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1.
Epidinocarsis lopezi is used as a biological control agent against the cassava mealybug, Phenacoccus manihoti, a serious pest of cassava in Africa. The efficiency of parasitoid mass-rearing is maximized when maximum numbers of healthy female wasps are obtained, since only female parasitoids attack the mealybugs.Highly variable sex ratios are often found in parasitic Hymenoptera. Local mate competition (LMC) is one of the evolutionary models which provide predictions about sex allocation. In this paper we show that E. lopezi does not respond to parasitoid density with a change in sex ratio. We also show that in the field, no local mating structure exists, and that mating is random. Therefore, a shift in sex ratio in response to parasitoid density as predicted by LMC theory would not be adaptive. E. lopezi also does not change its sex allocation when ovipositing in already parasitized hosts. Hence host-size distribution and differential mortality are the only factors that can influence sex ratio in mass-rearings.
Résumé E. lopezi est utilisé dans la lutte biologique contre Phenacoccus manihoti, important ravageur du manioc en Afrique. Puisque seules les femelles du parasitoïde attaquent la cochenille, l'efficacité de l'élevage de masse de l'entomophage sera optimale quand le maximum de femelles saines sera obtenu.Les rapports des sexes des hyménoptères parasites varient très souvent. La compétition sexuelle locale (LMC) constitue l'un des modèles qui fournissent des prédictions de la distribution des sexes. Cette note montre que la proportion des sexes de E. lopezi n'est pas modifiée par la densité du parasitoïde. Par ailleurs, les accouplements s'effectuent au hasard dans la nature et il n'y a pas de structure locale d'accouplement. Par conséquent, le biais, prévu par la théorie du LMC, et introduit par la densité du parasitoïde dans la distribution des sexes, n'a pas de valeur adaptative. E. lopezi ne modifie pas non plus la distribution du sexe de ses descendants quant il pond dans de hôtes déjà parasités. Ainsi, la répartition en taille des hôtes et la mortalité différentielle sont les seuls facteurs qui influent sur la proportion des sexes dans les élevages de masse.
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2.
The encyrtid wasp Epidinocarsis (= Apoanagyrus) lopezi (De Santis) was imported from Paraguay into Nigeria for the biological control of the cassava mealybug, Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero. It was mass-reared and released at four localities in Nigeria. The parasitoid is now established and it is dispersing throughout cassava growing areas of Nigeria.
Libération et installation au Nigéria d'Epidinocarsis lopezi, parasitoïde de la cochenille du manioc Phenococcus manihoti
Résumé Epidinocarsis lopezi (Apoanagyrus) lopezi a été introduit du Paraguay au Nigéria pour lutter contre la cochenille du manioc, Phenacoccus manihoti. Il a été lâché dans quatre champs de manioc pour étudier son acclimatation et son installation au Nigéria. Trois ans après les lâchers, les résultats ont permis de conclure que E. lopezi s'est établi avec succès et se disperse dans la plupart des zones de culture du manioc au Nigeria; il a aussi survécu à trois saisons pluvieuses pendant lesquelles les populations de P. manihoti ont été très faibles. Quatorze mois après les premiers lâchers, cet encyrtide a été obtenu à environ 150 km du lieu de libération.
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3.
Résumé Une étude au champ de la dynamique des populations de la cochenille du manioc Phenacoccus manihoti Matt.-Ferr. (Hom. Pseudococcidae) et des agents biologiques qui lui sont associés a été entreprise dans 4 parcelles de manioc Manihot esculenta Crantz (Euphorbiacée) situées dans 2 localités différents du Congo. Elle a essentiellement montré que les 7 à 16% de parasitisme développés par le parasitoïde exotique Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hym. Encyrtidae), 4 ans après son introduction, n'affectent pas significativement la dynamique des populations du ravageur. Les taux importants d'hyperparasitisme (67 à 100%) dont le parasitoïde primaire est l'objet limitent la reproduction de ses populations. Toutefois il est difficile de conclure quant à l'impact réel des hyperparasites sur l'efficacité de l'auxiliaire dans la lutte contre la cochenille.
A field study of cassava mealybug Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr. (Hom. Pseudococcidae) population dynamics, together with that of associated biological agents was made on 4 sample plots in cultivated manioc Manihot esculenta Crantz (Euphorbiacée) in two different areas of the Congo. It showed that four years after introduction, the 7 to 16% of parasitism attributable to the exotic parasitoid Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hym. Encyrtidae), did not significantly affect pest population dynamics. High levels of hyperparasitism (67% to 100%) to which the parasitoid is itself subject limits its population levels. It is, however, impossible to determine the real effect of hyperparasites on the efficiency of the auxiliary in the biological control of the mealybug.
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4.
The capability of Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hymenoptera: Encyrtidae) to control the cassava mealybug (CM) Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr. (Homoptera: Pseudococcidae) was investigated in Nigeria using physical and chemical exclusion experiments. In two sleeve cage experiments CM populations, about 2 months after artificial infestation, were 7.0 and 2.3 x lower on artificially infested cassava tips covered with open cages than on tips in closed cages which excluded most parasitoids. On similarly infested but uncovered tips, CM populations were 24.3 and 37.5 x lower, and parasitisation rates were higher. In an artificially infested field which was treated weekly with carbaryl, parasitisation rates were below 10% and CM populations exceeded 200 per tip. In the chemically untreated plot, parasitisation rates were up to 25% and CM densities were mostly below 10 per tip. This study demonstrates the efficiency of E. lopezi in controlling its host under the experimental conditions.
Résumé La capacité d'E. lopezi de contrôler la cochenille farineuse du manioc a été évaluée au Nigéria en excluant le parasitoïde de son hôte par des moyens physiques et chimiques. Dans deux expériences utilisants des manchons les populations de la cochenille deux mois après l'infestation artificielle étaient 7.0 et 2.3 fois plus basses sur les branches couvertes d'un manchon ouvert que sur les branches couvertes par un manchon fermé, qui excluait la plupart des parasitoïdes. Sur les apex sans manchons, également infestés artificiellement, les populations de la cochenille étaient 24.3 et 37.5 fois plus bas tandis que le degré de parasitisme était plus élevé. Dans un champ infesté artificiellement et partiellement traité chaque semaine avec du carbaryl, le pourcentage de parasitisme restait au-dessous de 10%, et les populations de la cochenille dépassaient 200 par apex. Dans la partie non-traitée, le parasitisme atteignait 25% et la densité de la cochenille restait pour la plupart du temps au-dessous de 10 cochenilles par apex. Ces expériences démontrent la capacité d'E. lopezi de maintenir son hôte à un bas niveau dans des conditions expérimentales.
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5.
Life table studies were conducted to assess the effect of constant temperature on the rate of population growth of the cassava mealybug, Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Four temperatures, between 20 and 30.5°C, were tested. An inverse relationship was observed between temperature and most demographic parameters.The intrinsic rate of natural increase (rm) increased from 0.1 at 20°C to 0.2 at 27°C and 30.5°C. The net reproductive rate varied between 426.3 at 30.5°C and 584.7 at 20°C. The mealybug population reached 50% mortality after 37.5, 21.5, 19.0 and 19.0 days respectively at 20, 23.5, 27 and 30.5°C. The results indicate that P. manihoti can persist and increase in numbers within the range between 20 and 30.5°C.
Influence de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc Phenococcus manihoti
Résumé Des tables de vie ont été établies pour déterminer l'effet de températures constantes sur les taux de croissance de populations de la cochenille du manioc, Phenacoccus manihoti Mat.-Ferr., et ainsi comprendre les changements au sein des populations du ravageur dans les champs et mener à bien le programme de lutte biologique organisé à l'I.I.T.A. contre cette cochenille. P. manihoti, introduit à partir de l'Amérique latine en Afrique, y menace la production du manioc (Manihot esculenta Crantz).Le taux intrinsèque d'accroissement natural (rm) a augmenté de 0.114 à 20°C, à 0.185 à 27°C, avant de descendre à 0.182 à 30.5°C. Le taux net de reproduction (Ro) a été relativement élevé (426–584 oeufs femelles/génération). Dans nos conditions expérimentales, la mortalité a atteint 50% au bout de 37.5, 21.5, 19.0 jours respectivement à 20, 23.5, 27 et 30.5°C. La durée du cycle et le coefficient d'accroissement () étaient inversement liés à la température. Le ravageur possède la capacité de doubler sa population en 6.08 jours à 20°C alors que 3.81 jours seulement suffisent pour doubler la population à 30.5°C.Ces résultats nous ont permis de comprendre et d'expliquer l'énorme pouvoir de pullulation de la cochenille observé dans les champs pendant la saison sèche; il s'ensuit que les lâchers des entomophages produits en élevages doivent se faire très tôt au début de la saison sèche, afin de contrecarrer la grande fertilité et la capacité d'augmentation rapide des populations de P. manihoti.
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6.
The physiological relationships between Ostrinia nubilalis Hübner and its tachinid parasitoid Pseudoperichaeta nigrolineata Walker are described under abiotic conditions which induce development of the host without diapause. The parasitoid lowers the larval growth of the host: the maximal weight attained by the parasitized larvae represented only 78% of that of healthy ones. The duration of the last larval host instar increased to 10.4 days in parasitized O. nubilalis compared to 8.0 days in unparasitized ones. The influence of the host on the parasitoid development was studied experimentally after parasitization of O. nubilalis larvae of instars 2 to 5. When the second larval instar of the host is parasitized, the overall duration of parasitoid larval development lasts twice as long as when the fifth instar is parasitized. The best yield of parasitoid pupariae (50%) is obtained when parasitization occurs in instar 3. We show that good synchronisation exists between the larval development of the host and its parasitoid. There are four phases of parasitoid development which would appear to require a signal from the host: the start of the growth of newly hatched parasitoid larvae and the 3rd to 4th instar ecdysis of the host; the first moulting of the parasitoid and the 4th to 5th instar ecdysis of the host; the growth resumption of the parasitoid instar II (weight about 1 mg) and the small rise of the ecdysteroid level in the middle of host instar 5; and in all probability, the second parasitoid moulting and the larval-pupal apolysis of the host.
Résumé Les relations physiologiques entre O. nubilalis et le tachinidae P. nigrolineata ont été étudiées dans des conditions abiotiques telles que l'hôte présente un développement sans diapause. Le parasitoïde ralentit la prise de poids de l'hôte: le poids maximal des chenilles parasitées ne représente que 78% de celui des chenilles saines. Seule la durée du 5ème stade est significativement plus longue chez les chenilles parasitées que chez les saines (10,4 contre 8,0 jours). L'influence de l'hôte sur le développement du parasitoïde à été expérimentée en parasitant des stades 2 à 5 d'O. nubilalis. Lorsque l'infestation a lieu au stade 2, le développement larvaire complet du parasitoî de dure deux fois plus longtemps que lorsque l'infestation a lieu au stade 5. Le meilleur rendement en pupes (50%) est obtenu lorsque l'infestation a lieu au stade 3. Il a été montré qu'il existe une bonne synchronisation entre le développement de l'hôte et de son parasitoî de. Il y a 4 phases physiologiques du développement larvaire de P. nigrolineata qui semblent nécessiter un signal provenant de l'hôte pour être dépassées. Ainsi peuvent être mis en relation: — le début de la croissance de la larve néonate du parasitoî de et l'ecdysis 3/4 de l'hôte; — la première mue du parasitoïde et l'ecdysis 4/5 de l'hôte; — la reprise de la croissance du stade II du parasitoïde, vers un poids de 1 mg et la remontée des taux d'ecdystéroïdes au milieu du stade 5 de l'hôte. et probablement, — la seconde mue du parasitoïde et l'apolyse nymphale de l'hôte. Les expérimentations vont se poursuivre pour déterminer les facteurs en cause. Ces phénomènes de synchronisation seront aussi étudiés dans le cas de la diapause de l'hôte.
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7.
A study was made of Hymenoptera, particularly aphid parasitoids in hop gardens receiving three different pesticide regimes. Aphidophagous species accounted for 50% of the total Hymenoptera caught in each site, using water traps, and comprised equal numbers of primary and hyperparasitoids. There was no significant increase in the proportion of aphid parasitoids captured when aphid populations were allowed to rise. However, there was a significant decrease in all Hymenoptera when weed control was employed.Parasitoids bred from the hop aphid, Phorodon humuli (Schrank), comprised three species of Aphidiinae which are primary parasitoids and five species of hyperparasitoid. From mummies which completed development, 48% hyperparasitism was recorded. However, 34% of mummies failed to emerge, most likely killed by predation from Anthocoridae or unsuccessful attack by hyperparasitoids. Native Aphidiinae do not appear to offer a significant contribution towards the integrated control of the hop aphid.
Résumé L'étude a porté sur les Hyménoptères, particulièrement parasitoïdes d'Aphides, des houblonnières du Kent, ayant reçu 3 traitements chimiques différents. L'intérêt de ces Hyménoptères dans la lutte contre le Puceron, Phorodon humuli, a été envisagé.Dans ces houblonnières, pendant la saison, 2286 Hyménoptères ont été capturés dans des pièges à eau (le maximum se situe en juillet et août), bien que dans un cas il semble que la lutte contre les mauvaises herbes ait réduit le nombre total d'Hyménoptères. Les aphidiphages correspondent à environ la moitié des Hyménoptères capturés, avec à peu près les mêmes nombres d'entomophages primaires et secondaires. Ces proportions ne varient pas avec l'importance de la canopée foliaire, l'abondance des mauvaises herbes, la présence de pucerons ou l'utilisation d'insecticides.L'élevage du puceron P. humuli a permis d'obtenir 3 espèces de parasitoïdes primaires (Aphidiinae) et 5 espèces d'hyperparasitoïdes; 34% des pucerons momifiés n'ont rien donné; 48% d'hyperparasitisme est enregistré à partir des momies qui ont donné naissance à des insectes.Les Aphidiinae indigènes ne semblent pas permettre d'espérer une contribution intéressante à la lutte intégrée contre P. humuli. Les taux de parasitisme les plus élevés sont obtenus aux faibles densités de pucerons et en absence de prédateurs ce qui ne se produit qu'avec une utilisation abondante de pesticides. L'hyperparasitisme réduit nettement toute population d'Aphidiinae bénéfiques.
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8.
Résumé L'étude des variations d'abondance et des factuers de régulation de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero 5 ans après l'introduction du parasito?de néotropicalEpidinocarsis lopezi (de Santis) révèle la constance des pullulations du ravageur depuis 9 ans. Les pics de pullulations s'observent surtout en début de saison des pluies. Aucune corrélation n'a pu être établie entre les paramètres caractérisant les pluies et les variations du nombre de cochenilles. Nos observations confirment que l'entomophthoraleNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller est le principal facteur de régulation de la cochenille au Congo. L'impact des prédateurs de la cochenille ne semble pas s'être modifié depuis 1979: la coccinelleExochomus flaviventris Mader reste le prédateur le plus actif. L'acclimatation du parasito?deE. lopezi s'est traduite par une augmentation du taux de parasitisme par un facteur 2 à 3. Elle n'a cependant pas permis de modifier l'allure et l'ampleur des pullulations de la cochenille. Enfin, la co?ncidence entre les brutales augmentations du nombre de cochenilles et de profondes modifications de la physiologie du manioc laisse à penser que cette dernière joue un r?le important.   相似文献   

9.
Résumé L'Hyménoptère parasito?deEpidinocarsis lopezi (De Santis) a été introduit d'Amérique du Sud au Congo pour le contr?le des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Dans les conditions du laboratoire, les principaux paramètres du développement ont été étudiés: le temps de développement entre la ponte de l'œuf et l'émergence de l'adulte est en moyenne de 15,6 jours; le taux sexuel est de 56% de femelles en maintien de souche, variable selon le stade des h?tes présentés; la longévité des ♀♀ est de 42,26 jours; la fécondité moyenne pour des ♀♀ nourries de miel s'établit autour de 207,6 œufs sur une période de 40 jours (5,2 œufs par jour en moyenne), elle est inférieure en absence d'alimentation (141 œufs au total et 3,8 par jour); le stade h?te choisi pour la ponte est essentiellement la larve L3 (à un moindre degré les jeunes ♀♀ sans ovisac); le superparasitisme peut atteindre 64% en situation de raréfaction de l'h?te, mais il n'est que de 5,7% en présence de fortes proportions de L3. Après des lachers expérimentaux, l'auxiliaire s'est acclimaté dans les champs expérimentaux et a colonisé les champs voisins. Ses taux de parasitisme achevé ont atteint un maximum de 15,4% des stades préférentiels (22% pour le parasitisme en cours) avant le pic de gradation de la cochenille. Ces données présententE. lopezi comme un parasito?de ayant de bonnes qualités intrinsèques mais qui, à l'heure actuelle, ne parvient pas à réguler les populations de la cochenille dans la zone où il a été laché.   相似文献   

10.
Females of the solitary aphid parasitoids Aphidius ervi Haliday and A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae) discriminated between unparasitized pea aphids and those parasitized by the other species. Oviposition restraint varied with the attack sequence and the length of the interval between successive attacks. The tendency to reject a previously parasitized host increased with interval length; A. smithi females rarely oviposited in aphids that had been parasitized 30 h earlier by A. ervi. Early first-instar larvae of A. ervi physically attacked and killed older A. smithi larvae, and older A. ervi larvae killed younger A. smithi, possibly by physiological suppression. Neither species appeared to have a competitive advantage when their eggs hatched at the same time. The evolution of heterospecific host discrimination in A. ervi and A. smithi is discussed. It is suggested that avoidance of multiparasitism is adaptive for both parasitoid species: for A. smithi because it is the inferior larval competitor, and for A. ervi because immatures develop more slowly in multiparasitized than in initially unparasitized hosts.
Compétition interspécifique et discrimination des hôtes chez deux parasitoïdes de pucerons: Aphidius ervi et A. smithi
Résumé Les femelles des parasitoïdes de pucerons: Aphidius ervi Haliday et A. smithi Sharma & Subba Rao (Hyméno. Aphidiidae) distinguent les pucerons du pois sains des parasités par d'autres espèces. La rétention de la ponte dépend de la séquence de l'attaque et du temps écoulé entre des attaques successives. La tendance au rejet d'un puceron précédemment parasité augmente avec l'importance du délai; A. smithi a rarement pondu dans des pucerons qui avaient été parasités 30 h avant par A. ervi. Les jeunes larves de premier stade de A. ervi ont attaqué physiquement et tué les larves plus âgées de A. smithi, et les larves plus âgées de A. ervi ont tué des larves plus jeunes de A. smithi par élimination physiologique. Aucune espèce ne semble avoir un avantage quand les oeufs ont éclos en même temps. L'évolution de la discrimination interspécifique de l'hôte chez A. ervi et A. smithi est discutée. On estime que la tendance à éviter le multiparasitisme est adaptative chez les 2 espèces: pour A. smithi parce qu'il est dominé dans la compétition larvaire et pour A. ervi parce que les larves se développent plus lentement dans un hôte multiparasité que dans un hôte initialement sain.
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11.
The behavior of parasitoidCampoletis sonorensis females to cotton (Gossypium hirsutum) leaf odor sources was examined in a wind tunnel bioassay. Parasitoids exhibited oriented flights to cotton but not to inert sources, and flew in significantly greater proportion to glanded cotton when compared to glandless cotton in choice tests. A relative lack of volatile terpenes in glandless cotton may account for response differences. Significantly more parasitoids flew to theG. hirsutum cultivar Tamcot CAMD-E than to the diploid cottonsG. arboreum andG. anomalum in choice tests. Differences in volatile chemical composition of the diploid cottons may account for these results. The data are discussed with regard to host habitat location.
Réponse en tunnel de vol du parasitoïdeCampoletis sonorensis aux lignées et cultivars de coton
Résumé Campoletis sonorensis (Cameron) est attiré par diverses plantes et manifeste une forte attraction pour le coton (Gossypium hirsutum L.). Le vol étant certainement le moyen utilisé lors de la détection d'habitats chez ce parasitoïde, un test biologique en tunnel de vol a été développé pour évaluer ces réponses de détection d'habitat chez des femelles deC. sonorensis en présence de coton. Des essais comparatifs ont montré l'existence de vols orientés vers le coton mais non vers des sources inertes, et, sur le coton, les vols ont été plus nombreux vers les plantes avec glandes que vers celles sans glande. Ces résultats sont apparus consistents sur trois paires de lignées avec et sans glandes. Le coton dépourvu de glande ne possède pas, ou seulement en faibles quantités, les terpènes volatils présent en quantités abondantes dans le coton avec glandes. Ce fait peut donc être reponsable des différences de comportement de vol observé envers les deux types de coton. Lors d'essais comparatifs, un nombre de parasitoïdes significativement supérieur a volé vers le cultivarG. hirsutum L. Tamcot CAMD-E par rapport aux espèces diploîdesG. arboreum etG. anomalum. Les cotons diploîdes manquent de certains terpènes volatils démontré attractifs pourC. sonorensis et ces différences peuvent expliquer les résultats observés. Des changements significatifs de réponse des parasitoïdes peuvent donc naître des variations de composition chimiques résultant de pression de sélection naturelles ou artificielles.
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12.
During 4-day field exposure intervals, Phenacoccus herreni Cox & Williams, third-instar mealybugs on artificially infested potted cassava plants were reduced 73% from initial densities of 235.7–1100.2/infested plant to 63.7–314.2/plant due to dispersal, rain, and predation. Frequency of parasitoid attack did not differ between high and low mealybug densities. The same species of parasitoids, in approximately the same proportions, were reared from mealybugs on artificially infested potted plants as from field mealybugs (Acerophagus coccois) Smith, 88.1% and Epidinocarsis diversicornis (Howard), 11.3%. Parasitoid attack rates on artificially exposed mealybugs, when combined with a simulation model of parasitism, accurately predicted observed levels of stage-specific parasitism in the field population.
Résumé Pendant des expositions de 4 jours dans la nature de plants en pots de M. esculenta contaminés artificiellement par des P. herreni du troisième stade, les densités de cochenilles ont été réduites de 73%: de 235.7–1100.2/par plant contaminé à 63.7–314.2/par plant, par suite des évasions, de la pluie et de la prédation. Les attaques de parasitoïdes ne changent pas suivant les densités de cochenilles. Les mêmes espèces de parasitoïdes, ont été élevées dans à peu près les mêmes proportions (Acerophagus coccois, 88.1%, et Epidinocaris diversicornis, 11.3%) à partir de cochenilles sur pots artificiellement contaminés ou de manioc de la nature. Les taux d'attaques par les parasitoïdes sur les cochenilles artificiellement exposées, associés à un modèle de simulation du parasitisme, ont permis de prévoir avec précision les niveaux de parasitisme observés pour chaque stade dans la population de la nature.
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13.
Résumé Chez Diadromus pulchellus WSM et D. collaris Gr., Hyménoptères Ichneumonidés parasitoïdes spécialistes des nymphes d'A. assectella lépidoptère inféodé aux Allium, des EAG sont enregistrés en réponse à l'odeur du poireau sain ou attaqué par les larves du phytophage, odeurs actives par ailleurs sur leur comportement locomoteur (cinèses). Le thiosulfinate de dipropyle (Ti-P2) très spécifique et abondant dans les Allium, et instable, est le mieux perçu par les deux parasitoïdes mais n'a aucun effet locomoteur chez D. pulchellus contrairement aux disulfures et thiosulfonates, plus stables et moins spécifiques. Les propriétés de l'acétate d'éthyle, actif sur l'antenne des deux parasitoïdes, et sur la locomotion de D. pulchellus expliqueraient en partie les activités biologiques du poireau attaqué sur ces parasitoïdes. Des EAG sont aussi obtenus chez les deux espèces avec l'odeur du chou et de composés soufrés plus ou moins spécifiques des Crucifères. Le thiocyanate de méthyle (TCN-M), le plus actif sur l'antenne et seul efficace sur le comportement locomoteur (de D. pulchellus), expliquerait en partie l'installation reconnue de D. collaris sur Plutella maculipennis spécialiste des Crucifères et rend celle de D. pulchelles vraisemblable.L'odeur des larves de dernier stade d'A. assectella est seule efficace sur l'antenne et la locomotion des femelles de D. pulchellus. Les mâles de ce dernier réagissent (EAG, locomotion) à des odeurs de cocons de l'hôte et particulièrement à ceux occupés par une femelle de leur espèce.  相似文献   

14.
The development of some parasitoids is coordinated by their hosts, via endocrine head or thoracic factors. Ligation of these hosts disrupts parasitoid development. To determine if host ligation affects the solitary, larval endoparasitoid Campoletis sonorensis (Cameron) (Ichneumonidae: Hymenoptera), Heliothis virescens (F.) (Noctuidae: Lepidoptera) larvae were parasitized by C. sonorensis and ligated or starved at various times after parasitization. Ligation and starvation increased parasitoid developmental time and the time of ligation or starvation affected parasitoid emergence. However, ligation and starvation had similar effects on parasitoid development and emergence. Based on our data, C. sonorensis development does not appear to be closely coordinated by hormonal factors produced by the host head and/or thorax.
Résumé Le développement de certains parasitoïdes est coordonné avec celui de leur hôte, via les centres endocrines de la tête et du thorax. La ligature de ces hôtes interrompt le développement du parasitoïde. Pour déterminer si la ligature de l'hôte affecte l'endoparasite larvaire solitaire, C. sonorensis, des chenilles d'Heliothis virescens ont été parasitées par C. sonorensis, et ensuite ligaturées ou mises à jeûner à des temps variables après avoir été parasitées.Tant les chenilles parasitées avec succès que les autres ont présenté une croissance réduite (Fig. 1), mais, 3 jours après avoir été parasitées sans succès l'augmentation de poids a été plus rapide et a pu être distinguée de l'augmentation de poids des chenilles parasitées avec succès. La nymphose des témoins parasités sans succès était retardée par rapport à la nymphose des véritables témoins. La ligature et le jeûne ont eu des effets identiques sur l'émergence des parasitoïdes (Fig. 2), le pourcentage de parasitisme avec succès augmentant avec la durée du délai entre le parasitisme et le traitement (ligature ou jeûne). Les durées de développement des hôtes ligaturés ou mis à jeûner (Fig. 3) étaient toutes significativement plus longues que les durées de développement des témoins. Cependant, les durées de développement des parasitoïdes n'ont pas été modifiées par le traitement des hôtes, le sexe du parasitoïde et le moment du traitement. Le poids des cocons des parasitoïdes (Fig. 4) était lié linéairement avec le jour du traitement, mais sans modification significative par le sexe du parasitoïde ou le traitement de l'hôte.D'après nos travaux, C. sonorensis ne synchronise apparemment pas sa mue et son émergence avec son hôte, H. virescens. La ligature n'empêche pas complètement le développement ou l'émergence de C. sonorensis bien que le pourcentage d'émergence soit réduit par une ligature dans les 7 jours après le parasitisme. De plus, l'effet du jeûne est semblable sur le pourcentage d'émergences. Le pourcentage réduit d'émergence d'hôtes ligaturés ou mis à jeûner était lié significativement avec le moment du traitement, suggérant la responsabilité éventuelle de l'alimentation réduite de l'hôte. Des hôtes parasités ont continué de s'alimenter et de prendre du poids pendant 5 à 7 jours après la ponte, bien que d'une façon bien inférieure aux témoins non parasités, et cette prise d'aliments par l'hôte peut être nécessaire au succès du développement et à la croissance des parasitoïdes. Ligature et jeûne retardent de la mème façon le développement du parasitoïde; ce retard n'est pas lié au moment de la ligature ou du début du jeûne; ainsi, la réduction de la prise d'aliments peut ne pas être la cause première. L'émergence retardée peut être provoquée par un stress général plutôt que par un ou des facteurs céphaliques ou thoraciques spécifiques.
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15.
Résumé L'analyse (acides aminés et sucres) d'extrait de feuille, de 5 variétés de manioc (Manihot esculenta), du Faux caoutchouc (Hybride deM. esculenta x M.glaziovii), du Poinsettia (Euphorbia pulcherrina) et du Talinum (Talinum triangularae), caractérisés par différents degrés de résistance par antibiose à la cochenille du manioc (Phenacoccus manihoti (Mat. Ferr.)) (Homoptera: Pseudococcidae), a été réalisée sur des extraits obtenus par centrifugation du matériel foliaire. Les teneurs en acids aminés, très différentes d'une plante à l'autre, apparaissent aussi importantes entre les variétés de l'espèce manioc qu'entre les différentes espèces végétales avec respectivement un rapport de variation de 4,5 et 5,5. De même, les teneurs en sucres (exprimées en équivalent saccharose), sont très différentes d'une plante à l'autre avec un rapport de variation de 1 à 33 entre les deux extrêmes, si l'on ne considère que l'espèceM. esculenta, il n'est plus que de 3,5.Des différences dans les proportions relatives des acids aminés libres d'extrait de feuille sont observées aussi bien entre les variétés de manioc qu'entre les espèces végétales. Cependant pour toutes les plantes étudiées l'acide glutamique, la glutamine, l'ethanolamine, et l'alanine représentent près de 50% des acides aminés de l'extrait de feuille; l'acide aspertique, l'asparagine et la sérine près de 20% tandis que la tyrosine, la méthionine, l'isoleucine, la leucine et la lysine sont présents en très faibles pourcentages.Le degré de résistance à la cochenille du manioc des différentes plantes-hôtes n'a pu être relié, ni à la teneur de leur extrait de feuille en acides aminés et en sucres, ni à leur composition relative en acides aminés. Il n'a pu être non plus relié au rapport Sucres/Acides aminés Nos résultats suggèrent que des caractéristiques biochimiques autres que celles étudiées dans ce travail interviennent dans les mécanismes de résistance vis-à-vis de la cochenille du manioc.
Summary The levels of sugars and amino acids were determined in leaf extracts from a number of plants showing different levels of resistance to the cassava mealybug,Phenacoccus manihoti (Homoptera: Pseudococcidae). There were five varieties of cassava (Manihot esculenta), as well as a hybrid obtained by crossingM. esculenta andM. glaziovii, poinsettia (Euphorbia pulcherrina) and talinum (Talinum triangularae). The variability in the total concentration of amino acid concentrations was as great between varieties of cassava as at the species level. In contrast, there was much less variability in the concentration of sugars at the intervarietal that at the interspecies level.While there were both intervarietal and interspecific differences in the amino acid composition, glutamic acid, glutamine, ethanolamine and alanine represented nearly 50% of the total in all plants examined. Aspartic acid, asparagine and serine accounted for approximately 20%, while tyrosine, methionine, isoleucine, leucine and lysine are present at low levels.The different levels of resistance noted in the different plants were not associated with the concentrations of either amino acids or sugars, the ratios of sugar/amino concentrations or the amino acid compositions obtained from leaf extracts. This suggests that other aspects of plant chemistry confer resistance to cassava mealybugs.
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G. Reyd  R. Gery  A. Ferran  G. Iperti  J. Brun 《BioControl》1991,36(2):161-171
Résumé Hyperaspis raynevali Muls. est une coccinelle coccidiphage appelée à intervenir en lutte biologique contre la cochenille du manioc:Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero en Afrique. Au laboratoire, ce prédateur est multiplié sur la cochenille du manioc et sur la cochenille farineuse des agrumesPlanoccus citri Risso (proie de substitution). L'étude des aptitudes trophiques d'H. raynevali élevée avec ces 2 espèces de cochenille a été entreprise afin de comparer la valeur alimentaire respective de ces proies. Les résultats montrent que la qualité nutritive deP. manihoti est légèrement supérieure à celle deP. citri pour les larves et les adultes de la coccinelle, à condition de ne pas utiliser le poinsettia, comme végétal de substitution pour élever la cochenille du manioc. De plus,P. citri constitue une proie que l'on peut avantageusement utiliser au Congo afin de produireH. raynevali pour entreprendre une opération de lutte biologique contreP. manihoti.   相似文献   

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Identification and assay of cyanogenic and phenolic compounds in phloem sap of cassava (Manihot esculenta Crantz, Euphorbiaceae) and in honeydew of the cassava mealybugPhenacoccus manihoti Matt. Ferr. (Homoptera, Pseudococcidae) were realised. Cyanogenic glucosides and three flavonoid glycosides (rutin, kaempferol glycoside-1 and kaempferol glycoside-2) were found to be translocated in cassava phloem sap and consumed by the mealygug. Differences in profiles of secondary compounds of phloem sap and honeydew samples, characterised mainly by the appearance of free cyanide and of a free flavonoid, suggest the metabolic processing of at least some of the ingested compounds. The relationship between foliar concentrations of these different compounds and expression of the antibiotic resistance of cassava towardsP. manihoti was also investigated in 7 varieties of cassava and in the ‘faux-caoutchouc’ hybrid. Infestation by mealybug was followed by a clear increase in levels of both rutin and kaempferol glycoside-2, while no modification in cyanide contents was noted. The best rank correlation between antibiotic resistance (measured by the intrinsic rate of increase r c ) and secondary compounds analyzed is observed with rutin contents of infested plants (ρ=−0.73; p=0.05). The possible implication of this compound in the biochemical mechanisms accompanying cassava defence reaction to mealybug attack is discussed.
Résumé Ce travail présente l'identification et le dosage des substances secondaires (composés cyanés et phénoliques) présentes dans la sève phloémienne du manioc (Manihot esculenta Crantz, Euphabiaceae) et dans le miellat de la cochenille farineusePhenacoccus manihoti Matt. Ferr. (Homoptera, Pseudococcidae). Des glycosides cyanogéniques et trois flavono?des glycosylés majeurs (rutine, kaempferol glycoside-1 et kaempferol glycoside-2) sont transportés par la sève phloémienne du manioc et consommés par la cochenille. Le profil sensiblement différent des composés secondaires du meillat de la cochenille, en particulier l'apparition d'un flavonoide libre et de cyanure, suggère une modification de certains composés lors du transit intestinal. La relation entre les teneurs de ces différentes substances dans le liquide foliaire de 7 variétés de manioc et du ‘faux-caoutchouc’ (hybride deM. esculenta et deM. glaziovii) et l'expression de leur résistance antibiotique vis-à-vis deP. manihoti a également été étudiée. L'infestation par la cochenille se traduit par une importante augmentation des teneurs en rutine et en kaempferol glycoside-2, alors qu'aucune modification des teneurs en cyanure libre n'est enregistrée. La meilleure corrélation entre la résistance par antibiose, exprimée par la capacité intrinsèque d'accroissement r c , et les teneurs en substances secondaires analysées est observée avec les teneurs en rutine des plants infestés (ρ=−0.73; p=0.05). L'association éventuelle de ce glycoside aux mécanismes biochimiques de défense du manioc à la cochenille farineuse est discutée.
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Competition between the solitary endoparasitoids Trieces tricarinatus (Gravenhorst) and Triclistus yponomeutae Aeschlimann (Hymenoptera: Ichneumonidae) results in the survival of one or the other of them. Once the host, Yponomeuta vigintipunctatus (Retzius) (Lepidoptera: Yponomeutidae) has pupated and both parasitoids have completed their development to first instar larvae, one of the parasitoid larvae kills the other.Which of the parasitoids survives depends on the number of days between parasitization and pupation. As a result of their type of development, this period determines the extent of development of the parasitoids at the moment of actual competition. Apparently, T. tricarinatus survives only if pupation of the host occurs before egg hatching of T. yponomeutae.
Résumé La compétition entre les deux ichneumonides endoparasitoïdes solitaires Trieces tricarinatus Grav. et Triclistus yponomeutae Aeschl. a été examinée en élevant et disséquant des Yponomeuta vigintipunctatus Retz. attaqués le même jour par les deux parasitoïdes. Les résultats des dissections des hôtes multiattaqués ont été comparés à ceux des hôtes attaqués par un seul parasite, pour séparer la mortalité ou l'absence de parasitoïde provoquées par la compétition à celles dues à d'autres facteurs.On a constaté qu'un seul parasite était capable d'achever son développement. Dès que l'hôte était nymphosé et que les deux parasitoïdes étaient au premier stade larvaire, une des larves tuait sa compétitrice. Pour une fraction importante des larves éliminées, il a été possible de montrer qu'elles avaient été tuées par une aggression physique, pour les autres ce mode d'élimination était vraisemblable.L'espèce de parasitoïde qui survit dépend du nombre de jours entre la ponte des ichneumonides et la nymphose de l'hôte. Ce délai détermine le degré de développment des parasitoïdes et le moment réel de la compétition. Probablement, T. tricarinatus est le seul à survivre lorsque la nymphose de l'hôte a lieu avant l'éclosion des oeufs de T. yponomeutae.
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19.
Females of Epidinocarsis diversicornis (Howard) killed cassava mealybugs, Phenacoccus herreni Cox & Williams, through host feeding and piercing (i.e. ovipositor insertion and its consequences). Parasitoids fed on 9% of 592 hosts in which ovipositor insertion was achieved. For hosts which were attacked but not fed on, mortality in the first 72 h was significantly greater than that of controls and was highest in the first nymphal instar. No host feeding by Acerophagus coccois Smith was observed in 494 attacks. Mortality due to piercing was significantly greater than control values, but did not differ between host life stages.
Résumé La prise de nourriture et les piqûres (c'est-à-dire l'insertion de la tarière et ses conséquences) de Epidinocarsis diversicornis tuent Phenacoccus herreni. Les adultes s'alimentent sur 9% des 592 cochenilles dans lesquelles la tarière a pénétré. La mortalité au cours des 72 premières heures est beaucoup plus élevée chez les hôtes attaqués mais qui n'avaient pas subi une prise de nourriture, que chez les témoins; elle était particulièrement élevée chez les cochenilles du premier stade larvaire. Pour 494 attaques par Acerophagus coccois, aucune prise de nourriture n'a été observée; la mortalité était plus élevée que chez les temoins, sans qu'il y ait eu de différences suivant les stades.
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Wind tunnel flight behavior of inexperienced female Campoletis sonorensis (Cameron) (Hymenoptera; Ichneumonidae) in response to its larval host Heliothis virescens (F.) (Lepidoptera: Noctuidae) feeding on the host plant cotton (Gossypium hirsutum L.) is described. The flight behavioral sequence was determined by quantification of frequencies of observed behaviors and probabilities of first-order behavioral transitions. Comparison of inexperienced C. sonorensis flights to undamaged and damaged cotton indicated that stimuli from undamaged plants alone are adequate to elicit the complete flight behavioral sequence observed in response to H. virescens feeding on cotton.Parasitoid foraging behavior was also analyzed after landing on the stimulus. This behavior appeared to be random in its initial stages, but became sequential after location of evidence of a host. Analysis of foraging on undamaged and 3 treatments of damaged cotton resulted in the determination that parasitoids tend to remain on damaged plants longer than undamaged plants although no significant difference was detected. C. sonorensis spent a greater percentage of their time foraging on host damaged plants than on undamaged plants.
Résumé Les comportements d'évaluation de l'effectif d'hôtes potentiels et de la position des hôtes par C. sonorensis (Hyméno.: Iccheumonidae) ont été quantifiés pour déterminer les séquences significatives des événements comportementaux. La localisation de la colonie potentielle d'hôtes est apparue comme une séquence régulière des événements comportementaux. Une fois que le parasitoïde a localisé une colonie potentielle, on a constaté que la recherche au hasard des hôtes se poursuit jusqu'à ce qu'il ait la démonstration qu'il s'agit d'une plante attaquée. La localisation par le parasitoïde d'un hôte certain a consitué une autre séquence régulière des événements comportementaux terminant la localisation de l'hôte.L'influence de pieds de coton intacts, de pieds abîmés mécaniquement et de pieds occupés par des chenilles du 3ème stade de l'hôte et de plantes dont les chenilles ont été retirées juste avant l'expérience a été déterminée en modifiant la composition du complexe hôte/plante. Des femelles naïves de C. sonorensis ont montré en présence de pieds de coton intacts apparemment toutes les séquences comportementales de vol impliquées dans la localisation d'une colonie potentielle d'hôtes. Une fois que le parasitoïde a atteint la colonie potentielle d'hôtes, la présence de dégâts de l'hôte n'a pas modifié le temps passé sur la plante, mais a modifié le temps consacré à la prospection.
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