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1.
The effects of photoperiod and temperature on the production of sexual forms by two clones of Sitobion avenae, the grain aphid, were examined. One clone did not produce sexual forms, whereas the other did under conditions of short light (<14 h) and low temperature (15°C). Temperature and photoperiod interacted to some extent both in the production of oviparae and of males. Even when the sexual forms were produced there was always a proportion of virginoparae.
Production de sexués par Sitobion avenae, puceron monoécique
Résumé Un clone de Sitobion avenae a produit sans difficulté jusqu'à 7 générations de sexués en réaction à des photopériodes courtes (<14 h) et à de faibles températures (15°C) tandis qu'un autre clone n'en produit aucune.La proportion de sexués différait suivant les parents. La production de mâles avait une nette tendance à apparaître lors des reproduction les plus tardives. Dans les générations tardives avec jours courts, les vivipares (virginopares et gynopares) avaient eu tendance à être produits à la fin de la période de reproduction.Les gynopares (c'est à dire les parents d'ovipares) de S. avenae étaient surtout aptères, mais comprenaient beaucoup plus d'ailés que les virginopares obtenus dans les mêmes conditions. Un vivipare était induit comme gynopare (ou ses embryons étaient déterminés comme ovipares) avant la naissance, mais cette détermination pouvait apparemment encore être inversée en soumettant l'insecte à de longues photopériodes et à de hautes températures jusqu'à deux jours après la naissance.Aucun S. avenae ovipare n'a été produit jusqu'à la troisième génération. Aucun ovipare n'a été produit avec des photopériodes supérieures à 13 H 30 à 10°C, 13 H à 15°C et 8 H à 20°C. La proportion d'individus produisant des ovipares à 15°C a été plus faible qu'à 10°C pour toutes les photopériodes, et à cette dernière température beaucoup plus de vivipares étaient gynopares que virginopares.Les basses températures ont été vraisemblablement le facteur dominant de stimulation de la production de mâles de S. avenae, mais cependant il semble qu'un plus grand nombre de mâles a été produit aux températures et photopériodes intermédiaires qu'aux extrêmes.La capture de mâles ailés de S. avenae dans des pièges à succion a été généralement limitée à Octobre-soit à peu prés le moment prévu par les expériences de laboratoire. Des mâles de S. avenae sont aussi capturés fréquemment et été, ce qui peut être lié à des hivers précédents doux.
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2.
Alder aphid oviparae produced 14 eggs at constant temperature but in the field the average was 6. Favoured oviposition sites were bud axils and bark crevices. Summer pruning of host trees reduced the availability but not the choice of site. Oviparae reared on leaf regrowth of summer pruned alder were smaller and contained fewer eggs than those on mature leaves. Winter pruning resulted in the loss of 41% buds and 25% eggs. Total winter egg mortality was 65%, being greatest in early winter due to insect predation. Spring egg hatch was synchronised with bud burst and both were affected by temperature.
Distribution des oeufs et mortalité Pterocallis alni
Résumé Les ovipares de P. alni ont pondu 14 oeufs à température constante mais dans la nature la moyenne n'était que de 6. La taille estivale a réduit les disponibilités, mais n'a pas modifié le choix des lieux de ponte. Les ovipares élevés sur feuilles de repousses estivales d'aulnes taillént plus petits et contenaient moins d'oeufs que ceux élevés sur feuilles adultes. La taille hivernale a provoqué la perte de 41% des bourgeons et 25% des oeufs. La mortalité hivernale totale des oeufs a été de 65%, la partie la plus importante, due à la prédation par les insectes, ayant eu lieu au début de l'hiver. L'éclosion des oeufs au printemps était synchronisée avec l'éclatement des bourgeons, tous les deux étant conditionnés par la température.
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3.
When reared in short days (LD 12:12) at 15°C, apterous Acyrthosiphon pisum gave birth to sexual females (oviparae) exclusively for the first eight days of larviposition. After this time they switched to the production of parthenogenetic females (viviparae). Topical application of juvenile hormones I, II and III to fourth instar or adult ovipara-producers induced the precocious appearance of parthenogenetic females in the progeny sequence. Various forms intermediate between oviparae and viviparae were also produced and repetitive JH-I treatments resulted in a few alatiform progeny. However, many of the JH induced apterous, parthenogenetic females appeared to be normal viviparae and were capble of reproduction. Thus, prenatal treatment of oviparous embryos with JH diverts development towards the viviparous form. JH-I treatment of long-day reared A. pisum had no effect on the type of progeny produced.
Effets de l'hormone juvénile sur le polymorphisme d'Acythosiphon pisum
Résumé Quand il est élevé sous jours courts (LN 12/12) à 15°C, le type anglais vert d'Acyrthosiphon pisum ne donne naissance qu'à des femelles sexuées (ovipares) pendant la première partie de sa période de reproduction. Ensuite quelques types intermédiaires ovipares/vivipares peuvent apparaitre avant que les pucerons ne bifurquent spontanément vers la production de femelles parthénogénétiques (vivipares). L'application cutanée d'hormones juvéniles (JH I, II, et III) aux larves de quatrième stade ou à des adultes producteurs d'ovipares provoque l'apparition prématurée d'intermédiaires et de vivipares dans la descendance. Les différentes formes intermédiaires produites par des applications répétées de J.H. comprenaient des types ailés ou partiellement ailés. Cependant, les vivipares aptères induits par J.H. étaient morphologiquement normaux et beaucoup étaient capables de se reproduire. Des traitements semblables aux J.H. de vivipares élevées en jours longs (LN 16/8) n'ont pas eu d'effets sur le type de la descendance.On ne sait pas si l'action de JH exogène sur l'induction des vivipares est direct ou indirect. La reprogrammation des embryons, autrement destinés à se développer comme ovipares, est examinée en relation avec notre connaissance du contrôle endocrine du polymorphisme des pucerons.
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4.
The fecundity of asexual and sexual morphs of Sitobion avenae (F.) is compared. The cost of sex is quantified in terms of the reduction in numbers of offspring produced. The cost is much greater than the halving of fecundity that is usually assumed to be associated with the production of males.
Résumé Les fécondités des virginipares ailés, des gynopares ailés et des ovipares d'un même clone de Sitobion avenae ont été déterminées à 12°C. Bien que les types qui ayant donné naissance à des sexués aient eu une fécondité initiale plus élevée que celle de la lignée asexuée, celle-ci a été significativement plus féconde après 15 jours de reproduction.Les résultats du laboratoire ont été utilisés pour évaluer la fécondité de lignées sexuées et asexuées pendant quatre générations à 12°C. La reproduction parthénogénétique a présenté un avantage numérique sur la reproductions sexuée dans le rapport 320/1. La reproduction sexuée a été accompagnée d'une diminution significative de la fécondité potentielle. Bien que la reproduction sexuée de S. avenae soit avantageuse dans les régions où les hivers sont durs, parce que les oeufs sont résistants au froid, les lignées asexuées présentent un avantage considérable en ce qui concerne la fécondité potentielle pour l'augmentation de la population en automne et elles conservent de plus la capacité d'un accroissement numérique ultérieur si l'hiver est doux.
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5.
Secondary effects of the entomopathogenic hyphomycete Beauveria bassiana (Bals.) Vuill. were investigated on adults of Leptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera:Chrysomelidae) treated as newly moulted 4th-instar larvae. Fecundity and egg hatching were monitored in surviving females mated with surviving males. When reared at 22°C, adult survivors showed a lessening of their reproductive potential during their whole life. According to the fungal inoculum dosage, the reductions of the total number of eggs laid per female and the mean number of eggs per egg mass ranged from 20% to 56% and from 18% to 46%, respectively. In contrast, at 25°C, the fecundity of survivors was not affected by the fungal infection. This variability of the secondary effects of B. bassiana according to temperature conditions might be related to the lower infection level of treated larvae at 25°C. Moreover, at both temperatures, eggs laid by females surviving fungal infection as larvae were as fertile as eggs laid by control insects. It is concluded that secondary effects of B. bassiana on the fecundity of the Colorado Potato Beetle are temperature-dependent and that they could become negligible at high temperatures under field conditions.
Résumé Les effets secondaires de l'hyphomycète entomopathogène, Beauveria bassiana (Bals.) Vuill. sur la fécondité et la fertilité des insectes survivant à l'infection fongique ont été étudiés chez les adultes du doryphore Leptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera:Chrysomelidae) issus de larves contaminées en début de 4ème stade. Les insectes maintenus à 22°C ont présenté une réduction de leur potentiel reproductif. Ainsi, suivant la dose d'inoculum fongique, le nombre total d'oeufs pondus par femelle et le nombre moyen d'oeufs par opplaque ont baissé de 20% à 56% et de 18% à 46%, respectivement. En revanche, à 25°C la fécondité des adultes survivants n'a pas été affectée par la maladie. Cette variabilité en fonction des conditions thermiques peut être liée à la diminution de l'effet-dose du champignon sur les larves à 25°C par rapport à 22°C. Par ailleurs, quelles que soient les conditions thermiques (22°C ou 25°C) on ne constate aucun changement significatif de la fertilité des oeufs pondus par les femelles survivantes. Les auteurs concluent que les effets secondaires de B. bassiana sur la fécondité du doryphore dépendent des conditions thermiques et qu'ils pourraient devenir négligeables à des températures élevées en plein champ.
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6.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
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7.
As the temperature at which larvae of C. capitata were reared decreased from 30° to 25° to 20° the yield of pupae from eggs increased from 15% to 25% to 30% and the mean weight of pupae decreased. Within each temperature regime the weight of pupae produced on successive days declined and the fat content of those pupae varied.
Résumé On a étudié l'effet de température d'élevage larvaire de 20°, 25° et 30°. La durée du développement s'accroît de 7 à 13 jours pour des températures respectives de 30° et 20°. Lorsque la température d'élevage baisse, le nombre de pupes produites par rapport aux oeufs s'accroîts de 15% à 20% et 30% et le poids moyen des pupes diminue.Pour chaque régime de température il y a une nette réduction du poids des pupes produites au cours des jours successifs et la teneur en lipides de celles-ci varie également. L'émergence moyenne des adultes à partir de pupes produites dans un élevage à 30° est plus élevée que celle obtenue dans des élevages à 25° et 20°.Tandis que la vitesse du développement, le contrôle du métabolisme des graisses et la production de pupes peuvent être des facteurs primaires intervenant dans le choix de la température d'élevage pour la production de masse de la mouche des fruits, il faudrait aussi considérer les effets de cette température d'élevage sur d'autres aspects de la biologie de l'insecte.
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8.
Mythimna convecta adults, reared at 22°C on semi-artificial diet or oat seedlings (Avena sativa L.), were exposed to a range of constant temperatures between 10° and 30°C. Pre-oviposition period and adult life span were inversely proportional to temperature. Mean life span was significantly longer in virgin than in mated females. Actual fecundity and fertility of eggs peaked at 20°C and declined towards both high and low temperatures. Most eggs were laid during the first few days after mating, irrespective of temperature. Potential fecundity varied with pupal weight and larval nutrition. Mean daily oviposition was expressed as % potential fecundity realized and, like survival, the relationship with time was summarized using non-linear regression models. The optimum temperature for the survival of males and virgin females was 22.5°C.
Résumé Des adultes de Mythimna convecta, élevés à 22° avec un aliment semi-artificiel ou sur des pousses d'Avena sativa L, ont été exposés à une gamme de températures constantes entre 10 et 30°. Les durées de la période précédent la ponte et la longvité ont été inversement proportionnelles à la température. La longvité des femelles vierges était significativement supérieure à celle des femelles accouplées. La fécondité réelle et la fertilité des oeufs ont été maximales à 20° et se sont abaissées tant pour les températures faibles qu'élevées. Quelle que soit la température, plus d'oeufs ont été pondus dans les jours suivant l'accouplement. La fécondité potentielle changeait avec le poids des nymphes et l'alimentation larvaire. La ponte moyenne quotidienne a été déterminée comme la pourcentage exprimé de la fécondité potentielle, et, ainsi que la survie, la relation avec le temps a été résumée en utilisant des modèles de régression non-linéaires. La température optimale pour la survie des mâles et des femelles vierges a été de 22.5°.
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9.
Reproductive data were collected on individually-held adult oriental fruit flies, Dacus dorsalis, melon flies, Dacus cucurbitae, and Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata including age-by-parity relations, birth interval, frequency distribution of individual egg production levels and the concentration of reproduction among females in a cohort. Specific findings include: i) delay in reproductive peaks in a cohort after eclosion is due almost entirely to the variance in attainment of reproductive maturity among individuals; ii) low reproductive output of reproductively mature melon flies is due mostly to long birth intervals; iii) high egg production in both the medfly and the oriental fruit fly is due to their consistency of egg laying levels and frequency (short birth intervals). Discussion stresses the importance of viewing reproduction, not as a singular and discrete life history trait, but as consisting of subcomponents of daily parity, cumulative parity and birth interval.
Résumé Les informations sur la reproduction ont été obtenues à partir d'adultes de Dacus dorsalis, D. cucurbitae, C. capitata, élevés individuellement. Elles portent sur les paramètres suivants: distribution par âge en fonction de la fécondité, échelonnement des pontes, distribution des niveaux quotidiens de ponte, fréquence des pondeuses par cohorte.Différents caractères spécifiques ont été mis en évidence: 1) La variabilité de la date d'apparition de la maturité reproductive est pour l'essentiel responsable du retard dans les dates de reproduction maximale; 2) De 30 à 50% des femelles de D. dorsalis âgées de 10 jours pondent plus de 50 oeufs/jour pendant les deux semaines qui suivent, tandis que seulement 10 à 20% des femelles des deux autres espèces parviennent à pondre cette quantité d'oeufs à n'importe quel âge; 3) D. cucurbitae ayant atteint sa maturité pond environ pendant 40% des jours (c.à.d. chaque 2,5 j), tandis que les deux autres espèces pondent au moins quelques oeufs pendant 80% des jours (c.à.d. chaque 1,25 j); 4) La production élevée d'oeufs de C. capitata et de D. dorsalis est due à la régularité de leur niveau de ponte et à la fréquence (faible espacement); 5) Les fractions des effectifs qui ont pondu au moins 600 oeufs en 30 jours étaient approximativement de 0,8, 0,7, et 0,4 pour D. dorsalis, C. capitata, D. cucurbitae; 6) 50% des femelles de chacune des trois espèces contribuent en gros pour 65% à la ponte.
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10.
Oviposition behavior and larval mortality of the pea weevil, Bruchus pisorum L. on Lathyrus tingitanus L. and Lathyrus sativus L. were studied to determine the mechanisms by which these plant species resist pea weevil attack. Female weevils caged on pods of these species oviposited at a reduced rate compared to those caged on pods of pea, Pisum sativum L. Females kept in vials in the laboratory and given a choice between L. sativus pods and pea pods oviposited at a higher rate on pea and the glass vial than on L. sativus. Two to three days following oviposition, L. tingitanus pods developed callus tissue growth beneath the eggs. These growths later covered much of the pod. L. sativus pods exhibited a similar response to hatching larvae. Pea weevil larvae attempting to penetrate pods of both species died. Larvae placed inside L. sativus pods established in seeds and had no greater mortality after 72 h than those placed inside pea pods. Identified defenses in lathyrus against pea weevil attack consist of antibiosis as well as antixenosis. These resistance mechanisms are located in the pod.
Résumé Les espèces de Lathyrus sont indemnés d'attaques de la bruche du pois, Bruchus pisorum, bien que le pollen de deux membres de ce genre ait induit, après ingestion, l'ovogenèse des femelles. La ponte et la mortalité larvaire de B. pisorum sur L. tingitanus et L. sativus (Leguminosae) ont été examinées pour déterminer les mécanismes permetant à ces espèces de résister à l'attaque de cette bruche. Des femelles aux ovaires développés ont été mises en cage en serre, avec des gousses de chacune des deux espèces de Lathyrus et de Pisum sativum; les femelles ont pondu beaucoup moins sur Lathyrus que sur Pisum. Au laboratoire, des femelles aptes à pondre, placées dans des bocaux avec des gousses de même taille de L. sativus et P. sativus, ont pondu sur le pois et le bocal que sur L. sativus.Deux à 3 jours après contamination par les oeufs de bruche, les gousses de L. tingitanus forment des cals sous les oeufs. Ces excroissances s'étendent de telle sorte que la majorité de la gousse en est recouverte quelques jours plus tard; les gousses de L. sativus présentent une réponse semblable mais plus localisée. La croissance du cal se produit en réponse à l'éclosion plutôt qu'à la ponte, car aucune n'a été observée sous les oeufs qui n'ont pas éclos, et aucune s'étend au-delà des zones immédiatement sous les oeufs éclos. Les larves de B. pisorum tentant de pénétrer dans les gousses des 2 espèces meurent, tandis que des larves placées à l'intérieur des gouses de L. sativus n'ont pas présenté une mortalité supérieure dans les graines au bout de 72 h à celle des larves placées à l'intérieur des gousses de pois. On peut envisager que la reconnaissance de stimuli dissuasifs par les femelles de bruches ait pu évoluer en réponse à la présence de mécanismes de défense de la gousse.
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11.
The effects of larval crowding on development, survival and size of the African buffalo fly, Haematobia thirouxi potans (Bezzi), were examined in small (10 or 20 g) and 1 000 g masses of cattle dung in the laboratory at 25°C. Dung was infested with fly eggs at densities which ranged from 0.05 to 32.0 eggs per g dung; in most cases 90–100% of eggs hatched. The duration of larval developmentin 10 g dung masses was extended by larval crowding at densities above 0.8 eggs per g dung and the development period with 32 eggs per g dung (11 days) was double that observed in uncrowded dung masses. Both size and survival decreased with increasing larval density, but stunting was observed at lower densities than those which reduced survival and so size was the more sensitive index of the adequacy of the larval environment. The effects of larval crowding became evident at lower larval densities in the 1 000 g dung masses than in the 10 g dung masses. There was a minimum size below which third instar larvae failed to pupariate. The probability of survival was related to pupal size and a high proportion of the smaller individuals failed to eclose.
Effets de la competition intraspécifique sur le développement des larves, la taille des pupes et la survie d'Haematobia thirouxi potans
Résumé Les effets du surpeuplement larvaire sur le développement, la survie et la taille d'Haematobia thirouxi potans, ont été examinés sur de petites quantités de bouse (10 et 20 g) et de plus importantes (1 000 g), au laboratoire à 25°C. Les bouses étaient contaminées avec des oeufs de la mouche à des densités de 0,05 à 32 oeufs par gramme de bouse. Dans la plupart des cas le taux d'éclosion était de 90–100%. La durée du dévelopement larvaire dans 10 g de bouse a été prolongée pour les densités supérieures à 0,8 oeuf per g, et la durée développement pour 32 oeufs per g (11 jours) était le double de celle obtenue grand il n'y avait pas surpeuplement. La taille et la survie diminuent toutes les deux avec la densité larvaire, mais la miniaturisation était observée à des densités où la survie n'était pas modifiée; ainsi la taille est un indice plus sensible de l'adéquation de l'habitat larvaire. Les effets du surpeuplement larvaires deviennent clairs à des densités plus faibles avec 1 000 g de la bouse qu'avec 10 g. Il y a eu une taille minimale endessous de laquelle les larves étaient incapables de former une pupe. La probabilité d'éclosion était liée à la taille de la pupe, et une plus forte proportion de petits individus ne sont pas parvenu à éclore.
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12.
The susceptibility of sorghum to the shoot fly Atherigona soccata Rondani, (Diptera: Muscidae) is affected by seedling age and is highest when seedlings are 8–12 days old. This corresponds with high moisture accumulation on the central leaf which is the path of newly hatched larva as it moves downwards from the oviposition site, towards the growing apex. Studies showed that leaf surface wetness (LSW) of the central shoot leaf was higher in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. Similarly, LSW was much higher in the susceptible sorghum genotype CSH 1 than in the resistant genotype IS 2146. Larvae moved faster towards the growing point and produced deadhearts much earlier in CSH 1 than in IS 2146. They also moved faster in 10-day old seedlings than in seedlings of other ages. It was also shown that the leaf surface wetness of the central shoot leaf is a more reliable parameter of resistance than the glossy leaf trait or trichome density.
L'influence de la humidité de la surface foliaire sur le comportement de la mouche des pousses du sorgho
Résumé La sensibilité du sorgho à la mouche des pousses du sorgho, Atherigona soccata Rondani, est liée à l'âge de la plantule. Elle est plus forte lorsque la plantule est âgée de 8 à 12 jours et la sensibilité est maximale à 10 jours. A ce stade de croissance on observe une forte accumulation d'humidité sur la feuille centrale de la tige. Les jeunes larves traversent cette zone humide lorsqu'elles descendent vers la zone de croissance à partir des pontes déposées sur la face ventrale des feuilles déroulées.Des études ont été menées à l'ICRISAT (Inde) sur la relation entre l'humidité de la feuille centrale de la tige des plantules du sorgho et les dégâts provoqués par la mouche des pousses. L'humidité de la surface des feuilles (HSF) a été estimée grâce à une échelle visuelle graduée 1 à 5 où, 1 = pas d'humidité apparente et 5 = surface de la feuille recouverte de gouttes d'eau. La HSF est plus élevée sur des pousses de sorgho âgées de 10 j que sur les pousses appartenant à d'autres classes d'âge. Les valeurs observées sont également plus fortes pour les variétés non résistantes à ce ravageur (CSH 1,4.8) que pour les variétés résistantes (IS 2146, (2)). La vitesse du déplacement larvaire entre le cornet et la zone de la croissance varie en fonction de l'âge de la plante et des cultivars. Les larves migrent plus rapidement vers la zone de croissance et provoquent la mort du coeur du sorgho plus tôt dans la variété CSH 1 que dans IS 2146. Les larves se déplacent plus rapidement dans les pousses âgées de 10 j que dans les pousses appartenant à d'autres classes d'âge.Des études ont également démontré que la HSF n'est pas directement liée au caractère feuille lisse où à la densité des trichomes. La HSF est faible pour les génotypes résistants présentent où non le caractère feuille lisse. Par contre la HSF est élevée pour les génotypes non résistants présentant le caractère feuille lisse ou non. Aucune relation directe entre la densité des trichomes et les dégâts provoqués par la mouche des pousses n'a pu être mise en évidence. L'analyse des correlations établie pour les caractères de surface des feuilles avec la mort du cur des sorghos indique que les correlations sont faibles et non-significatives pour le caractère feuille lisse (0.49) et la densité des trichomes (0.39 et 0.2). Par contre les correlations sont fortes et significatives pour la HSF (0.82).On conclue que la HSF de la feuille centrale de la tige est un facteur important dans le déterminisme de la résistance du sorgho vis à vis de la mouche des pousses. Les relations entre les processus physiologiques de la plante et les facteurs impliquées dans l'accumulation d'eau sur la surface des feuilles font actuellement l'objet d'études détaillées.
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13.
The method of rearing Delia brassicae (Bouché) on rutabaga, one of its favoured hostplants, was improved and partly mechanized. During 3 months in 1978, about 2 million pupae were produced at an approximate cost of $ 720 U.S. The pupal yield averaged 50% of the number of eggs inoculated. Special attention was given to the number of eggs inoculated/g of plant food, to the conditions used during the rearing process and to the choice of a substrate suitable for larval pupation. The pupae were maintained at laboratory temperature until the first adults emerged and then they were stored for a maximum of 24 days at 3°. When such pupae were returned to laboratory temperatures, flies emerged from about 62% of them within 7days. A system for marking and collecting the emerging adults is described. The effects that rearing, storage, irradiation, marking and handling had on the quality of the adult flies are discussed.
Résumé L'élevage de la Mouche du chou, Delia brassicae (Bouché), sans conditionnement spécial et sur l'une des ses plantes-hôtes, le rutabaga, a été amélioré et partiellement mécanisé. En 1978, deux millions de pupes ont été produites en trois mois pour un prix de revient de 720 U.S. $. Un bon rendement est obtenu (50% des ufs donnent des pupes de poids supérieur ou égal à 12 mg) en inoculant 0,7 à 0,9 uf par gramme de rutabaga, dont la durée de conservation à 3° n'a pas excédé les six mois.L'influence du moment de refroidissement et de la durée de conservation des pupes à 3°, sur le taux et l'échelonnement des éclosions des adultes, a été examinée; 62% des pupes refroidies pendant un mois à partir du moment de l'éclosion des premiers adultes, ont donné des adultes en 7 jours après avoir été replacées dans les conditions ambiantes. Une méthode de marquage et de collecte des adultes est décrite.L'influence des techniques d'élevage, du stockage des pupes, de l'irradiation, du marquage et de la collecte sur la qualité des mouches est discutée en détails. La limitation à 30 jours de la période de stockage des pupes afin d'éviter une forte diminution de la qualité, constitue un obstacle capital à la réalisation de lâchers inondatifs.Bien qu'un stockage des pupes à 3° pendant 3 à 4 semaines, diminue de 5 jours la longévité des mâles, un schéma approprié de lâchers peut compenser cette diminution de qualité.
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14.
Phytoseius hawaiiensis (Acari: Phytoseiidae) had relatively long periods of preoviposition, oviposition and postoviposition (4.6, 46.9 and 52.0 days, respectively, at 24 °C), and a relatively low fecundity (31.4 eggs per female), compared to other phytoseiid species. The most favorable food tested was all stages of Oligonychus punicae (Hirst), but various other species of mite prey as well as pollen also promoted oviposition. Extreme variation was observed in hatching time of the eggs, from 10 min (rare) to over 4 days (common). Occasionally, females apparently retain their eggs until just before larvae hatch, as eggs containing developed larvae were observed inside some females. Results of experiments suggested that unsuitable substrate (e.g. for oviposition) is a factor which induces longer egg retention prior to oviposition.
Résumé Chez Phytoseius hawaiiensis, les durées des périodes précédant la ponte, correspondant à la ponte et succédant à la ponte, sont relativement longues; respectivement 4, 6; 31, 4 et 52 jours à 24 °C; dans ces conditions, la fécondité est relativement basse: 31, 4 oeufs par femelle. Oligonychus punicae (aux différents stades) a constitué le meilleur aliment essayé, mais diverses autres espèces d'acariens ainsi que le pollen induisent la ponte. La date d'éclosion des oeufs a présenté une très grande variabilité, de 10 min (rare) à plus de 4 jours (fréquent). Souvent, les femelles semblent retenir leurs oeufs jusqu'au moment précédant l'éclosion des larves, car des oeufs contenant des larves développées on été observés dans quelques femelles. Les résultats des expériences ont suggére qu'un substrat défavorable (pour la ponte) induit une plus longue rétention de la ponte.
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15.
A laboratory study was conducted in order to determine the influence of the oviposition deterring pheromone (ODP) upon the distribution of eggbatches and eggs by Pieris brassicae females. This pheromone is known to be associated with eggs. Butterflies were offered a choice between cabbage leaves treated in various ways with the ODP and control leaves. The presence of intact conspecific eggs on the treated leaf appeared to have a moderate deterrent effect upon oviposition. An aqueous solution of the ODP, obtained by washing eggs in distilled water was found to have a somewhat higher deterrent effect. Most effective in deterrence of oviposition, however, appeared to be a washing of P. brassicae eggs in methanol. Such a methanol solution can be stored at low temperatures for at least three years without loosing activity. Application of eggwash to either the upper or lower surface of the leaf does not make any difference to females. Percentage deterrence was found to increase with the concentration of eggwash. At very low concentrations no significant difference could be observed anymore in the numbers of eggbatches and eggs laid on control and treated leaf. On the other hand, even very high concentrations of methanol eggwash do not fully protect cabbage leaves against oviposition. Washing P. brassicae eggs seven times consecutively in methanol, a series of pheromone solutions is obtained, all of them were found to possess a high deterrent activity. Although percentage deterrence slowly decreases in subsequent washings, the seventh eggwash sprayed onto cabbage leaves still resulted in less than one quarter of the total number of eggbatches and eggs being laid on the treated leaf.
Résumé Des expériences de laboratoire ont été réalisées pour déterminer d'influence d'une phéromone dissuasive de la ponte (ODP) sur la distribution des ooplaques et des oeufs de Pieris brassicae. Cette phéromone est connue comme associée aux oeufs. Les papillons ont eu le choix entre des feuilles de chou traitées de différentes façons avec ODP et des feuilles témoins. La présence d'oeufs intacts de la même espèce sur les feuilles a un effet dissuasif modéré sur la ponte. Une solution aqueuse d'ODP, obtenue par lavage des oeufs à l'eau distillée est quelque peu dissuasive. Le lavage des oeufs de P. brassicae au méthanol est apparu comme le plus dissuasif. Une telle solution au méthanol peut être stockée à basse température au moins 3 ans sans perte de son pouvoir. Les applications de l'eau de rinçage sur les faces supérieures ou inférieures des feuilles induisent le même comportement des femelles. L'effet dissuasif augmente avec la concentration de l'eau de rinçage; aux très faibles concentrations, aucune différence significative n'a pu être observée avec les témoins quant au nombre d'ooplaques et d'oeufs. Par ailleurs, même aux très hautes concentrations du méthanol, l'eau de rinçage n'inhibe pas totalement la ponte sur les feuilles de chou. En lavant 7 fois consécutives les oeufs de P. brassicae dans le méthanol, on obtient une série de solutions de phéromones, dont chacune possède un fort pouvoir dissuasif. Bien que l'effet dissuasif diminue lentement avec des rinçages successifs, la pulvérisation du septième rinçage sur les feuilles de chou réduit encore à moins du quart le nombre total d'ooplaques et des oeufs pondus sur la feuille traitée.
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16.
Laboratory tests with eggs of Diabrotica virgifera virgifera LeConte showed that during a 10-day hatching period, hatch of male eggs predominated on the first and second days, eggs of mixed sex, with ca. 1:1 ratio, hatched on the third and fourth days, and eggs hatching from the fifth to the tenth days were nearly all female. Overall, female eggs hatched a mean of 2.9 days later than male eggs. Not only did female eggs hatch later, but the time for posthatch development to the adult stage was 1.8 days longer for females. The later egg hatch and longer posthatch development for females resulted in female adults emerging a mean of 4.7 days later than male adults. Total adult emergence lasted 14 days; of this, males predominated during the first 5 days, and females predominated during the last 9 days. Males of D. v. virgifera appear to have evolved protandry (the tendency for males to emerge before females) by developing both a postdiapause embryonic stage and a combined larval and pupal stage of shorter duration.
Résumé L'observation, au laboratoire, pendant une période d'éclosion de dix jours, des oeufs de D. v. virgifera LeConte, a montré que les oeufs mâles prédominent les deux premiers jours d'éclosion, que les oeufs des deux sexes, avec des fréquences 0,5/0,5, ont éclos les troisième et quatrième jours, et que les oeufs éclos du cinquième au dixième jour étaient presque tous femelles. Globalement, les oeufs femelles ont éclos en moyenne 2,9 jours plus tard que les oeufs mâles. De plus, la durée du développement post-embryonnaire des femelles a demandé 1,8 jour en plus. Une éclosion plus tardive et un développement post-embryonnaire plus long ont entrainé une émergence des femelles en moyenne 4,7 jours après les mâles. La période d'émergence des adultes s'est étalée sur 14 jours; les mâles ayant dominé pendant les 5 premiers jours et les femelles pendant les 9 derniers. Les mâles de D. v. virgifera semblent avoir évolué vers la protandrie en acquerant, tant une diapause post-embryonnaire que des stades de développements larvaire et nymphal plus brefs.
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17.
The developmental threshold and heat-unit requirements for larval eclosion of the winter moth, Operophtera brumata (L.) [Lepidoptera: Geometridae], were determined from experiments involving eggs exposed to various chilling and warming treatments. The developmental threshold was determined to be 4 °C. Eggs which were chilled below the developmental threshold required fewer heat-units for larval eclosion than did eggs not given a chill treatment. Eggs cultured at 14 °C required 470 (±47) degree-days for 50% larval eclosion. However, eggs chilled for 2 weeks at 1 °C and subsequently placed at 14 °C required 382 (±33) degree-days while eggs chilled for 12 weeks at 1 °C and subsequently placed at 14 °C required 156 (±12) degree-days. The results are discussed in relation to chilling intensity, diapause, and physiological-time models.
Résumé Le seuil de développement et la quantité de chaleur nécessaires pour l'éclosion larvaire chez Operophtera brumata (L.) (Lepidoptera: Geometridae) ont été déterminés en exposant les oeufs à différents régimes de refroidissement suivis de périodes de réchauffement. Le seuil de développement déterminé est de 4 °C. Les oeufs placés d'abord à des températures inférieures à celle du seuil de développement demandent moins de quantité de chaleur pour l'éclosion larvaire, que les oeufs qui n'ont pas été exposés à de basses températures. Les oeufs maintenus à 14 °C demandent 470 (±47) degrés-jours pour permettre 50% d'éclosion. Cependant, des oeufs maintenus pendant 2 semaines à 1 °C, puis à 14 °C, exigent 382 (±33) degrés-jours; ceux placés pendant 12 semaines à 1 °C, puis à 14 °C, en exigent 156 (±12). Les résultats sont discutés en relation avec l'intensité du refroidissement, la diapause et les modèles physiologico-temporels.
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18.
The egg parasitoid, Edovum puttleri Grissell, was cultured from eggs of two Leptinotarsa hosts, L. decemlineata (Say) and L. texana Schaeffer, and experienced on eggs from three L. decemlineata food plants, namely potato, Solanum tuberosum tuberosum L., eggplant, S. melongena L., and tomato, Lycopersicon esculentum Mill. Host preference of the various cultures was determined using choice tests. parasitoid choices were influenced by the Leptinotarsa rearing host. Wasps, reared from L. decemlineata eggs from a mixture of all three food plants and experienced on egg masses from all three food plants, preferred to parasitize egg masses from potato. Wasps, reared from L. texana eggs from silver leaf nightshade, S. elaeagnifolium L., and experienced on egg masses from all three food plants, preferred to parasitize egg masses from tomato. Choices were also influenced by the herbivore's food plant that wasps were conditioned to. Wasps, reared from L. texana and experienced on egg masses from potato, preferred to parasitize egg masses from potato. Wasps, reared from L. decemlineata on potato and experienced on egg masses from potato, preferred to parasitize egg masses from potato. Wasps, reared from L. decemlineata on tomato and experienced on egg masses from tomato, did not display a distinct host preference. Within-egg mass parasitism (i.e., number of eggs per mass that were parasitized, probed, etc.) did not consistently differ among the three food plants. The implications of these data in parasitoid ecology and biological control programs for L. decemlineata are discussed.
Résumé L'oophage, E. puttleri a été élevé à partir des oeufs de Leptinotarsa decemlineata et L. texana. Il a été mis en expérience sur l'une des 3 plantes consommées par L. decemlineata: Solanum tuberosum tuberosum, S. melongena et Lycopersicon esculentum. Des expériences de choix ont permis de déterminer ses préférences pour les différentes catégories d'oeufs. Le choix de l'oophage est influencé par l'espèce de Leptinotarsa sur laquelle il a été élevé. E. puttleri élevé sur oeufs de L. decemlineata récoltés sur un mélange des 3 solanées, et mis en présence d'un choix de groupes d'oeufs provenant de ces 3 plantes, a parasité préférentiellement les oeufs récoltés sur S. t. tuberosum; élevé à partir d'oeufs de L. texana récoltés sur S. elaeagnifolium, et mis en présence d'un mélange de pontes des 3 solanées, il a préféré parasiter les oeufs provenant de L. esculentum. Son choix a été influencé aussi par la plante qui l'avait conditionné. E. puttleri, élevé à partir de L. texana et mis en expérience sur des pontes provenant de S. t. tuberosum a préféré pondre sur les oeufs provenant de cette solanée. De même, élevé à partir d'oeufs de L. decemlineata pondus sur S. t. tuberosum, il a préféré pondre sur les oeufs provenant de cette plante. Cependant, les oophages élevés à partir d'oeufs de L. decemlineata provenant de L. esculentum, et mis en présence de pontes provenant de L. esculentum, n'ont pas préféré significativement ces oeufs au détriment de ceux provenant des autres solanées, bien que les pontes récoltées sur L. esculentum aient été parasitées plus fréquemment quand 2 des 3 pontes (une de chaque plante) avaient été sondées ou parasitées. Le parasitisme à l'intérieur d'une ponte (nombre d'oeufs de la ponte parasités, sondés, etc) ne varie pas significativement avec la solanée d'origine. La discussion a porté sur les conséquences de ces observations sur l'écologie de l'oophage et sur la lutte biologique contre L. decemlineata.
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19.
The reproductive biology of G. pallidipes Austen was studied at 28°, 25° and 22° C. Experiments showed that incubation of puparia at 28° C resulted in sterility of both males and females. Incubation at 22° C resulted in a reduced fecundity of the females due to egg retention; the fertility of the males was not affected.Comparative studies with G. m. morsitans Westw. showed that G. m. morsitans puparia are less affected by a temperature of 28° C than are G. pallidipes puparia.
Effet de la température sur la reproduction de Glossina pallidipes, avec référence à G. m. morsitans
Résumé Les productivités de G. pallidipes Austen élevés au laboratoire pendant tout leur cycle à 22, 25 et 28° C, ont été comparées.A 28° C, la vie intrapupale est réduite à environ 23 jours, contre 30 jours environ à 25° C; la survie des adultes est plus brève qu'à 25° C et les mouches ne s'accouplent pas. Les ovaires présentent une rétention d'oeufs et seulement 1/3 des mâles contient des spermatozoïdes mobiles. A 22° C, le cycle est considérablement prolongé, la vie intrapupale durant environ 40 jours. Les femelles s'accouplaient environ 14 jours après l'émergence. Les ovaires présentaient une rétention d'oeufs, bien que moins souvent qu'à 28° C. Les mâles contenaient des spermatozoïdes mobiles.Des expériences avec changements de température à différents moments du cycle ont montré que la stérilité des mâles et des femelles est provoquée par l'incubation de pupes de G. pallidipes à 28° C. La mensuration des ovocytes montre à 28° C un effet nocif sur leur maturation. Des observations sur les testicules dans les pupes révèlent, par comparaison avec 25° C, que l'enroulement des testicules et des spermatozoïdes est retardé à 28° C, tandis que la pigmentation des testicules est retardée à 22° C. Les pupes de G. m. morsitans sont moins affectées à 28° C que celles de G. pallidipes.
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20.
The mechanisms adopted to ensure mating success, fertility and fecundity of E. insulana (reared in the laboratory on an artificial diet) were studied. Male moths mate only once a night but mate several times (mean 4.2) during their life span. Females will mate up to 3 times per night and an average of 2.6 times over their life span. One spermatophore can nevertheless be sufficient for a female to lay fertile eggs throughout her life with no reduction in potential fecundity.A female moth is ready to mate by the second night after emergence. The preoviposition period is greatly prolonged in unmated females. Thus if mating is delayed up to about the 9th night, eggs are saved to be laid, after mating, as fertile eggs. If mating is delayed to a greater extent, thus occurring after egg laying has already begun, the potential reduction in reproduction is not very great, because of the low daily (and total) egg-laying rate before mating and the increased longevity of unmated females.It appears reasonable to expect egg production to be substantially reduced only when a marked reduction in the effective proportion of adult males in a population is achieved.
Résumé Cette étude porte sur les mécanismes qui assurent le succès des accouplements, la fertilité et la fécondité d'E. insulana, élevé sur aliment artificiel en laboratoire.Les papillons mâles s'accouplent plusieurs fois (en moyenne 4, 2) au cours de leur vie mais seulement une fois par nuit et 2,6 fois en moyenne au cours de leur vie. Un seul spermatophore peut néanmoins être suffisant pour permettre à une femelle de pondre des oeufs fertiles tout au long de sa vie, sans réduction de sa fécondité potentielle.Un papillon femelle est apte à s'accoupler dès la 2ème nuit après l'émergence. La période de préoviposition est très prolongée chez les femelles non accouplés. Ainsi, si l'accouplement est retardé jusque vers la 9ème nuit, les oeufs sont conservés et peuvent être pondus après accouplement en demeurant fertiles. Si l'accouplement est retardé plus longtemps, après que la ponte ait déjà commencé, la réduction potentielle de la reproduction n'est pas très grande, en raison du faible taux de ponte journalier avant l'accouplement et de la longévité accrue des femelles vierges.Il semble que l'on quisse s'attendre à une réduction substantielle de la ponte seulement quand intervient une nette diminution du nombre des mâles présents dans la population
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