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1.
The resistance to desiccation of six species of centipedes comprising four geophilomorphs, one lithobiomorph and one scolopendromorph, was measured. Spiracle structure was investigated in the geophilomorphs and it is suggested that the size of the spiracular opening and the degree of development of the lappets in the spiracle cup may be important in controlling the rate of water loss in geophilomorph species. The amount of water loss causing death appeared to be the same in all species and is therefore not a cause of different resistances to desiccation in the species studied.
Résumé La résistance à la dessiccation de six espèces de centipèdes (quatre géophilomorphes, une lithobiomorphe et une scolopendromorphe) a été mesurée. La structure des orifices spiraculaires des géophilomorphes a été examinée et l'auteur suggère que les dimensions des orifices spiraculaires et le degré de développement des valves dans la cupule spiraculaire sont importants pour le contrôle du degré de la perte d'eau chez les espèces géophilomorphes. La quantité de perte d'eau causant la mort semblait être la même pour toutes les espèces et n'est donc pas une cause de différentes résistances à la dessiccation chez les espèces examinées.
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2.
The response of Erica australis to experimental burning, cutting and ploughing treatments was studied in two heathland communities where it was dominant. The treatments represent those most frequently originated by humans on these heathland communities throughout history. The response of this species in a community where it is dominant and there is no strong interspecific competition was also compared to that produced by it in a community where there is competition. It can be observed that the response to burning and cutting treatments is very similar with very fast spatial occupation in the first few years. From the point of view of time cover values increased in a pronounced manner during the first few years and this increase was stabilized from the fourth year. However, from this moment on a greater increase in this species' maximum height is evident. The response to ploughing is slower according to recovery mechanism (seedlings). Recovery is comparatively less in the area where there is no strong competition than in that where it exists between species. RésuméDans deux communautés de bruyère dominées par Erica australis on a étudié la réponse de cette espèce aux traitements expérimentaux de brûlage, coupe et labour. Ces traitements représentent les actions les plus fréquentes que l'homme a exercé sur ces communautés de bruyère tout au long de l'histoire. De la même façon, on a fait la comparaison de la réponse de cette espèce quand elle se trouve dans une communauté dominée principalement par elle, où elle n'y a pas une forte compétition entre les espèces, avec la réponse quand elle se situe dans une communauté où plusieurs espèces coexistent. On observe que la réponse aux traitements de brûlage et coupe est très semblable, en présentant une occupation spatiale très rapide pendant les premières années. Du point de vue temporel, leurs valeurs de couverture augmentent de façon plus prononcée pendant les premières années, et c'est à partir de la quatrième année que ce développement se stabilise. Cependant, c'est à partir de ce moment là qu'on remarque une augmentation plus grande en ce qui concerne la hauteur maximale de cette espèce. La réponse au traitement de labour est plus lente en relation avec la régénération par semences. L'effet de la compétition se traduit par une récupération qui suit un mode d'augmentation opposé à la situation originaire. Dans la surface où il n'existe pas une forte compétition, la récupération est comparativement plus faible que dans la station où il y existait une compétition entre les espèces.Mots clés: Maquis, Mécanismes reproductives, Perturbations expérimentales, Régénération, Rejets  相似文献   

3.
Summary 1. Radiation of fishes representing many families in the tropical coral reef has repeatedly produced convergence in the specialization for water-column foragers.2. This life mode is depicted by a recognizable set of morphological and behavioral characteristics. Exploitation of this niche has parallel examples in fresh water, and non-tropical habitats.3. The distinguishing traits of this specialization, and the systematic, ecological and evolutionary features are described and discussed.
«Fourrages» des poissons des récifs de coraux dans la colonne d'eau: Morphologie, comportement, écologie et évolution
Extrait Dans un biotope à récif de corail, des espèces étroitement liées peuvent servir d'exemple de différenciation sur le plan de l'évolution. La radiation évolutive de poissons représentant plusieurs familles du récif corallien tropical a conduit à plusieurs reprises à la formation de «fourragers dans la colonne d'eau». Ce mode de vie comporte une série de caractères morphologiques et éthologiques définis. On trouve des éxemples similaires dans l'eau douce et dans des habitats non tropicaux. Les traits distinctifs de cette spécialisation, la systématique, les caractéristiques écologiques et celles se rapportant à l'évolution sont décrits et discutés.
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4.
Summary Distributions and abundances of ants were determined on the N, E, W and S upper slopes of a conical hill that had a gradient of conditions from moist-cool oakjuniper-pine woodland to warm-dry open shrub woodland. Species distributions varied remarkably with slope, even in terms of subfamilies and unique common species. A formicine was the most abundant species on the north slope. A different species of dolichoderine was most abundant on the other slopes. The assemblages of ant species were much more distinct for these small sites on each slope than are the known groups of species associated with vegetation types on a broad geographical basis. Interpretation of the causes of such specific assemblages awaits detailed information on species ecologies However, there is considerable circumstantial evidence that body size is an important factor. The percentage similarity of body size of pairs of species in the same site was least for common species of the same feeding guild; similarity was greater when one or both members of a pair were uncommon; similarities were highest for species in different guilds. Combinations of species that would have had very high size overlaps did not occur together. Some combinations that occurred were those that had the least overlap possible for the species known to occur on the entire hill.
Resume La répartition et l'abondance des populations de fourmis ont été analysées sur les versants d'une colline dont le couvert végétal va de la forêt touffue du type chênegenévrier-pin, humide et fraîche, au maquis ouvert, chaud et sec. On a constaté que la répartition des espèces variait de façon très marquée suivant la pente du versant, même en ce que concerne les sous-familles et les espèces uniques abondantes. Les assemblages d'espèces sont plus nettement démarqués dans ce cas que ne le sont ceux des groupes connus d'espèces associées avec des types de végétation sur des aires géographiques plus étendues. Avant de pouvoir donner une interprétation satisfaisante des causes qui déterminent les divers assemblages, il faudra disposer d'informations beaucoup plus détaillées sur l'écologie des diverses espèces. Il existe déjà, portant, beaucoup de preuves indirectes qui montrent l'importance de la taille spécifique. Les pourcentages de ressemblances des tailles spécifiques entre les espèces d'un même site étaient minimum chez les espèces communes appartenant au même groupe trophique. Les ressemblances étaient considérablement plus grandes lorsque l'un des membres d'une paire, ou les deux membres, appartenaient à des espèces rares. Les ressemblances maximum se rencontrent entre espèces appartenant à des groupes trophiques différents. On n'a trouvé aucune combinaison d'espèces communes dont les tailles spécifiques sont à peu près identiques. Les quelques combinaisons d'espèces communes qui ont été observées apparaissent entre espèces à la taille spécifique aussi divergentes que possible parmi toutes les expèces recensées dans l'air délimitée.
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5.
Conclusion La technique à l'hématoxyline au plomb de Mac Conaill permet l'identification d'un type cellulaire situé dans la pars distalis rostrale, en bordure des ramifications de la neurohypophyse dans l'hypophyse de plusieurs Poissons Téléostéens; il est également colorable par le bleu d'alizarine d'Herlant; toutefois, l'intensité de ces deux réactions tinctoriales est très variable selon les espèces. Chez l'Anguille, les Salmonidés et le Cyprin, la nature corticotrope de ces cellules est établie expérimentalement. La colorabilité par l'hématoxyline d'une autre catégorie cellulaire dans la pars intermedia laisse supposer l'existence de constituants communs aux deux types cellulaires, et peut-être même à leurs produits d'élaboration. Cette communauté de certains aminoacides entre l'ACTH et l'intermédine a déjà été démontrée chez divers Mammifères.  相似文献   

6.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

7.
The forest-bog complex of southeast Alaska   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary Major vegetational, environmental, and peat accumulation patterns were studied in the forest-bog complex of southeast Alaska. Attention was directed to three levels of vegetational pattern: (1) the community type level, with forest, bog, and intermediate types being recognized; (2) the community level, with investigation of major variations within forest, bog, and, to a lesser extent, the intermediate community types; and (3) the subcommunity level, with major patterns of the forest understory and the bog surface, being investigated. Both extensive survey and intensive sampling were carried out in a fairly widespread, but geographically even, array of sites. Chief attention was given to vegetational aspects and gross physical factors, with patterns of these then being used to suggest possible correlating features of habitat. Actual correspondence will be determined in subsequent studies.At the community type level, the three types blended into one another in a continually varying pattern, which, on a gross scale, conformed primarily to surface topography. Forests occurred chiefly on the steep mountain slopes, bogs on land of gentle repose, and intermediate communities on slopes in between these. That the correspondence was with drainage, rather than other microhabitat features related to topography, was shown by forest presence on land of little slope if it were near the ocean or large drainages, or on deep porous substrates, and by bog presence on steep slopes, if any local formations prevented runoff from being rapid the full length of the watershed. Major vegetational patterns on the peats conformed more with peat surface configuration than with peat depth, configuration of underlying topography, or major land slope.Species' patterns at this level included dominance of the upland forests byTsuga heterophylla andPicea sitchensis, withChamaecyparis nootkatensis, Thuja plicata, andTsuga Mertensiana of local importance. The first two species were increasingly sparse, and the last three increasingly conspicuous (within their geographic ranges), in intermediate communities. On the bogs proper, onlyPinus was consistent in occurrence, and the trees were widely scattered, small and slow growing. Major shrub, herbaceous vascular plant, bryophyte and lichen shifts and patterns along this major floristic gradient are described. Some species reached maximum importance in the forests, others in the intermediate type and others in the bogs. The majority of the species had overlapping, but largely independent, patterns of importance.At the community level, two major patterns were suggested by the forest data: (1) a shift from true upland forest, to forest showing increasingly poor drainage, and, finally, to bog forest; and (2) a shift from forests dominated by very large trees, with highPicea importance, an understory largely characterized by scattered small shrubs, herbaceous vascular plants, and mosses and liverworts indicative of moist oxygenated surfaces, to forests with lessPicea, smaller trees, a deep continuous moss cover, dense shrubs where the canopy was somewhat open and only mosses and sparse herbs where the canopy was closed. These patterns are postulated to correspond to specific combinations of slope angle, the possibility of receiving bog drainage waters, nearness to large streams or the ocean, substrate porosity, and varying mixtures of soil fertility, moisture, oxygenation, and depth.The two major patterns suggested for the bogs at the community level are: (1) a gradation from probably soligenous bogs to probably ombrogenous bogs; and (2) a gradation from actively growing bogs of various surface configurations to bogs with an apparently stagnant main surface. Possible recent rejuvenation of a few of these stagnant bogs was indicated. Various possible relationships among the bogs are discussed.The forest subcommunities were subjectively divided into those of (1) varying dominance by different life forms; and (2) variations in surface moisture conditions. Bog surface subcommunities were divided into (1) wet sites, including steep-sided pit ponds, shallow wet hollows, surface drainage systems, floating mats and eroding bare peats; and (2) dry subcommunities, including mounds, varyingSphagnum dominance, and varying importance of bog shrubs and the sedges.The postulated patterns at all levels are based on fairly extreme examples. Many groupings were found that exhibited varying mixtures of these more extreme conditions, either throughout simple communities, or as parts of complex communities. Whether the more extreme conditions are sufficiently numerous and distinct in the region to form a basis of classification, or whether no such limits can be set except by arbitrary decision, and the regional vegetation would be dealt with best on the basis of continuous variation, remains to be determined.The most pronounced impression gained from this vegetation is one of a continuous shifting of habitat patterns and species' occurrence, co-occurrence, and vigor at all levels in both time and space. Such has certainly been observed before with respect to vegetation, but may be particularly conspicuous in this region in which extensive land use and settlement has not occurred; and climate, topography and related features, and peat accumulation are such that a continuous tension exists at all levels between: (1) tendencies for better drainage, forest development, and raised bog humification; and (2) poorer drainage, bog development and raised bog growth. The actual vegetation at any one time and place would depend on the particular combination of the climate and surface physical features at that time and place, and the time lag of vegetational and substrate response to climatic fluctuation.
Résumé Cette étude porte sur les arrangements principaux de végétation, de milieu et d'accumulation de tourbe dans le complexe formé par la forêt et les marais dans l'Alaska du Sud-Est. Notre attention s'est portée sur trois plans de disposition de la végétation: 1) le plan de la communauté forestière, qui comprend la forêt, le marais et des types intermédiaires; 2) le plan de la sous-communauté forestière, qui comprend l'investigation des variations principales dans la forêt, le marais, et, à un moindre degré, les types intermédiaires de la communauté forestière; et 3) le plan de la sous-communauté, qui comprend l'investigation des arrangements principaux du sous-sol forestier et de la surface marécageuse. Nous avons effectué une inspection poussée et fait des prélèvements intenses sur des lieux assez étendus, mais géographiquement unis. On a porté une attention particulière aux aspects de la végétation et aux traits physiques les plus saillants, en se servant de ceux-ci pour découvrir les facteurs possibles de corrélations d'habitat. Des études qui suivent permettront d'en déterminer la corrélation.Au plan de la communauté, les trois genres s'entremêlaient dans un arrangement qui variait continuellement, lequel, en gros, se conformait à la topographie de la surface. On trouvait les forêts surtout sur les pentes raides montagneuses, les marais sur des terres aux lignes douces, et des communautés intermédiaires entre les deux, sur les pentes. La correspondance était avec le drainage plutôt qu'avec d'autres traits microhabitats rattachés à la topographie, et cela était démontré par la présence de forêts sur un terrain peu incliné, dans le cas de la proximité de l'océan, ou de vastes drainages, ou sur de profonds substrates poreux, et par la presénce de marais sur des pentes abruptes quand des formations locales empêchaient l'écoulement rapide tout au long de la ligne de partage des eaux. Les dispositions principales de la végétation sur les tourbières étaient en conformité avec la configuration de la tourbe dans sa surface plus que dans sa profondeur, la configuration de la topographie sous-jacente, ou la majeure inclinaison de terrain.Les arrangements des espèces à ce niveau comprenaient la prédominance des forêts de montagnes avecTsuga heterophylla etPicea sitchensis, avecChamaecyparis nootkatensis, Thuja plicata etTsuga Mertensiana d'importance locale. Les deux premières espèces étaient de plus en plus en évidence (en leur zone géographique) dans les communautés intermédiaires. Sur les marécages mêmes, lePinus seul se trouvait de façon constante, avec des arbres répartis sur une grande étendue, arbres courts et à croissance lente. Pour les principaux arbrisseaux, plantes vasculaires herbacées, bryophytes et lichens, les changements et l'organisation dans le sens de cette gradation de la flore sont décrits. Quelques espèces atteignaient le maximum de leur importance dans les forêts, d'autres dans les formes intermédiaires, d'autres dans les marais. La majorité des espèces montrait un chevauchement dans l'importance de leurs repartitions mais celles-ci étaient hautement indepéndantes.Au niveau de la communauté forestière deux arrangements principaux étaient suggérés par les données de la forêt: 1) une modification depuis la véritable forêt de montagne en forêt de moins en moins drainée et finalement, en forêt marécageuse; 2) une modification à partir de forêts dominées par de gros arbres (surtoutPicea) un sous-sol fortement caractérisé par des arbrisseaux petits et clairsemés, des plantes herbacées vasculaires, desBryophytes etHépatiques, signes de surfaces humides oxygenées; en forêts ayant de moins en moins dePicea, des arbres plus petits, une étendue de mousse profonde et continue, des arbustes abondants là où la voùte s'entouvait quelque peu, et seulement des mousses et des herbes clairsemées là où la voùte d'arbres se refermait.On considère comme admis que ces arrangements correspondent à des combinations de l'inclinaison du terrain à la reception possible d'eaux d'écoulement des marais, à la proximité de grandes rivières ou de l'océan, à la porosité du substratum, et aux combinaisons variées de fertilité du sol, humidité, oxygénation et profondeur. Les deux arrangements principaux supposés pour le marais sur le plan communautaire sont: 1) une gradation depuis les marais produits par des eaux de surface jusqu'aux marais causés par les pluies, et 2) une gradation depuis les marais à poussée active et à configurations de surface variées jusqu'aux marais offrant une surface principale d'apparence stagnante.La division subjective des sous-communautés forestières à la surface des marais, se divisaient en: 1) lieux humides, y compris les étangs à flancs escarpés, trous humides peu profonds, systèmes de drainage de surface, végétaux flottants et tourbes dénudées en décomposition; et 2) sous communautés sèches comprenant des monticules, prédominance diverse deSphagnum, une répartition variée d'arbrisseaux de marécages, et les laîches.Sur tous les plans, les arrangements présumés sont basés sur des exemples presque extrêmes. On a trouvé de nombreaux groupements montrant des mélanges variés de ces conditions les plus extrêmes, soit dans de simples communautés soit comme composants des communautés complexes. Il reste a déterminer si les conditions les plus extrêmes sont suffisamment fréquentes et distinctes dans la région pour donner une base de classification, ou s'il est impossible de poser ces limites, sauf par une décision arbitraire, et serait-il préférable de traiter de la végétation régionale sur la base de la variation continue. Cette végétation donne une forte impression de déplacement continu d'arrangement d'habitat et de co-occurrence d'espèces et de vigueur sur tous les plans à la fois dans le temps et dans l'espace. C'est ce que l'on a déjà observé en ce qui concerne la végétation, mais c'est particulièrement évident dans cette région qui n'a pas connu d'intense utilisation du sol et de colonisation; le climat, la topographie et les caractéristiques qui s'y rattachent aussi bien que l'accumulation de tourbe sont telles qu'une tension persistente existe à tous les niveaux entre: 1) les tendances vers un meilleur drainage, le développement forestier et la transformation en humus des marais elevés et 2) l'insuffisance de drainage, le développement des marécages et l'extension des marécages elevés.


This work was partially supported by the National Science Foundation, Grant Nos. G-2356a, GB-961, and GB-3503.  相似文献   

8.
Résumé 1. Les travaux deSarà (1953) et deBurton (1963) ont remis en question la valeur systématique des caractères morphologiques dans la classification des Eponges Calcaires, et ont proposé de considérer de nombreuses formes connues comme des variétés individuelles et régionales d'espèces très plastiques et variables. Nous avons essayé de préciser, par l'observation directe en plongée libre, la distribution et les préférences écologiques des Calcaires, de définir ainsi les limites naturelles de leurs populations, et d'étudier ensuite la variabilité des caractères morphologiques à l'intérieur de ces populations.2. Nous exposons ici l'exemple des espèces des genresClathrina etAscandra, étudiées en Adriatique, dans les régions de Marseille et de Roscoff. Leur distribution est en rapport direct et très précis avec l'exposition aux vagues et à la lumière, à tel point que sur une surface réduite plusieurs espèces se succèdent et se remplacent en fonction de l'exposition de l'endroit. Dans la règion de Roscoff cette distribution est plus large ce qui est dû aux effets des marées, mais les zones écologique préférentielles pour les espèces deClathrina ont pu être établies en fonction de l'importance de l'apport des sédiments par les eaux côtières.3. La possibilité de définir des populations dont la distribution est très précisemment délimitée malgré une coexistence dans un espace réduit, et qui ne sont pas réliées par les formes transitoires, permet d'éliminer l'hypothèse de la cospécificité de ces populations. Elle permet également d'établir les variations morphologiques possibles au sein d'une espèce, de retenir les caractères significatifs pour la classification, et finalement de distinguer les espèces qui se ressemblent morphologiquement. Dans le cas d'animaux qui, commeClathrina, possèdent très peu de caractères utilisables en systématique, c'est la seule façon de résoudre les problèmes de leur taxonomie.
The importance of research on the ecological distribution for the taxonomy of calcareous sponges
The particular difficulties of the taxonomy of calcareous sponges are due to their great plasticity and their capacity for adaptation which obscure the natural limits of species. An attempt was made to define the natural populations of the Mediterranean species of the generaClathrina andAscandra through a study of their ecological distributions. The populations not connected by the transitory forms were defined by their ecological preferences, and, as they are found in a close cohabitation, were treated as having the specific values. The variability of different morphological features is discussed, the features significant for taxonomy are pointed out and the morphologically close species are defined.
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9.
Oviposition by a parasitoid wasp in an already parasitized host (= superparasitism) may result in larval competition and the loss of offspring. Consequently, in solitary species, the decision to superparasitize should be based on the probability of offspring survival. Females of Aphidius ervi Haliday and A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), two parasitoids of the pea aphid, discriminated between conspecific-and heterospecific-parasitized hosts. Both species showed partial preference for aphids previously attacked by A. smithi, a result predicted from the fact that A. ervi is superior to A. smithi in larval competition under most conditions. Females of A. smithi selectively attacked conspecific-parasitized pea aphids when given a choice between these and self-parasitized hosts. Results indicated that females of both species responded to an external pheromone-like marker to discriminate between selfconspecific-and heterospecific-parasitized aphids. In addition, A. smithi may use internal cues to recognize, and avoid oviposition in, aphids previously parasitized by A. ervi.
Résumé L'oviposition par une guêpe parasite dans un hôte qui a déjà été parasité (= superparasitisme) pourrait conduire à une compétition entre larves et à une perte de progéniture. Par conséquent, dans les espèces solitaires, la décision de superparasiter devrait être basée sur la probabilité de survie de la progéniture. Les femelles de Aphidius ervi Haliday et de A. smithi Sharma & Subba Rao (Hymenoptera: Aphidiidae), deux parasites du puceron du pois, ont discriminé entre les hôtes parasités par des individus de la même espèce et ceux parasités par des individus d'une espèce différente. Les deux espèces de parasite ont montré une préférence partielle pour les pucerons préalablement parasités par A. smithi, résultat qui était prévisible du fait que, dans la majorité des cas, A. ervi est supérieur à A. smithi dans la compétition entre larves. Les femelles de A. smithi ont sélectivement attaqué les pucerons parasités par un individu de la même espèce lorsqu'il leur était donné de choisir parmi ceux-ci et ceux parasités par les même individu. Les résultats indiquaient que les femelles des deux espèces répondaient à une sorte de phéromone externe pour distinguer les pucerons parasités par le même individu de ceux parasités par un individu de la même espèce et ceux parasités d'une autre espèce. En plus, A. smithi pourrait utiliser des signaux internes pour reconnaître et éviter l'oviposition dans les pucerons préalablement parasités par A. ervi.
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10.
Chabanet  Pascale  Letourneur  Yves 《Hydrobiologia》1995,300(1):299-308
A comparative study of the size distribution of four fish species was performed on three geomorphological zones (back reef, inner reef flat and outer reef flat) on two comparable fringing reef areas (disturbed and non-disturbed) of Reunion Island, S. W. Indian Ocean. The species chosen Chaetodon trifasciatus, Dascyllus aruanus, Stethojulis albovittata and Ctenochaetus striatus were selected both for their abundance and their diverse diets. The method used is based on the estimation of fish size directly underwater by comparison to a graduated table, i.e. photographs of the species for which different size-classes were previously determined. For the two areas, the size of fishes increases from the back reef zone to the outer reef flat, except for D. aruanus which is not present in sufficient numbers on the outer reef flat to allow a statistical analysis. This suggests the existence of a nursery zone in the back reef from which these species might colonize the reef flat. On the back reef zone and the inner reef flat, there is a significant difference in the size distribution of fishes between the disturbed and non-disturbed areas, except for S. albovittata. The number of juveniles is significantly lower in the disturbed area, probably due to environmental perturbations.
Résumé Une étude de la distribution des tailles de quatre espéces de poissons coralliens a été réalisée sur trois zones géomorphologiques (arriére récif, platier interne et platier externe) de deux secteurs récifaux comparables (dégradé et non dégradé) de l'île de la Réunion, océan Indien occidental. Les espéces étudiées, Chaetodon trisfaciatus, Dascyllus aruanus, Stethojulis albovittata et Ctenochaetus striatus ont été choisies pour leur abondance et leur diversité de régime alimentaire. La technique utilisée consiste á estimer la longueur du poisson directement sous l'eau á l'aide d'une tablette graduée. Des photographies de poissons de différentes tailles, préalablement définies, y ont été fixées, et ceci pour les quatre espéces. Pour les deux secteurs, une augmentation réguliére de la taille des poissons depuis l'arriére récif jusqu' au platier externe est apparue, sauf pour D. Aruanus ui n'est apas suffisamment abondante sur le platier externe pour permettre une analyse statistique. Ces observations suggérent l'existence d'une nurserie dans l'arriére récif á partir duquel pourrait s' opérer la colonisation du platier récifal. Dans les zones d' arriére récif et de platier interne, il y a par ailleurs une différence significative dans la distribution des tailles des poissons entre le secteur dégradé et le secteur non dégradé, sauf pour S. albovittata. Le nombre des juvéniles est significativement plus faible dans le secteur dégradé, ce qui pourrait être dû aux dégradations de l'environment corallien.
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11.
Visual sensitivity and foraging in social wasps   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary While there is a distinction between that intensity of illumination which permits social wasps to forage, and that to which a sessile worker can respond, nevertheless illumination is the most critical of the environmental factors which control the activity of wasps. Low temperatures, high winds, and heavy rain all reduce activity but unless exceptionally severe do not wholly stop it. At dawn, when the critical level of illumination is attained, workers leave the nest, but at dusk they will not leave should the same critical level be due in the course of the foraging flight, after which they could not return.The three species of wasp,Vespula vulgaris, V. rufa, andV. germanica have a common threshold of illumination, although the hornet,Vespa crabro can forage in moonlight at an altogether lower illumination. Honey-bees normally need a still higher illumination than do wasps.In all these species, the thresholds of illumination are related to the length of the compound eyes, so that species with large eyes need less light by which to forage. Moreover, there is a slight difference between the threshold at dawn when workers leave the nest, and that at dusk, when they must needs have sufficient light by which to return. This difference is almost constant for each species, when, as is customary, one measures it on a logarithmic scale.Lastly, the estimates, which these experiments provide, of the threshold illuminations depend stochastically on the number of workers foraging. A correction for this bias is given.
Sommaire Parmi les facteurs du milieu qui contrôlent l'activité des guêpes, celui de l'intensité de lumière est le plus important; toutefois on note une différence entre l'intensité de lumière qui permet aux guêpes sociales de fourrager, et celle qui produit une réponse des ouvrières sessiles.En général, les basses températures, les vents forts, et les grandes pluies réduisent leur activité, mais ces facteurs ne l'arrêtent pas complètement, à moins qu'ils ne soient très marqués.A l'aube, quand le niveau critique de lumière est atteint, les ouvrières quittent le guêpier, mais, le soir, si elles s'attendent à ce que la lumière vienne à s'abaisser au cours de leur sortie au-dessous du niveau critique, elles ne sortent pas.Les trois espèces de guêpe,Vespula vulgaris, V. rufa, etV. germanica, réagissent au même seuil de lumière, mais le frelon,Vespa crabro, est capable de fourrager au clair de lune par une lumière moins intense. Normalement, les abeilles exigent une lumière plus intense que les guêpes.Dans toutes ces espèces, le seuil de lumière se rapporte à la hauteur des yeux composés, par conséquent les espèces pourvues de grands yeux sont à même de fourrager par une lumière moins intense. De plus, il y a une légère différence entre le seuil de lumière à l'aube, quand les ouvrières quittent le guêpier, et celui du soir lorsqu'elles ont besoin d'une lumière suffisante pour rentrer. Cette différence, quand elle est mesurée à l'échelle logarithmique, comme il est d'usage, est presque constante pour chaque espèce.Enfin, les évaluations du seuil de lumière dans ces expériences dépendent stochastiquement du nombre d'ouvrières en train de fourrager. On a tenu compte de ce fait.
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12.
Résumé Etude d'un complexe de sources, situé dans la Plaine du Danube Inférieur (= Plaine Roumaine ou Plains de Valachie), à 100 m d'alt. environ. La station se caractérise par un complexe de facteurs uniques dans ce coin de (Europe: abondance de l'eau phréatique froide sortant à jour sur une surface restreinte, protection efficace grâce à une saulaie compacte, variété des substrats et abondance des sources trophiques. Ces éléments rendent possible l'existence d'une faune relique, comprenant rotifères, tardigrades, coléoptères, trichoptères, hydracariens, etc., espèces ayant ici leur seule station de la Plaine Roumaine. Les espèces qu'on signale dans le travail sont soit formes de montagne, soit à aréal septentrional ou septentrional-occidental, soit, enfin, caractéristiques pour les tourbières d'altitude, souvent même pour les tourbières acides à Sphagnum. On considère la faune du complexe de Corbii Ciungi comme un rests remarquable de la faune aquatique ayant peuplé la Plaine Roumaine antérieurement à la mise en friche sauvage des forêts et à l'extension impétueuse de l'agriculture, phénomènes ayant radicalement transformé ce territoire.  相似文献   

13.
Sommaire Dans le présent travail, sont examinées les associations des plantes ammophiles qui se rencontrent sur les côtes d'ouest du Péloponnèse (voir la carte du texte).Ces côtes sont les plus favorables à la formation des dunes de sable, car, d'une part elles sont plus ou moins escarpées et par suite plus exposées aux vents sud-ouests qui régnent à cette région, et, d'autre part, on rencontre dans cette région les trois facteurs qui sont nécessaires pour la formation des dunes, le vent, le sable et les plantes, qui constituent, d'après Kühnholtz-Lordat (1923) le trinôme dynamique. Les géophytes à rhizome, Ammophila arenaria, Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens, qui sont considérées comme espèces à grand géodynamisme positif sont très abondantes tout le long du cordon littoral de la plage (Tableaux I–III).La classe Cakiletea maritimae est représentée dans cette région par les associations Salsola Kali — Xanthium strumarium Oberd. et Tx. 1950, et Anthemis Muenteriana —Salsola Kali. La première a été trouvée pour la première fois par Oberdorfer (1952) sur les côtes de la Grèce du Nord et a été classifiée par Oberdorfer et Tüxen (1950), tandis que, la seconde, qui n'a pas été trouvée ailleurs, peut-être considérée comme une nouvelle association des plantes.Les associations de la classe ci-dessus sont rencontrées sur les côtes ou les baies abritées du vent et particulièrement aux endroits où il existe une quantité suffisante d'humus et des débris végétales. L'association des plantes Salsola Kali — Xanthium strumarium est plus nitrophile que la seconde et se rencontre sur les régions les plus basses du rivage, où s'est accumulée une quantité suffisante d'humus et des débris végétaux. Ces derniers proviennent, le plus souvent, des espèces Zostera marina, Posidonia oceanica, Arundo Donax et d'autres. L'association des plantes Anthemis Muenteriana — Salsola Kali est moins nitrophile que la précédente et se rencontre sur les dunes basses d'une hauteur de 0.50–1.50 m qu'elle recouvre; ces dunes sont parallèles au rivage. Cette association apparaît le plus souvent dans sa phase optimale. Aux endroits où la quantité d'humus et des débris végétaux est moindre, apparaît l'association Agropyretum mediterraneum dans sa phase initiale (Tableau I et Photos 9–10).L'association Agropyretum mediterraneum apparaît principalement sur les dunes d'une hauteur de 1 à 2 m, sauf dans très peu de cas (Tableau II). La phase optimale de l'association Agropyretum mediterraneum se rencontre sur les dunes d'une hauteur de 1.50 à 2 m. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus escarpée et par suite plus exposée aux vents sudouests, comme sont, par exemple, les côtes de la région Kaïafa (Photos 15–17). La phase optimale de cette association se caractérise par une abondance des espèces caractéristiques et par l'abondance des représentants des géophytes à rhizome, comme les espèces Agropyrum junceum ssp. mediterraneum, Galilea mucronata, et Sporobolus pungens (Tableau II, nos 1–6).L'association des plantes Ammophiletum arundinaceae se rencontre sur les dunes dont la hauteur dépasse les 2 mètres. Ces dunes se trouvent aux endroits où la côte est plus exposée aux vents sud-ouests, comme sont les côtes de Petrochori et de la région Zacharo. Cette association apparaît dans sa phase optimale, et sur des dunes qui sont bien développées et dont la hauteur, est à partir de 2.5 m et peut atteindre les 15 m (Tableau III et Photos 19–23).L'association bien connue Crucianelletum maritimae qui se rencontre sur les dunes stabilisées des côtes ouests de la Mediterranée, est représentée dans cette région par l'association des plantes Euphorbia terracina — Silene nicaeensis. Cette association représentative se devéloppe sur les dunes stabilisées de la région explorée. Leur hauteur varie, entre 4 et 11 mètres. Elle apparaît comme une association des plantes typiques avec 2 variantes, celle de Rumex bucephalophorus et celle de Centaurea sphaerocephala, et aussi comme les sous-associations Chondrilla juncea — Scolymus hispanicus et Trifolium scabrum —Nigella aristata (Tableau IV et Photos 24–26).En général les associations des plantes ammophiles se rencontrent sur les côtes ouests du Péloponnèse dont le sol est constitué, dans sa plus grande partie, par du sable d'un gros moyen ou moyennement fin.Les associations de la classe Cakiletea maritimae et l'association des plantes Agropyretum mediterraneum se développent sur des endroits où le sol est constitué d'une grande partie, en sable gros (Fig. 4 et 5). Entre eux, les plantes de la classe Cakiletea maritimae se développent sur un sol qui contient, en outre, une assez grande quantité d'humus et des débris végétaux, tandis que, pour l'association Agropyretum mediterraneum, les élements ci-dessus peuvent exister en une très petite quantité ou ne pas s'y trouver.Le sol, sur lequel se développent les associations des plantes Agropyretum mediterraneum et Ammophiletum arundinaceae est différent du sol propre à l'association Euphorbia terracina — Silene nicaeensis, car, dans le premier cas, celui-ci se constitue, en principal d'un sable d'un gros moyen, tandis que, dans le second cas, d'un sable moyennement fin (Fig. 5).Pour tous les sols, propres au développement des associations ammophiles des côtes du Péloponnèse, ou a une abondance de CaCO3. Malgré le fait que l'analogie de CaCO3 varie, a partir d'un pourcentage moyen jusqu'à une grande quantité, l'evolution de la végétation dans ces différentes phases, ne dépend pas de cette quantité.La réaction de ces sols varie, pour la plupart, entre 6.65 et 8.20 (Tableaux 10–14).  相似文献   

14.
J. Daget 《Hydrobiologia》1961,18(1-2):95-108
Résumé L'existence d'une faune aquatique relicte a été reconnue en trois points différents du revers oriental du plateau de Bandiagara. Cette faune comprend dix espèces de Poissons et huit de Mollusques; les autres groupes zoologiques Wont pas été étudiés. Elle proviendrait du bassin de la Volta et serait isolée depuis le Quaternaire ancien, époque où la capture de la Volta Noire supérieure par la Volta moyenne aurait provoqué l'assèchement définitif de la dépression du Séno. Au cours des périodes sèches du Préouljien et du Préflandrien, cette faune se serait maintenue dans des conditions comparables à celles existant aujourd'hui dans l'Adrar mauritanien et le Tibesti. Au même titre que les faunes aquatiques de ces regions, celle du revers oriental du plateau de Bandiagara mériterait donc d'être considérée comme une faune désertique.  相似文献   

15.
Summary Quantitative plankton samples were collected from three small ponds weekly for fourteen weeks during the summer. Seven species of Cladocera and five species of Copepoda were collected. Nine of the species had significant affinities which were formed into one recurrent group and three associated species. The recurrent group of two cladocerans, one calanoid and three cyclopoids resembled the species composition of many small to medium lakes.The members of the recurrent group were sub-divided into filter-feeders and seizers. There were no constant numerical dominance (W) relations among the filter-feeders; W was highly significant for the seizers. There were significant differences in relative abundance for both sub-groups. The test for concordance was insignificant for both sub-groups.The population cycle of each species in each pond is described. Correlation analysis of population units of each species and several environmental factors is presented.Populations of each species found in more than one pond were compared. Population trends were compared by correlation analysis. Few significant correlations were found. Population levels were compared by analysis of variance. Many significant differences were found but the measured environmental data did not explain the differences.The diversity index did not differ significantly among weeks or among ponds. More significant correlations occurred among the species in the recurrent group; the second highest number occurred between associated species and recurrent group species. Few correlations occurred among associated species or among non-associated species or between non-associated species and any other species grouping. The significance of these patterns of diversity and correlations to the idea of a community is discussed.
Résumé Des échantillons de plancton ont été recueillis chaque semaine de trois petits étangs pendant quatorze semaines de lété. Sept espèces de Cladocères et cinq espèces de Copepodes ont été recueillies. Neuf des espèces avaient des affinités importantes et étaient formées dans un groupe récurrent et trois espèces avaient une association avec le groupe récurrent. Le groupe récurrent, composé de deux Cladocères, un Calanoide, et trois Cyclopoides, ressemblait la composition des espèces trouvées dans des petits lacs ou dans des lacs moyens.Les members du groupe récurrent étaient subdivisés entre des filtreurs et des prédateurs. Entre les filtreurs on ne pouvait pas trouver une domination numérique (W) qui était constante; (W) était vraiment important dans les prédateurs. Il y avait des différences importantes dans l'abondance relative pour les deux sous-groupes. L'épeuve de concordance était significative pour les deux sous-groupes.Le cycle de population de chaque espèce trouvée dans chaque étang est décrit. Les éléments de population de chaque espèce et plusieurs facteurs d'environnement ont été analysés corrélativement et les résultats sont présentés ici. Les populations des espèces trouvées dans plusieurs étangs ont été comparées. Les tendances de population ont été comparées par des analyses de corrélations. Peu de corrélations importantes ont été trouvées. Les hauteurs de population ont été comparées par des analyses de variabilité. Beaucoup de différences significatives ont été trouvées, mais les données d'environnement mesurées n'ont pas expliqué les differences trouvées.L'indice de diversité n'était pas différent d'une manière significative entre les semaines ou entre les étangs. Les corrélations les plus significative ont été trouvées parmi les espèces dans le groupe récurrent; le deuxième nombre de corrélations significatives le plus haut se présentait entre les espèces ayant une affinité et les espèces du groupe récurrent. Peu de corrélations ont été trouvé parmi les espèces ayant une affinité ou parmi les espèces n'ayant aucune affinité ou entre les espèces n'ayant aucune affinité et d'autres groupes d'espèces. La signification de ces modèles de diversités et de la corrélation à l'idée d'une communauté est discutée.
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16.
Résumé Nous avons observé depuis longtemps déjà que la FourmiCremastogaster scutellaris forme de grandes colonnes de récolte, formations stables pendant toute une saison. Dans une note précédente (1) nous avons montré qu'il est relativement facile d'étudier l'activité collective des ouvrières hors du nid en faisant varier les facteurs du milieu et en observant le comportement de ces colonnes. Il nous a été ainsi possible de déterminer l'existence d'un thermo-preferendum (situé aux environs de 25° pour cette espèce), pour lequel l'activité de la colonne est maxima. De même nous avons pu montrer que l'activité journalière de ces colonnes est arythmique et se trouve uniquement sous l'influence directe et mesurable de la température.Dans l'étude qui suit, nous avons cherché à savoir de quelle façon les facteurs externes déterminaient l'arrêt d'activité hivernal (hibernation) et la reprise d'activité printanière (rupture d'hibernation) des fourmilières deCr. scutellaris. Nous ne nous occuperons pas ici de ce qui se passe à l'intérieur de la fourmilière ni des incidences de l'hibernation sur le cycle biologique de la colonie (ceci fera l'objet de publicationsultérieures), mais simplement des phénomènes qui sont visibles à l'extérieur du nid et qui affectent les colonnes d'ouvriéres.  相似文献   

17.
Résumé Au début du printemps les adultes de Coccinella septempunctata L. (Col., Coccinellidae) issus des sites d'hivernation, les larves et les nymphes qui en proviennent, fréquentent le sol et les parties basses du blé. En juin, les adultes nés dans le champ et leur descendance sont dispersés sur toute la hauteur des talles bien qu'une fraction non négligeable de leur population se rencontre à l'extrémité supérieure. La plupart des pontes sont déposées sous les mottes de terre, les pierres et les petites adventices qui constituent des sites privilégiés. Ces variations de la distribution de cette coccinelle peuvent être mises en relation avec le climat, en particulier la température, avec la thermophilie de cette espèce et avec la répartition sur les différentes parties des talles des 3 espèces de puceron qui se succèdent au cours de la saison. Ces observations sont importantes à considérer lors du choix ou de la mise au point d'une méthode d'échantillonnage.  相似文献   

18.
The relative importance of three factors-mating, nutrition, and crowding-in regulating the reproductive biology of Dysdercus fasciatus Signoret, D. nigrofasciatus Stål and D. cardinalis Gerst. was studied under standard laboratory conditions. Observations on mated and virgin females of these three species of Dysdercus showed that there were no significant differences in pre-oviposition period and inter-oviposition period. In D. fasciatus and D. nigrofasciatus there was, further, no significant difference in the rate of oocyte development; but D. cardinalis differed from these two species in that mating had a profound effect on the rate of oocyte development and consequently on the first oviposition. However, in all three species of Dysdercus mating had a significant effect on the number of eggs produced in each batch, the egg batches of mated females being significantly larger than those produced by virgin females. Further, in both D. fasciatus and D. nigrofasciatus virgin females lived longer than mated females but in D. nigrofasciatus mating had no significant effect on adult longevity. Mating activity was drastically reduced in starved adult bugs. But where it occurred under these conditions, mating did not have any effect on the development of the oocytes, even in D. cardinalis. Under starvation conditions, growth proceeded up to the stage where yolk deposition would normally occur, then stopped; the oocytes showed no signs of degeneration or oosorption. Crowding of female adults led to the acceleration of oocyte development and the onset of oviposition in all three species. These findings are discussed in relation to the known field biology of the three Dysdercus species.
Résumé La biologie de la reproduction de 3 espèces de Dysdercus du Kenya a été étudiée au laboratoire. Des 3 espèces, D. fasciatus Signoret présente les périodes les plus courtes de pré-copulation et de pré-oviposition. Puisque cette espèce est inféodée à un relativement petit nombre de plantes-hôtes, qui ont une courte saison de fructification procurant alors une ample source de nourriture, elle tire un avantage maximum de la brièveté de cette période favorable, grâce à la réduction des phases de pré-copulation et de pré-oviposition.Par contre D. nigrofasciatus Stål est adaptée à un très grand nombre de plantes hôtes et pour elle il n'est pas indispensable d'avoir une très grande capacité de reproduction. Cela s'applique encore mieux à D. cardinalis Gerst. qui a une plus longue période de pré-copulation et de pré-oviposition. Cette espèce préfère les plantes qui sont dispersées sur une grande superficie et cela exige une longue période de vol exploratoire avant de s'alimenter et de se reproduire.Chacune de ces 3 espèces s'accouple de façon presque continue, mais les observations faites au laboratoire montrent que l'accouplement n'a aucun effet notable sur la longévité des adultes, sur la durée des phases de pré-oviposition ou d'inter-oviposition et sur le nombre total d'ufs pondus chez D. fasciatus et D. nigrofasciatus. Chez D. cardinalis, au contraire, l'accouplement a un effet important sur la vitesse de croissance des ovocytes, mais non sur les autres aspects de la reproduction évoqués ci-dessus.Le rassemblement en masse des femelles adultes accélère le développement des ovocytes et déclenche la ponte dans chacune des 3 espèces de Dysdercus.L'alimentation a un effet sur le développement des ovocytes. De jeunes femelles adultes doivent être alimentées pendant au moins 3–4 jours avant de déposer leur première ponte. Après chaque ponte une alimentation plus abondante est encore nécessaire pour assurer le maintien de la production d'ufs. Les femelles de chacune des 3 espèces peuvent survivre avec de l'eau pure mais leurs ovocytes arrêtent leur développement au stade où normalement se dépose le vitellus, mais ils ne sont pas résorbés.
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19.
RésuméMorphologie des myosynapses d'Insectes Les terminaisons nerveuses motrices des muscles squelettiques (à l'exclusion des muscles fondamentaux du vol) de la Mouche domestique et de quelques autres Diptères, ainsi que de l'Abeille et du Bourdon, se présentent le plus souvent comme de simples bifurcations des fibres nerveuses, mais il arrive qu'elles comportent un plus grand nombre de rameaux. Chez les Orthoptéroïdes, on observe des terminaisons de types différents, la structure pouvant être, comme chez la Blatte, comparable à celle des Diptères, mais plus complexe chez le Criquet où la ramure terminale est irrégulière et abondamment divisée. Les terminaisons motrices des Orthoptéroïdes sont très fréquemment composées, c'est-à-dire constituées par la superposition de plusieurs ramures terminales.La structure fine de ces myosynapses semble identique à celle des myosynapses de guêpe, décrites d'après des micrographies électroniques.Des noyaux siègent parfois au niveau des myosynapses, mais de façon inconstante. Ce sont essentiellement des noyaux du névrilemme.Les terminaisons motrices des muscles des larves de Diptères semblent morphologiquement plus simples que celles des imagos, mais leur structure reste encore mal connue.Les myosynapses des Insectes se distinguent de celles des Vertébrés par l'absence d'appareil sous-neural et de cholinestérases décelables histochimiquement à son niveau, alors que ces enzymes peuvent être aisément mis en évidence dans les nerfs et le système nerveux central.Différents modes d'innervation motrice de la fibre musculaire des Insectes Chez tous les insectes examinés ici, chaque fibre musculaire reçoit plusieurs terminaisons motrices réalisant une innervation dite multiterminale. Toutes les terminaisons motrices d'une seule fibre musculaire sont parfois issues des divisions d'un même axone: il s'agit alors d'une innervation multiterminale mononeuronale. Dans d'autres cas, tout un muscle est innervé par plusieurs axones jumelés qui se bifurquent simultanément et, le plus souvent, cheminent parallèlement jusqu'à la fibre musculaire, chaque rameau du nerf formant généralement une terminaison motrice composée: une seule fibre musculaire est alors innervée à la fois par plusieurs axones, son innervation est multiterminale polyneuronale. Plusieurs physiologistes ont pu démontrer sur certains insectes que ces axones jumelés ne déterminaient pas les mêmes effets moteurs, mais ces résultats ne sauraient être généralisés à l'ensemble des cas d'innervation polyneuronale, sans recherches physiologiques plus complètes. Ce mode d'innervation polyneuronale n'a pas un caractère général chez les Insectes.  相似文献   

20.
M. P. Arvy 《Plant and Soil》1985,84(3):437-443
Résumé Nous avons analysé la teneur en sélénium de sols argileux de la région de La Roche-Posay ainsi que celle deHelminthia echioïdes etTrifolium repens qui s'y développent. Sur trente emplacements, la concentration en Se total du sol varie de 1,7 à 4,5 ppm et le pH oscille de 6,1 à 7,2. La teneur en sélénium des plantes est élevée: de l'ordre de 2 à 32,5 ppm, mais aucune corrélation n'a été notée entre ces valeurs et d'une part le pH du sol ou d'autre part la teneur totale en Se du sol.Seize éléments minéraux ont également été dosés. Les deux espèces présentent des concentrations élevées en Al, Fe, Ni, Co et Cr. Les Teneurs les plus fortes en Se ont été retrouées dans les plantes possédant les taux les plus bas en Al, Fe, As et Mn. Chez Trifolium, une corrélation négative est observée entre la concentration en Se et celle en Al (r=–0,44), en Fe (r=–0,47) et en As (r=–0,47). Par ailleurs, des corrélations positives sont obtenues entre les teneurs en Al, Fe et As chez les deux espèces.Une corrélation positive existe entre la teneur en Se et celle en P chez Helminthia, mais chez Trifolium les plus faibles concentrations en Se se retrouvent à la fois dans les échantillons présentant les niveaux les plus faibles et les plus forts en P.Chez l'une ou l'autre des espèces étudiées, des corrélations positives apparaissent entre les teneurs en Se et celles en Co, Mo ou même Mn lorsqu'il est présent à des taux relativement élevés dans la plante.  相似文献   

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