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1.
RESUME. Les schizontes de 2 ème génération d'Eimeria necatrix ont étéétudiés au microscope électronique. La différenciation des mérozoïtes est associée à la dernière mitose, qui ne semble pas différer essentiellement des précédentes. Les mérozoïtes se développent à la périphérie du schizonte. Le conoide et 22 microtubules sous pelliculaires, probablement induits par les centrioles, et le complexe membranaire interne ainsi que les précurseurs des rhoptries, qui semblent issus de l'appareil de Golgi, apparaissent auprès de chaque pôle nucléaire, sous la membrane du schizonte. Ces organites sont les premiers inclus dans les ébauches de mérozoïtes. Puis, le noyau, le dictyosome et les vésicules multimembranaires pénètrent dans les futurs mérozoïtes. Les micronèmes, probablement formés par l'appareil de Golgi, et les grains d'amylopectine sont produits plus tard, quand les mérozoïtes se séparent du reliquat cytoplasmique. Le mode de genèse de ces divers organites et les relations entre le dernière mitose et la différenciation sont discutés. SYNOPSIS. Second generation schizonts of Eimeria necatrix were studied with the aid of the electron microscope. Differentiation of daughter merozoites is associated with the last mitosis, which is not significantly different from the earlier ones. The merozoites develop at the periphery of the schizont. The conoid and 22 subpellicular microtubules, probably induced by centrioles, and the inner membranes complex and the rhoptry anlagen which seem to be produced by the Golgi apparatus, appear close to each nuclear pole, just near the schizont membrane. These organelles are the first to appear in the merozoite anlagen. Then, nucleus, dictyosome and multimembranous vesicles enter the budding merozoites. Micronemes, probably originating from Golgi apparatus, and amylopectin granules are produced later, when daughter merozoites separate from the residuum. The genesis of these various organelles and the relation between the last mitosis and differentiation are discussed.  相似文献   

2.
Deux types de structure kystique ont été observés au microscope éectronique. Dans le ler, qui correspond aux kystes d'infection ou gamontokystes, la cellule est relativement libre dans l'enveloppe kystique. Celle-ci est formée de 2 couches distinctes d'inégale épaisseur (ectokyste, endokyste) sécrétées par la cellule et doublées intérieurement par un mince feuillet cytoplasmique dûà une extension des plis cuticulaires. C'est la seule modification du cortex cellulaire. Par contre, dans le 2ème type les modifications sont beaucoup plus importantes. La cellule est étroitement accolée aux parois du kyste; crêtes et flagelles ont disparu de la surface. Cependant on retrouve leurs traces dans la région corticale, sous forme d'axonèmes intracytoplasmiques plus ou moins désorganisés et d'empilements de saccules associés à des rangées de microtubules. Ce seraient des kystes de résistance. Les structures observées dans ces derniers kystes nous permettent de discuter quelques idées sur la participation des microtubules et des systèmes membranaires à la morphogénèse du cortex des Opalines.  相似文献   

3.
Résumé Reconnu comme agent régulateur des populations aphidiennes de diverses cultures,Forficula auricularia L. est également décrit comme potentiellement actif sur les Homoptères Psyllidae. Nous avons évalué en conditions de laboratoire puis semi-contr?lées en verger les composantes numériques et spatiales de la prédation deF. auricularia sur le psylle du poirier,Cacopsylla pyri (L.). Pour de faibles densités de proies, le poids consommé par une larve du 3ème stade est équivalent sur oeufs de psylles et sur une proie alternative constituée d'oeufs d'Ephestia kuehniella Zeller. Le maximum journalier s'établit à 10 mg pour ce stade larvaire, soit plus d'un millier d'oeufs de psylles. Les tests révèlent une réponse de type densité — dépendant, aboutissant à une forte réduction de la taille des agrégats de la proie. La prédation des larves de 3ème et 4ème stade deF. auricularia s'exerce sur tous les stades préimaginaux deC. pyri. La colonisation au printemps de la strate arborée par les larves du 3 ème stade quittant le terrier maternel co?ncide avec les pontes de 2ème génération de psylles, phase de multiplication la plus intense de ce ravageur. Les effectifs en vergers de ce prédateur polyphage et univoltin sont souvent élevés et peu dépendants de ceux de la proie. Compte tenu de sa capacité prédatrice sur le psylle, il para?t justifié de raisonner les interventions chimiques de manière à préserver ses populations en vergers de poiriers.   相似文献   

4.
J. P. Nenon 《BioControl》1980,25(3):269-273
Résumé Les chenilles d'Hyponomeuta malinellus Zell. sont soumises à différents stades de leur développement à un je?ne expérimental qui se produit parfois au cours du cycle naturel et notamment lors des phases de gradation du phytophage. Le je?ne de l'h?te affecte plus ou moins fortement le développement de son parasite polyembryonnaireAgeniaspis fuscicollis Thoms., selon le stade atteint par cet entomophage au début de la spoliation imposée. C'est au stade morulaire correspondant à une des phases de multiplication asexuée de la polyembryonie que le parasite se révèle le plus vulnérable. Les populations de l'h?te et du parasite sont le plus souvent inégalement affectées par les conditions imposées; cette ?sensibilité différente? peut constituer un elément nouveau dans la dynamique de la coaction h?te-parasite.
Summary The caterpillars ofHyponomeuta malinellus Zell. are subjected at different stages during their development to an experimental fast which sometimes happens during the normal period and most particularly during the phases of gradation of the host. The fast of the host affects more or less strongly the development of its polyembryonic parasiteAgeniaspis fuscicollis Thoms according to the stage reached by this entomophage at the beginning of the imposed spoliation. It is at the morula stage corresponding to one of the asexual phases of multiplication of the polyembryony that the parasite is at its most vulnerable. The populations of the host and parasite are most often unequally affected by the imposed conditions; this different sensitivity can constitute a new element in the dynamics of the coaction hostparasitoid.
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5.
RÉSUMÉ. Une nouvelle microsporidie, Ormieresia carcini gen. n., sp. n., est trouvée dans Carcinus mediterraneus Czerniavsky, 1884. Son évolution et ses ultrastructures sont étudiees.
Le cycle débute par un méronte limité par une membrane unitaire et possédant un diplocaryon. Toute la sporogonie se déroule dans la musculature de l'höte. Les stades sporogoniaux sont enveloppés dans une membrane pansporoblastique persistante. Dans chaque pansporoblaste, la sporoblastogenése (donnant naissance à 8 sporoblastes) est particulière; un plasmode sporogonial octonucléé manque. Au cours des divisions schizogoniques et sporogoniques, chaque centre cinétique est formé de 2 plaques, une incluse dans l'enveloppe nucléaire, l'autre occupant une position extranucléaire. Les sporontes en division et les sporoblastes sécrètent des substances métaboliques (granules, tubes) qui sont déposées dans l'espace pansporoblastique.
La spore uninucléée est longue et cylindrique (19,1 × 2,4 μm). Un manubrium rectiligne traverse la spore. Son extrémité postérieure se rétrécit brusquement en un filament polaire décrlvant 4 ou 5 tours de spire. L'extrémité antérieure du manubrium est attachée au capuchon polaire lui-même comprimé par un double anneau. La partie antérieure du manubrium est entourée par un polaroplaste formé d'une zone spongieuse et d'une zone lamellaire.  相似文献   

6.
G. Fabres  C. Reymonet 《BioControl》1991,36(1):121-129
Résumé Dans la région béarnaise, la récolte des gousses m?res deLathyrus sylvestris et deLathyrus latifolius, avant la déhiscence, puis la mise en éclosoir de leurs graines, permet l'obtention des adultes de la brucheBruchus affinis et de son ectoparasite larvaireDinarmus acutus. Ces derniers sortent en petits nombres à l'automne de la même année puis de fa?on massive au printemps de l'année suivante, après une diapause au dernier stade larvaire. Un élevage en continu, de nombreuses générations successives, en conditions semi naturelles de température et de photopériode, a montré la présence simultanée d'individus diapausants et non diapausants tout au long de l'hiver, et l'absence totale de diapausants dès le mois de mai. Les larves diapausantes produisent une substance orangée qui marque l'arrêt de développement. Compte tenu de la biologie de la bruche et de son parasite larvaire: développement larvaire à l'intérieur des graines et vie des adultes à l'extérieur, nous avons choisi d'étudier l'influence des conditions thermiques sur les larves et de la photopériode sur les adultes du parasite. Les résultats obtenus montrent que les températures basses n'induisent pas d'arrêt de développement. Par contre, une photopériode jours courts, appliquée aux adultes, provoque l'entrée en diapause d'un fort pourcentage des larves de la descendance. Les résultats présentent une certaine variabilité selon la descendance et le rang de la ponte. Le détail des résultats est examiné dans le cadre de l'induction maternelle de la diapause larvaire et de l'hypothèse d'une horloge chimique à l'origine du marquage des diapausants (substance orangée) et de la variabilité enregistrée.   相似文献   

7.
8.
Résumé L'étude de l'action inhibitrice de l'acide iodoacétique, du fluorure de sodium, du chlorure cuivrique, de l'azide sodique et du sulfite de calcium sur le métabolisme du glucose chezP. brevi-compactum, semble établir que la dégradation du glucose par oxydation directe aboutit au stade de triose-phosphate, via l'acide gluconique, l'acide 2-cétogluconique et le ribose. A partir du stade triose-phosphate, les transformations paraissent identiques à celles de la glycolyse normale, jusqu'à et y compris le stade d'acétaldéhyde. Il est aussi des plus probable que les premières étapes du processus glycolytique normal, comprenant notamment la formation de fructose-diphosphate et le clivage de ce corps en deux trioses-phosphates, se réalisent chezP. brevi-compactum.  相似文献   

9.
G. M. Tatchell 《BioControl》1981,26(3):291-299
The effects of temperature and granulosis virus infection both on the development ofPieris rapae L. and the area of cabbage leaf consumed by larvae were investigated. The duration of the larval period increased from 12.9 days at 24°C to 45.3 days at 13°C. The thermal constant for larval development was 196.1 day °C above the threshold temperature of 9.4°C. The area of cabbage leaf consumed per day increased with larval age so that 5th instar larvae ate 70.9% of the total food consumption. Virus infection extended the larval instar in which death occurred and reduced the potential food consumption by as much as 99.6%. Larger virus doses reduced food consumption within the same instar more than smaller doses. The results are discussed in relation to the feasibility of using granulosis virus for the control ofP. rapae.
Résumé L'étude a porté sur les effets de la température et de l'infection provoquée par le virus de la granulose sur le développement dePieris rapae L. et la quantité de feuillage de chou consommée par les larves. La durée du stade larvaire a augmenté de 12,9 j à 24°C à 45,3 j à 13°C. La constante thermique pour le développement larvaire a été de 196,1°C au-delà du seuil de température de 9,4°C. La superficie de feuillage consommée par jour s'est accrue en fonction de l'age des larves de sorte que les larves au 5e stade ont mangé 70,9% de la superficie totale consommée. L'infection provoquée par le virus a augmenté la durée du stade de mortalité et a diminué la consommation potentielle de feuillage de 99,6%. Des doses plus élevées de virus ont réduit la consommation dans le même stade davantage que les doses plus faibles. Les résultats sont discutés par rapport à la possibilité d'utiliser le virus de la granulose dans la lutte biologique contreP. rapae.
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10.
A partir de dissections systématiques de femelles capturées sur le terrain, une étude des caractéristiques de la reproduction de Machaeridia bilineata Stål a été réalisée dans les savanes de Lamto (Côte d'Ivoire), complétée par quelques données en provenance de Ouango-Fitini. Cet acridien univoltin, une des espèces dominantes de Lamto, passe la saison sèche au stade d'imago immature. Le dépôt du vitellus commence dans les ovocytes vers la mi-février, soit près de 2 mois après les mues. Au cours de sa vie, une femelle ne pond en moyenne qu'une fois et demi à deux fois, mais avec un taux de réussite de 95%. Chaque femelle produit alors de 15 à 20 ?ufs. Une des caractéristiques de cette espèce est la rétention des ovocytes dans les calices avant la ponte. A Ouango-Fitini, les phénomènes sont décalés de 5 à 6 semaines par rapport à Lamto. Il n'y a pas de lien entre le début de la maturation sexuelle et le passage des feux. Pour la période d'étude, il existe une relation avec l'arrivée des premières pluies, mais les limites de ce synchronisme restent à préciser.  相似文献   

11.
《Biometrics》2006,62(3):958-959
S. E. Wright and A. J. Bailer 886 Une expérience avec expositions intermittentes de toxicologie expérimentale fournit l'arrière plan de la discussion du dispositif. Le problème sous‐jacent est de décider quand échantillonner une réponse non linéaire pour minimiser la variance généralisée des estimations des paramètres. Une stratégie heuristique commode peut être appliquée au problème fournissant des dispositifs optimaux ou presque optimaux. L'efficacité de l'approche heuristique permet une exploration directe de la sensibilité de la solution proposée aux particularités de la situation telle que l'hétéroscédasticité, la densité des dates d'observation, les critères du dispositif, et les contraintes sur les valeurs des paramètres. On présente aussi brièvement une application de l'optimisation de dispositif pour le choix des doses dans une expérience de toxicologie de la reproduction. D. V. Mehrotra , X. Li , and P. B. Gilbert 893 Afin de justifier le plan de la première étude au monde visant une démonstration de principe (proof‐of‐concept ou POC) de l'efficacité d'un vaccin HIV basé sur l'immunité et relayé par la cellule, nous évaluons huit méthodes pour tester l'hypothèse nulle composite d'absence d'effet du vaccin soit sur l'incidence d'infection HIV, soit la valeur de la charge virale chez les patients infectés, en comparaison au placebo. Les deux premières méthodes utilisent un seul test appliqué aux valeurs mesurées ou aux rangs du poids de la maladie (BOI) qui combine l'infection et la charge virale. Les six autres méthodes combinent des tests séparés pour les deux critères utilisant des versions pondérées ou non du Z à 2 parties, des méthodes de Simes et de Fisher. A partir de simulations extensives réalisées pour construire l'essai POC type, les méthodes BOI révèlent en général une puissance faible de rejeter l'hypothèse nulle composite (et donc d'entreprendre un futur essai à grande échelle pour le vaccin). Les méthodes par combinaison de Simes et de Fisher non pondérées ont les meilleures performances dans l'ensemble. Un aspect important est que la conclusion est la même si le test de la composante relative à la charge virale est ajusté pour le biais que peut introduire le conditionnement par un événement (l'infection HIV) survenant après la randomisation. Cet ajustement est obtenu en utilisant un modèle de biais de sélection basé sur le cadre de la stratification principale de l'inférence causale. X. Huang , J. N. Cormier , and P. W. T. Pisters 901 Dans le traitement du cancer, les patients reçoivent habituellement une variété de traitements séquentiels. Les traitements initiaux administrés à la suite du diagnostic peuvent varier, comme les régimes de rattrapage suivants donnés après la rechute de la maladie. Cet article considère la situation où ni les traitements initiaux, ni les traitements de rattrapage sont randomisés. En faisant l'hypothèse qu'il n'y a pas de variables de confusion non mesurés, nous estimons les effets causaux conjoints sur la survie des traitements initiaux et de rattrapage, c'est‐à‐dire, les effets des séquences de traitement à deux niveaux. Pour chaque séquence de traitement individuelle, nous estimons la fonction de la distribution de survie et la durée de moyenne de survie restreinte. Les différentes séquences de traitement sont alors comparées en utilisant ces estimations et leurs covariances correspondantes. Des études de simulation sont conduites pour évaluer la performance des méthodes en incluant la sensibilitéà la violation de l'hypothèse de facteurs de confusion non mesurés. Les méthodes sont illustrées par une étude rétrospective de patients ayant un sarcome des parties molles, qui avait motivé cette recherche. D. E. Schaubel , R. A. Wolfe , and F. K. Port 910 L'analyse de la survie est souvent utilisée pour comparer des traitements expérimentaux et conventionnels. Dans les études observationnelles, la thérapie peut changer pendant le suivie. De telles modifications peuvent se résumer par des covariables dépendantes du temps. Étant donné la pénurie croissante de donneurs d'organes, des reins à plus haut risque provenant de donneurs à critères élargis (ECD) sont de plus en plus transplantés. Les candidats à la transplantation peuvent choisir d'accepter un organe ECD (thérapie expérimentale), ou de rester en dialyse et d'attendre la possibilité d'une transplantation non‐ECD ultérieure (thérapie conventionnelle). Une analyse dépendante du temps en trois groupes pour ce type de données implique l'estimation de paramètres correspondants aux deux covariables indicatrices dépendantes du temps représentant les transplantations ECD ou non‐ECD, chacune étant comparée à ceux qui restent en dialyse en liste d'attente. Cependant, l'estimation du hasard ratio ECD par cette analyse dépendante du temps ne considère pas le fait que les patients renonçant à une transplantation ECD ne sont pas destinés à rester en dialyse pour toujours, mais peuvent plus tard recevoir une transplantation non‐ECD. Nous proposons une nouvelle méthode d'estimation du bénéfice de la survie de la transplantation ECD relative à la thérapie conventionnelle (liste d'attente avec la possibilité d'une transplantation non‐ECD ultérieure). Comparée à cette méthode dépendante du temps, la méthode proposée caractérise de manière plus précise la structure des données et produit une estimation plus directe du bénéfice relative à une transplantation ECD. I. Ninan , O. Arancio , and D. Rabinowitz 918 L'émission de neurotransmetteurs par les neurones peut être étudiée par des mesures d'intensité de coloration des terminaisons synaptiques. Le problème est alors d'estimer une espérance dans une situation où, au lieu d'observer des variables aléatoires indépendantes de même espérance, on observe, avec erreur, des sommes aléatoires indépendantes de variables de même espérance sans connaître le nombre de termes de la sommation aléatoire. On présente ici une approche non paramétrique de ce problème d'estimation. La méthode est illustrée sur les données d'une expérience dans laquelle le colorant cationique styrylpyridinium FM4‐64 a été utilisé sur des cultures de neurones de l'hippocampe murin. B. Klingenberg and A. Agresti 921 Cet article considère des test globaux de différence entre vecteurs appariés de distributions binomiales provenant de 2 échantillons de données binaires multivariées dépendantes. La différence est définie, soit comme une non homogénéité des distributions marginales, soit comme une asymétrie de la distribution jointe. Pour détecter le premier type de différence, nous proposons une extension multivariée du test de McNemar et montrons que c'est un test du score généralisé sous une approche GEE. Des caractéristiques univariées, telles que la relation entre le test de Wald et le test du score, ou l'abandon de paires avec la même réponse s'étendent au cas multivarié et le test ne dépend pas de l'hypothèse de travail de la dépendance entre les composantes de la réponse multivariée. Pour des données éparses ou non équilibrées, comme cela arrive quand le nombre de variables est grand ou les proportions proches de zéro, le test est mis en oeuvre en utilisant le bootstrap, ou si c'est trop compliqué au point de vue calculatoire par une distribution de permutation. Nous appliquons le test à des données de toxicité pour un médicament, dans lequel 2 doses sont évaluées en comparant les réponses multiples des mêmes sujets à chacune d'entre elles.  相似文献   

12.
13.
J. Kugler  Z. Wollberg 《BioControl》1967,12(4):363-379
Résumé Les auteurs décrivent le cycle évolutif et le comportement de ponte de l'Agrothereutes tunetanus Haber. (Ichneumonidae, Cryptinae) dans les conditions de laboratoire (25°C et 50–60% H.R.). Le développement des œufs des larves et des nymphes, le comportement des stades larvaires, les habitudes alimentaires, l'accouplement et le comportement pendant l'oviposition sont décrits. A. tunetanus est un parasite de l'Orgyia dubia Tausch., attaquant le dernier stade larvaire de la femelle après que celle-ci ait tissé son cocon, mais avant la nymphose. Le même degré d'activité de ponte du parasite est provoqué par le dernier stade larvaire et la nymphe des femelles h?tes. Une moindre activité est suscitée par les femelles m?res dans les cocons et le dernier stade larvaire male, tandis que l'activité de ponte provoquée par les nymphes males est presque nulle. Le nombre moyen d'œufs pondus par une femelle durant une seule attaque (entre 3 et 4) ne dépend pas (de manière significative) du nombre de cocons présents. Le nombre d'attaques effectuées parA. tunetanus en 24 heures dépend de la quantité de cocons disponibles, les facteurs limitants sont le nombre d'œufs m?rs dans de la femelle gravide et la quantité d'œfus pondus pendant chaque attaque. Avec 6 cocons en 24 heures, une femelle, au maximum de sa fécondité, arive à une moyenne de 3,27 attaques. La fécondité d'une femelle est en moyenne de 308 œufs.

Part of the M. Sc. thesis done under the supervision of the first author and submitted to the Department of Zoology of the Tel-Aviv University.  相似文献   

14.
Development times at constant temperatures were determined for the egg, larval and pupal stages ofCoccinella 7-punctata L., recently introduced to U.S.A. Males and females developed at the same rate. The egg stage lasted from 2.3 to 13.0 days at 30° and 15°C, respectively. Larvae feeding onAcyrthosiphon pisum (Harris), pea aphids, required from 6.2 to 31.1 days at 32.5°, and 17.0°C, respectively. These development rates are similar to those reported in the European literature.
Résumé Les durées de développement à températures constantes ont été déterminées pour l'œuf, les stades larvaires et l'imago deCoccinella 7-punctate récemment introduit aux états-Unis. Les males et les femelles se développent au même rythme. Le stade œuf dure de 2,3 à, 13,0 j à 30° et 15°C, respectivement. L'alimentation des larves avec le puceron du poisAcyrtosiphon pisum (Harris) dure 6,2 et 31,1 j à 32,5 et 17,0°C, respectivement. Le stade nymphal est observé pendant 2,8 et 13,0 j à ces mêmes températures. Ces vitesses de développement sont les mêmes que celles données dans la littérature européenne.
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15.
B. Hurpin 《BioControl》1971,16(3):297-341
Le rôle des principaux facteurs susceptibles de déclencher ou de favoriser la rickettsiose chez les larves du Hanneton commun a été étudié en essais de laboratoire, par élevage individuel de lots de 20 ou 25 vers blancs contaminés soit par injection intrac?lomique, soit par injection intra?sophagienne, soit par ingestion libre. Les trois stades larvaires présentent une sensibilité analogue à l’infection, bien que les larves du premier stade soient davantage sujettes à une mortalité autre que celle causée directement par la prolifération des rickettsies. La mue des insectes atteints est retardée mais leur métamorphose n’est pas inhibée en cas d’infection en fin de vie larvaire. Les tissus de l’adulte permettent la multiplication du micro-organisme, ce qui entraîne la mort des insectes parfaits. Aussi les chances de transmission à la descendance sont faibles. Par injection un seul élément est capable de provoquer la maladie et il en suffit d’un nombre relativement restreint à la suite d’une ingestion forcée dans l’intestin antérieur. Par contamination du substrat, il n’y a pas de relation directe entre la dose de germes et les cas de maladies, ceux-ci sont les plus nombreux pour une dose moyenne, de l’ordre de 1 L3 malade par litre de substrat. Un inoculum trop important provoque une mortalité de type bactérien, à la suite de processus d’enchaînement de maladies, liées vraisemblablement à l’action de toxines. Ces phénomènes sont d’autant plus fréquents que les larves sont plus jeunes, donc plus fragiles, ou que les conditions sont moins favorables: température trop élevée par exemple. La température et la nature du sol, dans les limites supportables par les larves du Hanneton, n’ont pas d’influence marquée. L’importance de l’état physiologique de l’hôte et des possibilités de conservation des rickettsies dans le sol est discutée.  相似文献   

16.
Résumé L’action de détersifs des groupes anioniques, cationiques et nonioniques à la concentration d’ 1 g 0/00, permet, dans certains cas, la mise en évidence de granulations dans les cellules bactériennes d’E. coli et duB. subtilis. Ces granulations se voient sans coloration, mais elles sont généralement plus visibles au contraste de phase ou par l’emploi de colorants basiques tels que fuchsine basique, bleu de Nil, vert Janus et brun Bismarck. Elles peuvent également être vues par l’action du bleu de Nil en l’absence de détersifs. Ces granulations sont du type polaire et peuvent être assimilées aux granulations polaires deBondarenko-Zozulina (6). Elles résistent à l’action de ribonucléase, de la désoxyribonucléase et de l’hyaluronidase. L’amylase seule fait dispara?tre les granulations observées dans les cellules duB. subtilis, tandis qu’il faut l’action simultanée et prolongée d’un mélange de désoxyribonucléase, ribonucléase, hyaluronidase et amylase pour faire dispara?tre la plupart des granulations d’E. coli.  相似文献   

17.
P. Grison 《BioControl》1962,7(3):269-270
Résumé L'utilisation des germes pathogènes est une solution du problème de la sélectivité. Des solutions concurrentes existent avec certains pesticides chimiques. L'utilisation des germes pathogènes est donc envisagée d'une manière pragmatique en négligeant les problèmes de recherches fondamentales. Pour cette raison les mycoses et les protozoonoses ne sont pas retenues. Les viroses offrent un exemple de la plus grande spécificité d'action. L'application des virus d'insectes a été surtout développée en sylviculture. Une grande difficulté est la multiplication des virus sur organismes vivants. Les bactérioses peuvent être seules retenues pour l'agriculture et l'arboriculture intensives: elles ont un spectre d'action assez étendu mais suffisamment sélectif; les bactéries qui nous intérresent peuvent être multipliées industriellement. Le statut deBacillus thuringiensis Berliner et les propriétés des préparations commerciales ont fait l'objet de développements récents. Dans une revue critique des applications de ces préparations en arboriculture fruitière, on considère d'abord le cas des Mineuses et des Tordeuses. Presque toutes ces chenilles sont susceptibles àB. thuringiensis. Mais la difficulté d'utilisation des préparations est de nature éthologique. De bons résultats sont obtenus au Canada contreArgyrotaenia et en U.R.S.S. contreHyponomcuta. En U.R.S.S. on utilise des produits mixtes à concentration réduite (0,5%) de préparation bactérienne et à concentration extrêmement faible (0,002%) de D.D.T. Les résultats contre le Carpocapse sont négatifs. Les résultats contre les chenilles défoliatrices sont très satisfaisants: en Hollande et au Canada contreMalacosoma; au Canada contre les Géométrides,Operophtera etAlsophila espèces très susceptibles àB. thuringiensis, à la dose de 1 à 2 pounds de préparation (titrant 30×109 spores viables par gramme) pour 100 gallons, soit environ, 1,5%; en France, ces résultats sont confirmés. En conclusion, l'utilisation en verger des prépararations commerciales deBacillus thuringiensis doit être ?intégrée? dans un programme général de protection comprenant à la fois les traitements chimiques et les méthodes culturales. De tels programmes sont actuellement expérimentés dans certains vergers de Pommiers par l'I.P.O. et le T.N.O. en Hollande.  相似文献   

18.
Résumé Melanagromyza cuscutae Hering était considéré comme un agent biotique prometteur pour la lutte biologique contre la Cuscute. Dans les conditions de laboratoire, les imagos en présence de Cuscute et d'une solution de miel s'accouplent 1 à 4 jours après leur émergence, habituellement le matin, pendant 2 à 5 heures. Les femelles pondent 2 à 8 jours plus tard et cela durant 6 à 15 jours; au cours de leur vie (8 à 21 jours), chaque femelle dépose 11 à 132 œufs avec un maximum de 31 œufs dans une journée. L'éclosion des œufs se produit après 1 ou 2 jours. Les 3 stades larvaires et le stade pupe durent respectivement 7 à 8 et 8 à 13 jours. La ponte détermine une hyperplasie des cellules de la plante h?te et le forage des tiges entra?ne leur durcissement, leur noircissement puis leur dessiccation sur 10 cm. Un fort parasitisme (60–70%) par 6 espèces d'Hyménoptères a été observé en mai et juin. La Mouche était active en mars-avril et septembre–novembre en plaine et en juin–juillet en montagne, lorsque les températures étaient comprises entre 17 et 23°C. Les périodes défavorables sont passées à l'état de pupe dans les tiges minées. Les tests de spécificité ont montré que les femelles fécondées refusent de pondre dans 81 espèces de plantes appartenant à 42 familles. Seuls,Tradescantia sp. etIpomoea batatas re?urent chacune 1 œuf qui évolua normalement tandis que la larve n'a pas poursuivi son développement. L'alimentation de l'adulte surCuscuta semble essentielle pour la reproduction: en l'absence de cette plante, l'accouplement et le développement ovarien n'ont pas lieu.   相似文献   

19.
Après un développement endoparasite, la larve de Phanerotoma flavitestacea Fischer devient ectoparasite et sarcophage des chenilles d'Anagasta kuehniella. L'analyse chimique de la larve ectoparasite in toto, avant et après ingestion de l'hôte d'une part, des ressources alimentaires du parasite constituées par la chenille d'autre part permet de dresser un bilan biochimique. Le poids sec de la larve, ainsi que les lipides, les substances azotées et le glycogène subissent une augmentation importante et significative au cours de la phase sarcophage, en un temps relativement court. Les taux de conversion de la nourriture ingérée en substances du corps ont des valeurs élevées, ce qui indique que la larve ectoparasite assimile avec un très bon rendement les matières ingérées. Il faut également noter la nature nettement lipidique du catabolisme au cours de cette phase. Les résultats acquis sur la composition qualitative et quantitative des constituants du parasite sont discutés également en relation avec son alimentation.  相似文献   

20.
C. Alauzet 《BioControl》1990,35(1):119-126
Résumé L'étude examine l'influence du cortège parasitaire dans la dynamique des populations deP. notatus dans une forêt de pin maritime du sud-ouest de la France. De 1968 à 1977, le niveau du parasitisme apparent total à l'émergence a varié, mais est resté le plus souvent compris entre 20 et 30%. Les parasito?des les plus abondants appartenant aux genresEubazus etCoelo?des se sont montrés densito-dépendants par rapport à leur h?te et le rapport entre leurs effectifs respectifs est resté assez constant au cours des 10 années d'observation. Un calcul basé sur l'évolution théorique des populations deP. notatus au vours de leur développement a permis d'estimer qu'en moyenne 16% seulement des charan?ons étaient détruits chaque année par l'ensemble des parasito?des alors que dans cet habitat le taux de parasitisme annuel moyen à l'émergence a été de 0,28.   相似文献   

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