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1.
Résumé Les larves de la mouche du céleri peuvent quitter leur galerie d'origine et en creuser une nouvelle dans le parenchyme d'une autre foliole. Ces changements se produisent lorsque la quantité de nourriture est insuffisante pour assurer le développement complet ou lorsque l'état physiologique de la feuille est mauvais.Des changements peuvent être induits expérimentalement en transférant les larves d'une foliole sur une autre, ou en augmentant la pression de la compétition intraspécifique; dans ce dernier cas le comportement d'alimentation peut être changé, les larves pouvant se nourrir aux dépens des pétioles.Les changements de galerie sont plus nombreux et la mortalité larvaire plus faible lorsque le déficit de saturation en eau du milieu ambiant est faible. Lorsque l'humidité relative est basse (HR=50–60%) la mortalíté larvaire est importante à l'intérieur des galeries d'origine et le nombre de changements est par conséquent limité.
Summary The mining larvae of the celery fly, Philophylla heraclei, normally achieve their full development in a single mine inside a celery leaflet. If the amount of food is not sufficient, or in the case of a bad physiological condition of the leaflet (desiccation, celery leafspot, etc...), the larvae can leave their original mine and move to another leaflet to bore another mine.Such migrations can be induced experimentally by removing the larvae from their mine and placing them on another leaflet or leafstalk. They can also be induced by creating acute competition for food on celery plants offering a limited number of small leaves. In this case, larvae are frequently observed feeding on the tissues of the petiole of leaflets or the leafstalk, which behaviour is not observed in nature.There are few cases of migrations and larval mortality inside the leaf tissue is high (85%) when the humidity of the chamber is far removed from saturation (RH=50–60%). When humidity is near saturation (RH=95%), there are many cases of larval migration; about 50% of the larvae then reach the pupal stage, most of the larval mortality being due to the lack of utilisable vegetable tissue.In nature, this possibility of migration in a humid atmosphere enables the larvae of P. heraclei to resist competition and to escape leaf-spot which causes a rapid decrease in the amount of healthy utilisable tissue.
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2.
Les larves néonates d'Acanthoscelides obtectus Say (Col. Bruchidae) doivent percer le tégument des graines de Phaseolus vulguris pour effectuer leur développement dans les cotylédons. Ce tégument représente une véritable barrière tant mécanique que chimique. La dureté de celui-ci est un facteur important qui influence la fréquence de pénétration larvaire. Nous le montrons en contrôlant la teneur en eau du tégument un des facteurs déterminant de la dureté de celui-cl. l'âge des graines influence aussi la fréquence de percement indépendamment de la teneur en eau du tégument.  相似文献   

3.
Résumé L'élevage au laboratoire du criquet migrateur Locusta migratoria L. se fait généralement sur des graminées sauvages comme le roseau (Phragmites communis T.), le bambou (Sasa japonica L.), le pâturin (Poa annua L.) ou des graminées cultivées tel le blé par exemple (Triticum sativum Vill.). Malgré les efforts faits par de nombreux auteurs, le développement complet n'a pu encore être obtenu sur un milieu nutritif de type holidique ou synthétique c'est-à-dire totalement défini du point de vue chimique. Par contre, deux milieux nutritifs semi-synthétiques et qualifiés de méridique par Dougherty (1959), permettent au criquet de se développer dans des conditions satisfaisantes. L'un comporte des feuilles sèches de roseau, (Borisova, 1966) l'autre seulement de l'extrait aqueux de pâturin (Rigollet, 1966).Nous avons repris les conclusions des précédents auteurs et cherché à obtenir un milieu nutritif de type méridique capable de satisfaire les exigences alimentaires des larves du criquet migrateur prises dès l'éclosion. Nous avons aussi tenu à voir si l'introduction d'une photopériode dans les conditions d'élevage ne modifie pas l'assimilation des éléments nutritifs ingérés et digérés.Il apparaît ainsi qu'une croissance régulière et satisfaisante des larves peut être obtenue sur des milieux nutritifs semi-synthétiques ne comportant pas de particules végétales. Celles-ci sont remplacées par de l'extrait de blé, de pâturin ou de salade qui représente à peine un pour cent du poids sec de l'aliment. Cependant, les extraits interviennent différemment selon le stade dy développement et le sexe des larves, la composition de base du milieu, la durée journalière de l'éclairement.Par ailleurs, quel que soit le régime alimentaire auquel sont soumises les larves, une photopériode de douze heures améliore la croissance pondérale et diminue la durée du développement, par rapport à ce qui est observé en éclairement continu. Il paraît enfin démontré que les larves femelles, en fin de développement, se montrent plus sensibles que les larves mâles, en face de déficiences ou de déséquilibres nutritionnels.
Summary Laboratory rearing of the migratory locust Locusta migratoria usually is on such wild Gramineae as the reed (Phragmites communis), bamboo (Sasa japonica), meadow grass (Poa annua) or on cultivated Gramineae, for example on wheat (Triticum sativum). Complete development has not yet been obtained on a diet of the holidic or synthetic type. On the other hand there are two meridic or semi-synthetic diets, that allow the locust to develop satisfactorily. One consists of dried reed leaves (Borisova, 1966), the other includes merely aqueous extract of meadow grass (Rigollet, 1966).We have sought a diet of the meridic type that would satisfy the alimentary requirements of nymphs of the migratory locust taken shortly after hatching. We also investigated whether introduction into the rearing conditions of a photoperiod modifies the assimilation of the nutritive elements that were eaten and digested.Regular and satisfactory growth of the nymphs could be obtained on semi-synthetic diets that contain no vegetable particles. The latter are replaced by an extract of wheat, meadow grass, or lettuce, amounting scarcely to 1% of the dry weight of the food. However, the effect of the extracts differs according to the developmental stage and sex of the nymphs, the basic composition of the medium, and the diurnal duration of lighting.Besides, whatever the alimentary regime to which the nymphs are subjected, a photoperiod of 12 hours improves the gain in weight and reduces the duration of development, relative to what is seen under constant illumination. Finally, it is demonstrated that female nymphs, at the end of the developmental period, are more sensitive than male nymphs to nutritional deficiencies or disequilibria.
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4.
Sept souches de B. thuringiensis, figurant dans la première liste de sérotypes décrite par De Barjac et Bonnefoi, ont été comparées quant à leur activité du complexe «cristaux-spores», vis à vis de 24 espèces de Lépidoptères.La méthode utilisée a permis de démombrer 779 activités «croisées», ou autrement dit, 779 activités inverses de deux souches à l'égard de deux insectes. Contrairement à l'activité comparée qualitative de chacune des souches pour une espèce d'insecte donnée, l'activité «croisée» a une signification plus objective, puisqu'elle est plus indépendante des préparations utilisées et des critères de comparaison retenus.Les souches appartenant au même sérotype (biotypes) ont une activité spécifique au même titre que celles appartenant à différents sérotypes.Les souches expérimentées n'ont pas révélées des spectres d'activités identiques à l'égard des insectes à parenté systématique proche.
Contribution to the study of the spectrum of activity of different strains of Bacillus thuringiensis
Summary The activity of 7 preparations based on the crystal-spore complex of different strains of B. thuringiensis, belonging to the serotypes I, III, IV, V and VI, has been compared in laboratory experiments on 24 species of lepidopterans. The repetition of the tests, during several years in some cases, has allowed a qualitative classification of the strains to be established, with respect to the difference in activity for each insect (Fig. 1 and 2).The tests have been made by comparing the same weights of the various preparations for each insect and by using different weights according to the species in respect of their relative sensibility. Therefore, when interpreting the indicated classification in the figures, the variation of the relation between the volume of the culture medium and the dry weight in the fabrication of the preparations must be taken into account. The used preparation based on Galleriae, for example, came from a culture almost three times as rich in weight as the preparation Entomocidus. On the other hand, these restrictions do not intervene when comparing the activity of two strains in view of two (or more) insects; the relation of preparation dosages being always the same. The fact that the strains belonging to the serotypes VII, VIII and IX have not been studied must be taken into account, as should the fact that the activity spectrum thus demonstrated may not be the same with other preparations of the same strains (Fig. 3), and finally, our tests solely concerned the crystal-spore complex not containing the thermostable toxin, which itself has an entirely different activity spectrum.Taking these elements into account, it can be concluded from Fig. 1 that in the case of two Noctuidae, e.g. Barathra brassicae (no 2) and Cirphus unipuncta (no 18), the strain Entomocidus is more active than the strain Galleriae in the former species as compared to the latter.Between the strains — types of one serotype (Sotto and Dendrolimus; Serotype IV: Entomocidus and Subtoxicus; Serotype VI) the number of strain-insect cross activities is as frequent as between strains of different serotypes (Table VIII).It appeared necessary to compare the activity of all the serotypes for a given insect by avoiding all extrapolation acquired for another species, for there does not seem to exist a constant relationship between the bacterial strain and the systematic relationship of insects.Our tests resulted in 779 cases of strain-insect cross activities significantly different, demonstrating the taxonomic value of the activity spectrum of the different strains and the possibility of considering this characteristic among the other criteria of classification.
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5.
Résumé La température interne d'un insecte dictyoptère femelle, Blaberus craniifer Burm., est détectée par une thermistance disposée dans la cavité incubatrice de l'animal. Sa température ambiante est soumise à une variation périodique de faible amplitude. Ce protocole expérimental permet de préciser les phénomènes d'adaptation thermique d'un poïkilotherme.
Summary The thermal adaptation of Blaberus craniifer (Insecta Dictyoptera) was studied. The body-temperature measurements were made on the animal kept in a regulated box. Simultaneously we recorded the temperature of a similar box as a control. Both boxes were submitted to a pseudosinusoidal variation of temperature of low amplitude.The analysis of the curves obtained shows that variation of the body temperature is dephased and damped in comparison with the control box temperature. When the animal is previously killed the dephasing decreases and the damping increases.An increase of thermal inertia in the living insect is also observed.
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6.
7.
Le composant principal de la sécrétion phéromonale produite parla femelle vierge de Acrolepiopsis (Acrolepia) assectella Zell. a été identifié par chromatographie en phase gazeuse, spectrométrie de masse, tests électrophysiologiques et olfactométrie comme étant l'hexadécène-11Z al (Z11HDal). Ce composé est le plus actif en électrophysiologie parmi tous les autres acétates, alcools, aldéhydes et formiates, de C12 à C18, éprouvés sur l'antenne du mâle et il est capable de produire chez ce dernier une séquence comportementale sexuelle complète en olfactomètre à tube. Dans la nature, des capsules en caoutchouc chargées à 1 mg de Z11HDal (plus 10% d'antioxydant) attirent sélectivement les mâles et sont compétitives avec des femelles vierges. L'isomère E (E 11HDal) est environ 104 fois moins actif tandis que l'acétoxy-1 hexadécène-11Z (Z11HDA) et l'hexadécène-11Z ol-1 (Z11HDol) inhibent le pouvoir attractif du Z11HDal.
Summary The main component of the sex pheromone secretion produced by virgin females of A. assectella has been identified as Z-11 hexadecenal (Z11HDal) by GC analysis and mass spectrometry, EAG tests, and behavioural assays. Z11HDal elicited the highest EAG response of all C12 to C18 acetates, aldehydes, formates and alcohols tested, and induced a typical sequence of male sexual behavioural responses in olfactometer tests. In the field, traps baited with 1 mg Z11HDal on rubber septa (with 10% antioxidant) attracted male moths selectively and were competitive with virgin females. The E isomer (E 11HDal) was 104 times less attractive, whereas Z11-hexadecenyl acetate and Z11-hexadecen-1-ol, in admixture with Z11HDal strongly inhibited male responses.
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8.
Résume Eupelmus urozonus, parasite de Dacus oleae présente en Grèce un arrêt de développement hivernal pendant le 5ème stade de son évolution larvaire. Sous une exposition à une photophase courte (20°-8 h d'éclairement), plus de 99% de la population du parasite a un arrêt de développement alors que soumis à 16 h d'éclairement, les insectes peuvent évoluer sans diapause. Presque immédiatement après l'exposition du stade sensible à la photopériode courte, l'insecte arrête son développement morphogénétique et il peut être conservé dans cet état pendant plusieurs mois. La reprise du développement a pour principal agent le retour à une photophase longue. L'arrêt de développement étudié présente de nombreuses caractéristiques d'une oligopause.
Summary Eupelmus urozonus, a parasite of Dacus oleae, in Greece hibernates in the fifth-larval stage during winter. A preliminary study of this has been made in the laboratory. Under the conditions 20° and 8 hrs light, more than 99% of parasites cease development; but with 16 hrs light, the insects develop directly without any break in morphogenisis. Exposure to a range of intermediate photoperiods confirmed that photoperiod was the most important determinent of the type of developmental cycle. Development of sensitive larvae ceases immediately on exposure to the short photoperiod and they may then be kept in this state for several months. Reactivation occurs under long photoperiods. This arrest of development presents many characteristics of an oligopause.
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9.
10.
A partir de dissections systématiques de femelles capturées sur le terrain, une étude des caractéristiques de la reproduction de Machaeridia bilineata Stål a été réalisée dans les savanes de Lamto (Côte d'Ivoire), complétée par quelques données en provenance de Ouango-Fitini. Cet acridien univoltin, une des espèces dominantes de Lamto, passe la saison sèche au stade d'imago immature. Le dépôt du vitellus commence dans les ovocytes vers la mi-février, soit près de 2 mois après les mues. Au cours de sa vie, une femelle ne pond en moyenne qu'une fois et demi à deux fois, mais avec un taux de réussite de 95%. Chaque femelle produit alors de 15 à 20 ?ufs. Une des caractéristiques de cette espèce est la rétention des ovocytes dans les calices avant la ponte. A Ouango-Fitini, les phénomènes sont décalés de 5 à 6 semaines par rapport à Lamto. Il n'y a pas de lien entre le début de la maturation sexuelle et le passage des feux. Pour la période d'étude, il existe une relation avec l'arrivée des premières pluies, mais les limites de ce synchronisme restent à préciser.  相似文献   

11.
Résumé La présence des gousses et graines de six espèces de Phaseolus déclenche une ponte importante chez A. obtectus et stimule significativement la production ovarienne. Cependant, les meilleures performances ne sont pas observées avec P. vulgaris, hôte habituel, mais avec P. coccineus.Pour toutes ces espèces le tégument de la graine représente une barrière importante pour la pénétration des larves. Chez certaines espèces sauvages, et dans les conditions expérimentales, il permet une protection totale de la graine. Cette protection semble diminuer avec la domestication chez P. vulgaris.Lorsque les graines sont perforées artificiellement, les larves (une par graine) pénètrent sans difficulté, quelle que soit l'espèce. Les graines de P. coccineus et de P. vulgaris permettent le développement complet de la majorité des larves, tandis que dans celles de P. metcalfei et de P. acutifolius ne peut se développer qu'une faible partie de la population larvaire. Certains Phaseolinae peuvent donc stimuler la ponte sans permettre le développement des larves.Les femelles de la F1 provenant de P. coccineus ont des performances reproductrices supérieures à celles des femelles provenant de P. vulgaris (variétés sauvage ou cultivée). P. coccineus pourrait être considéré comme une des plantes-hôtes d'origine.
Summary The presence of pods and seeds of six Phaseolus species induces significant egg-laying in A. obtectus and strongly stimulates ovarian production. However, the best performances are not observed with P. vulgaris, the common host, but with P. coccineus.For all six species, the seed testa is an important barrier against larval penetration. For some wild species, it can give total protection of the seed, but this protection is reduced with domestication in P. vulgaris.For all species, when the seeds are artificially perforated, larvae (one per seed) penetrate easily. Most of the larvae can complete their development in seeds of P. coccineus and P. vulgaris, but only a small proportion of the larval population can develop in seeds of P. metcalfei and P. acutifolius. Thus certain Phaseolinae seeds stimulate egg-laying without allowing larval growth.Females of the F1 reared in P. coccineus have superior reproductive capacities than those reared in P. vulgaris. P. coccineus could be considered as one of the original host-plants of A. obtectus.
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12.
L'importance des pressions de sélection au cours des premières générations, dans des élevages en alimentation artificielle, est mise en évidence par l'étude de souches d 'Acrolepiopsis assectella Zeller soumises à des changements de régime alimentaire. l'évolution du taux de survie et de la durée du développement des larves a été suivie pendant les premières générations après le changement, et ultérieurement contrôlée au cours de plusieurs années d'élevage dans les mêmes conditions. Le taux de survie semble atteindre assez rapidement un équilibre, dont le niveau n'est pas indépendant de l'aliment consommé, tandis qu la durée du développement larvaire devient identique pour toutes les souches dès la quatrième génération. Ces phénomènes semblent correspondre à une adaptation des insectes à leurs conditions d'élevage, qui provoquent une sélection dans les populations d'origine.  相似文献   

13.
Pour déterminer la ration minimale d'eau nécessaire à la survie de Locusta migratoria migratorioides (R. et F.) adulte et les repercussions d'un stress hydrique prolongé sur le fonctionnement ovarien, nous avons séparé le facteur eau du facteur aliment en élevant les criquets de l'éclosion à l'âge adulte avec des germinations de blé lyophilisé, selon une technique décrite par Louveaux et al. (1980). Il est montré que la quantité d'aliments ingérée augmente avec la quantité d'eau bue (r = 0,91). La relation linéaire déterminée permet inversement, connaissant les quantités d'aliments ingérés, d'évaluer à 300 μl la ration quotidienne d'un criquet ayant un accès non limité à l'eau de boisson. Les femelles qui n'ont reçu que 50 μl d'eau par jour (j.) sont mortes avant le 9ème jour de traitement. La survie est assurée à partir de 100 μl/j. L'avancement de la vitellogenèse est également en relation avec la quantité d'eau absorbée quotidiennement. Aucun développement ovarien ne se produit jusqu'à 100 μl/j. Une vitellogenèse ralentie commence à partir de 150 μl/j. et elle devient normale à 300 μl/j. avec des pontes comparables à celles des témoins nourris de blé frais.  相似文献   

14.
15.
Lorsque 2 femelles ou 3 femelles de l'ectoparasite D. vagabundus parasitent conjointement un même lot d'hôtes l'intensité du grégarisme larvaire s'accroît par rapport à celui observé en présence d'une seule femelle pondeuse. Cela se traduit par une augmentation significative du nombre moyen de descendants des 2 sexes mais la production moyenne en fils est toujours très inférieure à celle des filles. Cependant, lorsque la densité de femelles pondeuses passe de 1 à 3, le rapport des sexes mâles/femelles des descendants évolue vers l'unité traduisant une augmentation plus rapide de l'effectif des fils que des filles.  相似文献   

16.
La consommation journalière d'un aliment semi-synthétique contenant des proportions variées d'une substance non-nutritive (alumine) a éTÉ étudiée chez les mâles adultes de la blatte germanique, Blattella germanica L., après trois joûrs de jeûne. Lors de la réalimentation, on observe une augmentation de la quantiTÉ de nourriture consommée au cours du premier jour, quelle que soit la dilution. La consommation décroît et atteint sa valeur habituelle au bout de trois jours avec des nourritures peu diluées. Avec des nourritures plus diluées, la consommation reste importante pendant toute la durée de l'expérience et les insectes ne peuvent pas récupérer leur déficit métabolique. L'ensemble des résultats permet de penser que la consommation de matière sèche est réglé ***pur plusieurs facteurs: propriétfés phago-stimulantes de la nourriture, réplétion du tube digestif, vitesse du transit, utilisation métabolique de la nourriture et déficience métabolique provoquée par le jeûne.  相似文献   

17.
L'étude de la qualité nutritive de Pteridium aquilinum L. Kühn, fougère qui ne fait pas partie du spectre alimentaire de Schistocerca gregaria Forsk., a été suivie avec des larves de Ve stade. Le végétal est présenté à l'état frais ou sous forme de poudre déshydratée introduite dans un milieu artificiel. De plus, nous avons essayé d'accroître l'appétitivité des milieux artificiels en y introduisant une substance phagostimulante (saccharose ou sinigrine). Le végétal témoin est une graminée, Sasa japonica Mak., couramment utilisée dans les élevages de masse au laboratoire.Les critères examinés sont la mortalité au cours du Ve stade, la durée de ce stade, la consommation, l'évolution pondérale. Alors que sur végétal frais les résultats sont à l'avantage du Sasa, les différences s'estompent, ou même s'inversent sur les milieux artificiels. Le saccharose et la sinigrine n'ont eu aucun effet stimulant dans nos conditions expérimentales. Enfin, lorsque l'évolution pondérale est estimée à poids initial et consommation constants, on constate que la valeur nutritive de la fougère est supérieure à celle du bambou.
Summary The food value of Pteridium aquilinum, a fern which is not eaten in nature by Schistocerca gregaria, was studied with fifth instar larvae. The fern was given as fresh plant, or as dehydrated powder in artificial diet. Feeding stimulants (sucrose or sinigrin) were added to the artificial diets. Sasa japonica, which is given for laboratory breedings, was used as control.Mortality during the fifth instar, rate of development, food consumption and weight changes were examined. On fresh plants, the best results were obtained with S. japonica. On artificial diets, results were similar or better with P. aquilinum. No extra feeding stimulatory effect was observed with sucrose or sinigrin. When weight increase was calculated for constant initial weight and consumption, it appeared that the food value of P. aquilinum was higher than that of S. japonica.
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18.
Résumé G. mellonella infestée au dernier stade larvaire avec 1, 2, 3 ou 5 planidia/hôte (ph/H) produit 1 à 5 pupes/hôte (pu/H). La mortalité des chenilles augmente avec le nombre de pl/H. Le poids des pupes et décroît avec un nombre croissant de pu/H (18,2 à 12,9 mg pour les et 12,5 à 9,7 mg pour les ). Le développement larvaire dure 8,7 j. chez les et 8,3 chez les ; il est peu affecté par le superparasitisme. Avec 1, 2, 3 et 5 pl/H nous obtenons 0,84–1,61–2,17 et 3,43 pu/H et 0,81–1,48–2,10 et 3,11 imagos/H. L'optimum est de 3 pl/H ou 1 à 2=pl/H pour obtenir des parasitoïdes plus lourds.
Summary The influence of superparasitism on larval and pupal development is investigated. Last-larval instar G. mellonella (200±5 mg) were infected with 1, 2, 3 or 5 planidia/host (pl/H) producing 1 to 5 pupae per host (pu/H). Host mortality (8.6–8.3–14.3 and 22.2%) increased with the number of planidia. The planidia may transmit a bacteriosis. Pupal weight ( and ) decreased as number of pu/H increased. pupae were heavier than ones: 12.9 to 18.2 mg for against 9.7 to 12.5 mg for . Larval development lasted slightly longer for (8.7 d.) than for (8.3 d.), and its duration was little affected by superparasitism. 1, 2, 3 or 5 pl/H yielded 0.84–1.61–2.17 and 3.43 pu/H and 0.81–1.48–2.10 and 3.11 adults/H. An optimum was obtained with 3 planidia of L. diatraeae on G. mellonella or 1 to 2 to obtain heavier parasitoids.
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19.
Résumé Après avoir mis en évidence, par une expérience préliminaire, l'efficacité du piégeage sexuel chez S. cerealella, en dehors de sa période normale d'activité, l'auteur a utilié cette méthode au cours des années 1968, 1969 et 1970 pour préciser le cycle biologique de cette espèce dans le Sud-Ouest de la France.A cette occasion, l'action de différents facteurs sur le rendement du piégeage sexuel a pu être étudiée. Parmi les facteurs physiques, le plus important paraît être la luminosité: c'est au crépuscule, pendant une heure environ, que se font les captures.Parmi les facteurs biotiques, la présence de la plante-hôte, le Maïs, et le stade phénologique de celle-ci ont une action déterminante sur le taux des captures: ces dernières sont plus nombreuses à partir de la floraison mâle jusqu'à l'approche de la maturité des grains.
Summary In order to determine if sex trapping could be utilised as a method of studying the dispersal of S. cerealella, 120 males reared in the laboratory were released and caught in a sex trap containing 100 virgin females. This first experiment took place in April 1968, outside the normal period of insect activity in nature. During the 10 days following the male release, we caught, at dusk, 40 males in this sex trap (30% of the release). This method was later used to determine the life cycle of the Angoumois grain moth in South-West France. S. cerealella appears in late May and early June in nature. It appears to produce three generations a year. The first and the second would be passed either on maize in cribs or stores, or on other cultivated or wild Graminaceae; on the other hand, the third generation would be spent on ears of maize in the fields.Among the climatic factors which influence the trapping rates of males, daylight seems the most important. The males are trapped only at dusk and for a period of about one hour. Temperature, aerial-humidity, and wind are not negligible.The sex attractiveness of virgin females seems such as to draw males from considerable distances: an experiment with several sex traps, each containing 5 virgin females only, has proved that it was possible to trap males at several hundred metres from the release point.Among biotic factors excluding those pertaining to the insect itself, the host-plant seems to be the principal factor for the number of trapped males. The maize has adouble effect by its mere presence and its phenological stage: continuous trapping from June to November by two sex traps on uncultivated fields and two other sex traps on maize fields gave respectively the following results: 393 and 6520 males.The experiment of trapping males after release in uncultivated areas and in corn fields gave the following results (% of males covered), for the three periods studied:July 9–13 whorl stage: 7.3%August 27–31 late tasseling and silking stage: 19.6%October 4–8 milking stage of kernels, maturity: 19.0%
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20.
Les acides gras totaux du Diptère Tachinaire, Phryxe caudata, ont été analysés au cours des développements larvaire et pupaire. La teneur en acides gras totaux varie de façon importante au cours du développement, mais les concentrations relatives varient peu: les acides oléiques et palmitiques représentent près de 75% des acides gras totaux.
Summary The total fatty acid fraction of the tachinid fly, Phryxe caudata, contains mainly oleic and palmitic acids which together account for nearly 75% of all fatty acids present.There are no noticeable changes in proportions of individual fatty acids during larval development, although there is a considerable increase in total fatty acid concentration. The way each fatty acid accumulates is mathematically described.During nymphal life as well as in the newly emerged imago, the relative composition of the larva is maintained in spite of an increase of linolenic and eicosenoic acid concentration. Pupal life is characterized by a large drop in levels of total fatty acids.
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