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相似文献
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1.
Lobateuchus parisii n. gen., n. sp. est décrit de l’ambre de l’Eocène basal de l’Oise (Bassin parisien). La découverte de ce fossile remet en question la répartition strictement gondwanienne de la tribu des Ateuchini.  相似文献   

2.
Chaze, J. Sur le mode de formation et la detection des alcaloides dans la plantule de tabac. Bull. d'Histol. Appl., 5, 253. 1928.

Nan, Yao. Sur un fixateur cytologique particulièrement adapté aux tissues des insectes. Bull. d'Histol. Appl., 4, 71, 1927.

Reichardt, H., and Wetzel, A. Paraffineinbettungsmethode nach vorhergegangener Zelloidindurchtränkung unter Vermeidung der härtenden Intermedien, Xylol, Benzol, Chloroform. Zeit. f. wiss. Mikr., 45, 476-479. 1928.

Erb, N. M. A rapid stain for direct miroscopic examination of milk. J. Lab. & Clin. Med., 14, 377. 1929.

Galesesco, P., and Bratiano, S. Coloration des graisses par l'extrait alcoolique de Daucus carota. Compt. Rend. Soc. Biol., 99, 1460. 1928.

Goldner, J' Résultats obtenus chez la seiche par l'emploi de divers colorants vitaux Comp. Rend. Soc. Biol., 99, 1323. 1928.

Hadjioloff, A. Une modification rapide de la méthode de Weigert-Pal. Bull. d'Histol. Appl., 5, 431-434. 1928.

Hausdorf, G. Farbung zur Darstellung reifer Samenzellen im Hodenschnittpraparat. Zeit. f. wiss. Mikr., 44, 327-328. 1927.

Houcke, E. Emploi des colorants mixtes en technique histologique. Comp. Rend. Soc. Biol., 99, 783. 1928.

Houcke, E. Emploi des mélanges de fuchsines et de blues basiques pour la coloration histologique. Comp. Rend. Soc. Biol., 99, 786. 1928.

Houcke, E. Emploi du mélange rhodamine-blue de méthylène dans la coloration des tissus splénique et lymphcïde. Comp. Rend. Soc. Biol., 99, 788. 1928.

Lillie, R. D. Erne Schnellmethode zur Toluidinblau-Schleimfarbung. Zeit. f. wiss. Mikr., 45, 381. 1928.

Ochs, Georg Wilhelm. Über den Einfluss der Temperatur auf die Färbung von Blutausstrich-Präparaten. Folia Hematologica, 37, 241-257. 1928.

Verne, Jean. Une nouvelle coloration élective de la myeline. Bull. d'Histol. Appl., 5, 223-224. 1928.  相似文献   

3.
Huit espèces de Lasioglossum sont inventoriées de Nouvelle-Calédonie. Un nouveau sous-genre cleptoparasite endémique, avec une nouvelle espèce, Lasioglossum (Parachilalictus n. subg. ) neocaledonicum n. sp., est décrit. Les espèces endémiques suivantes du sous-genre Chilalictus sont nouvelles : Lasioglossum (Chilalictus) alticola n. sp., L. (C.) tchambae n. sp. et L. (C.) webbi n. sp. Une nouvelle sous-espèce, Lasioglossum (Chilalictus) polygoni austrocaledonicum n. ssp., est décrite de Nouvelle-Calédonie et d'Australie. Les espèces australiennes L. (Chilalictus) lanarium (Smith 1853) et L. (C.) instabilis (Cockerell 1914) sont découvertes pour la première fois en Nouvelle-Calédonie. Lasioglossum (Parasphecodes) sulthicum (Smith 1853) est la première espèce de ce sous-genre australien signalé en Nouvelle-Calédonie. L’émergence du parasitisme et la spéciation en condition insulaire font l'objet d'une discussion. Le cleptoparasitisme du nouveau sous-genre Parachilalictus n. subg. peut être établi en examinant un ensemble de caractères morphologiques convergents chez les groupes parasites de Halictidae dont les principaux sont la réduction de la brosse collectrice de pollen sur les pattes postérieures et l'aplatissement de la quille du labre. La forte ressemblance de Parachilalictus n. subg. avec les espèces de Chilalictus endémiques de Nouvelle-Calédonie et son absence en Australie suggère une spéciation locale et récente. Les deux nouvelles espèces endémiques décrites dans le sous-genre Chilalictus et dont Parachilalictus n. subg. pourrait avoir émergé ont une distribution montagnarde (L. alticola n. sp. , L. tchambae n. sp.). Dans le complexe L. polygoni (Cockerell 1929), la spéciation s'exprime par la variation de la densité et la force de la ponctuation. A basse altitude et le long de la côte ouest plus sèche, on trouve la sous-espèce typique polygoni. A des altitudes variant de 5 à 1150m, il existe clairement deux autres sous-espèces. La nouvelle sous-espèce austrocaledonica ne se trouve que dans la partie sud de l’île, en milieu ouvert de « maquis » tandis que la sous-espèce delobeli Pauly & Munzinger 2003 a une distribution plus étendue sur les massifs montagneux de la partie est, et a été rencontrée essentiellement le long de pistes forestières en forêt dense humide. Cette dernière sous-espèce habite aussi l'Australie.  相似文献   

4.
Les vingt-quatre espèces actuellement attribuées au genre Megalocoleus sont réexaminées après étude de tous les types disponibles. Les genitalia mâles et femelles apportent des caractères discriminants beaucoup plus fiables que les caractères externes et sont souvent indispensables pour séparer les espèces. Quelques caractères externes se révèlent néanmoins utiles mais ces derniers sont particulièrement difficiles à apprécier sur les spécimens qui ne sont pas en parfait état. Au terme de cette revue, il apparaît que le genre ne pourra être correctement défini qu’après étude de toutes les espèces décrites dans le genre voisin Amblytylus. Les modifications suivantes peuvent être néanmoins proposées dès à présent:– Réhabilitation d’une espèce, Megalocoleus krueperi (Reuter, 1879) bona species; en conséquence, M. satrapes Horváth, 1907 et M. binotatus (Wagner, 1953), auparavant synonymes de M. lunula, deviennent synonymes de M. krueperi (Reuter, 1879). – Mise en synonymie de 8 espèces: M. hungaricus Wagner, 1944 n. syn. de M. naso (Reuter, 1879); M. ocrensis Wagner, 1972 n. syn. de M. exsanguis (Herrich-Schaeffer, 1835); M. bifidus Wagner, 1973 n. syn. et M. fasciatus Wagner, 1969 n. syn. de M. lunula (Fieber, 1861); M. hirsutus Drapolyuk, 1991 n. syn. de M. signoreti (Reuter, 1879); M. confusus Wagner, 1958 n. syn. et M. pericarti Linnavuori, 1970 n. syn. de M. molliculus (Fallén, 1807). – Exclusion du genre Megalocoleus de quatre espèces; trois sont mises en synonymie: M. femoralis (Reuter, 1879), n. syn. de Tinicephalus hortulanus (Meyer-Dür, 1843), M. fumanae Wagner, 1974 n. syn. de Tinicephalus croceus Wagner 1969, M. servadeii Wagner, 1954 n. syn. d’Amblytylus tarsalis Reuter, 1894; une espèce, M. atricornis devient Tinicephalus atricornis (Wagner, 1965) n. comb. Une clé d’identification pratique (en français et en anglais), basée sur des caractères externes, tente de séparer les 14 espèces de Megalocoleus que le genre compte après cette étude.  相似文献   

5.
Aegidium parvulum Westwood, 1846, de Guadeloupe, A. vincentiae Arrow, 1903, de Saint-Vincent et A. dominicense (Cartwright & Chalumeau, 1977) de Dominique sont redécrits. A. chalumeaui n. sp. de Guadeloupe et A. dierkensi n. sp. de Martinique sont décrits. Les cinq espèces sont illustrées. Deux clés de détermination sont proposées, une pour les genres d’Orphninae néotropicaux et une pour les espèces du genre Aegidium des Petites Antilles.  相似文献   

6.
Les espèces seychelloises du genre Cratopus Schoenherr 1823 sont révisées, et quatre nouveaux taxons sont décrits. Espèce de grande taille (16–19 mm), C. roberti n. sp. possède dix stries élytrales, des fémurs antérieurs portant de petits denticules, y compris sur la dent, et un revêtement squamuleux vert métallique, avec une bande blanche le long de la base et des côtés des élytres, ainsi que sur les côtés du prothorax. Long de 8–10 mm, C. venustus n. sp. se reconnait à ses téguments noirs et brillants, sa vestiture réduite bleu-vert métallique, ses douze stries élytrales de forts points, ainsi qu’à ses interstries 8 et 9 caréniformes. C. griseovestitus northislandensis n. ssp. diffère de la forme nominative C. griseovestitus griseovestitus Linell 1887 par ses téguments coriacés et sa vestiture métallique du dessus dense, à reflets cuivre doré ou verts, et non gris blanchâtre ou bleuâtre. C. griseovestitus fregata n. ssp. diffère de son côté de la forme nominative par ses téguments bruns plus ou moins foncés, saupoudrés de poils et de squamules très petits. Les synonymies de C. parcesquamosus Fairmaire 1893 et de C. abbotti Linell 1907 avec C. aurostriatus Fairmaire 1892 sont confirmées, et enfin un tableau de détermination des espèces seychelloises du genre est donné. Les Cratopus des Seychelles se divisent en un ensemble de trois espèces du groupe de griseovestitus, à large répartition, habitant les côtes et les îles coralliennes basses et probablement d’arrivée récente, et un ensemble de six espèces limitées aux îles granitiques, où cinq d’entre elles ont une distribution limitée à l’intérieur d’une île ou deux. Elles sont certainement de souche beaucoup plus ancienne. Les Cratopus des Seychelles sont folivores à l’état adulte, et souvent polyphages. Une liste de leurs plantes-hôtes connues est donnée.  相似文献   

7.
Les espèces du genre Sisyphus Latreille, 1807, présentant des touffes de soies sur les élytres sont étudiées. Sept nouvelles espèces appartenant à ce groupe sont décrites, illustrées et comparées aux espèces proches: deux espèces aux ailes normalement développées, S. manni n. sp. et S. perissinottoi n. sp., et cinq espèces brachyptères, S. jossoi n. sp., S. janssensi n. sp., S. bouyeri n. sp., S. felschei n. sp. et S. usambaricus n. sp. Une autre espèce appartenant au groupe étudié, S. alveatus Boucomont, 1935, se révèle également être brachyptère. Elles constituent les premiers exemples de brachyptérisme au sein de ce genre. Une clé d’identification des espèces à touffes de soies sur les élytres est donnée.  相似文献   

8.
La synonymie entre Perrindema Lacroix 1997, et Zanitanus Lacroix 2001, est proposée. Le genre Perrindema est révisé. Une nouvelle combinaison est établie pour Cephaloncheres lindiensis Moser 1919. Deux nouvelles espèces sont décrites du Mozambique : Perrindema quiterajoensis n. sp. et P. pembaensis n. sp. Un historique du genre est donné ainsi qu’une clé de détermination. La position systématique de ce genre au sein des Pachydemini Burmeister 1855, est discutée. La conservation de l’utilisation du nom Pachydeminae au détriment de Tanyproctinae Erichson 1847, est argumentée.  相似文献   

9.
A l’occasion de la découverte d’une nouvelle espèce marocaine d’Apteranillus Fairmaire 1854: Apteranillus bichaini n. sp. provenant de l’extrémité occidentale de la chaîne de l’Atlas, de la découverte d’une nouvelle localité d’Apteranillus minosianus Lecoq & Quéinnec 2005 et de la capture du mâle de Typhlozyras camusi Jeannel 1960 jusqu’alors inconnu, toutes les espèces des genres Apteranillus, Typhlozyras et Apteraphaenops Jeannel 1907 sont redécrites et illustrées. Un tableau de détermination et une carte de répartition des genres et des espèces endogées et troglobies d’Aleocharinae d’Afrique du nord (Apteranillus, Anopsapterus, Drusilla (Apteranopsis), Apteraphaenops, Typhlozyras) sont donnés. La synonymie Apteranillus championi Bernhauer 1936=Apteranillus dohrnii Fairmaire 1854 n. syn. est établie. L’examen détaillé des caractères morphologiques des genres Typhlozyras et Apteraphaenops suggère l’appartenance de ces deux genres aux Athetini et non aux Lomechusini comme il est couramment admis jusqu’à présent, Apteraphaenops étant étroitement apparenté à Paraleptusa Peyerimhoff1901 et Typhlozyras à Geostiba Thomson 1858.  相似文献   

10.
11.
12.
Les vingt-deux espèces actuellement répertoriées dans le genre paléarctique Amblytylus Fieber ont été examinées. Le genre est redéfini principalement d’après les caractères des genitalia mâles. Dix espèces sont maintenues dans le genre: A. albidus (Hahn 1834), A. amoenus Wagner 1958, A. arnoldiorum Kerzhner 1977, A. brevicollis Fieber 1858, A. concolor Jakovlev 1877, A. crassicornis Wagner 1964, A. jani Fieber 1858, A. montanus Wagner 1974, A. nasutus (Kirschbaum 1856), A. peitho Linnavuori 1997; toutefois, A. amoenus est considérée comme incertae sedis et A. jani comme nomen dubium. Deux espèces sont transférées dans le genre Megalocoleus Reuter: Megalocoleus delicatus (Perris 1857) n. comb., Megalocoleus tarsalis (Reuter 1894) n. comb. Dix espèces sont mises en synonymie; soit avec une espèce d’Amblytylus: A. similis Wagner 1971 n. syn. de A. albidus (Hahn 1834); A. gregarius Linnavuori 1961 n. syn. de A. brevicollis Fieber 1868; A. vittiger Reuter 1899 n. syn., A. longicornis Wagner 1953 n. syn. et A. eckerleini Wagner 1964 n. syn. de A. concolor Jakovlev 1877; soit avec une espèce de Megalocoleus: A. erectus Wagner 1971 n. syn. de M. longirostris (Fieber 1861); A. glaucicollis Kerzhner 1977 n. syn. de M. exanguis (Herrich-Schaeffer 1835); A. macedonicus Wagner 1956 n. syn. de M. naso (Reuter 1879) n. comb.; A. luridus Hoberlandt 1961 n. syn. et A. scutellaris Horvath 1905 n. syn. de M. delicatus (Perris 1857) n. comb. Un lectotype est désigné pour quatre espèces (Lopus nasutus Kirshbaum, Amblytylus vanduzeei Blatchey, Amblytylus scutellaris Horváth, Capsus delicatus Perris). Une clé d’identification pratique bilingue (français et anglais) basée surtout sur des caractères externes tente de séparer les espèces d’Amblytylus. Une clé révisée des espèces de Megalocoleus est également fournie. Les deux genres Amblytylus et Megalocoleus, très semblables par l’habitus, restent difficiles à définir. Seules les plantes-hôtes - des Poaceae chez les Amblytylus, des Asteraceae chez les Megalocoleus - et dans une moindre mesure la vesica pourvue de deux processus apicaux (Amblytylus) ou d’un seul (Megalocoleus) semble indiquer l’existence de deux groupes d’espèces distincts.  相似文献   

13.
Résumé Les recherches poursuivies depuis une vingtaine d'années en collaboration entre le CNRS à l'Université de Paris, les Instituts israéliens de Recherche agronomique à Ilanot, et de Zoologie à l'Université de Tel Aviv, ont permis d'établir un premier bilan de la faune des Ichneumonides d'Israel et de leurs h?tes: 212 espèces sont maintenant connues de ce pays, présentées ici avec leurs h?tes connus et en accord avec les révisions taxonomiques les plus récentes.
Summary Two hundred twelve species of Ichneumonids are recorded from Israel, of which 140 are reported for the first time. Of this, 34 have been recently described byJ.-F. Aubert. The data are based on collections and on citations from literature.


Contribution à l'étude des Hyménoptères parasites No. 117 (voir No. 116,Bull. Soc. Entomol., Mulhouse 1983, pp. 49–51).  相似文献   

14.
Dans le cadre de l’inventaire des Eumaeini de Guyane (Lycaenidae, Theclinae), trois nouvelles espèces sont décrites: Siderus nouraguensis n. sp., Nicolaea salki n. sp. et Ostrinotes silva n. sp. Elles appartiennent à des genres différents regroupés dans la section Tmolus de la tribu des Eumaeini. La première espèce provient de la Réserve Naturelle des Nouragues (ONF/CNRS). Elle a été capturée au sommet de l’inselberg dans un biotope très particulier (savane-roche) et pourrait être inféodée à cette végétation typique basse et xérophile poussant sur la roche. En plus d’être écologiquement inhabituelle, cette espèce est morphologiquement insolite puisque c’est la seule dans ce groupe dont les genitalia mâle possèdent des soies sur la partie dorsale du vinculum. Les deux autres espèces ont été capturées dans la forêt primaire de la montagne de Kaw mais également dans d’autres pays d’Amérique du Sud.  相似文献   

15.
Le genre Cryptotrogus Kraatz, 1888 est étudié. Après étude des spécimens-types des espèces associées et de nouveaux matériels, ce genre est redéfini et Cyphonoxia Reitter, 1889 en est à nouveau considéré comme synonyme. Les nouvelles combinaisons et synonymies suivantes sont établies ou restaurées : Cryptotrogus buettikeri (Sabatinelli & Pontuale, 1998) n. comb., Cryptotrogus delhiensis (Anand, 1988) n. comb., Cryptotrogus haarlovi (Petrovitz, 1955) n. comb., Cryptotrogus kermanensis (Semenov & Medvedev, 1936) n. comb., Cryptotrogus kircheri (Balthasar, 1930) n. comb., Cryptotrogus praestabilis (Reitter, 1889) n. comb., Cryptotrogus tatianae (Semenov & Medvedev, 1936) n. comb., Cryptotrogus zarudnyi (Semenov & Medvedev, 1936) n. comb., Cyphonotus bicoloratus Petrovitz, 1962 n. syn. de Cryptotrogus mesopotamicus (Petrovitz, 1962), Cryptotrogus miksici Petrovitz, 1965, et Cryptotrogus orita (Reitter, 1902) n. syn. de Cryptotrogus niveus (Hampe, 1852), Cyphonoxia glasunowi Semenov, 1897 n. syn. de Cryptotrogus brenskei (Reitter, 1895) comb. rev., Cyphonoxia kermanensis Semenov & Medvedev, 1936 n. syn. de Cryptotrogus zarudnyi (Semenov & Medvedev, 1936) n. comb., Cryptotrogus zemindar (Sharp, 1876) n. comb. Par ailleurs, huit espèces sont décrites et comparées aux espèces proches : sept d’Iran, Cryptotrogus borumandi n. sp., Cryptotrogus ebrahimii n. sp., Cryptotrogus miesseni n. sp., Cryptotrogus mirzayansi n. sp., Cryptotrogus monodi n. sp., Cryptotrogus morgani n. sp. et Cryptotrogus parallelus n. sp., et une, Cryptotrogus irakanus n. sp., d’Irak. Enfin, de nouvelles données sont présentées pour quelques espèces de la faune iranienne appartenant aux genres Melolontha Fabricius, 1775, Anoxia Castelnau, 1832, Polyphylla Harris, 1841 et Microphylla Kraatz, 1890. Une espèce est nouvelle pour la faune d’Iran : Melolontha aceris Faldermann, 1835.  相似文献   

16.
The feeding rate of males of the coccinellidCheilomenes sulphurea (Ol.) was checked in 3 types of exposure arenas of 210, 476 and 2973 cm2, at 3 levels of prey offered daily (40, 80, 120Aphis fabae Scopoli aphids per arena). Prey numbers affected the feeding rate much more than the size of the exposure arena.C. sulphurea males thus showed a rather high searching efficiency. The data are apparently near to the satiation threshold whereHolling's functional response curves of type II and III resemble each other.
Résumé La consommation de proie par les males deCheilomenes sulphurea (Ol.) est étudiée dans 3 types d'enceintes dont l'espace expérimental est de 210, 476 et 2973 cm2, avec 3 densités de proie offerte chaque jour: 40, 80 et 120 individus du puceronAphis fabae, Scopoli. La quantité de proies a modifié la consommation de manière plus importante que la taille de l'espace expérimental utilisé. Les males deC. sulphurea ont démontré ainsi une capacité à trouver la proie très élevée. Les niveaux de densité de proie sont évidemment près du seuil de saturation définis dans les courbes II et III de la réaction fonctionnelle deHolling.


The experiments were performed when the 2nd author worked as a participant in a UNESCO course at the Czechoslovak Academy of Sciences, Prague.  相似文献   

17.
Aristolochia gorgona is described from the Atlantic watershed of Costa Rica and central and eastern Panama. It is similar toA. grandiflora Sw., with which it has been confused in the past. The extensive reported synonymy ofA. grandiflora is reviewed and compared with the new entity. Some new terms are proposed for better describing floral structure in this species complex, and suggestions are made for its collection and study.Aristolochia gorgona is one of the largest-flowered plant species (in terms of perianth area) in the Neotropics.
Resumen   Aristolochia gorgona se describe de la vertiente Atlántica de Costa Rica y del centro y este de Panamá. Es similar aA. grandiflora Sw., con la cual se ha confundido en el pasado. La extensa sinonimia reportada paraA. grandiflora es revisada, y comparada con la nueva entidad. Se proponen algunos términos nuevos para describir mejor la estructura floral en éste complejo de especies, y se ofrecen sugerencias para su recolección y estudio.Aristolochia gorgona es una de las especies vegetales con flores más grandes (en cuanto al área del perianto) en el Neotrópico.
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18.
19.
Dasypsyllus picaflori n. sp. est décrit à partir de puces prélevées dans un nid de Trochilidae, Oreotrochilus leucopleurus Gould 1847, au Chili. C’est la deuxième espèce de Puce signalée chez des Colibris. Taxonomie, répartition, spécificité et écologie des espèces et sous-espèces connues dans le genre Dasypsyllus sont rappelées.  相似文献   

20.
J. C. Onillon 《BioControl》1988,33(4):481-494
Les problèmes posés par les ravageurs des Citrus ont pris une importance considérable au cours de ces 3 dernières décennies et cela pour plusieurs raisons:
–  - dans un 1er temps, l'on peut invoquer l'introduction accidentelle de ravageurs,Dialeurodes citri Ashm en 1945 (Pussard, 1953),Unaspis yanonensis Kuw. en 1963 (Commeau & Sola, 1964) etAleurothrix floccosus Mask. en 1967 (Onillon, 1969). Ces 3 espèces démunies de leur cortège d'ennemis naturels et trouvant dans leur nouvelle aire de répartition des conditions favorables de développement, ont très rapidement présenté d'importantes pullulations. Ces ravageurs nouveaux sont venus compléter une liste déjà longue d'une dizaine de phytophages majeurs au niveau des plantations d'agrumes du Bassin Méditerranéen;
–  - un 2ème facteur non négligeable est présenté par un vieillissement des plantations et l'importance du co?t des méthodes culturales d'entretien qui sont comme la taille souvent négligées notamment pour les Citrus d'ornement ou de jardins familiaux. Ces facteurs ont alors pour corollaire le maintien d'arbres à frondaison dense assurant un développement optimum du ravageur;
–  - enfin le développement d'une lutte chimique d'assurance, génératrice de déséquilibres fauniques particulièrement sensibles au niveau des acariens par élimination d'une partie de l'entomofaune prédatrice ou au niveau des cochenilles telles queAspidiotus nerii Bouché ouParlatoria pergandei Comst. par destruction de l'entomofaune parasitaire utile.
Le potentiel de ces ravageurs, pour la plupart plurivoltins, est souvent très important et les conditions climatiques favorables jointes à la persistance pendant toute l'année de la frondaison assurent des niveaux de populations très élevés.  相似文献   

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