Marking red-scale with carbon-14 and its effect on reproduction and survival |
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Authors: | Gillian Robertson |
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Affiliation: | (1) Department of Entomology, Waite Agricultural Research Institute, University of Adelaide, South Australia, Australia |
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Abstract: | The possiblity of using 14C to mark red-scale for ecological studies has been investigated. Citrus leaves were labelled with 14C to have an activity in the range 3–300 Ci gm-1. All insects feeding on these leaves became radioactive. Mature females had an activity of 5000–160,000 c.p.m., mature males an activity of 1000–16,000 c.p.m. and the progeny of the females labelled to the level of 10,000 c.p.m. had an activity of 10–30 c.p.m. Higher levels of activity affected the development and fecundity of the insects. High mortality was observed in first-instar larvae which had an activity 10,000 c.p.m. and in second-instar larvae which had an activity 20,000 c.p.m. Fertilized females which had an activity of 30,000 c.p.m. did not reproduce.The marking method has been extended to the mass-rearing of labelled insects on green melons which have incorporated 14C during photosynthesis.
Résumé Afin d'étudier l'écologie du coccide, Aonidiella aurantii, on a marqué des insectes en les nourrissant de matière végétale marquée au 14C. L'isotope est appliqué aux feuilles de citronnier sous forme de solution de glucose 14C, ou bien en exposant les feuilles à la lumière dans un milieu contenant du 14CO2. On a également marqué des melons au 14CO2. Quelle que soit la méthode utilisée, l'activité se maintenait dans la plante pendant de longues périodes et était transmissible aux insectes suceurs. Les insectes se nourrissent des plantes pendant toute leur vie et tous les stades finissent par être marqués.On a vérifié la méthode pour des activités de l'ordre de 3 à 300 Ci gm-1 de tissu végétal. Des adultes femelles montrainent une activité de 5000–160,000 c.p.m., des adultes mâles une activité de 1000–16,000 c.p.m. et leur progéniture une activité de 10–30 c.p.m. Les insectes se développaient normalement quand l'activité des tissus végétaux était de moins de 10 Ci gm-1 et l'activité relevée chez les femelles correspondant à moins de 10,000 c.p.m. Des niveaux d'activité plus élevés influençaient la survie et la reproduction à divers degrés. Une forte mortalité est observée au premier stade pour une activité de 10,000 c.p.m. et au second stade pour une activité de 20,000 c.p.m. Des femelles fécondées ayant une activité de 30,000 c.p.m. ne se reproduisaient pas. Les résultats font penser qu'en réglant l'activité de la plante, il sera possible d'élever un grand nombre d'insectes marqués et viables, mais simultanément stériles. |
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