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1.
The deterrent substances diverting D. oleae females from ovipositing on already attacked olives are contained, at least partly, in the juice which trickles from the oviposition wounds. Surprisingly, the water fraction of the olive juice had limited deterrent activity. The principal deterrent stimuli are present in the oil fraction. Acetophenone and benzaldehyde are likely to be involved.Some liposoluble volatile substances can be deterrent to the females as vapours. The deterrent power of olives containing D. oleae larvae is probably linked to these substances.Most deterrent hydro-soluble substances had two contiguous hydroxyls, characterized by a comparative acidity and located in the ortho position in diphenols and somewhat analogously in glycolic acid.Amongst orthodiphenols, Pyrocatechol-the simplest compound-was the most active substance.
Résumé Les jus d'olive qui sourt des blessures dues à la ponte, contient des substances inhibitrices qui empêchent les attaques ultérieures de la mouche de l'olivier.Une telle activité était attribuée à des substances hydrosolubles et, en particuliet, au dihydroxyphenil ethanol.On a testé l'activité inhibitrice des fractions huileuse et acqueuse obtenues par centrifugation de la pulpe des olives, rendue homogène.De facon inattendue, la fraction huileuse s'estavérée posséder une activité inhibitrice environ 20 fois supérieure à celle de la fraction acqueuse.Les différences d'activités inhibitrices d'huile d'olives mûres ou non, ou d'huiles commerciales, permet de penser que l'activité inhibitrice principale est liée à des substances liposolubles présentes dans l'huile.En outre, on a constaté que la pulpe d'olives, broyée, présente une action inhibitrice en l'absence de contact direct avec les femelles. Des substances inhibitrices volatiles sont aussi présentes dans l'huile.Des inhibiteurs volatiles qui se libèrent des tissus lacérés par les larves, peuvent expliquer l'activité inhibitrice des olives attaquées durant la période de développement des larves. Les substances inhibitrices dont la femelle couvre la surface cireuse des fruits, sont, en effet, facilement éliminées par la pluie.Parmi les substances liposolubles dont on connaît la présence dans l'huile, l'aceto-phénone et le benzaldehyde, possèdent un pouvoir inhibiteur prononcé.Les substances hydrolsolubles jouent un rôle mineur dans l'ensemble des stimuli inhibiteurs. Le pouvoir inhibiteur relatif est lié à deux hydroxyles contigus à une fonction acide présente en position ortho dans les diphénols, ceci par analogie avec l'acide glycolique qui possède un hydroxyle en caractérisé par une certaine acidité.Le plus actif orthodiphénol s'est avéré être la pyrocatéchine. Aussi une part des inhibiteurs liposolubles sont des substances liées au biochimisme des phénols.
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2.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
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3.
Evidence presented indicates that exposure of wild Queensland fruit files, Dacus tryoni (Froggatt), to a given host fruit type (e.g. pear) for 3 days causes females to attempt oviposition to a greater degree in that fruit type than in other fruit types (e.g. tomato, grape). The effects of exposure to a particular fruit type proved reversible, suggesting that D. tryoni females were capable of learning. Females exposed to pear for 3 days appeared to retain the effect of such exposure on acceptance of tomato for up to 4 days but appeared to retain the effect on acceptance of grape for less than 2 days. The possible significance of prior experience of females with a particular fruit type on future ability to discriminate among varying-quality specimens of that type is discussed.
Résumé Les éléments apportés montrent que l'exposition de D. tryoni Froggat à un type de fruit déterminé (par exemple, la poire) pendant 3 jours, conduit la femelle à tenter de pondre à une plus haute fréquence dans ce type de fruit que dans d'autres (par example; tomate ou raisin). Les effects de l'exposition à un type particulier de fruit étant réversibles, ceci suggère que les femelles de D. tryoni sont capables d'apprentissage. Des femelles exposées à des poires pendant 3 jours ont conservé l'effet d'une telle exposition pendant 4 jours en présence de tomates, mais moins de 2 jours en présence de raisin. La discussion porte sur la signification possible de la connaissance antérieure d'un type particulier de fruit sur l'aptitude ultérieure des femelles à distinguer parmi des spécimens de ce type, mais de qualités différentes.
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4.
Résumé Des femelles alimentées d'une souche francaise de bruche du haricot, fécondées peu après leur émergence, ne sont mises en présence des grains de la plante-hôte qu'après un délai plus ou moins long: jusqu'à 50 jours de délai, la stimulation de la production ovarienne est aussi forte que chez les femelles mises avec des grains dès la copulation, mais la proportion d'oeufs émis est plus faible.D'autre part, à âge identique, les effets de la stimulation de la production ovarienne sont plus marqués lorsqu'il y a retard simultané de la fécondation et de la présence des grains que lorsque celle-ci est retardée par rapport à la fécondation.Ce n'est pas chez les femelles les plus jeunes que les effects de la stimulation combinée et simultanée de la production ovarienne sont les plus importants, mais chez des femelles âgées de 20 à 30 jours. Cet âge correspond à la fin de la période de mâturation du stock de base d'ovocytes formés à partir du corps gras, mâturation qui s'effectue de toute façon, même en absence de tout stimulus externe.
Regulation of egg production in Acanthoscelides obtectus (Coleoptera: Bruchudae): The change in stimulating effect of grain of females of different ages
Summary Females from a French strain of Acanthoscelides obtectus were mated soon after emergence, and after various lengths of time presented with host plant seeds. Even after a deley of 50 days, stimulation of the ovaries occurred as it did when females were presented with seeds as soon as copulation took place, but fewer eggs were produced. For insects of similar age, the stimulating effect of the seeds was greater if they were present when the females were first mated, than if they were presented after a delay. The stimulating effects were greatest in females aged between 20 and 30 days. This age corresponds to the end of the maturation period of the initial stock of ovocytes. This maturation would normally occur even in the absence of external stimuli.
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5.
Euphyllura phillyreae Foerster (Homoptera: Aphalaridae) which infests olive trees in Greece, is monovoltine and has an aestival-autumnal-hibernal reproductive dormancy as an adult which starts in June. Adult females collected periodically from June through February were maintained for 4 weeks at 12L:12D and 20° L:18° D, then the stage of ovarian development was recorded.In the field, diapause was terminated between mid December and early January. Subsequently, the insects remain in reproductive quiescence until February or early March when environmental conditions allow ovarian development and reproduction.In females collected in June, summerlike laboratory conditions, followed by winterlike, and then by springlike conditions were effective for diapause termination. Springlike conditions alone, or preceded by only summerlike or only by winterlike conditions were not effective. In females collected in August the requirement for summerlike conditions was much less or nil.
Résumé Euphyllura phillyreae Foerster qui s'attaque sur l'olivier en Grèce, est une espèce oligophage, monovoltine, qui a une dormance reproductive aestivo-autumno-hivernale au stade adulte, qui commence en juin.Des femelles adultes ont été ramassées par les arbres périodiquement de juin au février et maintenues pendant 4 semaines à 12L:12D et 20° L:18° D. Après cette période, le stade du développement des ovaires a été le critère de la termination de leur diapause. La diapause fut considéré comme terminée quand au moins 50% des femelles avaient leurs ovaires au stade III ou même plus avancées.La diapause fut terminé entre mi-decembre et début janvier. En suite, les insectes restent à une quiescence reproductive jusqu'au février ou début de mars, lorsque les conditions environmentales permettent le développement des ovaires et la reproduction.Des femelles ramassées en juin et en août ont été soumises à certaines conditions de photopériode et de temperature en laboratoire, pour faire terminer leur diapause. Pour celles ramassées en juin, qui étaient au commencement de leur diapause, des conditions semblables à l'été, suivies par des conditions semblables à l'hiver et puis par des conditions semblables au printemps furent effectives pour la termination de la diapause. Seules des conditions semblables au printemps, ou précédées par des conditions semblables seulement à l'été, ou seulement à l'hiver, ne furent pas effectives. Pour les femelles ramassées en août, le besoin pour des conditions semblables à l'été fut beaucoup moin ou nul.
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6.
The behavior of nonirradiated and radiation-sterilized laboratory-adapted Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata (Wiedemann) (Diptera: Tephritidae), was observed on apples hung on guava trees in outdoor cages in Hawaii. Oviposition and resting behavior, and physical encounters between flies were recorded. The numbers of nonirradiated females observed resting on fruit were reduced several fold by the presence of irradiated females, either alone or with irradiated males, but not by irradiated males alone. Similarly, the number and duration of nonirradiated females observed ovipositing was reduced by the presence of irradiated females. In control cages (all nonirradiated flies), females averaged 255.9±15.0 (SE) seconds on fruit, while nonirradiated and irradiated females in the mixed (treatment) cage averaged 157±19.8 seconds and 77.5±7.5 seconds on fruit, respectively. Irradiated females behaved skittishly on fruit and frequently engaged in physical encounters with other flies. By reducing oviposition of normal females, irradiated females may help suppress wild populations in sterile-insect release programs.
Influence de la présence de femelles irradiées sur la ponte de Ceratitis capitata
Résumé Les comportements de ponte et de repos et le nombre de rencontres de mouches irradiées ou non, d'une souche de laboratoire de C. capitata ont été examinés sur des pommes suspendues sur des goyaviers dans des cages, hors du laboratoire, à Hawaï. Le nombre de femelles non-irradiées stationnant sur les fruits était réduit de plusieurs fois par la présence de femelles irradiées, soit seules, soit avec des mâles irradiés, mais non par la présence exclusive de mâles irradiés. De même, le nombre de femelles non-irradiées en train de pondre, ainsi que la durée des pontes étaient réduits par la présence de femelles irradiées. Dans les cages témoins (sans mouche irradiée), les femelles restent en moyenne 255,9±15,0 sec (SE) sur les fruits, tandis que les femelles nonirradiées et irradiées mélangées dans les cages traitées, séjournent respectivement 157±19,8 et 77,5±7,5 sec sur les fruits. Les femelles irradiées se sont comportées capricieusement sur les fruits et ont souvent eu des contacts physiques avec les autres mouches. En réduisant la ponte des femelles normales, les femelles irradiées peuvent contribuer à supprimer les populations sauvages dans les programmes de lâchers d'insectes stériles.
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7.
Rates of dispersal of adult Dacus oleae Gmel. were measured on Corfu during June and early July using grids of McPhail traps. When released into an area with no new season fruit crop the mean distance travelled by the flies was over 400 m during the first 7 days. When released at an earlier stage into an olive grove with 30% of trees bearing a fruit crop estimated dispersal rates were lower (approx. 180 m in 7 days). These results indicate that adults which emerge in late May and June in areas with no new season fruit crop, which is a common situation because of the biannual fruiting cycle of the olive tree, start to disperse immediately despite the hot dry conditions and immaturity of the fruit in other areas. The significance of these findings in relation to current control strategies is discussed.
Résumé En 1977 et 1979, la dispersion des adultes de Dacus oleae a été étudiée en juin-juillet sur deux sites de l'île de Corfou, afin de réunir des informations concernant leur comportement en été. Des adultes élevés au laboratoire, et marqués à l'émergence avec une poudre fluorescente, ont été libérés dans une oliveraie au centre d'un réseau de trappes McPhail contenant un attractif d'hydrolisat de protéines et disposées en forme de croix. Les mouches capturées étaient prélevées régulièrement et examinées au laboratoire sous lumière ultraviolette. L'analyse des captures de mouches marquées a permis de définir la distance moyenne parcourue après le lâcher en fonction du temps (Fletcher & Economopoulos, 1976).La distance moyenne parcourue par les mouches la première semaine était de plus de 400 m si le lâcher avait lieu dans une oliveraie dépourvue de fruits; elle était de quelque 180 m si le lâcher avait lieu plus tôt, dans une oliveraie dont 30% des arbres portaient des fruits. Il est done plausible que les adultes émergeant en mai-juin dans des oliveraies dépourvues de fruits—situation courante à Corfou en raison de la fructification en général cyclique et synchronisée tous les deux ans des oliviers—se déplacent aussitôt en dépit du climat sec et chaud et de l'absence de fruits mûrs alentour. Les résultats montrent qu'en été, les mouches quittent leur zone d'émergence si les olives mûrissantes font défaut pour se concentrer dans des oliveraies portant de nouveaux fruits, confirmant ainsi le bien-fondé de la lutte actuellement pratiquée à Corfou.
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8.
Photoperiod, temperature, food and population density are all factors commonly used as cues for diapause regulation in insects. This study shows that also copulation can be of importance in the regulation of adult female reproductive diapause. In Lygaeus equestris L. the frequency of ovipositing, i.e. non-diapausing, females reared under short day conditions (18L:6D, and 30°C), was significantly higher when they had been isolated with mating than with non-mating (=diapausing) males. Females reared under long day conditions (22L:2D, and 30°C) showed a small but non-significant effect of copulation, and they generally laid eggs whether they were mated or not. The results indicate that, under the conditions in these experiments, three types of females can be distinguished: females (1) diapausing independently of copulation, (2) non-diapausing independently of copulation, and (3) non-diapausing provided copulation has taken place. The proportion of females for which copulation is a determinant of direct development, was estimated at 0.26 under short day conditions, and at 0.08 under long day conditions, respectively.
Resumé La photopériode, la température et la nourriture sont des facteurs habituellement utilisés comme stimuli induisant la diapause chez des insectes. Cette étude montre que la copulation peut aussi être importante dans la régulation de la diapause reproductive des femelles. Chez. L. equestris L., la fréquence des femelles pondeuses, c'est-à-dire non diapausantes, élevées en jours courts (18L/6D et 30°C), a été significativement plus élevée après isolement avec des mâles actifs au lieu de mâles diapausants. Des femelles, élevées en jours longs (22L/2D et 30°C), ont présenté un léger, mais non significatif, effet de la copulation; elles ont généralement pondu, qu'elles se soient accouplées ou non.Les résultats révèlent trois catégories de femelles: (1) des femelles avec diapause, qu'il y ait ou non copulation, (2) des femelles sans diapause, qu'il y ait ou non copulation, (3) des femelles sans diapause, à condition qu'il y ait copulation.En jours courts, les fréquences des trois catégories ont été respectivement à 0,46; 0,28 et 0,26. En jours longs, respectivement à 0; 0,92 et 0,08. II est possible que les femelles proches de leur seuil d'induction de la diapause-en fonction de la photopériode et de la température-sont les plus aptes à utiliser la copulation comme stimulus additionnel pour induire un développment direct. Cette hypothèse s'appuie sur les proportions de femelles affectées par la copulation en jours longs et courts.
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9.
Inhibition of growth of Dacus oleae larvae in untreated green olive fruits occurred in a high percentage when the parents were treated, in the laboratory, with 1% streptomycin sulphate plus a spreader-wetter in the following ways: — (a) brief immersion of the olives in which the parent insects grew as larvae; (b) brief immersion as fully grown larvae; (c) spraying of adults; (d) allowing parent females to oviposit for a few hours in treated olives, prior to ovipositing in untreated ones. In the last case, the degree of inhibition of progeny growth was related to the time between the maternal treatment and the birth of the progeny.
Résumé Le développement larvaire de Dacus oleae dans des olives vertes non-traitées est inhibé à un pourcentage élevé quant les parents ont été traités, au laboratoire, avec 1% de sulfate de streptomycine associé à un produit dispersant-mouillant, selon les modalités suivantes: (a) immersion brève des olives dans lesquelles les parents se sont développés comme larves; (b) immersion brève des larves à développement complet; (c) pulvérisation des adultes; (d) oviposition des femelles pour quelques heures dans des olives traitées, avant de pondre dans des olives non-traitées. Dans ce dernier cas, l'inhibition de la descendance fut influencée par le temps séparant le traitement de la mère et la naissance de la descendance.
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10.
Laboratory experiments and observations on the oviposition behaviour of the almond seed wasp Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) revealed that the females of this species deposit a host-marking pheromone, immediately after an oviposition, by dragging the tip of their abdomen on the fruit surface. This pheromone enables them to discriminate between the infested and uninfested fruit and to select for oviposition the latter. Its primary function is apparently the prevention of repeated ovipositions in already infested fruit, thus contributing to the optimal utilisation of the available resources for larval development. The responses of individual females to different treatments of almonds, in a series of two-choice tests, revealed that the pheromone can be perceived by the females on direct contact and, when at high concentrations, also olfactorily from a short distance. The pheromone was present inside the abdomen and thorax of females but not of males, and, although water soluble, could not be entirely removed from heavily infested almonds when rinsed with water. Direct observations revealed that after an average of 3.7 successive visits to pheromone-bearing almonds, females were induced to walk or, most often, fly away from the experimental set-up. This suggests that the pheromone may also contribute to the dispersion of the wasps.
Résumé Des expériences de laboratoire et des observations concernant le comportement de ponte de Eurytoma amygdali Enderlein (Hymenoptera, Eurytomidae) ont montré que, immédiatement après la ponte, les femelles déposent une phéromone de marquage de l'hôte en trainant le bout de leur abdomen sur la surface de l'amande. Cette phéromone les rends capable de distinguer les fruits infectés des non-infectés dt de sélectionner pour la ponte les derniers. Apparemment, la fonction principale de cette phéromone est la prévention de la répétition des ovipositions dans les fruits déjà infectés et la répartition uniforme des oeufs dans les amandes, contribuant ainsi à la meilleure utilisation des ressources disponsibles pour le développement des larves. Des expériences de deux choix entre des fruits de différents traitements ont montré que la phéromone pouvait être perçue par les femelles par le direct contact et, quand elle était à hautes concentrations, par olfaction d'une courte distance. La phéromone était présente dans l'abdomen et dans le thorax des femelles, et bien qu'elle soit soluble à l'eau, elle ne pouvait pas s'éloigner entièrement par lavage des amandes sérieusement infectées à l'eau. Les observations ont démontré qu'après un numéro de 3.7 visites successives sur des amandes portant de la phéromone les femelles s'éloignaient du lieu de ponte en marchant ou, le plus souvant, en s'envolant, ce qui suggère que la phéromone contribue à la dispersion des femelles.
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11.
Adult female Blattella germanica (L.) (Dictyoptera: Blattellidae) carrying oothecae were confined in cages with bait formulations of boric acid or hydramethylnon at 90% r.h. and either 20° or 28° C until all had been killed. Females poisoned by hydramethylnon retained their oothecae at death, while a considerable proportion of those killed by boric acid deposited their oothecae prematurely. Oothecae from both groups of insects were monitored until they either hatched or lost viability. Oothecae from both 7–14 day old adults and 14–21 day old adults poisoned with hydramethylnon showed reduced hatching relative to controls at 20° but not at 28 °C, an effect attributed to premature loss of water-exchange between oothecae and female adult during the maturation process. Fewer oothecae hatched from females poisoned with boric acid at both temperatures, and the proportion of those which did hatch was higher in the group retained by the female at death than in the group prematurely deposited. These results for the boric acid-treated females and results which showed no significant difference between the hatch of oothecae from hydramethylnon-treated females and decapitated females suggested that transfer of insecticide from treated female to oothecae was not important in reducing hatch for either compound. Reinfestation as a consequence of the failure of conventional blatticides to prevent hatching of oothecae carried by female B. germanica is discussed.
Résumé Des femelles adultes de B. germanica, maintenues à 20° ou 28° C et 90% HR, ont été exposées, 7 à 14 jours ou 14 à 21 jours après l'émergence à des appâts contenant de l'hydraméthylnone ou de l'acide borique. Empoisonnées par l'hydraméthylnone les femelles retiennent leur oothèque jusqu'à la mort, tandis que empoisonnées par l'acide borique, elles déposent leur oothèque prématurément. Toutes les oothèque des femelles empoisonnées ont été maintenues dans les mêmes conditions écologiques jusqu'à ce qu'elles éclosent ou se révèlent non viables. Avec l'acide borique, une réduction des naissances a été observée pour les oothèques des mères des 2 classes d'âges et aux 2 températures, ce qui n'a eu lieu qu'à la température basse avec l'hydraméthylnone. L'effet ne semble pas dû au transfert de l'insecticide de la femelle à l'oothèque et est plus probablement provoqué par la fin des échanges d'eau entre la mère et l'oothèque, à la mort ou lors de l'émission prématurée. Pour les femelles traitées à l'acide borique, la proportion d'éclosion d'oothèques est plus importante chez les femelles ayant retenu leur oothèque jusqu'à la mort que chez celles qui les ont émises prématurément. Les femelles empoisonnées lors d'opérations d'éradication peuvent mourir ou déposer leurs oothèques loin des zones traitées; les larves éclosant de ces oothèques peuvent maintenir la contamination.
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12.
The vast majority of wild-type females of Lucilia cuprina are anautogenous. The survival of wild-type anautogenous females following emergence was compared with that of females from laboratory-selected autogenous strains, when deprived of sucrose and given ad lib access to water, deprived of water and given ad lib access to sucrose, or deprived of both water and sucrose.Anautogenous females survived substantially longer than autogenous females when only sucrose was supplied, but the opposite applied when the flies were supplied with water only. Anautogenous females survived somewhat longer than autogenous females in the absence of both sucrose and water. Thus, autogenous females might be at a disadvantage in the dry conditions which often prevail in areas occupied by the species.
Résumé La grande majorité des femelles de L. cuprina est anautogène. Cependant, l'observation de femelles autogènes dans la nature, et la sélection au laboratoire d'une lignée autogène à partir d'une souche anautogène indique que cette espèce est susceptible de devenir autogène.Le stade de développement ovarien des femelles capturées dans la nature montre que l'habitat est généralement carencé en aliments riches en protéines susceptibles de permettre le développement ovarien de L. cuprina. Dans de telles conditions, les femelles autogènes devraient être avantagées; leur très grande rareté indique que certains désavantages doivent être associés au génotype autogène. On a constaté que les femelles autogénes qui viennent d'émerger ont une teneur en eau plus faible que les anautogènes; ceci suggère que l'un des coûts possibles de l'autogénie pourraît être une aptitude réduite à supporter les périodes de privation d'eau suivant l'émergence. Pour cette raison, la survie de femelles sauvages anautogènes a été comparée à celles de lignées autogènes sélectionnées au laboratoire, en absence de sucrose, en présence ad lib. de sucrose, ou sans eau ni sucre.Pouvues uniquement de sucrose, les femelles anautogènes survivent 12 heures de plus que les autogènes, tandis qu'en présence exclusive d'eau les femelles autogènes survivent 19 heures de plus. En absence de sucrose et d'eau les femelles anautogènes survivent environ 5 heures de plus. Il semble que la mortalité des femelles autogènes privées totalement d'aliments est due principalement à un stress hydrique, tandis que le sucrose et le stress hydrique ensemble paraissent jouer un rôle dans la mort des femelles anautogènes. Ces résultats montrent que l'autogénie des femelles peut être un désavantage lors des conditions sèches fréquentes dans l'aire de cette espèce.
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13.
When reared in short days (LD 12:12) at 15°C, apterous Acyrthosiphon pisum gave birth to sexual females (oviparae) exclusively for the first eight days of larviposition. After this time they switched to the production of parthenogenetic females (viviparae). Topical application of juvenile hormones I, II and III to fourth instar or adult ovipara-producers induced the precocious appearance of parthenogenetic females in the progeny sequence. Various forms intermediate between oviparae and viviparae were also produced and repetitive JH-I treatments resulted in a few alatiform progeny. However, many of the JH induced apterous, parthenogenetic females appeared to be normal viviparae and were capble of reproduction. Thus, prenatal treatment of oviparous embryos with JH diverts development towards the viviparous form. JH-I treatment of long-day reared A. pisum had no effect on the type of progeny produced.
Effets de l'hormone juvénile sur le polymorphisme d'Acythosiphon pisum
Résumé Quand il est élevé sous jours courts (LN 12/12) à 15°C, le type anglais vert d'Acyrthosiphon pisum ne donne naissance qu'à des femelles sexuées (ovipares) pendant la première partie de sa période de reproduction. Ensuite quelques types intermédiaires ovipares/vivipares peuvent apparaitre avant que les pucerons ne bifurquent spontanément vers la production de femelles parthénogénétiques (vivipares). L'application cutanée d'hormones juvéniles (JH I, II, et III) aux larves de quatrième stade ou à des adultes producteurs d'ovipares provoque l'apparition prématurée d'intermédiaires et de vivipares dans la descendance. Les différentes formes intermédiaires produites par des applications répétées de J.H. comprenaient des types ailés ou partiellement ailés. Cependant, les vivipares aptères induits par J.H. étaient morphologiquement normaux et beaucoup étaient capables de se reproduire. Des traitements semblables aux J.H. de vivipares élevées en jours longs (LN 16/8) n'ont pas eu d'effets sur le type de la descendance.On ne sait pas si l'action de JH exogène sur l'induction des vivipares est direct ou indirect. La reprogrammation des embryons, autrement destinés à se développer comme ovipares, est examinée en relation avec notre connaissance du contrôle endocrine du polymorphisme des pucerons.
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14.
Reproductive data were collected on individually-held adult oriental fruit flies, Dacus dorsalis, melon flies, Dacus cucurbitae, and Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata including age-by-parity relations, birth interval, frequency distribution of individual egg production levels and the concentration of reproduction among females in a cohort. Specific findings include: i) delay in reproductive peaks in a cohort after eclosion is due almost entirely to the variance in attainment of reproductive maturity among individuals; ii) low reproductive output of reproductively mature melon flies is due mostly to long birth intervals; iii) high egg production in both the medfly and the oriental fruit fly is due to their consistency of egg laying levels and frequency (short birth intervals). Discussion stresses the importance of viewing reproduction, not as a singular and discrete life history trait, but as consisting of subcomponents of daily parity, cumulative parity and birth interval.
Résumé Les informations sur la reproduction ont été obtenues à partir d'adultes de Dacus dorsalis, D. cucurbitae, C. capitata, élevés individuellement. Elles portent sur les paramètres suivants: distribution par âge en fonction de la fécondité, échelonnement des pontes, distribution des niveaux quotidiens de ponte, fréquence des pondeuses par cohorte.Différents caractères spécifiques ont été mis en évidence: 1) La variabilité de la date d'apparition de la maturité reproductive est pour l'essentiel responsable du retard dans les dates de reproduction maximale; 2) De 30 à 50% des femelles de D. dorsalis âgées de 10 jours pondent plus de 50 oeufs/jour pendant les deux semaines qui suivent, tandis que seulement 10 à 20% des femelles des deux autres espèces parviennent à pondre cette quantité d'oeufs à n'importe quel âge; 3) D. cucurbitae ayant atteint sa maturité pond environ pendant 40% des jours (c.à.d. chaque 2,5 j), tandis que les deux autres espèces pondent au moins quelques oeufs pendant 80% des jours (c.à.d. chaque 1,25 j); 4) La production élevée d'oeufs de C. capitata et de D. dorsalis est due à la régularité de leur niveau de ponte et à la fréquence (faible espacement); 5) Les fractions des effectifs qui ont pondu au moins 600 oeufs en 30 jours étaient approximativement de 0,8, 0,7, et 0,4 pour D. dorsalis, C. capitata, D. cucurbitae; 6) 50% des femelles de chacune des trois espèces contribuent en gros pour 65% à la ponte.
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15.
Résumé L'influence de la photopériode sur la sex ratio a été testée chez un hyménoptère parasitoïde, Pteromalus puparum, qui présente une parthénogenèse arrhénotoque facultative. Les adultes ont été élevés à 20° sous deux photopériodes: LD 10:14 et LD 14:10 pendant 14 jours.Aucun effet n'a été enregistré sur la fécondité des femelles pendant la durée de l'expérience, ni sur la proportion de femelles fécondées. En revanche les adultes vivant sous LD 10:14 ont produit deux à trois fois plus de femelles dans leur descendance que ceux vivant sous LD 14:10.Cette influence de la photopériode sur la sex ratio peut s'exercer soit au niveau de l'insémination des femelles, en modifiant le comportement sexuel des adultes ou la vitalité des spermatozoïdes, soit sur le fonctionnement de la spermathèque au moment de la ponte.La signification adaptative de ces fluctuations de la sex ratio est discutée en relation avec l'existence chez cette espèce d'une diapause larvaire elle aussi induite par les photopériodes courtes.
Summary The effect of day length on the sex ratio of this arrhenotokous wasp was tested by exposing the adults to two photoperiods: LD 10:14 and LD 14:10 at 20° for 14 days.The fecundity of females was not affected nor the proportion of inseminated ones. However, adults living at LD 10:14 produced two to three times more females in their progeny than those living at LD 14:10.Day length is presumed to act either at the time of insemination of females, through changing the sexual behaviour of adults or the viability of sperms; alternatively, it could act on the functioning of the spermatheca at the time of oviposition.The adaptive significance of these sex ratio fluctuations is discussed in connection with the existence of a larval diapause in this species, which is also induced by short photoperiods.
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16.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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17.
An olfactometer was used to determine the effect of pheromones released by females of the bollworms Heliothis armigera (Hübner) and H. zea (Boddie) on females of the same species. Four combinations of virgin and mated females were tested for repellency of one to the other. Evidence is presented that females of the two bollworms were repelled by females of the same species. In addition, extracts of virgin female abdomens of each species repelled virgin females of the other species.
Résumé L'examen en olfactomètre a porté sur les réactions face à d'autres femelles de la même espèce, de femelles vierges ou ayant copulé d'Heliothis armigera Hübner et H. zea Boddie. Le lot comprenait 8 femelles, vierges ou ayant copulé en présence d'une femelle vierge ou ayant copulé. Les 4 combinaisons possibles de femelles vierges et de femelles ayant copulé ont été examinées avec 12 répétitions pour chaque espèce. Un extrait de l'extrémité de l'abdomen de femelles vierges d'une espèce a été présenté aux femelles de l'autre espèce pour examiner les possibilités de réactions interspécifiques aux phéromones.Pour chaque espèce, les réactions interspécifiques de répulsion entre femelles ont été hautement significatives par rapport aux témoins, à l'exception toutefois des réactions de femelle ayant copulé face à des femelles ayant elles aussi copulé. Les répulsions moyennes chez H. armigera et H. zea pour les 8 femelles de chaque expérience ont été: a) vierges en présence d'une vierge: 7,33 et 7,66; b) vierges en présence d'une femelles ayant copulé: 5,76 et 5,58; c) femelles ayant copulé en présence d'une vierge: 4,67 et 4,83. Les différences sont hautement significatives entre chaque paire de moyennes et entre chaque paire et le lot témoin; 3,17; 3,17; 3,42; 4,00 pour H. armigera; 3,17; 3,50; 2,83 et 3,75 pour H. zea.Les femelles vierges des deux espèces, H. armigera et H. zea ont présenté une réaction de répulsion en présence d'un extrait de l'abdomen de l'autre espèce; les répulsions moyennes étant respectivement 5,53 et 5,33 contre 3,83 et 3,58 pour le lot trémoin.On peut en conclure que ces répulsions doivent entraîner une tendance à la répartition uniforme.
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18.
The reproductive biology of G. pallidipes Austen was studied at 28°, 25° and 22° C. Experiments showed that incubation of puparia at 28° C resulted in sterility of both males and females. Incubation at 22° C resulted in a reduced fecundity of the females due to egg retention; the fertility of the males was not affected.Comparative studies with G. m. morsitans Westw. showed that G. m. morsitans puparia are less affected by a temperature of 28° C than are G. pallidipes puparia.
Effet de la température sur la reproduction de Glossina pallidipes, avec référence à G. m. morsitans
Résumé Les productivités de G. pallidipes Austen élevés au laboratoire pendant tout leur cycle à 22, 25 et 28° C, ont été comparées.A 28° C, la vie intrapupale est réduite à environ 23 jours, contre 30 jours environ à 25° C; la survie des adultes est plus brève qu'à 25° C et les mouches ne s'accouplent pas. Les ovaires présentent une rétention d'oeufs et seulement 1/3 des mâles contient des spermatozoïdes mobiles. A 22° C, le cycle est considérablement prolongé, la vie intrapupale durant environ 40 jours. Les femelles s'accouplaient environ 14 jours après l'émergence. Les ovaires présentaient une rétention d'oeufs, bien que moins souvent qu'à 28° C. Les mâles contenaient des spermatozoïdes mobiles.Des expériences avec changements de température à différents moments du cycle ont montré que la stérilité des mâles et des femelles est provoquée par l'incubation de pupes de G. pallidipes à 28° C. La mensuration des ovocytes montre à 28° C un effet nocif sur leur maturation. Des observations sur les testicules dans les pupes révèlent, par comparaison avec 25° C, que l'enroulement des testicules et des spermatozoïdes est retardé à 28° C, tandis que la pigmentation des testicules est retardée à 22° C. Les pupes de G. m. morsitans sont moins affectées à 28° C que celles de G. pallidipes.
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19.
Green olives of two different varieties were picked on various dates in August and September from a grove in N. Greece. After a cold storage, they were dipped into, 0, 0.1, 1, and 5% solutions of streptomycin sulphate in tap water plus a spreader-wetter. Oviposition by females of Dacus oleae (Gmelin) preceded or followed the treatment. The percentage of fruit in which larvae could not reach full size within 2 weeks at 25°C was used as a measure of the inhibition of development.Inhibition of larval growth occurred at the 1 and 5% concentrations, and varied with the time between treatment and oviposition. It was low 2 days before oviposition, increased to c. 50% a day or a few hours before, reached a maximum of c. 80% a few hours or a day after, returned to c. 50% 2 days after, and dropped to practically zero 3, 4 and 6 days after oviposition.The results of artificial transfer of eggs and larvae from treated to untreated fruit and vice versa, indicate that streptomycin did not exert its inhibitory effect via the fruit juice ingested by the larva. One possibility would be by contact with the egg and perhaps also the neonate larva at hatching.
Résumé Des olives vertes, de deux variétés différentes, ont été ramassées en août et septembre 1971 dans une olivette de la Grèce du Nord, puis mises au frigidaire jusqu'au jour de chaque expérience.Le traitement consistait en une immersion instantanée des fruits dans des solutions aqueuses de sulfate de streptomycine auxquelles était ajoutée une substance mouillante-dispersante.L'oviposition a eu lieu soit le même jour, soit quelques jours avant ou après le traitement à la streptomycine. L'influence du traitement sur le développement larvaire est exprimé par le pourcentage des olives dans lesquelles les larves n'ont pas pu achever leur développement larvaire dans un délai de deux semaines à environ 25°.Les concentrations à 1 et 5% se sont révélées inhibitrices du développement larvaire, et le degré d'inhibition varie selon le temps écoulé entre le traitement et l'oviposition. L'inhibition est faible lorsque le traitement est appliqué 2 jours avant l'oviposition; elle augmente ensuite pour atteindre environ 50% quand il intervient un jour ou quelques heures avant la ponte. L'inhibition maximum, environ 80%, se produit quand le traitement se place quelques heures ou un jour après la ponte; elle s'abaisse pour devenir presque nulle quand il est retardé 3, 4, et 6 jours après l'oviposition.Des ufs et des larves ont été extraits des olives non traitées et introduits artificiellement dans des olives traitées et vice versa. Le pourcentage des individus qui ont achevé leur développement larvaire indique que la streptomycine n'exerce pas son effet inhibiteur par l'intermédiaire du jus d'olive ingéré par la larve. Une possibilité serait qu'elle agisse par contact avec l'uf et peut-être aussi avec la larve nouveau-née au moment de son éclosion.
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20.
Learning to find fruit in Ceratitis capitata flies   总被引:1,自引:0,他引:1  
Wild Mediterranean fruit fly females, Ceratitis capitata (Wiedemann), from an essentially monophagous population on the island of Hawaii were exposed to natural mock orange (Murraya paniculata) or sweet orange (Citrus sinensis) host fruit hung from branches of potted trees for 3-day periods in field enclosures. Subsequently, when flies were released individually onto potted trees harboring one or the other (or a mixture) of these fruit types, a higher proportion visited the type of fruit with which they were familiar (and visitors found familiar fruit faster) compared with the fruit type with which they were unfamiliar. Moreover, fruit-finding flies of this monophagous population attempted oviposition exclusively in the familiar fruit type, and thus appeared to be just as capable of learning to accept fruit for oviposition as wild flies from a previously-tested polyphagous population on the island of Maui. Additional tests were conducted in which flies were exposed to natural or colored-wax-covered mock oranges or sweet oranges and tested for response to colored-wax-covered natural or artificial fruit. Results suggested that fruit size was the principal character learned and used in finding mock orange or sweet orange fruit, while fruit color and odor appeared to be of little or no importance in this regard.
Résumé Des femelles sauvages d'une population essentiellement monophage de C. capitata Wiedemann, provenant de l'île de Hawaï, ont été mises en présence pendant des périodes de 3 jours dans des enceintes dans la nature à des fruits de Murraya paniculata et de Citrus sinensis suspendus à des branches d'arbres empotés. Quand les mouches ont été libérées individuellement sur les arbres empotés portant l'un ou l'autre de ces fruits (ou leur mélange), une plus forte proportion a visité le fruit avec lequel elles étaient familiarisées (et l'ont trouvé plus vite) que le fruit avec lequel elles ne n'étaient pas. De plus, les femelles découvrant des fruits de cette population monophage ne tentèrent de pondre que dans le type de fruit avec lequel elle étaient familiarisées. Elles se montrèrent aussi capables que les mouches d'une population polyphage de l'île de Maui d'apprendre à accepter de nouveaux fruits pour pondre. Des expériences complémentaires ont été réalisées dans lesquelles les mouches étaient mises en présence de fruits de M. paniculata ou de C. sinensis naturels ou couverts de cire colorée ou encore de fruits artificiels. Les résultats suggèrent que la taille du fruit est le principal critère d'apprentissage utilisé pour trouver M. paniculata ou C. sinensis, la couleur et l'odeur du fruit étant apparus comme de moindre importance ou sans effet.
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