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相似文献
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Neuroendocrine tumors (NET) are a heterogeneous group originating from endocrine cells, which have the ability to develop themselves on various organs. Most of NET are well differentiated and have the capacity to produce different hormones and biogenic amines. NETs usually appear sporadically and can also be associated with different syndromes (multiple endocrine neoplasia). For the majority of NETs, surgical resection is the treatment of choice requiring the precise location of the tumor before surgery as well as the determination of the stage, followed by monitoring the progression of the disease. In the diagnostic process, nuclear medicine with molecular imaging plays a fundamental role. The secretory functions of these tumors enable the use of molecular imaging by targeting specific metabolic pathways or receptors. In addition, nuclear medicine also plays an important role in the field of therapy by replacing in one radiopharmaceutical drugs, the imaging suited radionuclide by replacing with a radionuclide emitting radiation suitable for therapy, also called vectorized internal radiotherapy. The activity of nuclear medicine, which enables diagnosis and treatment to be carried out using the same structures specific to the molecular targets of neuroendocrine tumors, is fully integrated into the new theragnostic approach, and constitutes one of its main pillars. The objective of this work is to describe the molecular targets expressed by NETs and corresponding radiopharmaceuticals, validated for human use (diagnosis and therapy).  相似文献   

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Phylogenetic relationships among fungi belonging to the family of Ustilaginaceae (genera Microbotryum, Sphacelotheca, Ustilago, Sporisorium) are inferred from a parsimony analysis using the ITS sequences of nuclear ribosomal genes. The introduction in the phylogeny of sequences from species of Suillus, Puccinia and Taphrina as outgroup shows the polyphyletism of this family. These results support the division of this taxon into two groups: Ustilaginaceae s. str. formed only by the pathogens of Poaceae, and Microbotryaceae constituted by the pathogens of Dicotyledons. Furthermore, we proposed to extend the host plant spectrum of Ustilaginaceae s. str. to all the Monocotyledons. Several discriminating characteristics are listed to support this distinction.  相似文献   

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C. Mathieu  H. Lucas 《Andrologie》1999,9(2):286-296
There are many procedures to select spermatozoa but those procedures are often specific of each andrology centre. This review that is not an exhaustive review of the numerous methods published is rather devoided to focus on the main techniques, the sperm washing, the filtration methods («SpermPrep»), the swim-up, and the discontinuous density gradients with colloïdal solutions («Percoll», PureSperm” and «Isolate») including iodinated organic molecule as ‘OptiPrep». The first part presents a synthesis of literature in order to bring out standardized procedures, and a summary of the advantages and disadvantages of each step of these procedures. Some specific anomalies of sperm need particular treatments. There is a consensus on the validated techniques to prepare semen samples in the presence of antisperm antibodies, leukocytes, bacterial contaminants, and also semen samples exhibiting hyperviscosity or in case of retrograde ejaculation. Cryopreserved sperm preparation is also described with references to experimental results in freezing-thawing human spermatozoa. The second part proposes guidelines for the therapeutic choice of the appropriate assisted reproductive technologies (i.e.: intra uterine artificial insemination, in vitro fertilization or intracytoplasmic sperm injection) according to semen parameters, and to the outcome of sperm selection and survival.  相似文献   

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L’anatomie des segments, des jonctions et des articulations du métasoma est comparée après dissection de 86 espèces de fourmis représentant les principaux taxons actuellement reconnus, à l’exception des Formicinae, des Dolichoderinae et de quelques taxons isolés. À la suite des travaux modernes, l’attention s’est d’abord portée sur le segment IV et sur la notion de présclérite, mais il s’est avéré que pour bien comprendre la morphologie et l’évolution de ce segment, il fallait étudier le segment III, puis le segment II et enfin le propodeum. Deux concepts nouveaux sont introduits : celui de présegmentation et celui de processus postérograde. La présegmentation d’un segment désigne la transformation de la partie antérieure d’un segment. Elle conduit à la formation d’un ou deux présclérites et dans le cas du segment II à celle d’une structure articulaire compacte, le manubrium, à l’étranglement en arrière du présegment et à la pétiolation ou formation d’un pétiole. L’observation de séries d’ouvrières de fourmis montre que la présegmentation d’un segment est toujours précédée par celle du segment précédent (il n’y a pas de postpétiole sans pétiole, etc.), ce qui aboutit à la transformation progressive du métasoma, de l’avant vers l’arrière à partir du segment II ou processus postérograde. Cette étude est étendue à plusieurs familles d’aculéates parmi lesquelles nous avons sélectionné quelques espèces dont le métasoma antérieur est moins évolué que celui des fourmis actuelles. Le rapprochement de ces espèces avec les fourmis permet de repérer des homologies susceptibles de contribuer à la compréhension de l’évolution ancestrale des fourmis et de leur état actuel, en particulier de l’origine des latérosclérites du segment II. Ceci conduit à un classement des architectures métasomatiques en groupes basés sur une typologie du présegment III. On peut ainsi distinguer trois groupes principaux d’architecture : ponériforme, doryliforme et myrmiciforme. 13 diamètres sont par ailleurs mesurés sur les segments II, III et IV. L’analyse en composantes principales de 12 de ces mesures permet de constater qu’il est possible de caractériser les groupes d’architecture par des combinaisons linéaires de ces mesures. On le vérifie par des AFD des trois grands groupes d’architecture dans lesquels rentrent la presque totalité des fourmis étudiées. Les groupes d’architecture sont presque tous bien discriminés par AFD, mais quelques exceptions doivent être expliquées. Des analyses complémentaires permettent d’imputer cette anomalie à l’existence dans les groupes architecturaux, d’espèces mono et bipétiolées. On obtient en conséquence une discrimination complète des trois groupes en effectuant des AFD séparées des espèces monopétiolées et des espèces bipétiolées. Ceci illustre l’effet de la postpétiolation sur la géométrie des segments au cours du processus postérograde. Ce processus est également illustré par le calcul de coefficients de corrélation entre des mesures effectuées sur les deux premiers segments, et les autres mesures. Ceci peut être expliqué par la propagation postérograde de contraintes de développement. Durant l’évolution, le processus postérograde est combiné à deux autres types de transformations : l’involution progressive des structures intercalaires du segment II, qui préexistaient vraisemblablement chez les ancêtres crétacés des fourmis actuelles, et différentes transformations aléatoires de l’abdomen, plus ou moins directionnelles, mais cumulatives. La classification des sous-familles en groupes Ponéroïde, Doryloïde et Myrmicoïde peut être alors déduite du classement des architectures, mais un petit nombre de genres ne rentre pas dans ces trois groupes. Leurs affinités ne peuvent être comprises que par la prise en compte de caractères anatomiques ou architecturaux de la tête et du thorax. On obtient alors une classification proche de la récente classification « intuitive » de Bolton (2003), mais avec des justifications très différentes. Cette nouvelle classification est la suivante :

  • 1. – Architectures du métasoma semblables dans chaque groupe et cohérence architecturale

  • 1.1. – Complexe Ponéroïde (présegment III hémi-annulaire, architecture thoracique ponériforme)

  • 1.1.1. – Groupe Ponéroïde: Amblyoponinae, Ponerinae, Ectatomminae, Paraponerinae

  • 1.1.2. – Groupe Myrmécioïde: Myrmeciinae, Pseudomyrmecinae

  • 1.2. – Complexe Doryloïde (présegment III pseudo-annulaire, architecture doryliforme): Cerapachynae, Dorylinae, Ecitoninae, Aenictinae

  • 1.3. – Complexe Myrmicoïde (présegment III annulaire, architecture myrmiciforme): Myrmicinae, Agroecomyrmecinae (non disséqués)

  • 2. – Architectures du métasoma dissemblables au sein de chaque groupe. Classement basé sur d’autres critères

  • 2.1. – Complexe Apomyrmoïde (1) (basé sur l’architecture thoracique); Apomyrminae (présegment III hémi-annulaire), Leptanillinae (présegment III atypique par rapport aux types annulaire, pseudo-annu- laire et hémi-annulaire)

  • 2.2. – Complexe Procératinoïde (basé sur l’architecture céphalique): Proceratiini (présegment III annulaire: Discothyrea, présegment III pseudo-annulaire: Proceratium); Probolomyrmecini (présegment III hémi-annulaire: Probolomyrmex)

  • 3. – Architectures inclassables: Aneuretinae (présegment III pseudo-annulaire); Leptanilloidinae (présegment III annulaire selon Brandao et al., 1999)

  • 4. – Architectures formiciformes (presegment III différent des précédents): Dolichoderinae, Formicinae (non étudiées en détail)

Lanalyse conduit à l’établissement d’un cladogramme. Celui-ci est implicitement une phylogénie non enracinée, mais incomplète. La présente étude montre que les complexes Ponéroïde, Doryloïde et Myrmicoïde sont monophylétiques. Mais la topologie des sous-familles qui les composent ne peut pas être résolue par l’étude du métasoma parce que toutes les fourmis connues sont déjà parvenues au stade 3 ou en limite 2–3 (genre Adetomyrma). Pour établir des liens de parenté entre ces complexes, il faudrait recourir à l’étude de l’architecture céphalique ou thoracique. On a limité ici cette recherche à celle de synapomorphies permettant de renforcer l’identité des trois grands complexes et d’établir une parenté entre quelques sous-familles réunies dans les complexes Apomyrmoïde et Procératinoïde dont les repré- sentants possèdent des architectures métasomatiques très différentes.  相似文献   

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A l’occasion de la découverte d’une nouvelle espèce marocaine d’Apteranillus Fairmaire 1854: Apteranillus bichaini n. sp. provenant de l’extrémité occidentale de la chaîne de l’Atlas, de la découverte d’une nouvelle localité d’Apteranillus minosianus Lecoq & Quéinnec 2005 et de la capture du mâle de Typhlozyras camusi Jeannel 1960 jusqu’alors inconnu, toutes les espèces des genres Apteranillus, Typhlozyras et Apteraphaenops Jeannel 1907 sont redécrites et illustrées. Un tableau de détermination et une carte de répartition des genres et des espèces endogées et troglobies d’Aleocharinae d’Afrique du nord (Apteranillus, Anopsapterus, Drusilla (Apteranopsis), Apteraphaenops, Typhlozyras) sont donnés. La synonymie Apteranillus championi Bernhauer 1936=Apteranillus dohrnii Fairmaire 1854 n. syn. est établie. L’examen détaillé des caractères morphologiques des genres Typhlozyras et Apteraphaenops suggère l’appartenance de ces deux genres aux Athetini et non aux Lomechusini comme il est couramment admis jusqu’à présent, Apteraphaenops étant étroitement apparenté à Paraleptusa Peyerimhoff1901 et Typhlozyras à Geostiba Thomson 1858.  相似文献   

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