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1.
The chemical composition of yeast and mycelial cells of three strains ofHistoplasma capsulatum was analyzed and is expressed as per cent dry weight. Cultures were grown in a liquid synthetic medium, mycelial cells at 25°C and yeast at 37°C on gyrotory shakers. After 7 days, deoxyribonucleic acid (DNA), ribonucleic acid (RNA), and protein were higher in the yeast cells while mycelial cells contained more lipid and carbohydrate. The components of one strain were also studied at different stages of growth. The DNA in both yeast and mycelial cells remained relatively constant, but other components varied with the age of culture. In yeast cells the RNA level was 6.8 % at 2 days and then declined sharply remaining constant around 3.5 %. A protein content of 29 % on day 2 decreased gradually to 19 % on day 14. An initial lipid content of 21 % rose to 33 % on day 5 and then decreased. Similarly, an initial carbohydrate level of 17 % rose to 25 % on day 7 and then declined. The mycelial cells contained 4 % RNA up to 10 days followed by a slight decline to 3 % on day 14. A protein content of 20 % on day 5 increased to 24 % on day 10 and then decreased to 15 % on day 28. The lipid content of 33 % on day 5 rose to 38 % on day 7 and then decreased gradually. The carbohydrate level of 20 % at 5 days increased to 38 % on day 10 and declined gradually to 27 % after 28 days.
Résumé La composition chimique des cellules levuriformes et mycéliennes de trois souches deHistoplasma capsulatum a été déterminée. Le champignon a été cultivé dans un milieu synthétique liquide secoué à 25° C pour la phase mycélienne et à 37° C pour la phase levuriforme. Après 7 jours d'incubation, les cellules levuriformes étaient plus riches en acides nucléiques et en protéines que les cellules mycéliennes qui étaient par contre plus riches en lipides et en hydrates de carbone. La composition d'une des souches fut étudiée à différentes étapes de la croissance. La teneur en ADN des deux phases resta relativement constante mais des variations furent observées dans le cas des autres constituants chimiques. Pour ce qui est des levures, l'ARN qui constituait 6,8 % du poids des cellules sèches à deux jours, tomba rapidement à 3,5 % et resta constant. Les proteines passèrent de 29 % au deuxième jour à 19 % au quatorzième jour. Au contraire, la teneur en lipides passa d'un valeur initiale de 21 % à 33 % au cinquième jour, pour diminuer de nouveau par la suite. De même, une teneur initiale en hydrates de carbone de 17 % passa à 25 % au septième jour puis diminua par la suite. Dans les cas des cellules mycéliennes contenaient 4 % de ARN jusqu'au dizième jours, puis cette valeur tomba légèrement jusqu'à 3 % au quatorzième jour. Les protéines qui représentaient 20 % au cinquième jour augmentèrent jusqu'à 24 % au dizième jour pour tomber à 15 % au vingthuitième jour. La teneur en lipides de 33 % au cinquième jour augmenta jusqu'à 38 % au septième jour pour diminuer graduellement. De même les taux en hydrates de carbones qui représentaient 20 % au cinquième jour augmentèrent jusqu'à 38 % au dixième jour et diminuèrent graduellement jusqu'à 27 % au vingt-huitième jour.
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2.
The squash bug, Anasa tristis DeGeer (Heteroptera: Coreidae), is a major pest of cultivated cucurbits in much of North America. Its seasonal population dynamics are determined in large part by the early season phenological adaptations of the overwintered adults. Squash bugs were maintained on pumpkin, Cucurbita moschata Duchesne (Cucurbitaceae), seedlings. Factors influencing the termination of diapause in squash bugs were studied. Squash bugs transferred from outdoors to long-day conditions during their prediapause period in October (when the respiratory rate declines to diapause levels) required longer to terminate diapause than squash bugs transferred in the winter after the prediapause period was completed. Females did not oviposit after up to 150 days in short-day conditions. Squash bugs maintained outdoors under natural photoperiods remained in diapause until at least late April. Food was shown to be necessary for the prompt termination of diapause.
Résumé A. tristis (Hétéropt.: Coreidae) est un ravageur important des cucurbitacées dans une grande partie de l'Amérique du Nord, particulièrement de Cucurbita spp. Les événements phénologiques du début de la saison conditionnent la dynamique de population pour la saison entière. Cette étude concerne l'influence de la photopériode et de l'alimentation dans l'achèvement de la diapause. Les adultes ont été maintenus sur des plantules de Cucurbita moschata Duchesne (var. Libbey's Select). La diapause était établie par la mesure du taux respiratoire et par l'absence de ponte. La diapause était surveillée chez des insectes maintenus à l'extérieur en conditions naturelles, leurs taux respiratoires se maintenaient au taux correspondant à la diapause jusqu'à la fin avril au moins. Placés après novembre en jours longs et à 25°C, la diapause s'interrompait rapidement. Ceux transférés en jours longs plus tôt ont interompu leur diapause mais ont demandé plus de temps pour réagir au changement de photopériode. Transférés à 25°C mais en jours courts, leur diapause n'était pas interrompue jusqu'à la fin de l'expérience 150 jours plus tard. L'alimentation est nécessaire pour une interruption rapide de la diapause en jours longs. L'alimentation associée à des jours longs ou croissants semble nécessaire à l'achèvement de la diapause de A. tristis dans les conditions naturelles.
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3.
Summary Lotus tenuis was inoculated withRhizobium spp. and grown at three different night temperatures (17, 21 and 27°C) and at two different photoperiods for each temperature: short days (SD) of 8-h light and long days (LD) of 16-h light. Night temperature exerted a stronger effect on dry-matter partitioning than of total dry-matter accumulation. Leaf area increased under LD though less N per leaf area was found. A greater number of leaves under SD might be linked to a day-length effect upon apical dominance and hence on branching, thus resulting in a greater crown growth. Nodulation and nitrogen fixation was greater under SD though specific nodule activity was the same regardless of the environmental conditions of growth. It can be concluded that the best planting time forLotus tenuis would be in the autumn when the days are shortening and the temperature is lower.
Effet de la température nocturne et de la photo-période sur la croissance nodulaire et la fixation d'azote chez Lotus tenuis
Résumé Lotus tenuis a été inoculé avecRhizobium spp. et mis à croître aux trois températures nocturnes, de 17, 21, et 27°C et à deux photo-périodes pour chaque température: des jours courts (SD) de 8 heures de lumière et des jours longs (LD) de 16 heures de lumière. La température nocturne exerce un effet davantage marqué sur la répartition de la matière sèche que sur l'accumulation totale de la matière sèche. La surface foliaire augmente dans le cas des LD bien que l'on trouve moins d'azote par unité de surface foliaire. Dans le cas des SD, de plus grands nombres de feuilles pourraient être liés à un effet de longueur de jours sous dominance apicale, c'est-à-dire en banchement, résultant donc dans la croissance d'une plus grande couronne. La nodulation et la fixation d'azote sont plus grandes dans le cas des SD bien que l'activité spécifique des nodules soit la même, indépendamment des conditions environnementales de croissance. On peut en conclure que le meileur moment de plantation pourLotus tenuis serait l'automne lorsque les jours raccourcissent et que la température est plus basse.
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4.
Conclusions Cultivé sur un milieu synthétique vitaminé, Phycomyces n'absorbe pas, dans les limites de concentration de nos expériences, une quantité appréciable de vitamine B 1. Le test animal ne permet pas de mettre en évidence une synthèse de la vitamine B 1 par le champignon.La quantité maximum de vitamine B 1 qui, théoriquement pourrait être présente dans le mycélium du champignon, en admettant le cas le plus favorable, est trop faible pour pouvoir agir sur le champignon et activer un milieu synthétique.Il est très probable que l'on doive faire appel au second facteur de croissance de Mucorinées (facteur M). Aux dépens où à la faveur de la présence de la vitamine B 1, Phycomyces fabrique donc, à part le facteur agissant sur la levure (effet bios), une autre substance auxogène activant le développement d'une nouvelle culture du champignon.Si la substance en question, contenue dans l'extrait de Phycomyces, agit sur le développement d'une nouvelle culture, il faut naturellement admettre que dans le premier mycélium, ayant servi à préparer l'extrait, un rôle doit lui être dévolu également.L'action de la vitamine B 1 ne nous semblerait donc pas directe; la présence de cette dernière est indispensable pour permettre au champignon d'effectuer la synthèse des facteurs qui lui sont propres.  相似文献   

5.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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6.
Résumé Tetrastichus atriclavus, Eulophide de zone tropicale, s'attaque aux chrysalides de divers Lépidoptères. Il est élevé au laboratoire sur un hôte de remplacement: Galleria mellonella (Pyralidae), à 26°5 et à la photopériode 18 h (L) / 6 h (D).Dans ces conditions, l'accouplement a peu d'influence sur l'activité de ponte: la différence entre la fécondité des femelles vierges et celle des femelles accouplées n'est pas significative. De plus, les femelles vierges ont un fonctionnement ovarien comparable à celui des femelles accouplées.La fécondité est maximale en présence continue de l'hôte. L'absence d'hôte entraîne des rétentions, sans résorption. Lorsque l'hôte est introduit plusieurs jours après l'émergence du parasite, la capacité de ponte de ce dernier diminue. La diminution est d'autant plus grande que le temps de privation est plus long. Un grand nombre d'ufs est pondu immédiatement après l'introduction de l'hôte. Si le temps de privation est inférieur ou égal à 10 jours, on assiste, après la ponte massive du premier jour, à une reprise de l'activité du germarium.
Summary Tetrastichus atriclavus, an Eulophid which is found in tropical regions, parasitises pupae of several Lepidoptera. It is reared in the laboratory on Galleria mellonella pupae, at 26.5° and with the photoperiod 18 h (L)/6 h (D).Mating has little influence on oviposition: there is no significant difference between the fecundity of virgin and mated females. Fecundity is highest when the host is always present. When the host is provided several days after the emergence of the parasite, the number of eggs laid is lower, the decrease being higher as the absence of host is longer. Many eggs are laid just after the host is provided. If the absence of host is 10 days or less, the germarium becomes active again after the heavy oviposition on the first day.


Nous dédions ce travail à la mémoire du Professeur J. R. Le Berre, avec notre hommage reconnaissant et ému.  相似文献   

7.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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8.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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9.
Résumé 1. Les expériences ont été faites dans le but de suivre le cours du nombre de germes et de la teneur en humidité du lait sec en le conservant à différents degrés d'humidité relative. On a commencé par conserver la poudre en couche d'une épaisseur quelconque. Plus tard on a conservé des échantillons de fabrication différente en couches minces.2. Si on met le lait sec dans un milieu dont il peut absorber l'humidité alors une forte baisse du nombre total de germes a d'abord lieu. Puis ce nombre de germes reste assez constant pendant longtemps pour remonter de nouveau quand l'humidité dans la poudre a atteint un certain niveau. Au-dessous de cette teneur en humidité critique le développement d'une flore microbienne considérable n'est pas possible.3. La teneur en humidité critique est indépendante de la tension de vapeur de l'air où la poudre a absorbé de l'eau.4. La teneur en humidité où la moisissure visible se produit est d'autant plus basse que la poudre est conservée dans une humidité relative plus basse.5. Dans une humidité relative de 100%, 90% et de 85% la moisissure se produit avant que la teneur en humidité de la poudre soit en équilibre avec l'humidité de l'air ambiant; à 75% d'humidité relative l'équilibre s'est déjà établi avant le début de la moisissure.6. Avant d'atteindre l'équilibre à 75% d'humidité relative quelques poudres ne reprenaient de l'humidité que beaucoup plus tard, jusqu'à une teneur de 20% environ, puis cette teneur rebaissait et atteignait une valeur normale conforme à celle des autres poudres qui absorbaient l'eau immédiatement jusqu'à cette teneur normale.  相似文献   

10.
Larvae of the lacewing Nineta pallida (Schneider), collected in the field during two seasons, from September to July, were reared in the laboratory under short- or long-day light conditions at 21°C. In autumn and winter, artificial short days delayed the first ecdysis. The influence on the duration of the first instar was maximal (3.4 times longer) when the short days began at hatching time, and later regularly diminished. In spring, the second and third instars showed a reversed response so that the long days now increased the duration of development, although development took no more than 1.4 time as long as in short days. A similar effect appeared in field-collected third instars on and after mid June, reaching its maximum (1.8 time until the cocoon spinning) in July. This sort of photoperiodic effect on the larval development is new to the seasonal adaptation of the life cycle in insects.
Résumé Des formes préimaginales (oeufs, puis larves) de N. pallida sont récoltées sur des conifères de montagne (Pyrénées), chaque mois depuis septembre jusqu'en juillet en deux saisons (1983/84 et 1985/86). Elles sont ensuite élevées au laboratoire à 21°C, soit en jours longs (JL=L16:D8), soit en jours courts (JC=L8:D16).Le développement embryonnaire est légèrement plus long s'il se fait en JC. Pour les larves de premier stade récoltées en automne et en hiver, les JC retardent considérablement la première mue et prolongent aussi le deuxième stade qui en provient. L'influence retardatrice est maximale (3,4 fois) lorsque les JC agissent dès l'éclosion. Elle diminue ensuite progressivement et devient insignificante pour les larves récoltées à artir de février.Au printemps, les larves récoltées au deuxième stade ainsi que les troisièmes stades qui en découlent présentent une réaction inverse: ce sont alors les JL qui augmentent la durée du dévelopement, toutefois, pas plus de 1,4 fois par rapport aux JC. Un effet de même ordre se manifeste sur les larves de troisième stade récoltées à partir de juin, atteignant son maximum (1,8 fois) dans le lot de larves de juillet, c'est-à-dire peu avant la fin de la croissance pondérale larvaire et le coconnage.Un tel retardement du développement larvaire hivernal, prolongé au printemps et au début de l'été par une inversion de la réponse à la photopériode, est nouveau comme élément d'adaptation saisonnière du cycle naturel chez les insectes.
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11.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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12.
Observations were made on the calling behaviour of virgin female Epiphyas postvittana, and on associated factors. The amount of calling varied with the age of the female, the longest total durations being on days 2 and 6 of adult life and the shortest on day 4. It is probable that the peak of activity occurs on day 2. The pattern of calling on day 6 was abnormal, probably as a result of the onset of senescence.Total pheromone content and the number of mature eggs in the ovary also varied with age. The pheromone content increased until day 5 and then dropped sharply — probably again due to senescence — and the number of mature eggs increased until days 3 and 4. The number on day 4 was not significantly different from that on day 3, but the high variance on day 4 indicated some females had oviposited. A 2-hour call by day-3 females caused a substantial drop in total pheromone content.
Résumé Des femelles vierges d'Epiphyas postvittana sont étudiées pour déterminer l'influence de l'âge sur les manifestations d'appel sexuel, sur la teneur en phéromone et sur la maturation des ufs. L'appel sexuel qui se reconnaît à l'abaissement et à l'incurvation de l'abdomen vers l'avant ainsi qu'à l'éversion des glandes à phéromone, n'est pas continu chaque nuit mais se répartit en nombreuses périodes dont la durée peut varier de 5 minutes à 2 heures.La manifestation de l'appel sexuel varie avec l'âge; les plus longues durées s'observent au 2e et au 6e jour de la vie imaginale, les plus courtes au 4e jour. Ces variations dans la durée totale résultent des changements qui interviennent d'un jour au suivant dans la longueur des périodes d'appel, dans le nombre de ces périodes et du pourcentage des femelles actives. Il est probable que le pic d'activité se situe à l'âge de 2 jours, l'aspect anormal de l'appel à l'âge de 6 jours étant dû à un début de sénescence.La teneur totale en phéromone de femelles âgées de 1 à 11 jours est étudiée par des tests biologiques utilisant les extraits bruts à l'éther des glandes à phéromone. Cette teneur s'accroît de façon significative jusqu'au 5e jour et diminue brusquement au 6e jour. La teneur en phéromone reste alors approximativement à ce bas niveau. Cette diminution est sans doute une autre indication du début de la sénescence.On a étudié la quantité de phéromone perdue par les femelles pendant une période d'appel. L'activité d'un extrait de femelles âgées de 3 jours et fait au début de leur 1ère période d'appel est comparée avec un extrait réalisé sur des femelles qui ont manifesté un appel sexuel pendant 2 heures. Après 2 heures d'appel la teneur en phéromone est tombée au 1/5 de la teneur initiale.L'examen des ovaires de femelles vierges âgées de 1 à 4 jours montre que le nombre d'ufs mûrs s'accroît jusqu'aux 3e et 4e jour. Bien que le nombre d'ufs pour chacun de ces 2 jours ne diffère pas de façon significative, les variances, elles, le sont. La haute variance observée au 4e jour comparée avec la faible variance du 3e jour, indique que la ponte a commencé. Des observations directes montrent que les femelles vierges commencent à pondre 1e 4e jour.
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13.
La réponse visuelle des adultes de Lasiomma melania Ackl. (Diptera, Anthomyiidae) à des carrés englués de diverses couleurs ou combinaisons de couleurs a été étudiée durant 5 années consécutives dans plusieurs mélèzins (Larix decidua) des Hautes-Alpes. Une préférence pour le jaune et le jaune à bandes pourpres a été mise en évidence chez ce ravageur dont la femelle pond sur les cônes de mélèze. L'attractivité de chaque type de piège est fonction à la fois du sexe et du stade de maturation sexuelle des individus. La couleur jaune attire en majorité des insectes émergents immatures. Elle semble représenter, selon le plan dans lequel elle est située, un signal nutritionnel de type fleur (plan horizontal) ou un signal de reconnaissance du feuillage de mélèze (plan vertical). Les individus mûrs sexuellement, recherchant les arbres produisant des cônes, sont en revanche capturés essentiellement sur les pièges verticaux jaunes à bandes pourpres. Ceux-ci miment, en l'amplifiant, le contraste de réflectance existant entre le feuillage des mélèzes et les cônes. Ce contraste paraît correspondre à un signal permettant la reconnaisance des arbres possédant des cônes. La ponte est cependant limitée à un stade particulier de développment de ces derniers alors que le contraste est à peu près stable dans le temps. D'autres signaux émis par les cônes, vraisemblablement d'ordre olfactif, doivent guider le vol d'approche et l'atterrissage des femelles.  相似文献   

14.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
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15.
A simple artificial diet consisting of minced tea leaves and brewer's yeast was found to be suitable for mass-rearing the Tea Tortrix, Homona coffearia, in the laboratory. Growth and development on this diet approximated that observed in the field. At 24° and 75% R.H., the average larval periods were 22.4 days for males and 26.7 days for females while average pupal duration was 6 days for both. The average pupal weights were 35.7 mg for males and 72.2 mg for females. The survival of inoculated 1st-instar larvae to adults was 78% and oviposition rates were superior to those observed in the field. Additional dietary ingredients did not result in any further improvement, on the contrary, an excess supply of enzymatic hydrolysate of casein suppressed development.
Résumé Un aliment artificiel simple, formé d'un mélange de feuilles de thé hachées et de levure de brasserie s'est révélé convenable pour l'élevage de masse en laboratoire de la Tordeuse du thé Homona coffearia. La croissance et le développement sur ce milieu est très comparable à ceux observés dans la nature. A 24° et pour une humidité relative de 75%, la durée du développement larvaire est en moyenne de 22.4 jours pour les mâles et 26.7 jours pour les femelles, cependant que la durée du développement nymphal est en moyenne de 6 jours pour les deux sexes. Le poids moyen de pupes obtenues est de 35.7 mg pour les mâles et 72.2 pour les femelles.La survie moyenne du premier stade larvaire au stade adulte est de 78% et la ponte des femelles issues des élevages est supérieure à celle de femelles provenant de chrysalides récoltées dans la nature.L'addition de sucrose, d'acide linoléique, de chlorure de choline, d'acide ascorbique et de vitamines du groupe B n'apporte aucune amélioration, au contraire, un apport en excès d'hydrolysat enzymatique de caséine empêche le développement.
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16.
Oviposition by Lucilia cuprina Wiedemann (Diptera, Calliphoridae) was examined in relation to period of oviposition site-deprivation and egg-load. Effects of oviposition site-deprivation were examined by comparing oviposition performance of individual females that had matured their batch of oocytes within the previous 24 h with that of females which had reached ovarian maturity 8 days previously. Egg-load was manipulated by causing females of this anautogenous species to consume different amounts of protein-rich material. In no-choice experiments, individual females of the different categories were given access for 4 h to oviposition substrate, soaked with (i) liver exudate, (ii) the exudate diluted 16-fold or (iii) the undilated exudate containing the oviposition deterrent sodium chloride at a concentration of 2 M. These solutions elicited oviposition from different proportions of females, but neither these proportions, nor the interval between introduction of the oviposition site and the initiation of oviposition, was significantly affected by the period of oviposition site-deprivation or the number of eggs matured by the females.
Résumé L'effet de la privation de lieu de ponte a été étudié en comparant les pontes de femelles isolées ayant formé leurs ufs mûrs dans les 24 heures précédentes, à celles de femelles ayant atteint leur maturité sexuelle 8 jours avant. La rétention ovocytaire est provoquée en faisant consommer aux femelles de cette espèce anautogène différentes quantités d'aliments riches en protéines. La ponte de femelles dont le contingent total de leurs ovocytes s'est développé, — c'est-à-dire 260 —, après consommation ad libitum de foie de mouton pendant 48 heures, a été comparée à celle de femelles ayant formé 190 ovocytes mûrs après ingestion d'une quantité limitée de jus de foie.Dans des expériences sans choix, les femelles isolées de différences catégories ont eu accès pendant 4 heures au substrat de ponte trempé: 1) dans du jus de foie, 2) dans du jus dilué 16 fois, 3) dans du jus de foie non dilué mais contenant NaCl (inhibiteur de la ponte) à la concentration de 2 M. Le jus non dilué a provoqué une forte stimulation, induisant la ponte de 80% des femelles. Le jus dilué et celui contenant NaCl n'ont induit la ponte que de 40% des femelles avec des niveaux de stimulation bien plus faibles. La date d'introduction du lieu de ponte et le taux de rétention des ovocytes mûrs n'ont eu auçun effet sur la proportion de femelles réagissant à ces 3 types de stimulation.
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17.
Résumé La sexualisation de la gonade chezViviparus viviparus se manifeste d'abord au niveau morphologique: tandis que l'ovaire s'organise en un tubule très peu ramifié, à large lumière, le testicule compact bourgeonne de nombreuses excroissances. Dans l'ovaire les cellules non germinales, futures cellules folliculeuses, se mettent en place autour des cellules germinales et les processus de la préméiose débutent précocement. Au contraire plusieurs étapes se succèdent au cours de la morphogenèse de la gonade mâle: après une phase d'intense multiplication cellulaire, accompagnée de la ramification du testicule, la lumière se creuse par dégénérescence des cellules centrales. Contre la lame basale, les cellules non germinales évoluent en cellules nourricières tandis que se différencient les spermatogonies primaires. La différenciation des premiers gamètes mâles est tardive.  相似文献   

18.
The starvation longevity, which is expressed as the longevity without food but water afgiven period of feeding, in adult Cletus punctiger (Heteroptera: Coreidae) was studied under a long (inducing non-diapausing adult) and a short (inducing diapausing adult) daylength in the laboratory. Both non-diapausing and diapausing adults starved since adult emergence had short (8–10 days) longevities. The starvation longevity of diapausing adults was extended up to 20 days of adult feeding. On the other hand, the starvation longevity in non-diapausing adults was extended by feeding in the first 5 days but it was not extended any more by the longer feeding. This difference was considered to depend on the lipid content which had been accumulated by adult feeding only in diapausing insects.
Résumé La résistance au jeûne, définie comme la longévité en présence d'eau mais sans aliment après une période d'alimentation, a été examinée au laboratoire en jours longs (n'induisant pas de diapause imaginale) et courts (induisant une diapause imaginale) chez C. punctiger. Le jeûne dès l'émergence des adultes réduit la longévité à 8–10 jours pour les deux types d'adultes. Pour les adultes diapausants lorsque la période d'alimentation préalable a duré jusqu'à 20 jours, plus longue était cette période d'alimentation, plus la longévité était importante. Pour les adultes non-diapausants, la longévité a été augmentée par les 5 premiers jours d'alimentation, mais non par une alimentation prolongée au-delà. La quantité de lipide accumulée par l'alimentation après l'émergence des adultes est utilisée pour expliquer cette différence. La discussion porte sur la signification biologique de la résistance au jeûne.
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19.
The method of rearing Delia brassicae (Bouché) on rutabaga, one of its favoured hostplants, was improved and partly mechanized. During 3 months in 1978, about 2 million pupae were produced at an approximate cost of $ 720 U.S. The pupal yield averaged 50% of the number of eggs inoculated. Special attention was given to the number of eggs inoculated/g of plant food, to the conditions used during the rearing process and to the choice of a substrate suitable for larval pupation. The pupae were maintained at laboratory temperature until the first adults emerged and then they were stored for a maximum of 24 days at 3°. When such pupae were returned to laboratory temperatures, flies emerged from about 62% of them within 7days. A system for marking and collecting the emerging adults is described. The effects that rearing, storage, irradiation, marking and handling had on the quality of the adult flies are discussed.
Résumé L'élevage de la Mouche du chou, Delia brassicae (Bouché), sans conditionnement spécial et sur l'une des ses plantes-hôtes, le rutabaga, a été amélioré et partiellement mécanisé. En 1978, deux millions de pupes ont été produites en trois mois pour un prix de revient de 720 U.S. $. Un bon rendement est obtenu (50% des ufs donnent des pupes de poids supérieur ou égal à 12 mg) en inoculant 0,7 à 0,9 uf par gramme de rutabaga, dont la durée de conservation à 3° n'a pas excédé les six mois.L'influence du moment de refroidissement et de la durée de conservation des pupes à 3°, sur le taux et l'échelonnement des éclosions des adultes, a été examinée; 62% des pupes refroidies pendant un mois à partir du moment de l'éclosion des premiers adultes, ont donné des adultes en 7 jours après avoir été replacées dans les conditions ambiantes. Une méthode de marquage et de collecte des adultes est décrite.L'influence des techniques d'élevage, du stockage des pupes, de l'irradiation, du marquage et de la collecte sur la qualité des mouches est discutée en détails. La limitation à 30 jours de la période de stockage des pupes afin d'éviter une forte diminution de la qualité, constitue un obstacle capital à la réalisation de lâchers inondatifs.Bien qu'un stockage des pupes à 3° pendant 3 à 4 semaines, diminue de 5 jours la longévité des mâles, un schéma approprié de lâchers peut compenser cette diminution de qualité.
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Henri Saëz 《Mycopathologia》1965,27(3-4):321-338
Résumé Au cours de l'autopsie de 58 jeunes mammifères sauvages, morts en captivité au Parc zoologique de Paris, nous avons effectué des prélèvements à différents niveaux du tube digestif: pharynx, estomac, intestin grêle, gros intestin et rectum. Chez ces animaux, mort-nés ou âgés de quelques heures à six jours, nous avonsrecherché, dans le matériel prélevé, les levures et lesGeotrichum. Les résultats sont analysés en fonction de deux question: 1-Flore fongique et Microorganismes en transit, II Vitesse de diffusion et d'implantation des champignons dans le tube digestif.Nous pensons qu'il existe une flore permanente et une flore saisonnière, auxquelles se superpose une flore étagée: flore du pharynx, flore de l'estomac, etc. .... La flore n'est pas constamment présente chez tous les animaux jeunes ou adultes. Nous passons en revue quelques facteurs qui peuvent agir sur elle. Nous mettons l'accent sur la température interne de l'hôte. A ce dernier facteur, s'oppose, au laboratoire, l'étude du comportement des souches isolées vis à vis de la température.Jusqu'à présent nous n'avons pas encore observé une véritable flore fongique constituée in utero. Parmi les 58 animaux examinés, l'implantation la plus manifeste a été vérifiée chez un Hippopotame âgé de deux jours. Cette colonisation est précédée de quelques vingt-quatre heures de la diffusion proprement dite, qui, elle, est très rapide. Cette progression des champignons à travers le tube digestif est parfois en avance sur celle du premier bol alimentaire.  相似文献   

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