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1.
When eggs of wheat bulb fly were added to young winter wheat plants in pots and kept at 5°, 8°, 10°, 12°, 15° and 20°, only 14%–44% of the eggs added produced larvae that succeeded in invading plants, but when newly hatched larvae were added directly 54%–92% were successful. At temperatures from 5° to 25°, the number of days required for larvae to complete their development in well-grown plants ranged from 11–14 days at 25° to 55–80 days at 5°. This corresponds to an accumulated temperature of approximately 286 day degrees C above the developmental threshold of 0.5°.The daily rate of development of larvae was marginally most rapid between 12° and 18°. When larvae were feeding in small, poorly growing plants, development was delayed and more shoots were needed before pupation than for healthy plants.The pupal stage which develops in the field from the end of April to June needs approximately 400 and 420 day degrees for completion in males and females (threshold 5°). Total day degrees required for the hatching of the egg to adult are about 700 (males) and 720 (females).Records of maximum and minimum temperatures from a meteorological screen 1 m above the ground can be used to calculate the number of day degrees accumulated from 1 May to 12 June, from which the dates of peak emergence of wheat bulb fly can be predicted. If 350 day degrees or more accumulate during this period, the peak emergence occurs near 20 June and with 200 or fewer day degrees it occurs near 11 July.The amount of damage to wheat by wheat bulb fly larvae in 1953, 1954, 1965 and 1966 depended largely on the number of eggs laid, the date of sowing, and also on the rate at which temperature accumulated in the autumn and winter; in all years, late sown crops would have had little opportunity to grow beyond the susceptible stage by the time they were attacked.
Résumé Quand des jeunes plants de blé d'hiver en pots sont contaminés avec des oeufs de Delia coarctata et maintenus à des températures respectives de 5°, 8°, 10°, 12°, 15° et 20° C, seulement 14% à 44% de ces oeufs donnent des larves qui parviennent á attaquer les plants, alors que si on utilise directement des larves nouveau-nées on obtient 54 à 92% d'attaques réussies. Aux températures de 5° à 25° le temps nécessaire aux larves pour achever leur développement dans les plants bien développés avant de gagner le sol pour la pupaison, est de 11 à 14 jours à 25° contre 55 à 80 jours à 5°.Une courbe de la vitesse de développement établie à partir de la durée du stade larvaire de l'éclosion à la pupaison aux differentes températures montre que le développement est le plus rapide entre 12° et 18° et que le zéro de développement est aux alentours de 0,5°. Le nombre de degrésjours accumulés par la larve de l'éclosion à la pupaison est d'environ 286. Quand les larves se nourrissent aux dépens de plants petits à croissance faible, leur développement est retardé et exige plus de temps et plus de plantes avant la pupaison que lorsqu'elles se nourrissent sur des plants vigoureux.Le stade pupal qui intervient dans la nature de fin avril à juin, nécessite approximativement 400 à 420 degrés-jours pour le développement du mâle et de la femelle au-dessus d'une supposée température de base de 5°. Le nombre total de degrés-jours de l'oeuf à l'adulte est respectivement de 686 et 706 pour le mâle et la femelle.Les enregistrements des températures maxima et minima dans un abri météorologique à 1 m audessus du sol peuvent être utilisés pour établir le nombre de degrés-jours accumulés du 1 er'mai au 12 juin; à partir de ces données les pics d'émergence de D. coarctata peuvent être prédits. Si 350 degrésjours ou plus sont accumulés durant cette période, le pic d'émergence apparaît vers le 20 juin, mais si 200 degres-jours au moins sont notés le pic sera proche du 11 juillet.L'importance des dégâts occasionnés au bleî d'hiver en Angleterre par les larves de D. coarctata en 1953, 1954, 1965 et 1966 dépend largement du nombre d'oeufs pondus, de la date du semis et de la température accumulée en automne et en hiver; au cours de chacune de ces années les cultures à semis tardif auraient eu peu de possibilité de dépasser le stade sensible avant le moment où elles ont été attaquées.
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2.
Argan (Argania spinosa (Sapotaceae)) forest covers about 700,000 ha in the Souss region (Morocco). The medfly Ceratitis capitata Wiedemann (Diptera: Tephritidae) is known to develop in argans. In this study, we examine variations in medfly infestation rates according to argan phenology from 1987 to 1990. Argan phenology varies greatly among trees, total fruit drop spreading from late March to mid-July; moreover, an exceptional fructification may occur in Autumn in some trees. From February to about May, the infestation rate is low except in fruit produced during autumnal fructification. In June and July, the rate increases greatly reaching 100% in some trees. Ripe and ripening argans are the most heavily infested; only 10% of immature fruits on the average are attacked by the medfly. Fallen argans are more heavily infested than fruit still on the tree. Productivity per argan averaged from one to three adult medflies. Our results demonstrate that argan forest in the Souss acts as an enormous reservoir of medflies for the nearby citrus orchards.
Résumé L'arganeraie (Argania spinosa) couvre environ 700000 ha dans la région du Souss, au Maroc. La mouche méditerranéenne des fruits, Ceratitis capitata, est connue pour se développer dans les arganes. Des études ont été menées, de 1987 à 1990, pour étudier comment le taux d'infestation des arganes variait selon leur degré de maturation. La phénologie des arganiers varie fortement selon les arbres: par exemple la chute totale des fruits s'étale de fin mars à mi-juillet. De plus, une fructification peut être observée en automne mais elle ne concerne qu'un nombre limité d'arbres. De février à mai environ, le taux d'infestation des arganes reste faible, sauf pour les fruits produits pendant la fructification de l'automne précédent. En juin en juillet, le taux augmente fortement atteignant 100% dans certains arbres. Les arganes mûres ou mûrissantes sont les plus attaquées; seuls 10% en moyenne des fruits immatures sont infestés. Les fruits tombés sont toujours (sauf à la fin) nettement plus attaqués que ceux encore présents dans l'arganier. De une à trois Cératites adultes sont formées à partir d'une argane. Nos résultats démontrent que la forêt d'argane du Souss constitue un réservoir gigantesque de la Cératite pour les infestations des vergers d'agrumes proches.
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3.
When subjected to high population densities, Psoquilla marginepunctata (Hagen) produced more macropterous females than males. This sex ratio bias was due to the greater sensitivity of female nymphs to crowding. About 50% of the female nymphs, subjected to crowding up to the end of the 4th instar and later, developed into marcropterous adults. In males, macroptery never reached 50% under the conditions studied. If the nymphs were brought under crowding conditions during one of the six instars only, less than 50% macroptery occurred in both sexes.The effect of crowding was probably mediated through physical contacts between nymphs. Nymphs reared under crowded but uncontaminated conditions, responded more strongly than nymphs kept under contaminated conditions. Contamination, especially by excreta, probably reduced the number of contacts between nymphs, while uncontaminated condition increased contacts, and hence promoted macroptery.Periodic shortage of food induced macroptery in isolated nymphs. Starvation possibly reduced the secretory activity of the corpora allata, resulting in juvenile hormone deficiency which in turn led to the development of long-winged forms.
Résumé Aux fortes densités, Psoquilla marginepunctata produit plus de macroptères femelles que mâles. Ce taux sexuel biaisé est provoqué par la plus grande sensibilité des larves femelles au groupement. Environ 50% des larves femelles, groupées jusqu'à la fin du 4ème stade larvaire et plus, donnent des adultes macroptères. Dans ces conditions, la macroptérie des mâles n'atteint jamais 50%. Les larves groupées pendant un seul des 6 stades ne donnent jamais 50% de macroptères dans aucun des sexes. Les effets du groupement sont probablement provoqués par les contacts physiques entre larves. Les larves groupées dans des conditions sanitaires satisfaisantes réagissent plus fortement que lorsque les conditions sont peu satisfaisantes. La contamination, particulièrement par les excréments, réduit probablement le nombre de contacts entre les larves, tandis que la propreté augmente les contacts, et ainsi provoque la macroptérie. L'absence périodique d'aliments induit la macroptérie chez les larves isolées. Il est possible que le jeûne réduise l'activité sécrétrice des corpora allata, provoquant un déficit en hormone juvénile qui, ainsi, entraîne la formation d'individus à ailes longues.
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4.
Bayberry whitefly (Parabemisia myricae [Kuwana]) crawlers were placed on young and mature lemon leaves and were allowed 7–9 days to settle. Afterwards, the nymphs were fixed and sectioned in situ on the leaves and the area of leaf under each whitefly was examined at 1 000 x for stylet penetration. Both stylets and stylet tracks were readily visible in the sections. The path of penetration was mostly intercellular and the objective appeared to be the phloem. Passage of the stylets through the plant tissue did not cause detectable damage to most cells; however, damaged plant cells occasionally were noticed. Nymphs that had moulted during the 7–9 day settling period reached the phloem significantly more often than those that were still in their first instar. In each of the three replicates, penetration in the mature leaf occurred significantly less often than penetration in the young leaf (4% vs. 72%, p<0.01, 2). Penetration appears to be inhibited in the mature leaf either by the leaf cuticle or by factors detected by the nymphs after very shallow penetration into the leaf. The cuticle of mature leaves was much thicker than the cuticle of young leaves and may have been a barrier to stylet penetration.
Résumé Des larves de premier stade (avant la fixation) de l'aleurode, Parabemisia myricae (Kuwana), ont été placées, pour qu'elles se fixent, pendánt 2 à 9 jours, sur des feuilles jeunes ou mûres de citronnier. Des morceaux de feuilles avec des larves fixées ont été trempés dans 2% d'agar; ce procédé a permis de maintenir les larves à leurs sites de fixation finale. Des pièces d'agar contenant les morceaux de feuilles avec les larves ont ensuite été trempées dans de la paraffine, et sectionnées en séries de 10 . Il était nécessaire de maintenir une basse température pendant l'opération afin d'obtenir de bonnes sections des feuilles mûres durcies. Les stylets et leurs traces étaient faciles à voir dans les sections teintées aux safranins, et fast green. Presque toutes les traces des stylets étaient intercellulaires et leur destination semblaient être de phloème. En général, la plupart des cellules ne semblaient pas endommagées, les larves qui avaient mué pendant la période de 7 à 9 jours de fixation avaient atteint significantivement plus le phloeme que les larves du premier stade. Dans trois essais, la pénétration des feuilles mûres était significativement moins fréquente que celle des feuilles jeunes (p<0.01, 2).La pénétration dans des feuilles mûres semble être empêchée par la cuticule ou par des facteurs perçus par les nymphes après une pénétration superficielle. La cuticule des feuilles mûres était beaucoup plus épaisse que la cuticule des jeunes feuilles et pourrait donc représenter une barrière à la pénétration des stylets.
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5.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

6.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
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7.
Changes in the respiratory rates of standard, overcrowded, and starved fourth-instar Aedes aegypti are compared. The respiratory effects of varying larval densities during and prior to measurement are investigated. In addition, the results of exposure of standard and over-crowded larvae to growth-retarding factors (GRF) at various concentrations are also evaluated.
Résumé Le but de cette étude est d'étudier les modifications de l'activité respiratoire chez des larves du 4ème stade mises respectivement en condition d'élevage standard, en condition de surpeuplement, et en condition de restriction alimentaire.Les conditions de surpeuplement et de restriction alimentaire entrainent un abaissement significatif du niveau du métabolisme respiratoire. L'activité respiratoire des larves élevées en condition standard, prend des valeurs plus élevées quand la mesure est faite sur un plus grand nombre de larves rassemblées dans le tube-test; par contre les conditions de mesure (15, 25 ou 35 larves dans le tube-test) ne modifient pas la valeur de l'activité respiratoire des larves élevées en condition de surpeuplement. Quand des larves élevées en milieu surpeuplé et en milieu standard sont soumises à de fortes concentrations des facteurs retardant la croissance (Growth-retardant factors; GRF de Moore & Fisher 1969) l'activité respiratoire est stimulée. Dans les conditions de surpeuplement et de restriction alimentaire, deux types facteurs pourraient agir sur le métabolisme respiratoire, des facteurs chimiques et des facteurs mécaniques tels que l'agitation des individus dans un espace étroit (par exemple le tube-test).
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8.
The egg and larval stages of the generalist endoparasitoid Campoletis sonorensis Carlson (Hymenoptera: Ichneumonidae), which normally avoid the hemocytic reaction of many Lepidopteran host species, are encapsulated in 40% of Spodoptera frugiperda J. E. Smith (Lepidoptera: Noctuidae) larvae. The effect of parasitism on inhibiting the spreading ability of S. frugiperda plasmatocytes in vitro is more pronounced in susceptible larvae which fail to encapsulate the parasitoid than in resistant ones permitting parasitoid development. This suggests that induction of plasmatocyte pathology is relevant to the successful evasion of encapsulation by the parasitoid. Some granular cells disappear from the hemolymph of the parasitized resistant larvae, which implicates their involvement in the encapsulation reaction. Calyx fluid of C. sonorensis injected into host larvae produced effects on host hemocytes identical to natural parasitism. Several mechanism may cooperate to protect the parasitoid from encapsulation. The pathological reactions by the host plasmatocytes is one main manifestation of the immunosuppressive parasitoid effect. Results are discussed in regard to the known effects of C. sonorensis on Heliothis virescens Fabricius (Lepidoptera: Noctuidae) larval hemocytes which are totally unable to respond with a successful cellular defense reaction.
Résumé L'ichneumonide Campoletis sonorensis Carlson, endoparasitoïde larvaire, se développe dans de nombreuses espèces de Lépidoptères. Son statut de généraliste est dû, notamment, à son aptitude à déjouer les défenses immunitaires de ses hôtes, c.a.d. la formation d'une capsule d'hémocytes autour de l'oeuf ou de la larve parasite. Cependant, chez le noctuide Spodoptera frugiperda J.E. Smith, C. sonorensis est encapsulé dans 40% des larves qu'il parasite. Nous avons étudié la population hémocytaire de deux catégories de larves de S. frugiperda, celles qualifiées de résistantes à C. sonorensis, et qui arrêtent son développement, et celles susceptibles où le parasitoïde échappe à l'encapsulation.Cinq types d'hémocytes ont été identifiés: les prohémocytes (PR), les sphérulocytes (SP), les granulocytes (GR), les plasmatocytes (PL) et les oenocytoïdes (OE). Chez les hôtes susceptibles et résistants, le parasite provoque une baisse identique de la concentration totale des hémocytes dans l'hémolymphe (THC). Par contre, les PLs sont davantage affectés chez les hôtes susceptibles que chez ceux résistants au parasitoïde. Les résultats montrent que, chez les hôtes susceptibles, 1) le nombre des PLs dans l'hémolymphe est davantage diminué, et 2) leur aptitude d'adhérence in vitro est davantage inhibée. Il existe donc une corrélation positive entre le degré de pathologies qui affectent les PLs de l'hôte et l'incapacité de celui-ci à encapsuler le parasitoïde. Ceci tend à démontrer le rôle-clé des PLs dans la réaction immunitaire d'encapsulation chez S. frugiperda, comme chez de nombreux insectes. De plus, ce résultat renforce l'hypothèse selon laquelle C. sonorensis éviterait l'encapsulation en agissant sur les hémocytes de l'hôte, et plus particulièrement sur les PLs. Inversement aux PLs, les GRs sont moins abondants dans l'hémolymphe des hôtes qui encapsulent C. sonorensis. Les GRs pourraient donc participer à la formation de la capsule hémocytaire.Il est possible que plusieurs facteurs contribuent à protéger C. sonorensis de l'encapsulation. Néanmoins, les pathologies affectant les hémocytes des hôtes parasités sont probablement une manifestation majeure de l'effet immunosuppresseur du parasitoïde.Les effets de C. sonorensis sur les hémocytes des larves parasitées peuvent être reproduits chez des larves saines, en leur injectant de venin extrait des glandes du calyx des femelles parasitoïdes. Ces sécrétions provenant de la glande du calyx, et normalement injectées dans l'hôte lors de l'oviposition, sont probablment responsable, au moins en partie, de l'effet immunosuppresseur du parasitoïde.Ces résultats peuvent être comparés à ceux obtenus chez l'hôte Heliothis virescens Fabricius (lépidoptère, noctuide) qui n'encapsule jamais C. sonorensis. Bien que le parasitoïde provoque les mêmes effets pathologiques sur les hémocytes des hôtes de S. frugiperda et d'H. virescens, on constate que l'effet apparait quelques heures après l'oviposition chez H. virescens, contre 48 heures post-oviposition chez S. frugiperda. Ce délai pourrait contribuer à la résistance immunitaire de certaines larves de S. frugiperda, résistantes, à C. sonorensis.
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9.
As the temperature at which larvae of C. capitata were reared decreased from 30° to 25° to 20° the yield of pupae from eggs increased from 15% to 25% to 30% and the mean weight of pupae decreased. Within each temperature regime the weight of pupae produced on successive days declined and the fat content of those pupae varied.
Résumé On a étudié l'effet de température d'élevage larvaire de 20°, 25° et 30°. La durée du développement s'accroît de 7 à 13 jours pour des températures respectives de 30° et 20°. Lorsque la température d'élevage baisse, le nombre de pupes produites par rapport aux oeufs s'accroîts de 15% à 20% et 30% et le poids moyen des pupes diminue.Pour chaque régime de température il y a une nette réduction du poids des pupes produites au cours des jours successifs et la teneur en lipides de celles-ci varie également. L'émergence moyenne des adultes à partir de pupes produites dans un élevage à 30° est plus élevée que celle obtenue dans des élevages à 25° et 20°.Tandis que la vitesse du développement, le contrôle du métabolisme des graisses et la production de pupes peuvent être des facteurs primaires intervenant dans le choix de la température d'élevage pour la production de masse de la mouche des fruits, il faudrait aussi considérer les effets de cette température d'élevage sur d'autres aspects de la biologie de l'insecte.
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10.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

11.
Larvae of Heliothis zea (Boddie) were fed foliage of the resistant wild tomato Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) and susceptible L. esculentum (cultivar Walter), either with the glandular trichomes removed or with the trichomes intact. Response variables measured included larval mortality, larval weight, consumption rate (CR), and efficiency of conversion of ingested material (ECI). Resistant foliage was found to contain factors in both the trichomes and leaf lamellae which increased larval mortality, reduced larval weight, reduced CR, and, except in second instars, reduced ECI. Susceptible foliage also contained trichome-based factors which increased larval mortality and decreased weight, as well as CR of second instars and ECI of fifth instars. Implications of these findings for breeding resistant tomato cultivars are discussed.
Résumé La tomate sauvage, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) est fortement résistant à Heliothis zea. Les études préalables ont indiqués que la résistance est associée avec la présence de 2-tridécanone dans les extrémités des poils glandulaires de la tomate sauvage, et que les facteurs dans la lamelle des feuilles sont peut-être impliqués. À déterminer la présence des facteurs lamellaires et à caractériser de plus les facteurs de résistance dans les extrémités des poils glandulaires aussi, nous nourrissions les larves du feuillage résistant de PI 134417 et du feuillage susceptible L. esculentum (lignée Walter) les deux avec les extrémités des poils glandulaires enlèvés ou avec les extrémités des poils glandulaires intacts. Nous mesurions la mortalité des larves, les poids des larves, la taux de consommation relative et l'efficacité de conversion de matière mangé.On se trouvait le feuillage résistant à contenir les facteurs, tous deux dans le feuillage lamellaire et dans les extrémités des poils glandulaires, qui causaient l'augmentation de mortalité, les poids plus basses, la taux de consommation relative plus basse, et, hormis dans le cas des larves en phase deuxième, l'efficacité de conversion réduite. Le feuillage susceptible contenait aussi les facteurs dans les extrémités des poils glandulaires qui augmentaient la mortalité, diminuaient les poids et la taux de consommation relative des larves en phase deuxième, et diminuaient l'efficacité de conversion des larves en phase cinquième. Cettes conclusions indiquent la présence des facteurs de résistance en outre de 2-tridécanone et peuvent fournir les indices à l'identité de ces facteurs.
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12.
Several endocrine-mediated processes in insects are influenced by environmental factors including the density and sex ratio of populations. Effects of grouping on total egg production and rate of vitellogenic ovary development were assessed in virgin Acheta domesticus (L.). Females midway through their last nymphal instar were isolated from a stock population of adults and nymphs of both sexes and maintained in groups or as isolates at 26–27°C, 70% relative humidity, on a 12L-12D photoperiod. The number of fully grown oocytes produced during the first 18 days of adult life was lower for animals in groups of 10 or 15 than for isolates, but antennectomy abolished this group effect. By contrast, terminal and penultimate oocyte length and ovary dry weight were greater in 5-day-old - pairs than in isolates. The presence of mature males during the first 21 days of adult life did not affect total egg production. Whether these group effects on cricket ovary development are mediated by the endocrine system is not yet known.
Interaction entre les facteurs sociaux et le développement ovarien d'Acheta domesticus
Résumé L'étude a examiné les effets de groupement sur la production d'oeufs et sur la vitesse de la vitellogenèse chez les femelles vierges d'Acheta domesticus. Des femelles à la moitié de leur dernier stade larvaire, isolées d'une population adulte de base, et des nymphes des deux sexes ont été conservées en groupes ou isolées dans des récipients en plastique de 150 mm de diamètre et de 25 mm de hauteur à 26–27°C, 70% d'humidité relative et avec une photopériode de 12/12. La production totale des oeufs mûrs formés pendant les 18 premiers jours de vie imaginale était plus faible pour les animaux en groupes de 10 ou 15 que pour ceux qui étaient isolés, mais l'antennotectomie a éliminé cet effet de groupe. Au contraire, la longueur des derniers et avant-derniers ovocytes et le poids sec des ovaires étaient supérieurs pour les paires de 2 femelles de 5 jours que chez les individus isolés. La présence de mâles mûrs pendant les 21 premiers jours de vie imaginale n'a pas eu d'effet sur la production totale d'oeufs. L'hypothèse avancée est que ces effets de groupe (négatifs et positifs) sur le développement des ovaires d'Acheta domesticus ont reflété respectivement des accélérations et ralentissements de la vitellogenèse. La dépendance de l'induction de la vitellogenèse chez Acheta domesticus par les hormones juvéniles est connue (Benford, 1983) ainsi que les changements dans la quantité de produits neurosécréteurs, susceptibles d'être colorés dans la pars intercerebralis au cours du cycle reproductif (Bradley et Simpson, 1981). Nous ne savons pas si ces effets de groupement sur le développement des ovaires de grillon sont médiatisés par le système endocrine.
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13.
Larvae of the bean weevil C. maculatus feeding in a single bean apparently respond to vibrations from each other's chewing: one larva feeds normally, the other is inhibited. If the burrows of the larvae intersect, the inhibited larva dies. If the dominant larva pupates or dies without the burrows intersecting, the inhibited larvae then feeds and matures if enough food remains. Since females add second eggs to the largest beans after most beans carry a single egg, competition is most common in the largest available beans, precisely where inhibited larvae can benefit from avoiding a contest.
Résumé Lors de la compétition, les larves réagissent l'une par rapport à l'autre, même lorsque leurs galeries sont séparées. L'une est inhibée, tandis que l'autre se comporte comme si elle était seule. Le signal provoquant ces réactions, qui peut traverser du papier métallique, est dû vraisemblablement aux vibrations de mastication des larves; ces dernières perçoivent ces signaux tout au long de leur vie active. La larve la plus âgée ne l'emporte pas obligatoirement, ce qui signifie que le signal indique plus que l'âge.Les conditions expérimentales peuvent inverser les réponses des unes et des autres, bien que la larve la plus âgée puisse souvent mourir de ces conditions anormales de compétition. L'avantage potentiel associé à l'inhibition du futur perdant est mis en évidence en collant ensemble des graines. Quand la larve dominante se nymphose, la larve inhibée recommence à s'alimenter et achève son développement. En ayant eu son alimentation interrompue et en restant dans une galerie superficielle, la larve inhibée évite les affrontements et peut se développer lorsque la larve dominante meurt ou se nymphose, puisque la galerie de la larve inhibée n'avait pas été sectionnée.La stratégie de ponte réduit la fréquence de la compétition en uniformisant la distribution des oeufs; elle augmente les chances de survie des larves vaincues avec l'addition des oeufs sur les graines les plus grosses quand les disponibilités sont limitées. L'étude de l'évolution de ces adaptations a été possible puisque, comme on le sait, C. maculatus est génétiquement polymorphe pour les caractères déterminant le comportement de ponte des femelles et la compétition larvaire.
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14.
The utilization of carbohydrates by the large milkweed bug, Oncopeltus fasciatus (Dallas), was studied by feeding the nymphs on chemically defined diets and recording the effects of the various sugars on growth, development, survival, and reproduction. The carbohydrate utilization by the early nymphal stages was largely similar to that observed for later ones. The results showed that some dietary carbohydrate is necessary for maintaining O. fasciatus on chemical diets. Arabinose and rhamnose were of poor value, but the insect was able to utilize glucose, fructose, mannose, galactose, sucrose, maltose, trehalose, lactose, turanose, melibiose, raffinose, and melezitose. The degree of utilization for each sugar, however, differed. Glucose promoted best growth and development among monosaccharides, sucrose among disaccharides, and melezitose among trisaccharides. The optimum level of sugar in the diet was around 4%, and a higher or lower concentration (2, 8, 12%) usually reduced growth. Viable eggs were obtained on some of the diets.
Résumé La valeur nutritive de plusieurs glucides pour la punaise de l'asclépiade, Oncopeltus fasciatus, a été déterminée en élevant des larves sur des régimes nutritifs de composition chimique connue. Les effets des sucres sur la croissance, le développement, la longévité et la reproduction ont été établis, et ces effets apparaissent semblables chez les très jeunes larves de même que chez les larves plus âgées. Les résultats indiquent que la présence d'un sucre dans le régime nutritif est indispensable pour la survie de l'insecte. Cependant certains sucres, tels que l'arabinose ou le rhamnose n'ont que peu ou pas de valeur nutritive, tandis que d'autres (glucose, fructose, mannose, galactose, sucrose, maltose, tréhalose, lactose, turanose, mélibiose, raffinose et mélézitose) ont une valeur nutritive variant de faible à élevée. Les sucres qui ont donné les meilleurs résultats sont le glucose, le sucrose, et le mélézitose. La concentration glucidique optimale dans le régime se situe à 4% et une concentration moindre (2%) ou plus élevée (8 ou 12%) ralentit généralement la croissance. Les larves sur certains régimes se sont développées jusqu'au stade adulte et des ufs fertiles ont été pondus.
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15.
Casual observations suggested that female Mediterranean fruit flies (Ceratitis capitata Wiedemann) exploit fruit wounds (including pre-existing oviposition punctures) as oviposition sites. This behaviour was quantified under field conditions in a citrus grove on the Greek island of Chios. Fruit wounds influenced oviposition behaviour in three ways. First, females were more likely to land on oranges (Citrus sinensis) that were artificially wounded than into unwounded control oranges. Second, having landed, females were more likely to attempt oviposition into a wounded orange than into control oranges. Third, females that attempted oviposition into wounded oranges usually did so directly into or very near the wound. The diameter and depth of the wound significantly influenced the tendency for female flies to land on a fruit but not their propensity, having landed, to attempt oviposition in or near the wound. The significance of this behavior in nature and implications for management of the Mediterranean fruit fly are discussed.
Résumé Des observations fortuites nous ont suggéré que C. capitata Weidemann utilise les blessures des fruits, y compris d'anciennes piqûres de ponte, pour déposer ses oeufs. Ce comportement a été quantifié dans une orangeraie de l'île grecque de Chios. Les blessures des fruits influent sur la ponte de 3 façons. D'abord, les femelles atterissent plus fréquemment sur les oranges, Citrus sinensis, artificiellement blessées que sur les fruits intacts. Ensuite, après atterrissage, les femelles tentent plus souvent de pondre sur une orange blessée que sur des oranges intactes. Enfin, les femelles pondent directement dans la blessure ou à proximité. Le diamètre et la profondeur de la blessure influent sur la tendance à l'atterrissage, mais non sur les tentatives de ponte dans la blessure ou près d'elle. La signification de ce comportement dans la nature et ses conséquences sur la lutte contre C. capitata sont discutées.
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16.
The reproductive biology of G. pallidipes Austen was studied at 28°, 25° and 22° C. Experiments showed that incubation of puparia at 28° C resulted in sterility of both males and females. Incubation at 22° C resulted in a reduced fecundity of the females due to egg retention; the fertility of the males was not affected.Comparative studies with G. m. morsitans Westw. showed that G. m. morsitans puparia are less affected by a temperature of 28° C than are G. pallidipes puparia.
Effet de la température sur la reproduction de Glossina pallidipes, avec référence à G. m. morsitans
Résumé Les productivités de G. pallidipes Austen élevés au laboratoire pendant tout leur cycle à 22, 25 et 28° C, ont été comparées.A 28° C, la vie intrapupale est réduite à environ 23 jours, contre 30 jours environ à 25° C; la survie des adultes est plus brève qu'à 25° C et les mouches ne s'accouplent pas. Les ovaires présentent une rétention d'oeufs et seulement 1/3 des mâles contient des spermatozoïdes mobiles. A 22° C, le cycle est considérablement prolongé, la vie intrapupale durant environ 40 jours. Les femelles s'accouplaient environ 14 jours après l'émergence. Les ovaires présentaient une rétention d'oeufs, bien que moins souvent qu'à 28° C. Les mâles contenaient des spermatozoïdes mobiles.Des expériences avec changements de température à différents moments du cycle ont montré que la stérilité des mâles et des femelles est provoquée par l'incubation de pupes de G. pallidipes à 28° C. La mensuration des ovocytes montre à 28° C un effet nocif sur leur maturation. Des observations sur les testicules dans les pupes révèlent, par comparaison avec 25° C, que l'enroulement des testicules et des spermatozoïdes est retardé à 28° C, tandis que la pigmentation des testicules est retardée à 22° C. Les pupes de G. m. morsitans sont moins affectées à 28° C que celles de G. pallidipes.
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17.
The behavior of nonirradiated and radiation-sterilized laboratory-adapted Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae), was observed on apples hung on guava trees in outdoor cages in Hawaii. Oviposition and resting behavior, and physical encounters between flies were recorded. The numbers of nonirradiated females observed resting on fruit were reduced several fold by the presence of irradiated females, either alone or with irradiated males, but not by irradiated males alone. Similarly, the number and duration of nonirradiated females observed ovipositing was reduced by the presence of irradiated females. In control cages (all nonirradiated flies), females averaged 255.9±15.0 (SE) seconds on fruit, while nonirradiated and irradiated females in the mixed (treatment) cage averaged 157±19.8 seconds and 77.5±7.5 seconds on fruit, respectively. Irradiated females behaved skittishly on fruit and frequently engaged in physical encounters with other flies. By reducing oviposition of normal females, irradiated females may help suppress wild populations in sterile-insect release programs.
Influence de la présence de femelles irradiées sur la ponte de Ceratitis capitata
Résumé Les comportements de ponte et de repos et le nombre de rencontres de mouches irradiées ou non, d'une souche de laboratoire de C. capitata ont été examinés sur des pommes suspendues sur des goyaviers dans des cages, hors du laboratoire, à Hawaï. Le nombre de femelles non-irradiées stationnant sur les fruits était réduit de plusieurs fois par la présence de femelles irradiées, soit seules, soit avec des mâles irradiés, mais non par la présence exclusive de mâles irradiés. De même, le nombre de femelles non-irradiées en train de pondre, ainsi que la durée des pontes étaient réduits par la présence de femelles irradiées. Dans les cages témoins (sans mouche irradiée), les femelles restent en moyenne 255,9±15,0 sec (SE) sur les fruits, tandis que les femelles nonirradiées et irradiées mélangées dans les cages traitées, séjournent respectivement 157±19,8 et 77,5±7,5 sec sur les fruits. Les femelles irradiées se sont comportées capricieusement sur les fruits et ont souvent eu des contacts physiques avec les autres mouches. En réduisant la ponte des femelles normales, les femelles irradiées peuvent contribuer à supprimer les populations sauvages dans les programmes de lâchers d'insectes stériles.
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18.
Conclusion et résumé Les Abeilles reconnaissent le sexe de la larve transposée dans les ébauches de cellules royales et réagissent en fonction de ce sexe: pour les larves de mâles, l'acceptation est toujours inférieure à celle des ouvrières et, quelquefois, elle peut être nulle pour des petits nombres de larves transposées. En outre, dans la partie orpheline de la ruche, les Abeilles construisent une cellule royale différente suivant le sexe de la larve transposée à l'intérieur.Les larves de mâles transposées dans les ébauches de cellules royales peuvent se nymphoser, mais un grand pourcentage de ces larves meurent peu de temps après l'operculation, mort qui peut être due à ces conditions inhabituelles dans laquelle les larves sont placées, en particulier leur position (verticale au lieu d'être horizontale).  相似文献   

19.
The effects of photoperiod and temperature on the production of sexual forms by two clones of Sitobion avenae, the grain aphid, were examined. One clone did not produce sexual forms, whereas the other did under conditions of short light (<14 h) and low temperature (15°C). Temperature and photoperiod interacted to some extent both in the production of oviparae and of males. Even when the sexual forms were produced there was always a proportion of virginoparae.
Production de sexués par Sitobion avenae, puceron monoécique
Résumé Un clone de Sitobion avenae a produit sans difficulté jusqu'à 7 générations de sexués en réaction à des photopériodes courtes (<14 h) et à de faibles températures (15°C) tandis qu'un autre clone n'en produit aucune.La proportion de sexués différait suivant les parents. La production de mâles avait une nette tendance à apparaître lors des reproduction les plus tardives. Dans les générations tardives avec jours courts, les vivipares (virginopares et gynopares) avaient eu tendance à être produits à la fin de la période de reproduction.Les gynopares (c'est à dire les parents d'ovipares) de S. avenae étaient surtout aptères, mais comprenaient beaucoup plus d'ailés que les virginopares obtenus dans les mêmes conditions. Un vivipare était induit comme gynopare (ou ses embryons étaient déterminés comme ovipares) avant la naissance, mais cette détermination pouvait apparemment encore être inversée en soumettant l'insecte à de longues photopériodes et à de hautes températures jusqu'à deux jours après la naissance.Aucun S. avenae ovipare n'a été produit jusqu'à la troisième génération. Aucun ovipare n'a été produit avec des photopériodes supérieures à 13 H 30 à 10°C, 13 H à 15°C et 8 H à 20°C. La proportion d'individus produisant des ovipares à 15°C a été plus faible qu'à 10°C pour toutes les photopériodes, et à cette dernière température beaucoup plus de vivipares étaient gynopares que virginopares.Les basses températures ont été vraisemblablement le facteur dominant de stimulation de la production de mâles de S. avenae, mais cependant il semble qu'un plus grand nombre de mâles a été produit aux températures et photopériodes intermédiaires qu'aux extrêmes.La capture de mâles ailés de S. avenae dans des pièges à succion a été généralement limitée à Octobre-soit à peu prés le moment prévu par les expériences de laboratoire. Des mâles de S. avenae sont aussi capturés fréquemment et été, ce qui peut être lié à des hivers précédents doux.
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20.
The deterrent substances diverting D. oleae females from ovipositing on already attacked olives are contained, at least partly, in the juice which trickles from the oviposition wounds. Surprisingly, the water fraction of the olive juice had limited deterrent activity. The principal deterrent stimuli are present in the oil fraction. Acetophenone and benzaldehyde are likely to be involved.Some liposoluble volatile substances can be deterrent to the females as vapours. The deterrent power of olives containing D. oleae larvae is probably linked to these substances.Most deterrent hydro-soluble substances had two contiguous hydroxyls, characterized by a comparative acidity and located in the ortho position in diphenols and somewhat analogously in glycolic acid.Amongst orthodiphenols, Pyrocatechol-the simplest compound-was the most active substance.
Résumé Les jus d'olive qui sourt des blessures dues à la ponte, contient des substances inhibitrices qui empêchent les attaques ultérieures de la mouche de l'olivier.Une telle activité était attribuée à des substances hydrosolubles et, en particuliet, au dihydroxyphenil ethanol.On a testé l'activité inhibitrice des fractions huileuse et acqueuse obtenues par centrifugation de la pulpe des olives, rendue homogène.De facon inattendue, la fraction huileuse s'estavérée posséder une activité inhibitrice environ 20 fois supérieure à celle de la fraction acqueuse.Les différences d'activités inhibitrices d'huile d'olives mûres ou non, ou d'huiles commerciales, permet de penser que l'activité inhibitrice principale est liée à des substances liposolubles présentes dans l'huile.En outre, on a constaté que la pulpe d'olives, broyée, présente une action inhibitrice en l'absence de contact direct avec les femelles. Des substances inhibitrices volatiles sont aussi présentes dans l'huile.Des inhibiteurs volatiles qui se libèrent des tissus lacérés par les larves, peuvent expliquer l'activité inhibitrice des olives attaquées durant la période de développement des larves. Les substances inhibitrices dont la femelle couvre la surface cireuse des fruits, sont, en effet, facilement éliminées par la pluie.Parmi les substances liposolubles dont on connaît la présence dans l'huile, l'aceto-phénone et le benzaldehyde, possèdent un pouvoir inhibiteur prononcé.Les substances hydrolsolubles jouent un rôle mineur dans l'ensemble des stimuli inhibiteurs. Le pouvoir inhibiteur relatif est lié à deux hydroxyles contigus à une fonction acide présente en position ortho dans les diphénols, ceci par analogie avec l'acide glycolique qui possède un hydroxyle en caractérisé par une certaine acidité.Le plus actif orthodiphénol s'est avéré être la pyrocatéchine. Aussi une part des inhibiteurs liposolubles sont des substances liées au biochimisme des phénols.
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