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1.
Résumé La toxicité du méthidathion a été mesurée sur 7 souches dePhytoseiulus persimilis provenant de collections de laboratoire, d'unités de production ou du terrain. Les résultats obtenus se sont avérés être très variables: la CL50 de la souche la plus résistante est 100 fois plus élevée que celle de la souche la plus sensible. Chaque souche a ensuite été sélectionnée pour la résistance à cet insecticide; toutes les souches ont répondu à la sélection et ont atteint des niveaux de résistance similaires. Elles ont ensuite été mélangées, à nouveau sélectionnées pour la résistance au méthidathion et à d'autres insecticides et utilisées dans les programmes de lutte intégrée. La résistance a pu ainsi être légèrement augmentée et la souche obtenue, bien qu'encore affectée par le méthidathion sur le terrain, n'est plus complètement éliminée par les traitements et est moins sensible aux résidus présents sur les feuilles.   相似文献   

2.
Résumé L'étude en laboratoire de la biologie du développement deAmblyseius andersoni, Neoseiulus fallacis, Galendromus longipilus etTyphlodromus pyri a permis de calculer les seuils de développement et le taux intrinsèque d'accroissement naturel à 20°C lorsque ces espèces sont nourries avecTetranychus urticae. Le taux de fécondité spécifique à l'age des 4 espèces a été déterminé en utilisant comme proie soitT. urticae, soitPanonychus ulmi. PourA. andersoni et pourT. pyri, P. ulmi constitue une nourriture meilleure queT. urticae, contrairement àN. fallacis etG. longipilus, dont le taux d'accroissement est supérieur quand ils se nourrissent deT. urticae. PourG. longipilus, P. ulmi constitue même une nourriture nettement suboptimale. Pour les femelles de toutes les espèces on a pu mettre en évidence la faculté d'adapter le taux de fécondité et la durée d'oviposition au nombre des proies disponibles. En termes de fécondité, cela permet à ces espèces de réaliser presque tout leur potentiel, indépendamment de la ration quotidienne de nourriture.   相似文献   

3.
Recent research on the factors governing resistance development among arthropod natural enemies is reviewed, including selection studies of resistance development in the predatory miteAmblyseius fallacis (Garman) andTetranychus urticae Koch and patterns of toxicity to pesticides and mixed function oxidase activity in a group of pests, predators and parasites. New areas of resistance development in the speciesPhytoseiulus persimilis A. H. andTyphlodromus pyri Scheuten are discussed as are genetic studies of resistance inP. persimilis and the toxicology of resistance inA. fallacis. Lastly, the widespread documentation of resistance inA. fallacis, a predator of plant-feeding mites, the cecidomyidAphidoletes aphidimyza (Rond.), a predator of aphids and 2 parasites of leafhopper in orchards of North America, is discussed relative to the long-term use of organophosphate-based insecticides and programs of integrated pest control.
Résumé Les récentes recherches sur les facteurs déterminant le développement d'une résistance aux pesticides chez les arthropodes ennemis naturels des ravageurs sont rappelées, y compris les études sur la sélection pour cette résistance de l'acarien prédateur,Amblyseius fallacis (Garman) et deTetranychus urticae Koch, ainsi que les types de toxicité des pesticides pour un ensemble de ravageurs et de leurs parasites et prédateurs. De nouveaux domaines dans les phénomènes de la résistance chezPhytoseiulus persimilis A.H. etTyphlodromus pyri Scheuten sont discutés, telles que les études génétiques de la résistance chezP. persimilis et la toxicologie de la résistance chezA. fallacis. Enfin la très abondante documentation sur la résistance deA. fallacis, prédateur d'acariens phytophages, deAphidoletes aphidimyza (Rond), cecidomyie prédatrice de pucerons et de deux parasites de cicadelles en vergers en Amérique du Nord, est discutée en fonction de l'utilisation prolongée d'insecticides à base d'organophosphorés et de programmes de lutte intégrée.


Published as article No. 8498 of the Michigan Agricultural Experiment Station, Michigan State University, East Lansing, Michigan 48824.  相似文献   

4.
Resume Un mutant acido-tolérant deR. meliloti a été isolé. Le caractère de résistance en milieu acide n'a pas été obtenu par adaptation sur des milieux de plus en plus acides mais par mutagenèses successives provoquées par la N-méthyl-N'nitroso-N-nitrosoguanidine (NTG) et sélection sur milieu acide de fa?on à rendre stable le caractère acido-tolérant. Ce mutant acide présente la propriété de se développer plus lentement que la souche sauvage sur milieu pauvre. Ceci ne l'empêche pas de présenter sensiblement la même efficience que cette dernière à pH voisin de la neutralité en milieu synthétique. L'étude comparative de l'efficience de la souche parentale et de la souche mutée sur la luzerne cultivée en terre acide est rendue difficile du fait de la présence de nitrates qui réduit la nodulation et inhibe l'action de la nitrogénase: par épuisement, en effectuant une culture dense de luzerne sur cette terre, il est possible de mettre en évidence ensuite l'activité symbiotique importante à pH 5,9 du mutant par rapport à la souche sauvage.  相似文献   

5.
L'importance des pressions de sélection au cours des premières générations, dans des élevages en alimentation artificielle, est mise en évidence par l'étude de souches d 'Acrolepiopsis assectella Zeller soumises à des changements de régime alimentaire. l'évolution du taux de survie et de la durée du développement des larves a été suivie pendant les premières générations après le changement, et ultérieurement contrôlée au cours de plusieurs années d'élevage dans les mêmes conditions. Le taux de survie semble atteindre assez rapidement un équilibre, dont le niveau n'est pas indépendant de l'aliment consommé, tandis qu la durée du développement larvaire devient identique pour toutes les souches dès la quatrième génération. Ces phénomènes semblent correspondre à une adaptation des insectes à leurs conditions d'élevage, qui provoquent une sélection dans les populations d'origine.  相似文献   

6.
Susceptible predatory,Amblyseius fallacis (Garman), and prey mites,Tetranychus urticae Koch, developed comparable levels of resistance to azinphosmethyl when provided with unlimited food and similar selection treatments over 22 generations. Susceptible populations of each when hybridized with limited numbers of resistant mites, incorporated the resistance rapidly and at comparable rates when selected for 5–8 generations. When selected together as interacting populations at 75% selection of the prey, but higher selection of the predator, prey developed only limited resistance after 9 selections, but predators developed appreciable resistance, equal to the susceptibility level of the prey. Data are discussed in relation to developed resistance to azinphosmethyl observed in field populations of spider mites and predators in apple orchards.
Résumé L'acarien prédateur,Amblyseius fallacis (Garman) et la proie,Tetranychus urticae (Koch) manifestent des niveaux comparables de résistance à l'azinphosméthyl en présence d'une nourriture illimitée au cours de traitements de sélection semblables pendant 22 générations. Des populations sensibles au pesticide de chacune de ces espèces, hybridées avec des nombres limités d'acariens résistant, acquièrent rapidement la résistance à des taux comparables après 5 à 8 générations. Une sélection portant sur des populations interactives, au taux de 75% de sélection de la proie, mais à un taux supérieur pour le prédateur, provoque seulement une résistance limitée chez la proie après 9 générations, alors que le prédateur développe une résistance appréciable, égale au niveau de sensibilité de la proie. Ces données sont discutées par rapport à la résistance acquise à l'azinphosméthyl chez des populations naturelles d'acariens prédateurs et de tétranyques en vergers de pommier.


Published as Journal Article 8921 of the Michigan State Agricultural Experiment Station, East Lansing, MI 48824. This research was supported in part by an EPA Grant, No. CR-806277-02-0.  相似文献   

7.
Résumé Reconnu comme agent régulateur des populations aphidiennes de diverses cultures,Forficula auricularia L. est également décrit comme potentiellement actif sur les Homoptères Psyllidae. Nous avons évalué en conditions de laboratoire puis semi-contr?lées en verger les composantes numériques et spatiales de la prédation deF. auricularia sur le psylle du poirier,Cacopsylla pyri (L.). Pour de faibles densités de proies, le poids consommé par une larve du 3ème stade est équivalent sur oeufs de psylles et sur une proie alternative constituée d'oeufs d'Ephestia kuehniella Zeller. Le maximum journalier s'établit à 10 mg pour ce stade larvaire, soit plus d'un millier d'oeufs de psylles. Les tests révèlent une réponse de type densité — dépendant, aboutissant à une forte réduction de la taille des agrégats de la proie. La prédation des larves de 3ème et 4ème stade deF. auricularia s'exerce sur tous les stades préimaginaux deC. pyri. La colonisation au printemps de la strate arborée par les larves du 3 ème stade quittant le terrier maternel co?ncide avec les pontes de 2ème génération de psylles, phase de multiplication la plus intense de ce ravageur. Les effectifs en vergers de ce prédateur polyphage et univoltin sont souvent élevés et peu dépendants de ceux de la proie. Compte tenu de sa capacité prédatrice sur le psylle, il para?t justifié de raisonner les interventions chimiques de manière à préserver ses populations en vergers de poiriers.   相似文献   

8.
Eight phytoseiid species were tested to evaluate and compare their potential as predators ofTetranychus evansi Baker & Pritchard andT. urticae (Koch). The study was conducted using arenas of excised nightshade (Solanum douglasii Dunal) and Lima bean (Phaseolus vulgaris L.) leaves infested with eitherTetranychus species. When the prey wasT. evansi, the predatorsAmblyseius californicus (McGregor) andPhytoseiulus persimilis Athias-Henriot from Ventura, California, showed the highest oviposition rates. However, those rates were 4 to 6 times lower than rates for the same predators feeding onT. urticae. OnlyA. californicus and the strain ofP. persimilis from Beni-Mellal, Morocco, had survivorship higher than 50% 8 days after the beginning of the experiment. The results indicated thatT. evansi is an unfavorable prey for all the phytoseiids tested.
Résumé Huit espèces d'Acariens phytoseiides étaient testées en vue de comparer leurs potentialités prédatrices vis-à-vis deTetranychus evansi Baker & Pritchard et deTetranychus urticae (Koch). L'étude était réalisée sur des feuilles détachées deSolanum douglasii Dunal et dePhaseolus vulgaris L. Les feuilles avaient été infestées avec l'une ou l'autre des espèces deTetranychus. Amblyseius californicus (McGregor) etPhytoseiulus persimilis Athias-Henriot, de Ventura, ont donné les taux d'oviposition les plus élevés avecT. evansi, mais ces taux étaient 4 à 6 fois inférieurs à ceux obtenus lorsque la proie étaitT. urticae. SeulsA. californicus et la souche deP. persimilis de Beni-Mellal avaient une survie supérieure à 50%, 8 jours après le début du test. Les résultats indiquent queT. evansi n'est pas une proie favorable pour toutes les espèces testées.
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9.
Eggs from a laboratory culture ofAmblyseius gossipi El-Badry laid on cotton strands were placed on leaf discs and sprayed with various pesticides or water for 40 s. The eggs were allowed to dry and then transferred to new discs. Compounds tested were cypermethrin, flucythrinate, fenvalerate, cyfluthrin, pyridaphenthion, methamidophos, dichlorvos and dicofol. Only methamidophos was inactive on the egg stage. When sprayed at a level of 400 ppm, eggs were highly susceptible to flucythrinate, cyfluthrin, pyridaphenthion, and fenvalerate and were slightly susceptible to dichlorvos and dicofol. Viability of eggs decreased as the concentration of the effective compounds increased. Older eggs were more sensitive than younger ones. None of the larvae from eggs treated with flucythrinate and pyridaphenthion were able to develop beyond the larval stage.
Résumé Les œufs d'un élevage de laboratoire d'Amblyseius gossipi El-Badry pondus sur des fibres de coton furent placés sur des disques de feuille et traités avec des produits phytosanitaires variés ou de l'eau durant 40 s. Les œufs une fois ressuyés furent transférés sur de nouveaux disques. Les composés testés furent la cypermethrine, le flucythrinate, le fenvalerate, le cyfluthrine, le pyridaphenthion, le metamidophos, le dichlorvos et le dicofol. Seul le methamidophos était inactif sur le stade œuf. Traités à la dose de 400 ppm, les œufs furent très sensibles au flucythrinate, au cyfluthrine, au pyridaphenthion et au fenvalerate et légèrement sensible au dichlorvos et au dicofol. La variabilité des œufs décroissait comme augmentait la concentration des composés efficaces. Des œufs agés furent plus sensibles que des œufs plus jeunes. Aucune des larves issues d'œufs traités au flucythrinate et au pyridaphenthion n'étaient capables de se développer au-delà du stade larvaire.
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10.
Résumé Vingt souches deFrankia, isolées à partir de 7 espèces différentes de plantes actinorhiziennes ont été cultivées sur des milieux maintenus à des pH constants de 5; 4,8; 4,6 et 4,2. Chaque souche a été cultivée 2 à 3 fois consécutives à un même pH. Quatorze souches ne montrent aucune croissance à pH 5. Seules 3 souches résistent à un séjour de plusieurs semaines à pH 4,6. Aucune souche ne demeure viable après un séjour dans un milieu à pH 4,2. Les 3 souches acido-résistantes supportent également la présence d'Al+++ libre dans le milieu de culture. Une forte concentration d'H+ dans le milieu stimule beaucoup la sporogénèse. Inoculée dans un sol acide une souche acido-résistante conserve une chance de survie nettement supérieure à celle d'une souche neutrophile maintenue dans les mêmes conditions.   相似文献   

11.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

12.
A canonical variate analysis was used to summarize the distribution pattern of 30 species of dung beetles (Scarabaeinae) from 162 sites in the Iberian peninsula (Spain and Portugal) in relation to 4 site variables. The best separation of beetle species, obtained using a xerothermic climatic index, was into 3 groups called “mediterranean”, “unrestricted” and “temperate”. Little further separation was achieved using altitude, dung type or soil type. These data are used to select dung beetles for introduction to south-western Australia for bush fly control.
Résumé On a fait appel à l'analyse de variables canoniques pour résumer le plan de distribution, relatif à 4 variables de localité, de 30 espèces de bousiers (Scarabaeinae) de 162 localités de la Péninsule ibérique (l'Espagne et le Portugal). La meilleure division des espèces, obtenue à l'aide d'un indice xérothermique climatique, se faisait en 3 groupes désignés respectivement comme “méditerranéen”, “ubiquiste” et “tempéré”. Peu de séparation supplémentaire a été obtenue en ayant recours à des facteurs d'altitude, de nature de la bouse ou de type de sol. Ces données ont été employées pour aider à la sélection de bousiers destinés à être introduits en Australie Occidentale pour y combattreMusca vetustissima Walker[Diptera].
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13.
B. Le Rû  Y. Iziquel 《BioControl》1990,35(2):173-183
Résumé Cet article présente les résultats obtenus en 1987 sur des points non encore abordés précédemment dans le cadre de l'étude des circonstances épidémiologiques favorisant le déroulement de l'Entomophthorose àNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller, pathogène de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Hom.: Pseudococcidae). Il montre notamment que l'évolution de la maladie, très rapide, correspond à la succession de 2 phases: une première phase, d'implantation, fortement liée à la taille et à la structure des colonies et une deuxième phase (épizootique au sens strict) indépendante de leur taille et de leur structure. Son évolution appara?t plus liée à la régularité des pluies qu'à la quantité d'eau. Les conditions sont très favorables quand l'humidité relative est supérieure à 90% pendant au moins 5 heures par jour de fa?on régulière. Le r?le important joué par la durée d'humectation du feuillage est montré ici pour la première fois. La densité des conidies du pathogène dans l'air est proportionnelle aux taux de mycose observés dans les populations deP. manihoti.   相似文献   

14.
Résumé Le parasitePauesia cedrobii Stary et Leclant, spécifique du puceron du CèdreCedrobium laportei Remaudière, a été récolté dans le Moyen-Atlas, (Maroc) puis introduit dans un peuplement de cèdre (Cedrus atlantica Manetti) du sud-est de la France au printemps 1981. La méthode utilisée a consisté en une introduction directe des parasites, préalablement isolés sur le lieu de récolte (momies) puis mis à éclore en chambre climatisée de fa?on à éliminer les hyperparasites. Après accouplement, 225 adultes ont été introduits dans des manchons installés sur des rameaux abritant des colonies deC. laportei. L'évolution des populations de l'h?te et du parasite a été suivie au niveau des points de lacher d'une part, et dans la parcelle d'autre part. L'installation définitive du parasite dans la parcelle s'est produite, 1 an après le lacher, grace à un automne et à un hiver particulièrement doux, qui ont favorisé la multiplication de l'h?te. Le parasite est définitivement implanté: il est encore présent 4 années après le lacher. Entre temps, il a été étendu à d'autres forêts de cèdre du sud-est de la France. Huit espèces d'hyperparasites autochtones se sont portés surP. cedrobii, mais ceci ne remet pas en cause la réussite de l'introduction de l'aphidiide. Avec la collaboration technique deE. Robert, A. Chalon, J. Chizky.  相似文献   

15.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

16.
The effect ofAphodius sphacelatus andA. ater activity in cattle faeces andSphaeridium bipustulatum in sheep and horse faeces on the discharge ofPilobolus sporangia was investigated under laboratory conditions. In five trials, the median number of sporangia produced was significantly less (P<0.01) in experimental chambers (with 1 or 2 beetles/g faeces) than in control chambers (without beetles). In addition, median percentage reduction of sporangia was significantly higher (P<0.01) forA. sphacelatus (80.9%) than forA. ater (56.9%) at 1 beetle/g cattle faeces.
Résumé L'effet de l'activité d'Aphodius spacelatus et deA. ater dans les bouses de vaches et deSphaeridium bipustulatum dans les fèces de moutons et de chevaux, sur la libération de sporanges parPilobolus a été étudié en conditions de laboratoire. Sur 5 essais le nombre médian de sporanges libérés dans des cellules expérimentales (avec 1 ou 2 bousiers/g fèces) était significativement inférieur (P<0.01) à celui obtenu dans des cellules témoins (sans bousier). De plus, le pourcentage médian de réduction des sporanges est significativement plus élevé (P<0,01) pourA. sphacelatus (80,9%) que pourA. ater (56,9%) à la densité de 1 bousier/g de bouse.
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17.
Résumé Le ?psylle commun du poirier?Psylla pyri (L.) est le ravageur-clé de cette culture en France et dans de nombreux pays d'Europe. Parmi les antagonistes, nous avons étudié l'influence du complexe parasitaire sur la dynamique des populations du ravageur. Ce travail a recours au contr?le visuel des rameaux pour suivre le niveau des populations du phytophage. Une méthode d'isolement de larves de l'h?te au laboratoire est utilisée afin d'évaluer le taux de parasitisme ou prévalence. La parasitofaune est constituée de micro-hyménoptères parasito?des et hyperparasito?des de larves L4 et L5 de psylle.Trechnites psyllae (Ruschka) et dans une moindre mesurePrionomitus mitratus (Dalman) sont les parasito?des qui assurent la régulation dès la 1re génération du ravageur. L'hyperparasitisme, essentiellement d? àSyrphophagus mamitus (Walker), appara?t plus tard sur l'h?te-relaisPsylla pyrisuga Foerster présent en vergers entre la 1re et la 2e génération deP. pyri. Les autres hyperparasito?des,Pachyneuron muscarum (L.),Pachyneuron aphidis Bouche,Dendrocerus psyllarum Dessart,Dilyta subclavata Foerster etDilyta talitzkii Belizin sont encore plus tardifs. Les taux d'hyperparasitisme nuls enregistrés au cours de la 1re génération deP. pyri laissent escompter d'excellents résultats de la mise en pratique éventuelle d'une méthode de lachers précoces de parasito?des, pour réduire le plut t?t possible les populations du ravageur.   相似文献   

18.
Résumé L'étude des variations d'abondance et des factuers de régulation de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero 5 ans après l'introduction du parasito?de néotropicalEpidinocarsis lopezi (de Santis) révèle la constance des pullulations du ravageur depuis 9 ans. Les pics de pullulations s'observent surtout en début de saison des pluies. Aucune corrélation n'a pu être établie entre les paramètres caractérisant les pluies et les variations du nombre de cochenilles. Nos observations confirment que l'entomophthoraleNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller est le principal facteur de régulation de la cochenille au Congo. L'impact des prédateurs de la cochenille ne semble pas s'être modifié depuis 1979: la coccinelleExochomus flaviventris Mader reste le prédateur le plus actif. L'acclimatation du parasito?deE. lopezi s'est traduite par une augmentation du taux de parasitisme par un facteur 2 à 3. Elle n'a cependant pas permis de modifier l'allure et l'ampleur des pullulations de la cochenille. Enfin, la co?ncidence entre les brutales augmentations du nombre de cochenilles et de profondes modifications de la physiologie du manioc laisse à penser que cette dernière joue un r?le important.   相似文献   

19.
Résumé

La sélection du substrat de ponte par des souches de la bruche de l’arachide, Caryedon serratus, issues d’hôtes différents est étudiée au laboratoire. Des tests de choix sur des gousses de différentes plantes ont été d’abord effectués. Les distributions des oeufs sur les différents substrats de ponte sont comparées. Les niveaux d’adaptation des souches dites sauvages (Bauhinia rufescens, Cassia sieberiana, Piliostigma reticulatum et Tamarindus indica) sur l’arachide et les capacités de développement de la souche ? arachide ? sur les graines des plantes hôtes ? sauvages ? sont aussi testés. Les résultats révèlent que, d’une manière générale, les souches évoluent selon le principe de sélection d’hôtes de Hopkins puisque la ponte se fait de manière privilégiée sur la gousse de la plante d’où est issue la femelle. La souche ? Piliostigma ? dépose ses oeufs de manière indifférenciée sur gousses de P. reticulatum et sur gousses d’arachide. Les résultats des tests sur les niveaux d’adaptation révèlent du point de vue de la durée de développement, qu’on peut considérer les différentes souches comme identiques quant à leurs possibilités intrinsèques de développement sur l’arachide. Le paramètre poids des adultes, montre que la souche ? Bauhinia ? est intrinsèquement moins bien adaptée que les autres souches sur l’arachide. Les taux fécondité révèlent que les différentes souches sont identiques quant à leurs possibilités intrinsèques de développement sur l’arachide mais, ici également, la souche ? Bauhinia ? paraît moins bien adaptée à l’arachide. Le passage de la souche ? arachide ? aux plantes hôtes sauvages est possible mais, élevée sur graines plantes hôtes sauvages, celle-ci se comporte généralement moins bien que sur arachide.  相似文献   

20.
Pour déterminer la ration minimale d'eau nécessaire à la survie de Locusta migratoria migratorioides (R. et F.) adulte et les repercussions d'un stress hydrique prolongé sur le fonctionnement ovarien, nous avons séparé le facteur eau du facteur aliment en élevant les criquets de l'éclosion à l'âge adulte avec des germinations de blé lyophilisé, selon une technique décrite par Louveaux et al. (1980). Il est montré que la quantité d'aliments ingérée augmente avec la quantité d'eau bue (r = 0,91). La relation linéaire déterminée permet inversement, connaissant les quantités d'aliments ingérés, d'évaluer à 300 μl la ration quotidienne d'un criquet ayant un accès non limité à l'eau de boisson. Les femelles qui n'ont reçu que 50 μl d'eau par jour (j.) sont mortes avant le 9ème jour de traitement. La survie est assurée à partir de 100 μl/j. L'avancement de la vitellogenèse est également en relation avec la quantité d'eau absorbée quotidiennement. Aucun développement ovarien ne se produit jusqu'à 100 μl/j. Une vitellogenèse ralentie commence à partir de 150 μl/j. et elle devient normale à 300 μl/j. avec des pontes comparables à celles des témoins nourris de blé frais.  相似文献   

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