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1.
Gramine (N,N-Dimethyl-3-aminomethylindole) content in various barley cultivars varied from 0 to 2.6 mmoles/kg fresh weight. Those cultivars which were lacking gramine were the most susceptible to the aphid Rhopalosiphum padi (L.). The population growth rate of R. padi negatively correlated with gramine content in leaves of barley seedlings. In addition, gramine incorporated in artificial diets decreased survival, amount of diet ingested and reproduction of aphids at concentrations similar to those found in plant leaves. Thus, it is suggested that gramine may be one of the factors responsible for the resistance of barley seedlings to R. padi.
Résumé La teneur de gramine (N,N-dimethyl-3-aminomethyl-indole) dans différentes cultures de seigle présente des variations comprises entre 0 et 2,8 mmoles/Kg (poids frois). Les varietés dépourvues de gramine sont plus sensibles à l'attaque des pucerons. Le taux de croissance de la population des Rhopalosiphum padi a une correlation négative avec la teneur en gramine des feuilles de plantules de seigle. D'ailleurs, la gramine diminue les taux de nourrissement, de survie et de réproduction des pucerons alimentés avec des diètes artificielles contenant des concentrations du produit testé, similaire à celles trouvées pour les feuilles des plantes. Donc, on suggèrent que la gramine peut être un des facteurs responsables de la résistance des plantules de seigle contre l'attaque de Rhopalosiphum padi.
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2.
The probing behavior of greenbugs, Schizaphis graminum (Rondani), and oat-bird cherry aphids, Rhopalosiphum padi (L.), was electronically monitored on healthy oats, Avena sativa (L.), and on oats infected with the RPV-NY isolate of barley yellow dwarf virus (BYDV). S. graminum fed better on infected oats than on healthy oats. This was manifested by a shorter time before initiation of committed phloem ingestion, and by increased duration of ingestion from phloem of infected compared to healthy plants. In addition, on infected oats S. graminum made fewer interruptions in their probing once their stylets were inserted into tissues, including phloem. R. padi fed similarly on infected and healthy oats, except that these aphids made fewer short probes to the phloem (lasting <15 min) on infected compared to healthy oats. BYDV infection of oats increased the rate of population growth of S. graminum relative to that on healthy oats but had no effect on the population growth of R. padi. The proportion of aphids of R. padi which developed into alatae on BYDV-infected oats was significantly greater than on healthy oats, but S. graminum showed no such response.
Résumé Le comportement de sondage de S. graminum (Rond.) et de R. padi (L.) a été suivi électroniquement sur avoine (Avena sativa L.) saine ou contaminée par l'extrait RPV-NY du virus jaune du nanisme de l'orge (BYDV). S. graminum s'est mieux alimenté sur avoine contaminée que saine; ceci se traduisait par un temps de latence inférieur avant l'ingestion de phloème et par une prolongation de la période d'ingestion. De plus, sur avoine contaminée, S. graminum a moins souvent interrompu le sondage, une fois que les stylets avaient étè insérés dans les tissus, y compris le phloème. Les résultats avec R. padi présentaient les mêmes tendances, mais les améliorations des performances alimentaires de cette espèce sur avoine contaminée ont été moins nettes que pour S. graminum. La contamination de l'avoine par BYDV a accru le taux de croissance de la population de S. graminum par rapport à ce qui a été observé sur avoine saine; l'effet était moins prononcé pour R. padi. La proportion de pucerons devenant aliés était plus élevée sur avoine contaminée que saine, rien de tel n'a été observé avec S. graminum.
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3.
Life tables of Tetranychus urticae Koch were used to assess resistance to spider mites in five varieties of cotton in the southern San Joaquin Valley of California. Experiments were conducted during midseason and again in mid- to late season. The most resistant variety was Pima S-5 and the most susceptible was Acala SJ-2. Resistance of S-5 was expressed primarily as lower mite survivorship and fecundity. Developmental rates were similar on all 5 varieties. Although differences in the net reproductive rate (Ro) were large, there were only slight differences in the intrinsic rate of increase (r). Comparisons of the data in the first and second experiment, showed that resistance to spider mites increased as the plants matured. It is hypothesized that increased resistance associated with plant maturation results from a decrease in available nutrients in the leaves of older plants.
Résumé Les tables de vie de T. urticae Koch ont servi à la mise en évidence de la résistance de cinq variétés de coton dans la partie méridionale de la vallée de San Joaquin en Californie. Les expériences ont eu lieu à la mi-saison et à nouveau de la mi à la fin saison. La variété la plus résistante a été Pima S-5 et la plus sensible Acala SJ-2. La résistance de S-5 s'est traduite d'abord par une diminution de la survie et de la fécondité des acariens. Les taux de développement ont été les mêmes sur les cinq variétés. Bien que les différences entre les taux de reproduction nets (Ro) aient été importants, il n'y a eu que de légères différences entre les taux intrinsèques d'accroissement (r). La comparaison des résultats des lère et 2ème expériences a montré que la résistance aux acariens a augmenté quand les plantes ont mûri. L'hypothèse est émise d'un accroissement de la résistance lié à la maturation par suite d'une diminution de la quantité de'éléments nutritifs dans les feuilles des plantes âgées.
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4.
Second-stage integrated management of apple arthropod pests   总被引:2,自引:0,他引:2  
To date, integrated pest management (IPM) of arthropods in commercial apple orchards has been comprised almost exclusively of a suite of what we term first-stage IPM practices focused upon pest monitoring. These practices predict first appearance, rate of development, and abundance of pest and beneficial arthropods, which leads to recommendation of selective properly-timed pesticides as the sole tactic of controlling pests not effectively suppressed by beneficials. Here, we evaluated in Massachusetts the effectiveness of what we term second-stage IPM practices. These involved integration of pesticidal control of early season apple arthropod pests and behavioral, cultural and biological control of mid and late season apple arthropod pests in the absence of insecticide and acaricide application after mid June. The behavioral approach consisted of ringing the perimeter of several apple orchard blocks (each ca. 1 ha) with sticky-coated red spheres baited with synthetic apple odor to intercept immigrating Rhagoletis pomonella (Walsh) flies. The cultural approach focused on removing unmanaged host trees in a ring around the orchard block perimeter to prevent entry of Cydia pomonella (L.) and Argyrotaenia velutinana (Walker) females. The biological approach emphasized buildup of natural enemies of foliar pests in an orchard environment free of insecticide and acaricide use after mid June.During the second year (1988) of second-stage IPM implementation, test blocks in which baited red spheres were placed 5 m apart on perimeter apple trees and in which all unmanaged host trees within 100 m of the block perimeter had been removed received only 0.6% combined fruit injury by the above and all other pests active after mid June. Nearby blocks treated under first-stage IPM practices received 0.4% combined injury from such pests. As revealed by unbaited within-block monitoring traps, comparatively few R. pomonella flies penetrated the ring of interception traps, despite the large numbers caught on the latter. Beneficial predators of pest mites and aphids were nearly twice as common in second-stage as first-stage IPM blocks. Total cost was essentially the same for second-stage as first-stage IPM practices. But we propose a potentially much less costly, labor-saving method as a substitute for using a sticky substance to control R. pomonella flies alighting on perimeter-tree spheres.
Résumé A ce jour, la lutte intégrée (IPM) contre les arthropodes des vergers commerciaux de pommiers, —que nous nommons IPM de première génération —, est conçue presque exclusivement comme une suite de pratiques focalisées sur l'interception des insectes nuisibles. Ces pratiques calculent d'abord la date d'apparition, la vitesse de développement et l'abondance des phytophages et des entomophages, conduisant à l'épandage à des dates appropriées d'insecticides sélectifs, comme seule tactique de protection contre les phytophages qui ne sont pas supprimés efficacement par des entomophages.Nous avons examiné au Massachusetts l'efficacité de ce que nous avons appelé le seconde génération d'IPM. Elle implique l'intégration de la lutte chimique contre des insectes consommateurs précoces, et de la lutte comportementale, culturale et biologique contre les insectes de pleine saison et tardifs, sans traitements insecticides ou acaricides des pommiers à partir de la mi-juin.L'approche comportementale consiste à encercler plusieurs massifs de pommiers (chacun de 1 ha) avec des sphères rouges engluées d'odeur synthétique de pommier pour intercepter les vols de Rhagoletis pomonella Walsh. L'approche culturale est concentrée sur l'élimination autour du verger des pommiers non inclus dans le programme de protection pour empêcher la pénétration de femelles de Cydia pomonella L. et Argyrotaenia velutinana Walker. L'approche biologique insiste sur la mise en place après la mi-juin des entomophages des ennemis du feuillage dans un verger sans insecticide ni acaricide.Pendant la seconde année (1988) de l'application du programme, les fruits attaqués par tous les phytophages après la mi-juin n'ont été que de 0,6% pour les parcelles d'arbres témoins dans lesquels les pièges rouges avaient été placés tous les 5 mètres sur les arbres du pourtour et dont les arbres non inclus dans l'expérience, avaient été enlevés sur une bande de 100 m autour de la parcelle. Des parcelles proches, traitées avec IPM première génération, avaient un taux d'attaque de 0,4% par les mêmes espèces d'arthropodes. Par rapport aux parcelles sans sphères rouges, relativement peu de R. pomonella ont pénétré au-delà de la rangée de pièges, malgré le grand nombre de mouches capturées dans ceux-ci. Les prédateurs d'acariens et de pucerons nuisibles étaient 2 fois plus abondants dans les parcelles protégées par IPM de deuxième génération, que dans celles protégées par IPM de première génération. Les coûts totaux sont à peu près les mêmes, mais nous proposons une méthode potentiellement beaucoup moins coûteuse, demandant moins de maind'uvre, par remplacement l'utilisation de la glue sur les sphères comme protection contre la pénétration de R. pomonella dans la parcelle.
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5.
Dacus tryoni (Frogg.) (Diptera: Tephritidae) is the main tephritid pest of cultivated fruits in Australia. D. jarvisi (Tryon) is also able to infest these fruits. Some factors influencing the rate at which D. tryoni and D. jarvisi exploit patches of host fruits were examined to determine whether one species may have an advantage when they exploit the same fruits in the field. Measurements of the intrinsic rate of increase, ovariole number, clutch size and egg size and the influence of body size on these parameters were made for both species in the laboratory. Up to 10 weeks of age D. tryoni produced twice as many eggs as D. jarvisi, most during a peak 3–5 weeks after adult emergence. The difference in fecundity up to 10 weeks can be explained partly by the higher number of ovarioles in D. tryoni (38/ovary) compared to D. jarvisi (27/ovary). In addition D. tryoni produces smaller eggs than D. jarvisi and distributes them in smaller clutches; 3–4 eggs/clutch vs 10–15. In both species there was a positive correlation between ovariole number and body size (as measured by wing length). By contrast, egg size remained constant over a broad range of body sizes. The influence of these life history differences on the interaction between D. tryoni and D. jarvisi in the field is discussed.
Résumé D. tryoni Frogg est la principale téphrididae nuisible aux fruits cultivés en Australie. Cependant, plusieurs autres espèces de Dacus, dont D. jarvisi Tryon sont susceptibles de contaminer ces fruits. Quelques facteurs influant sur le taux de contamination de fruits ont été examinés pour déterminer si une espèce peut être avantagée lors de l'exploitation des mêmes fruits dans la nature. L'influence de la taille de l'adulte sur le taux d'accroissement intrinsèque, sur le nombre d'ovarioles, sur l'effectif des pontes et sur la taille des ufs a été examinée au laboratoire sur les 2 espèces. Pendant les 10 premières semaines, D. tryoni produit 2 fois plus d'ufs que D. jarvisi, la plupart étant pondus entre la 3e et la 5e semaines après l'émergence. La production de D. tryoni diminue rapidement après ce maximum. D. jarvisi ne présente pas ce maximum précoce, et la production des ufs se fait au même rythme entre les 3e et 7e semaines, avant de diminuer graduellement. La différence de fécondité au bout de 10 semaines peut être expliquée partiellement par le plus grand nombre d'ovarioles de D. tryoni (38/ovaire) contre 24/ovaire pour D. jarvisi. De plus, D. tryoni forme des ufs plus petits que D. jarvisi et l'effectif de chacune de ses pontes est plus limité: 3 à 4 ufs contre 10 à 15. Chez les deux espèces, il y a une relation directe nette entre le nombre d'ovarioles et la taille du corps de la femelle (mesurée par la longueur de l'aile). Par contre, la taille des ufs est indépendante d'une grande gamme de tailles du corps des femelles. Les caractéristiques biologiques de D. tryoni le rendent capable de contaminer rapidement les bouquets de fruits qu'il vient de coloniser, ce qui réduit les disponibilités pour les autres espèces susceptibles de contaminer ces fruits. Dans le cas particulier de D. jarvisi, D. tryoni a peu d'impact sur son niveau de population, puisque D. jarvisi peut exploiter aussi son hôte d'origine, Planchonia careya: Il ne tend à entrer en compétition avec D. tryoni que pour une ou deux générations tardives en été, quand l'hôte partage (la goyave) est souvent abondant. Néanmoins, si les fruits sont rares à cette époque ou si les 2 espèces sont obligées de partager leurs hôtes pendant plusieurs générations (hors de l'aire de Planchonia), D. tryoni aura un avantage certain.
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6.
Behavioural experiments with Nemeritis canescens Grav. have demonstrated that the secretions from its Dufour's gland are used as a marker pheromone which can affect the behaviour of other wasps towards host caterpillars bearing it. The external marker is produced within the complex of secretions from the Dufour's gland and has oviposition deterrent effect which lasts approximately 32 h after deposition.The sequence of behaviour patterns shown by individual Nemeritis is described and shows a significant increase in escape and avoidance reactions towards Ephestia caterpillars treated topically with the Dufour's gland contents.This paper presents evidence for the first time to indicate that Nemeritis reacts to an external marker as well as to an internal one. Similar behaviour towards filter paper treated topically with contents of whole Dufour's gland and its component heneicosane contribute evidence for the conclusion that the gland contents influence the wasp's behaviour and hence its avoidance of superparasitism of its host.
Effets temporels de la sécrétion de la glande de Dufour sur la sélection des hôtes par Nemeritis canescens grav
Résumé Des expériences sur le comportement de N. canescens ont montré que les sécrétions de la glande de Dufour sont utilisées comme phéromone de marquage pouvant affecter le comportement des autres hyménoptères face aux chenilles contaminées. Ce maqueur externe est produit à partir des sécrétions de la glande de Dufour, il a un effet dissuasif qui dure environ 32 heures après son émission.La séquence des actes comportementaux de Nemeritis montre un accroissement significatif de réactions de fuite et d'évitement face à des chenilles d'Ephestia traitées superficiellement avec du contenu des glandes de Dufour.Cet article prouve pour la première fois que Nemeritis réagit aussi bien à des marqueurs externes qu'internes. Un comportement analogue vis à vis de papier filtre imprégné du contenu des glandes de Dufour et de son constituant hénéicosane constitue une preuve que le contenu de la glande influe sur le comportement de l'hymenoptère et ainsi lui évite de superparasiter ses hôtes.
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7.
The olfactory response from male pheromone sensitive sensilla was investigated in the endemic New Zealand brownheaded leafrollers Ctenopseustis obliquana (Walker) and C. sp. ropeana (Lepidoptera, Tortricidae). The responses from 281 sensilla from the parental strains and from both the reciprocal crosses, including F1, F2 and maternal and paternal backcrosses were recorded, and statistically analysed using a multivariate analysis.In males of both the parental strains, a large amplitude cell responded to the main pheromone component of the conspecific female, in C. obliquana (Z)-8-tetradecenyl acetate (Z8-14:OAc) and in C. sp ropeana (Z)-5-tetradecenyl acetate (Z5-14:OAc). Both male types also possessed a small amplitude cell, which in C. obliquana responded weakly to Z5-14:OAc and tetradecyl acetate (14:OAc), and in C. sp ropeana responded to Z8-14:OAc. The responses from the different types of hybrid males were more variable than the responses from parental males. A main pattern could, however be seen, corresponding with the expected pattern in a sex-linked inheritance on the Z-chromosome of a C. sp ropeana type dominant genetic factor. The more pronounced variation in the hybrids could not be explained by this model, and might be due to the involvement of additional genes.
Résumé Les réactions olfactives des sensilles mâles sensibles aux phéromones ont été examinées par enregistrement de l'extrémité de la sensille chez les tordeuses C. obliquana Walker et C. sp. ropeana. Les enregistrements ont porté sur 281 sensilles des lignées parentales et des croisements réciproques de F1, F2 et de croisements en retour maternel et paternel. Les résultats des enregistrements d'une sensille ont été soumis à une analyse en composantes principales.Chez les mâles de chaque lignée parentale un seul type physiologique de sensille a été découvert; une cellule répond par un pic grand au principal constituant de la phéromone femelle conspécifique. (Z)-8-acétate tétradécényl (Z8-14:OAc) pour C. obliquana, et (Z)-5-acétate tétradécényl (Z5-14:OAc) pour C. sp. ropeana. Une seconde type de cellule dans les sensilles des deux espèces de mâles présente un pic petit pour Z5-14:OAc et pour l'acétate tétradécyl (14:OAc) chez C. obliquana, et pour C. sp. ropeana au Z8-14:OAc. Les réponses des sensilles des différents types de mâles hybrides sont plus hétérogènes que celles des sensilles de leurs pères. Un schéma général pourrait cependant être décelé, correspondant au schéma prévu avec une hérédité d'un facteur dominant liée au sexe sur le chromosome Z de C. sp. ropeana. La variation plus accentuée chez les hybrides ne peut être expliquée par ce modèle, et pourrait impliquer des gènes additionnels.
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8.
Endoproteinase activity was confined to luminal fluid from anterior and posterior ventricular regions of midguts of larvae of the sweetpotato weevil,Cylas formicarius elegantulus (Summers). Aminopeptidase was found in luminal fluid (18%) but was primarily associated with insoluble fractions from cells of the posterior ventriculus (82%). Depending on substrate, carboxypeptidase activity was about equally distributed between luminal fluid and insoluble fractions from posterior ventriculus cells. Amylase was found in luminal fluid in both the anterior and posterior ventriculus. Five bands of amylase activity were detected on starch zymograms following electrophoresis of whole midgut samples. Three of the amylase bands may be plant-derived. At least two -glucosidases were present, one secreted and one bound to anterior ventriculus cells. -Glucosidase activity was bound to anterior ventriculus cells whereas -galactosidase activity was confined to luminal fluid. -Galactosidase and cellulase activities were found in both luminal fluid and the insoluble cell fraction. Thus, initial digestion of large protein and carbohydrate polymers occurs in luminal fluid in both anterior and posterior ventriculus regions. However, terminal digestion of oligopeptides occurs primarily in the posterior ventriculus while terminal digestion of oligosaccharides occurs in the anterior ventriculus.A 20-fold difference in trypsin-inhibitor concentration was found among five sweetpotato cultivars. Endoproteinases from sweetpotato weevil larvae were inhibited by extracts from the cultivars but cultivars with relatively high concentrations of inhibitor were previously shown to be susceptible to weevil attack in field trials.
Distribution des protéinases et des carbohydrases dans l'intestin moyen des larves deCylas formicarisus elegantulus et réponse des proténases aux inhibiteurs d'Ipomoea batatas
Résumé L'activité endoprotéinase était limitée au liquide de la lumière des régions ventriculaires antérieure et postérieure de l'intestin moyen des larves deCylas formicarius elegantulus Summers. Les aminopeptidases ont été trouvées dans le liquide de la lumière (18%), mais étaient principalement associées avec les fractions insolubles des cellules du ventricule postérieur (82%). Suivant le substrat, l'activité carboxypeptidase était à peu près également répartie entre le liquide de la lumière et les fractions insolubles des cellules du ventricule postérieur. L'amylase, enzyme secrétée, a été observée à la fois dans la lumière antérieure et postérieure. Cinq bandes d'activité amylase ont été révélées sur zymogrammes d'amidon après électrophorèse d'intestins moyens entiers. Trois des bandes d'amylase pouvaient provenir de la plante. Il y avait au moins 2 -glucosidases, une secrétée et une liée aux cellules du ventricule antérieur. L'activite -glucosidase était liée aux cellules du ventricule antérieur, fandis que l'activité -galactosidase était limitée au fluide de la lumière. Les activités -galactosidase et cellulase ont été trouvées à la fois dans le liquide de la lumière et dans la fraction cellulaire insoluble. Ainsi, la digestion initiale des grosses protéines et des polymères de carbohydrates se produit dans le liquide de la lumière dans les régions ventriculaires antérieure et postérieure. Cependant, l'achèvement de la digestion des oligopeptides se produit principalement dans le ventricule postérieur, tandis que la fin de la digestion des oligosaccharides se produit dans le ventricule antérieur.Les concentrations en inhibiteurs de trypsine de 5 cultivars d'I. batatas L. diffèrent de 1 à 20. Les endoprotéinases deC. formicarius elegantulus ont été inhibées par des extraits de cultivars, mais les cultivars avec des concentrations relativement élevées d'inhibiteur avainent antérieurement montré être susceptibles d'être attaqués par le coléoptère dans des essais en champs.
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9.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

10.
The response of tephritid fruit flies to variously coloured sticky traps was studied in the field in southeastern Queensland over three seasons (1978–81). Three species, Dacus tryoni (Froggatt), D. neohumeralis Hardy and D. cacuminatus (Hering), made up the majority of the flies captured. On a per unit area basis, a sticky flat trap was more efficient than a sticky wing trap and was adopted as the trap design. Daylight fluorescent (DF) Saturn Yellow captured significantly more flies than any of the other ten colours, or perspex and aluminium foil, tested, although the DF colours Lime, Blaze Orange and Emerald were also attractive. There was a significant correlation between the number of flies captured by a colour and the difference, in nanometres, between the peak reflected wavelength of the colour and 550 nm which is quoted as the peak wavelength reflected by green leaves. The three species did not differ in their responses to the coloured traps, and more males than females were captured. When either cuelure or methyl eugenol was added to the sticky traps no one colour emerged as significantly superior, but the yellow, and yellow/green DF colours consistently caught more flies. The attractiveness of coloured traps declined as the number of flies captured increased. The efficiency of Steiner and McPhail traps was not increased by the addition of any attractive colour. Of various possible trap shapes of equivalent surface area, circular and square traps captured more flies than did triangular, rectangular and diamond shaped traps. When spheres were tested, those of 10 cm diameter captured more flies than those of 5 cm diameter, and more flies were caught on black, than on yellow or green spheres.
Résumé Plusieurs espèces de téphritidées, principalement Dacus tryoni, D. neohumeralis et D. cacuminatus, ont été capturées avec des pièges gluants colorés dans le S.E. Queensland (Australie) pendant 3 saisons (1978–81). Des pièges plats de 15×20 cm ont capturé plus de mouches/cm2 que des pièges ailés formés par 2 plans à 90°. Les couleurs jaune-vert ont été préferées par les 3 espèces, le jaune saturne lumière du jour fluorescent ayant été le plus attractif. Une corrélation significative a été trouvée entre le nombre de mouches capturées par une couleur et la différence en nanomètres entre le mode des longueurs d'onde reflétées par cette couleur et 550 nm considéré généralement comme le mode des longueurs d'onde reflétées par les feuilles vertes. Les 3 espèces ont montré les mêmes réponses aux pièges colorés et le nombre de mâles avait tendance à excéder celui des femelles. Quand de la cuelure ou du méthyl eugénol étaient ajoutés aux pièges gluants, aucune couleur n'était significativement supérieure, mais les couleurs fluorescentes lumière du jour jaune et jaune-vert ont capturé nettement plus de mouches que le bleu, l'orange, le rouge, le noir, le blanc, la feuille d'aluminium ou le perspex clair. Le taux de capture diminuait plus le nombre de mouches sur le piège augmentait. Ceci peut expliquer la diminution apparente de la discrimination entre les couleurs quand des leurres mâles sont posés sur les pièges. Des expériences avec des pièges tachetés et un retrait quotidien des mouches ont montré que la diminution d'attractivité était une réponse à un stimulus visuel. Après plusieurs jours d'exposition, un piège de couleur relativement peu attractive, capturant des mouches à un taux faible mais appréciable, a capturé un nombre de mouches voisin de celui d'un piège de couleur attractive qui avait commencé par capturer un grand nombre de mouches, mais avait vu baisser son attractivité par suite de la présence des mouches captives. Les données hebdomadaires sur les captures n'ont pas présenté de différences suivant les couleurs, mais la sommation des captures quotidiennes (avec retrait quotidien des mouches) sur la même période a montré des différences d'attractivité significatives.Les pièges de Steiner et de McPhail n'ont présenté aucun taux de capture différent quand ils étaient peints sur les 2/3 inférieurs avec des couleurs attractives jaune-vert.Des sphères noires ont capturé plus de mouches que des sphères rouges, jaunes ou vertes, et des sphères de 10 cm de diamètre étaient plus attractives que celles de 5 cm.Quand un choix de pièges plats de la même couleur et de la même surface mais de formes diverses a été proposé aux mouches, les pièges circulaires et carrés ont capturé plus de mouches que les pièges triangulaires, rectangulaires ou rhombiques.
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11.
Plants of perennial ryegrass, Lolium perenne L., infected with an endophytic fungus, Acremonium loliae Latch et al. were toxic to house crickets, Acheta domesticus L. Death followed progressive inactivity, culminating in 100% cricket mortality by 84 h. The epithelial lining of the crop and proventriculus of affected crickets was progressively loosened and detached, resulting in complete failure of the alimentary process.Besides the house cricket which is an acridid, antibiosis of a number of coleopterous and lepidopterous pests on endophyte-infected ryegrasses has been previously reported. Thus, the endophyte is an important source of insect resistance which plant breeders can incorporate into new crop varieties.
Résumé Des expériences ont été faits sur des grillons, Acheta domesticus L., avec des plantes de raygrass vivaces, Lolium perenne L., qui étaient, ou non-infectées par un champignon endophyte, Acremonium loliae Latch, Christensen et Samuels. Les grillons se nourrisant de raygrass infectés ont montré un degré de mortalité beaucoup plus elevé, en 48 heures, que les grillons se nourrissant de raygrass non-infectés. En l'espace de 84 heures, les grillons se nourrissant des trois sortes de raygrass infectés ont montré un pourcentage de mortalité de 100%. La mort a suivi l'inactivité progressive qui est symptomatique des inhibiteurs métaboliques.Les dissections de grillons paralysés ont révélé l'existence d'un estomac antérieur distendu et plus transparent. Le proventricule aussi était transparent, mais moins que l'estomac antérieur. La transparence de l'estomac antérieur, spécialement le jabot, a résulté d'une extension progressive et du ramollissement de l'épithélium intestinal et des groupes de muscles longitudinaux insérés dedans, et éventuellement ces cellules sont éliminées. Ces profonds changements histopathologiques inhibent apparemment le fonctionnement de l'estomac antérieur du grillon avec comme résultat l'inhibition de tout le processus alimentaire.En plus, des excroissances ressemblant à des tumeurs ont été observées dans les jabot des grillons, qui avaient été nourris d'un des trois raygrass infectés par le champignon endophyte. Apparemment, ces excroissances anormales ont été les résultats de l'activation prématurée des groupes de nidi. Quand elles étaient pleinement formées, ces masses se sont séparées de l'épithélium du jabot et ont obstrué la lumière. L'étude de l'étologie et de la pathologie de ces excroissances anormales requiert un travail supplémentaire.Les raygrass infectés par un champignon endophyte sont toxiques pour un certain nombre d'éspèces différentes d'insectes, tels que le Argentine stem weevil Listronotus bonariensis (Kuschel), le bluegrass billbug Sphenophorus parvulus (Gyllenhal) et les larves de sod webworm lépidoptères (plusieurs orthographes). Ainsi, l'endophyte est une source importante de résistance des insectes que les éleveurs de plantes peuvent incorporer donc les nouvelles variétés de cultures.
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12.
Constitutive (i.e., preformed) parameters of Mexican bean beetle (MBB) resistance were demonstrated in PI 227687 soybeans grown under highly controlled and reproducible biotron environmental conditions which favored optimal plant growth and development. Constitutive antifeedants in PI 227687 against the beetle were variously soluble in hexane, ethyl acetate and 100% methanol. Antifeedants also remained in the aqueous residue after the sequential organic extractions. PI 227687 and MBB-susceptible Davis soybean lines each showed characteristic temporal patterns of L-phenylalanine ammonia-lyase activity. Healthy PI 227687, but not healthy Davis, also showed a characteristic temporal pattern of L-tyrosine ammonia-lyase activity. Activities of the above two enzymes are positively correlated with plant phenylpropanoid metabolism. PI 227687 and Davis leaves did not differ in content of total phenols. Products from phenylpropanoid metabolism apparently contribute to PI 227687 resistance to MBB feeding.
Résumé Les paramètres de la résistance spontanée (c.a.d. non induite) du soja à E. varivestis ont été examinés sur des PI 227687 cultivés dans des conditions contrôlées et reproductibles d'un phytotron assurant une croissance et un développement optimaux. Les antiappétants de PI 227687 contre E. varivestris présentaient différentes solubilités dans l'hexane, l'acétate, d'éthyle et le méthanol à 100%. Les produits du métabolisme phénylpropanoïde des plantes, y compris les phytoalexines, sont fortement solubles dans un ou plusieurs de ces solvants. Les antiappétants sont restés dans le résidu aqueux après les extractions organiques séquentielles. Les PI 227687 sains, ainsi que les Davis susceptibles ont présenté les caractéristiques temporelles de l'activité tyrosine-amonia lyase. Les niveaux d'activité de ces deux enzymes sont très significativement corrélés avec le métabolisme phenylpropanoïde de la plante. Les teneurs en phénols totax de PI 227687 et Davis ne présentaient pas de différences. Les résultats semblent compatibles avec la présence des produits aglycônes du métabolisme phénylpropanoïde comme paramètres spontanés principaux de la résistance de PI 227687 à E. varivestis.
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13.
The extent to which the parasitoid Cotesia glomerata (L.) (Hymenoptera: Braconidae) discriminates between parasitised and unparasitised host larvae was tested by comparing the mean clutch sizes laid in thirty unparasitised and thirty parasitised two day-old Pieris brassicae (L.) (Lepidoptera:Pieridae) larvae. No eggs were laid in any of the previously-parasitised hosts. In contrast, eggs were laid in all but two of the unparasitised hosts. Most host-rejections involved only a brief insertion of the ovipositor, lasting two seconds or less. However, nearly a third occurred after a more prolonged insertion of the ovipositor, with a mean duration of twenty seconds: not significantly different from that of a normal oviposition.
Résumé Cotesia glomerata (L.) (Hymenopteres: Braconidae) montre deux types de comportement associés à l'oviposition et à l'insertion dans des larves (Pieris brassicae (L.), Lepidoptères: Pieridae) hôtes. Dans le premier cas, il s'agit d'une longue insertion de l'ovipositeur d'une duree de cinq a vingt secondes d'habitude. Dans le second cas, on voit le comportement après une insertion de l'ovipositeur durant deux secondes ou moins. Chez les C. glomerata et chez les autres espèces parasitoides, la première catégorie de comportement a été interprétée comme pondaison (comportement ovipositif) quand à la seconde, elle a été définie comme rejet des hôtes préparasitisés (ou comportement exploratoire). Dans cette étude-ci, on a enregistré la réaction (ovipositive exploratoire) de six guêpes chacuner exposées alternativement à cinq larves parasitisées et à cinq larves non parasitisées âgées de deux jours, le nombre d'ufs pondus dans chacune etant déterminé par dissection. Les ufs pondus par les premières et deuxièmes femelles pouvaient être distinguées par leur grandeux et par leur apparence. Parmi les trente hôtes nonparasitisés initialement, vingt-huit furent parasitisés durant leur comportement ovipositif. On a exploré l'un trouvant qu'aucun uf n'avait été pondu. La guêpe avait montré un comportement ovipositif envers un autre hôte sans pondre d'uf. Aucun des trente hôtes parasitisés auparavant et qui furent réexposés n'avait été super parasitisé. On avait testé vingt et une hôte et la guêpe avait réagi ovipositivement à neuf d'entre eux sans pour autant pondre d'uf. Il n'y avait pas eu de différence marquante entre la durée moyenne d'un comportement ovipositif des guêpes s'attaquant à des hôtes non-parasitisés (lorsque des ufs avaient été pondus dans tous les cas sauf un) et par celles qui s'étaient attaquées à des hôtes parasitisés (alors qu'aucun uf n'avait été pondu).
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14.
Quality control charts were employed to monitor the quality of several parameters during mass rearing of the T : Y(wp +)30C strain of Ceratitis capitata (Wiedemann), in which male and female flies emerge from brown and white puparia, respectively. Egg hatch and pupal recovery in this genetic sexing strain were below that reported for a wild-type Sohag strain, whereas pupal size, adult emergence and flight ability were higher. The overall recovery from eggs to adult flies capable of flight was similar in the two strains but egg production in T:Y(wp +)30C was reduced to about 56% of that of Sohag. The quality control charts showed an acceptable level of variation within sets of data but the level between data sets was occasionally out of control. This indicated the presence of uncontrolled conditions during the rearing process, possibly arising from variations in the quality of the larval diet. It is concluded that the quality of T : Y(wp +)30C renders this strain suitable for mass rearing in sterile insect technique (SIT) programmes requiring the elimination of the female flies prior to the release of sterilized males. The next step should involve further quality assessments both under field cage and under field release conditions. The importance of optimal and standardized dietary conditions is stressed in relation to the quality of mass reared medflies.
Résumé Des normes de qualité ont été utilisées pour relever la valuer de plusieurs paramètres lors de l'élevage industriel de la souche T : Y(wp +)30C de C. capitata Wied. dont les mâles et les femelles émergent respectivement de pupes brunes et blanches. Les taux d'éclosion et d'obtention de pupes sont plus faibles avec cette souche qu'avec la souche souvage Sohag; par contre, la taille des pupes, le taux d'émergence des adultes et l'aptitude au vol étaient plus élevés. La fréquence totale des adultes capables de voler par rapport au nombre initial d'ufs a été de 0,297 contre environ 0,311 pour Sohag. Cependant, la production d'ufs a été réduite à environ 56% de celle de Sohag. Les tableaux de contrôle de la qualité ont révélé un niveau de variation acceptable à l'interieur rieur des lots de données, mais la variabilité entre les lots excédait les normes admissibles. Ceci implique des paramètres incontrôlés pendant l'élevage de masse, probablement liés à des variations de la qualité de l'aliment. On peut en conclure que la qualité de la souche T : Y(wp +)30C la rend utilisable pour un élevage de masse dans des programmes d'utilisation d'insectes stériles (SIT) exigeant l'élimination des femelles avant le lâcher de mâles stériles. La prochaine étape impliquera de nouvelles épreuves de qualité dans des cages en champ et dans les conditions de libération dans la nature. L'importance des conditions optimales d'une alimentation standardisée est soulignée par la qualité des mouches obtenues en élevage de masse.
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15.
A morphometric analysis of biotypes 1, 2 and 3 from the International Rice Research Institute, Philippines, reared respectively on rice cultivars TN1, Mudgo and ASD7, showed significant differences, but some overlap between them. When the three biotypes were each reared for a single generation on TN1, morphometric differences were very greatly reduced and the distributions widely overlapped.Biotypes 2 and 3 were significantly less fecund than biotype 1 when reared on their normal host varieties. When all were reared on TN1, biotype 3 showed a somewhat lower fecundity than did 1 and 2, but the difference was less than previously reported.It is concluded that the evidence for the association of morphometric differences with virulence characteristics inN. lugens is not proved. Equally there is no evidence that morphometric data may be used to identify field populations with distinct patterns of virulence.
La signification des différences morphométriques et de fécondité entre des biotypes deNilaparvata lugens
Résumé Ce que l'on a appelé des biotypes deN. lugens sont des populations caractérisées par différents types de virulence à l'égard de différents cultivars résistants de riz, mis en évidence par des essais variétaux systématiques. Différents chercheurs ont tenté de trouver des caractères morphologiques pour identifier ces biotypes.Nous avons fait une analyse morphométrique des biotypes 1, 2 et 3 de l'International Rice Research Institute (IRRI) Philippines. Quand ils sont élevés sur leur propre varieté — biotype 1 sur TN1, 2 sur Mudgo, 3 sur ASD7 — des différences significatives sont observées, bien qu'il y ait un chevauchement considérable. Quand les 3 populations biotypes sont élevées sur la variété sensible TN1, les différences morphométriques sont réduites et le chevauchement fortement augmenté. Nous pourrions alors conclure qu'une part importante de la différenciation morphométrique est due à des facteurs écologiques et non à des différences génétiques entre les populations. Des chercheurs avaient indiqué des différences de fécondité entre les biotypes de l'IRRI, le biotype 3 étant significativement moins fécond; les résultats publiés son contradictoires. Nos observations suggèrent une certaine diminution de la fécondité pour le biotype 3 élevé sur TN1, mais plus limitée que les autres auteurs ne l'avaient envisagée.Nous en concluons qu'il n'y a pas de véritable preuve pour étayer l'hypothèse que les biotypes deN. lugens sont caractérisés par des paramètres morphométriques génétiquement déterminés. Il est alors fallacieux de suggérer que de tels caractères pourraient être utilisés pour identifier des populations avec différents types de virulence. Nous repoussons aussi l'hypothèse que les biotypes représentent une étape dans le processus de spéciation.
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16.
Plant chemicals in three cruciferous crop species, Brassica napus L., B. juncea (L.) Czerniak, and Sinapis alba L., that stimulate oviposition in the diamondback moth, Plutella xylostella (L.) (Lepidoptera: Plutellidae) were investigated in laboratory bioassays. Aerial portions of 4- to 6-week-old plants were extracted and fractionated using ion-exchange liquid chromatography. The oviposition stimulants were identified as glucosinolates, which are found in all Brassicaceae species. Activity of extracts was largely eliminated by treatment with myrosinase or sulphatase, enzymes which degrade glucosinolates. Reference standards of the same glucosinolates and in the same concentrations as in the extracts were equally stimulatory. A test with eight different glucosinolates demonstrated that the moths do not discriminate between glucosinolates with different side-chain structures. However, in tests using allylglucosinolate the oviposition response was dose-dependent. One of the species tested, S. alba, contained a possible oviposition deterrent.
Résumé Les produits chimiques trouvés dans trois espèces de crucifères cultivées, Brassica napus L., B. juncea (L.) Czerniak, et Sinapis alba L., qui stimulent l'oviposition chez la teigne des crucifères, Plutella xylostella (L.) (Lepidoptera: Plutellidae) ont été examinés. La partie aérienne des plants agés de 4 à 6 semaines a été extraite avec le methanol bouillant à 80%, le methanol pur, et l'éther. La concentration par filtration sur célite a donné comme resultat un extrait aqueux. Le materiel restant sur la célite a été dissout avec hexane pour donner un extrait lipophillique. L'extrait aqueux a été fractionné à l'aide de la chromatographie liquide sur échangeur d'ion pour donner trois fractions: neutre, cationique, et anionique. Les extraits et les fractions ont été ajustés à 1 g poids frais de tissu de plant par ml, appliqués sur du papier filtre, et exposés aux papillons femelles dans les essais de choix d'oviposition. L'oviposition a été stimulée fortement en présence de l'extrait aqueux, la fraction anionique, et quelque sous-fractions anioniques. Plus tard, il a été déterminé que ces derniers contenaient des glucosinolates.Chez les trois espèces de crucifères, les stimulants d'oviposition ont été identifiés comme étant des glucosinolates, que l'on retrouve dans toutes les espèces de crucifères. L'activité des extraits a été éliminée en grande partie par traitement avec myrosinase ou sulphatase, des enzymes qui dégradent spécifiquement les glucosinolates. Des standards de references des mêmes glucosinolates et aux même concentrations que dans les extraits ont eu également un effet stimulant. Un essai avec huit glucosinolates differentes à une concentration de 50 g/ml appliquées sur du papier filter à 3.2 g/cm2 a démontré que les papillons ne discriminent pas entre les glucosinolates possédant des chaines secondaires differentes. Par contre, dans les essais utilisant l'allylglucosinolate, la réponse d'oviposition a été dépendente de la dose. S. alba a semblé contenir un inhibiteur de l'oviposition, qui est retrouvé dans l'extrait aqueux mais non pas dans la fraction anionique.
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17.
Eucelatoria bryani Sabrosky (Diptera: Tachinidae) successfully parasitized 2nd through 5th instars and prepupal Heliothis zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae) in the laboratory. Percent successful parasitism (that which resulted in the production of adult parasitoid progeny) increased with host developmental state, reaching 95% in 5th instars, but fell to 63% in prepupae. While 25% of the exposed prepupae metamorphosed to pupae, none developed into adults. E. bryani maggots emerged from only 5% of H. zea pupae. The mean number of fly puparia and adults produced per successfully parasitized larva increased with host stadium, reaching 14.5±1.33 (SEM) and 10.6±1.02, respectively, in prepupae. The sex ratio of adult parasitoid progeny per host larval stadium was variable, and did not appear to follow a pattern. A formula for calculating a host favorability index is presented. This index allows a direct comparison of the overall impact and reproductive potential of E. bryani attacking hosts of varying developmental states.
Résumé Les influences de l'état de développement de l'hôte sur le taux de parasitisme, la production de descendants, l'émergence des adultes et le taux sexuel de la techinaire E. bryani Sabrosky ont été examinés au laboratoire. Un parasitisme réussi,-qui entraîne la formation d'un parasitoïde adulte-, s'effectue dans les chenilles de stades 2 à 5 et dans les prénymphes d'Heliothis zea Boddie. II s'agit d'un élargissement considérable de la gamme connue des tailles convenables d'hôtes. Bien que le parasitisme n'ait jamais réussi avec les chenilles de premier stade, une très forte mortalité, 93% a été observée quand ces petites chenilles ont été exposées à la tachinaire. Pour permettre l'introduction par le larvipositeur des asticots dans la chenille, la mouche perfore la cuticule de l'hôte avec un sclérite modifié; ainsi, une grande partie de la mortalité est provoquée vraisemblablement par le traumatisme dû au parasitoïde. Le succès du parasitisme a augmenté en fonction du développement de l'hôte du second stade (30%) au cinquième stade (95%), pour tomber à 63% dans les prénymphes. Cependant, aucune des prénymphes exposées aux mouches n'a été capable de donner des papillons.Les production moyennes de pupes et de mouches par chenille effectivement parasitée ont augmenté avec le stade de développement de l'hôte pouratteindre dans les prénymphes respectivement 14,5±1,33 et 10,6±1,02. Le taux sexuel des mouches obtenues a été très variable pour les différents stades de développement des chenilles, sans qu'aucune corrélation ait pu être mise en évidence. Une formule permettant de calculer un indice d'adéquation de l'hôte est proposé. Cet indice permet une comparaison directe des impacts globaux et des potentiels reproducteurs des femelles de E. bryani attaquant des hôtes à différents stades.
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18.
Preadult development and survival rates for a wild strain of melon fly in Hawaii were examined when reared on six common hosts at 25°C. These data were combined with information gathered on adult survival, fecundity and fertility in order to construct life tables.The duration of the egg stage was slightly over 1 day for this species. Depending on host, larval-to-adult development and survival rates were 17–20 days and 35–85%, respectively. Gross fecundity (total eggs) was 1293 eggs/ while net fertility (total fertile eggs weighted by hatch and adult survival) was 518 fertile eggs/. The finite rate of increase () for the species was conditional on the host on which it was reared and ranged from 1.08 to 1.12. The percent of adults in the stable age distribution averaged around 14% over all hosts.
Démographie d'une souche de Dacus cucurbitae Coquillet, originaire d'Hawaii
Résumé Le développement préimaginal et les taux de survie d'une souche sauvage de D. cucurbitae de Hawaí sur six hôtes courants ont été examinés à 25°C. Ces résultats ont été combinés aux informations récoltées sur la survie des adultes, la fécondité et la fertilité pour réaliser des tables de vie.La durée du stade oeuf est légèrement supérieure à un jour pour cette espèce. La durée de développement de l'éclosion de l'oeuf à l'imago et les taux de survie ont été respectivement de 17 à 20 jours et de 35 à 85% suivant les hôtes. La fécondité brute (ponte totale) a été de 1293 oeufs par femelle, tandis qui la fertilité (nombre total d'oeufs fertiles pondéré par les taux d'éclosion et de survie des adultes) était de 518 oeufs fertiles par femelle.Le taux d'accroissement () variait de 1,08 à 1,12 suivant l'hôte sur lequel D. cucurbitae a été élevé. La proportion d'adultes dans une distribution en âge stable était d'environ 14% sur tous les hôtes.
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19.
The effects of diet during the fifth stadium on performance of adult N. viridula were determined through comparing growth, fecundity, and duration of tethered flight of insects reared on four axenic diets: fresh green bean, raw-shelled peanut, a combination of the two and soaked soybean seed. Females reared on the combination diet were heavier than those reared on green beans and oviposited more than those reared on peanuts. Three-day-old adult females reared on peanuts flew longer than those reared on green beans. More females reared on diets containing mature seed showed a capacity for extended flight and had larger fat bodies at 34-days postemergence. Thus, inadequate diet during the fifth stadium irreversibly affected growth, development, reproduction and flight capacity.
Résumé Les effets du régime alimentaire pendant le 5ème stade sur les performances imaginales de N. viridula ont été déterminés en comparant la croissance, la fécondité, la durée du vol captif, et l'accumulation de corps gras chez des insectes élevés sur 4 régimes stérilisés. A partir de la formation des larves de 5ème stade, elles ont été alimentées sur haricots verts et arachides, ou transférées sur un régime formé exclusivement d'arachides, ou de haricots verts, ou de graines de soja trempées, cependant la durée du 5ème stade. Les insectes ont été transférés sur un régime de haricots verts et arachides à leur émergence.Les femelles élevées continuellement de haricots verts et arachides étaient plus lourdes (P<0,01) à l'émergence (161,6 mg) que celles élevées sur haricots verts (146,3 mg) pendant le 5ème stade, et pondent plus d'oeufs (P<0,08) pendant une durée de 34 jours (100,9 oeufs) que celles élevées sur arachides (54,7 oeufs). Plus de femelles élevées sur haricots verts et arachides (76,2%) pondent que celles élevées sur arachides (61,1%), soja trempé (62,5%), ou haricots verts (60,9%).Les femelles élevées sur arachides volaient plus longtemps (P < 0,01) (42,9 mn) que celles élevées sur haricots verts (19,8 mn) pendant des vols captifs le 3ème jour après l'émergence. 78% de toutes les femelles élevées sur arachides volaient >-30 mn, contre 50% pour celles élevées sur haricots verts et arachides, ou soja trempé, et 35% pour celles élevées sur haricots verts. Seulement 7% des femelles élevées sur haricots verts volaient à la 60ème minute à la fin du test, contre 25% pour les femelles soja trempé, 33% pour les femelles haricots verts et arachides, et 47% pour celles élevées sur arachides. Les femelles ont été disséquées 34 jours après l'émergence pour déterminer l'importance du corps gras. Les indices de corps gras (Kiritani, 1963) montraient que les femelles élevées sur arachides (1,8) et graines de soja (1,7) ont apparemment un corps gras plus développé que celles élevées sur haricots verts et arachides (1,5), our haricots verts (1,2), pendant le 5ème stade.Ces résultats montrent que l'alimentation pendant le dernier stade larvaire de N. viridula affecte irréversiblement la croissance, la fécondité et l'aptitude au vol des femelles. En estimant que des résultats semblables auraient été obtenus avec des insectes élevés sur ces 4 aliments depuis l'éclosion, haricots verts et arachides constituent le meilleur aliment pour l'élevage de N. viridula. Ce régime fournit une graine mûre, vraisemblablement nécessaire pour l'accumulation d'un corps gras suffisant et une aptitude au vol migratoire, et une plante verte qui fournit les aliments apparement essentiels à l'ovogenèse.
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20.
Visual host finding and form recognition by the cabbage root fly, Delia radicum, were studied using four shapes of yellow sticky traps as plant models. Cross, disc, and Y traps caught similar numbers of flies. Cross traps caught more females than vertical or horizontal rectangular traps. Black borders did not increase rectangle trap catches. Discs (8 cm diam.) at ground level caught more females than discs at 40 cm above ground. Larger discs (11.2 and 13.8 cm diam.) caught more females per trap than 8 cm diam. discs, but not as many per unit area.Volatile mustard oils were added to sticky cross traps as single and multiple-component baits. Traps with multiple-component baits did not consistently catch more females than single baited traps. Yellow traps baited with isothiocyanates caught 4–7 times as many females as clear plastic allylisothiocyanate (ANCS)-baited traps.Results indicated yellow discs or crosses at ground level beited with ANCS effectively monitored female D. radicum. Main factors affecting landing of female D. radicum are suggested to be color of substrate, height above ground, presence of host volatiles in vicinity, visual prominence, and area of attractive color. The view that host finding in some insects is mediated by complex responses to multichannel stimuli was supported.
Résumé L'étude de la perception visuelle et de la reconnaissance des formes par les D. radicum adultes a été réalisée en utilisant des pièges jaunes gluants de quatre formes différentes comme leurres de plantes. Des pièges en croix, en disque et en Y ont permis la capture des mêmes nombres de mouches. Plus de femelles ont été capturées avec des pièges en croix qu'avec des pièges rectangulaires verticaux ou horizontaux. Les captures n'ont pas augmenté avec des pièges bordés de noir. Des disques de 8 cm de diamètre disposés au niveau du sol ont permis la capture de plus de femelles que des disques à 40 cm au-dessus du sol. La capture par piège a été supérieure avec des pièges de 11,2 et 13,8 cm de diamètre qu'avec ceux de 8 cm, mais moindre par unité de surface.Des essences volatiles de moutarde ont été ajoutées aux pièges en croix comme appâts simples ou composés. Les pièges avec appâtes composés n'ont pas été significativement plus efficaces que les pièges à appâts simples. Les pièges jaunes appâts avec de l'isothiocyanata ont entraîné la capture de 4 à 7 fois plus de mouches que des pièges en plastique transparent appâtés avec de l'allylisothiocyanate (ANCS). Les résultats ont montré que des disques ou des croix jaunes appâtés avec de l'ANCS au niveau du sol permettent d'organiser un avertissement agricole contre D. radicum. Les principaux facteurs intervenant dans l'atterrissage des femelles de D. radicum semblent être la couleur du substrat, l'élévation audessus du sol, le contraste visuel, la présence de substance de l'hôte dans le voisinage, et l'aire d'attractivité de la couleur. En conclusion, il est exact de considérer que la perception de l'hôte est provoquée chez quelques insectes par une réponse complexe à des stimuli multicanaux.
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