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1.
The cholinergic gene locus (CGL) was first identified in 1994 as the site (human chromosome 10q11.2) at which choline acetyltransferase and a functional vesicular acetylcholine transporter are co-localized. Here, we present recent neuroanatomical, developmental, and evolutionary insights into the chemical coding of cholinergic neurotransmission that have been gleaned from the study of the CGL, and its protein products VAChT and ChAT, which comprise a synthesis-sequestration pathway that functionally defines the cholinergic phenotype.

Résumé

Le locus génétique cholinergique (cholinergic gene locus, CGL) a été identifié en 1994 et regroupe les gènes de la choline acétyltransférase et d'un récepteur vésiculaire d'acétylcholine (chromosome humain 10q11.2). Nous présentons ici des données sur la neuroanatomie, le développement et l'évolution de la neurotransmission cholinergique obtenus à partir de l'étude du CGL et de ses produits protéiques, VAChT et ChAT: ce système de synthèse-séquestration définit fonctionnellement le phénotype cholinergique.  相似文献   

2.
The present studies are concerned with the subcellular localisation of an active multiglycosyltransferase system involved in the transfer of galactose, N-acetylglucosamine and mannose to various glycoprotein acceptors. Smooth microsomes, obtained according to the method of Dallner, were the main loci of the three glycosyltransferases. After placing smooth microsomes in the bottom of a sucrose gradient, we recovered galactosyltransferase and mannosyltransferase in a fraction (density 1.12) containing Golgi apparatus and endoplasmic reticulum and N-acetylglucosaminyltransferase in a non-identified fraction with a density from 1.14 to 1.16; these results are obtained when performing all enzyme assays on endogenous acceptors. When exogenous acceptors was used, galactosyltransferase N-acetylglucosaminlytransferase and mannosyltransferase appear to be present in fractions having density of 1.14–1.16, 1.18 and 1.12, respectively.Un essai de localisation subcellulaire de trois glycosyltransferases présentes dans l'épithelium intestinal de rat est décrit. La caractérisation des diverses fractions obtenues est réalisée par le dosage d'enzymes marqueurs et par microscopic électronique.Dans le fractionnement selon la méthode de Dallner, les trois transférases: galactosyltransferase, N-acetylglucosaminyltransférase et mannosyltransferase sont présentes dans la fraction des membranes agranulaires.En gradient discontinu de saccharose, les activités endogènes de la galactosyltransferase, de la N-acetylglucosaminyltransférase et de la mannosyltransferase apparaissent dans des fractions de densité 1,12,1,15 et 1,12 respectivement. Dosés sur accepteur exogène, ces enzymes se répartissent préférentiellement dans les fractions de densité 1,12, 1,15 et 1,18 respectivement pour la mannosyltransferase, la galactosyltransferase et la N-acetylglucosaminyltransférase.  相似文献   

3.
Quantitative nutritional indices were measured in 3rd instar gypsy moths, Lymantria dispar L. Analyses of the main and interactive effects of host plant consumed (oak or pine), foliar phenology (early or late season) and larval dietary history (whether fed artificial diet or foliage as second instars) indicate that larval performance was significantly affected by all three variables tested. Relative Growth Rate (RGR) was higher on oak than pine early in the season, but the reverse occurred one month later, owing largely to the slower Relative Consumption Rate (RCR) of late season oak feeders. Efficiency of Conversion of Digested food (ECD) was depressed in larvae fed pine foliage for two instars compared with those fed oak. The interaction between larval dietary history and foliar phenology produced significant effects on all indices measured. Foliar analyses showed that, as the season progressed, oak had a higher percent dry weight than did pine. On a dry weight basis, pine foliage had significantly less total and protein nitrogen than did oak collected at the same time.
Résumé Les indices nutritionnels larvaires ont été évalués sur des chenilles de L. dispar L. du troisième stade. L'analyse des effets et des interactions de la nature de la plante consommée (Quercus microcarpa) ou Pinus strobus, de la phénologie foliaire (en début de saison, c'est-à-dire seconde quinzaine de mai, ou en fin de saison, c'est-à-dire à la mi-juin), de l'alimentation antérieure (régime artificiel de germes de blé ou feuillage pendant le second stade) montre que les performances larvaires sont fortement modifiées par ces 3 variables. Le taux de croissance relative (RGR) est plus élevé sur chêne que sur pin en début de saison, mais s'inverse un mois plus tard avec une forte diminution sur chêne. L'efficacité de conversion de l'aliment (ECD) est diminuée sur pin pendant les second et troisième stades. L'interaction entre l'alimentation antérieure et le phénologie foliaire a des effets significatifs sur la digestibilité approchée (AD), sur l'efficacité de la conversion de l'aliment ingéré (ECI), et sur ECD, RCR et RGR.Les analyses foliaires ont montré que, lorsque la saison avance, le poids sec du chêne devient supérieur à celui du pin. En considérant le poids sec, le feuillage de pin contient moins d'aliments et de protéines que le chêne récolté au même moment. La teneur en azote tend à diminuer chez les deux espèces, de 17% pour le pin et 26% pour le chêne.Nous pensons que certains de ces facteurs déterminent la valeur de ces plantes pour L. dispar. Les chenilles âgées peuvent compenser plus ou moins la faible assimilation sur pin par des RCR plus élevés. Le même comportement ne semble pas possible sur chêne, une plus grande quantité de chêne avancé en saison que de feuilles jeunes ne pouvant être consommée pour compenser la diminution de la digestibilité.
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4.
The study of well-preserved Pliocene and Pleistocene s from Emi from Emilia is used to analyze the morphological variations of Mediterranean populations, to depict the relationship between fasciole shape and other morphological characteristics and to describe previously unpublished pedicellar valves. These new data allow to be two species distinguished: s (Müller) a (Müller) and s Pomel; six s Pomel; six species closely related to s are synonymi are synonymized: s and it and s Pomel, i Pomel, i and itS. and s Checchia-R Checchia-Rispoli, x Simonelli a Simonelli and the recent species from Mediterranean, s Mortensen Mortensen. s can be disti can be distinguished from s by its hear by its heart-shaped subanal fasciole, when the s one is reni one is reniform. Moreover, the frontal groove of s is deeper, t is deeper, the primary tubercles of the interambulacra 1 and 4 are less numerous, the petals are shorter and narrower, the labrum is shorter. As far as pedicellariae are concerned, the jags of the large tridentate ones are stronger and the base of the globiferous ones is bigger. Palaeoecological observations on outcrops of the Stirone River, in Parme region, show similar environmental affinities between fossil populations and recent populations from Mediterranean. The s fossils fossils seem to be preserved within their life environment, that is to say in shore sandy substrates.

Résumé

L'étude d'un groupe de spécimens bien conservés appartenant au genre Spatangus, trouvés, dans des localités pliocènes et pléistocènes de l'Émilie, permet d'exposer l'étendue de la variation dans les populations fossiles méditerranéennes, de rechercher les relations entre la forme du fasciole sous-anal et les autres caractères morphologiques et de décrire les valves des pédicellaires, qui n'étaient pas connues jusqu'alors. Ces nouvelles données conduisent à reconnaître deux espèces différentes : s (Müller) e (Müller) et s Pomel ; six Pomel ; six espèces voisines de s doivent prob doivent probablement tomber en synonymie : s et itS et s Pomel, i Pomel, i et itS. a et s Checchia-R Checchia-Rispoli, x Simonelli e Simonelli et l'espèce vivant actuellement en Méditerranée, s Mortensen Mortensen. Des observations paléoécologiques sur un échantillon fossile récolté sur les bords de la rivière Stirone près de Parme montrent des affinités bionomiques semblables chez les populations fossiles et celles vivant en Méditerranée.  相似文献   

5.
6.
Genetic regulation of autogenous fecundity was examined in the mosquito Aedes atropalpus. Only one of four subspecies was found to contain all the genetic factors needed to produce, without blood-feeding, an average in excess of 150 eggs/female. This was the type form, A. a. atropalpus, which possessed the gene for autogeny (A) and a genetic background which enhanced fecundity. In contrast, strains of A. a. epactius, A. a. perichares and A. a. nielseni lacked both genetic systems. When the genome of A. a. atropalpus was progressively replaced by repeated crossing to the other subspecies, a stepwise decrease in autogenous fecundity was noted over several generations. However, this trend was stopped and in certain cases reversed by back-crossing to the type form. Thus it appears that in the type-form genome there are several modifier genes which enhance the expression of the gene A.
Résumé Aedes atropalpus dont l'aire d'extension s'étend du Labrador au Panama présente quatre sous-espèces, dont une seule, la forme-type A. a. atropalpus, est autogène, les trois autres: A. a. epactius, A. a. perichares, A. a. nielseni étant anautogènes. Les femelles anautogènes sont homozygotes pour l'allèle récessif, a.Les hybrides F1 issus de croisements entre les lignées autogènes et anautogènes sont autogènes, mais leur fécondité est réduite. Des croisements de retour répétés entre ces hybrides et les formes anautogènes aboutissent à une réduction progressive de la fécondité. Cependant cette réduction peut être stoppée et, dans certains cas, inversée par croisement de retour avec la forme-type autogène. Ces faits conduisent à envisager que le génome des femelles de type autogène contient, outre le gène dominant A, un certain nombre de gènes modificateurs qui en renforcent l'expression. Les trois sous-espèces anautogènes manqueraient de certains, sinon de tous ces gènes modificateurs. La réduction progressive de la fécondité chez les hybrides résulterait de la perte successive au cours des croisements de retour, de ces gènes modificateurs.
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7.
Sanitheres are enigmatic small suoids with bunoselenodont cheek teeth and a tendency for complication of the premolars by polycuspy and polycristy. Until a few years ago virtually nothing was known about their anterior dentition, but recent discoveries in Greece, Kenya and Namibia have thrown light on their incisor and canine morphology, and reveals among other things that the canines are highly sexually dimorphic, and the dm/1 is replaced by a p/1. Material from Kipsaraman, Kenya, collected between 1997 and 2003, consists of parts of mandibles and many isolated teeth, including elements of the deciduous dentition, a significant proportion of which are unworn. These new finds confirm the aberrant nature of the sanithere dentition within a suoid framework, and support their classification as a family separate from Suidae and Palaeochoeridae (= Old World Tayassuidae).

Résumé

Les sanithères sont de petits Suoïdes aux dents jugales bunosélénodontes avec des prémolaires qui présentent une tendance à la multiplication des cuspides et des crêtes (“polycuspidie” et la “polycristie”). Jusqu’à récemment, on ne connaissait rien sur la morphologie de leur dentition antérieure, mais des découvertes récentes réalisées en Grèce, au Kenya et en Namibie, lèvent le voile sur la morphologie de leurs incisives et de leur canine. Ainsi, il apparaît que les canines sont très dimorphes et que la dm/1 inférieure est remplacée par une p/1. Le matériel de Kipsaraman au Kenya, récolté entre 1997 et 2003, consiste en des fragments de mandibules et de nombreuses dents isolées, dont des dents déciduales, qui pour la plus grande part ne sont pas usées. Ces nouveaux fossiles confirment la nature aberrante de la dentition des sanithères au sein des Suoidea, et supporte leur classification dans une famille distincte des Suidae, et des Palaeochoeridae (= Tayassuidae de l’Ancien Monde).  相似文献   

8.
The discovery of a propotamochoerine suid with unique features of the dentition and skull led to the naming of Molarochoerus yuanmouensis Liu & Pan [6]. Further study of the material reveals that this species was better adapted than Sus scrofa for the ‘rooting’ behaviour and that its dentition has morphological features indicating that it was eating hard food items. The posterior premolars are completely molarised, hence the generic name, the first time that any suid has been shown to possess almost perfectly molariform P4/s and p/4s. In lateral view the curvature of the occlusal surface of the upper cheek teeth is convex ventrally, the opposite of the usual situation in suids. The origins of the rostral musculature are exceptionally well developed, and the nasal bones are much more robust than is usually the case in Suinae, indicating powerful musculature and fortified osseous structures presumably for ‘rooting’ in hard ground or for extended periods of time. The masseteric musculature appears to have been more massive than it is in Sus, Microstonyx and Propotamochoerus. To cite this article: M. Pickford et al., C. R. Palevol 3 (2004).

Résumé

Systématique et morphologie fonctionnelle de Molarochoerus yuanmouensis (Suidae, Mammalia) du Miocène supérieur de Yunnan, Chine. La découverte d”un Suidae Propotamochoerini présentant des caractères dentaires et crâniens uniques a conduit à la création de Molarochoerus yuanmouensis Liu & Pan [6]. Une étude du matériel montre que cette espèce était bien mieux adaptée au fouissage que Sus scrofa. Par ailleurs, les caractères morphologiques de sa dentition indiquent qu'il se nourrissait d'aliments coriaces. Les prémolaires postérieures sont complètement molarisées, d'où le nom générique, et c'est la première fois qu'un Suidae présente des P4 supérieures et inférieures presque parfaitement molariformes. En vue latérale, la courbure de la surface occlusale des dents jugales supérieures est convexe ventralement, différant ainsi de la morphologie classique des Suidae. La musculature rostrale est exceptionnellement bien développée et les os nasaux sont beaucoup plus robustes que chez les autres Suinae, suggérant des structures musculaires et osseuses puissantes, probablement liées au fouissage, soit dans des sols, soit sur une longue durée. Les muscles massétériens sont plus puissants que dans les genres Sus, Microstonyx et Propotamochoerus. Pour citer cet article : M. Pickford et al., C. R. Palevol 3 (2004).  相似文献   

9.
Sexual morph production in Hyperomyzus lactucae (L.) is under photoperiodic control. In southern England oviparae are not produced in night lengths of less than 10 h 40 min at 15 ° C but males are produced in all night lengths between 8 and 14 h with a peak between 10 and 12 h. Old clones produce sexual morphs after fewer generations and via a limited sequence of morphs compared to young clones, but the restraining mechanism in young clones is very variable in the extent of its operation.
Résumé La production des sexués chez Hyperomyzus lactucae est sous un déterminisme photopériodique, mais les mécanismes qui provoquent la production des ovipares et des mâles sont indépendants et contrôlés par des stimulus photopériodiques différents. La durée de la scotophase pour la production des ovipares est déterminante et d'environ 10 h 40 pour les clones étudiés. Il n'y a pas de production d'ovipares à 15° C en scotophase plus courte. Par contre, des mâles sont produits à toutes les scotophases étudiées entre 8 et 14 h, atteignant un pic entre 10 h 20 et 12 h, mais avec diminution de leur apparition encore plus nette quand les nuits se prolongent.La diversité des conditions tendant à produire des sexués chez les jeunes clones fait contraste avec le nombre limité de possibilités chez les clones plus âgés et prouve qu'un mécanisme réduit dans certains cas la sensibilité à la scotophase tôt dans l'année. Mais, même dans un seul clone, la variation causée par un tel mécanisme est considérable.Il semble que la longueur de la scotophase critique chez cet insecte suffise seule à empêcher la production de sexués au printemps dans le sud de l'Angleterre. Ceci peut donc expliquer les variations du mécanisme restrictif qui, vraisemblablement, ne doit pas être important pour la survie des clones de cette région.
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10.
A new species of Tapiridae, Tapirus balkanicus, is etablished for new material of the Bulgarian Upper Miocene. The comparison with other Neogene tapirids leads us to consider the upper jaw as more characteristic than the lower one for taxonomic determination and study of phyletic relations. A new subgenus, Meyeriscus, is created for Tapirus pannonicus, the most evolved European tapirid.

Résumé

Une nouvelle espèce de tapir est décrite, Tapirus balkanicus du Miocène supérieur de Bulgarie. La comparaison avec les espèces européennes du Miocène moyen (Tapirus teilen) au Villafranchien (Tapirus arvernensis) amènent à privilégier la denture supérieure sur l'inférieure pour la détermination et les rapports phylétiques éventuels entre les espèces. Pour l'espèce la plus évoluée de tous les Tapiridés européens, Tapirus pannonicus est proposé un nom de sous-genre particulier, Meyeriscus nov.  相似文献   

11.
Conclusions On peut conclure, en résumé, que l'hémodigestion et la liquéfaction de la gélatine sont des manifestations de 2 ferments.Au surplus, les comportements du pouvoir de scission de la gélatine et du pouvoir hémodigestif furent comparés chez 4 souches deV. El Tor cultivées sur gélose et conservées sur un milieu renfermant du blanc d'oeuf. A cette occasion on a eu recours au viscosimètre de Ostwald.Il fut observé que, chez les souches deV. El Tor cultivées sur gélose, la scission de la gélatine et l'hémodigestion furent plus intenses que chez des souches conservées sur milieu à l'oeuf. En cutre, chez ces dernières, le pouvoir hémodigestif avait entièrement disparu.  相似文献   

12.
Injection of 3,5,3′ l-triiodothyronine (15 μg/100 g) induces a biphasic enhancement of rat heart ornithine decarboxylase (EC. 4.1.17) activity after 4 and 21 hours. This induction is observed after each daily injection, but to a lesser extent.The properties of partially purified basal enzyme and induced enzyme, at 21h, after single injections have been compared.
1) Affinity for ornithine is the same for both enzymes, but affinity for pyridoxal-phosphate is 40-fold higher for the induced one.
2) Thermostability studies suggest that basal and induced enzymes have different conformations.
3) The two enzymes have similar immunoreactivity.
4) The comparisons of the time-dependent activity curve after injection and of the antigen/activity ratio suggests that triiodothyronine induces the synthesis of new molecules of enzymes and that an inhibition of the enzyme activity also occurs which explains the biphasic induction.

Résumé

L'injection de 3,5,3′ l-triiodothyronine (15 μg/100 g) induit une augmentation biphasique de l'activité ornithine décarboxylase (EC: 4.1.1.17) de cœur de rat à la 4e et 21e heure. Ce phénomène se reproduit après chaque injection quotidienne, mais de manière moins intense.Les enzymes, basale et induite à la 21e heure après une injection de T3, ont été partiellement purifiées et leurs propriétés comparées:
1) L'affinité des deux enzymes pour l'ornithine est identique, mais l'affinité pour le pyridoxal-phosphate est 40 fois plus élevée pour l'enzyme induite.
2) Les études de thermodénaturation suggèrent que les enzymes de base et induite présentent des conformations différentes.
3) Les deux enzymes présentent des immunoréactivités similaires.
4) Une comparaison de la courbe d'activité et du rapport antigène/activité enzymatique au cours du temps, après induction suggèrent que la triiodothyronine induit la synthèse de novo de l'enzyme, mais qu'intervient également un phénomène d'inhibition qui explique l'aspect biphasique de l'induction.
Mots-clés: régulation; ornithine décarboxylase; triiodothyronine; antizymeKeywords: regulation; ornithine decarboxylase; triiodothyronine; antizyme  相似文献   

13.
Organophosphate (OP) compounds have been used as pesticides and in chemical warfare (nerve agents). Two nerve agents, tabun and sarine, were used by the Iraqi army against Iranian troops and innocent people. Hundreds of the exposed combatants died in the field. Atropine sulphate has been used successfully in large doses to counteract the muscarinic effects of OP poisoning. The effects of oximes in human OP poisoning have not been well studied. Our aim was to study the effects of obidoxime and pralidoxime in OP pesticide poisoning. The patients were divided into three groups: atropine (A), obidoxime + atropine (OA) and pralidoxime + atropine (PA). Sixty-three patients (33 males, 30 females) with a mean age of 25 years were studied in different groups (43 A, 22 OA and 8 PA). There were no statistical significant differences in major clinical findings and acetylcholinesterase (AChE) activity on admission between the groups. Significant changes were observed during the treatment. Notwithstanding the severity of intoxication — particularly respiratory complications were more observed in the OA and PA groups — there were no fatalities in the PA group, whereas 4 (9%) and 6 (50%) patients in the A and OA groups died, respectively. AChE reactivation was only observed in the PA group, although it was not statistically significant (r = 0.4747). There was a good relationship between the AChE reactivation and outcome of the patients. High doses of obidoxime (8 mg/kg followed by 2 mg/kg/h) were found to be hepatotoxic and should be avoided. High doses of pralidoxime (30 mg/kg followed by 8 mg/kg/h) did not induce serious side effects and may be effective in some OP pesticides poisoning.

Résumé

Les composés organophosphorés (OP) ont été utilisés comme pesticides et comme gaz de combat (agents neurotoxiques). Deux gaz de combat, appelés tabun et sarin, ont été utilisés par l'armée iraquienne contre les troupes iraniennes et des populations civiles. Des centaines de combattants ont péri sur le champ de bataille. Le sulfate d'atropine à fortes doses a été utilisé avec succès pour supprimer les effets muscariniques des organophosphorés. L'effet des oximes n'a pas été bien étudié dans le cas d'empoisonnements humains pour ces agents. Nous avons donc entrepris d'analyser des effets de l'obidoxime et de la pralidoxime. Les patients ont été divisés en trois groupes, recevant l'atropine seule (A), l'atropine avec l'obidoxime (OA) et la pralidoxime avec l'atropine (PA). Soixante trois patients (33 hommes et 30 femmes) d'âge moyen 25 ans, ont été traités (43 A, 12 OA et 8 PA). Il n'y avait aucune différence statistiquement significative entre les états cliniques et les niveaux d'acétylcholinestérase (AChE) entre les groupes lors de leur admission, mais des différences importantes sont apparues au cours du traitement. Bien que la sévérité de l'intoxication, en particulier les complications respiratoires, ait été plus marquée dans les groupes OA et PA, il n'y a pas eu de décès dans le groupe PA, alors qu'il y en a eu 4 dans le groupe A (9 %) et 6 dans le groupe OA (50%). Nous n'avons observé de réactivation de l'AChE que dans le groupe PA, et elle n'était pas statistiquement significative (r = 0,5). Nous avons observé une bonne corrélation entre la réactivation d'AChE et l'état des patients. De fortes doses d'obidoxime (8 mg/kg, suivi par 2 mg/kg/h) ont produit une hépatoxicité et doivent être évitées. De fortes doses de pralidoxime (30 mg/kg, suivi de 8 mg/kg/h) n'ont pas induit d'effets secondaires sérieux et peuvent être efficaces dans certains cas d'intoxication par les OPs.  相似文献   

14.
Three genera of hyracoids were recorded from the Early Miocene of East Africa by Whitworth [18], but there has been considerable divergence of opinion about their status. Despite differences in cranial and dental morphology from Megalohyrax and Bunohyrax, Whitworth [18] classified two species in these genera that are recorded from much earlier deposits (Early Oligocene) in the Fayum, Egypt. One of his genera (Meroehyrax) was new. His classification has been the subject of debate, with some researchers [6,13] doubting the hyracoid status of one of his species (Bunohyrax sp), and changing the generic status of another (Megalohyrax championi). Meyer [6] recorded a fourth genus (Prohyrax) from Kenya, linking it to material from Namibia described by Stromer [16,17]. New samples of two hyracoid species collected by the Uganda Palaeontology Expedition throw light on their systematic position and taxonomy. It is concluded that there are three hyracoid genera (Afrohyrax, Brachyhyrax and Meroehyrax) in the Early Miocene deposits of East Africa, the first two of which are new. A fourth genus (Prohyrax) occurs in southern Africa, but is not reliably known from East Africa. To cite this article: M. Pickford et al., C. R. Palevol 3 (2004).

Résumé

Révision des Hyracoidea (Mammalia) du Miocène inférieur de l'Afrique de l’Est. Trois espèces d’Hyracoidea ont été signalées dans le Miocène inférieur d’Afrique orientale par Whitworth [18]. Malgré des différences importantes de la morphologie cranio-dentaire, deux des espèces kenyanes étaient classées dans Megalohyrax et Bunohyrax, genres connus dans les dépôts beaucoup plus anciens du Fayoum en Égypte. Le troisième genre décrit par Whitworth (Meroehyrax) était nouveau. La classification proposée [18] a été débattue ; certains auteurs [6,13] ont remis en cause le statut d’Hyracoïde d’une de ses espèces et ont modifié le statut générique d’une autre. Meyer [6] a signalé un quatrième genre (Prohyrax) au Kenya, sur la base des ressemblances avec le genre namibien décrit par Stromer [16,17]. De nouveaux spécimens récoltés par l’Uganda Palaeontology Expedition permettent d’éclaircir la position systématique et la taxonomie de deux des espèces. Nous concluons qu’il n’existe que trois genres d’Hyracoïdes dans les dépôts du Miocène inférieur d’Afrique orientale (Afrohyrax, Brachyhyrax et Meroehyrax), dont les deux premiers sont nouveaux. Par ailleurs, un quatrième genre (Prohyrax) est connu d’Afrique australe. Pour citer cet article : M. Pickford et al., C. R. Palevol 3 (2004).  相似文献   

15.
Deux types de diffuseurs en caoutchouc (Michelin) et en plastique polystratifié (Hercon®) sont testés en laboratoire pour étudier quelques aspects des phénomènes de diffusion. Trois composantes phéromonales, le Z9-12: Ac, le 12: Ac et le Z9-14: Ac imprégnées dans ces différents supports servent à détermineer le rôle joué par la longueur de la chaîne de la molécule et la présence de doubles liaisons sur la vitesse de diffusion. L'influence de la température, de la vitesse du vent et de l'humidité est déterminée en cellules climatisées.Parmi les facteurs relatifs à la structure chimique, l'influence de la longueur de la chaîne est prédominante par rapport à la présence d'une double liaison. Parmi les facteurs climatiques, le vent agit plus que la température sur la diffusion, alors que l'humidité paraît secondaire.  相似文献   

16.
The site of Ahl al Oughlam near Casablanca, Morocco, dated to ca. 2·5 Ma, has yielded a good sample of Theropithecus atlanticus (Thomas, 1884), a North African late Pliocene species previously known only by its holotype, a lower molar from Algeria. Theropithecus atlanticus, which can now be much better defined, is clearly distinct from other species of the genus, which is thus more diverse than previously thought. The mandible of T. atlanticus has a very characteristic deep and long post-molar sulcus and a deep and well excavated supra-lateral triangular depression of the ramus, with a sharp postero-inferior ridge. The upper and lower canines are rather large but low. The male P3is very wide, with well developed posterior crests; the P4is rounded, with a large talonid and weak notches and clefts. Median lingual notches of the lower molars form an acute angle. Although our incomplete knowledge of T. atlanticus precludes a detailed phylogenetic analysis, we suggest that it arose by clado-genesis from the T. dartiT. oswaldi lineage; it is replaced by the latter species in the Pleistocene.Le gisement de Ahl al Oughlam près de Casablanca (Maroc), daté d'environ 2,5 Ma, a livré une belle collection deTheropithecus atlanticus (Thomas, 1884), espèce du Pliocène supérieur nord-africain qui n'était jusque là connue que par son holotype, une molaire inférieure d'Algérie. T. atlanticus, qui peut maintenant être bien mieux défini, se distingue bien des autres espèces du genre, dont la diversité est ainsi accrue. La mandibule de T. atlanticus est très caractéristique par son espace rétro-molaire vaste et profond, et sa dépression supra-latérale de la branche montante également très profonde, avec un rebord inférieur aigu. Les canines supérieures et inférieures sont grosses mais basses. La P3mâle est très large, avec des crêtes postérieures très développées; la P4est arrondie, avec un grand talonide et des sillons peu profonds. Sur les molaires inférieures, le débouché de la vallée médiane forme un angle aigu. Bien que notre connaissance imparfaite de T. atlanticus interdise une analyse phylétique détaillée, nous suggérons une dérivation par cladogenèse à partir de la lignée T. dartiT. oswaldi; cette dernière espèce le remplace au Pléistocène.  相似文献   

17.
The Aldox and Adh structural loci of Musca domestica L. belong to autosome II. They code for the enzymes aldehyde oxidase and alcohol dehydrogenase. Both these enzymes have allelic variants with specific electrophoretic mobility, which, on cellogel, are seen as single bands. The Aldox and Adh loci encompass a large map interval, which includes the morphological markers ar, cm, and car. The recombination frequencies between these five loci indicate the alignment Aldox-ar-cm-car-Adh.
Localisation chez Musca domestica L. des gènes Aldox et Adh codant les enzymes ald\;ehyde oxydase (AO) et alcool déshydrogénase (ADH)
Résumé Chez la mouche, les enzymes AO et ADH, observées par électrophorèse sur cellogel, présentent toutes 2 des formes alléliques exprimées par des bandes ayant une mobilité anodique propre.Les gènes structuraux Aldox et Adh, codant ces formes, sont liés entre eux et situés sur le chromosome 2. Ils se recombinent avec une fréquence élevée d'interchange; ils sont donc séparés par un intervalle important dans lequel sont compris les caractères visibles ar, cm, car. La fréquence des recombinaisons entre caractères visibles et gènes enzymatiques indique l'ordre suivant sur ce segment du deuxième chromosome de la mouche: Aldox, ar, cm, car, Adh.
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18.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

19.
L’étude de la respiration de l’abeille domestique, Apis mellifera intermissa, à l’état isolé a été réalisée sur les quatre haplotypes existant en Tunisie : A1, A4, A8 et A9 et sous différentes températures : 0°, 10°, 15°, 20°, 25°, 30° et 35°C. Des mesures effectuées sur 1000 abeilles isolées (250 de chaque haplotype) ont montré que la consommation d’oxygène de l’abeille varie en fonction de la température. L’intensité respiratoire des haplotypes augmente progressivement à partir de 0°C pour atteindre son maximum à 15°C. Au-delà de cette température, la consommation d’oxygène de l’abeille diminue progressivement. Pour les basses températures (0° et 10°C), la respiration de l’abeille dépend aussi du facteur génétique et la consommation d’oxygène est faible mais ne s’annule pas. Cette étude a montré qu’il existe une différence de consommation d’oxygène entre les haplotypes A1 et A8 et les haplotypes A4 et A9 pour les basses températures. Le déclenchement de la thermogenèse chez les haplotypes A1 et A8 se produit à 15°C, alors que chez les haplotypes A4 et A9, il a lieu à une température plus basse et qui est de 10°C.  相似文献   

20.
Several endocrine-mediated processes in insects are influenced by environmental factors including the density and sex ratio of populations. Effects of grouping on total egg production and rate of vitellogenic ovary development were assessed in virgin Acheta domesticus (L.). Females midway through their last nymphal instar were isolated from a stock population of adults and nymphs of both sexes and maintained in groups or as isolates at 26–27°C, 70% relative humidity, on a 12L-12D photoperiod. The number of fully grown oocytes produced during the first 18 days of adult life was lower for animals in groups of 10 or 15 than for isolates, but antennectomy abolished this group effect. By contrast, terminal and penultimate oocyte length and ovary dry weight were greater in 5-day-old - pairs than in isolates. The presence of mature males during the first 21 days of adult life did not affect total egg production. Whether these group effects on cricket ovary development are mediated by the endocrine system is not yet known.
Interaction entre les facteurs sociaux et le développement ovarien d'Acheta domesticus
Résumé L'étude a examiné les effets de groupement sur la production d'oeufs et sur la vitesse de la vitellogenèse chez les femelles vierges d'Acheta domesticus. Des femelles à la moitié de leur dernier stade larvaire, isolées d'une population adulte de base, et des nymphes des deux sexes ont été conservées en groupes ou isolées dans des récipients en plastique de 150 mm de diamètre et de 25 mm de hauteur à 26–27°C, 70% d'humidité relative et avec une photopériode de 12/12. La production totale des oeufs mûrs formés pendant les 18 premiers jours de vie imaginale était plus faible pour les animaux en groupes de 10 ou 15 que pour ceux qui étaient isolés, mais l'antennotectomie a éliminé cet effet de groupe. Au contraire, la longueur des derniers et avant-derniers ovocytes et le poids sec des ovaires étaient supérieurs pour les paires de 2 femelles de 5 jours que chez les individus isolés. La présence de mâles mûrs pendant les 21 premiers jours de vie imaginale n'a pas eu d'effet sur la production totale d'oeufs. L'hypothèse avancée est que ces effets de groupe (négatifs et positifs) sur le développement des ovaires d'Acheta domesticus ont reflété respectivement des accélérations et ralentissements de la vitellogenèse. La dépendance de l'induction de la vitellogenèse chez Acheta domesticus par les hormones juvéniles est connue (Benford, 1983) ainsi que les changements dans la quantité de produits neurosécréteurs, susceptibles d'être colorés dans la pars intercerebralis au cours du cycle reproductif (Bradley et Simpson, 1981). Nous ne savons pas si ces effets de groupement sur le développement des ovaires de grillon sont médiatisés par le système endocrine.
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