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1.
Résumé La longévité, la fécondité, le nombre d'adultes émergés, le sex-ratio et le cycle de développement deTrichogramma evanescens Westwood etTrichogrammatoidea lutea Girault ont été étudiés sur un h?te de substitution (Anagasta kuehniella) ou sur un h?te naturel (Helicoverpa armigera), ainsi que le nombre d'œufs parasités par ces 2 espèces. La longévité des ♀♀ des 2 oophages est très influencée par l'alimentation. Une ♀ deT. evanescens nourrie vit 7 fois plus longtemps qu'une privée d'alimentation et celle deT. lutea 5 fois plus. La présence de l'h?te joue également un r?le non négligeable. La fécondité est plus élevée chezT. evanescens (42 œufs en moyenne) que chezT. lutea (31 œufs). Cependant le nombre moyen d'œufs deH. armigera parasités par ♀ ainsi que le nombre d'adultes émergés sont presque équivalents chez les 2 espèces parasito?des. Le sex ratio (♂♂/♀♀) est de 0,59 chezT. evanescens et de 0,71 chezT. lutea. Quant à la durée de développement, elle est plus longue chezT. evanescens que chezT. lutea aux basses températures (36 jours contre 30 jours à 15°C). Cette différence est moins marquée lors de l'augmentation de la température (4 h à 30°C). La température de 35°C s'avère néfaste pour le développement des 2 espèces oophages ce qui restreint la possibilité de leur utilisation en lutte biologique au Maroc. Des études complémentaires seront à développer pour vérifier leur aptitude dans les conditions de terrain.   相似文献   

2.
The following aspects ofHypoaspis miles' biology were investigated; development rate of egg to adult at different temperatures, fecundity, longevity and rate of predation on sciarids. With an increase in temperature the time taken for development decreased from 33.7 days at 15°C to 9.2 days at 28°C. The threshold temperature forH. miles to complete its life cycle was between 10° and 12°C. When fed onAcarus siro, H. miles laid 2–3 eggs a day and unfertilized eggs only developed into males. Adults ofH. miles (0–1 day old) survived for 24.0±1.4 days without food and if fed for 6 days and then starved, females lived for 65.4±2.6 days which was significantly longer than males (45.2±3.0 days). With food, 60% of males and females survived for 142 days. All larval instars of sciarids were attacked byH. miles although the numbers consumed were dependent on the size of the larvae. Egg predation was negligible and pupae were not attacked. In productivity studies ofH. miles in culture (fed onA. siro), the time taken for the mites to reach a density of 45–65,000/litre ranged from 76 to 23 days at 15° and 28°C respectively.
Résumé Différents aspects de la biologied'Hypoaspis miles sont examinés: vitesse de développement de l'oeuf à l'adulte à différentes températures, fécondité, longévité et voracité sur les sciarides. Avec une augmentation de la température, la durée du développement passe de 33,7 jours à 15°C à 9,2 jours à 28°C. La température minimale qui permet le développement complet deH. miles est située entre 10 et 12°C. Quand il est nourri d'"itAcarus siro, H. miles pond 2 à 3 oeufs par jour et seuls les oeufs non fécondés donnent des males. Les adultes deH. miles (agés de 0 à 1 jour) survivent pendant 24±1,4 jours sans nourriture et si elles sont nourries pendant 6 jours puis privées de nourriture, les femelles vivent 65,4±2,6 jours, ce qui est significativement plus long que les males (45,2±3 jours). Avec de la nourriture, 60% des males et des femelles vivent pendant 142 jours. Toutes les larves de sciarides sont attaquées parH. miles, mais le nombre de proies consommées dépend de la taille des larves. La prédation des oeufs est négligeable et les pupes ne sont pas attaquées. Dans des études sur la productivité deH. miles en élevage (nourri deA. siro), la durée nécessaire aux acariens pour atteindre une densité de 45–65 000/1 est de 76 et 23 jours à 15°C et 28°C respectivement.
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3.
The main characteristics of the imaginal and preimaginal development and the reproduction ofOrius laevigatus were studied at 15, 20, 25 and 30°C. Temperature greatly influences the developmental and reproductive biology of this species. The lowest developmental threshold is 10,6°C. Reproduction is greatly reduced at 15°C relative to the higher temperatures tested. O. laevigatus is well adapted to relatively high temperature conditions. The best development and reproduction rates are observed between 20 and 30°C with a theoretical optimum at 26°C.
Résumé Les principales caractéristiques du développement pré-imaginal et imaginal ainsi que la reproduction d'Orius laevigatus sont étudiées à des températures de 15, 20, 25 et 30°C. La température influence considérablement le développement embryonnaire et post-embryoannaire de cette espèce. Le zéro théorique de développement se situe à 10,5°C. Les capacités reproductrices sont fortement perturbées à des températures inférieures à 15°C. Les résultats montrent queO. laevigatus est une espèce adaptée à des conditions thermiques relativement élevées. C'est entre 20 et 30°C, avec un optimum de 26°C, que s'expriment le mieux les capacités de développement et de reproduction de ce prédateur.
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4.
Temperature-dependent development ofCoccinella trifasciata LeConte from Corvallis, Oregon, was assessed for the general population and compared among a subset of isofemale lines. All eggs died at 10 and 34°C. Survival ranged between 63.3–96.7% from 18–34°C. Development from oviposition to adult ranged from 44.2 days at 18°C to 11.1 days at 34°C. Mean adult weight did not differ among temperatures, and was 15.2 mg overall. For the species, heat-unit requirements for development from egg to adult were 227 degree-days above a developmental threshold of 12.7°C. Values for the developmental threshold differed among isofemale lines, and ranged from 11.4–14.5°C with heat-unit requirements ranging from 186–260 degree-days above their respective threshold. The isofemale line producing the fastest rate of immature development at 18°C was characterized by a heat-unit requirement of 260 degree-days above a developmental threshold of 11.4°C. The isofemale line producing the slowest rate of immature development at 18°C was characterized by a heat-unit requirement of 186 degree-days above a developmental threshold of 14.5°C. Implications of using isofemale lines in culturing biological control agents are discussed.
Résumé L'effet de la température sur le développement deCoccinella trifasciata (provenant de Corvallis, Oregon) a été étudié pour la population générale et comparé entre lignées isofemelles. Aucum œuf ne survit à 10 et 34°C. Le taux de survie est compris entre 63,3% et 96,7% pour des températures situées entre 18 et 34°C. La durée du développement, de la ponte à l'état adulte, dure de 44,2 jours à 18°C à 11,1 jours pour une température de 34°C. Le poids moyen de l'adulte ne change pas en fonction de la température et il est de 15,2 mg. Pour l'espèce, les besoins pour le développement complet de l'œuf à l'adulte, sont de 227 degrés-jour au-dessus du seuil de développement de 12,7°C. Les valeurs de ce seuil diffèrent entre les lignées isofemelles et sont comprises entre 11,4 et 14,5°C pour des durées se situant entre 186 et 260 degrés-jour au-dessus des seuils respectifs. La lignée isofemelle ayant la vitesse de développement larvaire la plus rapide à 18°C est caractérisée par un besoin de 260 degrés-jour au-dessus du seuil de 11,4°C. Celle ayant la vitesse de développement la plus lente à 18°C est caractérisée par un besoin de 186 degrés-jour au-dessus du seuil de 14,5°C. L'intérêt de l'utilisation de lignées isofemelles dans l'élevage d'agents de lutte biologique est discuté.
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5.
Résumé Cette étude avait pour objectif la mise au point d'un élevage du parasitePauesia cedrobii Stary & Leclant sur son h?te spécifiqueCedrobium laportei Remaudière, ce dernier étant multiplié sur des jeunes plants de cèdreCedrus atlantica Manetti. Dans des chambres climatisées à température et humidité relative constantes, on a placé des enceintes d'élevage assurant respectivement 8 et 16 heures d'éclairement. Pendant la phase d'éclairement, et malgré 2 ventilateurs chargés d'assurer l'extraction de l'air, la température des enceintes a augmenté d'environ 3°C. Au total, 9 conditions climatiques ont été testées, chacune pendant un an et demi. A 4°C, le parasite ne s'est pas multiplié. A 8°C, il s'est maintenu pendant une année environ, mais cette température s'est montrée encore trop proche de son seuil inférieur de développement et de celui de son h?te. A 12°C, on a observé un bon équilibre entre le parasite, qui s'est développé normalement, et son h?te, qui n'a jamais disparu. A 20°C, les élevages ont eu un bon rendement pendant 6 mois, mais il n'a pas été possible de les maintenir pendant plus longtemps. A cette température, et plus encore à 25°C, les plants de cèdre ont présenté des sympt?mes de dépérissement. A 25°C, les résultats mettent en évidence une action défavorable de la température sur tous les niveaux trophiques. En règle générale, les jours longs ont été un peu plus favorables aux élevages.   相似文献   

6.
G. Fabres  C. Reymonet 《BioControl》1991,36(1):121-129
Résumé Dans la région béarnaise, la récolte des gousses m?res deLathyrus sylvestris et deLathyrus latifolius, avant la déhiscence, puis la mise en éclosoir de leurs graines, permet l'obtention des adultes de la brucheBruchus affinis et de son ectoparasite larvaireDinarmus acutus. Ces derniers sortent en petits nombres à l'automne de la même année puis de fa?on massive au printemps de l'année suivante, après une diapause au dernier stade larvaire. Un élevage en continu, de nombreuses générations successives, en conditions semi naturelles de température et de photopériode, a montré la présence simultanée d'individus diapausants et non diapausants tout au long de l'hiver, et l'absence totale de diapausants dès le mois de mai. Les larves diapausantes produisent une substance orangée qui marque l'arrêt de développement. Compte tenu de la biologie de la bruche et de son parasite larvaire: développement larvaire à l'intérieur des graines et vie des adultes à l'extérieur, nous avons choisi d'étudier l'influence des conditions thermiques sur les larves et de la photopériode sur les adultes du parasite. Les résultats obtenus montrent que les températures basses n'induisent pas d'arrêt de développement. Par contre, une photopériode jours courts, appliquée aux adultes, provoque l'entrée en diapause d'un fort pourcentage des larves de la descendance. Les résultats présentent une certaine variabilité selon la descendance et le rang de la ponte. Le détail des résultats est examiné dans le cadre de l'induction maternelle de la diapause larvaire et de l'hypothèse d'une horloge chimique à l'origine du marquage des diapausants (substance orangée) et de la variabilité enregistrée.   相似文献   

7.
Résumé Reconnu comme agent régulateur des populations aphidiennes de diverses cultures,Forficula auricularia L. est également décrit comme potentiellement actif sur les Homoptères Psyllidae. Nous avons évalué en conditions de laboratoire puis semi-contr?lées en verger les composantes numériques et spatiales de la prédation deF. auricularia sur le psylle du poirier,Cacopsylla pyri (L.). Pour de faibles densités de proies, le poids consommé par une larve du 3ème stade est équivalent sur oeufs de psylles et sur une proie alternative constituée d'oeufs d'Ephestia kuehniella Zeller. Le maximum journalier s'établit à 10 mg pour ce stade larvaire, soit plus d'un millier d'oeufs de psylles. Les tests révèlent une réponse de type densité — dépendant, aboutissant à une forte réduction de la taille des agrégats de la proie. La prédation des larves de 3ème et 4ème stade deF. auricularia s'exerce sur tous les stades préimaginaux deC. pyri. La colonisation au printemps de la strate arborée par les larves du 3 ème stade quittant le terrier maternel co?ncide avec les pontes de 2ème génération de psylles, phase de multiplication la plus intense de ce ravageur. Les effectifs en vergers de ce prédateur polyphage et univoltin sont souvent élevés et peu dépendants de ceux de la proie. Compte tenu de sa capacité prédatrice sur le psylle, il para?t justifié de raisonner les interventions chimiques de manière à préserver ses populations en vergers de poiriers.   相似文献   

8.
A. Delobel 《BioControl》1989,34(3):351-363
Résumé Le trichogrammeUscana caryedoni Viggiani se développe aux dépens des œufs deCaryedon congense Decelle et de ceux de la bruche de l'arachide,Caryedon serratus (Olivier), sur les fruits d'une légumineuse arbustive commune au Congo,Poliostigma thonningii (Schum.). Dans la région de la Bouenza, dans le sud du pays, les taux de parasitisme dus àU. caryedoni s'accroissent au cours de l'année, à mesure que m?rissent les gousses, pour atteindre en novembre près de 40% (taux cumulé). La biologie du parasito?de a été étudiée au laboratoire sur œufs deC. serratus. A 30°C, la femelle pond en moyenne 66 œufs et vit un peu plus de 5 jours. Le développement préimaginal s'effectue en 16 jours à 26° et 12 jours à 30°. L'effet de la densité de l'h?te sur divers paramètres biologiques du parasite a été étudié. Un essai réalisé dans les conditions du laboratoire a révélé chezU. caryedoni de très faibles potentialités comme agent de limitation des populations deC. serratus dans les stocks d'arachide.   相似文献   

9.
D. G. James 《BioControl》1992,37(2):259-264
The effect of temperature on the rate of development ofPristhesancus plagipennis Walker was determined by rearing individuals under a range of constant temperatures (22.5–35°C). Rates of development changed in a linear fashion from 22.5–30°C. Estimates of lower developmental thresholds were obtained for egg (13.1°C), nymphal (15.5°C) and egg to adult development (15.4°C). Fastest rates of nymphal and egg development occurred at 30 and 32.5°C, respectively. A requirement of 845.7 DD (degree days) was estimated for development from egg to adult. Nymphal survivorship was highest between 25 and 30°C.
Résumé L'effet de la température sur la vitesse de développement dePristhesancus plagipennis a été déterminé par élevage des insectes dans une gamme de températures constantes allant de 22,5 à 35°C. La vitesse de développment est une fonction linéaire de la température entre 22,5 et 30°C. Le seuil théorique de développement a été estimé à 13,1°C pour l'œuf, 15,5°C pour la nymphe et 15,4°C pour le développement larvaire. Les plus grandes vitesses de développement de l'œuf et de la larve ont été obtenues respectivement à 30 et 32,5°C. 845,7 degrés-jours sont nécessaires pour le développement de l'œuf à l'adulte. La survie des nymphes a été la plus élevée entre 25 et 30°C.
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10.
The effect ofCyrtobagous salviniae, Samea multiplicalis, andPaulinia acuminata on the growth ofSalvinia molesta was assessed in relation to temperature in field cages at 2 sites in Brazil, a canal with running-water and a lagoon with stillwater. Each insect species reduced the growth ofS. molesta over a mean leaftemperature range of 16–30°C, causing more damage as temperature increased. There was no difference between the 3 species in response to temperature. These results and their implication to the performance of these insects as biological control agents againstS. molesta are discussed.
Résumé L'effet deCyrtobagous salviniae, deSamea multiplicalis et dePaulinia acuminata sur la croissance deSalvinia molesta a été étudié en relation avec la température dans des cages implantées dans 2 situations au Brésil, un canal avec de l'eau courante et une lagune avec de l'eau stagnante. Chaque espèce réduit la croissance deS. molesta dans une gamme de températures des feuilles s'étendant de 16° à 30°C, les dégats augmentent avec l'accroissement de la température. Il n'y a pas de différence entre les 3 espèces vis-à-vis de leur réaction à la température. Ces résultats et leur implication quant au rendement de ces insectes comme agents biologiques de lutte contreS. molesta sont discutés.
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11.
Ofuya  T. I. 《BioControl》1986,31(4):331-335
Consumption of larvae and females ofAphis craccivora Koch by 1st and 4th larvae and adults ofCheilomenes vicina (Muls.) was studied under fluctuating temperature (24–30°C). The early aphid instars were consumed in significantly greater numbers than later instars and females. The feeding rates ofC. vicina were significantly positively correlated with the population density of prey. The number of prey consumed daily by each predator stage tested, increased more steeply at lower than at higher prey densities, exhibiting thus the type 2 functional response
Résumé Consommation des larves et des ♀ d'Aphis craccivora par les11e stades, les 4e stades et les adultes deCheilomenes vicina a été étudiée à une température variant de 24 à 30°C. Les jeunes stades du puceron sont consommés en nombre plus grand significativement que les derniers stades et les ♂. Les taux d'alimentation deC. vicina manifestent une corrélation hautement significative avec la densité de population de la proie. Le nombre de proies consommées quotidiennement par chaque stade considéré du prédateur augmentait plus brusquement aux faibles qu'aux fortes densités de proies, manifestant ainsi chez le prédateur le type 2 de réponse fonctionnelle.
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12.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

13.
The form and variability of temperature-dependent development responses were measured for the braconid parasitoidMeteorus trachynotus (Vier.), developing inChoristoneura fumiferana (Clem.) andC. rosaceana (Harr.). It was found that parasitism reduces the duration and variability of postdiapause development inC. rosaceana larvae, and that the development of the parasitoid does not resume until its host emerges from diapause.M. trachynotus development and entry into diapause are controlled by the host. In large, nondiapausing hosts, the parasitoid can complete one generation in about 348 degree-days above 5.9°C. Male and female adults live an average of 22.0 and 23.8 days at 20°C, and the preoviposition period is 1.7 days. Total fecundity averages 194.2 eggs per female and is reduced considerably by low host density. Under our experimental conditions, femaleM. trachynotus lay a maximum of 14.3 eggs per day, with a maximum of 3.7 eggs per host, on average. Simulations based on degree-day accumulation in 13 locations in eastern Canada showed that the parasitoid was well synchronized with its two alternative hosts, thatM. trachynotus could complete three generations in most locations, and that voltinism was essentially determined by entry ofC. rosaceana larvae into diapause. Overlap between adult parasitoids and larvae of the spruce budworm is incomplete, and inadequate synchrony seems to be an important aspect of the ecological interactions between these two organisms.
Résumé Nous avons mesuré la forme et la variabilité des réactions de cause à effet entre la température et le développement de la braconideMeteorus trachynotus (Vier.) se développant à l'intérieur de larves deChoristoneura fumiferana (Clem.) et deC. rosaceana (Harr.). Le parasitisme réduit la durée et la variabilité de la postdiapause deC. rosaceana, et le développement du parasito?de ne reprend qu'une fois l'h?te émergé de diapause. Le développement et l'entrée en diapause deM. trachynotus sont sous le contr?le de l'h?te. Dans des larves-h?tes agées et non diapausantes, le parasito?de peut engendrer une génération en moins de 348 degrés-jours au-dessus de 5,9°C. Les adultes males et femelles vivent en moyenne 22,0 et 23,8 jours à 20°C, et la période de prèoviposition est de 1,7 jour. La fécondité totale est de 194,2 oeufs par femelle, et une faible densité d'h?tes la réduit considérablement. Dans nos conditions expérimentales, les femelles deM. trachynotus pondent au plus 14,3 oeufs par jour, la moyenne maximale étant de 3,7 oeufs par h?te. Des simulations basées sur l'accumulation de degrés-jours pour 13 endroits dans l'est du Canada ont indiqué que le parasito?de est bien synchronisé avec ses deux h?tes alternants, queM. trachynotus peut engendrer jusqu'à trois générations par année dans la plupart des endroits, et que son voltinisme est déterminé essentiellement par l'entrée en diapause des larves deC. rosaceana. Le chevauchement entre la période de vol des adultes du parasito?de et celle de la disponibilité des larves de la tordeuse des bourgeons de l'épinette est incomplet, et il semble que ce synchronisme inadéquat soit un aspect important dans les interactions écologiques entre ces deux organismes.
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14.
A. Kiyindou  G. Fabres 《BioControl》1987,32(2):181-189
Résumé Hyperaspis raynevali Mulsant est une coccinelle prédatrice dePhenacoccus herreni Cox & Williams en Guyane. Elle a été introduite au Congo pour particier à la régulation des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Avant les lachers de plein champ, une étude a été conduite au laboratoire pour tenter de quantifier son pouvoir de multiplication et comparer ce dernier à celui des coccinelles locales précédemment étudiées. La capacité d'accroissement d'une population deP. raynevali est de 0,081 (rc deLaughlin) dans les conditions du laboratoire avec un taux net de reproduction de 271,7 et une durée de génération de 69 jours. La durée du développement préimaginal est sensiblement allongée aux températures inférieures à 25°C et la mortalité embryonnaire reste élevée aux différentes conditions thermohygrométriques testées.   相似文献   

15.
J. Chazeau 《BioControl》1974,19(2):183-193
Afin de préciser l'action prédatrice deStethorus madecassus surTetranychus neocaledonicus, la consommation des différents stades du prédateur a été étudiée dans une enceinte à température constante. A 25°, la consommation totale est de 494 ?ufs de tétranyque pour l'ensemble des 4 stades larvaires. A cette température, elle est de 46,8 femelles de tétranyque par jour pour une femelle fécondée deStethorus, 21,3 pour un mâle, et 13,1 pour une femelle vierge. Des essais complémentaires en conditions ambiantes naturelles ont permis de s'assurer de la validité de ces résultats. Les tests à 20° et 30° montrent que, dans cet intervalle, la consommation des adultes double sensiblement pour une élévation de température de 5°, et qu'une forte corrélation positive existe entre la voracité et la fécondité individuelles des femelles.  相似文献   

16.
Résumé L'Hyménoptère parasito?deEpidinocarsis lopezi (De Santis) a été introduit d'Amérique du Sud au Congo pour le contr?le des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Dans les conditions du laboratoire, les principaux paramètres du développement ont été étudiés: le temps de développement entre la ponte de l'œuf et l'émergence de l'adulte est en moyenne de 15,6 jours; le taux sexuel est de 56% de femelles en maintien de souche, variable selon le stade des h?tes présentés; la longévité des ♀♀ est de 42,26 jours; la fécondité moyenne pour des ♀♀ nourries de miel s'établit autour de 207,6 œufs sur une période de 40 jours (5,2 œufs par jour en moyenne), elle est inférieure en absence d'alimentation (141 œufs au total et 3,8 par jour); le stade h?te choisi pour la ponte est essentiellement la larve L3 (à un moindre degré les jeunes ♀♀ sans ovisac); le superparasitisme peut atteindre 64% en situation de raréfaction de l'h?te, mais il n'est que de 5,7% en présence de fortes proportions de L3. Après des lachers expérimentaux, l'auxiliaire s'est acclimaté dans les champs expérimentaux et a colonisé les champs voisins. Ses taux de parasitisme achevé ont atteint un maximum de 15,4% des stades préférentiels (22% pour le parasitisme en cours) avant le pic de gradation de la cochenille. Ces données présententE. lopezi comme un parasito?de ayant de bonnes qualités intrinsèques mais qui, à l'heure actuelle, ne parvient pas à réguler les populations de la cochenille dans la zone où il a été laché.   相似文献   

17.
La possibilité de nourrir la punaiseMacrolophus caliginosus Wagner à l'aide de milieux artificiels a été testée. En l'absence de végétal, les témoins nourris avec des ?ufs d'Ephestia kuehniella Zeller ont une survie médiocre et fournisent 33% d'adultes. Avec le meilleur milieu artificiel la survie est comparable à celle des témoins et 21 % d'adultes sont obtenus. Avec ce même milieu, mais en présence de feuille de géranium, la production d'adultes atteint 62%. Les compositions en acides aminés des punaises élevées avec le milieu montrent des écarts inférieurs à 20% par rapport aux témoins. Le développement complet deM. caliginosus nourri à l'aide de milieu artificiel a été obtenu. Le végétal joue un rôle important dans la biologie de ce prédateur.  相似文献   

18.
Résumé L'étude en laboratoire de la biologie du développement deAmblyseius andersoni, Neoseiulus fallacis, Galendromus longipilus etTyphlodromus pyri a permis de calculer les seuils de développement et le taux intrinsèque d'accroissement naturel à 20°C lorsque ces espèces sont nourries avecTetranychus urticae. Le taux de fécondité spécifique à l'age des 4 espèces a été déterminé en utilisant comme proie soitT. urticae, soitPanonychus ulmi. PourA. andersoni et pourT. pyri, P. ulmi constitue une nourriture meilleure queT. urticae, contrairement àN. fallacis etG. longipilus, dont le taux d'accroissement est supérieur quand ils se nourrissent deT. urticae. PourG. longipilus, P. ulmi constitue même une nourriture nettement suboptimale. Pour les femelles de toutes les espèces on a pu mettre en évidence la faculté d'adapter le taux de fécondité et la durée d'oviposition au nombre des proies disponibles. En termes de fécondité, cela permet à ces espèces de réaliser presque tout leur potentiel, indépendamment de la ration quotidienne de nourriture.   相似文献   

19.
L’étude de la respiration de l’abeille domestique, Apis mellifera intermissa, à l’état isolé a été réalisée sur les quatre haplotypes existant en Tunisie : A1, A4, A8 et A9 et sous différentes températures : 0°, 10°, 15°, 20°, 25°, 30° et 35°C. Des mesures effectuées sur 1000 abeilles isolées (250 de chaque haplotype) ont montré que la consommation d’oxygène de l’abeille varie en fonction de la température. L’intensité respiratoire des haplotypes augmente progressivement à partir de 0°C pour atteindre son maximum à 15°C. Au-delà de cette température, la consommation d’oxygène de l’abeille diminue progressivement. Pour les basses températures (0° et 10°C), la respiration de l’abeille dépend aussi du facteur génétique et la consommation d’oxygène est faible mais ne s’annule pas. Cette étude a montré qu’il existe une différence de consommation d’oxygène entre les haplotypes A1 et A8 et les haplotypes A4 et A9 pour les basses températures. Le déclenchement de la thermogenèse chez les haplotypes A1 et A8 se produit à 15°C, alors que chez les haplotypes A4 et A9, il a lieu à une température plus basse et qui est de 10°C.  相似文献   

20.
Résumé Melanagromyza cuscutae Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute. Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6 à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée. L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et 8 à 13 jours. La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en mai et juin. La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées. Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à 42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement. L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas lieu.   相似文献   

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