首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 140 毫秒
1.
Zusammenfassung Bietet man weisellosen Arbeitsbienen den Extrakt von Königinnen gelöst in ihrem Trinkwasser (Extrakt von 200 Königinnen/l), so ist er nur wirksam — im Sinne einer Hemmung der Ausbildung von Weiselwiegen — wenn das Wasser wenig oder keinen Zucker enthält. Bei höheren Zuckerkonzentrationen (über 50–100 g/l) übt der Extrakt diese Wirkung nicht mehr aus.Weiter wurde gezeigt, dass die Anwesenheit einer mit Extrakt übersättigten Ersatzkönigin in einer Gruppe von im übrigen weisellosen Arbeitsbienen auch dann die Ausbildung von Weiselwiegen sowie die Ovarienentwicklung bei diesen Arbeitsbienen hemmt, wenn sie keinen direkten Kontakt mit der Ersatzkönigin hatten. Der Effekt beruht offenbar auf reiner Duftreizung durch den konzentrierten Extrakt.
Résumé La construction des cellules royales est inhibée lorsqu'on offre aux ouvrières d'Abeilles une solution aqueuse d'extrait de reines, ou une telle solution à laquelle on a ajouté du sucre, à la seule condition que le liquide ne contienne qu'une faible concentration de sucre. Si cette concentration est plus forte, l'extrait perd son pouvoir inhibiteur.Un extrait de reines très concentré attire les ouvrières; il inhibe le développement de leurs ovaires ainsi que la construction des cellules royales en dehors de tout contact direct des ouvrières avec la substance inhibitrice. Il semble, dans ce cas, que la chémoréception de la substance suffise à provoquer l'inhibition chez les ouvrières.
  相似文献   

2.
Zusammenfassung Obwohl man allgemein den Ameisen weder medizinische noch veterinär-medizinische Bedeutung beimißt, so sind diese Insekten doch mit der Ubertragung von Krankheiten auf mechanishem Wege und als Faktoren in Entwicklungszyklen von Krankheitserregern beteutungsvoll. Darüber hinaus können Ameisen direkt Tiere und Menschen angreifen und Hautverletzungen verursachen. Die Reaktion auf Stiche kann bei Wiederholungen zunehmend ernsthaft werden nach dem Empfindlichkeitsgrade. Empfindlichkeit ist offenbar nicht artspezifisch wie im Falle der Moskitobisse, erstreckt sich aber weitgehend auf andere Hymenoptera, so daß Tiere, die für Ameisengift empfindlich sind, sehr ernsthafte und gelegentlich tödliche Auswirkungen durch Bienen- oder Wespenstiche erleiden.Das häufige Vorkommen der Formicidae und die Allgemeinheit ihrer Nahrungssuche verleitet zum Verdacht, sie als mögliche mechanische Verbreiter von Bakterien und Viren anzusehen. Tatsächlich sind jedoch die Beweise, die die Ameisen der Ausbreitung irgendwelcher Krankheiten beschuldigen, unzulänglich, obgleich man vermutet, daß diesem Problem unzureichende Aufmerksamkeit gewidmet wurde. Die Annahme, daß der Ameisensäuregehalt des Körpers eine mechanische Übertragung durch den Darm verhindert, hat nur dürftige theoretische Grundlagen, die kürzlich erfolgte Isolation von Antibiotica aus einer Reihe von Arten hat mehr Bedeutung. Die epidemiologische Bedeutung der Ameisen während bestimmter Blatternepidemien in Nord-Afrika wird beschrieben.Unzureichende Aufmerksamkeit wurde auf die Rolle der Ameisen als Teilnehmer an Zyklen von Eingeweidewurm-Parasiten gerichtet. Man weiß von Ameisen, daß sie als Zwischenwirte von Cestoden des Hausgeflügels und von Rebhühnern fungieren und neuere Arbeiten in den U. S. A. und Deutschland haben nachgewiesen, daß sich in ihnen die Metacercarien des PlattwurmsDicrocoelium dendriticum (Rudolphi) finden, ein wichtiger Parasit der bei Rindvieh und Schafen bestimmter Gebiete vorkommt.Zukünftige Forschungen sollten das Gebiet ausdehnen, welche Arten in den Entwicklungszyklus der Eingeweidewürmer-Parasiten eingreifen und sollten vielleicht einige Rätsel der Helminthologie lösen.Die hohe Populationsdichte der Ameisen, besonders in den Tropen, macht sie als Abfallbeseitiger nützlich und verhütet die Anhäufung von möglicherweise gefährlichen Kadavern. Außerdem halten sie die Vielzahl medizinisch wichtiger Insekten streng im Zaum z. B. durch Verzehren vonMusca-Larven,Glossina-Puppen und einigen Moskito-Eiern.
Résumé Bien qu'en général on n'accorde aux fourmis aucune importance médicinale, ni vétérino-médicinale, ces insectes sont cependant liés à la transmission de maladies par voie mécanique et ils interviennent dans les cycles de développement d'agents de maladie. Bien plus, les fourmis peuvent attaquer directement les animaux et les êtres humains et occasionner des lésions cutanées. La réaction aux piqûres, si celles-ci sont répétées, peut augmenter de façon sérieuse suivant le degré de sensibilité. Il semble que la sensibilité ne soit pas spéciale à l'espèce, comme c'est le cas pour les piqûres de moustiques; elle s'étend au contraire à d'autres hyménoptères, de sorte que les animaux sensibles au venin des fourmis peuvent être sérieusement et quelquefois mortellement atteints par des piqûres d'abeilles ou de guêpes.Étant donné la fréquence de l'apparition des Formicidés et la généralité de leur quête de nourriture, on est amené à les considérer comme propagateurs mécaniques éventuels de bactéries et de virus. En fait, les preuves qui permettent de rendre les fourmis responsables de la propagation d'une maladie quelconque sont cependant insuffisantes, bien que l'on puisse admettre que jusqu'alors trop peu d'attention a été consacrée à ce problème. L'hypothèse qui admet que le contenu d'acide formique du corps empêche une propagation mécanique par l'intestin n'a qu'un fondement théorique précaire; l'isolement récent d'antibiotiques d'une série d'espèces présente plus d'intérêt. On signale l'importance épidémiologique des fourmis lors d'une certaine épidémie de variole en Afrique du Nord.On n'accorda aussi qu'une attention insuffisante à la contribution des fourmis au cycle de vers intestinaux. On sait qu'elles constituent le milieu intermédiaire de développement du cestode de la volaille et des perdrix; des travaux récents aux U. S. A. et en Allemagne ont démontré que l'on peut trouver en elles les métacercaires du verDicrocoelium dentriticum (Rudolphi), grave parasite qui fait son apparition chez les bêtes à cornes et les moutons de certaines régions.Les recherches ultérieures chercheront à étendre leur champ d'action, à reconnaître quelles espèces interviennent dans le cycle de développement des vers intestinaux et réussiront peut-être à résoudre quelques-unes des énigmes de l'helminthologie.La forte densité des agglomérations formicoles, surtout sous les tropiques, les rend très utiles pour déblayer les déchets et évite l'accumulation de cadavres éventuellement dangereux. En outre, elles refrènent fortement l'augmentation de nombreux insectes importants du point de vue médicinal en se nourrissant, par exemple, de larvesMusca, de chrysalidesGlossina ou de certains ufs de moustiques.
  相似文献   

3.
Summary Mated workers have replaced the queen as the functional egg-layers in several species of ponerine ants. In such queenless species, the reproductive status of workers can only be determined through ovarian dissections. However, the presence of yolky oocytes is not necessarily an indication of active egg-laying.InRhytidoponera sp. 12, a substantial proportion of the workers confined underground have many large yolky oocytes in their ovaries. Examination of various details of oogenesis (size and appearance of basal oocytes, ...) revealed that oocytes do not mature in unmated workers, and that they accumulate in the ovaries. In the 21 mated workers found in a colony excavated in October 1985, there were fewer large yolky oocytes, and the dense accumulations of yellow bodies indicated that eggs were laid regularly. Thus reproductive differentiation among the workers is controlled by insemination. The lack of egg-laying activity by unmated workers was confirmed by monitoring brood production in the laboratory. Trophic eggs do not seem to exist. Various characteristics of worker reproduction in ponerine ants are discussed.
La division des rôles reproducteurs chez Rhytidoponera espèce 12, une fourmi Ponérine sans reine
Resume Des ouvrières fécondées ont remplacé la reine (dans sa fonction de pondeuse) chez plusieurs espèces de fourmis ponérines. Dans ces espèces sans reine, l'état reproductif des ouvrières ne peut être déterminé qu'avec la dissection des ovaires. Cependant, la présence d'ovocytes en vitellogenèse n'indique pas nécessairement qu'il y ait ponte d'ufs.ChezRhytidoponera espèce 12, une grande proportion des ouvrières actives à l'intérieur du nid ont beaucoup d'ovocytes en vitellogenèse dans leurs ovaires. L'examen de certains détails de l'ovogenèse (taille et apparence des ovocytes basaux...) a démontré que les ovocytes ne mûrissent pas chez les ouvrières non fécondées, et qu'ils s'accumulent dans les ovaires. Chez les 21 ouvrières fécondées trouvées dans une colonie déterrée en Octobre 1985, il y avait moins de gros ovocytes en vitellogenèse, et les accumulations denses de corps jaunes indiquaient que les ufs étaient pondus régulièrement. Donc la séparation des rôles parmi les ouvrières est contrôlée par la fécondation. L'absence de ponte par les ouvrières non fécondées a été confirmée par l'étude du développement du couvain dans des groupes de fourmis au laboratoire. Les ufs trophiques ne semblent pas exister. Certaines caractéristiques de la reproduction ouvrière chez les fourmis ponérines sont discutées.
  相似文献   

4.
This paper derives a model,from a review of published literature and U.S. Army technical reports, for calculating the total heat imposed per unit surface area by direct sunlight. Factors considered include solar zenith angle, water vapor and dust content of the air and terrestrial elevation. Unlike the usual meteorological measurement of total hemispheric radiation, calculated values are obtained for direct solar intensity and also diffuse sky radiation, thus allowing separation of the solar radiation impinging on horizontal surfaces from that on vertical or perpendicular surfaces. Representative calculated values for 9 major climatic regions of the world agree with the limited comparable measured values available.
Zusammenfassung Diese Arbeit beschreibt mittels eines Rückblicks auf die veröffentlichte Literatur und die Technischen Berichte der U.S. Army ein Modell für die Berechnung der totalen Wärmemenge, die einer Oberflächeneinheit durch die direkte Sonnenstrahlung zugeführt wird. Die betrachteten Faktoren schliessen den Einfallswinkel, den Wasserdampf, den Staubgehalt der Luft sowie die Höhenlage ein.Im Gegensatz zur üblichen meteorologischen Messung der totalen hemisphärischen Strahlung erhält man so berechnete Werte für die direkte Strahlungsintensität und auch für die diffuse Himmelstrahlung, so dass damit die Strahlung auf horizontale Flächen von der auf vertikale oder geneigte Flächen getrennt werden kann. Repräsentative berechnete Werte für 6 Hauptklimagebiete der Erde stimmen mit den wenigen vergleichbaren Werten überein, die verfügbar sind.

Resume Dans le présent mémoire, on décrit un modèle permettant de calculer la quantité totale de chaleur reçue par une surface unité par suite du rayonnement solaire direct. Pour ce faire, on a passé en revue les travaux publiés en la matiére et les rapports techniques de l'armée des Etats-Unis. Les éléments considérés sont:l'angle d'incidence, la vapeur d'eau, la teneur en poussières de l'atmosphère et l'altitude. Au contraire des mesures météologiques usuelles indiquant le rayonnement total reçu par un hémisphère on obtient ici des valeurs calculées pour l'intensité du rayonnement direct ainsi que pour le rayonnement diffus. On peut ainsi distinguer le rayonnement tombant sur une surface horizontale de celui atteignant une surface verticale ou ayant une inclinaison quelconque. Des valeurs représentatives calculées pour 6 zones climatiques de la terre correspondent bien aux quelques valeurs comparatives dont on dispose.


Dr.Roller was a Senior Postdoctoral Visiting Research Associate of the National Academy of Sciences-National Research Council on leave of absence from the Department of Agricultural Engineering, The Ohio State University, Ohio Agricultural Research and Development Center, Wooster, Ohio.  相似文献   

5.
Summary Censuses showing the numerical relations between adults and immature stages are presented for numerous colonies of social Hymenoptera. Emphasis is placed on primatively social forms having colonies of very few individuals and lacking a worker caste or having such a caste only feebly differentiated. Evidence is presented for considering the number of immature individuals in a colony as an index of the ability of the adult females (queens and workers) of the colony to produce reproductives of the next generation. The censuses therefore relate colony size (number of adult females) to reproductive potentiality. It is not surprising that in all species the number of immature individuals rises with the number of females in the colony.When the immature stages are measured in numbers of individuals, it can be seen that the number of young rises slowly in relation to increases in number of females (mostly workers),i. e., the curves are rather flat if the same units of measurement are used for both x and y axes. Therefore a relatively large increase in worker number is associated with any increase in production of reproductives of the next generation. (A possible exception occurs inPseudagapostemon which lacks a worker caste.)When numbers of immature stages in a series of colonies of a species are divided by the number of females (queens and workers) in each colony to determine the efficiency of those females in rearing young, it is found that the efficiency per adult female is usually greater the smaller the colony, and that in those primitively social forms which sometimes live as lone individuals, it is these isolated females that produce the most progeny per female. Behavioral social interactions causing deminishing efficiency with increasing colony size must be common.Since higher reproductivity per female is attained by lone individuals rather than by those in groups, selection among egg-layers in small primitive social groups and in early season groups, when worker action is absent or minimal, may be partly responsible for the fact most social insects have colonies with only one queen. Such differential selection may partially explain the fact that colonies of bees typically contain only a single queen in spite of the belief that at least some of them arose phylogenetically through aggregations instead of through subsocial family groups. Other reasons for the frequency of colonies with one rather than many queens are probably more important and include the ease of establishment of a colony by a lone queen, the simplicity of caste controlling mechanisms if the number of functional queens is limited to one as contrasted to the complications if some additional queens are allowed, and various reasons related to selection and intracolonial competition as suggested in the text.
Zusammenfassung Die zahlenmässigen Beziehungen zwischen den Imagines und den jugendlichen Stadien werden für zahlreiche Nestpopulationen von sozialen Hymenopteren aufgezeigt. Besonders berücksichtigt sind dabei primitiv soziale Formen, die kleine Nestpopulationen und keine oder eine nur schwach entwickelte Arbeiterinnenkaste besitzen. Es wird gezeigt, dass die Anzahl der jugendlichen Individuen in einem Nest als Index für die Fähigkeit der erwachsenen Weibchen (Königinnen und Arbeiterinnen) Geschlechtsformen der nächsten Generation zu erzeugen gewertet werden darf. Die Zahlen zeigen daher die Beziehungen zwischen der Grösse der Kolonie (Anzahl der erwachsenen Weibchen) und dem Fortpflanzungspotential. Es ist nicht überraschend, dass in allen Arten die Anzahl der jugendlichen Individuen mit der Anzahl der Weibchen in einer Kolonie steigt.Wenn die Anzahl der jugendlichen Individuen gegen die Anzahl der erwachsenen Weibchen aufgetragen wird, so zeigt sich, dass die Anzahl der Jungen mit wachsender Anzahl von Weibchen (zumeist Arbeiterinnen) langsam ansteigt, d. h. ziemlich falche Kurven werden erhalten. Eine verhältnismässig starke Erhöhung der Arbeiterinnenzahl ist mit einer erhöhten Produktion von Geschlechtstieren für die nächste Generation verbunden (Eine Ausnahme darf möglicherweise inPseudagapostemon gesehen werben, in der eine Arbeiterinnenkaste fehlt).Wenn die Anzahl der jugendlichen Individuen pro Nest durch die Anzahl von erwachsenen Weibchen (Königinnen und Arbeiterinnen) pro Nest geteilt wird um die Leistungsfahigkeit der Weibchen in der Produktion von Nachwuchs zu bestimmen, so stellt sich heraus, dass die Produktionsfähigkeit eines Weibschens um so grösser ist je kleiner die Kolonie ist. Es sind gerade die zeitweise einsamen Weibchen von primitiv sozialen Formen die die meiste Nachkommenschaft pro Weibchen produzieren. Soziale Wechselbeziehungen, die eine Verringerung jener Leistungsfähigkeit mit steigender Koloniegrösse hervorrufen, muss weit verbreitet sein.Da eine erhöhte Fortpflanzungsfähigkeit pro Weibchen eher in einsamen Weibchen erreicht wird als in solchen die in Gruppen leben, muss Selektion unter den Eierlegern in den zahlenmässig schwachen primitiv sozialen Nestverbanden und in den Frühjahrsstadien von anderen Nestpopulationen die dann keine oder wenige Arbeiterinnen haben, teilweise fur die Tatsache verantwortlich sein, dass die meisten sozialen Insekten nur eine Königin pro Volk besitzen. Eine solche differentielle Selektion mag zum Teil die Tatsache erklären, dass im typischen Fall Bienen nur eine Königin besitzen obwohl angenommen wird, dass sich zumindest einige der sozialen Bienen phylogenetisch eher von Aggregationen als von subsozialen Familienverbänden ableiten. Andere Gründe für die Häufigkeit von Arten mit nur einer Königin sind vielleicht ausschalaggebender; jene schliessen mit ein die relative Leichtigkeit der Koloniegründung durch nur ein Weibchen, die Einfachheit des Mechanismus fur die Regulierung der Kastenstärke durch nur ein Weibchen im Gegensatz zur Kompliziertheit im Falle von mehreren Königinnen, und verschiedene andere Gründe, die mit Selektion und Konkurrenz zwischen den Kolonien zu tun haben und im Text näher dargelegt sind.

Résumé Des chiffres indiquent les rapports numériques qui existent entre les stades adulte et larvaire chez de nombreuses colonies d'Hyménoptères sociaux. L'étude porte principalement sur des formes de sociétés primitives constituées par des colonies réduites à quelques individus et dont la caste ouvrière est inexistante ou peu différenciée. Il est montré que, dans une colonie, le nombre d'individus à l'état larvaire peut être un indice de la capacité, pour les femelles adultes (reines et ouvrières), à produire les sexués de la génération suivante. Les chiffres établissent donc un rapport entre la taille de la colonie (nombre de femelles adultes) et le pouvoir reproducteur. Il n'est pas étonnant que, chez toutes les espèces, le nombre d'individus à l'état larvaire s'élève avec le nombre de femelles dans la colonie.Lorsque l'on compte les individus à l'état de larves, on constate que le nombre de jeunes s'élève lentement par rapport à l'accroissement du nombre des femelles (ouvrières pour la plupart), c'est-à-dire que les courbes sont peu expressives si l'on utilise les mêmes unités de mesure pour les 2 axes x et y. Donc, à un accroissement relativement important du nombre des ouvrières, correspond un accroissement variable dans la production des sexués de la génération suivante. (Exception faite peut-être pourPseudagapostemon qui n'a pas de caste ouvirère).Lorsque, dans une série de colonies d'une espèce déterminée, on divise le nombre de larves par le nombre de femelles (reines et ouvrières) afin de déterminer les capacités nourricières des femelles dans chaque colonie, on constate que ces capacités sont d'autant plus grandes pour chaque femelle adulte que la colonie est plus petite; et que dans ces formes de sociétés primitives qui ne comprennent parfois que des individus solitaires, les femelles isolées sont celles qui ont la plus forte descendance par individu. Il est probablement courant que les interactions du comportement social provoquent une diminution des capacités lorsque la colonie s'accroît. Etant donné que le pouvoir reproductif par individu est plus élevé lorsque les femelles sont isolées que lorsqu'elles sont groupées, la sélection parmi les pondeuses de petits groupes sociaux primitifs, tôt dans la saison, lorsque l'activité ouvrière est nulle ou à son minimum, est sans doute une des raisons pour lesquelles la plupart des insectes sociaux forment des colonies à une seule reine. Cette sélection différentielle peut expliquer en partie que des colonies d'abeilles ne contiennent habituellement qu'une reine en dépit du fait que, au moins une certain nombre d'entre elles, proviennent génétiquement de groupes collectifs et non de familles subsociales. Les autres raisons auxquelles on peut attribuer la fréquence des colonies à une plutôt qu'à plusieurs reines, sont sans doute plus importantes: ce sont la facilité de s'établir pour une colonie à reine unique, la simplification des mécanismes de contrôle de caste lorsque le nombre des reines actives est limité à une, opposée aux complications qui surgissent à l'admission d'autres reines, d'autres raisons diverses, liées à la sélection et à la compétition entre les colonies sont suggérées dans le texte.


Contribution number 1117 from the Department of Entomology, the University of Kansas, Lawrence, Kansas.

The preparation of this paper was facilitated by a grant (No. G 11967) from theNational Science Foundation. I wish to thank Dr. RobertR. Sokal for valuable criticism of the paper; Drs.C. L. Farrar andF. E. Moeller of the U. S. Department of Agriculture, Madison, Wisconsin, and Dr.W. E. Laberge of the University of Nebraska for helping me to. obtain certain data, especially unpublished data, on honeybees and bumblebees.  相似文献   

6.
Summary Tranmission of honey in several species of ants was studied using radioactive iodide as a tracer. Great variation in transmission rates between species was noted, ranging from negligible transmission over a ten-day period (inPogonomyrmex badius) to complete colony saturation within thirty hours (inFormica spp.). The honey was passed mostly among workers, very little being given to the queens or larvae. Indirect evidence is cited which suggests the occurrrence of chain transmission beyond the primary donations given by the original foragers.
Zusammenfassung Die Uebertragung von Honig bei verschiedenen Arten von Ameisen wurde mit Hilfe von Zugabe radioaktiven Iodids untersucht. Eine mit der Mischung gefütterte Arbeiterin wurde in das Nest gesetzt, und die Verteilung des von ihr abgegebenen Honigs gemessen. Die Verteilungs-geschwindigkeit war sehr verschieden je nach der untersuchten Art: praktisch zu vernachlässigende Werte, sogar nach 10 Tagen, beiPogonomyrmex badius; vollständige Sättigung des Staates, nach 30 Stunden, beiFormica spp. Der Honig wurde hauptsächlich unter Arbeiterinnen verteilt; die Königinnen und Larven bekamen, wenn überhaubt, nur minimale Mengen. Die Resultate schienen darauf hinzuweisen, daß zur Verteilung im Staate nicht nur die Abgaben der ursprünglich gefütterten Arbeiterin verantwortlich waren, sondern auch Uebertragung der Empfänger untereinander.

Résumé On a étudié la transmission du miel chez plusieurs espèces de Fourmis en se servant d'iodure radio-actif comme traceur. On observe des différences considérables dans le taux de la transmission d'une espèce à l'autre, allant d'une transmission négligeable pour une période de dix jours (chezPogonomyrmex badius) à une saturation intégrale de la colonie en trente heures (chez certaines espèces deFormica). Le plus souvent, le miel est passé d'une ouvrière à une autre, les reines et les larves recevant très peu de miel. Une preuve indirecte suggère une transmission en chaîne au-delà des dons primaires par les ouvrières fourragères nourries à la source.


The authors wish to express their appreciation to Mr. E. W. Samuel, of the Harvard Biological Laboratories, whose expert aid and advice in the use of radioactive tracer technique made this study possible. Research was supported in part by a U. S. Public Health Service grant held by Eisner.  相似文献   

7.
In cattle the water content of the skin was determined (1) in the normal animals; (2) after a 3-day period of water deprivation (dehydration); (3) one hour after the water deprived animals had resumed drinking (rehydration)and (4) one hour after the beginning of infusion of water into the rumen of normal animals (overhydration). Dehydration reduced the water content of the skin from 70.6 to 65.8% on average. Rehydration led to a partial restoration of the water content of the skin. Overhydration did not have a measurable effect on the water content of the skin. A rough estimation of the total amount of water lost during dehydration from the total skin of each animal indicated that on average the calves lost 315 ml,the oxen 1,336 ml of water from their skins.
Zusammenfassung Beim Rind wurde der Wassergehalt der Haut bestimmt (1)in normalem Zustand der Tiere; (2) nach einer dreitägigen Wasserenthaltung der Tiere (Dehydration); (3) eine Stunde nachdem die dehydrierten Tiere wieder zu trinken begannen(Rehydration) und (4) eine Stunde nach begonnener Infusion von Wasser in den Pansen von normalen Tieren (Überhydration). Dehydration verursachte einen mittleren Abfall des Wassergehaltes der Haut von 70.6 auf 65.8%. Rehydration führte zu einer teilweisen Wiederherstellung des normalen Wassergehaltes der Haut, während Überhydration ohne messbaren Einfluss blieb. Der berechnete Wasserverlust von der gesamten Haut als Folge der Dehydration war 315 ml bei den Kälbern und 1.336 ml bei den Ochsen.

Resume On a déterminé la teneur en eau de la peau des bovidés sous quatre conditions: (1) chez des bêtes à l'état normal; (2) par déshydratation (après 3 jours sans abreuvage); (3) une heure après que les bêtes déshydratées aient reçu à boire (réhydratation); (4) une heure après le début d'une infusion d'eau dans la panse de bêtes à l'état normal (surhydratation). L'état de déshydratation a provoqué une baisse moyenne du taux de l'eau cutanée de 70,6% à 65,8%. La réhydratation a eu pour conséquence la reconstitution partielle de la teneur en eau de la peau alors que la surhydratation ne semble pas avoir eu d'effets. La perte en eau calculée par suite de déshydratation fut de 315 ml pour les veaux, de 1,336 ml pour les boeufs.
  相似文献   

8.
Conclusion Il existe une interattraction vraie chez les ouvrières d'Apis mellifica. Cette interattraction a pour point de dépárt un stimulus complexe pour une part de nature vibratoire et pour l'autre de nature olfactive.Le point de départ du stimulus olfactif se situe dans l'abdomen. Enfin pour que le stimulus soit perçu d'une manière efficace par l'abeille il faut que celle-çi soit intégrée à un groupe suffisamment nombreux.  相似文献   

9.
Summary With two combs and one or a small number of workers it was found that the comb itself without brood was less attractive than a comb with cocoon caps or larvae, but single workers were equally attracted to combs with a large or small number of larvae, or queen or non-queen larvae. A worker walked at random when off a comb and tended, when on a comb, to stay with the first group of larvae that it found.Observations in the field showed that adults formed a group at night at the bottom of the nest.Records from six observation nests of whole or almost whole colonies have been collected over a period of three years. In all cases a dominant comb, which carried a larger percentage of the workers than any other comb and usually the queen if present, was soon established. The dominant comb always contained brood, was nearest or one of the combs nearest the entrance, received most foragers, and workers grouped on it more frequently than other combs.The grouping behaviour of workers on a comb can be related to background temperature and caused comb temperature to increase to 29° C–32.5° C.The worker attention a larva received increased as the number of workers on its comb increased.Reasons for and the consequences of grouping behaviour, the appearance of a dominant comb and the position of the latter in the nest, are discussed.
Résumé Au cas où il y a deux rayons et soit un seul, soit un petit nombre d'ouvrières, on constate que le rayon sans couvain attire moins les ouvrières que celui operculé (cocons ou larves). Pour ce qui est d'un petit nombre ou d'un grand nombre de larves, ou encore des larves de reines ou de non-reines, l'attraction est égale pour chaque ouvrière. L'ouvrière ne se trouvant pas sur le rayon se déplace au hasard. De plus, quand elle est sur un rayon elle a tendance à rester avec le premier groupe de larves qu'elle trouve.L'examen des observations effectuées sur le terrain montre que les adultes se groupent la nuit, au fond du nid.Six nids, contenant des colonies entières ou presque entières, ont fait l'objet de plusieurs observations pendant une période de trois ans. Durant la même période, les résultats ont été enregistrés. Dans tous les cas, un rayon dominant s'est établi dans un bref délai. Ce rayon avait un plus grand pourcentage d'ouvrières que tout autre, et comportait généralement la reine. Le rayon dominant contenait toujours du couvain; il se trouvait le plus près de l'entrée du nid (ou bien était parmi les plus près); il recevait le plus grand nombre de butineuses, et des ouvrières s'y groupaient plus fréquemment que sur d'autres rayons.Il est possible d'établir un rapport entre le comportement des ouvrières lorsqu'elles se groupent sur un rayon, et la température ambiante. En effet, ce comportement a entrainé une hausse allant jusqu'à 29° C–32,5° C sur le rayon.L'attention que prêtait une ouvrière à la larve augmentait à mesure que le nombre d'ouvrières sur son rayon augmentait.On traite dans cet article du comportement observé lors d'un groupement, les raisons et les conséquences; ainsi que de l'apparition d'un, rayon dominant et de la position de celui-ci dans le nid.
  相似文献   

10.
Résumé La fréquence des gouttelettes de miellat excrétées par Toxoptera aurantii (Boyer de F.) augmente en la présence de Tapinoma simrothi Krausse., mais le phénomène est seulement important quand les aphides sont familiarisés avec la visite des fourmis. En présence d'ouvrières pourvoyeuses âgées, le nombre de gouttelettes de miellat excrétées par une colonie d'aphides est multiplié par 4,9. Les meilleures performances sont obtenues avec les larves, qui défèquent plus vite que les adultes. Les jeunes ouvrières âgées de moins de deux semaines et isolées juste avant la naissance, sont capables d'augmenter la production de gouttelettes, et ceci sans apprentissage. Mais l'effet est plutôt faible. Dans tous les cas, le nombre de sollicitations pour la nourriture est plus élevé que le nombre des gouttelettes excrétées. Habituellement, les fourmis collectent le miellat directement sur les aphides. Néanmoins, le miellat restant sur les feuilles peut être ramassé, mais cette récolte n'est pas très importante.
Summary The frequency of honeydew droplets excreted by Toxoptera aurantii (Boyer de F.) increases in the presence of Tapinoma simrothi Krausse., but the phenomenon is only important when aphids are familiarized with ant-attendance. In presence of old foraging workers, the number of honeydew droplets excreted by an aphid colony is multiplied by 4.9. The best performances are obtained with larvae, which defecate faster than adults. Young workers less than two weeks old and isolated just before birth, are able to increase the droplets production, and this without apprenticeship. But the effect is rather slight. In all cases, the number of food sollicitations is higher than the number of excreted droplets. Usually, ants collect honeydew directly on aphids. Nevertheless, honeydew remaining on leaves can be picked up, but this gathering is not very important.
  相似文献   

11.
Summary Two new species of the dacetine ant genusKyidris from New Guinea are described. These were always found in mixed colonies with the larger, polymorphic dacetine speciesStrumigenys loriae Emery, which often occurs independently and is generally abundant in the lowland rain forests of New Guinea. The relationship of theKyidris to theStrumigenys is interpreted as a very primitive level of permanent, obligatory, nondulotic parasitism. Multiple queens of both genera occur together, and the brood is completely mixed. The worker population of the parasite is very large, and in one colony studied almost equaled that of the host. The parasite workers contribute to the colony labor by food-gathering and brood-handling, but are relatively inefficient in these tasks; they apparently do not participate in nest building at all.
Résumé Cet article décrit deux espèces nouvelles deKyidris de la Nouvelle Guinée, genre de fourmis dacétines. Elles ont été trouvées toujours en colonies mixtes avecStrumigenys loriae Emery, grande dacétine polymorphe vivant souvent sans son parasite et commune partout dans les forêts humides tropicales à basse altitude de la Nouvelle Guinée. Les relations entreKyidris etStrumigenys sont interprétées comme un stade primitif de parasitisme permanent, obligatoire et non-dulotique. De nombreuses reines des deux genres se trouvent ensemble dans le même nid, et leur couvain est complètement mélangé. Les ouvrières du parasite sont très nombreuses et, dans une des colonies étudiées, étaient presque aussi nombreuses que celles de l'hôte. Les ouvrières contribuent au travail de la colonie en recueillant de la nourriture et en soignant le couvain, mais d'une façon relativement inefficace; elles ne paraissent pas participer à la construction du nid.
  相似文献   

12.
Zusammenfassung An insgesamt 16 Völkern wurden unter verschiedenen Bedingungen die Vorgänge untersucht, die zu den Ausflügen der jungen Bienenkönigin führen. Die Beobachtung ergab, daß die junge Königin nur flugbereit wird, wenn sie von den Arbeitsbienen in bestimmter Weise traktiert und durch den Stock gehetzt wird. Starke Aggressivität eines Volkes seiner jungen Königin gegenüber und starke Ausbildung der Arbeiterinnenovarien fallen zusammen, sind jedoch nicht miteinander gekoppelt.
Summary In 16 colonies of bees the behaviour of worker bees and of young virgin emergency-queens has been observed. The result is that the virgin does not become ready to fly unless she is treated in a certain way by the worker bees.On normal conditions (5 colonies observed) the newly emerged queen does not receive any attention from the workers in the first hours of her life. But from her first midday forth the bees give her great attention by touching, licking, feeding, and facing her. Some workers near the queen show a remarkable vibration of their abdomens in vertikal direction. Besides the queen is frequently attacked by workers who push her, cling on to her, pull her by her legs and wings, and sometimes overthrow her. The queen usually reacts upon such attacks by trying to defend herself, by piping, which causes a sudden numbnes of the bees, and by running away. The flight of the queen stimulates the workers to chase and attack her all the more and often it comes to methodical huntings after the queen. For the queen, the result is increased want of food and an increase of her bodily efficiency until she is ready to fly. Last preparations for flying are made by the queen herself: hurriedly she rushes about on the combs and suddenly she turns to light until she finds the entrance of the hive.—After each flight of the queen the attacks of the bees loose in strength, but become harder again before she starts next time. The attacks are not stopped till the queen begins laying.Observations at a colony dequeened long before receiving a newly emerged queen (strengthened attacks upon the queen) and observations at colonies made of newly emerged bees (no attacks upon the queen) proved the queen to be sooner ready to fly the more she is attacked by the workers. Mild treatment may cause the flights of the queen to be put off or even to be left undone.Colonies attacking their queens hard always contain a high percentage of anatomical laying workers. There seems to be a relation between aggressiveness (towards the queen) and ovary development in worker bees. There is however no direct relation: one colony that did not get any pollen (so that worker's ovaries could not develop) was attacking its virgin queen as well as normal control colonies.

Résumé Le comportement des Abeilles ouvrières et des jeunes reines remplaçantes, nouvellement écloses et vierges, a été observé dans 16 colonies. Il se manifesta que la jeune reine n'est prête à s'envoler que si elle est traitée d'une certaine façon par les ouvrières.Dans des conditions normales (5 colonies observées), les ouvrières ne tiennent aucun compte de la reine qui vient d'éclore. Or, dès le milieu de la première journée de sa vie, l'intérêt des ouvrières est très vif; elles touchent la reine, elles la lèchent, elles la nourrissent et se conforment sur elle. Quelques Abeilles à proximité de la reine manifestent un tremblement étrange de l'abdomen, dans le sens vertical. De plus, la reine est souvent attaquée par des ouvrières; elles la poussent, elles se cramponnent à elle, elles la tirent par les pattes et les ailes, et la renversent. La reine, par réaction, se défend ou s'enfuit; ou elle chante, ce qui fait tomber les Abeilles en torpeur. La fuite de la reine excite les Abeilles à la poursuite qui, parfois, dégénère en chasse acharnée. Le besoin alimentaire de la reine en devient plus fort, ses capacités physiques augmentent, jusqu'au moment où elle est enfin apte à l'envol. Elle s'élance alors avec frénésie par-dessus les rayons; tout à coup, elle se tourne vers la lumière et finit par trouver le trou de vol. Chaque fois que la reine rentre d'un vol, les attaques des Abeilles diminuent; mais elles redeviennent plus intenses jusqu'au départ suivant de la reine. Les attaques ne cessent que si la reine commence à pondre.Des observations faites dans une colonie orphelinée longtemps avant l'introduction de la jeune reine vierge (attaques renforcées contre la reine), ainsi que l'étude d'une colonie de jeunes Abeilles (pas d'attaques contre la reine) ont montré que la reine devient d'autant plus vite apte à l'envol qu'elle est attaquée par les ouvrières. Si la reine est traitée avec douceur, ses essors peuvent être fortement retardés ou même ils n'ont pas lieu.Chez les colonies qui attaquent vigoureusement leur jeune reine, on trouve toujours un grand pourcentage d'ouvrières pondeuses. Il semble donc qu'un rapport existe entre l'agressivité (contre la reine) et la formation des ovaires chez les ouvrières. Ce rapport, cependant, n'est pas direct: une colonie dépourvue de pollen, où, par conséquent, les ovaires des ouvrières ne pouvaient pas se développer, attaqua sa jeune reine aussi vigoureusement que les autres colonies de contrôle normales.
  相似文献   

13.
v. Rhein  Werner 《Insectes Sociaux》1956,3(1):203-212
Zusammenfassung der Ergebnisse Verf. sucht in dieser Arbeit experimentell zu klären, wie die Bienen das Mischfutter zusammensetzen, mit welchem sie die Arbeitermaden in der Altersperiode füttern.Nachdem es sich in früheren Versuchen ergeben hatte, daß bei einer Fütterung lediglich mit Pollen+Honig+Aqua dest. keine Verpuppung zustande kommt, ein Futtersaftzusatz demnach unerläßlich ist, verwendete Verf. bei seinen Brutschrankversuchen die drei von ihm, nachgewiesenen Futtersaftarten: 1.) den Arbeiterfuttersaft, 2.) den Königinjungmaden-Futtersaft, 3.) den Königinaltmaden-Futtersaft. Der Erwartung entsprechend, wurde die Metamorphose durch 3.) am stärksten gefördert, dagegen durch 1.) verhindert. Die Verpuppung einiger mit 2.) gefütterten Maden war ein unerwartetes Ergebnis.Verf. weist nach, daß die biologische Bedeutung des Futterwechsels des Überganges zur Mischfutterernährung, vor allem in der Änderung der Futtersaftqualität liegt, weil diese erst die Metamorphose ermöglicht, ferner, daß die Mitverwendung von Pollen und Honig keine determinative Bedeutung hat, vielmehr dem ebenfalls wichtigen Zwecke dient, unter Einsparung von Futtersaft alle Maden auf ein Gewicht zu bringen, bei welchem sie verwandlungsfähig sind.
Summary The bee-larvae, in their early state, are fed, with pure jelly till they weigh approx. 35 mg. This is, as to its quality, not identical with the jelly for the queen-larvae. Yet with the jelly for queen-young-larvae, which serves to predetermine the female larva for a queen (v.Rhein, 1951), it has in common, that it is only good for the larva in its early state. By this characteristic it differs from the jelly for the queen-old-larvae, by which the predetermined larvae are determined queens; by means of this latter very young worker-larvae can be bred in thermostates. The results are, however, since those are not predetermined, either normal workers or medium forms with more or less enlarged ovaries and spermatic vessels (v.Rhein, 1933). This observation proves, that, for determining the larva for a worker, no pure pollen is necessary.This pollen is found, as it is well known, aside honey, in the mixed food, which is received by the bee-larvae from their hatching-nurses in their later state. That this food also contains jelly was already supposed byRösch (1925). I was able to proof this thesis by way of experiment. I began to feed larvae after their early stage with a mixture of pollen, honey, aqua dest. in relation 32065. Although the larvae grew normally and even reached a weight of 214 mg (norm:approx. 158 mg), they all died before excrementing (v.Rhein, 1933). During the years 1953 and 1954 I was able to solve this problem by adding to the just mentioned mixture in different test-groups 100 and 200 mg jelly for worker-young-larvae, jelly for queen-young-larvae and jelly for queen-old-larvae; the addition of water was decreased, corresponding to the used quantity of jelly, to 670 respectively to 570 mg. The result was as follows:Table (see German text).Thus we can conclude, that the jelly is the most suitable as additional food, for queen-old-larvae while the jelly is not suitable at all for worker-young-larvae.The chrysalis, arised from this experiment, were, judged from the morphologie and anatomic point of view, normal chrysalis of workers, except one chrysalis originated from a particular heavy larva (238 mg), which showed enlarged ovaries (74 ovaries in the average).

Résumé Les larves des Abeilles reçoivent une alimentation particulière jusqu'à ce qu'elles atteignent un poids de 35 mg environ. La gelée qui sert de base à cette alimentation n'est pas qualitativement identique à la gelée royale; le seul caractère commun à ces deux substances est de ne convenir qu'aux très jeunes larves. Ce caractère les sépare de la gelée servie aux vieilles larves de reines grâce à laquelle les larves prédéterminées achèvent leur détermination: cette gelée en effet, peut permettre d'élever complètement de jeunes larves d'ouvrières dans un thermostat. Comme ces larves n'ont pas été prédéterminées, on obtient soit des ouvrières normales, soit des formes intermédiaires, avec ovaires et vésicules séminales plus ou moins hypertrophiés (von Rhein, 1933). Cette observation prouve que le pollen à l'état brut n'est pas indispensable à la détermination d'une larve ouvrière; pourtant on en trouve dans le miel et dans la nourriture mixte servie aux larves d'Abeilles âgées par les nourrices. Depuis longtemps, on a émis l'hypothèse (Resch, 1925) que cette nourriture mixte renferme aussi de la gelée royale. J'ai réussi à en fournir la preuve expérimentale. A la fin de la première phase de l'existence des larves (phase de jeunesse), j'ai commencé à les alimenter avec du pollen, du miel et de l'eau distillée mélangés dans les proportions suivantes: 3/20/65. Les larves se développèrent normalement et atteignirent un poids de 214 mg (le poids normal est d'environ 158 mg), mais elles mouraient toutes avant la défécation (von Rhein, 1933). En 1953 et 1954, je trouvais la solution du problème en ajoutant dans plusieurs groupes expérimentés, au mélange sus-mentionné, 100 ou 200 mg de gelée de jeunes larves d'ouvrières, de gelée de jeunes larves de reines, de gelée de vieilles larves de reines; en même temps, l'apport d'eau correspondant à la quantité de gelée utilisée était réduit respectivement à 670 et 570 mg. Le résultat était le suivant:Tableau (texte allemand).On peut conclure de ce tableau que la gelèe des vieilles larves de reines est la plus propre à servir de nourriture complémentaire; la gelée des jeunes larves d'ouvrières y est totalement impropre. Les nymphes obtenues à la suite de l'expérience étaient, du point de vue morphologique et anatomique, des nymphes normales d'ouvrières, excepté une particulièrement lourde (238 mg), qui présentait des ovaires hypertrophiés (74 avarioles en moyenne).


Durchgeführt mit Unterstützung der Deutschen Forschungsgemeinschaft.  相似文献   

14.
Résumé Nous avons observé depuis longtemps déjà que la FourmiCremastogaster scutellaris forme de grandes colonnes de récolte, formations stables pendant toute une saison. Dans une note précédente (1) nous avons montré qu'il est relativement facile d'étudier l'activité collective des ouvrières hors du nid en faisant varier les facteurs du milieu et en observant le comportement de ces colonnes. Il nous a été ainsi possible de déterminer l'existence d'un thermo-preferendum (situé aux environs de 25° pour cette espèce), pour lequel l'activité de la colonne est maxima. De même nous avons pu montrer que l'activité journalière de ces colonnes est arythmique et se trouve uniquement sous l'influence directe et mesurable de la température.Dans l'étude qui suit, nous avons cherché à savoir de quelle façon les facteurs externes déterminaient l'arrêt d'activité hivernal (hibernation) et la reprise d'activité printanière (rupture d'hibernation) des fourmilières deCr. scutellaris. Nous ne nous occuperons pas ici de ce qui se passe à l'intérieur de la fourmilière ni des incidences de l'hibernation sur le cycle biologique de la colonie (ceci fera l'objet de publicationsultérieures), mais simplement des phénomènes qui sont visibles à l'extérieur du nid et qui affectent les colonnes d'ouvriéres.  相似文献   

15.
Zusammenfassung Es wird versucht etwaige Mechanismen zu erdenken, die das Fortleben in Bevölkerungssystemen fördern könnten. Die Betrachtung eines äusserst vereinfachten Schemas führt zur Abfassung des Begriffes der Beständigkeit gewährenden Nahrungsdichte. Dieser Begrifff ergibt den Schlüssel zur Betrachtung des Konsument-Nahrung-Verhältnisses und dessen lenkenden Rückkoppelung. Diese Lenkung kann einigermassen geändert werden durch die Beschwerde die die Dichte einer Bevölkerung ergeben kann. Dieselbe Prinzipien lassen sich weiter anwenden auf die Nahrungskette. Sodann bedarf das System noch einer Erweiterung durch Einführung paralleler Komponenten. Solange diese parallele Bevölkerungen keine Empfindlichkeit für ihre eigene Dichte aufweisen, werden sie entweder nebeneinander vorkommen können ohne dass ihre Gesamtexistenz gesichert ist, oder er ergibt sich nicht einmal die Möglichkeit eines beständigen Fortlebens aller Komponente. Dichteempfindlichkeit kann aber eine Lenkung zur Beständigkeit hervorrufen wenn die Bevölkerungen vorwiegend durch ihre eigene Dichte beeinflusst werden, und weniger durch die Gesamtdichte der parallelen Komponenten; dieser Umstand wird sich am leichtesten vorfinden im gegliederten Lebensraum. Aber auch auf ganz anderer Weise kann das Fortleben gefährdeter Parallele gesichert werden, nämlich durch (entweder zufällig oder regelmässig) immer wiederkehrende Katastrophen, die zu Gunsten dieser Komponente auswirken. Als Gesamtschluss ergibt sich also, dass der Fortbestand der Mannigfaltigkeit des Lebendigen gefördert werden kann durch eine Ungleichmässigkeit der Lebensbedingungen, entweder in räumlicher oder in zeitlicher Hinsicht.
Résumé On fait un effort d'imaginer des mécanismes utiles à favoriser la survie dans des systèmes de populations. La considération d'un schéma extrêmement simplifié nous mène à dresser la conception de la densité fixante de nourriture. Cette conception nous donne la clef à l'analyse de la relation entre le consument et la nourriture et de son réglage stabilisant. Ce réglage peut être plus ou moins modifié par l'inconvénient que la densité d'une population peut produire. Les mêmes principes sont alors appliqués à la chaîne de nourriture. Ensuite le système doit encore être étendu par l'introduction des composants parallèles. Tant que les populations parallèles ne sont pas susceptibles à leurs propres densités, leur co-existence ne peut être que non-assurée ou même impossible. Cependant, la susceptibilité de leurs densités peut conduire à un réglage stabilisant quand les populations sont avant tout influencées par leur propres densités et légèrement par la densité commune de l'ensemble des composants parallèles; cet état sera réalisé le plus facilement dans un milieu hétérogène. Mais hors de ce réglage, il y a encore une toute autre possibilité que pourrait assurer la survie de parallèles menacés, c'est à dire de catastrophes (soit accidentelles, soit régulières) toujours revenantes et favorisant ces composants. Alors on arrive à la conclusion générale, que la diversité continue du monde vivant peut être favorisée par l'irrégularité des circonstances, soit de l'espace, soit du temps.


The author is much indebted to Prof. Dr. H. R.Van Der Vaart and Mr. P.Smit for their critical discussion of the problems treated in this communication and to Mr. J. A. A.Spiekerman for his able linguistic help.  相似文献   

16.
Summary Newly eclosed callow workers of the primitive ant genusMyrmecia were not attacked by workers from different conspecific colonies. This was true for three different species ofMyrmecia and for three experimental approaches. This finding contradicts the much quoted anedotal report ofHaskins andHaskins (1950). Aggression against conspecific alien worker controls was always significantly greater than aggression against callows. However, contrary to theHaskins' report, intraspecific aggression inMyrmecia rarely resulted in mortality. Nevertheless, in all six species ofMyrmecia kept in the laboratory, mortality did result from frequent intra-colony aggression between workers. Possible explanations are discussed for this unexpected aggression within colonies.Resume Dans le genre de fourmi primitiveMyrmecia, des ouvrières récemment écloses n'ont pas été attaquées par des ouvrières provenant de colonies étrangères de même espèce. Ceci a été établi pour trois espèces deMyrmecia et par trois approches expérimentales. Ce résultat contredit les données anecdotiques, souvent citées deHaskins etHaskins (1950). L'agression, dans des groupes d'ouvrières étrangères homospécifiques, a été toujours significativement plus grande que l'agression contre des ouvrières immatures. Cependant, contrairement au résultats deHaskins etHaskins, l'agression homospécifique chezMyrmecia a rarement entraîné de la mortalité. Néanmoins, dans chacune des six espèces deMyrmecia entretenues au laboratoire, une certaine mortalité se produit par suite des attaques fréquentes entre ouvrières de la même société. Quelques explications possibles sont discutées pour cette agression inattendue au sein des sociétés.
L'agression intraspécifique chez les fourmis primitives du genreMyrmecia
  相似文献   

17.
The radioisotope 125Iodide, a gamma emittor, was used in two different forms, as 125I mixed with egg yolk and as 125I covalently attached to egg albumin and mixed with egg yolk, to study food flow in the imported fire ant, Solenopsis invicta Buren. The biological half life of 125I-albumin in egg yolk powder was determined to be 96 hr in isolated workers, 108 hr in individuals held with small groups of unlabelled workers, and 1,008 hr in workers held in colonies exposed to labelled food for 48 hr. In contrast, the biological half life of free 125I mixed with egg yolk powder was 22 hr, 20 hr, and 40 hr, respectively.The internal distribution of radioactivity was checked after 24,48, and 380 hr. There was a significant difference in distribution of 125I in ants fed either free 125I or 125I-albumin. Most of the free 125I was rapidly excreted. A high percentage of 125I-albumin was assimilated, apparently through protein digestion pathways with eventual storage in or below the cuticle. There was no evidence of gland involvement in food flow to either larvae or queens with the radio-iodinated protein.
Résumé L'utilisation de l'iode radio-actif (125I) a permis d'étudier le cheminement de la nourriture chez Solenopsis invicta Buren (Myrmicinée). Deux formes différentes de l'isotope ont été étudiées. L'iode 125 a été fixé d'une manière covalente à la tyrosine dans l'albumine des oeufs en utilisant la méthode chloramine T pour ioder les protéines. L'albumine marquée a été mangée ensuite à du jaune d'oeuf en poudre.La seconde forme contenait de l'iode 125 mélangé au jaune d'oeuf en poudre en absence de tout catalyseur, ce qui empêche la fixation chimique. La demi-vie biologique (Tbiol) des deux formes a été déterminée chez des ouvrières isolées, chez des individus gardés avec de petits groupes d'ouvrières non-marquées, et chez des ouvrières gardées dans des colonies exposées à la nourriture radio-active pendant 48 h. La demi-vie biologique de l'albumine marquée était de 96 h, 108 h, et 1.008 h. En contraste, la demi-vie de l'iode 125 était de 22 h, 20 h, et 40 h. L'effet de groupe créé par des échanges répétés de nourriture entre les individus était négligeable avec la nourriture protéique. L'échange répété de nourriture entre les larves et les ouvrières a beaucoup augmenté la demi-vie de l'albumine marquée à I 125. Cet effet n'était pas aussi clair avec l'iode 125 par suite de son élimination rapide.La distribution de la radio-activité a été examinée chez des ouvrières au bout de 24, 48 et 380 h après les avoir nourries avec de l'albumine marquée à I 125 et de l'iode 125. Il y avait une différence considérable de distribution, avec un haut pourcentage d'albumine assimilé, sans doute par les voies de digestion de protéines. Le radio-isotope a été ensuite conservé sous forme d'iode 125 ou d'iodotyrosine, dans (ou sous) la cuticule de l'ensemble du corps. Les fourmis ont rapidement excrété l'iode 125 libre avec 5% de la radioactivité résiduelle après 380 h, peut-être fixée aux protéines cellulaires, et ensuite transportée vers la cuticule. Les différences considérables entre les demi-vies biologiques et la distribution interne de la radioactivité chez les fourmis nourries avec de l'iode 125 ou à l'albumine marquée à I 125, soulignent le danger de croire que le cheminement de la nourriture peut être définitivement étudié en utilisant des radio-isotopes qui ne sont pas fixés chimiquement à la substance étudiée.
  相似文献   

18.
Riassunto L'autore riassume le attuali conoscenze sulla monoginia dei formicidi e discute dell'opportunità di adottare questo termine in luogo di altri preesistenti nella letteratura. Vengono inoltre riferite alcune esperienze in base alle quali è lecito concludere che ilLeptothorax exilis Em. è specie monogina e che questa condizione, nel caso di fusione tra colonie giovani, è assicurata dall'intervento delle operaie. L'aggressività delle operaie nei confronti delle regine estranee non può essere spiegata solo in base alla diversità dell'odore caratteristico del formicaio ed è in stretta correlazione con la presenza della regina madre od anche solo del suo cadavere. Vengono inoltre schematizzati i diversi metodi con cui le formiche si assicurano la monoginia della colonia.
Summary The autor summarizes present knowledge about the monogyny of Formicidae and considers the appropriateness of this term in preference to those hitherto in use. The A. also reports some experiences that lead to the conclusion thatLeptothorax exilis Em. is a monogynic species, a condition which in case of the fusion of young colonies is assured by the intervention of the workers. The aggressive behaviour of the workers toward foreign queens cannot be explained solely by the diversity of the odor characteristic of each colony. It is also in direct relationship with the presence of the queen mother or even just her corpse. The A. outlines the various methods by which ants assure the monogyny of the colony.

Résumé L'auteur résume les connaissances actuelles sur la monogynie des fourmis et discute l'opportunité d'adopter ce terme au lieu des autres préexistants dans la littérature. Il rapporte en outre quelques expériences qui lui permettent de conclure queLeptothorax exilis Em. est une espèce monogyne et que cette condition, en cas de fusion entre jeunes colonies, est assurée par l'intervention des ouvrières. L'hostilité des ouvrières contre les reines étrangères ne peut pas être expliquée par la seule diversité de l'odeur caractéristique du nid et est strictement liée à la présence de la reine mère ou même seulement à celle de morceaux de son cadavre. On fournit enfin un schéma des différentes méthodes avec lesquelles les fourmis assurent la monogynie de la colonie.
  相似文献   

19.
Summary The honeybee can reach the nectar from the mouth of the hairy vetch blossom by tripping it, or she can insert her tongue between the petals at the base of the corolla tube and reach the nectar. These non-trippers are called base workers. The foraging method is learned and becomes fixed through success at foraging from a very few blossoms in one manner during almost random attempts to reach the nectar. A slightly larger percentage of trippers reached the nectar by inserting the tongue to their right than to their left of the sexual column. There were never many bees in the field that foraged some blossoms as trippers and others as base workers, nor were there many that foraged for pollen only. When there was a good nectar flow early in the season there were few bees foraging as base workers, and the number of trippers foraging for nectar only was about equal to the number gathering both pollen and nectar. After a few days with a poor nectar flow the percentage of tripping bees gathering nectar only decreased sharply, the percentage gathering both nectar and pollen increased slightly, and the percentage of base workers increased sharply. There was a larger proportion of base workers in vetch with scattered blossoms than in vetch with numerous blossoms, and also a larger proportion of base workers in vetch with a heavy aphid infestation than in vetch in which these insects were controlled. During a poor nectar flow base worker gathered larger loads of nectar than trippers. To explain these observations, it is proposed that bees prefer to gather nectar which yields the greatest return in sugar per unit expenditure of energy, and that base workers expend less energy in foraging from blossoms than trippers. It is believed that base workers are more sensitive than trippers to competing foragers, and thus are more likely to be forced into areas with the least competition, that as the nectar flow deteriorates more trippers than base workers cease to forage, and that most of the bees that normally trip blossoms but have had some experience as base workers, and possibly some other trippers, begin to forage exclusively as base workers.
Zusammenfassung Die Honigbiene kann vom Munde der behaarten rauhhaarigen Wickenblüte (Vicia villosa) aus an den Nektar kommen, indem sie die Blüte oben aufschnellen läßt, oder sie kann den Rüssel, zwischen den Blütenblättern am unteren Ende der Korollenröhre hindurchzwängen und so den Nektar erreichen. Diese Blüten nicht schnellenden öffnenden Arbeitsbienen nennt man Bodenarbeiterinnen. Die Sammelmethode wird erlernt und beibehalten durch erfolgreiches Sammeln nach derselben Methode an einigen wenigen Blüten bei fast planlosen Versuchen, den Nektar zu erreichen Ein etwas größerer Prozentsatz von blutenschnellendern Bienen erreichten den Nektar, indem sie den Rüssel rechts statt links an dem Stempel vorbeizwängten. Es gab nur wenige Bienen im Felde, die einige Blüten als Schnellerinnen, andere Blüten dagegen als Bodenarbeiterinnen besuchten; auch waren nicht viele da, die nur Pollen einsammelten. Bei reichlicher Nektartracht im Frühjahr gab es nur wenige Bodensammlerinnen, und die Anzahl von Schnellerinnen, die nur Nektar sammelten, war etwa der Anzahl derer gleich, die sowohl Nektar als auch Pollen sammelten. Nach ein paar Tagen mit schlechtem Nektarertrag ging der Prozentsatz von schnellenden Nur-Nektar-Sammlerinnen stark zurück; der Prozentsatz von Bienen, die zugleich Nektar und Pollen sammelten, nahm um ein weniges zu; und der Prozentsatz von Bodensammlerinnen erfuhr eine starke Erhöhung. Es wurden mehr Bodensammlerinnen in Wicken mit verstreuten Blüten festgestellt als in denen mit zahlreichen Blüten. Dasselbe gilt für Wicken, die stark mit Blattläusen verseucht sind, gegenüber solchen worin die Schädlinge im Zaum gehalten werden. Wenn wenig Nektar erzeugt wird, sammeln die Bodensammlerinnen mehr Nektar als die Schnellerinnen. Um diese Beobachtungen zu deuten, folgern wir so: die Bienen sammeln am liebsten da, wo die größte Ausbeute an Zucker je Einheit Energieverbrauch zu erzielen ist, und die Bodensammlerinnen verbrauchen weniger Energie beim Besuch der Blüten als die Schnellerinnen. Man glaubt weiter, daß die Bodenarbeiterinnen konkurrierenden Insekten gegenüber empfindlicher als die Schnellerinnen seien, und daß sie so mit größerer Häufigkeit gezwungen werden, Gebiete mit wenigern Konkurrenten zu besuchen; daß wenn die Tracht versiegt, mehr Schnellerinnen als Bodenarbeiterinnen zu sammeln aufhören, und daß die meisten Bienen, die normalerweise zu den Schnellerinnen gehören, aber außerdem etwas Erfahrung als Bodenarbeiterinnen haben (und vielleicht auch einige andere Schnellerinnen) jetzt ausschließlich als Bodenarbeiterinnen zu sammeln anfangen.

Sommaire L'Abeille peut atteindre par la bouche le nectar de la fleur de la vesce velue (Vicia villosa) en la tripping ou elle peut insérer la langue entre les pétales à la base de la corolle et ainsi attindre le nectar. Ces Abeilles non-tripping s'appellent les ouvrières de base. Cette méthode de butiner est apprise et devient fixe à cause du succès à butiner une petite quantité de fluers d'une seule façon pendant pour ainsi dire des essais d'atteindre le nectar à l'aventure. Un pourcentage plus grand de trippers ont atteint le nectar en insérant la langue à droite de la colonne sexuelle que celles qui l'ont insérée à gauche. Il n'y avait jamais beaucoup d'Abeilles dans le champ qui butinaient les fleurs tantôt comme trippers, tantôt comme ouvrières de base. Il n'y avait pas non plus beaucoup d'Abeilles qui butinaient le pollen uniquement. Quand il y avait une bonne miellée dans la première partie de la saison, il y avait peu d'Abeilles butinant comme ouvrières de base, et le nombre d'Abeilles tripping butinant le nectar uniquement était à peu près égal au nombre recueillant et le nectar et le pollen. Après quelques jours d'une miellée pauvre, le pourcentage des Abeilles tripping recueillant le nectar uniquement diminuait nettement, le pourcentage des Abeilles recueillant et le nectar et le pollen augmentait un peu, et le pourcentage des ouvrières de base augmentait nettement. Il y avait une plus grande proportion d'ouvrières de base dans la vesce aux fleurs dispersées que dans la vesce aux nombreuses fleurs, et aussi une plus grande proportion d'ouvrières de base dans la vesce infestée d'Aphides que dans la vesce dans laquelle les insectes étaient maîtrisés. Pendant une miellée pauvre, les ouvrières de base ont recueilli de plus grandes quantités de nectar que les trippers. Pour expliquer ces observations, il pense que les Abeilles aiment mieux recueillir le nectar qui donne le plus grand renvoi de sucre par unité d'énergie dépensée et que les ouvrières de base dépensent moins d'énergie à butiner les fleurs que les trippers. Je crois que les ouvrières de base sont plus sensibles que les trippers à la concurrence des autres butineuses et, donc, peuvent être plus facilement obligées d'aller dans les sections moins compétitives, que plus de trippers que d'ouvrières de base cessent de butiner quand la miellée s'amenuise, et que la plupart des Abeilles qui trip les fleurs habituellement, mais qui ont un peu d'expérience comme ouvrières de base, et, probablement quelques autres trippers, commencent à butiner exclusivement comme ouvrières de base.


Published as technical contribution No. 2403, Texas Agricultural Experiment Station.  相似文献   

20.
Zusammenfassung Arbeiterinnen der WaldameisenartFormica polyctena Foerst. wurden von Winter bis Sommer auf die Höhe ihrer Vorzugstemperatur untersucht. Dabei wurde eine Temperaturorgel mit doppeltem Temperaturgradienten nach dem Krügerschen Prinzip, (Krüger, 1952) verwendet. Das Bild einer positiven Thermotaxis wurde während der gesamten Untersuchungszeit gestützt. In der feuchten Temperaturorgel (90–100% rl. F.) ergab sich von der winterlichen Ruhephase, bis zur hochsommerlichen Aktivitätsperiode eine Vorzugstemperatur zwischen 25,15°±1,29° C und 32,07°±0,75° C. Dabei waren keine Unterschiede zwischen Speichertieren und Kuppeltieren, Aussen-oder Innendiensttieren oder jahreszeitliche Verschiebungen zu beobachten. Es ergaben sich keine Hinweise auf eine negative Thermotaxis der eingewinterten Arbeiterinnen (im Gegensatz zu den ErgebnissenZahns, 1958). Die Wintertiere stellten sich zunächst einige °C über dem Vorzugstemperaturbereich ein und rückten nach 20–30 Minuten auf den Normalwert ab. In der trockenen Orgel gingen die Arbeiterinnen zu allen Jahreszeiten innerhalb einer halben Stunde zum Kühlbereich mit hoher Luftfeuchtigkeit über. Während des Sommers war allerdings in diesem Falle eine sehr viel stärker diffuse Verteilung auf höhere Temperaturstufen zu beobachten, besonders bei den Aussendiensttieren. Es bestehen in dieser Hinsicht Verhaltensunterschiede zwischen Sommer-und Wintertieren. Die herbstliche Wanderungsbewegung der Innendienst-Arbeiterinnen in die Nesttiefe bleibt zu klären.
Summary The workers of the forest antsFormica polyctena Foerst. were investigated for their preferential temperature from winter to summer time. We employed a ring with double temperature gradients accord to theKrüger's principle. We obtained a positive thermotaxis during the whole experimental period. Under humid conditions (90–100%) we found in the case of winter hibernating forms to summer activity period the preferential temperatures of 25,15°±1,29°C and 32,07±0,75°C. No difference was found between the workers with high fat content and the workers inhabiting the upper part of the nests, between animals working outside and inside at the different times of the year. No indication was found that the hibernating workers have a negative thermotaxis (contrary to the results ofZahn, 1958). The winter animals prefere at first a temperature, little higher than normal preferential temperature and then, after 20 or 30 min. they go down. Under dry conditions in all seasons, the workers retire within half an hour to the cool range with higher humidity. During the summers in such conditions a diffuse distribution at higher temperatures was observed, specially in the outside workers. The cause of the inside workers migrations to the deeper part of the nest in autumn must be cleared.

Résumé On a examiné la valeur de la température de preferendum d'ouvrières de la fourmi forestièreFormica polyctena Foerst. de l'hiver à l'été. On utilisa pour cela un orgue à température avec un double gradient de température selon le principe deKrüger (Krüger, 1952). La représentation d'une thermotaxie positive fut confirmée pendant toute la durée de l'expérience. Dans l'orgue à température humide (90–100% d'humidité relative de l'air), on obtint de la phase de repos hivernal à la période d'activité du milieu de l'été une température de preferendum comprise entre 25,15°±1,29°C et 32,07°±0,75°C. On ne put observer ni des différences entre les insectes réservoirs (=Speichertiere, insectes emmagasinant des substances de réserve) et ceux de la coupole, les insectes du service intérieur et ceux de l'extérieur, ni des variations saisonnières. On n'eut aucune indication de thermotaxie négative chez les ouvrières en hibernation (contrairement aux résultats deZahn, 1958). Les insectes d'hiver se placèrent tout d'abord à quelques degrés centigrades au-dessus de leur température de preferendum et 20 à 30 min. après revinrent à la valeur normale. Dans l'orgue sec, les ouvrières passaient en toute saison dans la partie fraiche ayant une forte humidité relative de l'air, et cela en une demi-heure. Mais pendant l'été, on pouvait observer dans ce cas une répartition bien plus diffuse dans les températures plus élevées, particulièrement chez les insectes du service extérieur. Il y a de ce point de vue encore des différences entre insectes d'été et insectes d'hiver. Il reste encore à expliquer le déplacement automnal des ouvrières du service intérieur vers les profondeurs du nid.


Abschnitt aus einer Arbeit, die von der Naturwissenschaftlichen Fakultät der Julius-Maximilians-Universität Würzburg 1964 als Dissertation angenommen wurde. Unterstützt durch Sachbeihilfen der Deutschen Forschungsgemeinschaft. Herrn Prof. Dr.K. Gösswald, zum 60. Geburstag in Dankbarkeit gewidmet.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号