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1.
Résumé Chez les deux Columbidae étudiés, les cellules C sont présentes à la fois dans les corps ultimobranchiaux et dans la thyroïde. Les corps ultimobranchiaux sont constitués de cordons renfermant des cellules glandulaires et des cellules bordantes. Dans certaines zones périphériques de la thyroïde, des cordons ultimobranchiaux typiques sont localisés dans les espaces interfolliculaires et sous-capsulaires. Des cellules C folliculaires basales analogues à celles de la thyroïde du mammifère sont rarement observées.Les caractères morphologiques des cellules C sont identiques quelle que soit leur localisation: ultimobranchiale, thyroidienne extrafolliculaire ou folliculaire basale. Les granules sécrétoires diffèrent légèrement par leur forme chez le pigeon et le tourtereau; leur diamètre moyen est plus variable d'une cellule à l'autre chez le pigeon.Des contacts neuroglandulaires existent au niveau des cordons glandulaires localisés dans les corps ultimobranchiaux et dans la thyroïde. Leur signification reste obscure.
Ultimobranchial and thyroidian localization of C cells in two Columbidae: the pigeon and the turtle-doveAn electron microscopic study
Summary In the two Columbidae we studied, C cells are present both in the ultimobranchial bodies and in the thyroid. Ultimobranchial bodies consist of cords which are made up of glandular cells and limiting cells. In certain peripheral regions of the thyroid, typical ultimobranchial cords are situated in the interiollicular and infracapsular spaces. Basal follicular C cells similar to those of the mammalian thyroid are rarely observed.The morphological characteristics of the C cells are identical whatever their situation may be: ultimobranchial or thyroidian, be it extrafollicular or basal follicular. The secretory granules differ slightly by their shape in the pigeon and the turtle-dove; their medium diameter varies more from one cell to another in the pigeon.Neuroglandular contacts exist at the level of the glandular cords situated in the ultimobranchial body and in the thyroid. Their signification is not clearly understood.
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2.
Résumé La parathyroïde de souris ne diffère pas essentiellement par sa structure générale de celles des autres espéces étudiées. Les cellules glandulaires se caractérisent cependant par une plus grande richesse en matériel sécrétoire figuré. La présence de ce matériel figuré dans les cavités golgiennes permet de suivre l'élaboration de granules sécrétoires typiques d'un diamètre de 160 à 200 m qui sont spécialement abondants chez la souris. Ces granules ne sont pas excrétés au pôle vasculaire des cellules; ils migrent vers les parois cellulaires apicales et latérales, fusionnent avec la membrane plasmique et semblent être excrétés sous forme soluble dans les espaces intercellulaires. Il n'existe dans la parathyroïde de souris, comme dans celle du hamster et du rat, qu'un seul type cellulaire fondamental. Les éléments clairs et sombres ne diffèrent que par leur densité hyaloplasmique; cette différence s'accuse plus ou moins selon la qualité du prélèvement.
Summary The structure of the mouse parathyroid does not differ essentially from other species studied. However, the glandular cells are characterized through an abundance in visible secretory material. The presence of this material in the cavities of the Golgi apparatus makes it possible to observe the formation of the typical secretory granules (160–200 m in diameter) which are particularly abundant in the mouse parathyroid. These granules are not secreted directly at the vascular pole; they migrate to the apical and lateral walls, fuse with the plasma membrane, and seen to pass into the cellular space in a soluble form. In the mouse parathyroid, as in the hamster and rat, there is only one fundamental cell type. The difference between dark and clear cells lies in the density of their hyaloplasm, which, however, is a consequence of the pretreatment of the material (fixation).
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3.
Résumé Nos observations confirment l'origine ultimobranchiale des cellules C de la thyroïde du rat. L'évolution des corps ultimobranchiaux (C.U.B.) a été étudiée à partir du 16ème jour de gestation, stade où ils fusionnent avec l'ébauche thyroïdienne. Dès le 17ème jour, les premières cellules C se différencient dans le C.U.B. inclus dans la thyroïde. Au 18ème jour, elles sont plus nombreuses et commencent à se disperser dans les cordons thyroïdiens. La migration des cellules C est particulièrement importante au 19ème jour. A partir du 20ème jour, les signes d'activité sécrétoire s'intensifient très nettement. A la fin de la vie foetale, les cellules C sont comparables aux cellules C adultes. La differenciation des cellules parathyroïdiennes précède nettement celle des cellules C.
Embryonic origin and secretory differentiation of the C cells in foetal rat thyroidElectron-microscopic study
Summary Our observations confirm the ultimobranchial origin of the C cells of the rat thyroid. We studied the development of the ultimobranchial body from the 16th day of pregnancy, when there is fusion with the thyroidian anlage, onwards. As early as the 17th day, the first C cells differentiate in the ultimobranchial body which is included into the thyroid. On the 18th day, they are more numerous and start to scatter throughout the thyroidian cords. The migration of the C cells is especially obvious on the 19th day. From the 20th day onwards, there is marked increase in secretory activity. At the end of the foetal life, the C cells resemble those of the adult. The differentiation of the parathyroid cells significantly precedes that of the C cells.
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4.
Résumé Les pinéalocytes de la Couleuvre sont constitués d'un corps cellulaire et d'expansions à polarité vasculaire. Ces cellules présentent toutes les caractéristiques des cellules glandulaires. La présence de cellules claires et de cellules sombres ne permet pas de classer les pinéalocytes en deux types cellulaires distincts. Les grains de sécrétion apparaissent dans les vésicules golgiennes, migrent dans les expansions et s'accumulent dans les parties terminales périvasculaires. De nombreuses fibres sympathiques sillonnent les espaces et le parenchyme épiphysaire. Une relation entre l'épiphyse et le système nerveux central n'a pu être établie. Les terminaisons sympathiques renferment en nombre variable des grosses vésicules à coeur dense et des petites vésicules granulaires et agranulaires de même taille. Des terminaisons sont observées au contact des pinéalocytes mais aucune articulation synaptique n'existe à ce niveau. La présence de barrettes entourées de vésicules est le seul critère qui permet de faire un rapprochement entre les pinéalocytes de la Couleuvre et la cellule photoréceptrice épiphysaire de certains Lacertiliens. L'épiphyse des Ophidiens présente une remarquable convergence avec celle des Mammifères. L'origine, la migration et la sécrétion des grains denses des pinéalocytes établissent un certain parallélisme avec les granules élémentaires des cellules neurosécrétrices.
The pineal organ of the snake Tropidonotus natrix L.I. Histological and ultrastructural studies
Summary Pinealocytes in the snake consist of a cellular body and processes with secretory polarity. These cells show all the characteristics of glandular cells. Although cells of variable densities of their cytoplasm are present at the same time, it is not possible to define separate cell types. The secretory granules appear in Golgi vesicles, move into cell processes and accumulate in their perivascular endings. Numerous sympathetic fibers are found in the vascular spaces as well as in the epiphyseal parenchyma. No structural connexions between the pineal organ and the central nervous system could be shown. Sympathetic nerve endings contain large dense-core vesicles and other small granular and non-granular vesicles. Nerve endings are observed in direct contact with the pinealocytes, but no synaptic junctions have been observed. The presence of some synpatic ribbons surrounded by vesicles is the only criterion permitting comparison of the pinealocytes of the snake with the pineal photoreceptors of some lacertilians. The pineal gland of snakes shows a remarkable structural resemblance with that of mammals. The origin, migration, and secretion of the pinealocyte secretory granules in Tropidonotus natrix show some similarities with the elaboration of elementary granules by neurosecretory cells.
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5.
Resumé Les organs photogènes de la pholade comprennent deux catégories de grandes cellules glandulaires.Les cellules lumineuses sécrètent une grande quantité de grains acidophiles, glyco ou mucoprotidiques, qui contiennent un glucide fortement Hotchkiss-positif et sont riches en tyrosine, en tryptophane et en protides sulfhydrilés. Certaines différences dans les affinités tinctoriales des grains s'expliquent en tenant compte de leur degré de maturité. Au terme de la phase d'élaboration du cycle sécrétoire, les derniers grains formés sont déversés dans la masse même du produit de sécrétion et le cytoplasme élaborateur, constitué surtout par de l'ergastoplasme et du réticulum endoplasmique lisse, subit une involution.Les cellules glandulaires apicales élaborent un mucus riche en mucopolysaccharides acides, dont l'ultrastructure est très particulière.Leur cycle sécrétoire semble, comme celui des cellules lumineuses, être caractérisé par la longueur exceptionnelle de la phase d'accumulation, ce qui a aussi pour conséquence une dégénérescence du cytoplasme élaborateur.Les cellules formant l'épithélium de revêtement de l'organe lumineux appartiennent à deux types distincts: les unes portent une abondante ciliature dont les battements favorisent sans doute le mélange des produits excrétés par les cellules glandulaires sous-jacentes. Les autres possèdent un ensemble de caractères qui permettent de les considérer comme des cellules glandulaires et il est possible qu'elles interviennent aussi lors de la réaction lumineuse.
Summary The luminous organs of Pholas consist of two categories of large glandular cells, lying under a covering epithelium.The luminous cells secrete a great amount of acidophilic granules; these granules, of a glyco- or mucoprotidic nature, are rich in tyrosine, in tryptophan and in sulphydril groups; they contain also a glucid strongly PAS positive. Certain differences in the staining properties of the granules can be related to their degree of maturity. During the secretory cycle, at the end of the elaboration phase, the secretory product forms a mass into which the last granules to be formed are discharged. The cytoplasm, mainly made of rough and smooth endoplasmic reticulum, is at this stage degenerating.The apical glandular cells elaborate a mucus rich in acid mucopolysaccharides, the ultrastructure of which is very typical. The secretory cycle of these cells, as well as of the luminous cells, is characterized by the exceptional length of the accumulation phase, during which the cytoplasm degenerates.The cells of the covering epithelium are of two distinct types. Some bear numerous cilia, whose beating help to mix the secreted products of the large glandular cells. Others possess certain characteristics of glandular cells, and their possible implication in the luminous reaction should be considered.


Je tiens à remercier le Dr. W. Bernhard pour son accueil dans le laboratoire de microscopie électronique de l'Institut du Cancer de Villejuif, où la partie ultrastructurale de ce travail a été effectuée. Ce travail a été exécuté dans le cadre d'une thèse de doctorat présentée devant la faculté des Sciences de Paris.  相似文献   

6.
Résumé Chez la souris C57 Bl, 2% des sections de noyaux de plasmocytes ganglionnaires contiennent un corps nucléaire, rarement plus. Chez les animaux immunisés par une injection d'hématies hétérologues, le pourcentage de noyaux plasmocytaires contenant un ou plusieurs corps nucléaires augmente jusqu'à 14% du 4ème au 9ème jour qui suivent l'administration de l'antigène. Cette augmentation est parallèle à l'élévation du taux des anticorps sériques. De plus, au même moment, le nombre des noyaux contenant plusieurs corps nucléaires augmente proportionnellement plus que celui des sections n'en contenant qu'un.Les corps nucléaires ont un diamètre moyen de 1,5 . Ils sont principalement formés d'un matériel finement granulaire ou filamenteux dont les éléments constitutifs ont un diamètre de 60 à 70 Å et de granules denses de 250 à 280 Å de diamètre. On en distingue plusieurs types selon la proportion relative et la disposition de ces constituants. Certains contiennent également des formations sphériques plus volumineuses dont le diamètre varie de 1000 à 1400 Å.L'étude ultrastructurale de ces corps après incubation des coupes en présence soit de RNAase soit de DNAase, révèle que les fins granules sont constitués de RNA, tandis que les grains denses représentent du DNA. Les digestions enzymatiques font apparaître une disposition en spirale de ces derniers éléments. Quant aux plus volumineuses formations sphériques, elles subsistent après les deux digestions et apparaissent comme étant en fait des tubes denses à double membrane.L'origine des corps nucléaires est discutée ainsi que la relation entre leur présence et la synthèse des protéines.
Ultrastructure of the nuclear bodies in the plasma cells
Summary In the C57 Bl mouse, 2% of the sections of plasma cells nuclei from lymphnodes contain one nuclear body (N.B.). The occurrence of two or several bodies per nuclear section is rare. The percentage of plasma cell nuclear sections with one or more nuclear bodies rises up to 14% from the 4th to the 9th day after the injection of heterologous erythrocytes. This increase is parallel to that of blood antibodies. The number of nuclei with several N.B. increases more than that of nuclei with only one.These nuclear bodies have a mean diameter of 1.5 . They are made up of a finely granular or filamentous material (60 to 70 Å in diameter) and of larger dense granules (250 to 280 Å). According to the relative distribution of these constituents, several types of N.B. can be identified. Some of these contain also larger spherical granules with a diameter of about 1000 to 1400 Å.Sections have been incubated with RNAase or DNAase. The fine granules disappear with the former while the dense grains are attacked by the latter enzyme. These digestions show a spiral distribution of the dense grains. The large spherical structures are not modified by these treatments but they are then found to be dense tubes with double membranes.The origin of the nuclear bodies is discussed as well as their relationship to protein synthesis.
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7.
Résumé L'identification et la répartition des cellules endocrines dans l'ébauche adénohypophysaire de Scyllium canicula, et la chronologie de la différenciation cellulaire et de l'histogenèse de cette glande ont fait l'objet de ce travail.Plus nettement encore que chez l'adulte on démontre qu'il y a quatre populations de cellules hormonogènes, localisées chacune dans un lobe différent. Les grains de sécrétion des cellules du lobe rostral sont glycoprotidiques et ont un diamètre modal, de 170 nm, ceux du lobe médian, de la même taille, sont protidiques ou polypeptidiques. Les gros granules du lobe neuro-intermédiaire (diamètre modal 260 nm) sont glycoprotidiques, les petits granules du lobe ventral (diamètre modal 120 nm), protidiques au polypeptidiques.Au stade 10 mm, les cellules de la poche de Rathke sont différenciées de celles de l'épithélium stomodéal par la présence d'inclusions énigmatiques, les godd bodies de Schechter.Au stade 35 mm les cellules des noyaux préoptiques et du tuber comportent des grains de neurosécrétion, de même diamètre, variant autour de 100 nm. A ce même stade, des granules apparaissent simultanément dans les quatre lobes de l'hypophyse, notamment dans le lobe neuro-intermédiaire où aucune fibre neurosécrétrice n'est encore décelée. L'innervation directe des cellules endocrines de ce lobe ne s'effectue qu'au stade 45 mm et s'accompagne de modifications de la taille des granules.La fin du développement embryonnaire se caractérise par une charge de plus en plus importante des cellules endocrines, en granules.
Cellular types and differentiation of Scyllium canicula embryo adenohypophysis (chondrichthyes)Electron microscopical investigation
Summary The identification and distribution of endocrine cells in embryonic adenohypophysis of Seyllium canicula, and chronology of cellular differentiation and histogenesis of this gland have been investigated in this work.More clearly than in the adult, the presence of four populations of endocrine cells, each one located in a different lobe, is demonstrated. Secretion granules of rostral lobe cells are glycoprotidic, their modal diameter is 170 nm; median lobe ones, of same dimensions, are protidic or polypeptidic. The nemo-intermediate lobe big granules (modal diameter: 260 nm) are glycoprotidic, the ventral lobe small granules (modal diameter: 120 nm), protidic or polypeptidic.At stage 10 mm, Rathke's pouch cells are recognized from stomodeal epithelium by enigmatic inclusions, the odd bodies of Schechter.At stage 35 mm, preoptic and tuberal nucleus cells include neurosecretory granules of same diameter varying about 100 nm. At this same stage, granules appear simultaneously in the four hypophyseal lobes, including the neuro-intermediate lobe where no neurosecretory fiber is present. Direct innervation of endocrine cells of this lobe is accomplished at stage 45 mm and is accompanied by changes of granules dimensions. The end of embryonic development is characterized by increasing granular load of endocrine cells.
Travail effectué avec l'aide du C.N.R.S. (Bénéficiaire: J. Mellinger). Collaborateurs techniques: Meile F. Wrisez et Mme P. Iglesias.  相似文献   

8.
Résumé L'endostyle de l'Ascidie Microcosmus claudicans (Savigny) contient 8 types cellulaires groupés en bandelettes longitudinales. Les cellules I sont mucipares et ciliées; les cellules III et V ciliées sont vectrices du mucus.Les cellules II et IV des bandelettes glandulaires sont très riches en ergastoplasme et renferment des grains de sécrétion apicaux d'aspect analogue. Les cellules VI également riches en ergastoplasme se distinguent des précédentes par leurs grains de sécrétion en forme de batonnet. Les cellules VII. iodophiles, sont caractérisées par leurs nombreux grains de lipopigment et leurs filaments intracytoplasmiques.Les fonctions des cellules II, IV, VI et VII sont inconnues.  相似文献   

9.
Résumé Les nerfs sécréteurs pénètrent dans l'épithélium des tubules au niveau du hile de la glande. Leurs subdivisions se disposent entre les cellules épithéliales ou leurs replis, et gardent toujours une situation extracellulaire. Les plus gros faisceaux d'axones sont encore entourés par des cellules satellites qu'on n'arrive plus à discerner autour des faisceaux moins importants ou autour des fibres isolées. Les axones sont alors directement au contact des cellules glandulaires. On a pu trouver des synapses neuro-glandulaires avec des spécialisations membranaires asymétriques comparables à celles décrites dans le système nerveux central des Vertébrés. Les fibres sécrétrices variqueuses contiennent d'autre part des vésicules de types variés, semblables à celles des troncs sécréteurs et moteurs du canal, et à celles des fibres motrices de la glande. La signification de ces vésicules a été discutée en relation avec l'existence possible d'amines biogènes diverses dans les fibres nerveuses.
Ultrastructural study of the innervation of the posterior salivary glands in Octopus vulgaris III. Innervation of the glandular tubules
Summary The secretory nerves enter the tubule epithelium at the level of the gland hilus. Their subdivisions being located between the epithelial cells or their infoldings, have always extracellular position. Satellite cells still surround the largest axon bundles, but are no longer discernable round the smaller bundles or isolated axons which are thus in direct apposition with glandular cells. Neuro-glandular synapses, with asymetric membrane specialisations similar to those found in the central nervous system of vertebrates, have been found. The varicose secretory fibers contain various types of vesicles, similar to those found in the secretory or the motor trunks at the duct level, or in the gland motor fibers. The significance of these vesicles is discussed, in reference to the possible existence of various biogenic amines in the nerve fibers.
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10.
Résumé Dans le but d'identifier la cellule hypophysaire responsable de la sécrétion d'ACTH chez le rat, des études morphologiques, en microscopie optique et électronique, furent entreprises chez des animaux surrénalectomisés, c'est-à-dire dans des conditions où la sécrétion d'ACTH est spécifiquement augmentée. Le prélèvement des hypophyses fut effectué à des intervalles allant de 1 à 21 jours après surrénalectomie. Des hypophyses d'animaux surrénalectomisés et traités par la dexaméthasone, un inhibiteur de la secrétion d'ACTH, furent également étudiées. Il découle de ces expériences qu'un type cellulaire est stimulé en même temps que la sécrétion d'ACTH augmente. Cette cellule, hypertrophiée après surrénalectomie, possède une forme irrégulière et est très souvent en contact avec les cellules somatotropes; son ergastoplasme peu développé contraste avec un appareil de Golgi très important. Les granules secrétoires corticotropes ont un diamètre d'environ 200 m, sont peu abondants et disposés le long de la membrane cellulaire. Ces granules n'ont cependant pas été caractérisés en microscopie optique. L'administration de dexaméthasone provoque une régression spécifique de la cellule corticotrope ainsi qu'une accumulation des granules sécrétoires dans le cytoplasme. Chez l'animal intact, il devient possible d'identifier la cellule corticotrope qui possède les caractéristiques générales de la cellule stimulée, mais dont le cytoplasme et l'appareil de Golgi sont peu importants.
Identification of the ACTH secreting cells in the rat pituitary
Summary In order to clarify the identity of the ACTH-secreting cells in the rat pituitary, morphological studies were performed in adrenalectomized rats which have a specific increase in ACTH secretion. Pituitaries were removed and fixed for both light and electron microscopy at different time intervals (1 to 21 days) after adrenalectomy. Pituitaries of adrenalectomized animals which received dexamethasone, a potent inhibitor of ACTH secretion, were also studied. In these experiments, it was found that a specific cell type was stimulated as ACTH secretion was increased. This cell, which became enlarged after adrenalectomy, is characterized by an irregular shape and frequent association with somatotropic cells. The rough endoplasmic reticulum was poorly developed in contrast to a prominent Golgi apparatus. The secretory granules of this corticotropic cell were about 200 m in diameter and located in a single row along the plasma membrane. By light microscopic examination, these secretory granules could not be clearly identified. Dexamethasone administration provoked a specific decrease in size of corticotrophic cells, as well as an accumulation of secretory granules. Identification of corticotrophic cells in control rats was facilitated by comparison with those of adrenalectomized rats. In both cases, the general appearance of this cell type was similar except for size difference. Also in the control animals the Golgi apparatus was less prominent than in adrenalectomized rats.
Boursier du Conseil de la Recherche Médicale du Québec.  相似文献   

11.
Résumé Dans les cellules de l'hypophyse de la Grenouille, Rana temporaria, produisant l'hormone gonadotrope, nous avons analysé la localisation et l'évolution de l'activité phosphatasique acide au cours du cycle sécrétoire.Durant l'élaboration des sécrétions, l'activité enzymatique est essentiellement localisée au niveau de l'ergastoplasme, des saccules et des vésicules golgiennes, avec quelques accumulations plus importantes dans les grains juxta-golgiens et dans certains grains de diamètre plus important. A ce stade, quelques vésicules du réticulum endoplasmique lisse et un petit nombre de formations globuleuses présentent également une réaction positive. Ces images pourraient être en relation d'une part avec un processus de formation des lysosomes, d'autre part avec le fonctionnement normal de l'appareil de Golgi.Dans les cellules en phase de stockage et en cours d'excrétion, aucune activité n'est décelable dans la région golgienne. On note, par contre, la présence d'un grand nombre de corpuscules lytiques dispersés parmi les grains de sécrétion. Dans la matrice de ces corpuscules on distingue parfois des formations granulaires qui pourraient être en voie de résorption.Ces formations qui interviennent dans le processus de résorption intracellulaire des produits de sécrétion non excrétés pourraient également à certains moments du cycle cellulaire jouer un rôle, dans le processus de libération de l'hormone.
Localization of phosphatasic acid activity in gonadotrophs of the frog during their secretory cycle
Summary The localization and evolution of acid phosphatase activity during the secretory cycle of the gonadotropic cells of Rana temporaria are described.During the secretory phase of the cells the enzymatic activity is demonstrable in the rough endoplasmic reticulum, the Golgi saccules or vesicles and in granules of different diameters. Some vesicles of the smooth endoplasmic reticulum and a few number of globular formations contain also acid phosphatase. This picture corresponds to the normal function of Golgi zone or to the first step of the formation of lysosomes.During the phases of accumulation and excretion of secretory granules acid phosphatase activity is concentrated in lytic bodies which sometimes contain secretory granules. This picture may be interpreted as an intracellular digestion of secretory products. At this time the Golgi zone lacks acid phosphatase activity.From these findings it may be concluded that in gonadotropic cells lysosomes act in the regulation of secretory process, specially the resorption of accumulated secretory granules, but a role in the hormone releasing process cannot be excluded.


Avec la collaboration technique de Mme R.-O. Clauss.  相似文献   

12.
Résumé Les cellules à inclusion acidophile sont caractérisées par un cytoplasme réduit, périphérique, constitué de membranes ergastoplasmiques, par une volumineuse inclusion, homogène et opaque chez les Limnées élevées au laboratoire, granuleuse et peu dense aux électrons chez celles prélevées dans leur milieu naturel, et par une dépression apicale, pôle sécrétoire de ces cellules, creusée dans la masse de l'inclusion.La différenciation de ces cellules à partir d'éléments riches en ergastoplasme membranaire est caractérisée par la coalescence des granules façonnés dans les nombreuses aires golgiennes, par la vésiculisation transitoire de l'ergastoplasme et par la transformation des saccules golgiens disponibles à la fin du cycle sécrétoire en figures pseudo-myéliniques qui semblent marquer le terme du cycle fonctionnel de cet organite.L'étude des glandes, à des temps échelonnés après le déclenchement de leur fonctionnement, suggère que ces cellules parcourent un unique cycle sécrétoire, que la phase d'extrusion du produit (type mérocrine) est longue ou intermittente.Cette étude fournit des arguments permettant de comparer ces cellules aux cellules cystiques des glandes salivaires d'autres Gastéropodes pulmonés et incite à penser que le schéma du fonctionnement de ces glandes est sans doute superposable chez de nombreux pulmonés.
Salivary-gland cells with acidophilic inclusions in Limnaea stagnalis L.
Summary The salivary glands of fresh water pond snails contain cells which are characterized by a voluminous inclusion body, homogeneous and opaque in laboratory reared animals, granular and less dense in wild populations. This inclusion is surrounded by a thin cytoplasmic layer with parallel cytomembranes. The apical secretory pole forms a deep depression in the acidophilic material.Acidophilic cells are derived from basophilic elements which contain a well developed rough endoplasmic reticulum. Their differentiation is characterized by the coalescence of dark granules originating from the Golgi apparatus, by ergastoplasmic vesiculisation, finally by the appearance of myelin structures in the Golgi area.The results of experiments speak in favour of the assumption, that only one secretory cycle occurs in these cells and that the extrusion phase (merocrine type) is slow or intermittent.The fact that the acidophils can be compared with the cystic cells of the salivary glands in other pulmonates suggests that the mode of action of these glands is more or less identical in a wide range of species.


Je remercie Monsieur le Docteur M. Gabe, Directeur de Recherches au C.N.R.S., pour l'intérêt constant qu'il a bien voulu porter à ce travail.  相似文献   

13.
Résumé Dans les glandes de la glu, formations propres aux Onychophores, les tubes sécréteurs comprennent un épithélium glandulaire entouré d'une enveloppe conjonctive et musculaire. L'enveloppe conjonctive, délimitée par des membranes basales de mucopolysaccharides neutres et de mucoprotéines, contient deux sortes de fibrilles: des fibrilles collagènes et un type particulier de fibrilles élastiques. Les fibres musculaires, éparses, d'orientation circulaire, montrent une organisation beaucoup plus rudimentaire que dans les muscles somatiques.L'épithélium glandulaire est formé de cellules prismatiques toutes semblables, à gros noyau polyploïde en position basale, avec nucléole très volumineux. L'ensemble du cytoplasme de ces cellules est chargé de ribonucléines sous forme d'ergastoplasme granulifère à citernes concentriques et de nombreux ribosomes libres. Les structures lamellaires concentriques de l'ergastoplasme, qui se différencient du côté basal, près des noyaux, s'accroissent dans la région médiane des cellules et se désorganisent à l'apex, en libérant des grandes quantités de ribosomes. La sécrétion de ces cellules est formée essentiellement de protéines qui s'accumulent dans la région apicale sans passer par l'appareil de Golgi, lequel est d'ailleurs peu développé. Ces protéines ne sont donc pas concentrées en granules de sécrétion, mais déchargées dans la cavité glandulaire, directement à l'état diffus, par l'intermédiaire d'épanchements cytoplasmiques de la face apicale cellulaire dans lesquels passent également de nombreux ribosomes libres. Polyploïdie, grand volume nucléolaire, hyperdéveloppement de l'ergastoplasme granulifère, abondance des ribosomes libres, non-intervention de l'appareil de Golgi et absence de concentration de la sécrétion en granules sont mis en relation avec la synthèse rapide et continue des protéines qui forment le principal constituant de la glu.
Cytochemical and ultrastructural data on the secretory tubes of the slime glands in Peripatus acacioi Marcus and Marcus (Onychophora)
Summary In the peculiar slime glands of the Onychophora, the secretory tubes consist of a glandular epithelium surrounded by a layer of connective and muscular tissue. The connective layer, bounded by basal membranes of neutral mucopolysaccharides and mucoproteins, contains two kinds of fibrils: collagenous fibrils and an especial type of elastic fibrils. The muscle fibers, which are scattered and circularly oriented, are more simply organized than those of the somatic muscles.The glandular epithelium is constituted by prismatic cells of the same type, with a large polyploid basally situated nucleus, containing a very large nucleolus. The cytoplasm of these cells is filled with ribonucleins in form of ergastoplasm and in numerous free ribosomes. Concentric lamellar structures of ergastoplasm, which originate basally close to the nucleus, are well developed in the central region of the cell and become disorganized at the apex, where they liberate great quantities of ribosomes. The secretion of these cells consists essentially of proteins, which accumulate in the apical region without passing through the poorly developed Golgi apparatus. These proteins, therefore, are not concentrated in secretory granules, rather they are released in a diffuse form, into the glandular cavity. They are discharged in cytoplasmic expansions detached from the apical region, together with a large quantity of free ribosomes. Polyploidy, large nucleolus, well developed granular ergastoplasm, abundance of free ribosomes, non-participation of the Golgi apparatus and lack of concentration in secretory granules are correlated with rapid and continuous synthesis of proteins which are the principal component of the slime.
Avec la collaboration technique de Mlle Eliana Parisi et l'aide de la Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo.  相似文献   

14.
Résumé Ce travail est consacré à l'identification des cellules sécrétant respectivement LH et FSH chez le Porc. Les caractères morphologiques de ces deux lignées cellulaires ont été précisés grâce à deux techniques de coloration: l'APS-bleu de méthazol-orange G et l'APS-bleu alcian-orange G. Cette dernière technique est la seule à révéler que les grandes cellules de la zone médiane auxquelles avait été précédemment attribuée la sécrétion de FSH se scindent en deux classes distinctes: les unes ne réagissent qu'à l'APS, les autres réagissent simultanément à l'APS et au bleu alcian.Les modifications hypophysaires caractérisant les phases du cycle oestral, la castration, la cryptorchidie, l'administration d'un antiovulatoire concordent à démontrer que l'activité LH est exercée par une lignée spécifique de cellules glycoprotidiques caractérisées par la disposition de leurs granulations en amas distincts. Les mêmes conditions physiologiques ou expérimentales suggèrent que seules parmi les cellules basophiles de la zone médiane, celles qui réagissent simultanément à l'APS et au bleu alcian participent à l'activité gonadotrope de l'hypophyse et sécrètent vraisemblablement FSH.Le microscope électronique précise les caractères distinctifs des deux formes gonadotropes. Elles diffèrent l'une de l'autre par la structure de leurs granulations et l'aspect de leur ergastoplasme. Les cellules LH se repèrent aisément grâce à la disposition de leurs granulations en amas distincts et le microscope électronique confirme leur hypertrophie fonctionnelle à la suite de la castration. D'autre part, le microscope électronique confirme également la dualité des cellules basophiles occupant la région médiane de la glande et l'étude de ces cellules basophiles chez le castrat démontre bien que seule, l'une de ces formes cellulaires subit une vacuolisation massive de son ergastoplasme.L'attribution de l'activité LH aux cellules glycoprotidiques dont les granulations sont réparties en amas distincts est confirmée par une réaction d'immuno-fluorescence réalisée à partir d'un immun-sérum spécifique vis-à-vis de l'hormone LH.
The gonadotropic cells in the pigs hypophysis
Summary The present paper concerns the identification of LH -and FSH-secreting cells in the hypophysis of the pig. The morphological characteristics of the involved cell types can be accurately demonstrated by two staining techniques: PAS-methazol: blue-Orange G and PAS-Alcian blue-Orange G. Only the second of these methods reveals that the large cells of the median region, usually considered as FSH-secretory, can be separated into two cells types; some of them stain exclusively with PAS, the other ones stain simultaneously with PAS and Alcian blue.The cytological modifications of the hypophyseal structure observed in different functional conditions (f.i. during the different phases of the oestrous cycle, after castration, in cryptorchidism, after administration of antiovulatory drugs) point to an identical conclusion, namely that the secretion of LH must be ascribed to a specific glycoprotidic cell type, identified by a peculiar clusterlike disposition of the cytoplasmic granules. On the other hand, the cytological observations suggest that, among the basophil cells of the median region, only those which stain simultaneously with PAS and Alcian blue have a gonadotrope function and are most probably FSH-secreting.The electron microscope allows a precise distinction between the two gonadotrope cell types, based on the aspect of the ergastoplasm and the structure of the granules. The LH cells are easily identified by the characteristic disposition of the granules in clusters or clumps. Their hypertrophy after castration is confirmed by EM observations.On the other hand the EM confirmes the duality of the basophil cells of the median region; since, after castration, one of the two cell types only shows a massive vacuolisation of the ergastoplasm.Finally, the LH-secretory function of the glycoprotidic cells with clump like aspect of the granules is confirmed by their immuno-fluorescence reaction towards a specific anti-LH serum.
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15.
Résumé La greffe de pancréas foetal chez le rat alloxanisé (une injection d'alloxane de 100–250 mg/kg) corrige immédiatement et définitivement le diabète. La sécrétion d'insuline est, au début, assurée par le greffon puisque dans les îlots du pancréas de l'hôte l'alloxane a provoqué la destruction totale des cellules B. Durant les deux premières semaines qui suivent la bréphoblastie, les îlots sont le lieu d'une prolifération massive de cellules A; les premières cellules B néoformées apparaissent vers le 15e jour mais la proportion normale des cellules AB n'est rétablie que 1 1/2 à 2 mois après l'implantation de la greffe. Au fur et à mesure de la régénération des cellules B, la fonction insulinique des îlots du pancréas de l'hôte se substitue à celle du greffon qui dégénère progressivement.Chez les rats pancréatectomisés et greffés, la sécrétion d'insuline est également assurée par le greffon pendant le 1er mois environ. La régénération du pancréas à partir de reliquats pancréatiques laissés dans la région de la confluence des canaux de Wirsung et biliaire, aboutit, à 3 1/2 mois, à une polynésie d'îlots, souvent volumineux et irréguliers, formés presqu'exclusivement de cellules B. La glycémie restant constamment normale, la sécrétion d'insuline est ici encore dans une première phase, assumée par le greffon qui dégénère, par la suite, au fur et à mesure que les îlots du régénérat sont capables de secréter de l'insuline en quantité suffisante pour assurer l'équilibre glycémique.La prolifération et la néogenèse des cellules A, comme celles des cellules B, se font essentiellement aux dépens des cellules des acini exocrines qui perdent leurs caractères de cellules exocrines (disparition des granulations de zymogène et de la réserve de RNA) et prolifèrent en gros bourgeons plasmodiaux A ou B. La différenciation de cellules endocrines se fait également, mais plus rarement, à partir de l'épithélium des petits canalicules secrétoires sous acineux.Bréphoplastie = greffe d'organe foetal; terme créé par R. M. May.  相似文献   

16.
Résumé On décrit le système neurosécrétoire caudal de Jenynsia lineata. L'urophyse de cette espèce est un organe bien différencié, séparé de la moelle par une membrane méningée discontinue, et formé de fibres qui y arrivent après avoir constitué un pédoncule principal. Les fibres ne pénètrent pas par celui-ci, le font par les orifices de la membrane méningée.Dans l'urophyse comme dans les cellules neurosécrétoires du système, la neurosécrétion se colore à l'aldéhyde fuchsine après oxydation par le KMnO4/ H2SO4; à l'hématoxyline chromique de Gomori elle se colore aussi, mais faiblement, et toujours après mordançage par de l'alun chromique dans le Bouin. On en discute les causes, par rapport aux données obtenues par d'autres auteurs.Il n'y a pas de cellules géantes, si caractéristiques du systéme neurosécréteur caudal d'autres Téléostéens. Les cellules neurosécrétoires du système sont petites et peu remarquables.Nous tenons à remercier le Dr. Juan H. Tramezzani de la lecture du manuscrit de ce travail, et des précieuses suggestions qu'il a bien voulu nous faire parvenir.  相似文献   

17.
Summary This paper presents the normal ultrastructural features of the androgenic gland in Porcellio scaber. It describes the changes in the organelles of its cells through the course of the secretory cycle, which terminates with the regression and destruction of these holocrine glandular cells. As products of this activity, the electron-opaque bodies (granules, lysosomes, agglomerates) and clear substances accumulate in the cytoplasm. With the destruction of the cell membrane, the entire cell content passes into the spaces of the haemocoele. The morphological modifications of the mitochondria and rough endoplasmic reticulum are the most striking changes.
Résumé Les auteurs présentent, dans ce travail, les aspects ultrastructuraux normaux de la glande androgène chez l'oniscoïde Porcellio scaber. On montre, par des phases successives, les modifications morpho-fonctionnelles des organites cellulaires jusqu'à la fin du cycle sécrétoire, qui finit par la dégradation et la destruction des cellules glandulaires, dont la fonction est de type holocrin. Comme produits de cette activité, des corps éléctrono-opaques (grains, agglomerats, lysosomes) et des substances claires apparaissent dans le cytoplasme. Par la destruction de la membrane plasmique, tout le contenu cellulaire est éliminé dans les espaces haemocoeliens, soit par écoulement soit par fragments. Le RE et le chondriome subissent les modifications les plus spectaculaires.
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18.
Résumé La glande sous-maxillaire de 39 souris et de 4 rats a été examinée comparativement au microscope optique et électronique après fixation à l'acide osmique ou à la glutaraldéhyde. Cette dernière fixation favorise la mise en évidence et l'étude des deux unités sécrétoires de la glande: l'acinus et le tubule granuleux.Les cellules sécrétoires des deux unités comportent un ergastoplasme très étendu mais se distinguent par l'arrangement de cet ergastoplasme, le dèveloppement de l'appareil de Golgi et la morphologie des grains sécrétoires. L'aspect ultrastuctural et les propriétés histochimiques suggèrent que la cellule du tubule granuleux élabore un produit sécrétoire à prédominance séreuse, la cellule acineuse une substance riche en composants muqueux. Rien ne parleen faveur du passage d'une cellule à l'autre et l'absence d'image de différenciation chez l'animal alimenté normalement est frappante.Les voies excrétrices sont d'une complexité non reconnue jusqu'à présent: elles comprennent des canaux intercalaires distincts pour chacun des deux types d'ilôts glandulaires, des canaux bien définis desservant les croissants de Giantuzzi, et des canaux striés.
Summary The submaxillary glands of 39 mice and 4 rats are studied comparatively by means of light and electron microscopy. Osmic acid and glutaraldehyde are used as fixatives. The use of the latter favours the discrimination and the study of the two secretory units of the gland: acinus and secretory duct.The secretory cells of these two units show an extensive ergastoplasm; they differ from each other through the way the ergastoplasm is arranged, the development of the Golgi complex, and the morphology of the secretory granules. The ultrastructural aspect and the histochemical properties suggest that the cells of the secretory duct produce a secretory product which is predominantly serous, whereas the secretory product of the acinar cells is rich in mucous components. Nothing speaks in favour of a transition of one cell to the other; the absence of stages of differentiation in the cells of a properly nourished animal is startling.The secretory channels show a complexity which, so far, has not been appreciated: they comprise distinct intercalated ducts for each of the two types of glandular islets, specific ducts serving the crescents of Gianuzzi, and striated ducts.


Les auteurs remercient mademoiselle J. Louis pour son assistance technique dévouée.  相似文献   

19.
Résumé Les types cellulaires de l'adénohypophyse du Crapaud (Bufo bufo L.) ont été identifiés et étudiés avec deux fixateurs différents. La fixation au tétroxyde d'osmium permet l'identification de cinq types de cellules, alors que celle à la glutaraldéhyde suivie d'une postfixation met en évidence six catégories cellulaires.Les résultats différents obtenus avec ces deux fixateurs portent essentiellement sur la structure (forme et densité) des granulations; une meilleure conservation des grains de sécrétion est obtenue avec la glutaraldéhyde.La libération et l'élaboration des produits de sécrétion sont discutées. Le problème de la libération des granules des cellules hypophysaires a été abordé sous un angle nouveau. Il a été observé dans d'autres organes (pancréas endocrine, cellule à gastrine de l'intestin) que les grains de sécrétion subissent une lyse intracytoplasmique sans destruction de la membrane limitante du granule. Il est suggéré que le même processus pourrait aussi se réaliser au niveau de l'hypophyse.
On the ultrastructure of the adenohypophysis in the toad, Bufo bufo L.I. Identification of cell types and comparison of the results obtained with different fixations
Summary Two different fixatives have been used to identify the various cell types contained in the anterior pituitary of the toad (Bufo bufo L.) and to investigate their ultrastructure. Five cell types were distinguished after simple osmium tetroxid fixation, whilst glutaraldehyde fixation with postosmification revealed six distinct cell types.The results obtained by these two techniques differed mainly in the structure (shape and electrondensity) of the secretory granules, which seemed to be better preserved after combined glutaraldehyde-osmium fixation.The modes of synthesis and release of the secretory products are discussed. The problem of the mode of release of secretory granules from pituitary cells has been envisaged under a new aspect. It has been observed in other organs (endocrine pancreas, gastrin cells of the intestinal wall) that secretory granules may undergo intracytoplasmic lysis without destruction of their limiting membrane. It is suggested that the same process may operate in the pituitary.
Travail réalisé avec l'aide du Fonds national suisse de la Recherche scientifique (Crédit No 5344.3).Nous remercions tout particulièrement Mme Sidler-Ansermet, M. Oberson, photographes, et Mme Baumann, secrétaire, de l'aide qu'ils ont apportée à la réalisation de ce mémoire.  相似文献   

20.
Resumé L'étude autoradiographique au microscope électronique de la glande mammaire en stase démontre la présence de nombreux grains de protéine marqués trente minutes après l'injection de leucine tritiée. Les grains marqués sont situés dans l'appareil de Golgi des cellules glandulaires, dans les lumières acineuses et dans les espaces conjonctifs inter-acineux. Le mécanisme de passage des grains de protéine dans le tissu conjonctif reste à élucider mais ces protéines sont fraichement synthétisées. Ces constatations indiquent que, dans la stase, la cellule glandulaire conserve une activité sécrétoire normale et n'a aucun caractère involutif.
Summary Electron microscopic autoradiography has been applied to the study of protein synthesis in the mammary gland during milk stasis. Thirty minutes after injection of tritiated leucine silver grains are localized over the protein granules in the Golgi vacuoles, in the acinar lumina and in the inter-acinar spaces. They indicate that these granules are newly synthetized proteins and that their passage in the inter-acinar spaces is as immediate as it is in the glandular lumina. The mechanism by which the protein granules reach the inter-acinar spaces has still to be elucidated. The observations indicate that during milk stasis the glandular cell preserves its normal secretory activity.


Avec l'aide du Centre National de la Recherche Scientifique et de l'Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale.  相似文献   

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