首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 703 毫秒
1.
D. G. James 《BioControl》1992,37(2):259-264
The effect of temperature on the rate of development ofPristhesancus plagipennis Walker was determined by rearing individuals under a range of constant temperatures (22.5–35°C). Rates of development changed in a linear fashion from 22.5–30°C. Estimates of lower developmental thresholds were obtained for egg (13.1°C), nymphal (15.5°C) and egg to adult development (15.4°C). Fastest rates of nymphal and egg development occurred at 30 and 32.5°C, respectively. A requirement of 845.7 DD (degree days) was estimated for development from egg to adult. Nymphal survivorship was highest between 25 and 30°C.
Résumé L'effet de la température sur la vitesse de développement dePristhesancus plagipennis a été déterminé par élevage des insectes dans une gamme de températures constantes allant de 22,5 à 35°C. La vitesse de développment est une fonction linéaire de la température entre 22,5 et 30°C. Le seuil théorique de développement a été estimé à 13,1°C pour l'œuf, 15,5°C pour la nymphe et 15,4°C pour le développement larvaire. Les plus grandes vitesses de développement de l'œuf et de la larve ont été obtenues respectivement à 30 et 32,5°C. 845,7 degrés-jours sont nécessaires pour le développement de l'œuf à l'adulte. La survie des nymphes a été la plus élevée entre 25 et 30°C.
  相似文献   

2.
A. Kiyindou 《BioControl》1989,34(3):409-415
Résumé Le seuil thermique de développement de 3 prédateurs de la famille desCoccinellidae (un exotique et deux locaux) a été étudié. L'équation de la constante thermique a été utilisée pour le calcul du seuil thermique. Les données obtenues ont été comparées entre elles. L'espèce exotiqueHyperaspis raynevali a un seuil thermique de développement plus bas que celui des 2 espèces locales (Hyperaspis senegalensis hottentotta etExochomus flaviventris). Le seuil thermique suivant a été obtenu pour chaque espèce, à savoir: 11,81°C pourH. raynevali; 13,78°C pourH. s. hottentotta; 13,63°C pourE. flaviventris. Des différences de seuil thermique de développement et de mortalité ont été enregistrées entre le prédateur exotique et les espèces indigènes. Des hypothèses explicatives sont évoquées dans la discussion.   相似文献   

3.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

4.
The form and variability of temperature-dependent development responses were measured for the braconid parasitoidMeteorus trachynotus (Vier.), developing inChoristoneura fumiferana (Clem.) andC. rosaceana (Harr.). It was found that parasitism reduces the duration and variability of postdiapause development inC. rosaceana larvae, and that the development of the parasitoid does not resume until its host emerges from diapause.M. trachynotus development and entry into diapause are controlled by the host. In large, nondiapausing hosts, the parasitoid can complete one generation in about 348 degree-days above 5.9°C. Male and female adults live an average of 22.0 and 23.8 days at 20°C, and the preoviposition period is 1.7 days. Total fecundity averages 194.2 eggs per female and is reduced considerably by low host density. Under our experimental conditions, femaleM. trachynotus lay a maximum of 14.3 eggs per day, with a maximum of 3.7 eggs per host, on average. Simulations based on degree-day accumulation in 13 locations in eastern Canada showed that the parasitoid was well synchronized with its two alternative hosts, thatM. trachynotus could complete three generations in most locations, and that voltinism was essentially determined by entry ofC. rosaceana larvae into diapause. Overlap between adult parasitoids and larvae of the spruce budworm is incomplete, and inadequate synchrony seems to be an important aspect of the ecological interactions between these two organisms.
Résumé Nous avons mesuré la forme et la variabilité des réactions de cause à effet entre la température et le développement de la braconideMeteorus trachynotus (Vier.) se développant à l'intérieur de larves deChoristoneura fumiferana (Clem.) et deC. rosaceana (Harr.). Le parasitisme réduit la durée et la variabilité de la postdiapause deC. rosaceana, et le développement du parasito?de ne reprend qu'une fois l'h?te émergé de diapause. Le développement et l'entrée en diapause deM. trachynotus sont sous le contr?le de l'h?te. Dans des larves-h?tes agées et non diapausantes, le parasito?de peut engendrer une génération en moins de 348 degrés-jours au-dessus de 5,9°C. Les adultes males et femelles vivent en moyenne 22,0 et 23,8 jours à 20°C, et la période de prèoviposition est de 1,7 jour. La fécondité totale est de 194,2 oeufs par femelle, et une faible densité d'h?tes la réduit considérablement. Dans nos conditions expérimentales, les femelles deM. trachynotus pondent au plus 14,3 oeufs par jour, la moyenne maximale étant de 3,7 oeufs par h?te. Des simulations basées sur l'accumulation de degrés-jours pour 13 endroits dans l'est du Canada ont indiqué que le parasito?de est bien synchronisé avec ses deux h?tes alternants, queM. trachynotus peut engendrer jusqu'à trois générations par année dans la plupart des endroits, et que son voltinisme est déterminé essentiellement par l'entrée en diapause des larves deC. rosaceana. Le chevauchement entre la période de vol des adultes du parasito?de et celle de la disponibilité des larves de la tordeuse des bourgeons de l'épinette est incomplet, et il semble que ce synchronisme inadéquat soit un aspect important dans les interactions écologiques entre ces deux organismes.
  相似文献   

5.
The main characteristics of the imaginal and preimaginal development and the reproduction ofOrius laevigatus were studied at 15, 20, 25 and 30°C. Temperature greatly influences the developmental and reproductive biology of this species. The lowest developmental threshold is 10,6°C. Reproduction is greatly reduced at 15°C relative to the higher temperatures tested. O. laevigatus is well adapted to relatively high temperature conditions. The best development and reproduction rates are observed between 20 and 30°C with a theoretical optimum at 26°C.
Résumé Les principales caractéristiques du développement pré-imaginal et imaginal ainsi que la reproduction d'Orius laevigatus sont étudiées à des températures de 15, 20, 25 et 30°C. La température influence considérablement le développement embryonnaire et post-embryoannaire de cette espèce. Le zéro théorique de développement se situe à 10,5°C. Les capacités reproductrices sont fortement perturbées à des températures inférieures à 15°C. Les résultats montrent queO. laevigatus est une espèce adaptée à des conditions thermiques relativement élevées. C'est entre 20 et 30°C, avec un optimum de 26°C, que s'expriment le mieux les capacités de développement et de reproduction de ce prédateur.
  相似文献   

6.
Résumé Cette étude avait pour objectif la mise au point d'un élevage du parasitePauesia cedrobii Stary & Leclant sur son h?te spécifiqueCedrobium laportei Remaudière, ce dernier étant multiplié sur des jeunes plants de cèdreCedrus atlantica Manetti. Dans des chambres climatisées à température et humidité relative constantes, on a placé des enceintes d'élevage assurant respectivement 8 et 16 heures d'éclairement. Pendant la phase d'éclairement, et malgré 2 ventilateurs chargés d'assurer l'extraction de l'air, la température des enceintes a augmenté d'environ 3°C. Au total, 9 conditions climatiques ont été testées, chacune pendant un an et demi. A 4°C, le parasite ne s'est pas multiplié. A 8°C, il s'est maintenu pendant une année environ, mais cette température s'est montrée encore trop proche de son seuil inférieur de développement et de celui de son h?te. A 12°C, on a observé un bon équilibre entre le parasite, qui s'est développé normalement, et son h?te, qui n'a jamais disparu. A 20°C, les élevages ont eu un bon rendement pendant 6 mois, mais il n'a pas été possible de les maintenir pendant plus longtemps. A cette température, et plus encore à 25°C, les plants de cèdre ont présenté des sympt?mes de dépérissement. A 25°C, les résultats mettent en évidence une action défavorable de la température sur tous les niveaux trophiques. En règle générale, les jours longs ont été un peu plus favorables aux élevages.   相似文献   

7.
L’étude de la respiration de l’abeille domestique, Apis mellifera intermissa, à l’état isolé a été réalisée sur les quatre haplotypes existant en Tunisie : A1, A4, A8 et A9 et sous différentes températures : 0°, 10°, 15°, 20°, 25°, 30° et 35°C. Des mesures effectuées sur 1000 abeilles isolées (250 de chaque haplotype) ont montré que la consommation d’oxygène de l’abeille varie en fonction de la température. L’intensité respiratoire des haplotypes augmente progressivement à partir de 0°C pour atteindre son maximum à 15°C. Au-delà de cette température, la consommation d’oxygène de l’abeille diminue progressivement. Pour les basses températures (0° et 10°C), la respiration de l’abeille dépend aussi du facteur génétique et la consommation d’oxygène est faible mais ne s’annule pas. Cette étude a montré qu’il existe une différence de consommation d’oxygène entre les haplotypes A1 et A8 et les haplotypes A4 et A9 pour les basses températures. Le déclenchement de la thermogenèse chez les haplotypes A1 et A8 se produit à 15°C, alors que chez les haplotypes A4 et A9, il a lieu à une température plus basse et qui est de 10°C.  相似文献   

8.
Drosophila melanogaster (Meigen) was used to test the power of isofemale lines in preserving genetic variability. We performed experiments in two ways. One series consisted of measuring the genetic variability for three enzymatic loci in 32 isofemale lines, in the first and 23rd generations of culture. In the second series, we tested the capacity of the larvae to eliminate a parasitoid by encapsulation after eight years of laboratory breeding. In general, individual isofemale lines appeared to change during the 23 generations of the study, but the global frequency of these alleles among the 32 isofemale lines stayed relatively unchanged. The only rare allele observed was also conserved. Changes in allozyme frequencies at any one locus were independent of those at other loci. Genetic variation of a biological trait, the capacity of the larvae to encapsulate a parasitoid, also changed, but it could be restored to a level close to that of the starting population by mass hybridizing together individuals of each line.
Résumé D. melanogaster (Meigen) a été utilisé pour tester la capacité des lignées isofemelles à conserver la variabilité génétique d'une population naturelle. Deux types d'expériences ont été réalisées. L'une a consisté à déterminer la variabilité génétique de 3 locus enzymatiques pour 32 lignées isofemelles à la première et à la 23ème génération d'élevage au laboratoire. L'autre a consisté à tester la capacité des larves à éliminer un parasito?de par le processus d'encapsulation après 8 années d'élevage au laboratoire. D'une fa?on générale, certaines lignées isofemelles perdent de la variabilité durant les 23 générations de l'étude. Mais la fréquence globale des allèles reste inchangée si l'on considère l'ensemble des 32 lignées. Le seul allèle rare observé a également été conservé. Les modifications des fréquences allèliques à chacun des locus ont lieu de fa?on indépendante les unes des autres. La variabilité génétique d'un caractère biologique, la capacité des larves à encapsuler le parasito?de, a également varié, mais elle a pu être restaurée à un niveau proche de la population initiale en rassemblant plusieurs individus de chacune des lignées.
  相似文献   

9.
Résumé La longévité, la fécondité, le nombre d'adultes émergés, le sex-ratio et le cycle de développement deTrichogramma evanescens Westwood etTrichogrammatoidea lutea Girault ont été étudiés sur un h?te de substitution (Anagasta kuehniella) ou sur un h?te naturel (Helicoverpa armigera), ainsi que le nombre d'œufs parasités par ces 2 espèces. La longévité des ♀♀ des 2 oophages est très influencée par l'alimentation. Une ♀ deT. evanescens nourrie vit 7 fois plus longtemps qu'une privée d'alimentation et celle deT. lutea 5 fois plus. La présence de l'h?te joue également un r?le non négligeable. La fécondité est plus élevée chezT. evanescens (42 œufs en moyenne) que chezT. lutea (31 œufs). Cependant le nombre moyen d'œufs deH. armigera parasités par ♀ ainsi que le nombre d'adultes émergés sont presque équivalents chez les 2 espèces parasito?des. Le sex ratio (♂♂/♀♀) est de 0,59 chezT. evanescens et de 0,71 chezT. lutea. Quant à la durée de développement, elle est plus longue chezT. evanescens que chezT. lutea aux basses températures (36 jours contre 30 jours à 15°C). Cette différence est moins marquée lors de l'augmentation de la température (4 h à 30°C). La température de 35°C s'avère néfaste pour le développement des 2 espèces oophages ce qui restreint la possibilité de leur utilisation en lutte biologique au Maroc. Des études complémentaires seront à développer pour vérifier leur aptitude dans les conditions de terrain.   相似文献   

10.
Résumé Par application de la méthode deBondenheimer en prenant 10 °C pour seuil inférieur de développement du parasite, il a été calculé le nombre de jours/degrés nécessaires à l'évolution moyenne deProspaltella. Avec cette méthode, le nombre de générations calculé est identique à celui observé dans divers vergers de différentes régions. La méthode est proposée pour faciliter l'emploi deProspaltella en déterminant le temps nécessaire à la manifestation de l'efficacité.
Summary By application of theBodenheimer's method, in taking 10°C for the threshold of the parasit development, the number of days/degrees necessary for a mean evolution ofProspaltella has been calculated. With this method, the theoretical number of generations is identical with that observed in several orchards of some countries. This method is suggested to facilitate the use ofProspaltella by fixing the time necessary to show the parasite's efficiency.
  相似文献   

11.
The following aspects ofHypoaspis miles' biology were investigated; development rate of egg to adult at different temperatures, fecundity, longevity and rate of predation on sciarids. With an increase in temperature the time taken for development decreased from 33.7 days at 15°C to 9.2 days at 28°C. The threshold temperature forH. miles to complete its life cycle was between 10° and 12°C. When fed onAcarus siro, H. miles laid 2–3 eggs a day and unfertilized eggs only developed into males. Adults ofH. miles (0–1 day old) survived for 24.0±1.4 days without food and if fed for 6 days and then starved, females lived for 65.4±2.6 days which was significantly longer than males (45.2±3.0 days). With food, 60% of males and females survived for 142 days. All larval instars of sciarids were attacked byH. miles although the numbers consumed were dependent on the size of the larvae. Egg predation was negligible and pupae were not attacked. In productivity studies ofH. miles in culture (fed onA. siro), the time taken for the mites to reach a density of 45–65,000/litre ranged from 76 to 23 days at 15° and 28°C respectively.
Résumé Différents aspects de la biologied'Hypoaspis miles sont examinés: vitesse de développement de l'oeuf à l'adulte à différentes températures, fécondité, longévité et voracité sur les sciarides. Avec une augmentation de la température, la durée du développement passe de 33,7 jours à 15°C à 9,2 jours à 28°C. La température minimale qui permet le développement complet deH. miles est située entre 10 et 12°C. Quand il est nourri d'"itAcarus siro, H. miles pond 2 à 3 oeufs par jour et seuls les oeufs non fécondés donnent des males. Les adultes deH. miles (agés de 0 à 1 jour) survivent pendant 24±1,4 jours sans nourriture et si elles sont nourries pendant 6 jours puis privées de nourriture, les femelles vivent 65,4±2,6 jours, ce qui est significativement plus long que les males (45,2±3 jours). Avec de la nourriture, 60% des males et des femelles vivent pendant 142 jours. Toutes les larves de sciarides sont attaquées parH. miles, mais le nombre de proies consommées dépend de la taille des larves. La prédation des oeufs est négligeable et les pupes ne sont pas attaquées. Dans des études sur la productivité deH. miles en élevage (nourri deA. siro), la durée nécessaire aux acariens pour atteindre une densité de 45–65 000/1 est de 76 et 23 jours à 15°C et 28°C respectivement.
  相似文献   

12.
A. Kiyindou  G. Fabres 《BioControl》1987,32(2):181-189
Résumé Hyperaspis raynevali Mulsant est une coccinelle prédatrice dePhenacoccus herreni Cox & Williams en Guyane. Elle a été introduite au Congo pour particier à la régulation des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Avant les lachers de plein champ, une étude a été conduite au laboratoire pour tenter de quantifier son pouvoir de multiplication et comparer ce dernier à celui des coccinelles locales précédemment étudiées. La capacité d'accroissement d'une population deP. raynevali est de 0,081 (rc deLaughlin) dans les conditions du laboratoire avec un taux net de reproduction de 271,7 et une durée de génération de 69 jours. La durée du développement préimaginal est sensiblement allongée aux températures inférieures à 25°C et la mortalité embryonnaire reste élevée aux différentes conditions thermohygrométriques testées.   相似文献   

13.
J. Chazeau 《BioControl》1974,19(2):183-193
Afin de préciser l'action prédatrice deStethorus madecassus surTetranychus neocaledonicus, la consommation des différents stades du prédateur a été étudiée dans une enceinte à température constante. A 25°, la consommation totale est de 494 ?ufs de tétranyque pour l'ensemble des 4 stades larvaires. A cette température, elle est de 46,8 femelles de tétranyque par jour pour une femelle fécondée deStethorus, 21,3 pour un mâle, et 13,1 pour une femelle vierge. Des essais complémentaires en conditions ambiantes naturelles ont permis de s'assurer de la validité de ces résultats. Les tests à 20° et 30° montrent que, dans cet intervalle, la consommation des adultes double sensiblement pour une élévation de température de 5°, et qu'une forte corrélation positive existe entre la voracité et la fécondité individuelles des femelles.  相似文献   

14.
Résumé

Ce travail a pour objectif l’étude de quelques aspects bio-écologiques de la cochenille violette, Parlatoria oleae Colvée 1880, bio-agresseur des cultures de l’Olivier en régions arides. Le suivi du cycle biologique ainsi que la démo-écologie de ce ravageur ont été réalisés grâce à des dénombrements périodiques des populations sur les différents organes de l’arbre (méthodes de Vasseur &; Schvester) de décembre 2010 à décembre 2011 dans la région d’Ain Touta (nord-est algérien). L’espèce y a montré deux générations par an : une génération printanière se développant entre avril et juillet et une génération automnale évoluant entre août et octobre. La ponte débuta en avril et s’échelonna jusqu‘à la fin septembre. L’exposition nord est la plus favorable à cette diaspine qui y trouve des conditions microclimatiques optimales pour son développement. La ponte moyenne est de 8 à 9 ?ufs par femelle. L’analyse statistique de l’effet des conditions climatiques étudiées (températures minimale, maximale et moyenne ; précipitations, gelée et indice d’aridité De Martone) sur les effectifs des différents stades, montre une grande variabilité d’un stade à un autre. L’analyse statistique établie révèle également que les effectifs de l’espèce présentent des variations très hautement significatives selon l’orientation dans l’arbre d’olive colonisé.  相似文献   

15.
G. M. Tatchell 《BioControl》1981,26(3):291-299
The effects of temperature and granulosis virus infection both on the development ofPieris rapae L. and the area of cabbage leaf consumed by larvae were investigated. The duration of the larval period increased from 12.9 days at 24°C to 45.3 days at 13°C. The thermal constant for larval development was 196.1 day °C above the threshold temperature of 9.4°C. The area of cabbage leaf consumed per day increased with larval age so that 5th instar larvae ate 70.9% of the total food consumption. Virus infection extended the larval instar in which death occurred and reduced the potential food consumption by as much as 99.6%. Larger virus doses reduced food consumption within the same instar more than smaller doses. The results are discussed in relation to the feasibility of using granulosis virus for the control ofP. rapae.
Résumé L'étude a porté sur les effets de la température et de l'infection provoquée par le virus de la granulose sur le développement dePieris rapae L. et la quantité de feuillage de chou consommée par les larves. La durée du stade larvaire a augmenté de 12,9 j à 24°C à 45,3 j à 13°C. La constante thermique pour le développement larvaire a été de 196,1°C au-delà du seuil de température de 9,4°C. La superficie de feuillage consommée par jour s'est accrue en fonction de l'age des larves de sorte que les larves au 5e stade ont mangé 70,9% de la superficie totale consommée. L'infection provoquée par le virus a augmenté la durée du stade de mortalité et a diminué la consommation potentielle de feuillage de 99,6%. Des doses plus élevées de virus ont réduit la consommation dans le même stade davantage que les doses plus faibles. Les résultats sont discutés par rapport à la possibilité d'utiliser le virus de la granulose dans la lutte biologique contreP. rapae.
  相似文献   

16.
Résumé L'Hyménoptère parasito?deEpidinocarsis lopezi (De Santis) a été introduit d'Amérique du Sud au Congo pour le contr?le des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Dans les conditions du laboratoire, les principaux paramètres du développement ont été étudiés: le temps de développement entre la ponte de l'œuf et l'émergence de l'adulte est en moyenne de 15,6 jours; le taux sexuel est de 56% de femelles en maintien de souche, variable selon le stade des h?tes présentés; la longévité des ♀♀ est de 42,26 jours; la fécondité moyenne pour des ♀♀ nourries de miel s'établit autour de 207,6 œufs sur une période de 40 jours (5,2 œufs par jour en moyenne), elle est inférieure en absence d'alimentation (141 œufs au total et 3,8 par jour); le stade h?te choisi pour la ponte est essentiellement la larve L3 (à un moindre degré les jeunes ♀♀ sans ovisac); le superparasitisme peut atteindre 64% en situation de raréfaction de l'h?te, mais il n'est que de 5,7% en présence de fortes proportions de L3. Après des lachers expérimentaux, l'auxiliaire s'est acclimaté dans les champs expérimentaux et a colonisé les champs voisins. Ses taux de parasitisme achevé ont atteint un maximum de 15,4% des stades préférentiels (22% pour le parasitisme en cours) avant le pic de gradation de la cochenille. Ces données présententE. lopezi comme un parasito?de ayant de bonnes qualités intrinsèques mais qui, à l'heure actuelle, ne parvient pas à réguler les populations de la cochenille dans la zone où il a été laché.   相似文献   

17.
Development times at constant temperatures were determined for the egg, larval and pupal stages ofCoccinella 7-punctata L., recently introduced to U.S.A. Males and females developed at the same rate. The egg stage lasted from 2.3 to 13.0 days at 30° and 15°C, respectively. Larvae feeding onAcyrthosiphon pisum (Harris), pea aphids, required from 6.2 to 31.1 days at 32.5°, and 17.0°C, respectively. These development rates are similar to those reported in the European literature.
Résumé Les durées de développement à températures constantes ont été déterminées pour l'œuf, les stades larvaires et l'imago deCoccinella 7-punctate récemment introduit aux états-Unis. Les males et les femelles se développent au même rythme. Le stade œuf dure de 2,3 à, 13,0 j à 30° et 15°C, respectivement. L'alimentation des larves avec le puceron du poisAcyrtosiphon pisum (Harris) dure 6,2 et 31,1 j à 32,5 et 17,0°C, respectivement. Le stade nymphal est observé pendant 2,8 et 13,0 j à ces mêmes températures. Ces vitesses de développement sont les mêmes que celles données dans la littérature européenne.
  相似文献   

18.
G. Fabres  C. Reymonet 《BioControl》1991,36(1):121-129
Résumé Dans la région béarnaise, la récolte des gousses m?res deLathyrus sylvestris et deLathyrus latifolius, avant la déhiscence, puis la mise en éclosoir de leurs graines, permet l'obtention des adultes de la brucheBruchus affinis et de son ectoparasite larvaireDinarmus acutus. Ces derniers sortent en petits nombres à l'automne de la même année puis de fa?on massive au printemps de l'année suivante, après une diapause au dernier stade larvaire. Un élevage en continu, de nombreuses générations successives, en conditions semi naturelles de température et de photopériode, a montré la présence simultanée d'individus diapausants et non diapausants tout au long de l'hiver, et l'absence totale de diapausants dès le mois de mai. Les larves diapausantes produisent une substance orangée qui marque l'arrêt de développement. Compte tenu de la biologie de la bruche et de son parasite larvaire: développement larvaire à l'intérieur des graines et vie des adultes à l'extérieur, nous avons choisi d'étudier l'influence des conditions thermiques sur les larves et de la photopériode sur les adultes du parasite. Les résultats obtenus montrent que les températures basses n'induisent pas d'arrêt de développement. Par contre, une photopériode jours courts, appliquée aux adultes, provoque l'entrée en diapause d'un fort pourcentage des larves de la descendance. Les résultats présentent une certaine variabilité selon la descendance et le rang de la ponte. Le détail des résultats est examiné dans le cadre de l'induction maternelle de la diapause larvaire et de l'hypothèse d'une horloge chimique à l'origine du marquage des diapausants (substance orangée) et de la variabilité enregistrée.   相似文献   

19.
J. Claret 《BioControl》1973,18(4):409-418
Résumé La diapause dePimpla instigator F. (Ichneumonide) s'installe au dernier stade larvaire, en réponse aux courtes photopériodes inférieures à 12 heures. Les photopériodes plus grandes entra?nent un développement continu. La période de sensibilité à l'induction photopériodique est située entre le 6e et le 14e jour avec un maximum entre le 8e et le 11e jour de la vie larvaire (à la température de 20°C). Toutefois aucune photopériode ne permet d'obtenir 100% de diapause. La diapause peut cesser sans qu'apparement aucun facteur externe soit nécesaire comme stimulus. Cette reprise spontanée du développement est étalée dans le temps suivant les individus (entre 3 et 7 mois). La diapause dePimpla instigator, F. a deux caractéristiques particulières: le pourcentage de males en diapause est toujours supérieur de 20 à 40% à celui des femelles, la levée de la diapause par les grandes photopériodes est très rapide. 12 jours en 16 heures suffisent à déclencher la métamorphose.
Summary The diapause ofPimpla instigator occurs in the last larval stage in reponse to the short day photoperiods less than 12 hours. With longer photoperiods, no diapause occurs. The sensitivity period at photoperiodic induction extends between the 6 th and 14 th day, with the maximum between the 8 th and 11 th of larval life (at a temperature of 20°C). However the incidence of diapause never reaches 100%. Diapause may be interrupted without any apparent external stimulus. Such a spontaneous termination of the diapause may occur between 3 or 7 months, depending on the individual. The diapause ofP. instigator shows two characteristics: the percentage diapause is always from 30 to 40% lower in males than in females; termination of the diapause by long-day photoperiods is very rapid: 12 days of 16 hours light are sufficient to induce metamorphosis.
  相似文献   

20.
Résumé Quelle que soit l'origine de la souche (sol, arthropodes, lésions humaines), les conidies de l'EntomophthoraleConidiobolus coronatus sont capables d'infecter le puceronAcyrthosiphon pisum (Hémiptères, Aphididae) et les chenilles deGalleria mellonella (Lépidoptères, Pyralidae). De plus, les filtrats, de culture en milieu liquide agité des huit souches éprouvées sont toxiques par inoculation à l'égard de ces derniers insectes; cette toxicité se traduit d'abord par une hémorragie au trou de pip?re, qui peut durer plusiers heures, puis par un noircissement du corps de l'insecte et enfin par la mort de celui-ci. L'effet anticoagulant de substances produites par une Entomophthorale est ici signalé pour la première fois. Les deux souches les plus virulentes à l'égard deAcyrthosiphon pisum, parmi lesquelles se trouve celle isolée de lésions humaines, sont également les plus toxinogènes. L'étude de la vitesse de croissancein vitro du champignon à des températures comprises entre 4 et 37°C révèle une adaptation des souches aux conditions thermiques en relation avec la région d'origine de l'isolat. Notamment, les souches d'origine tropicale se développent plus, rapidement à 26–29°C que les souches originaires de France. La vitesse maximale de croissance est constatée à 29°C pour les différentes souches, sauf pour celle isolée de lésions humaines qui se développe le plus rapidement à 37°C. Cette température est létale pour les autres souches sauf pour une souche isolée d'un myriapode de l'?le de la Réunion. C'est la première fois que l'aptitude à cro?tre à cette température est reconnue chez un isolat deConidiobolus coronatus provenant d'un arthropode.
Summary Whatever the substrate of origin of the strain (soil, arthropods, human phycomycosis), conidia ofConidiobolus coronatus (Zygomycotina, Entomophthorales) are able to infect the pea aphid,Acyrthosiphon pisum (Hemiptera, Aphididae) and the greater wax moth,Galleria mellonella (Lepidoptera, Pyralidae). Moreover, intrahemocoelic injections of filtrates from shake cultures of all the 8 strains tested proved to be toxic for the later insect; the symptoms are successively haemorrhage, which could last for a few hours, blackening of the blood and at last death. This is the first mention of an anti-coagulant effect of metabolic products from any Entomophthorale. The strain isolated from an human phycomycosis is both the most virulent against the pea aphid and the most effective with regard to toxicity. Comparison of fungal growthin vitro at different temperatures, ranging from 4 to 37°C, revealed a certain relation between the temperature for the optimal growth and the locality of origin of a strain. In particular, strains from tropical areas were growing at 26–29°C faster than those from temperate regions. The higher growth rate was noticed at 29°C for all the 8 tested strains, except for the strain from human phycomycosis, for which the optimum temperature was 37°C. This temperature was lethal for the other strains, but for a strain isolated from a myriapod from the Reunion Island. It is the first time that the ability of a strain ofC. coronatus isolated from an arthropod to growth at 37°C is ascertained.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号