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1.
Apterous virginoparae of the vetch aphid, Megoura viciae Buckton, contain between 13 and 22 ovarioles, and show an interovariole gradation in embryonic development, which is a consequence of anterior ovarioles ovulating first. It persists throughout development and is a consequence of a delay in the onset of ovulation in the posterior ovarioles, rather than a loss of reproductive potential. Up to eight embryos are present in the ovarioles of adults, and there are interovariole differences in size of up to two times between the largest and smallest terminal embryos within individuals. Maternal weight and size of embryos were not significantly associated with the number of ovarioles. Embryos of a particular developmental stage were larger in big (heavy) than small aphids.
Résumé Le nombre d'ovarioles des M. viciae Buckton virginipares aptères varie de 13 à 22, quel que soit le poids de l'adulte. La taille de l'embryon ne dépend pas du nombre d'ovarioles. Des différences de taille et de développement des embryons comparables existent entre les ovarioles depuis le début de l'activité du termarium jusqu'au début de la reproduction. Les petits pucerons ont de plus petits embryons que les gros pucerons et le nombre d'embryons par ovariole augmente avec la taille jusqu'à un poids maximal. Les ovarioles antérieurs contiennent plus d'embryons bien développés que les ovarioles les plus postérieurs, par suite de l'ovulation plus précoce du germarium le plus antérieur.
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2.
The developmental periods from egg to adult of two stocks of the aphid parasite, Aphidius sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae), were determined under various constant and alternating temperature regimes. The relationship between temperature and rate of development for each of the two stocks under constant conditions was described satisfactorily by the logistic curve. Based on the constant temperature curves, comparisons showed that temperature alternations did not accelerate or decelerate rate of development in either stock. Further analysis indicated that rates of development at extreme temperatures were well described by the logistic curve.The data and subsequent analyses showed that (1) because of the curvilinear form of the relationship, durations of development can differ considerably between constant and varying conditions if comparisons are made using daily mean temperatures; (2) as a result, the development threshold and thermal constant estimated by a hyperbolic transformation of data referred to daily mean temperatures will vary with the amplitude and pattern of fluctuations; and (3) temperature relationships derived from laboratory data can be used safely to predict the development of insects in the field.
Résumé La durée du développement de l'oeuf à l'adulte de deux lignées d'A. sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae) a été déterminée en températures constantes et avec des thermopériodes. La courbe logistique a décrit correctement la relation entre la température et la vitesse de développement pour chacune des deux lignées en conditions constantes. En se basant sur les courbes à température constante, les comparaisons ont montré que l'alternance thermique n'accélère, ni ne ralentit le développement des lignées. Une analyse complémentaire a montré que le développement aux températures extrêmes était correctement décrit par la courbe logistique. Les données et les analyses consécutives ont montré: (1) que par suite de l'aspect curviligne de la relation, les durées de développement en conditions constantes et thermopériodiques peuvent différer considérablement si les comparaisons portent sur les températures quotidiennes moyennes; (2) qu'en conséquence, le seuil de développement et la constante thermique estimés par une transformation hyperbolique des données concernant les températures quotidiennes moyennes varieront avec l'amplitude et le mode de fluctuation; et (3) que les relations thermiques obtenues à partir des données de laboratoire ne peuvent être utilisées en confiance pour prédire le développement des insectes dans la nature.
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3.
Susceptible and insecticide resistant females of Blattella germanica (L.), Dictyoptera, were exposed to propoxur treated surfaces. They carried oothecae that were expected to hatch in 48 to 72 h. Hatch was delayed in females that retained their oothecae throughout the exposure period. Oothecal hatch and nymphal survival were reduced when oothecae hatched on a treated surface but not when oothecae were retained and hatched on an insecticide-free surface. Over half of the susceptible strain females dropped their oothecae during the exposure period while very few resistance females dropped oothecae prematurely. Mortality of susceptible females that dropped their oothecae was higher than among those that retained oothacea. A tendency in this direction was apparent among the few resistant females that dropped their oothecae. The number of nymphs that emerged on the treated surface and also that survived for 24 h was higher in the resistant than in the susceptible strain. Newly hatched nymphs were frequently attached to the oothecae due to an inability to shed the embryonic cuticle.
Résumé Des femelles de B. germanica, sensibles ou résistantes aux insecticides, ont été mises en présence de surfaces traitées au propoxure. Elles portaient des oothèques dont l'éclosion était attendue entre 48 et 72 h plus tard. Les éclosions ont été retardées, les femelles ayant conservé leurs oothèques pendant toute la période d'exposition. Lex taux d'éclosion des oothèques et de survie larvaire ont été normaux quand il y a eu rétention de l'oothèque et émission sur une surface saine, par contre ils étaient réduits quand l'oothèque a été émise sur une surface traitée. Plus de la moitié des femelles de la souche sensible ont laché leur oothèque pendant la période d'exposition tandis que très peu de femelles de la souche résistante ont abandonné leur oothèque prématurément. La mortalité était plus élevée chez les femelles sensibles qui ont perdu leur oothèque que chez celles qui l'avaient conservée. Une tendance du même type était décelable parmi les quelques femelles de la souche résistante qui perdirent leur oothèque. Le nombre d'écolosions de larves et le nombre de survies larvaires à 24 h étaient plus élevés dans la souche résistante que dans la souche sensible. Les larves néonates étaient souvent fixées à l'oothèque par suite de leur incapacité à se dépouiller de la cuticle embryonnaire.
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4.
Des relations sont recherchées entre les caractéristiques des grains de 58 variétés de riz paddy et leur sensibilité aux quatre principaux ravageurs primaires des stocks: Sitophilus oryzae, Sitophilus zeamais, Rhyzoperta dominica et Sitotroga cerealella. L'étude confirme la prépondérance de l'herméticité des glumelles comme facteur de résistance, et établit que les cassures mécaniques des enveloppes sont des voies de pénétration plus régulières que le défaut de coaptation entre lemma et palea. L'égrenage se révèle être un facteur de sensibilité à S. cerealella aussi déterminant que le défaut de fermeture des glumelles, car lié d'une part à la dureté du pédoncule par lequel les larves de cet insecte peuvent pénétrer, d'autre part au taux de casse des enveloppes provoqué par le battage plus ou moins intense qu'il nécéssite. S'agissant de riz non décortiqué, les caractéristiques des enveloppes expliquent pour une très large part la variabilité de la résistance aux insectes étudiés, dont le développement n'est que faiblement influencé par les caractéristiques propres du grain, tels le format ou la teneur en eau.  相似文献   

5.
Functions describing instantaneous development rates in constant and natural temperature regimes were obtained for pupae of the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina (Wiedemann). These were derived using a technique that directly calculates rate functions from development-time observations made under any temperature regime. The functions indicated similar instantaneous development rates for constant and natural temperatures up to 30°C. At 30° the constant-temperature function reached a plateau which was maintained to the constant-temperature thermal limit. The natural-temperature function, however, continued its ascending phase to 34°, and then fell sharply to zero at 42°.The median survival temperatures of pupae for single 7-h exposures, daily 7-h exposures, and continuous exposures to high temperatures were 44.7, 39.2, and 34.4°, respectively. Development was completed at constant 15° but not at 10°. Median survival times at constant 10, 5, 0 and-5° were 4.3, 4.2, 2.5 and 1.5 days. Mortality was slight for single or daily 7-h exposures to-5°, but was complete for all except brief single exposures to-10°.
Influence des températures constantes et de la thermopériode sur le taux de développement et la survie des pupes de Lucilia cuprina
Résumé Des fonctions associant les taux de développement aux températures en conditions constantes et en thermopériodes naturelles ont été établies pour les pupes de L. cuprina. La fonction pour les conditions naturelles décrit les taux de développement immédiat-c'est-à-dire les taux de développement existant en réponse à la température pour chaque laps de temps (en réalité, pour un court intervalle), plutôt que le taux moyen pour une gamme de températures. La fonction pour les températures constantes décrit à la fois les taux de développement instantané et moyen (ceux-ci étant équivalents, en ne supposant pas de réponses spécifiques suivant l'âge en conditions constantes). Les fonctions ont été dérivées en utilisant une technique qui calcule directement les fonctions des taux à partir des observations sur les durées de développement faites dans chaque condition de température.Les fonctions ont révélé des taux de développement instantanés semblables pour les températures jusqu'à 30°C. A 30°C la fonction pour la température constante a atteint un plateau qui s'est maintenu jusqu'à la limite thermique. La fonction pour les thermopériodes naturelles a continué de s'élever jusqu'a 34°C, et alors a chuté brutalement jusqu'à zéro à 42°C. Dans la région d'où les lots de pupes ont été obtenus les températures subies par les pupes dans les zones non ombragées dépassent fréquemment 50°C pendant l'été. Les taux de développement des pupes aux températures au dessus de 30°C, où les fonctions avec températures constantes et thermopériodes deviennent différentes, sont cependant cohérent avec les expériences dans la nature avec L. cuprina. Les températures médianes de survie des pupes pour une exposition unique de 7 h, pour des expositions quotidiennes de 7 h et pour une exposition constante à haute température étaient respectivement de 44,7; 39, 2 et 34,4°C. Par comparaison avec des températures estivales du sol de 50°C et plus, il semble vraisemblable que la mortalité nymphale est un facteur important de déclin des populations de L. cuprina au milieu de l'été.
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6.
Adult female Blattella germanica (L.) (Dictyoptera: Blattellidae) carrying oothecae were confined in cages with bait formulations of boric acid or hydramethylnon at 90% r.h. and either 20° or 28° C until all had been killed. Females poisoned by hydramethylnon retained their oothecae at death, while a considerable proportion of those killed by boric acid deposited their oothecae prematurely. Oothecae from both groups of insects were monitored until they either hatched or lost viability. Oothecae from both 7–14 day old adults and 14–21 day old adults poisoned with hydramethylnon showed reduced hatching relative to controls at 20° but not at 28 °C, an effect attributed to premature loss of water-exchange between oothecae and female adult during the maturation process. Fewer oothecae hatched from females poisoned with boric acid at both temperatures, and the proportion of those which did hatch was higher in the group retained by the female at death than in the group prematurely deposited. These results for the boric acid-treated females and results which showed no significant difference between the hatch of oothecae from hydramethylnon-treated females and decapitated females suggested that transfer of insecticide from treated female to oothecae was not important in reducing hatch for either compound. Reinfestation as a consequence of the failure of conventional blatticides to prevent hatching of oothecae carried by female B. germanica is discussed.
Résumé Des femelles adultes de B. germanica, maintenues à 20° ou 28° C et 90% HR, ont été exposées, 7 à 14 jours ou 14 à 21 jours après l'émergence à des appâts contenant de l'hydraméthylnone ou de l'acide borique. Empoisonnées par l'hydraméthylnone les femelles retiennent leur oothèque jusqu'à la mort, tandis que empoisonnées par l'acide borique, elles déposent leur oothèque prématurément. Toutes les oothèque des femelles empoisonnées ont été maintenues dans les mêmes conditions écologiques jusqu'à ce qu'elles éclosent ou se révèlent non viables. Avec l'acide borique, une réduction des naissances a été observée pour les oothèques des mères des 2 classes d'âges et aux 2 températures, ce qui n'a eu lieu qu'à la température basse avec l'hydraméthylnone. L'effet ne semble pas dû au transfert de l'insecticide de la femelle à l'oothèque et est plus probablement provoqué par la fin des échanges d'eau entre la mère et l'oothèque, à la mort ou lors de l'émission prématurée. Pour les femelles traitées à l'acide borique, la proportion d'éclosion d'oothèques est plus importante chez les femelles ayant retenu leur oothèque jusqu'à la mort que chez celles qui les ont émises prématurément. Les femelles empoisonnées lors d'opérations d'éradication peuvent mourir ou déposer leurs oothèques loin des zones traitées; les larves éclosant de ces oothèques peuvent maintenir la contamination.
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7.
Host-specific development and survival rates were measured and population parameters computed for both a wild and a laboratory strain of the oriental fruit fly (Dacus dorsalis Hendel) in Hawaii. Gross fecundities of the wild and laboratory strains were 241 and 1551 eggs per female, respectively. Egg to eclosion developmental rates were 27 days for the wild strain and 24 days for the laboratory strain. The preovipositional period of the wild strain was 19 days compared to 9 days in the laboratory strain.Differences of this magnitude in fecundity and developmental rates between laboratory and wild strains have not been observed in other recent demographic studies of tephritids. The results suggest that the laboratory strain of the oriental fruit fly may have undergone more intense selection than laboratory strains of the other species.
Résumé Pour deux souches, l'une sauvage, l'autre de laboratoire, de D. dorsalis de Hawaï, les mesures ont porté sur la durée de développement et le taux de survie, les paramètres caractéristiques de la population ont été traités sur ordinateur. Pour les souches sauvage et de laboratoire, les fécondités brutes ont été respectivement de 241 et 1551 oeufs par femelle. Les durées de développement larvaire et nymphal ont été de même de 27 jours pour la souche sauvage et de 24 j pour celle de laboratoire; les périodes de latence avant la ponte ont été de 19 j pour la souche sauvage contre 9 j pour celle de laboratoire.Jamais de telles différences de fécondités et de durées de développement entre souches sauvages et de laboratoire n'avaient été observées lors des études récentes sur des téphritidae. Ces résultats suggèrent que la sélection subie par la souche de laboratoire de D. dorsalis été plus intense que celles subies par d'autres espèces.
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8.
Entomopoxviruses (EPV) are currently being considered as candidate grasshopper (Orthoptera: Acrididae) microbial control agents. Classical techniques for diagnosing infections in grasshoppers are laborious, time consuming, and sometimes inaccurate. Specific murine monoclonal antibodies were developed against an EPV from Melanoplus sanguinipes (Fab) for use in a nitrocellulose-based enzyme-linked immunoassay (dot-blot). An IgG2b monoclonal antibody was used to diagnose infections in grasshoppers 13 days following injection with virions. Of 25 grasshoppers that had patent infections microscopically, 22 produced positive results on the dot-blot. In a second test, 39 patently infected grasshoppers all produced positive results. Seven additional grasshoppers in the first test and 2 in the second test gave positive reactions in the dot-blot method but virus was not detected upon microscopic examination. The monoclonal antibody did not cross-react with other commonly occurring grasshopper pathogens. The dot-blot method detected as few as 2.5×106 purified EPV virions. The improvement over existing detection techniques should facilitate evaluation of EPV for field use.
Prodution et caractérisation partielle d'anticorps monoclonaux pour la détection d'entomopoxyvirus de Melanoplus sanguinipes
Résumé Les criquets sont très nuisibles aux pâturages de l'Ouest des USA et du Canada. Les méthodes classiques de protection sont basées sur les traitements chimiques lors des pullulations. Un entomopoxvirus (EPV) extrait de M. sanguinipes est généralement considéré comme un outil, pour le contrôle des populations sur une longue période, en vue de la suppression des criquets. Les méthodes actuelles d'isolement de EPV sont longues, pénibles et peu fiables. Les tests d'adsorption des antigènes sur l'anticorps fixé et le dosage per l'anticorps enzymatiquement marqué sont efficaces, sûrs et donnent à temps des résultats pour déceler des entomopathogènes. Nous avons produit des anticorps monoclonaux de souris contre EPV de M. sanguinipes, et les avons utilisés dans des dosages immunoenzymatiques d'extraits protéiques adsorbés sur nitrocellulose. Les EPV sont recherchés sur des criquets injectés de virions 13 jours avant. Sur 25 criquets qui présentaient des infections nettes lors d'examens microscopiques, 22 ont donné des résultats positifs par sérologie. Dans un second test, sur 38 criquets nettement contaminés, tous ont donné des résultats positifs; 7 criquets suppl'ementaires mentaires dans le premier test et 2 dans le second test ont donné des résultats positifs en sérologie alors que l'examen microsopique n]avait pas test ont donné des résultats positifs en sérologie alors que l'examen microsopique n'avait pas révélé de virus. Ceci montre que ce type de détection est plus sûr que la méthode ordinaire. Les anticorps monoclonaux ne donnent pas de réactions avec les autres pathogènes courants des criquets. La méthode sérologique a permis de détecter même une concentration de 2,5×106 virions EPV.
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9.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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10.
The number of ovarioles in female Musca vetustissima (potential fecundity/ovarian cycle) is positively correlated with fly size (headwidth) and potential fecundity does not vary between successive ovarian cycles. Field females of average headwidth (2 mm) have a mean potential fecundity of 25 eggs/cycle. Females are anautogenous, needing to ingest protein-rich material in order to mature their oocytes. Females that obtain insufficient protein material for maturation of full egg complements may cease ovarian development before or during early vitellogenesis, or resorb some of their oocytes and mature the remainder. Field females consistently matured in excess of 85% of their egg complements, indicating that female M. vetustissima have ready access to protein-rich material in the field.
Résumé Le nombre d'ovarioles des Musca vetustissima femelles (fécondité potentielle/cycle ovarien) est lié directement à la taille de la mouche (largeur de la tête); la fécondité potentielle ne varie pas entre les cycles ovariens successifs. Les femelles de la nature, d'une largeur de tête moyenne (2 mm) ont une fécondité potentielle moyenne de 25 oeufs par cycle. Les femelles anautogènes, ont besoin d'un repas riche en protéines pour produire des oeufs mûrs. Les femelles qui n'obtiennent pas la quantité suffisante de protéines pour permettre la maturation d'un lot complet d'oeufs peuvent interrompre leur développement avant ou pendant le début de la vitellogenèse, ou résorber certains ovocytes tout en conduisant à maturité le reste. Les femelles de la nature conduisent a maturité 85% de leurs lots d'oeufs, montrant ainsi que les femelles de M. vetustissima y ont un accès facile à des aliments riches en protéines.
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