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1.
Invertebrate predation was shown to be the greatest mortality factor on diapausing larvae ofBathyplectes curculionis (Thomson) in Illinois. Feeding tests were conducted in which specific predators were determined by exposingB. curculionis larvae to various surface dwelling invertebrates found in alfalfa fields. In addition, field plantings of parasite larvae in modified cages were used to determine the size of predators, and also, if litter density affected predation. Seasonal activity ofB. curculionis predators was also measured from 4 April 1975 to 18 November 1975 via 15 pitfall traps located in 3 alfalfa fields. Results from feeding studies showed that spiders,Cicindelidae, Formicidae and smallStaphylinidae never preyed uponB. curculionis larvae in cocoons. The 2 groups of predators which consumed the larvae were field crickets,Gryllus pennsylvanicus Burm., and various species ofCarabidae. Predation on the parasite larvae planted in the field was mainly caused by moderately sized invertebrates, and was not significantly affected by litter density. The greatest number of total predators (G. pennsylvanicus plus Carabids) caught/day/pitfall trap, and the greatest predation on field-plantedB. curculionis larvae, occurred concurrently during September and October. These data suggest that predation during September and October may be significant in reducing field populations of diapausing parasite larvae. Based on feeding studies and pitfall trap catches,Gryllus pennsylvanicus and the carabids,Abacidus permundus (Say),Evarthrus sodalis LeConte,Harpalus pennsylvanicus DeGeer andScarites subterraneus Fab., were the most important predators onB. curculionis larvae.
Résumé Il a été montré que les prédateurs invertébrés sont le plus grand facteur de mortalité des larves en diapause deBathyplectes curculionis (Thomson) en Illinois. On a fait des essais alimentaires dans lesquels on a déterminé des prédateurs spécifiques en exposant les larves deB. curculionis à divers invertébrés trouvés dans les champs de luzerne. De plus, des larves du parasite, dans des cages modifiées implantées dans les champs, ont été employées pour vérifier la taille des prédateurs et aussi pour savoir si la densité de la litière a influencé les prédateurs. L'activité saisonnière des prédateurs deB. curculionis a été mesurée du 4 avril 1975 au 18 novembre 1975 au moyen de 15 pièges placés dans 3 champs de luzerne. Les résultats des essais alimentaires montrent que les araignées,Cicindelidae, Formicidae et de petitsStaphylinidae n'ont jamais utilisé comme proie les larves en cocon deB. curculionis. Deux groupes de prédateurs ont consommé les larves: les grillons,Gryllus pennsylvanicus Burm., et des espèces variées deCarabidae. Pour la plupart ce sont des invertébrés de taille modérée qui ont utilisé comme proie les larves implantées dans les champs, la densité de litière n'étant pas significative. Le plus grand nombre de prédateurs au total (G. pennsylvanicus plusCarabidae) attrapés par jour et par piège et la plus grande consommation de larves deB. curculionis se sont produits concurremment en septembre et en octobre. Ces données indiquent que les prédateurs en septembre et octobre peuvent être très importants pour réduire le nombre de larves parasites en diapause. Si l'on juge selon les essais alimentaires et selon ce qu'on a attrapé dans les pièges,Gryllus pennsylvanicus et lesCarabidae, Abacidus permundus (Say)tEvarthrus sodalis LeConte,Harpalus pennsylvanicus DeGeer,et Scarites subterraneus Fab., on, constitué les prédateurs spécifiques les plus importants des larves deB. curculionis.


This publication was supported by the Illinois Natural History Survey, The Illinois Agricultural Experiment Station, National Science Foundation, and the U.S. Environmental Protection Agency, through a grant (NSF GB-34718) to the University of California. The findings, opinions and recommentations expressed herein are those of the author(s) and not necessarily those of the University of California, the National Science Foundation and the Environmental Protection Agency.  相似文献   

2.
Capture efficiency, handling time and functonal response to prey density were studied in larvae ofSyrphus ribesii (L.) andS. corrollae (Fabr.) eatingMyzus persicae Sulz. at 20°C, 16 hrs light. First instar larvae ofS. ribesii had distinctly higher capture efficiency than 1st instar larvae ofS. corollae, both versus 1st instar and adult aphids. Second and 3rd instar larvae of both species seemed to prefer adult rather than 1st instar aphids, but no distinct difference in capture efficiency between the species was found. On comparable stages,S. ribesii always had shorter handling time thanS. corollae and it appeared in both species to be correlated with size of prey and predator. Handling time was thus shortest when 3rd instar larvae consumed 1st instar aphids. During one hour, 3rd instar larvae ofS. ribesii consumed aphids in quantities almost linearly dependent on aphid density (5, 10, 20 and 40 adult aphids/100 cm2), although the response also could roughly be described byHolling's “basic functional response curve”. On the contrary, 3rd instar larvae ofS. corollae soon reached a maximum consumption during one hour, being almost constant (5–7 aphids) at prey densities ≥10 aphids/100 cm2.
Résumé L'efficacité prédatrice (proportion de toutes les rencontres entre larves de syrphes et pucerons se terminant par la capture et la succion de pucerons), la durée d'activité et la relation entre l'absorption de nourriture et la densité des proies (5, 10, 20 et 40Myzus persicae Sulz. aptères au 5e stade larvaire/100 cm2) ont été étudiées chez des larves deSyrphus ribesii (L.) etS. corollae (Fabr.) à 20°C et 16 h de photopériode. Les L1 deS. ribesii présentent une efficacité prédatrice des pucerons des premier et dernier stades nettement plus élevée que les L1 deS. corollae (S. ribesii: 71 et 38%;S. corollae: 42 et 0%). Chez les larves des 2e et 3e stades, on n'a observé aucune différence d'efficacité prédatrice entre les 2 espèces, mais une préférence pour les pucerons adultes. La durée d'activité deS. ribesii est dans tous les cas plus courte que celle deS. corollae pour un même stade de larves et de pucerons. Une corrélation positive semble exister entre la taille des proies et celle des prédateurs. La durée d'activité est la plus courte pour des prédateurs en L3 s'alimentant de pucerons au premier stade (1,3 mn chezS. ribesii et 2,3 mn chezS. corollae). L'absorption de nourriture enregistrée en une heure chezS. ribesii varie presque linéairement avec la densité des pucerons; elle correspond d'autre part assez bien à la formule deHolling. L'absorption de nourriture parS. corollae atteint un maximum de 7 pucerons à l'heure et demeure pratiquement constante à partir d'une densité≥10 pucerons/100 cm2.


The author wishes to thank techn. ass.Bodil Horgen for assistance during the experiments  相似文献   

3.
Résumé Le marquage isotopique (HT18O) des larves agées de 3e et de 4e stades de la coccinelle aphidiphageS. 11notata Schneider permet d'estimer la consommation alimentaire totale de chacun de ces 2 stades. Par comparaison avec une méthode d'estimation de la consommation alimentaire basée sur la pesée des proies, le marquage isotopique donne des résultats excellents chez les larves de dernier stade et elle est sans doute utilisable pour des mesures comparatives chez les larves de 3e stade. Les avantages de cette méthode, dont le plus important est assurément son indépendance vis-à-vis de la nature de l'aliment ingéré par les larves, ses quelques inconvénients et également les différentes possibilités de son utilisation (alimentation artificielle, études sur la physiologie alimentaire, etc.) sont discutés. L'application de cette méthode à des larves L3 et L5 maintenues au laboratoire dans des conditions am biantes constantes, en présence de populations aphidiennes monospécifiques mais hétérogènes quant à leur stade de développement, nous a permis de vérifier à l'échelle individuelle que le gain de poids constitue effectivement un critère d'estimation de la consommation alimentaire totale correspondante. Dans ce cas également, les meilleurs résultats sont obtenus chez les larves du dernier stade.
Summary The isotopic labeling (HT18O) of aged larvae (3rd and 4th instars) of the aphidophagous ladybeetleS. iinotata allows the total food consumption of both stages to be estimated. From the comparison with a method of consumption estimation based on weighing the prey, the isotopic labeling gives good results in the 4th stage larvae and is und oubtedly useful for comparative determination in 3rd stage larvae. The advantages of the method which does not depend on the kind of food ingested, the few drawbacks and the different possibilities of its use (artificial food, physiological studies) are discussed. This method was applied to 3rd and 4th stages larvae growing in the laboratory (in constant ambiant conditions) and fed with aphids of one species in different stages of development. It allowed to test, in each individual, the validity of measuring the total food consumption through the gain of weight of the larvae. Again, in this case the best results were obtained in the 4th stage larvae.
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4.
J. Kugler  Z. Wollberg 《BioControl》1967,12(4):363-379
Résumé Les auteurs décrivent le cycle évolutif et le comportement de ponte de l'Agrothereutes tunetanus Haber. (Ichneumonidae, Cryptinae) dans les conditions de laboratoire (25°C et 50–60% H.R.). Le développement des œufs des larves et des nymphes, le comportement des stades larvaires, les habitudes alimentaires, l'accouplement et le comportement pendant l'oviposition sont décrits. A. tunetanus est un parasite de l'Orgyia dubia Tausch., attaquant le dernier stade larvaire de la femelle après que celle-ci ait tissé son cocon, mais avant la nymphose. Le même degré d'activité de ponte du parasite est provoqué par le dernier stade larvaire et la nymphe des femelles h?tes. Une moindre activité est suscitée par les femelles m?res dans les cocons et le dernier stade larvaire male, tandis que l'activité de ponte provoquée par les nymphes males est presque nulle. Le nombre moyen d'œufs pondus par une femelle durant une seule attaque (entre 3 et 4) ne dépend pas (de manière significative) du nombre de cocons présents. Le nombre d'attaques effectuées parA. tunetanus en 24 heures dépend de la quantité de cocons disponibles, les facteurs limitants sont le nombre d'œufs m?rs dans de la femelle gravide et la quantité d'œfus pondus pendant chaque attaque. Avec 6 cocons en 24 heures, une femelle, au maximum de sa fécondité, arive à une moyenne de 3,27 attaques. La fécondité d'une femelle est en moyenne de 308 œufs.

Part of the M. Sc. thesis done under the supervision of the first author and submitted to the Department of Zoology of the Tel-Aviv University.  相似文献   

5.
S. Grenier 《BioControl》1977,22(2):223-236
Résumé La nipagine M (ou parahydroxybenzoate de méthyle) est incorporée aux milieux synthétiques pour l'élevage des larves, ou à la nourriture et à la boisson des imagos de la tachinairePhryxe caudata Rond. La toxicité a été étudiée en calculant le temps au terme duquel 50% de la population a succombé (TL 50); ce TL 50 correspond aussi à la durée de vie ou de survie moyenne. Les larves du premier stade ont une survie moyenne supérieure à 50 jours dans certains milieux exempts de nipagine. En présence de 0,01 ou 0,04% de nipagine le TL 50 tombe respectivement à 41 heures ou 1 heure et demie. En l'absence de nipagine, les imagos ont une durée de vie moyenne variant de 11,1 à 20,5 jours selon le sexe et les conditions dans lesquelles ils séjournent (densité, présence d'h?tes à parasiter et virginité). Les femelles vivent en général légèrement plus longtemps que les males. En présence de nipagine la durée de vie des mouches est raccourcie dans tous les cas. Avec 0,1% de nipagine le TL 50 varie de 6,5 à 13,6 jours. La nipagine M, en raison de sa toxicité à des doses qui ne permettent pas de contr?ler efficacement les proliférations de champignons, est donc à prohiber dans les milieux artificiels pour larves et à éviter dans l'alimentation des adultes deP. caudata et sans doute d'autres parasites.
Summary The methyl-p-hydroxybenzoate is incorporated to the synthetic media for rearing larvae, or to the food and drink for adults of the tachinid flyPhryxe caudata Rond. The toxicity was estimated by calculating the time giving a 50% mortality in the population (Lethal Time: LT 50). This LT 50 is equivalent to the mean duration of life or survival. The new-hatched larvae have a survival mean time greater than 50 days in some nipagin free media. With 0,01 or 0,04% of nipagin, the LT 50 falls respectively to 41 hours or one hour and a half. Without nipagin, the average life time for the imagines varies from 11,1 to 20,5 days according to the sex and the rearing conditions (density, existence of hosts and virginity). The females generally live slightly longer than the males. With nipagin the duration of life of the flies is shortened in all cases. With 0,1% of methyl-p-hydroxybenzoate the LT 50 varies from 6,5 to 13,6 days. The nipagin M, in consideration of its toxicity at doses which do not permit to control effectually the proliferations of moulds, must be prohibited in artificial media forP. caudata larvae and avoided in the diets forP. caudata adults. This is probably true with others parasites.
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6.
Metasyrphus corollae (F.) larvae ingested aphid contents at a decreasing rate over time because the contents of the aphid became increasingly difficult to obtain as the body of the prey was emptied. Starved larvae usually handled prey longer than wellfed larvae. Younger starved larvae fed longer than older larvae. Larvae starved for 24 h ate the most of a prey. Larvae held prey, on average, until 71% of dry mass was extracted after which the prey carcass was discarded. Prey handling time and amount of each prey consumed were determined by size and hunger of larvae and degree of depletion of prey contents.
Résumé Les larves deMetasyrphus corollae (F.) ingèrent de plus en plus lentement le contenu des pucerons en fonction du temps car ce contenu est de plus en plus difficile à extraire puisque la proie se vide. Les larves qui ont été privées de nourriture se nourrissent généralement plus longuement que les larves bien nourries, et les jeunes larves affamées plus longuement que les plus agées. Les larves qui n'ont pas mangé depuis 24 h sont celles qui consomment le plus. Les larves retiennent la proie, en moyenne, jusqu'à ce que 71% de son poids sec ait été extrait, après quoi la carcasse de la proie est jetée. Le temps de manipulation et la quantité consommée de la proie sont déterminés par la taille et la faim de la larve, ainsi que par l'épuisement du contenu de la proie. Il n'y a aucune preuve consistante que les larves deM. corollae répondent directement au nombre de proies.
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7.
G. M. Tatchell 《BioControl》1981,26(3):291-299
The effects of temperature and granulosis virus infection both on the development ofPieris rapae L. and the area of cabbage leaf consumed by larvae were investigated. The duration of the larval period increased from 12.9 days at 24°C to 45.3 days at 13°C. The thermal constant for larval development was 196.1 day °C above the threshold temperature of 9.4°C. The area of cabbage leaf consumed per day increased with larval age so that 5th instar larvae ate 70.9% of the total food consumption. Virus infection extended the larval instar in which death occurred and reduced the potential food consumption by as much as 99.6%. Larger virus doses reduced food consumption within the same instar more than smaller doses. The results are discussed in relation to the feasibility of using granulosis virus for the control ofP. rapae.
Résumé L'étude a porté sur les effets de la température et de l'infection provoquée par le virus de la granulose sur le développement dePieris rapae L. et la quantité de feuillage de chou consommée par les larves. La durée du stade larvaire a augmenté de 12,9 j à 24°C à 45,3 j à 13°C. La constante thermique pour le développement larvaire a été de 196,1°C au-delà du seuil de température de 9,4°C. La superficie de feuillage consommée par jour s'est accrue en fonction de l'age des larves de sorte que les larves au 5e stade ont mangé 70,9% de la superficie totale consommée. L'infection provoquée par le virus a augmenté la durée du stade de mortalité et a diminué la consommation potentielle de feuillage de 99,6%. Des doses plus élevées de virus ont réduit la consommation dans le même stade davantage que les doses plus faibles. Les résultats sont discutés par rapport à la possibilité d'utiliser le virus de la granulose dans la lutte biologique contreP. rapae.
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8.
Résumé élevé à 26°C, 80% HR et sous une photopériode de 16 h, la durée des stades d'Aeolothrips intermedius Bag. est la suivante lorsque la proie estThrips tabaci: L1 2 jours, L2 6 jours, pronymphe 16 jours, nymphe 3, 4 jours. Les larves sont d'excellentes prédatrices, elles piquent leur proie au thorax puis la vident par une piq?re à l'abdomen. Elles tuent plus de proies qu'elles n'en consomment. 3 jours après la 1re mue la larve tisse un cocon soyeux, sécrétion probable des tubes de Malpighi. L'adulte sort du cocon et doit consommer des tissus floraux pour atteindre sa maturité sexuelle. La fécondité moyenne de la femelle est de 29 œufs avec un maximum de 70. Ceux-ci, généralement isolés, sont insérés dans le tissu des nervures foliaires. Les proies peuvent être des thysanoptères, des acariens, des aleurodes, des psylles mais pas des aphides. On observe 3 ou 4 générations dans la région de Montpellier.
Summary Aeolothrips intermedius Bag. when reared at 26°C. 80% RH. 16/24 photoperiod, on larvae ofThrips tabaci Lind. has the following duration of the various instars: 1st instar larva 2 days, 2nd 6 days, prepupa 1,6 days, pupa 3,4 days. The 2nd instar larva spins its cocoon alongside the foliar rib of the plant. Adults hatch and need to feed on flowers to reach sexual maturity. The average fecundity of the females is 29 eggs with a maximum of 73. Eggs are laid into the tissues of the foliar rib. Young larvae kill more prey than they feed upon. Three or 4 generations were observed in the field near Montpellier. Parthenogenesis may occur.
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9.
The tobacco caterpillar,Spodoptera litura F. is a major pest in the tobacco nurseries causing damage by defoliation. Inundative releases were carried out with 650,000 parasites from 1st July, 1974 to 30th November, 1976. This paper reports the effectiveness from 1976 to 1979 of the parasite in reducing the population of tobacco caterpillar.Telenomus remus Nixon was found significantly effective in reducing the pest population at the peak of infestation in the site of release as compared to control nurseries where no parasites were released. However, the difference inSpodoptera population between the site of release and control was minimal during the last 1979 nursery season which suggests the necessity of inundative releases ofT. remus after every 2 years for effectively checking the population ofS. litura in tobacco nurseries.
Résumé La noctuelle du tabac,Spodoptera litura F. est un ravageur très important des pépinières de tabac du fait de ses défoliations. On a procédé à des lachers inondatifs de 650.000 parasites du 1er juillet 1874 au 30 novembre 1976. Cette note indique l'action du parasite entre 1976 et 1979 dans la réduction des populations de chenilles du tabac. On a constaté queTelenomus remus Nixon a une activité significative dans la réduction des populations du ravageur au moment du maximum d'infestation dans le lieu de lacher par rapport aux pépinières témoins sans introduction de parasites. Cependant la différence des niveaux de population entre le lieu de lacher et le terrain a été minimum lors de la dernière période de plantation en pépinière en 1979, ce qui suggère la nécessité d'effectuer tous les 2 ans des lachers inondatifs deT. remus pour lutter efficacement contreSpodoptera dans les pépinières de tabac.


Paper presented at the 4th Tobacco Symposium held at Rajahmundry-533 105, India, 19–22 Jan. 1981.  相似文献   

10.
Laboratory and field studies were conducted to study the suitability and efficacy ofBrinckochrysa scelestes Banks as a predator onMyzus persicae Sulzer in tobacco fields. Laboratory bred 2nd instar larvae ofB. scelestes at 6 per tobacco plant reduced the aphid population to the extent of 78% in 2 weeks. The movement of the predatory larvae on the tobacco plant and leaf was not at all hampered by the glandular trichomes and their secretions. The larvae moved freely and fed well and their pupae were recovered from all over the plant.
Résumé On étudie en laboratoire et en champ de tabac la valeur et l'efficacité deBrinckchrysa scelestes Banks comme agent de lutte biologique contreMyzus persicae Sulzer. Les larves du 2ème stade élevées en laboratoire de ce chrysope à raison de 6 par plante sont les plus actives et réduisent la population de pucerons de 78% en 2 semaines. Les sécrétions des trichomes des feuilles de tabac n'ont pas d'effet sur les larves ni sur leurs mouvements. Les larves se déplacent librement et se nourissent bien; des nymphes ont été trouvées sur tous les plants, ce qui indique que le prédateur est valable contreM. persicae et bien adapté à la culture de tabac.
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11.
In an effort to suppress the tuliptree aphidIllinoia liriodendri (Monell), approximately 2,000 eggs ofChrysoperla carnea (Stephens) from a commercial insectary were released 4 times on each of 8 tuliptreesLiriodendron tulipifera L. in Berkeley, California, during the spring of 1984. On trees foraged by the Argentine antIridomyrmex humilis (Mayr), 98% of the eggs ofC. carnea were removed from the egg release tapes by the ants. A total of about 1,250 larvae per tree eclosed from the 8,000 eggs released on each tree without ants. Fifty percent of the larvae that did eclose died due to cannibalism or entrapment in the sticky egg release tapes and approximately 625 first instar larvae on each tree were free to forage for aphids. Inundative lacewing releases ofC. carnea did not suppress populations ofI. liriodendri due to ant predation, the low viability of commercial eggs (0–73% eclosion),
Résumé Dans le but de limiter les populations du puceron du tulipierIllinoia liriodendri (Monell), 4 lachers d'environ 2.000 œufs de provenance commerciale deChrysoperla carnea (Stephens) ont été réalisés au cours du printemps 1984 sur 8 tulipiersLiriodendron tulipifera L., à Berkeley en Californie. cannibalism by emerged larvae, and inadequate release technology. Sur les arbres visités par la fourmi d'ArgentineIridomyrmex humilis (Mayr), 98% des œufs deC. carnea ont été enlevés du support artificiel par les fourmis. Sur les arbres exempts de fourmis, la mortalité de 50% des larves est due au cannibalisme ou à leur engluement sur le support de lacher. A partir de 8.000 œufs déposés sur chaque arbre sans fourmi, on aboutit à environ 625 larves de 1er stade susceptibles de rechercher des pucerons. Les lachers inondatifs deC. carnea n'ont pas limité les populations d'I. liriodendri. Les raisons en sont: la consommation par les fourmis, une faible viabilité de la plus grande partie des œufs commercialisés (0–73% d'éclosions), une technique inadaptée pour le lacher des œufs et le cannibalisme par les larves elles-mêmes deC. carnea.
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12.
The CerambycidAlcidion cereicola Fisher attacks cacti in northern Argentina, the larval feeding resulting in the death of mature plants. The insect is hardy and easily reared, with a short life cycle. Laboratory tests and field observations demonstrate that it will only damage plants in the sub-familyCereanae of theCactaceae. It was approved for liberation in Queensland, Australia, in October 1974 for the control ofEriocereus martinii Lab.
Résumé Le longicorneA. cereicola Fisher ataque les Cactus d'Argentine septentrionale, les larves provoquant la mort des plantes adultes. L'insecte est robuste et facile à élever, ayant un cycle biologique de courte durée. Les observations faites en laboratoire et dans la nature montrent qu'il s'attaque exclusivement aux plantes de la sous-familleCereanae de la famille des Cactacées. Son introduction en Queensland, Australie a été approuvée en Octobre 1974 pour la lutte contreEriocereus martinii Lab.


FormerlyCruttwell.  相似文献   

13.
F. Riviere  R. Thirel 《BioControl》1981,26(4):427-439
Résumé Le Crustacé CopépodeMesocyclops leuckarti pilosa,Kieffer 1930, commun à Tahiti dans les nappes d'eau douce en association avec les larves deCulex quinquefasciatus Say, 1823 etCx. annulirostris,Skuse, 1829 a été reconnu par les auteurs comme un prédateur efficace des larves nouvelles nées desAedes du sous-genreStegomyia de Polynésie (Ae. aegypti L. etAe. polynesiensis,Marks, 1951) lorsqu'il est introduit dans les g?tes larvaires de ces moustiques. Afin d'évaluer les possibilités de son utilisation comme agent de lutte biologique, les auteurs ont étudié le cycle biologique et le régime alimentaire de ce Cycclopidé et ont mené une série d'expériences sur sa prédation dans les conditions de laboratoire et du milieu naturel. En introduisant chaque semaine durant 14 mois des œufs d'Ae. aegypti et d'Ae. polynesiensis en nombre connu dans des pondoirs pièges de type O.M.S. au laboratoire, les auteurs ont montré queM. l. pilosa dévore en moyenne 91,6% des larves nouvelles nées des 2 espèces deStegomyia, durant toute la période d'observation. Les mortalités ou réductions obtenues ont été corrigées en fonction des résultats des pondoirs témoins d'où les Cyclopidés étaient absents. Dans des pondoirs placés dans des conditions naturelles, l'introduction de 5 femelles deM. l. pilosa dans chaque pondoir piège colonisé par desAedes (Stegomyia) provoque une réduction de 85% des formes préimaginales de ces moustiques. Ce taux de réduction se maintient durant toute la période d'observation de 14 mois.M. l. pilosa exerce une prédation beaucoup plus faible sur les autres espèces de Culicidés fréquentant les pondoirs exposés au milieu naturel, 9,7% pourCulex quinquefasciatus et 1,9% pourToxorhynchites amboinensis,Doleschall, 1857. Les auteurs décrivent la cha?ne alimentaire de l'écosystème existant dans les pondoirs ensemencés avecM. l. pilosa. Le copépode se nourrit essentiellement d'infusoires et n'est qu'un prédateur occasionnel de larves de moustiques. De ce fait, il ne s'établit pas d'équilibre proie-prédateur entre le copépode et les larves de moustiques. La dynamique des populations des copépodes est donc indépendante de celle des larves de moustiques. Ces résultats expérimentaux nous incitent à rechercher les conditions d'utilisation deM. l. pilosa comme agent de lutte biologique contre les larves desAedes du sous genreStegomyia, en particulier dans les terriers de crabe et les grands réservoirs d'eau domestiques.
Summary The cyclopoid copepodMesocyclops leuckarti pilosa Kieffer, 1930,(Crustacea) common in Tahiti in fresh water ground pools in association withCulex quinquefasciatus Say, 1823 andCx. annulirostris Skuse, larvae, has been recognized as an efficient predator of the 1st stage larvae of the polynesianAedes of the subgenusStegomyia (Ae. aegypti andAe. polynesiensis Marks, 1951), when introduced in their breeding sites. In order to assess its potential as a biological control agent, the authors studied the life cycle and the feeding habits of thatCyclopidae. They carried out experiments on its predatory habits in the laboratory and in the natural conditions. In the laboratory during 14 months, eggs ofAe. aegypti andAe. polynesiensis, have been introduced in known numbers in back ovitraps containing females ofM. leuckarti pilosa. As compared with the copepods free control, 91,6% of theAedes larvae are eaten up byM. l. pilosa. In natural conditions, the introduction of 5 females ofM. l. pilosa in each ovitrap colonized by theStegomyia induced a reduction of 85% of the immature forms of these mosquitoes, as compared with the control. This reduction rate has been kept up during the whole 14 months of the observation period. The reduction of the immature stages ofCx. quinquefasciatus is only 9,7% and that ofToxorhynchites amboinensis 1,9%. The authors describe the food chain in the ovitraps ecosystem whenM. l. pilosa is present. The copepod feeds mainly on Infusoria and is only an occasional predator of mosquito larvae. Therefore, there is no predatory-prey equilibrium between the copepod and the mosquito larvae. The copepod population dynamic is independant of that of the mosquito larvae. These experimental results incitate us to search for practical application ofM. l. pilosa as an biological agent againstAedes (Stegomyia) larvae, in particular in the large artifical water containers and in the crab holes.


Travail réalisé à l'Institut de recherches médicales ?Louis Malardé? (I.R.M.L.M., B.P. 30 — Papeete — Tahiti). Directeur: Dr J. Laigret. Depuis le dép?t du manuscrit une révision du genreMesocyclops a montré que l'espèce impliquée devait être rapportée àMesocyclops aspericornis,Daday, 1906.  相似文献   

14.
J. T. Huber 《BioControl》1981,26(3):265-273
Longitarsus albineus (Foudras) is a potential agent for the biological control ofHeliotropium europaeum L. in Australia. The adults feed on the leaves and the larvae on the rootlets of the weed. Large populations of the beetle reduce plant vigour but rarely cause death of well established plants in the Mediterranean region. There are 3 beetle generations per year in southern France. Third generation adults overwinter and, at the first appearance of the weed in spring, start to feed and reproduce. Feeding trials of adults and larvae against a range of economically important plants and severalBoraginaceae demonstrated specificity to the genusHeliotropium.
Résumé Longitarsus albineus Foudras est un auxiliaire possible de lutte biologique contre l'adventiceHeliotropium europaeum Linnaeus en Australie. Les adultes se nourrissent des feuilles et les larves des radicelles d'héliotrope. Par forte infestation, le longitarse affecte la vigueur de la mauvaise herbe, dont il détermine rarement le dépérissement en région méditerranéenne. Le longitarse a 3 générations annuelles dans le midi de la France. Les adultes de la 3e génération hivernent, s'attaquant aux premières pousses d'héliotrope et se reproduisant dès le printemps. Des essais d'alimentation portant sur une série de plantes cultivées et plusieurs boraginées ont montré que larves et adultes sont spécifiques au genreHeliotropium.
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15.
Résumé Quand des œufs d’ages variés (1 h à 5 j) du lépidoptèreAnagasta kuehniella Zell. sont offerts aux femelles parasites dePhanerotoma flavitestacea Fisch., l’endroit où l’œuf du parasite est déposé, dépend du stade de développement de l’œuf h?te au moment de l’oviposition. Lorsque l’œuf h?te est agé de 1 h à 3 j, la ponte a lieu dans le vitellus. Par contre, si l’œuf du parasite est déposé dans un œuf agé de 4 jours ou plus, il est directement pondu dans l’embryon h?te. Selon ces résultats, il semble que la pénétration de l’œuf du parasite ou de la larve est due uniquement à un mouvement passif causé par la migration du vitellus dans le tube digestif moyen de l’embryon h?te. Ces différents points et l’effet de la piq?re de l’ovipositeur sur l’embryon h?te, la nature de l’élimination des larves surnuméraires sont discutés.
Summary When lepidopterous eggs of varied ages (1 hour to 5 days) are offered to parasitic females ofPhanerotoma flavitestacea Fisch., the location where the parasitic egg is deposited, depends on the developmental stage of the host egg at the time of oviposition. When the host egg is 1 hour to 3 days old, the laying takes place in the yolk. On the other hand, if the parasite egg is deposited in a four day old or an older host egg, it is directly laid in the host embryo. According to these results, it seems that the penetration of the parasitic egg or larva is only a passive movement caused by the migration of the yolk into the midgut of the host embryo. These different points and the effect of the sting of the ovipositor on the host embryo, the nature of the elimination of the supernumerary larva, are discussed.
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16.
Inhibition of growth of Dacus oleae larvae in untreated green olive fruits occurred in a high percentage when the parents were treated, in the laboratory, with 1% streptomycin sulphate plus a spreader-wetter in the following ways: — (a) brief immersion of the olives in which the parent insects grew as larvae; (b) brief immersion as fully grown larvae; (c) spraying of adults; (d) allowing parent females to oviposit for a few hours in treated olives, prior to ovipositing in untreated ones. In the last case, the degree of inhibition of progeny growth was related to the time between the maternal treatment and the birth of the progeny.
Résumé Le développement larvaire de Dacus oleae dans des olives vertes non-traitées est inhibé à un pourcentage élevé quant les parents ont été traités, au laboratoire, avec 1% de sulfate de streptomycine associé à un produit dispersant-mouillant, selon les modalités suivantes: (a) immersion brève des olives dans lesquelles les parents se sont développés comme larves; (b) immersion brève des larves à développement complet; (c) pulvérisation des adultes; (d) oviposition des femelles pour quelques heures dans des olives traitées, avant de pondre dans des olives non-traitées. Dans ce dernier cas, l'inhibition de la descendance fut influencée par le temps séparant le traitement de la mère et la naissance de la descendance.
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17.
Augmentative releases of the tachinidLixophaga diatraeae (Townsend) at 3 plantations in south Louisiana at 3 rates [ (none), 119–129 (light), and 796–924 (heavy) mated Φ/ha] resulted in an average of 25% parasitization byL. diatraeae of 1st-generation larvae of the sugarcane borer,Diatraea saccharalis (F.), in all plots. Therefore, parasite dispersal apparently negated rate effects, and results within plantations were pooled. L. diatraeae parasitized 4th-or-later stage larvae most often and seldom parasitized 1st-or-2nd stage larvae; no pupae produced a parasite. Only 7% of the parasitized larvae collected produced more than 1L. diatraeae parasite. The average rate of parasitization byL. diatraeae after the releases was 4.1% at Georgia, 8.7% at Raceland, and 35.7% at Gayosa. During this same period, parasitism by a natural population ofAgathis stigmaterus (Cresson) was 11.9% at Georgia, 3.2% at Gayosa, and 2.6% at Raceland. Parasitism byL. diatraeae andA. stigmaterus plus other factors, such as cultivars and field isolation caused the average number of unparasitized borer larvae per ha to be 1.8–3.2 times higher at Georgia and Raceland Plantations, respectively, than at Gayosa Plantation. Nevertheless, the economic injury threshold, the point at which insecticides are applied, was exceeded at Gayosa as well as the other 2 plantations.
Résumé Des lachers additionnels de la tachinaireLixophaga diatraeae (Townsend) dans 3 plantations du sud de la Louisiane à 3 taux [ (0), 119–129 (dose faible) et 796–924 (dose forte) femelles accouplées/ha] ont abouti à une moyenne de 25% de parasitisme parL. diatraeae de la 1re génération du foreur de la canne à sucre,Diatraeae saccharalis (F.) dans toutes les parcelles. La dispersion du parasite a donc apparemment effacé l'effet des taux de lachers et les résultats à l'intérieur des plantations ont été mélangés. L. diatraeae parasite le plus souvent les larves du 4e ou du dernier stade et rarement celles du 1er ou 2e stade; aucune chrysalide n'a donné de parasites. Seulement 7% des larves parasitées collectées ont produit plus de 1L. diatraeae. Le taux moyen de parasitisme parL. diatraeae après les lachers fut de 4,1% à Georgia, 8,7% à Raceland et 35,7% à Gayosa. Pendant la même période le parasitisme par une population naturelle deAgathis stigmaterus (Cresson) a été de 11,9% à Georgia, 3,2% à Gayosa et 2,6% à Raceland. Le parasitisme parL. diatraeae etA. stigmaterus, plus d'autres facteurs tels que la nature des cultivars et l'isolement des champs de canne, ont été à l'origine du fait que le nombre moyen à l'ha de larves non parasitées fut de 1,8 et 3,2 fois plus élevé dans les plantations de Georgia et de Raceland, respectivement, que dans celle de Gayosa. Néanmoins le seuil de nuisibilité économique, qui détermine les traitements insecticides, fut dépassé à Gayosa de même que dans les 2 autres plantations.


In cooperation with the Mississippi Agricultural Forestry Experiment Station, Stoneville and the Louisiana Agricultural Experiment Station. Formerly at U.S. Sugarcane Station, Houma, LA 70360, now 1400 Levee Drive, Houma, LA 70360.  相似文献   

18.
G. Fabres  C. Reymonet 《BioControl》1991,36(1):121-129
Résumé Dans la région béarnaise, la récolte des gousses m?res deLathyrus sylvestris et deLathyrus latifolius, avant la déhiscence, puis la mise en éclosoir de leurs graines, permet l'obtention des adultes de la brucheBruchus affinis et de son ectoparasite larvaireDinarmus acutus. Ces derniers sortent en petits nombres à l'automne de la même année puis de fa?on massive au printemps de l'année suivante, après une diapause au dernier stade larvaire. Un élevage en continu, de nombreuses générations successives, en conditions semi naturelles de température et de photopériode, a montré la présence simultanée d'individus diapausants et non diapausants tout au long de l'hiver, et l'absence totale de diapausants dès le mois de mai. Les larves diapausantes produisent une substance orangée qui marque l'arrêt de développement. Compte tenu de la biologie de la bruche et de son parasite larvaire: développement larvaire à l'intérieur des graines et vie des adultes à l'extérieur, nous avons choisi d'étudier l'influence des conditions thermiques sur les larves et de la photopériode sur les adultes du parasite. Les résultats obtenus montrent que les températures basses n'induisent pas d'arrêt de développement. Par contre, une photopériode jours courts, appliquée aux adultes, provoque l'entrée en diapause d'un fort pourcentage des larves de la descendance. Les résultats présentent une certaine variabilité selon la descendance et le rang de la ponte. Le détail des résultats est examiné dans le cadre de l'induction maternelle de la diapause larvaire et de l'hypothèse d'une horloge chimique à l'origine du marquage des diapausants (substance orangée) et de la variabilité enregistrée.   相似文献   

19.
Food preference as well as feeding efficiency studies of the carabid predator revealed that the grub of theChlaenius bioculatus Chaud preferred mostPolytella gloriosae F. larvae in both 2nd and 3rd instar.Tarache tropica Guénée was preferred least by the grub predator in both instar.T. tropica was found toxic and grubs of the predator died after consumption.
Résumé Les préférences alimentaires, de même que l'efficacité prédatrice deChlaenius bioculatus Chaud, montrent que ce carabide prédateur préfère le plus les larves dePolytella gloriosae F. du 2e et 3e stade.Tarache tropica Guénée est le moins attaqué aux deux stades.T. tropica est toxique et les larves du prédateur meurent après sa consommation.
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20.
The virulence of the DAT F-001 isolate ofMetarhizium anisopliae forAdoryphorus couloni was tested by exposing final instar larvae (L3) to concentrations of 101 to 107 spores/g in a sand-peat mix for up to 112 days at 20°±2°C. All concentrations were pathogenic to L3 larvae and survival was dependent on concentration and correlated with exposure time. The time to kill 50% of the treated larvae (LT50) ranged from 18.9 days (107 spores/g) to 82.7 days (101 spores/g). The effect of DAT F-001 on feeding by L3 larvae was determined by comparing the production and weight of frass pellets/larva/day of untreated control larvae with larvae rolled in sporulating cultures ofM. anisopliae DAT F-001 and DAT F-054 (low virulence). Exposure to, and infection byM. anisopliae DAT F-001 had minimal impact on larval feeding. L3 larvae continued to feed at the same rate as both untreated and DAT F-054 treated larvae virtually until they died.
Résumé La virulence deM. anisopliae DAT F-001 pourA. couloni a été analysée en exposant des larves L3 à des concentrations de 101 à 107 spores/g dans un mélange de sable et de tourbe pendant un maximum de 112 jours à une température de 20°±2°C. Toutes les concentrations sont pathogènes pour les larves L3; la survie dépendait de la concentration et est en corrélation avec le temps d'exposition. Les LT50 sont compris entre 18,9 jours (107 spores/g) et 82,7 jours (101 spores/g). L'effet de DAT F-001 sur l'alimentation des larves L3 a été évalué en comparant la production et le poids des fèces/larve/jour des larves non-traitées avec des larves roulées dans des cultures sporulées deM. anisopliae DAT F-001 et DAT F-054 (faible virulence). L'exposition àM. anisopliae DAT F-001 suivie de l'infection a peu d'effet sur l'alimentation des larves. Les larves L3 continuent à s'alimenter au même rythme que les larves non-traitées de DAT F-054, quasiment jusqu'à leur mort.
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