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1.
The relative importance of three factors-mating, nutrition, and crowding-in regulating the reproductive biology of Dysdercus fasciatus Signoret, D. nigrofasciatus Stål and D. cardinalis Gerst. was studied under standard laboratory conditions. Observations on mated and virgin females of these three species of Dysdercus showed that there were no significant differences in pre-oviposition period and inter-oviposition period. In D. fasciatus and D. nigrofasciatus there was, further, no significant difference in the rate of oocyte development; but D. cardinalis differed from these two species in that mating had a profound effect on the rate of oocyte development and consequently on the first oviposition. However, in all three species of Dysdercus mating had a significant effect on the number of eggs produced in each batch, the egg batches of mated females being significantly larger than those produced by virgin females. Further, in both D. fasciatus and D. nigrofasciatus virgin females lived longer than mated females but in D. nigrofasciatus mating had no significant effect on adult longevity. Mating activity was drastically reduced in starved adult bugs. But where it occurred under these conditions, mating did not have any effect on the development of the oocytes, even in D. cardinalis. Under starvation conditions, growth proceeded up to the stage where yolk deposition would normally occur, then stopped; the oocytes showed no signs of degeneration or oosorption. Crowding of female adults led to the acceleration of oocyte development and the onset of oviposition in all three species. These findings are discussed in relation to the known field biology of the three Dysdercus species.
Résumé La biologie de la reproduction de 3 espèces de Dysdercus du Kenya a été étudiée au laboratoire. Des 3 espèces, D. fasciatus Signoret présente les périodes les plus courtes de pré-copulation et de pré-oviposition. Puisque cette espèce est inféodée à un relativement petit nombre de plantes-hôtes, qui ont une courte saison de fructification procurant alors une ample source de nourriture, elle tire un avantage maximum de la brièveté de cette période favorable, grâce à la réduction des phases de pré-copulation et de pré-oviposition.Par contre D. nigrofasciatus Stål est adaptée à un très grand nombre de plantes hôtes et pour elle il n'est pas indispensable d'avoir une très grande capacité de reproduction. Cela s'applique encore mieux à D. cardinalis Gerst. qui a une plus longue période de pré-copulation et de pré-oviposition. Cette espèce préfère les plantes qui sont dispersées sur une grande superficie et cela exige une longue période de vol exploratoire avant de s'alimenter et de se reproduire.Chacune de ces 3 espèces s'accouple de façon presque continue, mais les observations faites au laboratoire montrent que l'accouplement n'a aucun effet notable sur la longévité des adultes, sur la durée des phases de pré-oviposition ou d'inter-oviposition et sur le nombre total d'ufs pondus chez D. fasciatus et D. nigrofasciatus. Chez D. cardinalis, au contraire, l'accouplement a un effet important sur la vitesse de croissance des ovocytes, mais non sur les autres aspects de la reproduction évoqués ci-dessus.Le rassemblement en masse des femelles adultes accélère le développement des ovocytes et déclenche la ponte dans chacune des 3 espèces de Dysdercus.L'alimentation a un effet sur le développement des ovocytes. De jeunes femelles adultes doivent être alimentées pendant au moins 3–4 jours avant de déposer leur première ponte. Après chaque ponte une alimentation plus abondante est encore nécessaire pour assurer le maintien de la production d'ufs. Les femelles de chacune des 3 espèces peuvent survivre avec de l'eau pure mais leurs ovocytes arrêtent leur développement au stade où normalement se dépose le vitellus, mais ils ne sont pas résorbés.
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2.
Short day-length and relatively low temperatures (LD 10.5 : 13.5, 26° during illumination, 13° during darkness) induced mating behaviour and terminated aestival reproductive diapause in males of the grasshopper Oedipoda miniata. Long days and high temperatures (LD 16 : 8, 38° during illumination, 27° during darkness) maintained sexual inactivity and diapause. Repeated changes of these conditions terminated, reinduced, reterminated and reinduced again diapause in the same males. An endogenous trend to complete diapause development and terminate diapause does not seem to exist in the males of this grasshopper; their reproductive diapause may be regarded as rather primitive.
Résumé Les jours courts et les températures relativement basses (J/N; 10,30/13,30; 26°/13°) induisent le comportement sexuel et achièvent la diapause reproductrice estivale des mâles de l'Acridien Oedipoda miniata. Les jours longs et les températures élevées (J/N; 16/8; 38°/27°) inhibent l'activité sexuelle et provoquent la diapause.Des changements répétés de ces conditions achèvent, réinduisent, achèvent à nouveau et réinduisent à nouveau la diapause chez les mêmes mâles. Une tendance endogène pour achever le déroulement de la diapause et terminer la diapause ne semble pas exister chez les mâles de cette espèce, leur diapause reproductrice peut être considérée comme plutôt primitive.
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3.
Résumé L'incubation des oeufs d'Archanara sparganii, Esper (Lepidoptera: Noctuidae) s'étend sur 8 à 9 mois dans les conditions naturelles. Elle est temporairement interrompue par une diapause qui intervient à un stade précoce de l'embryogénèse et se prolonge de l'été à la fin de l'hiver. Au laboratoire, l'incubation est néanmoins possible à température constante entre 8 et 21 °C. Une étude expérimentale a montré que l'intensité de la diapause s'accroît lorsque la température en début d'incubation est portée pendant 15 jours de 11 °C à 15 °C et 21 °C. Aucun des modèles expérimentaux faisant intervenir la température n'a permis d'éviter totalement la diapause. La durée de celle-ci a néanmoins été réduite des trois quarts dans certaines circonstances, rendant possible l'éclosion des larves avant l'hiver. Ces résultats servent à interpréter les altérations du cycle biologique du nord au sud de la distribution d'A. sparganii. La perte rapide de réceptivité de Typha spp. à l'égard des larves jeunes justifie par ailleurs une entrée en diapause précoce de l'espèce sous climat méditerranéen.  相似文献   

4.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

5.
Topical application of JHA to Spodoptera littoralis larvae extends the duration and increases the final weight of the last larval instar. No supernumary moults occur. Respiration decreases to very low levels and glycogen and lipid stores increase. Respiration remains lower in JHA-treated pharate pupae and more polyunsaturated C18 fatty acids accumulate than in normal pharate pupae. These physiological parameters are similar to those occurring during diapause but are not definitive. Diapause has not been reported in field populations of S. littoralis, nor it's artificial induction by photoperiodic manipulation.
Résumé Le dernier stade des chenilles de Spodoptera littoralis, traitées avec JHA, est nettement prolongé par rapport aux témoins. Bien que le poids final des chenilles traitées soit plus élevé que celui des témoins, il n'y a pas de mue surnuméraire. Ces chenilles géantes s'alimentent rarement et leur respiration est sérieusement réduite. Les réserves de glycogène s'accumulent chez les chenilles traitées à la même date chronologique que chez les prénymphes non traitées. Bien que les prénymphes traitées à la JHA conservent leur profil biochimique juvénile — tout au moins dans la mesure où on considère la teneur en glycogène et en lipides totales — leur composition en acides gras saturés et non saturés diffère de celle normalement rencontrée à la fin du développement larvaire, et beaucoup plus d'acide oléique monosaturé s'accumule finalement chez les insectes traités par JHA. Ces résultats suggèrent que la JHA fournie peut avoir provoqué un état de développement de diapause naissante semblable par quelques traits fondamentaux à celle induite par la JH endogène chez les insectes enclins à la diapause. Il est cependant prématuré de définir cet état physiologique comme indiquant une vraie diapause chez Spodoptera littoralis.
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6.
To measure the progress of diapause termination in December and March and the difference in diapause intensity between populations from two altitudes, Coccinella septempunctata adults were exposed to 25° and to photoperiods 18L:6D or 12L:12D and the oviposition was recorded.In early December, C. septempunctata females from 600 m had the pre-oviposition period 1/3–2/3 shorter than the population from 1500 m. It was shorter under long day and in injured coccinellids under short day than in intact insects under short day. In mid-March the pre-oviposition period was considerably shorter, both after the hibernation outdoors and under 15°, indicating thus that diapause was over in almost all females. Photoperiodic response in post-diapause insects was shown by a gradual halt of oviposition after a decrease in daylength.In contrast to pre-oviposition of C. septempunctata, the pre-pupal period of Perilitus coccinellae did not get shorter between December and March.
Résumé En vue d'apprécier l'intensité de la diapause et son état d'avancement au cours du temps, en fonction des conditions d'hivernage, deux populations de Coccinella septempunctata sont récoltées dans le sud-ouest de la France, l'une à 600 m d'altitude, l'autre à 1512 m. Les insectes sont prélevés, d'une part, au milieu de la période d'hivernation (2 décembre), d'autre part, en fin de cette période (20 mars). Ils sont soumis à des photopériodes longues (18 L:6D) ou courtes (12 L:12D), dans des conditions de température de 25°, et on compare le délai nécessaire pour obtenir la ponte (période de pré-oviposition). Certains lots ont subi une mutilation, à titre expérimental: section des ailes postérieures.Chez les insectes prélevés début décembre, la durée de la période de pré-oviposition est de 1/3 à 2/3 plus courte pour la population de plaine hivernant à 600 m d'altitude. L'activation est plus rapide en jours longs (18h de photophase); elle est aussi plus rapide chez les coccinelles mutilées que chez des femelles indemnes, lorsqu'elles sont placées en jours courts.Chez les insectes prélevés en mi-mars la période de pré-oviposition est beaucoup plus courte; il en est de même chez des insectes prélevés en décembre mais maintenu en hibernation artificielle au laboratoire à une température de 15° et à l'obscurité. Des femelles réactivées en jours longs se révèlent sensibles dès l'achèvement de la diapause à une réduction de la photopériode qui provoque un arrêt progressif de la ponte.En contraste avec les variations observées dans la durée de la période de pré-oviposition chez les coccinelles réactivées en décembre ou en mars, la période de pré-émergence de leur parasite Perilitus reste la même et n'est pas plus courte en mars qu'en décembre.


Dedicated to Prof. Dr. Jan de Wilde, Wageningen, on the occasion of his 60th birthday.  相似文献   

7.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

8.
Olives of three varieties were oviposited in by females ofDacus oleae. A few hours or a day later, they were treated with streptomycin sulphate in tap water.Immersion for 20 and 120 min in 0.3 and 1% streptomycin sulphate of Koutsourelia olives inhibited larval growth in most fruits, while for 0.2 min it did not. Immersion at 30°C caused generally more inhibition than at 20°.In Koutsourelia and Megaritiki olives, the addition of 0.1, 0.3, and 1% K2HPO4 or 0.7 and 2% glycerol at 22°–23°, did not cause significantly more inhibition.Topical application of drops of 1% streptomycin sulphate to Megaritiki and Konservolia olives was inhibitory only when the drop covered the oviposition hole.
Résumé Des olives de trois variétés ont été collectionnées à des dates différentes d'août à octobre 1972 et 1973, et ont reçu des ufs deDacus oleae (Gmelin). Quelques heures ou un jour après la ponte, les olives furent traitées à 0,3 et 1% de sulfate de streptomycine dans l'eau, avec ou sans Agral 90 (un produit dispersant-mouillant).Les olives de la variété Koutsourelia, recoltées au début d'octobre 1972, ont été immergées pendant 0,2, 20 et:120 minutes dans des solutions aqueuses de sulfate de streptomycine contenant 0, 0,3 et 1% de l'antibiotique, et cela à deux températures (20° et 30°). Une immersion brève de 0,2 minutes n'était pas assez longue pour inhiber le développement larvaire dans la plupart des fruits, sauf si on ajoutait l'Agral 90. Sans Agral 90 une immersion de 20 minutes fut approximativement aussi effective que celle de 120 minutes. A 30°, une solution à 0,3% de sulfate de streptomycine fut presque aussi effective que celle à 1%. En général, l'inhibition du développement larvaire à 30° fut plus grande qu' à 20°.Des fruits de la même variété furent immergés momentanément, où pendant 20 et 60 minutes dans des solutions de 0,3 et 1% de sulfate de streptomycine, avec ou sans K2HPO4 (0,1, 0,3 et 1%) ou 0,7 et 2% glycerine, à une température de 22°–23°. Le développement larvaire fut inhibé dans un grand pourcentage des fruits traités, sans différences significatives entre les traitements, à l'exception d'un cas d'immersion momentanée. Les résultats avec des olives d'une autre variété, Megaritiki, recoltées à mi-septembre, furent, en général, à peu près les mêmes.D'autres olives ont reçu des gouttes de 1% de sulfate de streptomycine. Le développement larvaire fut inhibé dans un pourcentage élevé des fruits, 1) quand une goutte de solution a été placé sur le trou de ponte et 2) quand le fruit entier a été immergé dans la solution qui contenait aussi l'Agral 90 (traitement de référence). Quand l'entrée du trou de ponte était paraffiné, quand les gouttes étaient placées quelques mm vens l'apex du fruit ou autour du trou et quand la moitié du fruit ne contenant pas le trou fut immergée dans la solution de streptomycine, le développement larvaire ne fut sensiblement pas inhibé. De même il n'y eut pas d'inhibition nette du développement larvaire quand les olives étaient en contact continu avec du coton saturé avec 1 et 5% de sulfate, de streptomycine.
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9.
Temperature has no significant effect in inducing diapause in B. fusca larvae. Lower temperature than the optimum, however, delayed larval growth but induced no diapause.Diapause in B. fusca was induced largely by the state of maturity and composition of food taken by the larvae. The incidence of diapausing larvae increased with the maturity of the food plants in which larvae were feeding. The carbohydrate, protein and water content of the type of food plants were probably the critical elements associated with the induction of diapause.
Résumé Deux facteurs, la température et la nourriture, ont été étudiés expérimentalement en laboratoire, quant à leur rôle dans le déclenchement de la diapause larvaire de B. fusca.Les résultats montrent, bien que la température de 23°C n'induit pas la diapause, que le développement est cependant retardé. A 28° et 30° la croissance est plus rapide et les larves se nymphosent après 5 à 6 mues.La diapause est largement induite par l'état de maturité et la composition de la nourriture prise par les larves. Le plus faible pourcentage de diapause (24%) s'observe chez des larves nourries avec du maïs âgé de 6 à 9 semaines, tandis que ce pourcentage atteint 76%, 88% et 91% chez des larves nourries respectivement avec des plants de maïs âgés de 8–11, 10–13 et 12–15 semaines.On a aussi établi que les teneurs en hydrates de carbon, en protéïne et en eau, du type de plantes utilisées, étaient probablement les facteurs critiques intervenant dans le délenchement de la diapause.
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10.
Conclusions Sur la côte méditerranéenne française, entre l'Ouest de Sausset (dans la Chaîne de la Nerthe à l'Ouest de Marseille) et la frontière italienne existe un étage climacique exigeant plus de chaleur que le Quercetum ilicis: l'Oleo-Ceratonion.Eliminé de la dépression rhodanienne par des hivers trop froids en rapport avec la fréquence du mistral qui la balaie fréquemment, ce climax débute sur la côte Sud de la Nerthe où il se localise, comme aux Iles du Frioul et dans les calanques entre Marseille et Cassis, dans quelques fonds de vallons particulièrement chauds.En Provence cristalline, avec un climat plus humide et plus chaud, surtout moins froid en hiver avec des minima absolus moins bas, ce climax se développe davantage, mais les maquis à Myrte, Olivier, Lentisque sous Pin d'Alep qui les représentent, se localisent encore strictement sur le littoral, et dans les fonds de vallons chauds du versant Sud des Maures occidentales où ils atteignent 100, 200 m et plus d'altitude.Dès le Cap Bénat et le Lavandou s'ajoutent des vastes peuplements à Euphorbia dendroides qui étendent le domaine actuel de l'Oleo-Lentiscetum aux pentes rocheuses qu'iis colonisent jusqu'à plus de 300 m d'altitude.La localisation stricte de l'Oleo-Lenticetum entre la bordure halophile et 20–30 m d'altitude seulement aux Iles d'Hyères beaucoup moins dégradées que la côte voisine des Maures, montre que ce climax côtier ne doit son extension actuelle jusqu'à plusieurs kilomètres vers l'intérieur et plus de 300 m d'altitude dans les Maures qu'à une progression récente en rapport peut-être avec un assèchement général du climat, certainement avec le recul, par destruction, des Chênaies de Chêne vert ou de Chêneliège.Dans l'Estérel, l'Oleo-Ceratonion sensu stricto—avec Ceratonia et Euphorbia dendroides—apparait et prend son plein développement entre Nice et Menton, de 0 à 300 m d'altitude.Les limites de ce climax et sa composition floristique sont à préciser en Italie où il doit être mieux représenté dans la partie Sud de la péninsule que plus au Nord où je l'ai vu entre Gênes et le Nord de Rome.C'est à cet étage climacique sous-jacent à celui du Quercetum ilicis que se rattachent les maquis littoraux à Myrte, Olivier, Lentisque, Laurier-rose de Corse où ils atteignent un développement plus considérable qu'en France continentale.L'Oleo-Ceratonion a servi de refuge, lors des dernières grandes glaciations, à de nombreuses espèces dont il a permis le maintien à l'état spontané sur le territoire français. Et c'est peut-être la raison principale de la richesse de certains territoires côtiers de la France méditerranéenne en endémiques. Là peuvent très bien avoir persisté à l'état spontané en particulier l'Olivier, le Laurier-rose, le Caroubier, la Vigne, le Figuier. De là, le Pin d'Alep est peut être parti pour s'étendre largement en Provence et en Languedoc.L'Oleo-Ceratonion au sens large s'étend, toujours en dessous de l'étage du Quercetum ilicis, depuis l'étage semi-aride d'Emberger à l'étage humide c'est-à dire essentiellement dans tout l'étage méditerranéen sub-humide (tempéré) défini par cet auteur. Il est probable qu'aux limites inférieures de cette aire de répartition il passe à d'autres associations affines mais différentes (en Afrique du Nord). L'Oleo-Ceratonion se cantonne dans les régions méditerranéennes à hivers chauds (m > 3 ou 4°) de la Côte d'Azur et de la Corsé, en France; il laisse au Quercetum ilicis, les parties de la région méditerranéenne où la movenne m des minima du mois le plus froid descend largement au-dessous de + 3° ou + 4°.Ce sont probablement ces exigences thermiques qui expliquent la continuité de plus en plus grande des peuplements à Myrte-Olivier-Lentisque, et leur extension altitudinale croissante lorsqu'on gagne de Marseille vers la frontière italienne. Sans doute faut-il considérer tous ces peuplements comme des irradiations, des infiltrations d'un climax de régions chaudes normalement plus méridionales que le Sud-Est méditerranéen français dans lequel, à l'origine—post-glaciaire tout au moins—ils n'ont été conservés qu'en un petit nombre de stations particulièrement favorables d'où ils sont partis pour étendre à nouveau leur aire.L'existence de ce climax justifierait que soit distingué un district ligurien ou pré-ligurien comme le proposait A. Chevalier (1916–18) après Flahault pour la zone à Oleo-Ceratonion, mais en étendant ce district vers l'Ouest, suivant l'étroite bande côtière où, jusqu'à l'Ouest du port de Sausset — à l'Ouest de Marseille — cette Alliance est représentée.  相似文献   

11.
Summary 1. In the teleostTilapia mossambica (Peters), new crops of oocytes arise from nests of cells of the germinal epithelium as well as from the epithelial strands ramifying into the ovocoel.2. There is no evidence to indicate that degenerating follicle cells form a source for a new crop of oocytes.3. After one spawning is over, the follicular layer of the mature unspawned ova alone undergo atresia.4. Neither immature oocytes nor oocytes in the growth stages undergo degeneration.5. The occurrence of immature, maturing, and fully ripe ova in the ovary at a particular time account for asynchronism inTilapia mossambica.
Origine des poussées ovocytaires chezTilapia mossambica
Extrait L'ovaire deTilapia mossambica a été étudié dans le but de préciser l'origine des poussées ovocytaires. Après la ponte l'ovaire n'est pas vide pour autant, et il y subsiste des ovocytes à tous les stades du développement. Les replis de l'épithélium germinatif et les tractus épithéliaux ramifiés contiennent des flots de cellules qui produisent des ovogonies primaires, lesquelles se transforment en ovocytes et en cellules folliculaires. Il ne semble pas qu'une nouvelle poussée ovocytaire puisse se faire à partir des résidus des follicules des ovocytes atrétiques. Seuls les ovules mûrs non évacués par la ponte subissent une atrésie et se résorbent; les ovocytes immatures ou en voie de croissance ne dégénèrent pas. L'asynchronisme deT. mossambica se traduit par la présence simultanée, dans l'ovaire, d'ovocytes à tous les stades de croissance et de maturation.
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12.
Résumé L' adaptation de Agrotis segetum Schiff. (Lep. Noctuidae), dans différentes zones géographiques de son aire de distribution, est dûe à la variabilité de caractères bio-écologiques (vitesse de développement, seuil thermique de nymphose). II existe un gradient latitudinal dans la variation de ces différents caractères permettant à l'espèce d'hiverner au dernier stade larvaire, le plus favorable à sa survie.Des sélections conduites au laboratoire, montrent que ces caractères sont héréditaires. Une pression de sélection, exercée uniquement sur l'un d'entre eux (durée de développement longue ou courte à 25°LO 12:12), se répercute également sur les autres, en accord avec les variations observées dans les populations naturelles. II est ainsi possible, à partir d'une population de la région Parisienne, de sélectionner des souches qui ont les caractéristiques des populations naturelles du sud ou du nord de l'aire de répartition de S. segetum. Ces résultats sont discutés dans le contexte général de l'ajustement du cycle évolutif en fonction des zones géographiques où l'espèce a été étudiée.  相似文献   

13.
Ovariole number in univoltine populations of the grasshoppers Melanoplus femurrubrum (De Geer) and M. scudderi scudderi (Uhler) (Orthoptera: Acrididae) from Virginia was studied. Ovariole number in M. femurrubrum was found to vary among three geographic populations, and between years. Ovariole number did not vary between years in one population of M. s. scudderi. Ovariole number in M. femurrubrum was positively correlated with the mean length of the growing season at each site and precipitation during August-September of the previous year (adult season of the maternal generation). In the laboratory, nymphal rearing temperatures did not affect ovariole number in M. femurrubrum, but it was found to be weakly correlated with egg size.
Résumé Le nombre d'ovarioles des criquets détermine le nombre maximum d'oeufs par ponte. Si la variabilité du nombre d'ovarioles des criquets a souvent été signalée, l'origine de ces variations n'a été examinée que pour quelques espèces migratrices, et cela, au laboratoire.Le nombre d'ovarioles des populations monovoltines de M. femurrubrum a changé suivant les populations et suivant les années. Une étude par régressions multiples a montré que le nombre d'ovarioles est lié à des caractéristiques écologiques de la génération maternelle: durée de la saison de développement, indiquée par la somme des températures au-dessus de 10°C, et précipitations en août et septembre. La durée de la saison de développement détermine le temps disponible pour la reproduction: les populations, aux saisons de développement les plus longues, ont plus de temps pour former une oothèque, et ainsi disposent des moyens métaboliques pour avoir plus d'ovarioles. Août-septembre est l'époque où les criquets deviennent adultes, commencent à s'alimenter avant la ponte, et pondent la majorité de leurs oothèques. On estime que l'effet des précipitations est indirect, par son action sur la quantité et la qualité des plantes-hôtes disponibles. Le nombre d'ovarioles n'est pas lié à la taille de M. femurrubrum ou de M. scudderi scudderi.Les effectifs de M. s. scudderi étaient insuffisants pour permettre de telles analyses; cependant, nous n'avons observé dans une station aucune modification du nombre d'ovarioles au cours des années.
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14.
Diapause in Coccinella transversoguttata can be inhibited by exposing adult females to photoperiod regimens of LD 16 : 8 or 14 : 10 hours. The photoperiod regimen to which the immature instars are exposed has little effect on the diapause status of the adult female.
Résumé Coccinella transversoguttata est un des plus importants prédateurs des Pucerons de la pomme de terre dans l'État du Maine (U.S.A.). C'est la photopériode à laquelle les adultes sont soumis qui conditionne la diapause imaginale de cet insecte: une photopériode jour/nuit de 16 : 8 heures empêche la diapause, alors qu'une photopériode jour/nuit de 12 : 12 heures déclenche la diapause. Un éclairement permanent n'a pas d'effet significatif sur l'inhibition de la diapause. La photopériode à laquelle sont soumis les ufs, les larves et les nymphes n'a guère d'effet sur la diapause des adultes. La photopériode n'a pas non plus d'influence sur le développement larvaire ni sur la mortalité des larves ou des adultes.
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15.
The mechanisms adopted to ensure mating success, fertility and fecundity of E. insulana (reared in the laboratory on an artificial diet) were studied. Male moths mate only once a night but mate several times (mean 4.2) during their life span. Females will mate up to 3 times per night and an average of 2.6 times over their life span. One spermatophore can nevertheless be sufficient for a female to lay fertile eggs throughout her life with no reduction in potential fecundity.A female moth is ready to mate by the second night after emergence. The preoviposition period is greatly prolonged in unmated females. Thus if mating is delayed up to about the 9th night, eggs are saved to be laid, after mating, as fertile eggs. If mating is delayed to a greater extent, thus occurring after egg laying has already begun, the potential reduction in reproduction is not very great, because of the low daily (and total) egg-laying rate before mating and the increased longevity of unmated females.It appears reasonable to expect egg production to be substantially reduced only when a marked reduction in the effective proportion of adult males in a population is achieved.
Résumé Cette étude porte sur les mécanismes qui assurent le succès des accouplements, la fertilité et la fécondité d'E. insulana, élevé sur aliment artificiel en laboratoire.Les papillons mâles s'accouplent plusieurs fois (en moyenne 4, 2) au cours de leur vie mais seulement une fois par nuit et 2,6 fois en moyenne au cours de leur vie. Un seul spermatophore peut néanmoins être suffisant pour permettre à une femelle de pondre des oeufs fertiles tout au long de sa vie, sans réduction de sa fécondité potentielle.Un papillon femelle est apte à s'accoupler dès la 2ème nuit après l'émergence. La période de préoviposition est très prolongée chez les femelles non accouplés. Ainsi, si l'accouplement est retardé jusque vers la 9ème nuit, les oeufs sont conservés et peuvent être pondus après accouplement en demeurant fertiles. Si l'accouplement est retardé plus longtemps, après que la ponte ait déjà commencé, la réduction potentielle de la reproduction n'est pas très grande, en raison du faible taux de ponte journalier avant l'accouplement et de la longévité accrue des femelles vierges.Il semble que l'on quisse s'attendre à une réduction substantielle de la ponte seulement quand intervient une nette diminution du nombre des mâles présents dans la population
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16.
The sex ratio of the progeny of single females parasitizing large hosts favoured the females (sex ratio=0.26); but on small hosts favoured the males (0.73). No differences in mortality of the sexes were detected. The sex ratio was independent of female age when large hosts were used. The percentage of males observed in the progeny of the first day of female oviposition was significantly greater than the mean, irrespective of the age at which female oviposition began. When females were exposed to small hosts, a greater percentage of females was observed in the progeny from the last days of oviposition.
Résumé L'influence de la taille de l'hôteret de l'âge de la femelle sur le taux sexuel de la descendance a été étudiée sur le parasitoïde Opius concolor Szépl.Le taux sexuel de la descendance des femelles isolées est favorable aux femelles (t.s.=0,26) quand elles ont à leur disposition des hôtes de grande taille, tandis qu'avec des hôtes petits le taux sexuel est favorable aux mâles (t.s.=0.73). On n'a pas détecté de mortalité différentielle des sexes.Les pourcentage de mâles obtenu le premier jour de ponte des femelles sur les hôtes de grande taille est significativement différent de la moyenne, indépendamment de l'âge de la femelle à ce moment. Cependant, sur des hôtes petits, bien que restant favorable aux mâles dans l'ensemble, une plus grande proportion de femelles à partir des premiers jours de ponte a pu être observée.
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17.
Oviposition by Lucilia cuprina Wiedemann (Diptera, Calliphoridae) was examined in relation to period of oviposition site-deprivation and egg-load. Effects of oviposition site-deprivation were examined by comparing oviposition performance of individual females that had matured their batch of oocytes within the previous 24 h with that of females which had reached ovarian maturity 8 days previously. Egg-load was manipulated by causing females of this anautogenous species to consume different amounts of protein-rich material. In no-choice experiments, individual females of the different categories were given access for 4 h to oviposition substrate, soaked with (i) liver exudate, (ii) the exudate diluted 16-fold or (iii) the undilated exudate containing the oviposition deterrent sodium chloride at a concentration of 2 M. These solutions elicited oviposition from different proportions of females, but neither these proportions, nor the interval between introduction of the oviposition site and the initiation of oviposition, was significantly affected by the period of oviposition site-deprivation or the number of eggs matured by the females.
Résumé L'effet de la privation de lieu de ponte a été étudié en comparant les pontes de femelles isolées ayant formé leurs ufs mûrs dans les 24 heures précédentes, à celles de femelles ayant atteint leur maturité sexuelle 8 jours avant. La rétention ovocytaire est provoquée en faisant consommer aux femelles de cette espèce anautogène différentes quantités d'aliments riches en protéines. La ponte de femelles dont le contingent total de leurs ovocytes s'est développé, — c'est-à-dire 260 —, après consommation ad libitum de foie de mouton pendant 48 heures, a été comparée à celle de femelles ayant formé 190 ovocytes mûrs après ingestion d'une quantité limitée de jus de foie.Dans des expériences sans choix, les femelles isolées de différences catégories ont eu accès pendant 4 heures au substrat de ponte trempé: 1) dans du jus de foie, 2) dans du jus dilué 16 fois, 3) dans du jus de foie non dilué mais contenant NaCl (inhibiteur de la ponte) à la concentration de 2 M. Le jus non dilué a provoqué une forte stimulation, induisant la ponte de 80% des femelles. Le jus dilué et celui contenant NaCl n'ont induit la ponte que de 40% des femelles avec des niveaux de stimulation bien plus faibles. La date d'introduction du lieu de ponte et le taux de rétention des ovocytes mûrs n'ont eu auçun effet sur la proportion de femelles réagissant à ces 3 types de stimulation.
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18.
The effect of parental age at oviposition on the offspring of diapaused and non-diapaused females of Heliothis zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae) was examined under laboratory conditions. Diapause was induced in the laboratory by reducing day lengths and temperatures. The number of eggs per female, duration of the egg stage, percent hatch, duration of the larval stage, percent pupation and four-day pupal weights of progeny from diapaused and non-diapaused adults were determined. Significantly reduced egg production and increased duration of egg and larval stages occurred in offspring of diapaused females, but no effect on hatching and pupation percentages and pupal weights were observed. The possible effects of these differences on reproductive potential and length of generation are discussed.
Résumé Nous avons examiné au laboratoire l'influence de l'age des parents au moment de la ponte sur la descendance des femelles d'Heliothis zea Boddie diapausantes ou non. La réduction de la longueur du jour et de la température avait induit la diapause au laboratoire. L'étude a porté sur le nombre d'oeufs par femelle, la durée de l'incubation des oeufs, le taux d'éclosion, la durée du développement larvaire, le taux de nymphose et le poids des chrysalides de 4 jours chez les descendants d'adultes diapausantes ou non. Chez les descendants des femelles diapausantes, la production d'oeufs est significativement réduite; de même, l'incubation des oeufs et le développement larvaire sont significativement prolongés; mais on n'a observé aucun effet tant sur les taux d'éclosion et de nymphose que sur le poids des chrysalides. La discussion porte sur les influences envisageables de des différences dans le potentiel reproducteur et la durée des générations.
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19.
The intensity-response curve to light in a vertical plane (where gravity was a conflicting stimulus to light) and a horizontal plane (where gravity was not a conflicting stimulus) suggests that the climbing behaviour of the first instar Ectropis excursaria (Guénée) is consistent with a summation of response to gravity and a response to light. Response to gravity was affected by the curvature of the crawling surface and the level of food deprivation of the caterpillars. On a 2 cm diameter crawling surface orientation to gravity occurred at an inclination between 20° and 30° from the horizontal. In a centrifugal field, a behaviour analogous to negative geotaxis occurred at accelerations of 3.5 ms–2. Analysis of the geotactic turning tendencies of the caterpillar on flat inclined planes suggests that they exhibit meta-geotactic behaviour from inclinations of 40 to 90°. Negative geotaxis was exhibited by the caterpillars of later stadia although a response to gravity was lacking in the prepupal wandering caterpillars. The pre-pupal stage was also characterized by a reversal of the response to light.
Résumé Un comportement d'escalade du premier stade d'E. excursaria correspondant à l'addition des réponses à la gravité et à la lumière, est suggéré par la courbe d'intensité de la réponse à la lumière, dans un plan vertical (où la gravité constitue un stimulus en opposition avec la lumière) et un plan horizontal (où la gravité n'est pas en opposition). La réponse à la gravité a été modifiée par la courbure de la surface à escalader et du degré de privation d'aliment des chenilles. Sur une surface d'escalade de 2 cm de diamètre, l'orientation par rapport à la gravité se produit entre 20 et 30° par rapport à l'horizontale. Das run champ de centrifugation, un comportement analogue à une géotaxis négative se produit pour une accélération de 3,5 m s–2. L'analyse des tendances géotactiques des chenilles à tourner sur des plans inclinés suggère qu'elles présentent un comportement métagéotactique pour les inclinaisons de 40 à 90°. Des expériences d'immobilisation laissent penser que les antennes jouent un rôle dans la perception de la gravité. Les chenilles de stades ultérieurs ont présenté une géotaxie négative bien que la réponse à la gravité disparaisse chez les chenilles vagabondes en prénymphe. La prénymphose est aussi caractérisée par une inversion des réponses à la lumière.
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20.
The selection of a suitable plant for the establishment of Papilio demoleus is done by its females and involves their two main behavioural responses: (1) Orientation and (2) Oviposition, involving abdominal-curling followed by egg-delivery. The ovipositing females visit the host (Citrus) and non-host plants almost equally due to their almost equally high attraction to the green or yellowish-green colour of both the plants. On perceiving the specific attractant odour emitted by the ether-soluble constituents of the host plant (Citrus), the attraction of the butterflies to these plants becomes greater than that to the non-host plants and increases the chances of their visiting the host plants. Subsequently, the contact chemical stimuli provided by the ether as well as 80% ethanol-soluble constituent of the host plants, in combination with their odour and colour, elicit the ovipositional response of the butterflies. If the odour and contact stimuli are not appropriate, as in the case of non-host plants, the butterflies depart and visit other plants until they come to a host plant providing the above-mentioned combination of visual, olfactory and contact chemical stimuli to elicit increased attraction and ovipositional response.
Résumé Ce travail étudie de rôle des réponses comportementales d'orientation et de ponte de Papilio demoleus, comme éléments déterminant sa sélection et son installation à l'égard d'une série de plantes: la plante-hôte principale Citrus limettioidés, l'hôte occasionnel Aegle marmelos et des plantes non-hôtes, Coriandrum sativum, Rosa indica, Gossypium hirsutum.Les réponses d'orientation (attraction) et de ponte du papillon à l'egard de la plante-hôte principale (Citrus) s'accroissent avec l'âge d'insecte, atteignant un maximum chez les femelles âgées de 3–4 jours, puis diminuent. Les papillons montrent une attraction presque aussi forte pour les plantes-hôtes et les plantes non-hôtes, mais les réponses consistant dans le recourbement de l'abdoment et le dépôt d'oeufs sont fortes pour Citrus, moindres par A. marmelos et nulles pour les plantes non-hôtes.Les stimuli visuels des plantes-hôtes et non-hôtes, en particulier la coloration vert ou jaune-vert, déclenchent une forte attraction mais non les réponses liées à la ponte. Ceci est confirmé par des tests avec des colorants de diverses couleurs. L'humidité ne provoque aucune réponse des papillons.Un extrait éthéré des feuilles de Citrus attire les papillons quand celui-ci est présenté sur un tissu de mousseline imprégné d'eau; il déclenche également les réflexes de ponte. Un extrait dans l'éthanol 80%, présenté sur un tissue humide ne provoque qu'une attraction faible et aucune réponse de ponte. Les stimuli de contact que l'on peut provoquer avec la fraction soluble dans l'éther et la fraction soluble dans l'éthanol 80% entrainent de fortes réactions de la courbure abdominale et de ponte. La combinaison d'une couleur vert jaunâtre, d'eau, d'odeur de l'extrait éthéré et de stimuli de contact avec des extraits dans l'éther et l'éthanol, déclenche les trois types de réponse des papillons.
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