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1.
R. Fritz 《BioControl》1976,21(3):239-249
Résumé L'action,in vitro, de 34 fongicides sur la croissance mycélienne de 3 espèces d'Entomophthorales:Basidiobolus ranarum (Eidam),Conidiobolus osmodes (Drechsler) etEntomophthora virulenta (Hall & Dunn) [désignéEntomophthora nr.thaxteriana (Petch) parSoper & Bryan, 1974] a été examinée. Dans l'ordre croissant de leur sensibilité aux fongicides, les souches étudiées se classent comme suit:B. ranarum, E. virulenta etC. osmodes. Il existe une grande disparité dans l'activité des différents fongicides sur la croissance mycélienne des 3 espèces d'Entomophthorales. Certains fongicides sont peu ou pas actifs (chlorothalonil, éthirimol, oxychlorure de cuivre, soufre, etc.), d'autres agissent moyennement (captafol, dichlofluanide, mancozèbe, thirame, etc.); d'autres encore se révèlent très toxiques (bénodanil, chinométhionate, chloronèbe, triarimol). Mais il n'est pas simple de classer les fongicides en fonction de leur activité; un bon nombre d'entre eux possède un comportement hétérogène devant les 3 souches (carbendazime, oxycarboxine, 26019 RP, etc.). Dans l'ensemble, les fongicides systémiques se montrent plus efficaces sur la croissance mycélienne que les non systémiques.
Summary The effect of 34 fungicides on the mycelial growth of 3 Entomophthorales species:Basidiobolus ranarum (Eidam),Conidiobolus osmodes (Drechsler) andEntomophthora virulenta (Hall & Dunn) was investigatedin vitro. The examination of growth was conducted in test tubes and five fungicidal concentrations were tested. The amount of growth of the various fungi in all treatments was expressed as a percentage of the growth of the control in order to evaluate the concentrations which reduce the growth speed by half. In the increasing order of their sensitivity to fungicides the strains under study could be classified in the following manner:B. ranarum, E. virulenta andC. osmodes. There is a great disparity between the action of the different fungicides upon the mycelial growth of the 3 Entomophthorales species. Some fungicides have little or no action (chlorothalonil, ethirimol, copper oxychloride, sulphur, etc.); others are more or less active (captafol, dichlofluanid, mancozeb, thiram, etc.); others again showthemselves to be highly toxic (benodanil, quinomethionate, chloroneb, triarimol). However it is not simple to classify the fungicides as a function of their activity; many of them react differently on the 3 species (carbendazim, oxycarboxin, 26019 RP, etc.). Overall, systemic fungicides are more effective on mycelial growth than non-systemic fungicides.
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2.
C. A. Dedryver 《BioControl》1978,23(2):137-151
Résumé Plusieurs espèces d'Entomophthora participent à la régulation des populations d'Aphis fabae Scop. sur féverole dans l'Ouest de la France. Les r?les respectifs de chaque espèce ont été évalués en 1971 et de 1973 à 1975. Entomophthora fresenii Nowak. est l'espèce qui se dissémine le plus rapidement et le plus complètement dans les parcelles, et qui est la plus agressive au niveau des colonies. Ces deux caractères en font l'agent pathogène dominant d'A. fabae dans l'Ouest, 3 années d'observations sur 4.Entomophthora aphidis Hoffman, bien que présent tous les ans n'est le pathogène le plus efficace qu'en 1973.Entomophthora thaxteriana Petch etEntomophthora planchoniana Cornu n'apparaissent pas chaque année et, lorsqu'ils sont présents, n'interviennent que pour une faible part dans le développement des mycoses. Des facteurs inhérents à l'agent pathogène (spécificité, caractères du cycle) ainsi que des facteurs écologiques (climatiques) sont évoqués pour expliquer la prédominance d'E. fresenii.
Summary Several species ofEntomophthora take part in the natural control ofAphis fabae Scop. on field beans (Vicia faba) in the West of France. The respective importance of each species was assessed in 1971 and from 1973 to 1975. Entomophthora fresenii Nowak. is the species that most completely and quickly spreads in the fields, and the most efficient in the colonies. For both reasonsE. fresenii is the main pathogen ofA. fabae in the West of France 3 years over 4. AlthoughEntomophthora aphidis Hoffman occurs every year, this species was the most efficient pathogen in 1973 only.Entomophthora thaxteriana Petch just occurred in 1974 and 1975 and, these years, its contribution in the total sum of infected aphids was low.Entomophthora planchoniana Cornu appeared in 1975 only, very late in the season, which makes its pathogenicity difficult to assess. Factors inherent to the pathogen (specificity ofE. fresenii, nature of its cycle, dependence of the aggregation of aphids) and ecological factors such as response to climate variations, may at least to a great extent explain the predominance ofE. fresenii. All these factors must be studied for a good understanding of this species.


Les 2 premiers mémoires de cette étude ont été publiés dans Entomophaga respectivement parRobert et al. (18, 1973, 61–75) etRabasse & Robert (20, 1975, 49–63)  相似文献   

3.
Investigations with the sugarcane borer sex pheromone have been conducted in the laboratory and field since 1964 to: (1) develop a suitable synthetic diet for rearing large numbers of larvae; (2) develop a reliable bioassay to aid chemical studies of the pheromone; (3) study male response in the field to the pheromone; (4) determine the effects on natural populations of trapping males in small field plots; and (5) identify the pheromone. More than 1,000,000D. saccharalis have been reared on synthetic diets during the past 4 years. Bioassay techniques for detecting active fractions separated during chemical studies have been developed. Statistically significant reductions in sugarcane borer infestations and damage to sugarcane have been attained in small replicated field plots. Male movement in the field has been studied utilizing marking and release techniques. About 1400 males of the bluegrass webworm,C. teterrellus, responded to cagedD. saccharalis females during two years of field work, thus providing evidence for a lack of species specificity of the pheromone.
Résumé La découverte en 1964 d’une phéromone sexuelle efficace chez le foreur de la canne à sucre,Diatraea saccharalis (F.) a stimulé la recherche pour identifier et synthétiser la phéromone et faire l’étude de ses possibilités d’emploi dans la lutte contre ces ravageurs.D. saccharalis est le principal insecte nuisible à la canne à sucre en Louisiane où il cause environ 13% des pertes annuelles. Les femelles vierges commencent à émettre ce produit chimique après l’émergence et elles sont le plus attractives pendant les trois premiers jours de vie, ensuite l’attraction diminue avec l’age. Généralement les femelles cessent d’attirer les males après l’accouplement et la majorité des femelles s’accouplent seulement une fois dans la nature, où l’activité sexuelle a lieu entre une heure et quatre heures du matin. Plus d’un million de larves ont été élevées en laboratoire ces quatre dernières années. Environ 75% des abdomens des femelles obtenues ont été utilisés par les chimistes qui cherchent à identifier la phéromone. Des réductions significatives de l’infestation par le foreur et des préjudices à la canne à sucre ont été enregistrées dans de petites parcelles où étaient disposés 400 à 800 pièges par acre, chaque piège contenant une femelle vierge. Il n’y a pas eu de réductions significatives l’année suivante quand la densité des pièges a été réduite à 80 par acre, cependant les captures de males ont augmenté de presque 2,5 fois. Les nombres de males marqués recapturés au point de lacher ne diffèrent pas significativement si les lachers ont été faits à des distances de 40, 80, 160 et 320 pieds du piège renfermant les femelles vierges, et seulement 4,44 pour cent des males ont été recapturés. Ces phénomènes sont peut être dus à la dispersion des males à partir des points de lacher avant leur réponse à la phéromone. Le manque de spécificité de la phéromone a été déjà signalé. Pendant les deux ans d’essais dans la nature, les pièges avec les femelles vierges deD. saccharalis ont attiré beaucoup de males deCrambus teterrellus Zincken.


Presented at the symposium OILB on borers of graminaceous plants. Paris, 24th sept. 1970.  相似文献   

4.
Three species of birds and 5 species of mammals were captured in the wild from 2 plots in which mortality from naturally occurring nucleopolyhedrosis virus (NPV) among gypsy moth,Lymantria dispar (L.), larvae was 15% and 70%. Bioassays of intestinal contents showed that blue jays,Cyanocitta cristata (L.), towhees,Pipilo erythrophthalmus (L.), white-footed mice,Peromyscus leucopus (Rafinesque), redback voles,Clethrionomys gapperi (Vigers), raccoons,Procyon lotor (L.), and a chipmunk,Tamias striatus (L.), contained infectious (L.), and masked shrews,Sorex cinereus (Kerr), did not. Comparisons among mice and voles indicated that those collected from the plot in which the NPV mortality was greatest (70%) contained the most virus. We concluded that birds and mammals can passively transport infectious gypsy moth NPV in the wild.
Résumé Trois espèces d'oiseaux et 5 espèces de mammifères ont été capturées en 2 endroits où la mortalité due à la présence naturelle du virus de la nucléopolyhédrose (VNP) chez les larves deLymantria dispar (L.), était de 15% et de 70%. Le système digestif des geais bleux,Cyanocitta cristata (L.), guiraca à poitrine rose,Pipilo erythrophthalmus (L.), souris-au-pied-blanc,Peromyscus leucopus (Rafinesque), campagnols-au-dos-rouge,Clethrionomys gapperi (Vigers), ratons laveurs,Procyon lotor (L.) et d'un tamia,Tamias striatus (L.), était infecté par le virus alors que celui des rouges-gorges,Turdus migratorius (L.) et des musaraignes,Sorex cinereus (Kerr), ne l'état pas. Une comparaison entre les campagnols et les souris a indiqué que les animaux provenant de l'endroit où la mortalité par virose était la plus forte (70%) contenaient le plus de virus. Nous concluons que les oiseaux et les mammifères peuvent transporter passivement dans la nature les polyèdres nucléaires deL. dispar.


The work reported was funded in part by a U.S. Department of Agriculture sponsored program entitled, “The Expanded Gypsy Moth Research, Development and Applications Program”.  相似文献   

5.
C. A. Dedryver 《BioControl》1979,24(4):443-453
Résumé Deux expérimentations ont été faites en serre, dans le but de déclencher des épizooties àEntomophthora surAphis fabae Scop. par dissémination de pucerons vivants, infectés parE. fresenii Nowal. dans des colonies saines et par brumisation. Un relèvement moyen de l'humidité relative ambiante, obtenu par brumisation, même assez faible (10%), est suffisant pour avancer la saturation nocturne et retarder la baisse matinale de l'humidité relative. Ceci, ainsi que le maintien d'eau liquide sur les plantes pendant une grande partie de la journée, a permis le déclenchement des processus épizootiques. Durant la 1re expérimentation, la croissance des colonies est arrêtée 13 j après la distribution de l'inoculum et les populations sont détruites à 80% 27 j après cette distribution. Durant la 2e expérimentation la croissance des colonies est arrêtée 6 j après la distribution de l'inoculum et les populations sont détruites à 90% 24 j après cette distribution. Les meilleurs résultats (2e expérimentation) ont été obtenus avec une serre complètement fermée et un inoculum distribué très peu de temps après l'installation des pucerons. Les r?les respectifs de l'eau libre et de l'humidité relative ambiante sur l'épizootiologie du champignon sont discutés, ainsi que les problèmes posés par l'influence de la brumisation sur les champignons phytopathogènes, par l'action des fongicides sur lesEntomophthora, et par la compatibilité de telles méthodes de lutte avec les traitements insecticides.
Summary Two experiments were carried out in a glasshouse, in order to control the populations ofA. fabae on broad beans by dissemination of living infected aphids (E. fresenii) in the healthy colonies, and enhancement of the relative humidity by means of brumization. Sprinkling was released by an electronic detector of moisture. During the 1st experiment the detector ran permanently, in the 2nd experiment from 4h p.m. to 10h a.m. only. The results showed that the induced increase of the relative humidity through sprinkling was weak (10%) but enough to carry the nocturnal saturation forward and to delay it during the morning. During the 1st experiment (16th May–12th June 1978) the colony growth was arrested 13 days after the spread of the infected aphids had occurred and the proportion of dead aphids reached a high of 80%, 27 days after the spreading of the infected ones. During the 2nd experiment (18th October–13th November) the growth of the colonies was arrested in the treated plot from the 6th day after the spreading of the infected aphids and the proportion of dead aphids exceeded 90% 24 days after the spreading of the infected ones. In the untreated plot the highest level of population was three fold the one in the treated plot. The best results (2nd experimentation) were obtained when the glasshouse was completely closed and when the inoculum (infected aphids) was spread a very short time (2 days) after the infestation of the beans by the healthyA. fabae. Many questions are stated, especially concerning the role of water covering the beans and aphids on the epizootiology, the influence of sprinkling on the plant fungal diseases, the influence of fungicides on theEntomophthora or the best way to spread the inoculum. The solution may be to consider theEntomophthora as a component of integrated control in glasshouses.


Avec la collaboration technique d'Augustine Gellé.  相似文献   

6.
Résumé Les auteurs relatent les circonstances de l'introduction dans les ?les Leeward (Antilles), deCactoblastis cactorum (Berg.) (Lepid. Phycitidae) qui eut pour résultat la destruction spectaculaire de diversOpuntia, principalementO. triacantha. Introduit en 1957 dans l'?le Nevis,Cactoblastis s'est établi rapidement et, vers 1960, il produisit d'excellents résultats qui se sont maintenus par la suite. Des matériaux provenant de l'?le Nevis ont été introduits dans les ?les voisines de Montserrat et Antigua. Dans la première, lesOpuntia ont été rapidement détruits. mais faute de conditions culturales convenables, ils ont été remplacés par desAcacia sp. si bien que le bénéfice de l'opération est très faible. Dans l'?le d'Antigua, leCactoblastis s'est acclimaté mais, jusqu'à présent, la destruction desOpuntia n'est pas complète. LeCactoblastis s'est aussi répandu, accidentellement ou non, dans les ?les St. Kitts et U.S. Virgin. Les auteurs donnent la liste d'autres régions où l'introduction de cet insecte pourrait être envisagée. Les espècesDactylopius sp. aff.confusus (Ckll.) etD. opuntiae Ckll. (Hemiptera, Coccidae) ont aussi été introduites dans l'?le Nevis mais ne s'y sont pas maintenues. Les auteurs donnent des raisons possibles de cet échec.   相似文献   

7.
Egg masses of the greater wax moth,Galleria mellonella L. experimentally infected with conidia ofAspergillus flavus Link became rapidly covered with the mycelium and were eventually destroyed. Germ tubes from conidia penetrated not only infertile, but also damaged eggs. Healthy eggs were often penetrated both by conidial germ tubes and mycelia elements. Once penetrated, eggs become filled with mycelium in as little as two days, after which conidiophores and mycelia protrude outwardly through the chorion.
Résumé Des pontes de la Teigne des ruches,Galleria mellonella, infectées expérimentalement avec des conidies deAspergillus flavus ont été rapidement recouvertes de mycélium et furent éventuellement détruites. Les tubes germinatifs issus des conidies ont pénétré non seulement les œufs infertiles mais aussi les œufs blessés. Les œufs sains furent souvent pénétrés à la fois par des tubes germinatifs conidiens et des éléments mycéliens. Une fois pénétrés, les œufs se remplissent de mycélium en moins de 2 jours, après lesquels le mycélium et les conidiophores ressortent à l'extérieur à travers le chorion.


Authorized for publication on November 7, 1968 as paper No. 3503 in the Journal Series of the Pennsylvania Agricultural Experiment Station.  相似文献   

8.
Résumé Des adultes d’Ooencyrtus kuvanae (Howard) sortis d’œufs deLymantria dispar (L.) récoltés au Maroc et aux états-Unis ont été élevés séparément mais simultanément dans les mêmes conditions abiotiques. On a évalué chez ces adultes des caractéristiques bionomiques telles que la longévité, la proportion de ♀ fécondes, la fécondité réelle moyenne, la durée de la période de ponte et le pourcentage d’œufs viables développés par parthénogenèse. Chez la progéniture, on a évalué la survie des larves et la proportion de ♀. Aucune différence significative entre les 2 souches n’est apparue. Des croisements entre les 2 souches ont donné une descendance comportant des proportions équivalentes de ♀.O. kuvanae avait été introduit au Maroc en 1926 depuis les états-Unis. Ainsi, 50 années d’acclimatation de ce parasite au Maroc (soit près de 500 générations) n’ont pas modifié ses potentialités et n’ont pas suffi à induire chez lui une nouvelle race géographique.
Summary Adults ofOoencyrtus kuvanae (Howard) were recovered from eggs ofLymantria dispar (L.) collected in Morocco and in the U.S.A. They were reared separately and simultaneously under identical laboratory conditions. Various biological characteristics of adults from both sources were compared including longevity, proportion of fertilized versus unfertilized females, fecundity, duration of the oviposition period, and the percentage of viable eggs produced by virgin females. Also the survival of the larvae and the sex ratio of the 2 cultures were evaluated. Crossbreeding individuals of the 2 cultures resulted in a similar proportion of females in the progeny. In general there were no significan differences found between the 2 cultures.O. kuvanae had been introduced in Morocco in 1926 from the U.S.A. The adaptation of this parasite to conditions in Morocco during the ensuring 50 years since its establishment (about 500 generations) did not appear to modify the biotic potential of this species nor was it sufficient to induce the development of a new geographic race.
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9.
Oatman  E. R.  Gilstrap  F. E.  Voth  V. 《BioControl》1976,21(3):269-273
The effect of different release rates of a predaceous mite,Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, on the twospotted spider mite,Tetranychus urticae Koch, on strawberry was investigated in southern California in 1970–71. The spider mite population reached a peak of 206.3 active stages/leaflet in the low-rate (5/plant) release plot on May 4 and 169.1/leaflet in the high-rate (10/plant) release plot on May 18, compared to a peak of 433.4/leaflet in the control (no release) plot on May 11. The mean numbers of spider mites in the low-, and high-rate release plots were significantly different from the control from April 6 through June 15, but were never significantly different from each other. The predator population reached a peak of 13.1 and 23.8 active stages/leaflet in the low-, and high-rate release plots, respectively, on May 25 which was 3 weeks and 1 week after the spider mite population reached its peak in these plots. The seasonal mean numbers of spider mite active stages in the low-, and high-rate release plots were significantly different (P=0.05) from the control, but were not significantly different from each other. There were no significant differences in fruit yield (g/plant) or fruit size between the low-, and high-rate release and control plots.
Résumé Des lachers de l'acarien prédateurPhytoseiulus persimilis Athias-Henriot ont été réalisés en 1970–71 dans deux fraiseraies de la Californie du Sud infestées parTetranychus urticae Koch. La densité des populations larvaires deT. urticae a atteint le 4 mai un maximum de 206,3 par foliole là où le lacher avait été de 5 par plante (parcelle 1) et de 169,1 pour 10 prédateurs par plant (parcelle 2) le 11 mai, alors que le témoin en contenait 433,4 par foliole. La densité des populations larvaires deT. urticae était comparable dans les parcelles 1 et 2 entre le 6 avril et le 15 juin, mais divergeait sensiblement de celle du témoin. Les populations de larves du prédateur ont atteint un maximum de 13,1 et 23,8 par foliole dans les parcelles 1 et 2 les 13 et 25 mai, respectivement, soit 3 semaines et 1 semaine après que celles deT. urticae aient atteint leur maximum. Pour la saison, la densité moyenne des populations larvaires deT. urticae enregistrée dans les parcelles 1 et 2 différaient considérablement de celle du témoin (P=0.05), mais la différence entre les terrains 1 et 2 n'était pas significative. Il n'y a pas eu de différences importantes entre la récolte de fraises (g/plante) ou la dimension des fruits récoltés dans les parcelles 1 et 2 et le témoin.
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10.
J. Kugler  Z. Wollberg 《BioControl》1967,12(4):363-379
Résumé Les auteurs décrivent le cycle évolutif et le comportement de ponte de l'Agrothereutes tunetanus Haber. (Ichneumonidae, Cryptinae) dans les conditions de laboratoire (25°C et 50–60% H.R.). Le développement des œufs des larves et des nymphes, le comportement des stades larvaires, les habitudes alimentaires, l'accouplement et le comportement pendant l'oviposition sont décrits. A. tunetanus est un parasite de l'Orgyia dubia Tausch., attaquant le dernier stade larvaire de la femelle après que celle-ci ait tissé son cocon, mais avant la nymphose. Le même degré d'activité de ponte du parasite est provoqué par le dernier stade larvaire et la nymphe des femelles h?tes. Une moindre activité est suscitée par les femelles m?res dans les cocons et le dernier stade larvaire male, tandis que l'activité de ponte provoquée par les nymphes males est presque nulle. Le nombre moyen d'œufs pondus par une femelle durant une seule attaque (entre 3 et 4) ne dépend pas (de manière significative) du nombre de cocons présents. Le nombre d'attaques effectuées parA. tunetanus en 24 heures dépend de la quantité de cocons disponibles, les facteurs limitants sont le nombre d'œufs m?rs dans de la femelle gravide et la quantité d'œfus pondus pendant chaque attaque. Avec 6 cocons en 24 heures, une femelle, au maximum de sa fécondité, arive à une moyenne de 3,27 attaques. La fécondité d'une femelle est en moyenne de 308 œufs.

Part of the M. Sc. thesis done under the supervision of the first author and submitted to the Department of Zoology of the Tel-Aviv University.  相似文献   

11.
Résumé Bacillus thuringiensis Berl. tue 50 % des chenilles d'Earias insulana après 72 heures. Le traitement est appliqué avec une suspension de 4 g par litre d'eau (à raison de 30 milliards de spores par gramme). Dans les mêmes conditions, la mortalité atteint 100 % pour le ver à soie. Une mortalité plus élevée est constatée lors des applications sur chenilles jeunes. La poudre de larves mortes après infection parB. thuringiensis détermine une mortalité faible, tandis que les chenilles nourries de feuilles de muriers préalablement traitées par une suspension d'excrétats de vers à soie infectés deBacillus thuringiensis, ne sont pas tuées. Dans les champs de coton, leBacillus détermine une réduction considérable de l'infestation parEarias mais cette réduction n'atteint pas celle obtenue par traitement chimique. LeBacillus est sans effet sur la population d'Aleurodes et sur celle des Acariens (Tetranychus atlanticus Mcgregor) contrairement à l'endrine qui favorise la pullulation de ces derniers.   相似文献   

12.
R. Cherry  R. V. Dowell 《BioControl》1979,24(4):385-391
A 2-year survey of known whitefly predators was conducted from winter 1976 to winter 1978 in Broward County, Florida. Also, the impact of predators on citrus blackfly populations was measured under field conditions using lifetable data and predator exclusion data. In addition, feeding experiments were conducted to determine specific predators on different citrus blackfly stages. In the survey, the total number of predators caught in 1977 was significantly greater than 1978 and reasons for this difference are discussed. Spiders and the coccinellid,Delphastes pusillus Lec. were the most abundant predators being ca. 90% of all predators caught. Results from the lifetable and predator exclusion technique were similar showing that predators caused a 52 to 66% reduction in citrus blackfly populations. Feeding tests showed that predator responses to feeding on citrus blackfly were variable depending on species of predator, stage of predator, and stage of citrus blackfly.
Résumé Une étude pendant 2 ans des prédateurs de l'aleurode des citrus a été réalisée de l'hiver 1976 à l'hiver 1978 dans le Comté de Broward en Floride. L'influence des prédateurs sur les populations d'aleurodes a été mesurée dans les conditions naturelles par l'élaboration d'une table de vie et par des essais d'exclusion des prédateurs. En outre des expériences ont été effectuées afin de déterminer les prédateurs spécifiques pour chacun des stades de l'aleurode. Le nombre total de prédateurs capturés en 1977 fut significativement plus élevé qu'en 1978; les causes de cette différence sont discutées. Des araignées et la coccinelleDelphastes pusillus Lec. ont été les plus abondants, représentant et iron 90% du total. Les résultats de la table de vie et de l'exclusion des prédateurs ont été analogues et montrent que ceux-ci provoquent une réduction de 52 à 66% des populations d'aleurodes. Les essais sur l'alimentation indiquent que les réponses ont été variables selon l'espèce de prédateur, le stade du prédateur et de l'aleurode.


Florida Agricultural Experiment Station Journal Series No. 1791. Partly supported by funds from Cooperative Agreement # 12-14-7001-1148 between U.S.D.A., and University of Florida.  相似文献   

13.
F. Hérard 《BioControl》1979,24(2):163-175
Résumé L'effet des ennemis naturels oophages deLymantria dispar (L.) est étudié dans une parcelle de la forêt de chêne-liège de Mamora, à partir d'échantillons de pontes prélevées au cours de l'été et de l'automne 1975. Les prédateurs sont les larves des coléoptèresTrogoderma versicolor (Creutzer),Anthrenus verbasci (L.) etTenebroides maroccanus Reitter; le parasite est l'hyménoptèreOoencyrtus kuvanae (Howard). Leur impact s'est accru au cours de l'été avant d'atteindre une valeur d'équilibre en automne. Au début de l'hiver, ils avaient détruits 76% des œufs déposés entre 0 et 2,5 m au-dessus du sol: les prédateurs ont dévoré la moitié de ces œufs et le parasite a tué 59% des œufs restant. Au-dessus de 2,5 m, tous les œufs sont morts: 76% par déficience physiologique et 24% tués par les prédateurs et parasites. La taille des pontes n'a pas d'influence sur les ennemis oophages. Le parasitisme est en corrélation avec le prédatisme lorsque celui-ci est compris entre 22% et 49% (en septembere et octobre): les pontes les moins démantelées par les prédateurs sont les plus parasitées. Le prédatisme et le parasitisme sont très variables d'un arbre à l'autre. La répartition hétérogène du parasitisme est liée aux conditions microclimatiques.
Summary The natural enemies attacking the eggs ofLymantria dispar (L.) in Morocco are larvae of the predaceous ColeopteraTrogoderma versicolor (Creutzer),Anthrenus verbasci (L.) andTenebroides maroccanus Reitter and the HymenopteraOoencyrtus kuvanae (Howard) and possiblyTelenomus spp. andGryon sp. The impact ofO. kuvanae increases during the summer but levels off during the autumn. By the beginning of winter these natural enemies had destroyed 76% of the eggs deposited on the trees from ground level to 2.5 m — the predators having consumed about 50% of the eggs and the parasite having killed about 26%. Above 2.5 m all the eggs were dead: 76% due to unknown natural causes and 24% killed by the predators and parasite. The size of the egg mass had no influence on the impact of the oophagous insects. There was a relation between parasitism and predation since predation removes between 22% to 49% of the eggs (in September and October); the masses that were the least disturbed were the most heavily parasitized. Predation and parasitism varied greatly from tree to tree. The heterogeneous distribution of the parasite is related to microclimatic conditions.


Cette étude a été réalisée au laboratoire de Zoologie de l'Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II à Rabat (Maroc), grace à l'appui de l'U.S.D.A., S.E.A. (PL 480. grant FG-Mo-102; project no F12-ENT-1).  相似文献   

14.
Résumé Melanagromyza cuscutae Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute. Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6 à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée. L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et 8 à 13 jours. La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en mai et juin. La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées. Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à 42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement. L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas lieu.   相似文献   

15.
In a survey involving the abundance of the parasites ofLeucoptera meyricki Chesq. in relation to the height of the canopy level from 4 sites (altitudes 1524–1676 m) 10 hymenopterans were reared. Of these 7 were parasites and 3 hyperparasites. The mines from which most parasites emerged were collected at 90, 150 and 210 cm above the ground. Capped and uncapped canopies provided different ecosystems for mine colonization by parasites, althoughL. meyricki infestations occurred at all height levels within the canopy. The most abundant parasite species at all sites wereAchrysocharella ritchiei Ferriere,Zagrammosoma variegatum Masi,Pediobius coffeicola Ferrière andAgeniaspis sp.
Résumé A l'occasion d'un inventaire de l'abondance des parasites deLeucoptera meyricki Ghesq. selonla hauteur de la couronne des caféiers dans 4 sites (altitudes de 1 524 à 1 676 m), 10 hyménoptères ont été élevés. 7 d'entre eux sont parasites, les 3 autres hyperparasites. Les mines larvaires d'où la plupart des parasites fut obtenue ont été récoltées à 90, 150 et 210 cm au-dessus du sol. Les couronnes taillées et non taillées constituent des écosystèmes différents pour la colonisation des mines par les parasites, bien que les infestations parL. meyricki se produisent à tous les niveaux de la couronne. Les parasites les plus abondants dans tous les sites furentAchrysocharis ritchiei Ferrière,Zagrammo soma variegatum Massi,Pediobius coffeicola Ferrière etAgeniaspis sp.
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16.
Résumé Trois systèmes enzymatiques (estérases, MDH et tétrazolium-oxydases) ont été étudiés par électrophorèse chez 2 espèces jumelles de trichogrammes:Trichogramma evanescens Westwood etT. maidis Pintureau & Voegelé. Les estérases et les MDH permettent de caractériser les souches de ces espèces en élevage à Antibes. Les estérases des hybrides interspécifiques F1 et F2 ont également été tudiées. Elles ont permis de confirmer qu'un phénomène d'induction de la parthénogénèse thélytoque appara?t chez certaines femelles.
Summary Three enzymatic systems (esterases, malate-dehydrogenases and tetrazolium-oxydases) were studied by electrophoresis in two sibling species ofTrichogramma: T. evanescens Westwood andT. maidis Pintureau & Voegelé. The esterases and the MDH allow to characterize the strains of these species in rearing in Antibes. The esterases of interspecific hybríds F1 and F2 were studied too. They allow to confirm that a phenomenon of induction of thelytoky occurs in some females.
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17.
M. Kehat 《BioControl》1967,12(2):119-125
Résumé Pendant la période de 1961–1965 une étude a été faite sur les entomophages de la cochenille du palmier-dattier,Parlatoria blanchardi Targ., en Isra?l. Parmi les ennemis naturels les plus efficaces, il faut citer les Coccinellides, les Hyménoptères parasites et les Coléoptères du genreCybocephalus. Seulement 7 espèces de Coccinellides parmi les 25 trouvées sur les palmiers sont des prédateurs directs deParlatoria. Leur répartition varie dans les différentes régions du pays. Quatre espèces dePharoscymnus ont une importance primordiale et sont largement distribuées. L'espèce la plus fréquente et la plus répandue estPh. numidicus Pic.

Contribution from The National and University Institute of Agriculture, Rehovot, Israel. 1966 Series No. 1073-E.  相似文献   

18.
Résumé L'étude de la sensibilité deRhodnius prolixus St?l aux hyphomycètes a été conduite avec 5 isolats deBeauveria bassiana (Bals.) Vuill., un isolat deBeauveria brongniartii (Sacc.) Petch., 3 isolats deMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sor., 4 isolats deNomuraea rileyi (Farlow) Samson et un isolat dePaecilomyces fumosoroseus (Wize) Brown et Smith. Les larves du 1er stade ont été traitées par pulvérisation avec des suspensions titrées de conidiospores. A la dose de 3.105 conidiospores/cm2, l'activité pathogène des germes varie suivant l'isolat considéré: 6 souches causent une mortalité supérieure à 50% et seulement 3 d'entre elles,B. bassiana no 297,B. bassiana no 326 etP. fumosoroseus no 56 provoquent 100% de mortalité. Les doses léthales 50% des isolates les plus agressifs sont respectivement de 2,57.104; 2,89.104 et 1,31.105 spores/cm2 (mortalité cumulée 10 j après le traitement dans les 2 premiers cas et 15 j après dans le 3e cas); leurs temps léthaux 50% atteignent 5,51; 5,24 et 13,34 j (à la dose de 3.105 spores/cm2). Le comportement infectieux de ces germes diffère puisque, quelle que soit la dose appliquée, la mortalité due à l'isolatB. bassiana no 297 est très élevée après 15 j, alors que la mortalité causée par les 2 autres souches reste dépendante de la dose audelà de 3 semaines. Par ailleurs, on constate que les 3 souches retenues ont été isolées à partir de cadavres d'espèces-h?tes appartenant à l'ordre des Hétéroptères, comme l'espècecible. En conclusion, ces essais de laboratoire permettent de sélectionner l'isolatB. bassiana no 297 comme candidat potentiel pour la lutte biologique contre le vecteur de la maladie de Chagas,R. prolixus.   相似文献   

19.
Dans les zones de savanes de l’Afrique, un genre d’abeille, Lipotriches Gerstaecker 1858, s’est spécialisé dans la collecte du pollen de graminées. Un site de nidification et l’aire de butinage de Lipotriches notabilis ont été suivis pendant trois années dans la région de Ngaoundéré au Cameroun. Le régime alimentaire pollinique est composé presque exclusivement du pollen de graminées, notamment Brachiaria ruziziensis abondant dans cette région. Le maïs est aussi visité et l’abeille contribue indirectement à la pollinisation par la mise en suspension dans l’air du pollen. Comme les graminées n’offrent pas de ressource sucrée, les femelles comme les mâles de L. notabilis butinent de temps en temps les Asteraceae pour la collecte de nectar. La consommation du pollen de graminées par les femelles a été aussi observée. Lespèce niche en bourgades dont la taille varie d’une dizaine à une centaine de nids. Le nid creusé dans un sol horizontal est du type progressif. Il comprend un tumulus, une cheminée verticale, un conduit principal vertical pouvant atteindre 65 cm de profondeur et en moyenne 3 conduits latéraux obliques de 4 à 16 cm aboutissant dans une ou plusieurs cellules successives. Les cellules des conduits latéraux sont approvisionnées simultanément et fermées de manière régressive. On compte un maximum de 10 cellules par nid. Généralement un nid est habité par une seule femelle, mais certains nids sont habités par deux ou trois. Lactivité de butinage de cette espèce est limitée dans la matinée. Dès 7 heures, elle s’envole pour le site de butinage. Après 11 heures, il n’y a généralement plus de nids ouverts. Les mâles n’ont pas été aperçus au niveau du site de nidification et l’accouplement a lieu sur le site de butinage. La période d’activité commence avec la saison des pluies en avril et se termine au début de la saison sèche en décembre, avec la fanaison des graminées.  相似文献   

20.
Résumé Lymantria dispar (L.) est réparti en Iran dans la région la plus septentrionale du pays, le long de la mer Caspienne. Son aire recouvre le versant nord du massif de l'Elbourz, du nord de Tabriz à l'ouest jusqu'à Bojnurd à l'est. Ses plantes-h?tes sont très variées et comprennent les genres suivant:Alnus, Populus. Gleditschia. Quercus, Carpinus. Prunus. L'inventaire des ennemis naturels deL. dispar, parasites, prédateurs et maladies a été établi. Ces ennemis sont représentés pour la plupart par des espèces connues en Europe. Mais en Iran ils suffisent à maintenir les populations à un niveau très bas. Aucune gradation catastrophique n'a jamais été enregistrée. En 1976, les ravages ont été négligeables. Le taux global de mortalité par les maladies (virose et surtout nosémose) chez les chenilles et les nymphes échantillonnées a atteint 85% et le taux de parasitisme apparent 7%. Le taux de survie deL. dispar a été de 8% seulement. Les insectes parasites les plus efficaces appartiennent à 2 groupes: lesApanteles, avec essentiellementA. melanoscelus (Ratzeburg) et les tachinairesExorista larvarum (L.),Carcelia separata (Rondani) etCompsilura concinnata (Meigen). Les insectes suivants ont eu un impact faible: II s'agit des parasites larvairesBraconidae, Apanteles lacteicolor Viereck,Apanteles liparidis (Bouché),Meteorus pulchricornis (Wesmael);Ichneumonidae Phobocampe sp.,Casinaria tenuiventris (Gravenhorst),Coccygomimus instigator (F.),Lymantrichneumon disparis Poda, des prédateurs larvairesCarabidae. Calosoma sycophanta (L.) etPentatomidae, Picromerus conformis (Herrich-Sch?ffer) et du parasite oophageEupelmidae, Anastatus disparis Ruschka.
Summary Lymantria dispar (L.) occurs in Iran in the most northern part of the country, bordering the Caspian sea. It is distributed throughout the northern slopes of the Elborz mountains, from the region north of Tabriz in the west to Bojnurd in the east. The host plants are quite varied and include the following genera:Alnus, Populus, Gleditschia, Quercus, Carpinus andPrunus. An inventory was made of the parasites, predators and pathogens ofL. dispar. In general these natural enemies are represented by species also present in Europe. However, in Iran they are able to maintain the population of the host at a very low level and no serious outbreak has ever been recorded. In 1976 the damage was negligible. The total mortality caused by the pathogens (virus and especiallyNosema) reached 85% and the apparent percentage was 7%. Only 8% of the host survived. The most effective insect parasites belonged to 2 groups:Apanteles, primarilyA. melanoscelus (Ratzeburg) and the tachinids,Exorista larvarum (L.),Carcelia separata (Rondani) andCompsilura concinnata (Meigen). The following insects had a minor efficacy: The were the larval parasitesBraconidae: Apanteles lacteicolor Viereck,Apanteles liparidis (Bouché),Meteorus pulchricornis (Wesmael);Ichneumonidae: Phobocampe sp.,Casinaria tenuiventris (Gravenhorst),Coccygominus instigator (F.),Lymantrichneumon disparis Poda; the larval predatorsCarabidae Calosoma sycophanta (L.) andPentatomidae Asopinae Picromerus conformis (Herrich-Sch?ffer) and the oophagous parasiteEupelmidae Anastatus disparis Ruschka.
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