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1.
The feeding behaviour of Nilaparvata lugens (Stal.) was electronically monitored on three rice varieties showing different levels of resistance in the Philippines, over an 8 h period, using a DC amplifier and a video-assisted observation method to simultaneously record honeydew production.Six electrical penetration graph (EPG) patterns are described by their frequency and amplitude characteristics. Patterns 4 and 5 were associated with the production of two different types of honeydew; basic honeydew containing amino acids was produced during Pattern 4 and acidic honeydew with no amino acids was produced during Pattern 5. These patterns are thought to indicate phloem and xylem ingestion by N. lugens respectively.Insects produced shorter periods of Pattern 4 on moderately resistant IR46 and resistant IR62 rice varieties than on susceptible IR22, although the time taken to produce the first period of Pattern 4 from the start of EPG recording did not differ between varieties. This suggests that N. lugens has the ability to initiate phloem ingestion on all three varieties, but that resistance mechanisms in IR46 and IR62 prevent sustained phloem ingestion, at least within the first 8 h of contact.
Résumé Le comportement alimentaire de N. lugens Stahl a été enregistré életroniquement pendant 8 heures aux Philippines sur 3 variétés de riz présentant différents degrés de résistance, en utilisant un amplificateur DC associé à un système vidéo pour enregistrer simultanément la production de miellat.Six types d'enregistrements de pénétration (EPG) sont décrits avec leurs caractéristiques de fréquence et d'amplitude. Les types 4 et 5 sont associés à la production de 2 types différents de miellat; le miellat de base contenant des acides aminés est produit pendant le type 4, et le miellat acide sans acides aminés est produit pendant le type 5. On considére que ces types indiquent respectivement l'ingestion de phloème et xylème par N. lugens.Les périodes de type 4 ont été plus courtes sur les variétés modérément résistante IR46 et résistante IR62 que sur la variété sensible IR22, bien que le temps passé à produire la première période de type 4 depuis le début des enregistrements des EPG ne diffère pas suivant les variétés. Ceci laisse penser que N. lugens a la possibilité de commencer la consommation de phloème sur les trois variétés, mais que les mécanismes de résistance chez IR46 et IR62 empêchent une ingestion soutenue de phloème, au moins pendant les 8 premières heures de contact.
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2.
L'influence de quelques variables liées aux plantes de Phaseolus vulgaris (date de maturation, hauteur et nombre de graines dans les gousses) sur la ponte de la bruche du haricot Acanthoscelides obtectus a été étudiée dans la nature sur 20 pieds de haricot dont toutes les gousses ont été suivies puis récoltées.Les résultats montrent une bonne corrélation entre le nombre d'oeufs émis dans une gousse et le nombre de jours avec présence d'adultes sur cette gousse. La date de maturation influence fortement la contamination des gousses. Au niveau spatial, les pieds situés dans des zones non désherbées, où peuvent s'alimenter les adultes, sont les plus contaminés. Les autres variables semblent avoir moins d'importance.On note une très forte agrégativité des pontes dans certaines gousses qui sont, en général, parmi les premières mûres, mais cette agrégativité persiste même si les femelles ont le choix, sur un même pied, entre plusieurs gousses arrivées ensemble à maturité.  相似文献   

3.
Aphidius rhopalosiphi parasitises green colour forms of Sitobion avenae more frequently than brown forms. The handling time is longer for brown than for green nymphs, even when the two forms are members of the same clone. Parasite development lasts longer in brown forms than in green forms, and mortality is higher.
Résumé A. rhopalosiphi a parasité les stades jeunes de S. avenae avec plus de succès que les stades âgés, et les types verts plus fréquemment que les bruns. Dans tous les cas, la mortalité était élevée; significativement plus de pucerons du premier et du second stade ont été tués par l'attaque du parasite que ceux des 3è et 4è stades. La fréquence de pucerons bruns formant des momies a augmenté avec le nombre de pipûres, de 0,1 pour une piqûre à 0,4 pour 8 piqûres. Lorsqu'il n'y a qu'une piqûre, le nombre d'oeufs émis est le même pour les deux types. A 20–22 °C, le développement du parasite dure jusqu'à 9 jours dans les pucerons verts et 12 jours dans les bruns. Lorsqu'il y a choix, les parasites préfèrent les verts aux bruns (Même quand ils sont du même clone) et les bruns clair aux bruns sombres. Les verts ont besoin de moins de rencontres que les bruns pour être piqués, mais pour une souche de parasites recueillie depuis peu, la différence était faible, pourtant cette nouvelle souche ne parasitait pas les pucerons bruns avec plus de succès que l'ancienne souche.
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4.
The size of cottonwood (Populus deltoides L. Bartr.) leaf discs used in insect feeding preference trials with the chrysomelid beetle, Plagiodera versicoloraLaich., was shown to affect behavior, and the outcome of the feeding trial. It is suggested that disc size has an effect because it alters the ratio of chemical signals from the cut leaf edge to those of the intact leaf center. The implications of this finding to the design of bioassays; to previously noted differences in feeding behavior for insects on discs versus leaves; and to the study of feeding preference and induction of plant defense are discussed.
Résumé Plagiodera versicolora Laich (Coléo., Chrysomelidae) a préféré significativement consommer les grandes rondelles (diamètre 17 mm) de Populus deltoides préalablement exposées à l'ozone ambiant, aux témoins exposés à de l'air filtré sur charbon de bois. Cependant, quand le diamètre a été réduit à 10 mm, les insectes n'ont plus préféré les feuilles soumises à l'ozone. Les préférences alimentaires de cet insecte consommant le centre des feuilles ont probablement changé parceque les signaux chimiques de la coupure ont surpassé ou masqué ceux des petits disques. Ainsi, le rapport périmètre sur surface du disque est un critère important de la procédure expérimentale. L'influence de la taille du disque dépend vraisemblablement du fait que l'insecte consomme le centre ou la pourtour de la feuille, de la taille de l'insecte et du type d'expérience. Nous en avons déduit que l'effet de la taille du disque est fréquent particulièrement chez les insectes consommant le centre des feuilles.Les modificatons du choix des insectes lorsque les plantes avaient été présentées sous forme de rondelles au lieu de feuilles ou plantes entières, peuvent être expliqués aussi par le changement des signaux provoqué par le découpage des rondelles, plutôt que par l'induction de modifications chimiques dues à la cueillette, comme cela a été précédemment indiqué par différents auteurs. Par ailleurs, dans les conditions naturelles, des changements dans les signaux chimiques des feuilles dus à une consommation antérieure par des insectes, peuvent être aussi importants dans le comportement alimentaire des insectes que n'importe quel changement chimique induit dans les feuilles par les dégâts.
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5.
Larvae of the Southern armyworm Spodoptera eridania Cramer (Lepidoptera:Noctuidae), feeding on perennial ryegrasses (Lolium perenne L.) infected with an endophytic fungus (Acremonium loliae Latch, Christensen and Samuels), had a much lower survival rate (7–13%) than larvae feeding on endophyte-free ryegrasses (82–90%). Death of the larvae on endophyte-infected entries occurred rapidly between 144 h and 168 h of feeding. This corresponded with armyworms feeding on the base of the plant, where endophyte concentration is highest. Twenty-four hours after the start of the bioassay the larval mass and rate of larval development were significantly higher on endophytic entries. From 48–144 h no differences were seen, but after 144 h the mass of larvae on endophyte-infected grasses sharply declined. Observations from this bioassay further substantiate the association between A. loliae-infected ryegrass and antibiosis to several lepidopterous and coleopterous insect pests.
Résumé Le ray-grass vivace (Lolium perenne), contaminé par le champignon endophyte Acremonium loliae Latch, Christensen & Samuels, a présenté une augmentation de la resistance à de nombreux coléoptères et lépidoptères nuisibles. Cette note examine les réactions de Spodoptera eridania Cramer (Lépido., Noctuidae) alimenté sur trois lignées de ray-grass contaminées par le champignon et trois lignées saines. Après 168 h d'alimentation sur ray-grass contaminé, les chenilles presentent une très forte mortalité; la survie n'est que de 7 à 13% contre 82 à 90% pour le ray-grass sain. Le décès brutal des chenilles correspond à leur alimentation sur la base de la plante ou la concentration du champignon est la plus forte. Les chenilles consomment constamment, broutant plus des 2/3 du feuillage du ray-grass; les broutements des six séries ne différaient pas significativement.Au bout de 24 h, la nombre de chenilles passées du 3ème au 4ème stade, et l'augmentation de poids sont plus élevés pour les séries sur plante contaminée, ce qui suggère un avantage initial pour les chenilles en présence de champignon endophyte, l'analyse en poids sec a montré que l'augmentation de poids initial est réel. Entre 48 et 144 h, cependant, le nombre de 4ème stade et le poids des chenilles sont les mêmes dans les deux séries. Après 144 h, le poids des chenilles sur ray-grass contaminé diminue significativement; aucune n'était parvenue au 5ème stade, contre 11% sur ray-grass sain. Nous n'avons pas observé de signes apparents de neurotoxicité. Au lieu de cela, il ya a eu interaction avec un processus physiologique fondamental, ce qui a provoqué une forte perte de poids larvaire et la mort, indiquant l'intervention d'inhibiteurs métaboliques.
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6.
Cotton plants that had been damaged by spider mites (Tetranychus spp.) or by mechanical abrasion at the cotyledon stage were less likely to develop infestations of spider mites compared to controls early in the season. These are the first field results to demonstrate that induced resistance can reduce pest populations in an agricultural system. Differences in mite populations early in the season caused by induced resistance did not translate into differences in plant growth or cotton yield at harvest.
Vérification au champ de la résistance du coton induite par les acariens
Résumé Les plants de coton qui ont été endommagées, au stade cotylédons, par des acariens ou par une abrasion mécanique, ont moins de chance que les témoins, de présenter ultérieurement des dégats dus aux acariens. C'est la première fois que des résultats montrent qu'une résistance induite peut réduire les populations dans un agrosystème. Les différences ultérieures dans les populations d'acariens, ne transparaissent pas au niveau de la croissance du coton ou de la production au moment de la récolte.
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7.
When the seven available instars and morphs of the aphid, Hyperomyzus lactucae (L.), were exposed together to oviposition by its hymenopterous parasite, Aphidius sonchi Marshall, the numbers of eggs laid were highest in the nymphal instars, particularly in third instar hosts. Adult aphids and alatiform nymphs had the least numbers of eggs laid in them.When the seven instars and morphs were exposed separately, comparatively fewer eggs were laid in both third and fourth (apteriform) instar hosts. These results suggested that, when given a choice, the parasite prefers larger apteriform nymphs.The distribution of eggs among individuals of the same instar during the 3-h test exposure was generally found to be random.
Résumé Quand les sept stades et types du puceron Hyperomyzus lactucea L. sont présentés ensemble à la ponte de son hyménoptère parasite, Aphidius sonchi Marshall, le nombre d'oeufs pondus est particulièrement élevé dans les larves de l'hôte au 3ème stade. Les pucerons adultes et les larves alatiformes avaient reçu le plus faible nombre d'oeufs. Quand les différents types et les sept stades sont exposés séparément, comparativement moins d'oeufs sont pondus à la fois sur les larves des 3ème et 4ème stades aptériformes. Ces résultats suggèrent que, quand on lui donne le choix, le parasite préfère les plus grosses laryes aptériformes. La distribution des oeufs parmi les individus du même stade était généralement au hasard.
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8.
Feeding behavior of biotype E greenbugs from populations maintained either on corn or sorghum was studied on four corn germplasm entries and two sorghums using a computerized electronic insect feeding monitor. Greenbug fecundity and weight were also measured. Both populations showed differences in time to committed phloem ingestion and time spent ingesting phloem among plant entries, but the two populations did not respond similarly to each entry. Corn-reared greenbugs fed more readily on resistant sorghum than did sorghum-reared greenbugs, whereas sorghum-reared greenbugs fed more readily on some corn. Feeding behavior was not correlated with fecundity. Corn-reared greenbugs were equally or more fecund than sorghum-reared greenbugs on all entries. Time to committed phloem ingestion was negatively correlated with adult weight in the corn-reared population. Offspring of corn-reared greenbugs attained equal or greater weight than those of sorghum-reared ones, even though corn-reared greenbugs weighed less on their colony host (OH45) than did sorghum-reared greenbugs on their colony host (NC + 630X). Weight and fecundity were positively correlated across both populations and all entries, but both greenbug populations were more fecund and weighed more on sorghum and Antigua corn than on the other corn entries. The results confirm that biotype E greenbugs can colonize and use corn as a host, although they are more fecund on sorghum. The results also suggest that corn-reared greenbugs are different from sorghum-reared greenbugs because of either genetic or physiological adaptation, with a corresponding change in fecundity and adult weight. The implications of these results for biotype development are discussed.
Résumé Le comportement alimentaire du biotype E de S. graminum, provenant de souches maintenues soit sur maïs (OH45), soit sur sorgho (NC + 630X) a été examiné sur 4 cultivars de maïs (Antigua, AP670, OH45 et 2570), un sorgho sensible (NC + 630X) et un résistant (PI264453), à l'aide d'un enregistreur électronique à programme d'analyse. La fécondité et la poids ont été analysés séparément. Les résultats des souches on été comparés en fonction des cultivars, et les relations entre comportement alimentaire, fécondité et poids analysées.Le comportement alimentaire des différentes souches sur sorghos résistants et sur 2 cultivars de maïs (2570 OH45) ont divergé, mais pas toujours dans la même direction. Par exemple, les insectes élevés sur maïs ont consommé plus facilement le sorgho résistant que ne l'ont fait les insectes élevés sur sorgho, tandis que le contraire a été observé avec le maïs OH45. Les 2 souches ont montré le même comportement alimentaire sur les différents cultivars. Le maximum de temps à été consacré à s'alimenter sur sorgho résistant et le moins sur le maïs AP6.70.Bien qu'il n'y ait eu aucune différence entre les comportements alimentaires des souches élevées sur maïs et sur sorgho, elles ont présenté des différences de poids et de fécondité. Ces résultats ont montré l'absence de corrélation entre l'ingestion de phloème (PI) et le moment de la première consommation de phloème (CPI) d'une part, et la fécondité d'autre part. Sur tous les cultivars, les insectes élevés sur maïs ont toujours été au moins aussi féconds que ceux élevés sur sorgho. Il en est de même pour le poids de leurs descendants, bien que les insectes élevés sur maïs pèsent moins sur leur hôte propre (OH45) que les insectes élevés sur sorgho sur leur hôte propre (NC + 630X). Les corrélations entre poids et fécondité ont été positives dans les 2 souches et pour tous les cultivars, mais les 2 souches ont été plus fécondes et ont gagné plus de poids sur sorgho et sur le cultivar Antigua de maïs que sur les autres cultivars de maïs. Or, les sorghos et le maïs Antigua sont considérés comme manquant de DIMBOA, qui doit être vraisemblablement présent dans les autres cultivars de maïs. DIMBOA est undacide hydoxamique commun dans le maïs connu pour réduire la fécondité, la survie et la prise de nourriture des hétéroptères.Ces résultats confirment les possibilités de colonisation du maïs par le biotype E de S. graminum, bien qu'il ait été plus fécond sur sorgho. Ces résultats suggèrent aussi que les insectes élevés sur maïs sont différents des insectes élevés sur sorgho, par adaptation génétique ou physiologique, avec modification concomitante du poids des adultes et de la fécondité. Par suite de ces différences, les insectes élevés sur maïs sont plus aptes à utiliser le maïs et le sorgho résistant que les insectes élevés sur sorgho. Tout ceci suggère les possibilités de développement d'un biotype dangereux pour le maïs.
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9.
The probing behavior of greenbugs, Schizaphis graminum (Rondani), and oat-bird cherry aphids, Rhopalosiphum padi (L.), was electronically monitored on healthy oats, Avena sativa (L.), and on oats infected with the RPV-NY isolate of barley yellow dwarf virus (BYDV). S. graminum fed better on infected oats than on healthy oats. This was manifested by a shorter time before initiation of committed phloem ingestion, and by increased duration of ingestion from phloem of infected compared to healthy plants. In addition, on infected oats S. graminum made fewer interruptions in their probing once their stylets were inserted into tissues, including phloem. R. padi fed similarly on infected and healthy oats, except that these aphids made fewer short probes to the phloem (lasting <15 min) on infected compared to healthy oats. BYDV infection of oats increased the rate of population growth of S. graminum relative to that on healthy oats but had no effect on the population growth of R. padi. The proportion of aphids of R. padi which developed into alatae on BYDV-infected oats was significantly greater than on healthy oats, but S. graminum showed no such response.
Résumé Le comportement de sondage de S. graminum (Rond.) et de R. padi (L.) a été suivi électroniquement sur avoine (Avena sativa L.) saine ou contaminée par l'extrait RPV-NY du virus jaune du nanisme de l'orge (BYDV). S. graminum s'est mieux alimenté sur avoine contaminée que saine; ceci se traduisait par un temps de latence inférieur avant l'ingestion de phloème et par une prolongation de la période d'ingestion. De plus, sur avoine contaminée, S. graminum a moins souvent interrompu le sondage, une fois que les stylets avaient étè insérés dans les tissus, y compris le phloème. Les résultats avec R. padi présentaient les mêmes tendances, mais les améliorations des performances alimentaires de cette espèce sur avoine contaminée ont été moins nettes que pour S. graminum. La contamination de l'avoine par BYDV a accru le taux de croissance de la population de S. graminum par rapport à ce qui a été observé sur avoine saine; l'effet était moins prononcé pour R. padi. La proportion de pucerons devenant aliés était plus élevée sur avoine contaminée que saine, rien de tel n'a été observé avec S. graminum.
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10.
The feeding behaviors and salivary deposits of the potato leafhopper, Empoasca fabae (Harris), on stems of a susceptible cultivar of alfalfa (Medicago sativa, L.) were studied in relation to the cellular damage and initiation of hopperburn they cause. An AC electronic monitoring system (EMS) was used to quantify the number and duration of probes made on alfalfa stems. Light and electron microscopy were then used to examine the effects of these probes. Most probes were short in duration as determined by EMS and comprised primarily of multiple-cell laceration behavior (represented by the Ia waveform). Probes containing still-stylet ingestion behavior (represented by the Ic waveform) were longer in duration and occurred less frequently. There was a close correspondence between the number of probes containing the Ic waveform and number of salivary deposits. Histological examinations of the stems revealed six types of salivary deposits but only one of these resembled the solid, distinct (or true) salivary sheaths characteristic of sheath-feeders. Less than 25% of E. fabae probes left any salivary deposit, and only 1% left true sheaths. Therefore, it seems unlikely that these deposits could physically block the phloem to cause hopperburn. Cellular disruptions, such as abnormally divided and enlarged cells, were found in the vascular cambium and phloem, as well as other tissues. Enlarged vascular cambial cells appeared to crush the phloem cells, and thus probably caused hopperburn. This microscopic damage was initiated by vigorous, active probing, along with the copious watery saliva that is secreted during the behavior represented by Ia. These observations strongly support Medler's (1941) hypothesis that hopperburn is caused by a substance in the insect's saliva that induces plant cells to enlarge and block the phloem.
Résumé Le comportement alimentaire et les dépôts salivaires d'E. fabae Haris ont été examinés en relation avec les dégâts cellulaires sur tiges de cultivars sensibles de Medicago sativa. Un système de contrôle électronique AC (EMS) a été utilisé pour quantifier le nombre et la durée des sondages dans les tiges de luzerne. Les microscopies optique et électronique ont permis d'examiner les effets de ces condages. EMS a montré que la majorité des sondages étaient brefs (1 à 2 min) et commençait par la lacération multiple de cellules (révélé par un onde Ia). Les sondages comprenant un comportement d'ingestion avec immobilisation des stylets (révélé par une onde Ic) sont plus longs et moins fréquents. Il y a une bonne correspondance entre le nombre de sondages contenant un onde Ic et le nombre de dépôts salivaires. L'association des sondages et des dépôts salivaires montre que la durée du sondage était plus liée à la solidité des dépôts salivaires que la durée des ondes individuelles. L'examen histologique des tiges a révélé 6 types de dépôts salivaires, mais seul l'un d'entre eux ressemblait à celui donnant la gaine solide, individualisée (ou véritable) gaine salivaire caractéristique des consommateurs avec gaines salivaires. Moins de 25% des sondages d'E. fabae laissent un dépôt et seulement 1% laisse une véritable gaine. Ainsi, il semble improbable que ces dépôts puissent bloquer le phloème et provoquer la brûlure des ciccadèles. Des dégâts cellulaires, tels que divisions anormales et cellules hypertrophiées, ont été observés dans la cambium vasculaire et dans le phloème, ainsi que dans d'autres tissus. Dans des tissus fortement abîmés, le phloème est complètement désorganisé et contient des cellules ratatinées et affaissées. Des cellules vasculaires cambiales hypertrophiées paraissaient aplatir les cellules du phloème, et ainsi interférer avec la translocation des photosynthétats. Les dégâts microscopiques sont produits par les sondages actifs et vigoureux, associés à la copieuse détrempe salivaire secrétée pendant le comportement représenter par Ia. Ces observations appuient fortement l'hypothèse de Medler (1941) suivant laquelle la brûlure des ciccadèles est provoquée par une substance de la salive de l'insecte qui induit l'hypertrophie cellulaire et bloque le phloème.
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11.
Development, adult size and fecundity of the aphid parasite, Aphidius sonchi Marshall (Hymenoptera: Aphidiidae), which began their development in the first and third instar nymphs of Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), were studied in the laboratory. Survival and development times were almost identical in the two host instars. However, adult parasites reared in the first instar hosts were smaller and had fewer eggs at emergence than those reared from the third instar.Further analysis showed that the size of an adult parasite, irrespective of host stage at reception of the parasite egg, was largely determined by the size of the host when the parasite was in its destructive feeding phase. Furthermore, within parasites reared from each of the two host instars, the earlier emerging individuals were larger and contained more eggs on emergence. However, the relationships between size, development time and fecundity in the parasites differed significantly between cohorts reared from the two host instars.These results indicate that (1) the suitability of the aphid to the development of the parasite varies as the aphid develops, and (2) several aspects of the parasite biology must be studied to show the relative suitability of the aphids of a given instar.
Résumé L'étude a porté sur le développement, la fécondité et la taille des adultes d'A. sonchi Marshall (Hym: Aphidiidae) qui commence son développement dans le ler et le 3ème stades larvaires d'H. lactucae (Homopt: Aphididae). La survie et la durée de développement sont presque identiques dans les hôtes des deux stades. Cependant les adultes élevés dans le ler stade de l'hôte étaient plus petits et avaient moins d'oeufs à l'émergence que ceux élevés dans le 3ème stade.Des observations ultérieures ont montré que la taille de l'adulte, indépendamment du stade de l'hôte au moment de la réception de l'oeuf, était fortement déterminée par la taille de l'hôte au moment où la larve du parasite était dans sa phase alimentaire destructrice. De plus, parmi les parasites élevés à partir des hôtes de chacun des deux stades, les premiers émergés étaient plus gros et contenaient plus d'oeufs. Cependant la relation entre taille, durée de développement et fécondité des parasites différait significativement suivant les cohortes élevées à partir des hôtes des deux stades.Ces résultats indiquent (1) que l'adéquation du puceron au développement du parasite change pendant que le puceron se développe et (2) que différents aspects de la biologie du parasite doivent être étudiés pour montrer l'adéquation relative des pucerons d'un stade donné.
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12.
Crosses between white and black color morphs of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata Say, used as genetic markers, showed that male beetles ride and guard females to achieve the three copulations required to fill the spermatheca. Multiple matings are necessary for the females to realize their full reproductive potential. Sperm mixing occurs in the spermatheca providing partial sperm precedence. The data support the competitive mate searching theory.
Résumé Différentes combinaisons d'accouplements entre des mutants noirs et blancs du doryphore de la pomme de terre, Leptinotarsa decemlineata, servirent à étudier le comportement de guarde de la femelle par le mâle après un premier accouplement. Les résultats indiquent que le sperme de deux mâles accouplant la même femelle se mélange dans la spermathèque assurant ainsi un certain niveau de précédence du sperme du dernier mâle.La masse de sperme dans la spermathèque était inférieure à sa capacité chez les femelles ayant été accouplées une ou deux fois. Le doryphore mâle aurait donc avantage à demeurer sur la femelle après un premier accouplement afin d'obtenir le minimum de trois accouplements requis pour remplir la spermathèque avant que les autres mâles puissent accoupler cette femelle. Les autres mâles ont avantage à essayer de dérober cette femelle pour remplir eux mêmes la spermathèque ou tout au moins profiter d'une certaine précédence du sperme du dernier mâle pour fertiliser une partie des oeufs.Sans accouplements multiples, la femelle ne possède pas suffisamment de sperme pour féconder tous ses oeufs. II semble aussi que les accouplements répétés puissent augmenter sa fécondité.Les résultats supportent une stratégie reproductive de compétition plutôt qu'une simple maximisation du nombre d'accouplements.
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13.
A series of experiments were undertaken to determine the factors responsible for the maximum number of hosts attacked by the parasitoid Venturia canescens (Gravenhorst) (Hymenoptera:Ichneumonidae) in the course of functional response experiments. Egg limitation is not a constraint on the maximum number of parasitoid progeny produced per day. Rather, the constraints arise from the requirement that eggs must be moved from the ovarioles to the oviducts and the rate at which this occurs, together with the existence of a positive relationship between the rate of parasitoid searching behaviour and the number of eggs in the oviducts.
Résumé Le parasitoïde V. canescens produit 251±45 descendants au cours de sa vie. Les adultes ont à l'émergence 23,7±1,1 oeufs dans leurs oviductes ou descendant des ovarioles vers les oviductes à la vitesse de 1,78±0,06 oeuf/heure. II y avait une corrélation linéaire positive entre le temps dépensé par l'ichneumonide à sonder le substrat pour découvrir la larve d'un hôte et le nombre d'oeufs présents dans les oviductes. L'effectif d'oeufs pondus était proportionnel au temps passé à sonder. Le temps nécessaire à la maturation des oeufs et la relation entre le comportement de prospection et le nombre d'oeufs disponibles contribuent à limiter la vitesse de production de descendants au cours des expériences de réactions fonctionnelles. Ces facteurs ne limitent vraisemblablement pas le succès de la reproduction dans les conditions naturelles, à moins que le taux de rencontre des hôtes ne dépasse la vitesse de maturation des oeufs.
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14.
Mating ability, sexual aggressiveness and competitiveness of irradiated males subjected to 12-krad dose in air as compared to untreated males of Glossina palpalis palpalis (Rob.-Desr.) were evaluated in relation to the time required for initiation and completion of copulation with the transfer of viable and motile sperm into the female spermathecae. Males of G. p. palpalis can inseminate up to eight females. The minimum age for successful insemination is 4-days-old while the minimum copulatory time for optimal insemination is 40 min. However, sterile males require at least a day longer to mature (day 4 instead of day 3) and remained in copula for longer period but they become aspermic at the same rate as fertile males. There was significant reduction (P<0.05) in female fecundity during a mixed mating test involving a ratio of one sterile to one fertile male. Therefore 12-krad-treated males could satisfy the mating requirements of female G. p. palpalis.
Résumé L'aptitude à l'accouplement, l'agressivité sexuelle et le succès dans la compétition ont été comparés chez des mâles soumis à 12 krad dans l'air et des mâles témoins. Ces paramètres ont été évalués en fonction du temps nécessaire pour provoquer l'accouplement et l'accomplir avec le transfert de spermatozoïdes viables et mobiles dans la spermathèque de la femelle. Un mâle de G. p. palpalis peut inséminer jusqu'à 8 femelles. L'âge minimum pour obtenir une insémination réussie est 4 jours, tandis que le temps de copulation minimal pour une insémination optimale est 40 mn. Cependant les mâles stériles demandent au moins 1 jour supplémentaire pour atteindre leur maturité (4ème jour au lieu du 3ème); ils restent accouplés pendant plus longtemps, mais deviennent aspermiques au même taux que les mâles fertiles. Il y a eu une réduction significative de la fécondité des femelles (P>0.05) après accouplements mixtes impliquant autant de mâles stériles que de mâles fertiles. Ainsi des mâles traités avec 12 krad pourraient satisfaire les exigences sexuelles de femelles de G. p. palpalis.
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15.
Résumé Pendant l'essaimage, les imagos ailés deNeotermes tectonae sont attirés en grand nombre par les branches mortes ou les chicots des cimes des arbres de teck (Tectona grandis). Ces parties mortes, pour la plupart d'origine non pathologique, s'observent en abondance dans les plantations serrées, et elles restent attachées aux arbres longtemps, se décomposant peu à peu. Pour établir leur loge, les imagos attaquent très souvent la moelle exposée aux endroits où une partie terminale s'est détachée, ou bien ils transpercent latéralement les branches pourrissantes. Ils n'utilisent que rarement d'anciens forages abandonnés. Les colonies primaires sont saprophages. Leurs galeries initiales suivent le fil du bois et sont tantôt dirigées vers le sommet, tantôt et le plus souvent vers la base des branches, ce qui s'explique peut-être par le plus fort degré hygrométrique des parties basales. Ordinairement, les galeries des colonies juvéniles s'étendent après un ou deux ans dans les parties vivantes de la cime ou du tronc, mais les colonies peuvent subsister pendant trois ans et plus sur le bois mort, atteignant exceptionnellement dans ce milieu la phase de première apparition des individus ailés. On peut trouver jusqu'à six colonies primaires dans la même branche. Bien qu'occupant la même partie limitée d'un arbre et possédant des galeries entremêlées, les colonies peuvent rester séparées très longtemps, du moins lorsque leur nombre n'excède pas deux. Les jeunes colonies vivent côte à côte avec d'autres espèces d'insectes utilisant le bois pourri comme nourriture ou, tels que les fourmis, comme abri. Une fois établies, les colonies paraissent ne subir que peu de pertes à la suite d'influences défavorables ou de prédateurs; chose curieuse, elles ne sont pas recherchées par les pics.

The preparation of this paper has been made possible thanks to a grant received from the Netherlands Organization for the Advancement of Pure Research (Z. W. O.).  相似文献   

16.
Adult female red pine cone beetles (Conophthorus resinosae Hopkins) (Coleoptera:Scolytidae) left cones of white pine (Pinus strobus L.) more readily than cones of red pine (Pinus resinosa Ait.) in the first 3 min after being placed on cones. Slices of white pine cones, however, did not elicit different beetle behavior than slices of red pine cones. Beetles bored into white pine as readily as into red pine. We conclude that beetles initially reject white pine due to structural traits, but eventually accept it during prolonged exposure and may utilize white pine in nature.
Résumé C. resinosae Hopkins (Coleoptera, Scolytidae) s'alimente et pond sur les cônes de Pinus resinosa Ait.; il détruit souvent plus de la moitié des graines du pin dans la région des grands lacs aux USA. Cette espèce et les autres Conophthorus sont considérés comme des spécialistes très spécifiques. Nous avons voulu vérifier que les femelles de C. resinosae acceptent plus facilement comme hôtes les cônes de P. resinosae que ceux de P. strobus L. Au laboratoire, les scolytes ont abandonné les cônes de P. strobus plus rapidement que ceux de P. resinosae, au cours des 3 minutes qui ont suivi leur dépôt sur les cônes. Cependant des rondelles de P. resinosae n'ont pas été plus stimulantes que celles de P. strobus; les scolytes n'ont pas foré plus rapidement, ni n'ont plus séjourné sur P. resinosae que sur P. strobus au cours de 1, 2 ou 24 heures de l'expérience. Nous en concluons que les scolytes rejettent de prime abord P. strobus pour ses caractères structuraux, mais qu'ils l'acceptent éventuellement pendant expositions prolongées et peuvent le consommer dans la nature.
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17.
Stylet insertion sites on the leaf surface and leaf cell types fed upon by nymphs and adults of the pear psylla, Psylla pyricola Foerster (Homoptera: Psyllidae) were identified using histological techniques and electronic monitoring of probing and feeding activities. Neither the nymphs nor the adult ingested predominantly from the phloem of Pyrus communis cv. Bartlett. We showed that the pear psylla ingests from all leaf cell types, but that xylem, phloem and bundle sheath cells are more acceptable for ingestion than non-vascular tissues. The possible sensory mechanisms underlying selection of stylet insertion sites on the leaf surface and acceptance of various cell types for ingestion are discussed.
Résumé Les lieux d'insertion des stylets sur la surface de la feuille et les types cellulaires consommés par les larves et les adultes de Psylla pyricola Foerster ont été précisés par étude histologique et par enregistrement électronique du comportement de piqûre et d'alimentation. Ni les larves, ni les adultes n'ont absorbé de préférence le phloème de Pyrus communis de la variété Bartlett. Nous avons constaté que le psylle du poirier ingère le contenu de tous les types cellulaires, mais que le xylème, le phloème et autre cellules des faisceaux libéro-ligneux étaient préferés aux tissus non vasculaires. La discussion a porte sur les méchanismes sensoriels éventuellement responsables de la sélection des lieux d'insertion des stylets à la surface de la feuille et l'acceptation des différents types cellulaires lors de l'ingestion.
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18.
Stylets and salivary sheaths of the cabbage aphid, B. brassicae (L.) were studied in leaf tissue of B. oleracea (L.) with Transmission Electron Microscopy. Examples of inter cellular penetration are described by sections of stylets and saliva in air spaces or between adjacent cell walls. Intracellular penetrations are represented by stylets and saliva within damaged cells. High resolution microscopy reveals a third route, where stylets and saliva lie between cell walls and plasmalemmas. This route is called intramural.The results are discussed with particular reference to signals of Electrical Penetration Graphs and at wider level to aphid-host plant selection and phloem location.
Résumé Les stylets et les gaines salivaires de B. brassicae ont été examinés au microscope électronique à intérieur de feuilles de B. oleracea. Des sections de stylets et de salive dans les espaces intercellulaires et entre les parois de cellules adjacentes ont fourni des exemples de pénétration intercellulaire. Les pénétrations intracellulaires de stylets et salive ont été observées dans des cellules abimées.Une trosième voie a été mise en évidence lorsque les stylets et la salive sont coincés entre la paroi cellulaire et le plasmalesme; cette voie est baptisée intrapariétale.La discussion de ces résultats se réfère aux conditions d'obtention des signaux fournissant les images microscopiques. Ils peuvent servir à expliquer la sélection des plantes par les pucerons et leur aptitude à localiser le phloème.
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19.
In field experiments, larvae of codling moth Cydia pomonella (L.) rarely acquired granulosis virus on hatching from the egg, but picked up most later, on the tree surface. Deposits of virus sprayed in 1.0% w/v skimmed milk did not affect neonate larval behaviour. Larvae died, usually in the first instar, after entering treated fruit, but they frequently entered via the calyx or near the base of the stalk or through cracks in the skin, where little feeding damage by first-and sometimes second-instar larvae was seen.
Résumé En verger, la pulvérisation d'oeufs de carpocapse avec du virus de la granulose en suspension dans l'eau (additionnée de lait écrémé dilué à 1%) n'a pas modifié la survie des chenilles avant pénétration dans le fruit; par contre la pulvérisation des arbres a provoqué une forte mortalité. Bien que des chenilles consommant des poils et la surface des feuilles aient été observées avant leur pénétration dans le fruit, ce qui aurait pu provoquer leur contamination par le virus, il semble que la contamination létale provienne des fruits seuls.La présence de produit n'a modifié ni le comportement larvaire, ni le taux de pénétration dans les fruits; la mortalité y a lieu ensuite, généralement au premier stade. Dans 74 à 78% des cas, les chenilles ont pénétré dans le fruit par le calice ou près de la base du pédoncule — aucun dégât provenant de larves du premier stade n'y était visible, de même que dans le calice pour les larves du deuxième stade. Par contre, toute pénétration par la surface du fruit était repérable dès le premier stade. Il est possible que la répartition des lieux de pénétration dans le fruit influe sur la létalité due au virus et explique les variations d'efficacité observées en verger. Un système de classification des dégâts, provoqués lors de la pénétration dans le fruit, de chenilles du premier au troisième stade est proposé pour évaluer l'efficacité des essais en verger.
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20.
A survey of 100 Scots pine trees (Pinus sylvestris) showed that those windthrown with a declination > 50° from vertical were preferentially colonized by the larger pine shoot beetle, Tomicus piniperda (L.) (Coleoptera: Scolytidae). A factorial experiment was done with logs of 0°, 45° and 90° declination, and different diameters and spacing to test hypotheses, involving olfactory, visual and tactile mechanisms. In the experiment, the attack rates depended strongly on log diameter with a preference being shown for larger diameter logs having a rough bark structure. In contrast to the field survey, experimental declination did not increase attack densities. The spacing between neighbouring attack sites in the bark was regular rather than random, which could be due both to spacing between conspecifics and regularities in bark structure. The contrary data from survey and experiment is explained by release of odours from wind damaged trees, and host odour and bark roughness stimuli are suggested to operate in different steps in the behavioural sequence of host location and colonization.
Résumé L'observation de 100 individus de Pinus sylvestris a montré que les arbres inclinés de plus de 50° par le vent sont colonisés de préférence par T. piniperda L., Scolytidae. Des expériences avec des branches de différents diamètres, plus ou moins espacées et inclinées de 0°, 45° et 90°, ont permis d'examiner les influences de l'olfaction, de la vision et du tact. Les attaques ont montré une préférence marquée pour les diamètres les plus grands et pour la structure la plus rugueuse. Contrairement aux observations dans la nature, l'inclinaison n'a pas augmenté les attaques.L'analyse sur l'écorce de la distance entre les points d'attaque montre une tendance à une distribution régulière plutôt qu'au hasard, tenant compte de la régularité structurale de l'écorce.Les résultats contradictoires entre les expériences et les observations peuvent s'expliquer par l'abondante émission d'odeurs par les arbres endommagés par le vent, paramètre non contrôlé dans les observations. Les stimuli dus à la rugosité et à l'odeur de l'arbre devraient opérer à différentes étapes de la découverte et de la colonisation de l'hôte.
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