Oviposition deterring pheromone influences dispersal distance in tephritid fruit flies |
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Authors: | Bernard D Roitberg Robert S Cairl and Ronald J Prokopy |
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Institution: | (1) Department of Entomology, University of Massachusetts, 01003 Amherst, MA, USA;(2) Present address: Department of BioSciences, Center for Pest Management, Simon Fraser University, V5A 1S6 Burnaby, British Columbia, Canada |
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Abstract: | We tested the hypothesis that Rhagoletis pomonella females exhibit a greater propensity for engaging in long distance (i.e.1000 m) flight following encounters with egg-infested oviposition-deterring-pheromone (ODP) marked host fruit than similar females that encounter uninfested, clean (i.e. no ODP) fruit. Female flies which were first tethered to flight mills were presented with and permitted to explore (a) ODP-marked or (b) clean fruit and then stimulated to fly. Results showed that females that had encountered a high rate of infested, ODP-marked fruit displayed long distance flight more frequently and flew greater average distances than females that had searched uninfested fruit. We discuss there results in light of contemporary foraging theory.
Résumé La réponse d'insectes à leurs phéromones de dissuasion (ODP) est examinée généralement à un seul niveau de prospection, c'est-à-dire celui de la ressource individuelle elle-même. Ces marqueurs chimiques peuvent, cependant, fournir aussi des informations au prospecteur sur la disponibilité en ressources, tant au niveau de l'inflorescence qu'au niveau de l'habitat. Une telle information influence vraisemblablement le comportement de prospection à différents niveaux.Dans cette note, nous vérifions l'hypothèse que la rencontre avec des hôtes marqués par ODP influence la tendance de Rhagoletis pomonella (Dipt: Tephrit) à entreprendre des vols importants (c'est-à-dire interhabitats). Nous avons montré dans des expériences de laboratoire que les femelles lors de trois rencontres consécutives avec des fruits marqués par ODP: 1) entreprenaient plus fréquemment (19 cas sur 81 contre 6 sur 81) un vol à longue distance (c'est-à-dire 1000 m) et 2) parcourient des distances moyennes supérieures à celles couvertes par des femelles ayant eu la possibilité de prospecter successivement trois fruits propres (sans ODP).Nous engageons le lecteur à examiner nos résultats d'un point de vue qualitatif. Nous ne pouvons nous attendre à ce qu'un vol à longue distance se produise aussi facilement dans la nature qu'au laboratoire, étant donné le plus grand nombre de variables (par exemple, la taille de l'arbre) qui peuvent y modifier le vol réel.Pour terminer, nous discutons les coûts et bénéfices potentiels qui peuvent résulter de ce comportement. |
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Keywords: | Rhagoletis pomonella oviposition deterring pheromone foraging flight flight mill fruit parasite |
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