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相似文献
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1.
A. Fraval  M. Haddan 《BioControl》1988,33(3):381-382
Résumé Platystasius transversus (Thomson) parasite les œufs du CérambycidePhoracantha semipunctata (F.), près de Rabat. C'est la 1re mention, pour l'aire géographique, d'un ennemi naturel de ce déprédateur d'eucalyptus, originaire d'Australie, et récemment signalé au Maroc.   相似文献   

2.
C. Alauzet 《BioControl》1987,32(1):39-47
Résumé Cette étude porte sur différents aspects de la biologie deE. semirugosus, C. sordidator etC. abdominalis, se développant surP. notatus, ravageur du Pin maritime: comportement parasitaire à l'égard de ce charan?on, durée du développement, durée de la maturation sexuelle, espérance de vie des adultes, etc. Le cycle biologique de ces parasito?des est étudié ainsi que le problème de la co?ncidence temporelle entre ces braconides et leur h?te dans le cas d'une forêt du sud de la France.   相似文献   

3.
S. Grenier 《BioControl》1980,25(1):17-26
Résumé L'étude du développement endoparasitaire deLixophaga diatraeae (Towns.) dans un h?te de substitutionGalleria mellonella L. a été effectuée par dissections d'h?tes hébergeant des parasito?des d'age connu. Les résultats mentionnés sont obtenus avec en movenge 2.6 parasito?des par h?te. Les élevages ont lieu à 22.5±0.5°C et 85±5 % H.R. avec une photophase de 12 h pourL. diatraeae et à 28±1°C à l'obscurité pourG. mellonella. La croissance pondérale larvaire suit une loi exponentielle et correspond à un temps de doublement du poids de 0,65 j pour les stades 1 et 2 et environ 0,8 j pour le stade 3. Le développement larvaire complet requiert 7,5 j en moyenne. Les stades 1,2 et 3 durent en moyenne respectivement 2,9, 2,5 et 2,1 j. La mue larvaire L1–L2 intervient vers 0,23 mg et la mue L2–L3 vers 3,2 mg. La larve nouvelle née pèse 12,3 μg et la croissance larvaire représente un facteur multiplicatif maximum d'environ 2 500 fois. Le poids moyen des pupes obtenues est de 14,2 mg.
Summary Endoparasitic development ofLixophaga diatraeae (Towns.) reared in a substitution hostGalleria mellonella L. was studied by dissections of hosts containing known aged parasitoids. The exposed results are obtained with an average of 2,6 parasitoids per host. Rearing ofL. diatraeae was performed at 22.5±0.5°C and 85±5% R.H. with 12 light hours and rearing ofG. mellonella at 28±1°C in darkness. The larval weight growth is exponential and exhibits a doubling time of 0.65 day for the 1st and 2nd stages and around 0.8 d. for the 3rd stage. Mean complete larval development time is 7.5 days. The 1, 2 and 3 stages last respectively 2.9, 2.5 and 2.1 days. Larval moulting 1–2 happens around 0.23 mg and moulting 2–3 around 3.2 mg. New hatched larva weights 12.3 μg and during larval growth multiplicates its weight by about 2,500. The mean pupal weight is 14.2 mg.


Nous remercionsColette Ogier pour sa collaboration technique,P. Laviolette etG. Bonnot pour leur lecture critique du manuscrit.  相似文献   

4.
Résumé L'étude des variations d'abondance et des factuers de régulation de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero 5 ans après l'introduction du parasito?de néotropicalEpidinocarsis lopezi (de Santis) révèle la constance des pullulations du ravageur depuis 9 ans. Les pics de pullulations s'observent surtout en début de saison des pluies. Aucune corrélation n'a pu être établie entre les paramètres caractérisant les pluies et les variations du nombre de cochenilles. Nos observations confirment que l'entomophthoraleNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller est le principal facteur de régulation de la cochenille au Congo. L'impact des prédateurs de la cochenille ne semble pas s'être modifié depuis 1979: la coccinelleExochomus flaviventris Mader reste le prédateur le plus actif. L'acclimatation du parasito?deE. lopezi s'est traduite par une augmentation du taux de parasitisme par un facteur 2 à 3. Elle n'a cependant pas permis de modifier l'allure et l'ampleur des pullulations de la cochenille. Enfin, la co?ncidence entre les brutales augmentations du nombre de cochenilles et de profondes modifications de la physiologie du manioc laisse à penser que cette dernière joue un r?le important.   相似文献   

5.
G. Reyd  R. Gery  A. Ferran  G. Iperti  J. Brun 《BioControl》1991,36(2):161-171
Résumé Hyperaspis raynevali Muls. est une coccinelle coccidiphage appelée à intervenir en lutte biologique contre la cochenille du manioc:Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero en Afrique. Au laboratoire, ce prédateur est multiplié sur la cochenille du manioc et sur la cochenille farineuse des agrumesPlanoccus citri Risso (proie de substitution). L'étude des aptitudes trophiques d'H. raynevali élevée avec ces 2 espèces de cochenille a été entreprise afin de comparer la valeur alimentaire respective de ces proies. Les résultats montrent que la qualité nutritive deP. manihoti est légèrement supérieure à celle deP. citri pour les larves et les adultes de la coccinelle, à condition de ne pas utiliser le poinsettia, comme végétal de substitution pour élever la cochenille du manioc. De plus,P. citri constitue une proie que l'on peut avantageusement utiliser au Congo afin de produireH. raynevali pour entreprendre une opération de lutte biologique contreP. manihoti.   相似文献   

6.
Résumé Les auteurs ont mis au point un procédé d'estimation de la virulence des Entomophthorales à l'égard des adultes du moustiqueAedes aegypti. Ce paramètre est estimé en termes de CL 50 de conidies/mm2. C'est la 1re fois qu'une telle méthodologie est appliquée à ces champignons vis-à-vis de Diptères. L'activité de 2 souches deZoophthora radicans isolées le même jour dans la même localité a ainsi pu être comparée à des intervalles successifs après la mise en culture. Au début de l'expérience, les 2 souches se sont révélées capables d'entra?ner des taux de mortalité de 100% et leur virulence était comparable. La symptomatologie de la mycose était caractéristique, avec formation de conidiophores chez la quasitotalité des cadavres. Par la suite, une discordance a été notée dans le comportement respectif des 2 souches. Alors que la virulence de l'une est restée stable pendant les 6 mois qu'a duré l'expérience, celle de l'autre a diminué très rapidement, le taux maximum de mycose ne dépassant plus 20% après le 1er essai. Le passage sur l'h?te expérimental n'a pas eu pour effet de modifier cette situation. Ces résultats, ainsi que leurs implications, sont discutés. Ils soulignent l'importante variabilité comportementale qui peut exister au sein d'une même espèce d'Entomophthorale. Avec la collaboration technique deMonique Arnault et deNelly Delatre.  相似文献   

7.
Résumé Après l'invasion de la Nouvelle-Calédonie en 1985 parHeteropsylla cubana Crawford, psylle ravageur de la légumineuseLeucaena leucocephala (Lam.) de Wit, le coccinellide auxiliaireOlla v-nigrum Mulsant a été introduit depuis Tahiti, au début de 1987, et ses principaux paramètres biologiques ont été étudiés en conditions contr?lées. A 25,7°C (24,6/26,8) la valeur médiane de la durée du développement pré-imaginal est 16,5 jours, de la ponte de l'œuf à l'adulte. A 25,8°C (25/26,6), en adoptant le taux d'éclosion observé sur les pontes de femelles sauvages, la multiplication par génération R0=201,4, le taux intrinsèque d'accroissement rm=0,165, et la durée moyenne de génération T=32,2 j. En tenant compte de la baisse de fertilité observée en cours d'étude de la cohorte, ces valeurs deviennent: R0=153,9, rm=0,160, T=31,4 j. Comparées à celles mesurées pour d'autres proies, ces valeurs impliquent une bonne adaptation trophique àH. cubana, qui est toxique pour la plupart des prédateurs polyphages. En juillet 1989,O. v-nigrum était déjà établi sur la majeure partie de la Nouvelle-Calédonie.   相似文献   

8.
A. Delobel 《BioControl》1989,34(3):351-363
Résumé Le trichogrammeUscana caryedoni Viggiani se développe aux dépens des œufs deCaryedon congense Decelle et de ceux de la bruche de l'arachide,Caryedon serratus (Olivier), sur les fruits d'une légumineuse arbustive commune au Congo,Poliostigma thonningii (Schum.). Dans la région de la Bouenza, dans le sud du pays, les taux de parasitisme dus àU. caryedoni s'accroissent au cours de l'année, à mesure que m?rissent les gousses, pour atteindre en novembre près de 40% (taux cumulé). La biologie du parasito?de a été étudiée au laboratoire sur œufs deC. serratus. A 30°C, la femelle pond en moyenne 66 œufs et vit un peu plus de 5 jours. Le développement préimaginal s'effectue en 16 jours à 26° et 12 jours à 30°. L'effet de la densité de l'h?te sur divers paramètres biologiques du parasite a été étudié. Un essai réalisé dans les conditions du laboratoire a révélé chezU. caryedoni de très faibles potentialités comme agent de limitation des populations deC. serratus dans les stocks d'arachide.   相似文献   

9.
Résumé Le parasitePauesia cedrobii Stary et Leclant, spécifique du puceron du CèdreCedrobium laportei Remaudière, a été récolté dans le Moyen-Atlas, (Maroc) puis introduit dans un peuplement de cèdre (Cedrus atlantica Manetti) du sud-est de la France au printemps 1981. La méthode utilisée a consisté en une introduction directe des parasites, préalablement isolés sur le lieu de récolte (momies) puis mis à éclore en chambre climatisée de fa?on à éliminer les hyperparasites. Après accouplement, 225 adultes ont été introduits dans des manchons installés sur des rameaux abritant des colonies deC. laportei. L'évolution des populations de l'h?te et du parasite a été suivie au niveau des points de lacher d'une part, et dans la parcelle d'autre part. L'installation définitive du parasite dans la parcelle s'est produite, 1 an après le lacher, grace à un automne et à un hiver particulièrement doux, qui ont favorisé la multiplication de l'h?te. Le parasite est définitivement implanté: il est encore présent 4 années après le lacher. Entre temps, il a été étendu à d'autres forêts de cèdre du sud-est de la France. Huit espèces d'hyperparasites autochtones se sont portés surP. cedrobii, mais ceci ne remet pas en cause la réussite de l'introduction de l'aphidiide. Avec la collaboration technique deE. Robert, A. Chalon, J. Chizky.  相似文献   

10.
Résumé L'étude de la toxicité de 11 produits insecticides a été réalisée en laboratoire (application locale) sur des femelles deEupelmus urozonus.Dalm. Elle montre selon les insecticides utilisés une DL50 qui peut varier de 3,2 ng par insecte pour le parathion jusqu'à 76,7 ng par insecte pour le trichlorfon. D'autre part, le dimethoate, le fenthion, le diazinon et le bromophos ont été testés en ce qui concerne leur action résiduelle sur feuilles d'olivier vis-à-vis du parasite et deDacus oleae Gmel. Après le traitement des oliviers avec ces 4 insecticides, utilisés soit à la dose de 0,3‰ de matière active, soit sous forme d'un mélange attractif (3‰ de matière active et 4% d'hydrolysat de protéines), on observe toujours une mortalité supérieure deD. oleae par rapport à celle enregistrée chezE. urozonus.
Summary The toxicity of 11 insecticides was determined in the laboratory (topical application) for females ofE. urozonus. The LD 50 s ranged from 3,2 ng per insect for parathion to 76,7 ng per insect for trichlorfon. In addition, the residual activity of dimethoate, fenthion, diazinon and bromophos on olive leaves was determined for the parasite andD. oleae. After olive leaves were treated with the 4 insecticides at dosages of 0,3‰ or 3‰ active material (this latter in combination with 4% protein hydrolyzate), there was consistently higher mortality ofD. oleae thanE. urozonus.
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11.
Résumé Cette étude avait pour objectif la mise au point d'un élevage du parasitePauesia cedrobii Stary & Leclant sur son h?te spécifiqueCedrobium laportei Remaudière, ce dernier étant multiplié sur des jeunes plants de cèdreCedrus atlantica Manetti. Dans des chambres climatisées à température et humidité relative constantes, on a placé des enceintes d'élevage assurant respectivement 8 et 16 heures d'éclairement. Pendant la phase d'éclairement, et malgré 2 ventilateurs chargés d'assurer l'extraction de l'air, la température des enceintes a augmenté d'environ 3°C. Au total, 9 conditions climatiques ont été testées, chacune pendant un an et demi. A 4°C, le parasite ne s'est pas multiplié. A 8°C, il s'est maintenu pendant une année environ, mais cette température s'est montrée encore trop proche de son seuil inférieur de développement et de celui de son h?te. A 12°C, on a observé un bon équilibre entre le parasite, qui s'est développé normalement, et son h?te, qui n'a jamais disparu. A 20°C, les élevages ont eu un bon rendement pendant 6 mois, mais il n'a pas été possible de les maintenir pendant plus longtemps. A cette température, et plus encore à 25°C, les plants de cèdre ont présenté des sympt?mes de dépérissement. A 25°C, les résultats mettent en évidence une action défavorable de la température sur tous les niveaux trophiques. En règle générale, les jours longs ont été un peu plus favorables aux élevages.   相似文献   

12.
Résumé Trois annés d'éhantillonnage automnal de pyrale du ma?s dans différentes régions ma?sicoles de France ont permis de déterminer le taux de parasitisme par les Tachinidae. Ce taux varie de 1% à 51% selon les régions et les années. Les tachinaires sont préents dans toutes les zones étudiées.Lydella thompsoni Hert. est l'espèce la plus abondante et la plus répandue.Pseudoperichaeta nigrolineata Walk. se rencontre dans le Sud-Ouest. Les Tachinidae pourraient jouer un r?le important dans la régulation des populations de pyrale.   相似文献   

13.
Résumé La sensibilité dePlutella maculipennis Curt. à divers hyphomycètes entomopathogènes est définie par des essais biologiques en conditions standardisées. La contamination est réalisée par pulvérisation sous tour de traitement de rondelles de chou calibrées; les chenilles au 3e stade, venant de muer, sont placées pendant 48 h sur les rondelles traitées. Le calcul des droites logarithme de la dose-probit de la mortalité et des DL 50 le 6e j après le traitement, montre que les larves deP. maculipennis sont sensibles aux différents types de propagules fongiques quelle que soit la formulation: conidiospores, blastopores non formulées, lyophilisées ou enrobées dans l'argile. La pathogénie de diverses souches deBeauveria bassiana (Bals.) Vuill.,B. brongniartii (Sacc.) Petch.,Nomuraea rileyi (Farl.) Sams.,Metarhizium anisopliae (Metch.) Sor.,M. flavoviride Gams. & Rozsypal, etPaecilomyces fumosoroseus Wize (Brown & Smith) est étudiée. Les résultats montrent dans quelles conditionsP. maculipennis est utilisé à La Minière comme insecte-test pour vérifier la qualité des préparations à base d'hyphomycètes.
Summary Bioassays of entomopathogenic hyphomycetes were conducted with 3rd instar larvae ofPlutella maculipennis Curt. at controlled conditions. Contaminations were carried out by spraying fungal suspension on small cabbage foliage discs in a spray tower. Newly molted larvae were placed on contamined discs during 48 h. The LD 50 dosages showed a high susceptibility of insects to differentBeauveria propagules such as conidiospores, not formulated blastospores, lyophilized blastospores or clay-coated blastospores. Moreover some strains ofBeauveria bassiana (Bals.) Vuill.,B. brongniartii (Sacc.) Petch.,Nomuraea rileyi (Farl.) Sams.,Metarhizium anisopliae (Metch.) Sor.,M. flavoviride Gams & Rozsypal andPaecilomyces fumoso-roseus (Wize) Brown & Smith were tested for specificity toP. maculipennis larvae. The results indicated that Lepidoptera larvae are interesting as test insects to measure the potency of some hyphomycetes biopreparations. It was established that a 6 days delay after treatment is sufficient when the fungal strain is pathogenic toP. maculipennis.
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14.
15.
P. Delattre 《BioControl》1978,23(1):43-50
Résumé L'hyménoptèreBraconidae Apanteles flavipes Cam. parasite des pyrales du genreDiatraea Guild. a fait l'objet en Guadeloupe d'une production continue au laboratoire depuis 1970 et de lachers de plusieurs centaines de milliers d'individus en quelques sites définis de l'?le. L'installation de cet insecte entomophage est observée régulièrement quelques mois après les lachers. Cependant les facultés d'adaptation de l'insecte aux conditions climatiques hivernales semblent très faibles et le taux de survie observé après la saison hivernale est insuffisant pour permettre une recolonisation naturelle des sites. Les facteurs paraissant limiter l'établissement d'A. flavipes sont les fortes précipitations hivernales.
Summary The HymenopteraBraconidae, Apanteles flavipes Cam. parasiting borers of the genusDiatraea Guild. was mass produced in the laboratory in Guadeloupe since 1970 and several hundreds of thousands were released in some defined sites of the island. The establishment of this entomophagous insect is observed regularly some months after the releases. However, the insect adaptation to winter climatic conditions seems to be weak and the survival rate after winter period is not sufficient to allow a natural recolonization of the sites. The factors that seem to restrain the establishment ofA. flavipes are the high rainfall during winter.
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16.
17.
Femelle: abdomen large et court, aplati, circulaire. Dernier tergite abdominal long comme 2/3 du précédent. Pas de soies discales ni de latéro-discales. Pas de soies marginales médianes au 2e tergite, 2 aux 3e et 4e qui offrent aussi une latéro-marginale sur chaque flanc. Le 5e porte 8–10 marginales médiocres. L'abdomen entier est noir, à peine rougeâtre sur les côtés; il est couvert de pruinosité blanc-gris sauf sur une large bande médiodorsale longitudinale et sur la moitié postérieure de chaque tergite, qui sont noir velours. t 2 portant une soie interne. 2 oe. soies ocellaires courtes et fines. Longueur: 13 mm. Holotype mâle de Yahoué (Nouvelle-Calédonie) élevé parM. P. Cochereau le 4.xii.1965 aux dépens deAgrianome fairmairei Montrouzier (Col. Cerambycidae) dont la larve vit principalement du bois décomposé deAleurites moluccana (Linné) Willd. (=Aleurites trilobata Förster) appelé «Bancoulier» en Nouvelle-Calédonie. Ma collection. Un co-type femelle de Nouvelle-Calédonie capturé parL.-E. Cheesman. British Museum.  相似文献   

18.
J. Claret 《BioControl》1978,23(4):411-415
Résumé La diapause larvaire facultative de l'ichneumonidePimpla instigator F. est sous la dépendance de la photopériode et de la température. Les courbes de la réponse photopériodique sont établies pour plusieurs températures. Les basses températures augmentent le pourcentage de larves en diapause, tandis que les hautes tendent à annuler l'effet des photopériodes inductrices de la diapause. A 30°C aucun animal ne diapause, quelle que soit la photopériode. Les larves males entrent plus facilement en diapause que les larves femelles.
Summary Larval diapause ofPimpla instigator is dependent on photoperiod and temperature. The photoperiodic induction response curves are compared at different levels of constant temperature. Low temperatures enhance the diapause-inducing effect of photoperiods, whereas high temperatures reduce it. The larval diapause was not induced at any photoperiod when the insects were reared at 30°C.
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19.
B. Papierok  N. Wilding 《BioControl》1981,26(3):241-249
Résumé Au sein de l'espèceConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller, les souches différant par leur comportement en culturein vitro présentent également des différences dans leur comportementin vivo. Les souches qui poussent rapidement, plissent le milieu et forment facilement des azygospores (type A) sont moins virulentes à l'égard deAcyrthosiphon pisum Harris et deSitobion avenae F. que les souches de type B, qui poussent plus lentement, plissent peu le milieu et ne produisent pas de spores de résistance. La durée d'incubation de la maladie chez les 2 espèces de pucerons est plus longue chez les individus infectés par une souche de type B que chez ceux infectés par une souche de type A. La formation d'azygospores à l'intérieur des pucerons morts de mycose placés à 2°C sur de la cellulose mouillée n'est observée que dans le cas des souches de type A. En dernier lieu le nombre de conidies émis par un cadavre lors de la sporulation est en moyenne plus élevé dans le cas des souches de type B que dans celui des souches de type A. Les 2 types de souches doivent être regardés comme des races biologiques au sein de l'espèceC. obscurus.
Summary The 2 types of strain ofConidiobolus obscurus (Hall & Dunn) Remaudière & Keller which can be separated by differences in their growthin vitro, differed also in characteristics of their developmentin vivo. Strains which,in vitro, grow rapidly, fold the surface of agar media and readily produce azygospores (strains of type A), were less infective forAcyrthosiphon pisum Harris andSitobion avenae F. than strains of type B which grow more slowly, hardly fold the surface of agar media and fail to produce resting spores. However, the incubation period of the disease in both these aphid species was longer for type B than type A strains. Azygospores formed in aphids infected experimentally with type A strains but not in those infected with type B strains when the cadavers were placed on moist cellulose at 2°C. The mean number of conidia produced from aphids infected with strains of both types varied greatly but strains of type B produced more conidia per aphid than those of type A. The 2 types of strain should be considered as biological races within the speciesC. obscurus.


Avec la collaboration technique de MesdamesM. Arnault etS. K. Best.  相似文献   

20.
用国产多聚肌苷酸和多聚胞嘧啶核苷酸(简称多聚[I]:多聚[C])制备成双链核糖核酸特异性抗血清,用环状沉淀和~3H标记的番茄花叶病毒双链核糖核酸测得抗血清效价分别为1:128和1:6400。用免疫琼脂双扩散、对流免疫电泳和放射免疫测定可测定出多聚[I]:多聚[C]的最低浓度分别为391ng、12.2/ng和10pg/ml抗血清和酵母、TMV、PVX 的单链核糖核酸、小牛胸腺DNA不反应。试验证明用国产多聚[I]:多聚[C]制备的抗血清,可有效地用干双链核糖核酸的免疫化学鉴定。由于在免疫双扩散和对流免疫电泳中抗血清能和微量双链核糖核酸反应并产生可见沉淀线,从而有可能利用这两种简便灵敏的方法测定病毒的双链RNA,单链RNA病毒的RF型RNA,以及双链RNA真菌病毒的筛选。  相似文献   

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