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1.
Résumé La variabilité de la sensibilité des larves de la noctuelle égyptienne du coton,Spodoptera littoralis Boisduval à l'hyphomycète entomopathogèneNomuraea rileyi (Farlow) Samson a été abordée en étudiant la variabilité interclonale du champignon et la variabilité de l'insecte-h?te à travers des populations d'origines géographiques différentes. En raison de la polyphagie de l'espèce-cible, l'influence de la plante-h?te sur la sensibilité des larves phytophages a aussi été prise en compte. Les traitements ont consisté à exposer les larves à un inoculum sporal déposé par pulvérisation sur des rondelles de feuille calibrées pendant 24 h. L'activité pathogène, à l'égard des larves du 1er stade, des 12 clones monosporaux de la soucheN. rileyi 5 varie significativement (TL50 compris entre 4,7 et 6,2 j à la dose de 3.104 spores/cm2). Cette variabilité intraspécifique observée à un moment donné est néanmoins du même ordre que la variabilité de l'activité de la souche-mère polyclonale, relevée sur une période de 4 ans (TL50 compris entre 4,5 et 6,6 j). Les 3 populations originaires d'Isra?l, d'Egypte et du Maroc ont présenté une sensibilité comparable àN. rileyi 5 après contamination des larves nouveau-nées avec des doses croissantes d'inoculum (DL50 comprises entre 0,7.104 et 1,1.104 spores/cm2 et TL50 compris entre 5,1 et 5,5 j à la dose de 3.104 spores/cm2). L'alimentation des larves, depuis l'éclosion, sur 4 espèces végétales: chou, coton, féverole ou aubergine, n'a pas modifié significativement la sensibilité des larves du 3e stade (DL50 comprises entre 0,3.103 et 0,7.103 spores/cm2 et TL50 compris entre 4,0 et 4,3 j à la dose de 3.104 spores/cm2). La souche polyclonaleN. rileyi 5 para?t bien adaptée à la noctuelle égyptienne du coton en raison de sa stabilité, de son agressivité à l'égard des populations d'origines géographiques différentes et de l'absence d'effet de l'alimentation des larves sur l'infection.   相似文献   

2.
Résumé L'effet des destruxines A, B et E dans la pathogénèse deMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sor. a été étudié chez les larves du 3e stade des scarabéidesCetonia aurata L. etOryctes rhinoceros L. L'expérimentation a consisté à essayer de modifier, en injectant des destruxines, la sensibilité des larves à un inoculum fongique (spécifique ou non spécifique) introduit dans la cavité générale. Les essais de toxicité des destruxines à l'égard des 2 espèces-?tes montrent une détoxification rapide chez les larves deC. aurata et, à l'opposé, un effet cumulatif des injections répétées chez les larves deO. rhinoceros. Dans les éssais pathologiques sur l'espèceC. aurata, l'évolution de la maladie chez les larves contaminées par l'inoculum spécifiqueM.a. 32 n'est pas modifiée par une injection unique de 2–6,6 ou 20 μg de destruxines par g d'insecte ou par 4 injections fractionnées de 2 μg/g à 2 j d'intervalle. En revanche, dans le cas du germe non spécifique,M.a. 51, on observe un effet sensibilisant tardif. Chez les larves deO. rhinoceros, les 3 injections fractionnées de destruxines à la dose de 1 μg/g stimulent l'activité de la souche spécifiqueM.a. 51, puisque le temps létal 50 % d'un inoculum de 10 spores/larve est ramené de 11,2 j à 6,7 j par l'addition des toxines. L'effet des destruxines dans la pathogénèse deM. anisopliae semble donc lié à l'aptitude de l'espèce-h?te à détoxifier ces substances. Ce r?le dépend aussi de la capacité du germe à produirein situ des mycotoxines comme le suggère la sensibilisation tardive des larves deC. aurata au pathotype non spécifique.
Summary The presence of mycotoxins like destruxins in insects infected by the entomopathogenic hyphomyceteMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sor. is well established. In the case of the scarabeid larvae ofCetonia aurata L. and ofOryctes rhinoceros L. contaminated by this fungus, a cytotoxic effect on hemocytes was demonstrated in previous studies. Thus, the role of purified destruxins A, B and E in modifiying the pathogenicity of 2 isolates ofM. anisopliae in these insects was studied. Single and split inoculations of destruxins, either alone or in combination with fungal spore injection were experimented. The difference in action of destruxins applied in split doses, in these 2 host species indicated a rapid detoxification in larvae ofC. aurata as against a cumulative effect inO. riinoceros. The results indicated that the development of the disease inC. aurata larvae, inoculated with the specific strainM.a 32 was notmodified by combined injection of a single dose (2; 6.6 and 20 μg/g of larval weight) or by split dose applications (4 injections of 2 μg/g at 2 days interval). With the non specific strainM.a. 51, a high sensitivity of larvae was seen at a later period after the treatment. InIO. rhinoceros larvae, 3 split applications of destruxins at a dose of 1 μg/g stimulated the activity of the specific strainM.a. 51, since LT 50, which was 11.2 days at a dose of 10 conidia/larva, has been found to be reduced to 6.7 days by addition of the toxins. Thus, the role of desdtruxins in influencing the pathogenicity ofM. anisopliae depends on: (1) the host species and their ability to detoxify destruxins, and (2) the pathotypes and their capacity to produce toxins in their specific or non specific host, as indicated in the case ofC. aurata larvae.
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3.
Cultures ofMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sor.,Beauveria bassiana (Bals.) Vuill.,B. tenella (Delac.) Siem.,Aspergillus fumigatus Fres. andPaecilomyces farinosus (Dicks, exFr.) Brown & Smith were tested for pathogenicity toOryctes rhinoceros L. All the long spored cultures ofM. anisopliae isolated fromOryctes spp. were equally pathogenic toO. rhinoceros. Most of the 23 short spored cultures from other insects caused lesions onOryctes larvae but only 5 isolates were lethal. SomeBeauveria isolates caused brown lesions on larvae but generally these larvae developed into normal adults. One isolate ofB. bassiana fromCarpocapsa pomonella L. killed larvae at the time of pupation. Cultures ofA. fumigatus andP. farinosus were not pathogenic. A method for growingM. anisopliae on oats for large scale field use is described.
Résumé Des cultures deMetarhizium anisopliae, deBeauveria bassiana, deB. tenella, d'Aspergillus fumigatus et dePaecilomyces farinosus ont été examinées en fonction de leurs effets pathogènes surOryctes rhinoceros. Toutes les cultures à spores longues deM. anisopliae isolées desOryctes spp. ont été également pathogènes pourO. rhinoceros. La plupart des 23 cultures à spores courtes obtenues à partir d'autres insectes ont causé des lésions sur les larves d'Oryctes mais cinq seulement ont été mortelles. Certaines souches deBeauveria ont causé des lésions brunes sur les larves mais, en général, ces larves ont donné des adultes normaux. Une culture deB. bassiana isolée deCarpocapsa pomonella a tué les larves au moment de leur métamorphose en chrysalides. Les cultures d'A. fumigatus et deP. farinosus n'ont pas eu d'effet pathogène. Une méthode de culture deM. anisopliae sur avoine pour l'utiliser sur de grandes surfaces est décrite.
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4.
Biochemical profiles on API Rapid CH* strips and protein profiles on polyacrylamide gels in the presence of sodium dodecyl sulfate were used to distinguish two strains of the entomopathogenic fungusBeauveria bassiana (Balsamo) Vuillemin, ARSEF 2991 and ATCC 44860. Next, the toxicity of these two strains was determined at concentrations of 102, 104, 106 and 108 blastospores/ml on larvae of the Colorado potato beetleLeptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera: Chrysomelidae) and of its predator, the spotted ladybird beetle,Coleomegilla maculata lengi Timberlake (Coleoptera: Coccinellidae). Both strains were highly toxic toL. decemlineata larvae. However, the two strains exhibited different levels of toxicity forC. maculata larvae: ARSEF 2991 was toxic, whereas ATCC 44860 caused little coccinellid larval mortality.
Résumé Les profils biochimiques sur galeries API Rapid CH* et les profils protéiques sur gels de polyacrylamide ont été utilisés pour distinguer deux souches du champignon entomopathogèneBeauveria bassiana (Balsamo) Vuillemin. La toxicité de ces deux souches a été déterminée à des concentrations de 102, 104, 106 et 108 blastospores/ml sur des larves du doryphore,Leptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera: Chrysomelidae) et de la coccinelle maculéeColeomegilla maculata lengi Timberlake (Coleoptera: Coccinellidae). Les deux souches deB. bassiana se sont avérées actives à l'égard des larves deL. decemlineata. Toutefois la souche ARSEF 2991 s'est avérée pathogène pour les larves deC. maculata, alors que la souche ATCC 44860 a provoqué une faible mortalité des larves.
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5.
Selected strains ofMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sor. were grown on oat grain and tested in field experiments againstOryctes rhinoceros L. It was found thatM. anisopliae survived in breeding site materials for at least 24 months, with survival not greatly affected by the type of material or by seasonal factors. Naturally occurring breeding sites were examined 3 months after they had been surface treated with oat grain inoculum ofM. anisopliae. In most sites all the larvae had been killed by the fungus while some contained both diseased and apparently healthy larvae. Recommendations are made for the use ofM. anisopliae as part of a general control programme for this coconut pest.
Résumé Certains types sélectionnés deMetarhizium anisopliae ont été cultivés sur des grains d'avoine et examinés en tant qu'insecticides biologiques au cours d'expériences pratiques contre lesOryctes rhinoceros. Les résultats ont montré queM. anisopliae peut survivre sur les matériaux du lieu de culture pendant au moins vingt-quatre mois, leur survie n'étant pas particulièrement affectée par le type de matériel ou par les facteurs saisonniers. Les lieux de culture naturels ont été examinés trois mois après qu'ils aient été traités superficiellement par l'inoculum de grain d'avoine deM. anisopliae. La plupart des lieux de culture contenaient seulement des cadavres de larves d'O. rhinoceros tués par le champignon tandis que certains autres contenaient à la fois des larves malades et des larves en apparence saines. L'utilisation deM. anisopliae est recommandée dans le cadre du programme général de lutte contre cet insecte nuisible qui s'attaque à la noix de coco.
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6.
The following aspects ofHypoaspis miles' biology were investigated; development rate of egg to adult at different temperatures, fecundity, longevity and rate of predation on sciarids. With an increase in temperature the time taken for development decreased from 33.7 days at 15°C to 9.2 days at 28°C. The threshold temperature forH. miles to complete its life cycle was between 10° and 12°C. When fed onAcarus siro, H. miles laid 2–3 eggs a day and unfertilized eggs only developed into males. Adults ofH. miles (0–1 day old) survived for 24.0±1.4 days without food and if fed for 6 days and then starved, females lived for 65.4±2.6 days which was significantly longer than males (45.2±3.0 days). With food, 60% of males and females survived for 142 days. All larval instars of sciarids were attacked byH. miles although the numbers consumed were dependent on the size of the larvae. Egg predation was negligible and pupae were not attacked. In productivity studies ofH. miles in culture (fed onA. siro), the time taken for the mites to reach a density of 45–65,000/litre ranged from 76 to 23 days at 15° and 28°C respectively.
Résumé Différents aspects de la biologied'Hypoaspis miles sont examinés: vitesse de développement de l'oeuf à l'adulte à différentes températures, fécondité, longévité et voracité sur les sciarides. Avec une augmentation de la température, la durée du développement passe de 33,7 jours à 15°C à 9,2 jours à 28°C. La température minimale qui permet le développement complet deH. miles est située entre 10 et 12°C. Quand il est nourri d'"itAcarus siro, H. miles pond 2 à 3 oeufs par jour et seuls les oeufs non fécondés donnent des males. Les adultes deH. miles (agés de 0 à 1 jour) survivent pendant 24±1,4 jours sans nourriture et si elles sont nourries pendant 6 jours puis privées de nourriture, les femelles vivent 65,4±2,6 jours, ce qui est significativement plus long que les males (45,2±3 jours). Avec de la nourriture, 60% des males et des femelles vivent pendant 142 jours. Toutes les larves de sciarides sont attaquées parH. miles, mais le nombre de proies consommées dépend de la taille des larves. La prédation des oeufs est négligeable et les pupes ne sont pas attaquées. Dans des études sur la productivité deH. miles en élevage (nourri deA. siro), la durée nécessaire aux acariens pour atteindre une densité de 45–65 000/1 est de 76 et 23 jours à 15°C et 28°C respectivement.
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7.
R. J. Milner 《BioControl》1973,18(3):305-315
The pathogenicity ofNosema whitei was studied using a dose-mortality technique; larvae ofTribolium castaneum were reared for the duration of each experiment in flour mixed with known numbers of spores. The susceptibility of each of the first 5 larval instars was compared. The LD50 (for mortality after 20 days) increased consistently from the first instar (1.8×106 spores/g) to the fifth instar (1.0×1010 spores/g). The slopes of the probit lines increased consistently as age increased (from b=1.1 to b=3.9). Two factors which reduce the development time ofT. castaneum, high temperature and high humidity, both reduced the pathogenicity ofN. whitei. Thus pathogenicity decreased as the temperature was increased fram 25°C (LD50=4.2×106) through 30°C (LD50=1.3×107) to 35°C (LD50=3.2×106), also pathogenicity decreased consistently as humidity was increased fram 10%, through 30, 50, 70% to 90% R.H. Adults, emerging fromNosema free larvae, became infected only when exposed to a very high dose (2×1010 spores/g for 14 days from the day of emergence). Infected larvae were treated for 1 hr. at 45°C in an attempt to cure the infection. The infected larvae were not cured, rather the treatment had an adverse alfect on their survival.
Résumé La pathogénicité deNosema whitei a été étudiée en élevant des larves deT. castaneum dans de la farine mélangée à des quantités connues de spores. La sensibilité des larves diminue uniformément en fonction de l'age; La DL50 varie de 1,8×106/g (1er stade) à 1,0×1010 spores/g (5e stade). Deux facteurs, qui accélèrent le développement deT. castaneum, des températures et des humidités élevées, réduisent tous les deux la pathogénicité deN. whitei. Les adultes ne peuvent être infectés qu'en les exposant à la dose extrêmement élevée de 2×1010 spores/g. Un traitement par la chaleur (45°C pendant une heure) n'a pas réussi à guérir les larves.


This work financed by a Science Research Council (U.K.) studentship is based on a thesis submitted for a degree of Ph. D. at the University of Newcastle-upon-Tyne.  相似文献   

8.
Résumé Les larves deTrichoplusia ni (Hübner) infectées parVairimorpha (=Nosema) necatrix (Kramer) présentent des sympt?mes chroniques, semi-chroniques et aigus selon les doses de spores deV. necatrix (5 à 500, 5.103 à 5.105 et 5.106 par larve, respectivement) ingérées par larve.V. necatrix parasite principalement le corps adipeux et les tissus des muscles quand les larves ont des sympt?mes chroniques, tandis que les larves manifestent les sympt?mes aigus lorsque les microsporidies attaquent principalement l’intestin moyen. L’histopathologie de la maladie est étudiée.
Summary Infection of larvae ofTrichoplusia ni (Hübner) byVairimorpha, (=Nosema) necatrix was classified as chronic, semi-chronic and acute symptoms depending on the quantity of spores (5 to 500, 5×103 to 5×105, and 5×106 per larva, respectively) ingested per larva.V. necatrix infects mainly the fat body and some muscle tissue of larvae with chronic symptoms and mainly midgut tissue of larvae with acute symptoms.V. necatrix caused death in 3 to 4.5 days when a larva ingested 5×106 spores. The histopathology of the disease was studied.


Ce travail a fait l’objet d’une thèse de 3e cycle, présentée à l’Université de Paris VI en mars 1977, parWei Hsuang Chu.  相似文献   

9.
M. Ravallec  G. Riba  A. Vey 《BioControl》1989,34(2):209-217
Résumé Le comportement pathogène de l'hyphomycèteMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sorokin a été évalué surAedes (Stegomya) albopictus Skuse. Le mode d'action de la souche testée se manifeste de 2 fa?ons, soit par une colonisation de l'hémocoele, soit par une toxémie si la dose de l'inoculum est suffisamment élevée. L'intervention d'un processus toxémique a été confirmée par la mise en évidence du pouvoir pathogène des spores irradiées aux ultra-violets. Ces toxines seraient libérées dans le mésentéron des larves pendant la protéolyse alcaline des spores ingérées, dont le nombre a pu être estimé. Le seuil d'activité toxémique étant évalué à 3.105 spores pour une larve du stade 4. L'analyse du contenu de tubes digestifs étalés sur milieu nutritif et l'examen de coupes semi-fines ont montré que les larves soumises à de fortes doses du germe perdent rapidement leur capacité digestive. Enfin, le r?le de la destruxine E dans ces infections est discuté.   相似文献   

10.
The protection of apples against damage by the codling moth,Laspeyresia pomonella (L.), by applications of the granulosis virus ofL. pomonella was assessed in apple orchard tests at 4 locations in Canada in 1974–1978. Sprays containing 3×109 to 4×1010 granules/litre, applied 2 or 3 times per generation of codling moth larvae, reduced injury to apples by 44 to 85% compared to reductions of 72 to 98% by applications of azinphos-methyl or phosmet. Applications of the virus did not reduce numbers of arthropods predaceous on pest insects and mites.
Résumé L'efficacité de la protection des pommes contre le carpocapse,Laspeyresia pomonella (L.), par des applications du virus de la granulose deL. pomonella a été évaluée par des assais dans 4 vergers du Canada entre 1974 et 1978. Des pulvérisations contenant de 3×109 à 4×1010 granules/litre, appliquées 2 ou 3 fois par génération de larves du carpocapse des pommes, ont réduit les dommages aux pommes de 44 à 85% comparé à des réductions de 72 à 98% obtenues avec des pulvérisations d'azinphos-méthyl ou de phosmet. Les applications de virus n'ont pas réduit les populations d'arthropodes prédateurs d'insectes nuisibles et d'acariens.
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11.
Résumé Par arrosage en septembre de 4 parcelles de 300 m2 d'une prairie naturelle infestée par des larves deMelolontha melolontha L. à l'aide d'une suspension de rickettsies et de virus, à raison de l'équivalent de 4 larves infestées par mètre carré, la rickettsiose àRickettsiella melolonthae et la virose àEntomopoxvirus melolonthae ont été déclenchées. L'année suivant ce traitement 20% des vers blancs prélevés par sondages étaient atteints de virose et 12% par la rickettsiose. Les deux maladies se sont maintenues sensiblement au même niveau pendant deux cycles triennaux de l'insecte, et elles ont été retrouvées chez quelques adultes. La transmission à la descendance ne semble pas être effectuée par contamination des œufs mais du fait de la persistance des deux germes dans le sol à partir des cadavres.
Summary In September 4 plots each of 300 m2 in a natural meadow infested by cockchafer larvae were sprayed with a suspension of rickettsia and virus at a concentration equivalent to 4 infected larvae per m2. The rickettsiosis caused byRickettsiella melolonthae and the virosis caused byEntomopoxvirus melolonthae were induced. In the year following this treatment 20% of the white grubs collected were found to have virosis and 12% rickettsiosis. The two diseases showed the same level during the two triennial cycles of the insect, and were observed in some adults. The transmission to the offspring does not seems to be effected by the contamination of eggs but by the persistence of the two germs in the soil.
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12.
Les utérus sont prélevés par dissection des femelles âgées soit de 2 jours (P. caudata), soit de 2 à 4 jours (L. diatraeae); ils contiennent alors des oeufs qui viennent juste d'être fécondés. Ces utérus sont placés aseptiquement sur des milieux de culture pour observer l'embryogénèse éventuelle des oeufs. Un milieu physiologique simple (Y) et un milieu nutritif complet (M) sont testés sous deux formes, liquide ou gélifiée avec 0,5% d'agarose. Chez les deux espèces le développement embryonnaire complet a pu être observé in vitro. Les meilleurs résultats, qui fournissent le même pourcentage de larves qu'in vivo, sont constatés avec le milieu M agarosé. Sur les milieux liquides le rendement en larves est inférieur de moitié environ par rapport aux milieux gélifiés correspondants. Avec les milieux simples Y, mème si un fort pourcentage de larves est obtenu (Y agarosé), celes-ci meurent rapidement. Seul le milieu M permet d'obtenir des larves d'excellente viabilité et aptes à se développer. La composition du milieu, mais aussi les possibilités respiratoires offertes aux oeufs agissent sur l'embryogénése.  相似文献   

13.
Résumé Le marquage isotopique (HT18O) des larves agées de 3e et de 4e stades de la coccinelle aphidiphageS. 11notata Schneider permet d'estimer la consommation alimentaire totale de chacun de ces 2 stades. Par comparaison avec une méthode d'estimation de la consommation alimentaire basée sur la pesée des proies, le marquage isotopique donne des résultats excellents chez les larves de dernier stade et elle est sans doute utilisable pour des mesures comparatives chez les larves de 3e stade. Les avantages de cette méthode, dont le plus important est assurément son indépendance vis-à-vis de la nature de l'aliment ingéré par les larves, ses quelques inconvénients et également les différentes possibilités de son utilisation (alimentation artificielle, études sur la physiologie alimentaire, etc.) sont discutés. L'application de cette méthode à des larves L3 et L5 maintenues au laboratoire dans des conditions am biantes constantes, en présence de populations aphidiennes monospécifiques mais hétérogènes quant à leur stade de développement, nous a permis de vérifier à l'échelle individuelle que le gain de poids constitue effectivement un critère d'estimation de la consommation alimentaire totale correspondante. Dans ce cas également, les meilleurs résultats sont obtenus chez les larves du dernier stade.
Summary The isotopic labeling (HT18O) of aged larvae (3rd and 4th instars) of the aphidophagous ladybeetleS. iinotata allows the total food consumption of both stages to be estimated. From the comparison with a method of consumption estimation based on weighing the prey, the isotopic labeling gives good results in the 4th stage larvae and is und oubtedly useful for comparative determination in 3rd stage larvae. The advantages of the method which does not depend on the kind of food ingested, the few drawbacks and the different possibilities of its use (artificial food, physiological studies) are discussed. This method was applied to 3rd and 4th stages larvae growing in the laboratory (in constant ambiant conditions) and fed with aphids of one species in different stages of development. It allowed to test, in each individual, the validity of measuring the total food consumption through the gain of weight of the larvae. Again, in this case the best results were obtained in the 4th stage larvae.
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14.
S. Grenier 《BioControl》1977,22(2):223-236
Résumé La nipagine M (ou parahydroxybenzoate de méthyle) est incorporée aux milieux synthétiques pour l'élevage des larves, ou à la nourriture et à la boisson des imagos de la tachinairePhryxe caudata Rond. La toxicité a été étudiée en calculant le temps au terme duquel 50% de la population a succombé (TL 50); ce TL 50 correspond aussi à la durée de vie ou de survie moyenne. Les larves du premier stade ont une survie moyenne supérieure à 50 jours dans certains milieux exempts de nipagine. En présence de 0,01 ou 0,04% de nipagine le TL 50 tombe respectivement à 41 heures ou 1 heure et demie. En l'absence de nipagine, les imagos ont une durée de vie moyenne variant de 11,1 à 20,5 jours selon le sexe et les conditions dans lesquelles ils séjournent (densité, présence d'h?tes à parasiter et virginité). Les femelles vivent en général légèrement plus longtemps que les males. En présence de nipagine la durée de vie des mouches est raccourcie dans tous les cas. Avec 0,1% de nipagine le TL 50 varie de 6,5 à 13,6 jours. La nipagine M, en raison de sa toxicité à des doses qui ne permettent pas de contr?ler efficacement les proliférations de champignons, est donc à prohiber dans les milieux artificiels pour larves et à éviter dans l'alimentation des adultes deP. caudata et sans doute d'autres parasites.
Summary The methyl-p-hydroxybenzoate is incorporated to the synthetic media for rearing larvae, or to the food and drink for adults of the tachinid flyPhryxe caudata Rond. The toxicity was estimated by calculating the time giving a 50% mortality in the population (Lethal Time: LT 50). This LT 50 is equivalent to the mean duration of life or survival. The new-hatched larvae have a survival mean time greater than 50 days in some nipagin free media. With 0,01 or 0,04% of nipagin, the LT 50 falls respectively to 41 hours or one hour and a half. Without nipagin, the average life time for the imagines varies from 11,1 to 20,5 days according to the sex and the rearing conditions (density, existence of hosts and virginity). The females generally live slightly longer than the males. With nipagin the duration of life of the flies is shortened in all cases. With 0,1% of methyl-p-hydroxybenzoate the LT 50 varies from 6,5 to 13,6 days. The nipagin M, in consideration of its toxicity at doses which do not permit to control effectually the proliferations of moulds, must be prohibited in artificial media forP. caudata larvae and avoided in the diets forP. caudata adults. This is probably true with others parasites.
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15.
Populations of the June beetle,Amphimallon solstitialis (Coleoptera: Scarabaeidae), were sampled from grasslands near Darmstadt, Germany, and found to be infected by a number of diseases and parasitic nematodes. Several milky diseased larvac were found, andBacillus popilliae type A 1 isolated as the causative agent. The bacterium readily infected healthy larvae ofA. solstitialis when administeredper os in the laboratory, but was not infective to larvae ofMelolontha hippocastani by this route. A large mermithid nematode was found parasitising 10% of theA. solstitialis larvae at one site andHeterorhabditis bacteriophora was found infecting larvae at the other.
Résumé Des populations deAmphimallon solstitialis (Col.: Scarabaeidae) ont été échantillonnées dans deux prairies distinctes près de Darmstadt (Allemagne) et se sont révélées infestées par des maladies et des nématodes parasites. Plusieurs larves dans chaque site étaient infectées par la maladie laiteuse etBacillus popillae, type A1 a été isolé comme étant l'agent responsable. La bactérie infeste facilement des larves saines deA. solstitialis quand elle est administrée par voie orale au laboratoire mais n'a pas d'effet infectieux pour les larves deMelolontha hippocastani par cette même voie. Un grand nématode mermithide a été trouvé parasite de 10% des larves deA. solstitialis sur un seul site, mais comme seuls les jeunes ont été trouvés, la détermination à l'espèce n'a pu être faite.Heterorhabditis bacteriophora était responsable de l'infection de 1,5% des larves sur seulement un site. Plusieurs larves deA. solstitialis présentaient une couleur ambrée, identique à celle trouvée sur le scarabéeCostelytra zealandica infecté parSerratia spp., et ne se nourrissaient pas de carotte au laboratoire. Les bactéries isolées à partir de ces larves ne provoquent aucun effet visible quand elles sont données en nourriture à des larves saines.
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16.
Five strains of the entomopathogenic fungusMetarhizium anisopliae (Metschnikoff) Sorokin were bioassayed against the coffee berry borerHypothenemus hampei (Ferrari) (Coleoptera: Scolytidae) under laboratory conditions (T=27±2°C; R.H.=90±5% and 12∶12 L∶D light cycle). The LC50 values for the three most virulent strains, Ma4, Ma5 and Ma3, were 4.2, 5.9 and 6.7×106 conidia/ml of suspension respectively and median lethal times (LT50) observed were between 9.7 and 13.8 days. The maximum percentage sporulation was obtained with strains Ma3 and Ma4 both with 90% sporulation and Ma10 with 60.7%. These results suggest that the fungusM. anisopliae could be incorporated into an integrated control programme for the biological control ofH. hampei.
Résumé Cinq souches du champignon entomopathogèneMetarhizium anisopliae (Metschnikoff) Sorokin, ont été évaluées dans les conditions du laboratoire, pour mesurer leur activité vis-à-vis du scolyte des fruits du caféierHypothenemus hampei (Ferrari) (Coleoptera: Scolytidae). Les résultats montrent que les souches Ma4, Ma5 et Ma3 sont les plus virulentes contreH. hampei, avec des valeurs de concentration létale moyenne (CL50, valeurs minimales et maximales, ± limite de confiance à 95%) de 0,0226 (0,0195–0,00260), 0,0328 (0,0267–0,0390) et 0,0354 (0,0297–0,0417) équivalentes à 4,2, 5,9 et 6,7×106 conidies/ml de suspension et un temps létal moyen (TL50) entre 9,7 et 13,8 jours. Les pourcentages maximaux de sporulation ont été obtenus avec les souches Ma3 et Ma4 avec 90%, la souche Ma10 présentant le pourcentage le plus bas de sporulation (67%). Ces résultats démontrent queM. anisopliae peut être introduit dans un programme de lutte intégrée contreH. hampei.
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17.
Résumé élevé à 26°C, 80% HR et sous une photopériode de 16 h, la durée des stades d'Aeolothrips intermedius Bag. est la suivante lorsque la proie estThrips tabaci: L1 2 jours, L2 6 jours, pronymphe 16 jours, nymphe 3, 4 jours. Les larves sont d'excellentes prédatrices, elles piquent leur proie au thorax puis la vident par une piq?re à l'abdomen. Elles tuent plus de proies qu'elles n'en consomment. 3 jours après la 1re mue la larve tisse un cocon soyeux, sécrétion probable des tubes de Malpighi. L'adulte sort du cocon et doit consommer des tissus floraux pour atteindre sa maturité sexuelle. La fécondité moyenne de la femelle est de 29 œufs avec un maximum de 70. Ceux-ci, généralement isolés, sont insérés dans le tissu des nervures foliaires. Les proies peuvent être des thysanoptères, des acariens, des aleurodes, des psylles mais pas des aphides. On observe 3 ou 4 générations dans la région de Montpellier.
Summary Aeolothrips intermedius Bag. when reared at 26°C. 80% RH. 16/24 photoperiod, on larvae ofThrips tabaci Lind. has the following duration of the various instars: 1st instar larva 2 days, 2nd 6 days, prepupa 1,6 days, pupa 3,4 days. The 2nd instar larva spins its cocoon alongside the foliar rib of the plant. Adults hatch and need to feed on flowers to reach sexual maturity. The average fecundity of the females is 29 eggs with a maximum of 73. Eggs are laid into the tissues of the foliar rib. Young larvae kill more prey than they feed upon. Three or 4 generations were observed in the field near Montpellier. Parthenogenesis may occur.
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Résumé Une polyédrose nucléaire de la tordeuse de la pelure,Pandemis heparana Denis & Schiffermuller (Lep.: Tortricidae) due à un baculovirus isolé dans un verger de pommiers en France est étudiée. Le baculovirus, uniquement actif sur les larves nouvelles nées, induit un arrêt de développement des larves au stade L3 et une mortalité ultérieue des larves aux stades L5 et L6. L'étude en microscopie optique et en microscopie électronique des larves L5 et L6 présentant des sympt?mes très prononcés de la viroise (début de paralysie et couleur blanchatre des segments abdominaux) montre que c'est essentiellement le tissu adipeux et accessoirement certains hémocytes et quelques cellules de l'hypoderme qui sont le siège de la multiplication virale. La morphogénèse virale dans les cellules du tissu adipeux est décrite en détail. Certains aspects de l'étude ultrastructurale liés à la forme en massue des virions, au processus de cristallisation des polyèdres et à l'accumulation de masses fibrillaires viro-induites sont discutés.
Summary A nuclear polyhedrosis virus infecting the torticidPandemis heparana Denis & Schiffermuller, collected in an apple-orchard in France was isolated and studied. The baculovirus is active only in the newly hatched larvae. It induces a delayed arrest of development in the L3 larvae and subsequently the death of L5 and L6 larvae. Study by light and electron microscopy of L5 and L6 larvae exhibiting very marked symptoms of the virus disease (early stages of paralysis and whitish colour of abdominal segments) shows that the site of multiplication of the virus is mainly located in the fat body cells and occasionally in some hemocytes or hypoderm cells. Virus morphogenesis within the fat body cells is described in detail. Some aspects of the ultrastructure such as clubbed virions, process of crystallization of polyhedral bodies and clumps of fibrous material induced by the virus, are discussed.
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19.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

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La localisation des ?ufs et des larves dePsyllaephagus euphyllurae SILV. endoparasite du psylle de l'olivier (Euphyllura olivina COSTA) ainsi que le régime alimentaire de la phase post-embryonnaire sont identifiés par examen microscopique des coupes histologiques de larves de 5c stade parasitèes. L'entomophage dépose les 2/3 de ses ?ufs dans le thorax et son régime alimentaire comprend 2 phases bien distinctes:
  • - une première phase stéatophage de 7 à 7,5 jours pendant laquelle la larve ingère le tissu adipeux de l'hôte,
  • - une deuxième phase sarcophage de 1 à 1,5 jours au cours de laquelle la larve dePsyllaephagus euphyllurae fortement mandibulée consomme tous les organes de l'hôte à l'exception des téguments qui sont alors momifiés.
  • Pendant la 1ère période, la digestion commence à être visible chez une larve âgée de 3 jours, et durant la 2ème période, elle suit l'ingestion des organes de l'hôte qui sont sous forme de fragments non reconnaissables dans le tube digestif moyen.  相似文献   

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