvaire atteint dans la majorité des cas le stade adulte libre.
Summary This study of the egg-laying behaviour of virgin females of D. pulchellus shows the relations between fecundity, superparasitism and the number of progeny.The highest egg-laying activity of the D. pulchellus virgin females, allowed access to their hosts (Acrolepiopsis assectella) 24 hr after emergence, was observed on the 9th day. In our experimental conditions, where each female was allowed access to five hosts, renewed daily, for 25 days, three quarters of the hosts available were actually parasitised. As with the fertilized females, the virgins tend to concentrate their eggs on the same host, so that a third of the parasitised hosts were superparasitised, causing a loss of 31,1% of the eggs laid.The greatest numbers of parasitised and superparasitised hosts were reached during the period of maximum oviposition.The equivalence of the theoretical number of progeny (based on the number of healthy eggs laid) and the actual progeny, shows that the survivors of larvae, competing in the same host, generally reach the free imaginal state.
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15.
The rice green leafhopper, Nephotettix cincticeps, was reared from the first instar to the adult stage on a holidic diet. Adult emergence from the diet-reared nymphs was ca. 53.3%, similar to rice seedlingreared; nymphal period being 22.5 days at 25°. The diet-reared females did not lay eggs under artificial feeding conditions although they had normal eggs in their ovarioles and could oviposit on rice seedlings in a test tube. The diet containing 1.68% (w/v) amino acid mixture and 5% (w/v) sucrose was best for growth and development.
Résumé Nephotettix cincticeps a été élevé des larves venant d'éclore à l'adulte sur un régime holidique. Le taux d'adulte obtenus (53,3%) est voisin de celui obtenu avec élevage sur pousses de riz. Le développement larvaire demande 22,5±0,4 jours à 25°. Les femelles élevées avec ce régime ne pondent pas d'ufs en alimentation artificielle bien qu'elles aient un nombre normal d'ufs dans les ovarioles et pondent sur pousses de riz dans un tube témoin. Un régime contenant 1,68% d'acides aminés mélangés et 5% de sucrose assure la meilleure croissance et le développement le plus rapide.
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The construction and use of a device the virgin chamber, for preventing houseflies, Musca domestica L., from copulating are described. The flies emerge between two horizontal plates kept at a distance of 5 or 4 mm and may be kept in this chamber for 1–3 days before the sexes are separated. The method is regularly used at the Danish Pest Infestation Laboratory for providing unmated flies for selection for resistance to insecticides. Original tests showed that all eggs produced by flies that stayed 1–3 days in the device were infertile, but in recent experiments a small proportion of fertile eggs were found.
Résumé La construction et l'utilisation d'une chambre de virginité, pour empêcher la copulation de M. domestica L. est décrite. Les mouches émergent entre deux plaques horizontales séparées par 4 à 5 mm et sont maintenues dans cette chambre pendant 1 à 3 jours jusqu'à la séparation des sexes. Il s'agit d'une méthode de routine du Laboratoire Danois des Animaux Nuisibles qui fournit des mouches vierges en vue de la sélection pour la résistance aux insecticides. Les tests originels ont montré que tous les ufs pondus par les mouches qui avaient séjourné de 1 à 3 jours dans le dispositif étaient stériles, mais dans des expériences récentes une faible proportion d'ufs fertiles a été observée dans quelques tests.
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Résumé L'activité reproductrice d'une souche de Caryedon serratus provenant de stocks d'arachide a été étudiée au Congo dans des conditions de température et d'hygrométrie simulant celles d'un grenier paysan ainsi qu'à la température constante de 30°C. L'ovogénèse est stimulée, quoique faiblement, par la présence de gousses de la plante hôte. La présence du mâle est sans effet sur l'ovogénèse. La présence de gousses d'arachide n'a pas d'influence sur la copulation; la femelle est généralement réceptive dès qu'un premier ovocyte est parvenu à maturité. La ponte est fortement stimulée par la présence d'une gousse d'arachide. La rétention ovocytaire est très faible chez les femelles inséminées, même en l'absence de gousse. On observe chez les femelles vierges une rétention des ovocytes dans les oviductes latéraux, qui s'accompagne apparemment d'une résorption partielle; environ un tiers des ufs est néanmoins émis. A 30°C, des femelles régulièrement nourries de pollen présentent une fécondité moyenne d'environ 650 ufs; le maximum observé est de 1457 ufs. La longévité moyenne de ces femelles est d'environ trois mois, mais certaines vivent près de six mois, en l'absence de toute diapause.
Summary Reproductive activity in a strain of Caryedon serratus originating from groundnut stores was studied in Congo under humidity, temperature and daylength conditions similar to those prevailing in farmers' stores as well as at constant 30°C. Oogenesis was slightly stimulated in the presence of unshelled groundnuts. The presence of males did not affect oogenesis. Groundnuts had no effect on mating. Females usually became sexually receptive after a first oocyte had matured. Oviposition by virgin females was strongly stimulated by the presence of nuts. Oocyte retention was very low in inseminated females, even in the absence of groundnuts. Virgin females exhibited oocyte retention in lateral oviducts, apparently together with resorption. Egg chorions were occasionnally observed in the bursa copulatrix of old virgin females, but no proof is given of the existence of resorption mechanisms in that gland. About one third of the eggload was eventually laid. At 30°C, the fecundity of inseminated and regularly pollen-fed females was about 650 eggs. Maximum lifetime egg production was 1457. These females had a mean length of life of about three months, and some individuals survived almost six months, with no sign of diapause.
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18.
Both synthetic cecropia juvenile hormone (I) and the juvenile hormone mimic substance 1-(4-ethylphenoxy)-6,7-epoxy-3,7-dimethyl-2-octene (II), possess ovicidal activity against freshly laid eggs of the cabbage maggot, Hylemyia brassicae. Topical application of both products to last-instar larvae and young pupae prevents the adults escaping from the puparium. Mixing the hormone substances with the liquid food of the adults, or topical application to adults, even in very high concentrations, does not influence fecundity or fertility.
Résumé L'hormone juvénile synthétique (I) (3, 11-diméthyl 7-éthyl 10-époxy 2,6-tridécadiénoate de méthyle, isomère E, E, Z) et le mimétique de l'hormone juvénile (II) (1-(4-éthylphénoxy)-6,7-époxy-3,7-diméthyl-2-octene) possèdent une action ovicide sur les ufs fraîchement pondus de la mouche du chou (H. brassicae (Bouché)). Le dernier produit semble avoir une action ovicide plus prononcée. Les deux produits semblent également avoir un effet répulsif vu que le nombre moyen d'ufs pondus par femelle diminue quand la concentration augmente.Une application topique sur les larves du dernier stade et sur les pupes, inhibe l'émergence des imagines qui n'accusent pourtant aucune malformation. Cinq g (II) par larve empêchent l'éclosion de 90% des imagines; dix g (II) par pupe inhibent totalement l'émergence.Le mélange du produit (II) à l'alimentation ou une application directe sur la mouche adulte n'influence ni la fécondité ni la fertilité.
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19.
Five amino acids, arginine, glutamic acid, lysine, tyrosine and valine were found to inhibit the oviposition of the smaller brown planthopper, Laodelphax striatellus, while cystine was stimulative for the oviposition. When the roots of rice seedlings were soaked in the solution of one of these amino acids, the free amino acid in the seedlings corresponding to that in the solution increased in quantity, and consequently the number of eggs laid on the seedlings decreased markedly compared with that on the non-treated seedlings.
Résumé Des études antérieures des mêmes auteurs ont montré que cet Homoptère peut pondre à travers une membrane artificielle dans une solution de glucose, mais non dans leur liquide alimentaire expérimental riche en acides aminés.Le présent travail compare le nombre d'ufs pondus sur de jeunes plants de riz, dont les racines sont immergées dans une solution de l'un ou l'autre des acides aminés.La teneur des tissus verts du jeune plant de riz montre une plus forte teneur de l'acide aminé absorbé.Corrélativement le nombre d'ufs pondus sur les plants traités avec arginine, acide glutamique, lysine, tyrosine ou valine est toujours inférieur à celui des plants témoins.
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20.
Summary Mated workers have replaced the queen as the functional egg-layers in several species of ponerine ants. In such queenless species, the reproductive status of workers can only be determined through ovarian dissections. However, the presence of yolky oocytes is not necessarily an indication of active egg-laying.InRhytidoponera sp. 12, a substantial proportion of the workers confined underground have many large yolky oocytes in their ovaries. Examination of various details of oogenesis (size and appearance of basal oocytes, ...) revealed that oocytes do not mature in unmated workers, and that they accumulate in the ovaries. In the 21 mated workers found in a colony excavated in October 1985, there were fewer large yolky oocytes, and the dense accumulations of yellow bodies indicated that eggs were laid regularly. Thus reproductive differentiation among the workers is controlled by insemination. The lack of egg-laying activity by unmated workers was confirmed by monitoring brood production in the laboratory. Trophic eggs do not seem to exist. Various characteristics of worker reproduction in ponerine ants are discussed.
La division des rôles reproducteurs chez Rhytidoponera espèce 12, une fourmi Ponérine sans reine
Resume Des ouvrières fécondées ont remplacé la reine (dans sa fonction de pondeuse) chez plusieurs espèces de fourmis ponérines. Dans ces espèces sans reine, l'état reproductif des ouvrières ne peut être déterminé qu'avec la dissection des ovaires. Cependant, la présence d'ovocytes en vitellogenèse n'indique pas nécessairement qu'il y ait ponte d'ufs.ChezRhytidoponera espèce 12, une grande proportion des ouvrières actives à l'intérieur du nid ont beaucoup d'ovocytes en vitellogenèse dans leurs ovaires. L'examen de certains détails de l'ovogenèse (taille et apparence des ovocytes basaux...) a démontré que les ovocytes ne mûrissent pas chez les ouvrières non fécondées, et qu'ils s'accumulent dans les ovaires. Chez les 21 ouvrières fécondées trouvées dans une colonie déterrée en Octobre 1985, il y avait moins de gros ovocytes en vitellogenèse, et les accumulations denses de corps jaunes indiquaient que les ufs étaient pondus régulièrement. Donc la séparation des rôles parmi les ouvrières est contrôlée par la fécondation. L'absence de ponte par les ouvrières non fécondées a été confirmée par l'étude du développement du couvain dans des groupes de fourmis au laboratoire. Les ufs trophiques ne semblent pas exister. Certaines caractéristiques de la reproduction ouvrière chez les fourmis ponérines sont discutées.
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