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1.
Egg production in mated and virgin females of the cotton stainer, Dysdercus fasciatus Signoret, was studied in the laboratory. No significant differences were found in adult longevity, pre-oviposition period, inter-oviposition period, the total number of eggs oviposited during the whole reproductive period, and the mean number of mature eggs retained in the ovaries at each oviposition. Thus, mating has no influence on egg production or oviposition in this insect.
Résumé L'influence de la copulation sur la fécondité de la Punaise rouge du Coton, Dysdercus fasciatus fut étudiée au laboratoire à la température de 28±1° et à l'humidité relative de 55–65%. Six facteurs furent spécialement étudiés: la longévité des adultes, la durée de la période précédant la ponte, la durée moyenne des périodes comprises entre les pontes, le nombre de pontes déposées par chaque femelle durant sa phase reproductrice, le nombre moyen d'oeufs par ponte et le nombre moyen d'oeufs mûrs retenus dans les ovaires à chaque ponte.L'accouplement n'avait pas d'effet sur ces différents facteurs, excepté les quatrième et cinquième facteurs. Les femelles vierges déposaient davantage de pontes que les femelles ayant copulé, mais ces pontes avaient une plus petite quantité d'oeufs que les autres. Il en résultait que le nombre total des oeufs émis par les deux catégories de femelles durant leur vie était à peu près identique. Ainsi, dans cette espèce, l'accouplement n'avait pas d'influence apparente sur la fécondité relative et globale.
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2.
Infection by tobacco mosaic virus improved the suitability of tomato, Lycopersicon esculentum Mill. for survival of Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata (Say), larvae. This improvement was due, at least in part, to the increase in total nitrogen content of virus-infected plants. The simultaneous increase in tomatine content had no discernable effect on L. decemlineata survival. Our results are consistent with the suggestions that virus infection may improve the suitability of partially resistant or non-preferred hosts, and that virus infection may facilitate the adaption of phytophagous insects to such marginal host plant species.
Résumé Pour vérifier l'hypothèse selon laquelle une contamination par un virs végétal peut accroître la consommation de plantes délaissées ou partiellement résistantes, nous avons examiné les interactions entre Leptinotarsa decemlineata Say, Lycopersicon esculentum Mill., et le virus de la mosaïque du tabac (TMV). La survie des larves de L. decemlineata a augmenté avec la contamination par TMV; les teneurs en azote et en tomatine étaient toutes deux plus élevées dans les plantes contaminées par le virus. La survie a augmenté linéairement avec la teneur en azote, mais sans dépendre de la teneur en tomatine. L'influence positive pour L. decemlineata de la contamination par le virus peut être attribuée au moins en partie à la teneur en azote plus élevée. Nos résultats correspondent à l'hypothèse selon laquelle la consommation de plantes délaissées ou partiellement résistantes peut être augmentée par la contamination virale, et que cette contamination peut faciliter l'adaptation d'insectes phytophages sur des plantes marginalement consommables.
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3.
Feeding responses of the oligophagous tobacco hornworm to allelochemicals prevalent in their host plants were determined in food choice-tests using filter paper discs laced with a test solution or water (control). Six solanaceous alkaloids, tomatine, tomatidine, solanine, solanocapsine, atropine and nicotine, were tested and only tomatine and solanocapsine were found to influence preference behavior. Solanocapsine (5 mM) deters feeding whereas tomatine (1 mM) stimulates feeding slightly. No synergistic effect of either tomatine or tomatidine with sucrose was found.The responses to tomatine are affected by previous feeding experience. Tomatine slightly stimulates feeding in larvae reared on tomato (Lycopersicon esculentum), but slightly deters feeding in larvae reared on Jerusalem cherry (Solanum pseudocapsicum). Such induced preference is absent for the other alkaloids tested, which indicates that these alkaloids do not by themselves induce preferences for the plants containing them.The non-alkaloid allelochemicals, chlorogenic acid, rutin, and 2-tridecanone also influenced food choice behavior. Chlorogenic acid is slightly stimulatory at its natural concentration (1mM), but strongly deterrent at higher concentrations. Rutin stimulates feeding in a concentration-dependent manner. Its activity must be due to the glycosylated structure, because both the aglycone (quercetin) and the sugar moiety (rutinose) are neutral. Removal of the glucose part of rutin, as in quercitrin, results in feeding deterrent activity. 2-Tridecanone is neutral at its concentration in cultivated tomato (1 mM), but strongly deterrent and toxic at higher concentrations. Preference behavior is not affected by solanesol, GABA, and a mixture of host plant compounds stimulatory for anothe solanaceous-specific feeder, the Colorado potato beetle (Leptinotarsa decemlineata).We conclude that the prevalent solanaceous alkaloids and other allelochemicals tested do not play important roles in food selection of the tobacco hornworm, although some may make small contributions.
Résumé Des experiences de choix de chenilles oligophages de M. sexta ont été réalisees avec des disques de papier filtre imbiles d'eau ou de solutions des substances allélochimiques dominantes dans les plantes consommées. Sur les six alcaloïdes de solanées examinés: tomatine, tomatidine, solanine, solanocapsine, atropine et nicotine, seuls la tomatine et la solanocapsine ont influé sur le choix; la solanocapsine (5 mM) empêche la prise de nourriture, tandis que la tomatine (1 mM) la stimule légèrement. Aucun effet synergique de la tomatine ou de la tomatidine n'a été observé en présence de sucrose.La réponse à la tomatine est modifiée par la prise de nourriture antérieure. Elle stimule légèrement l'alimentation de chenilles élevées sur tomates (Lycopersicon esculentum), mais dissuade légèrement les chenilles élevées sur Solanum pseudocapsicum. II n'y a pas d'action induite semblable avec les autres alcalïdes examinés, ce qui indique que ces alcaloïdes ne peuvent pas induire par eux-mêmes de préférences pour les plantes qui les contiennent.Des substances allélochimiques non-alcaloïdes: acide chlorogénique, rutine, et 2-tridécanone, influent aussi sur le comportement de choix alimentaire. L'acide chlorogénique est légèrement stimulant à sa concentration naturelle (1 mM), mais fortement dissuasif aux concentrations supérieures. La rutine stimule la prise de nourriture en fonction de sa concentration. Son activité doit être due à sa structure glucosylate, puisqu'aussi bien l'aglycone (quercitine) que la moiteé sucrée (rutinose) sont neutres. La suppression de la partie glucose de la rutine, comme dans le cas de la quercitine, a un effet dissuasif. A sa concentration dans la tomate cultivée (1 mM), le 2-tridécanone est neutre, mais il est fortement dissuasif et toxique à des concentrations supérieures.Le comportement de choix n'est pas modifié par le solanésol, le GABA, et par un mélange de composés végétaux stimulant un consommateur spécifique de solanées, comme le doryphore (Leptinotarsa decemlineata).Nous pouvons conclure que les principaux alcaloïdes et autres substances allélochimiques des solanées que nous avons examinés n'interviennent pas d'une façon importante, mais peuvent avoir une influence secondaire, dans les choix alimentaires de Manduca sexta.
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4.
Reproductive data were collected on individually-held adult oriental fruit flies, Dacus dorsalis, melon flies, Dacus cucurbitae, and Mediterranean fruit flies, Ceratitis capitata including age-by-parity relations, birth interval, frequency distribution of individual egg production levels and the concentration of reproduction among females in a cohort. Specific findings include: i) delay in reproductive peaks in a cohort after eclosion is due almost entirely to the variance in attainment of reproductive maturity among individuals; ii) low reproductive output of reproductively mature melon flies is due mostly to long birth intervals; iii) high egg production in both the medfly and the oriental fruit fly is due to their consistency of egg laying levels and frequency (short birth intervals). Discussion stresses the importance of viewing reproduction, not as a singular and discrete life history trait, but as consisting of subcomponents of daily parity, cumulative parity and birth interval.
Résumé Les informations sur la reproduction ont été obtenues à partir d'adultes de Dacus dorsalis, D. cucurbitae, C. capitata, élevés individuellement. Elles portent sur les paramètres suivants: distribution par âge en fonction de la fécondité, échelonnement des pontes, distribution des niveaux quotidiens de ponte, fréquence des pondeuses par cohorte.Différents caractères spécifiques ont été mis en évidence: 1) La variabilité de la date d'apparition de la maturité reproductive est pour l'essentiel responsable du retard dans les dates de reproduction maximale; 2) De 30 à 50% des femelles de D. dorsalis âgées de 10 jours pondent plus de 50 oeufs/jour pendant les deux semaines qui suivent, tandis que seulement 10 à 20% des femelles des deux autres espèces parviennent à pondre cette quantité d'oeufs à n'importe quel âge; 3) D. cucurbitae ayant atteint sa maturité pond environ pendant 40% des jours (c.à.d. chaque 2,5 j), tandis que les deux autres espèces pondent au moins quelques oeufs pendant 80% des jours (c.à.d. chaque 1,25 j); 4) La production élevée d'oeufs de C. capitata et de D. dorsalis est due à la régularité de leur niveau de ponte et à la fréquence (faible espacement); 5) Les fractions des effectifs qui ont pondu au moins 600 oeufs en 30 jours étaient approximativement de 0,8, 0,7, et 0,4 pour D. dorsalis, C. capitata, D. cucurbitae; 6) 50% des femelles de chacune des trois espèces contribuent en gros pour 65% à la ponte.
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5.
Alder aphid oviparae produced 14 eggs at constant temperature but in the field the average was 6. Favoured oviposition sites were bud axils and bark crevices. Summer pruning of host trees reduced the availability but not the choice of site. Oviparae reared on leaf regrowth of summer pruned alder were smaller and contained fewer eggs than those on mature leaves. Winter pruning resulted in the loss of 41% buds and 25% eggs. Total winter egg mortality was 65%, being greatest in early winter due to insect predation. Spring egg hatch was synchronised with bud burst and both were affected by temperature.
Distribution des oeufs et mortalité Pterocallis alni
Résumé Les ovipares de P. alni ont pondu 14 oeufs à température constante mais dans la nature la moyenne n'était que de 6. La taille estivale a réduit les disponibilités, mais n'a pas modifié le choix des lieux de ponte. Les ovipares élevés sur feuilles de repousses estivales d'aulnes taillént plus petits et contenaient moins d'oeufs que ceux élevés sur feuilles adultes. La taille hivernale a provoqué la perte de 41% des bourgeons et 25% des oeufs. La mortalité hivernale totale des oeufs a été de 65%, la partie la plus importante, due à la prédation par les insectes, ayant eu lieu au début de l'hiver. L'éclosion des oeufs au printemps était synchronisée avec l'éclatement des bourgeons, tous les deux étant conditionnés par la température.
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6.
The oviposition behaviour of the brassica pod midge, Dasineura brassicae Winn. (Diptera: Cecidomyiidae), on a preferred host, Brassica napus L. (summer oilseed rape) was compared to that on a nonpreferred, less suitable host for larval growth, Brassica juncea (L.) Coss & Czern (brown mustard). The experiments were done under field conditions with wild females.The number of landing females was significantly higher on B. napus than on B. juncea, indicating host differences in olfactory and/or visual stimuli. After landing, the behaviour differed in that females stayed longer and laid more egg batches on B. napus than on B. juncea plants. The probability that oviposition would occur after landing and the potentially adjustable egg batch size were similar on the high- and the low-quality host.A larger egg load on B. napus than on B. juncea can thus be attributed mainly to a higher landing rate and more repeated ovipositions occurring on B. napus.
Comportement de ponte de Dasineura brassicae sur des Brassica de qualites élevée et basse
Résumé La comparaison porte sur le comportement de ponte de D. brassicae Winn. (Dept. Cecidomyiidae) sur Brassica napus L., hôte préféré, et sur B. juncea L., hôte non-préféré, qui convient moins au développement larvaire. Les expériences réalisées en champ ont porté sur des femelles sauvages.Le nombre de femelles qui atterrissent sur B. napus est significativement plus élevé que sur B. juncea, ce qui indique des différences entre les stimuli olfactif et visuel des plantes-hôtes. Aprés atterrisage, le comportement diffère en ce que les femelles restent plus longtemps et déposent plus de pontes sur B. napus que sur B. juncea. La probabilité pour que la ponte suive l'atterrissage et les tailles des ooplaques potentiellement ajustables sont semblables sur les hôtes de qualité élevée ou basse.Une charge supérieure en oeufs sur B. napus que sur B. juncea peut ainsi être principalement attribuée à un taux d'atterrissage plus élevé et à une plus grande fréquence de ponte sur B. napus.
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7.
We document individual and age-specific variation in reproductive output and clutch size of Anastrepha ludens Loew. (Diptera: Tephritidae). The influence of host size, color, and density on clutch size are also examined. Individual and groups of flies were offered artificial hosts composed of agar spheres wrapped in Parafilm. The gross reproduction rate of individual flies was 1000 eggs/female and 165 clutches/female with a range of 1 to 40 eggs/clutch. Mean clutch sizes for these females ranged from 4.5 to 10.6 eggs/clutch. The number of eggs/clutch laid by females held in groups was highly correlated with host size, ranging from about 4.4 eggs/clutch in 2 cm diameter hosts to 12.7 eggs/clutch in 11 cm hosts. Host color, host density, fly density, and fly age did not affect clutch size. This study suggests that variation among females and host size are the principal determinants of clutch size in A. ludens.
Résumé L'examen a porté sur l'influence du polymorphisme et des modifications dues à l'âge des mouches sur la fécondité et la taille des pontes de A. ludens Loew (Dipt. Tephritidae). L'étude a concerné aussi l'influence de la dimension, de la couleur et de la densité des hôtes sur la taille des pontes. Des mouches isolées ou par groupes ont reçu des hôtes artificiels formés de sphères d'agar enveloppées dans du parafilm. La fécondité brute de femelles isolées a été de 1000 oeufs/femelle et de 165 pontes/femelle, avec une variation de 1 à 40 oeufs/ponte. La taille moyenne des pontes des différentes femelles isolées s'étalait de 4,5 à 10,6 oeufs/ponte. Le nombre d'oeufs/ponte des femelles groupées était fortement liée à la dimension de l'hôte, s'étalant de 4,4 oeufs/ponte pour des hôtes de 2 cm de diamètre à 12,7 oeufs/ponte pour ceux de 11 cm de diamètre. Ni la couleur et la densité des hôtes, ni la densité et l'âge des mouches n'ont influé sur la taille des pontes. Ces résultats suggèrent que les variabilités du comportement des femelles et de la dimension des hôtes déterminent par priorité la taille des pontes de A. ludens.
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8.
Pieris rapae (L.) oviposited readily on paper wetted with sinigrin solution, if it was yellow, green, light blue or white, but not if violet, red, or black. On violet discs, feeding responses distracted the butterflies from oviposition and they often laid on neighbouring green discs which lacked sinigrin. When some discs with water and others with sinigrin solution were offered together, butterflies oviposited more on water discs of the same colour as the sinigrin discs, as opposed to those of a different colour. Within a range of sinigrin solutions tested (10–1000 ppm) the higher concentrations elicited most oviposition. Preference was slight for different concentrations applied to physically identical discs, but marked for the higher of two concentrations (100 vs 75 ppm) on discs of different but equally acceptable appearance. It was concluded that by trial-and-error, ovipositing butterflies learnt to associate the appearance of the oviposition site with its contact chemical stimuli, and that learning either increased or decreased the specificity of responses to sinigrin-treated discs, according to the design of the assay. Learning influenced preference differently in butterflies offered two as opposed to three kinds of acceptable site.
Résumé La ponte de Pieris rapae L., phytophage spécialiste de crucifères, a été étudiée avec des rondelles de papier buvard coloré, imbibées avec une solution de sinigrine, substance spécifique, non volatile, des plantes hôtes. Les papillons ont bien pondu lors de répétitions sur papiers jaune, vert, bleu clair ou blanc, et peu sur papiers rouge, violet ou noir. Avec des rondelles violettes, la prise d'aliments a distrait de la ponte, et des oeufs ont alors été souvent pondus sur des rondelles vertes proches sans sinigrine. Quand des rondelles avec de l'eau et d'autres avec des solutions de sinigrine ont été offertes simultanément, les papillons ont pondu plus sur les rondelles imbibées d'eau de la même couleur que celles avec de la sinigrine, que sur celles d'une autre couleur. Dans la gamme des concentrations de solution de sinigrine examinées (10 à 1000 ppm les plus élevées ont induit les pontes les plus importantes. Il y a eu peu de préférence entre des rondelles de même couleur ayant des concentrations différentes, mais le choix a été net quand les rondelles étaient de couleurs différentes et pourtant acceptables, dans ces conditions la concentration la plus élevée (100 versus 75 ppm) était préférée. On peut en conclure que les papillons, par un apprentissage avec essai et erreur, lors de la ponte ont associé l'aspect du lieu de ponte avec les stimulations chimiques de contact; l'apprentissage a, soit augmenté, soit réduit la spécificité des réponses aux rondelles traitées à la sinigrine, suivant les conditions de l'expérience. La discussion examine la signification du tambourinage par les pattes antérieures comme séquence préliminaires de la ponte.
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9.
Secondary effects of the entomopathogenic hyphomycete Beauveria bassiana (Bals.) Vuill. were investigated on adults of Leptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera:Chrysomelidae) treated as newly moulted 4th-instar larvae. Fecundity and egg hatching were monitored in surviving females mated with surviving males. When reared at 22°C, adult survivors showed a lessening of their reproductive potential during their whole life. According to the fungal inoculum dosage, the reductions of the total number of eggs laid per female and the mean number of eggs per egg mass ranged from 20% to 56% and from 18% to 46%, respectively. In contrast, at 25°C, the fecundity of survivors was not affected by the fungal infection. This variability of the secondary effects of B. bassiana according to temperature conditions might be related to the lower infection level of treated larvae at 25°C. Moreover, at both temperatures, eggs laid by females surviving fungal infection as larvae were as fertile as eggs laid by control insects. It is concluded that secondary effects of B. bassiana on the fecundity of the Colorado Potato Beetle are temperature-dependent and that they could become negligible at high temperatures under field conditions.
Résumé Les effets secondaires de l'hyphomycète entomopathogène, Beauveria bassiana (Bals.) Vuill. sur la fécondité et la fertilité des insectes survivant à l'infection fongique ont été étudiés chez les adultes du doryphore Leptinotarsa decemlineata Say (Coleoptera:Chrysomelidae) issus de larves contaminées en début de 4ème stade. Les insectes maintenus à 22°C ont présenté une réduction de leur potentiel reproductif. Ainsi, suivant la dose d'inoculum fongique, le nombre total d'oeufs pondus par femelle et le nombre moyen d'oeufs par opplaque ont baissé de 20% à 56% et de 18% à 46%, respectivement. En revanche, à 25°C la fécondité des adultes survivants n'a pas été affectée par la maladie. Cette variabilité en fonction des conditions thermiques peut être liée à la diminution de l'effet-dose du champignon sur les larves à 25°C par rapport à 22°C. Par ailleurs, quelles que soient les conditions thermiques (22°C ou 25°C) on ne constate aucun changement significatif de la fertilité des oeufs pondus par les femelles survivantes. Les auteurs concluent que les effets secondaires de B. bassiana sur la fécondité du doryphore dépendent des conditions thermiques et qu'ils pourraient devenir négligeables à des températures élevées en plein champ.
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10.
L'influence de quelques variables liées aux plantes de Phaseolus vulgaris (date de maturation, hauteur et nombre de graines dans les gousses) sur la ponte de la bruche du haricot Acanthoscelides obtectus a été étudiée dans la nature sur 20 pieds de haricot dont toutes les gousses ont été suivies puis récoltées.Les résultats montrent une bonne corrélation entre le nombre d'oeufs émis dans une gousse et le nombre de jours avec présence d'adultes sur cette gousse. La date de maturation influence fortement la contamination des gousses. Au niveau spatial, les pieds situés dans des zones non désherbées, où peuvent s'alimenter les adultes, sont les plus contaminés. Les autres variables semblent avoir moins d'importance.On note une très forte agrégativité des pontes dans certaines gousses qui sont, en général, parmi les premières mûres, mais cette agrégativité persiste même si les femelles ont le choix, sur un même pied, entre plusieurs gousses arrivées ensemble à maturité.  相似文献   

11.
When the seven available instars and morphs of the aphid, Hyperomyzus lactucae (L.), were exposed together to oviposition by its hymenopterous parasite, Aphidius sonchi Marshall, the numbers of eggs laid were highest in the nymphal instars, particularly in third instar hosts. Adult aphids and alatiform nymphs had the least numbers of eggs laid in them.When the seven instars and morphs were exposed separately, comparatively fewer eggs were laid in both third and fourth (apteriform) instar hosts. These results suggested that, when given a choice, the parasite prefers larger apteriform nymphs.The distribution of eggs among individuals of the same instar during the 3-h test exposure was generally found to be random.
Résumé Quand les sept stades et types du puceron Hyperomyzus lactucea L. sont présentés ensemble à la ponte de son hyménoptère parasite, Aphidius sonchi Marshall, le nombre d'oeufs pondus est particulièrement élevé dans les larves de l'hôte au 3ème stade. Les pucerons adultes et les larves alatiformes avaient reçu le plus faible nombre d'oeufs. Quand les différents types et les sept stades sont exposés séparément, comparativement moins d'oeufs sont pondus à la fois sur les larves des 3ème et 4ème stades aptériformes. Ces résultats suggèrent que, quand on lui donne le choix, le parasite préfère les plus grosses laryes aptériformes. La distribution des oeufs parmi les individus du même stade était généralement au hasard.
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12.
Females of the gall midge Rabdophaga terminalis (H. Loew) (Diptera: Cecidomyiidae) are very selective in their choice of host plants at oviposition. In preference trials, eggs were laid almost exclusively on S. alba and S. fragilis. One single oviposition occurred on S. viminalis but none on S. triandra, S. daphnoides or S. smithiana. Significantly more eggs were laid on S. alba than on S. fragilis. No differences were detected between clones of the same species regarding oviposition in laboratory trials. Within the species of S. alba, larger buds were preferred. However, this did not explain the preference of S. alba to S. fragilis. There was agreement between plant species selected by the females and survival of the larvae. No galls developed when eggs were transferred to species that were not oviposited on. There was no difference between S. alba and S. fragilis in larval growth, but after two weeks of development there was a significantly higher proportion of larvae in cocoons and pupae on S. alba. There was a negative linear relationship between weight of larvae and larval number per gall, indicating larval competition. The negative slope was steeper for S. alba than for S. fragilis when larvae were weighed after two weeks of development. There were some discrepancies between laboratory and field data on infestation of S. alba and S. fragilis. Higher infestation levels were related to denser stands in the field.
Résumé Etude de la ponte et des performances larvaires de Rabdophaga terminalis (Diptera; Cecidomyiidae) sur plusieurs espèces de saules avec examen particulier de l'influence de la taille des bourgeons.La ponte et les performances larvaires de la cécidomyie galliforme, Rabdophaga terminalis (H. Loew) ont été étudiées sur plusieurs espèces et clones de saules cultivés en Suède. Les femelles sélectionnent avec soin les plantes hôtes lors de la ponte. Dans des essais préférentiels, les oeufs ont été pondus presque exclusivement sur S. alba et S. fragilis; une ponte a été observée sur S. viminalis et aucune sur S. triandra, S. daphnoïdes ou S. smithiana. Significativement plus d'oeufs ont été pondus sur S. alba que sur S. fragilis. Les essais au laboratoire n'ont pas permis de déceler des différences entre clones de la même espèce. Chez S. alba, les plus gros bourgeons étaient préférés, mais ceci ne permet pas d'expliquer la préférence pour S. alba par rapport à S. fragilis. Il y a coïncidence entre les plantes choisies par les femelles et al survie des larves; il n'y avait pas développement de galles quand des oeufs étaient transférés sur des espèces qui n'avaient pas reçu de pontes. La croissance larvaire sur S. alba et S. fragilis ne présentait pas de différences, mais après 2 semaines de développement il y avait significativement plus de larves en cocons et pupes sur S. alba. La corrélation entre le poids des larves et le nombre de larves par cellule était linéaire et négative, ce qui indique une compétition larvaire; la pente était plus raide pour S. alba que pour S. fragilis quand les larves étaient pesées au bout de 2 semaines de développement. Il y a eu quelques discordances entre les résultats au laboratoire et les données de terrain sur la contamination de S. alba et S. fragilis. Les plus fortes contaminations étaient observées à l'extérieur sur pépinières denses.
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13.
Fourth instar gypsy moth larvae, Lymantria dispar, from a laboratory colony were transferred between artificial diet and three ages of leaves from a preferred tree, Quercus rubra. Mortality after transfers was generally minimal (<13.3%) and did not differ from mortality of larvae remaining on the same food. Larvae that were transferred to a new food accepted artificial diet and the early season foliage that is normally eaten by early instars as readily as larvae that were not transferred. Pupal weights from larvae continually fed artificial diet or transferred from artificial diet to early season foliage were not significantly different. For trials beginning during June and later, 12-day weight gain and pupal weight were greater for individuals transferred to or reared continually on artificial diet than for individuals transferred to or reared continually on mature foliage.First instars of wild larvae fed artificial diet gained less weight after 3 weeks than foliage-fed first instars. Pupal weights of wild larvae transferred from June foliage to artificial diet as fourth instars were not significantly different from pupal weights of wild larvae remaining on foliage. Thus, the response of laboratory colony larvae to artificial diet was superior to that of wild larvae.
Résumé Des chenilles du quatrième stade de L. dispar, élevées au laboratoire sur régime artificiel et sur feuilles de différents stades de leur chêne préféré, Q. rubra, ont été transférées de l'un à l'autre de ces régimes alimentaires. La mortalité après transfert est généralement faible (<13,3%) et de même importance que pour les chenilles maintenues sur le régime artificiel. Les chenilles transférées sur un nouvel aliment ont accepté le régime artificiel ou le feuillage jeune,- normalement consommé par les premiers stades larvaires-, aussi facilement que les chenilles qui n'avaient pas été transférées. Les poids des chrysalides des chenilles élevées continuellement sur régime artificiel ou transférées sur feuillage jeune n'ont pas présenté de différences significatives. Pour des expériences commencées en juin ou ultérieurement, les gains de poids à 12 jours et pour les chrysalides sont plus élevés pour les insectes maintenus ou transférés sur régime artificiel que pour ceux transférés ou maintenus sur feuillage âgé.Le poids des chrysalides, provenant de chenilles de la nature tranférées au quatrième stade, d'un feuillage de juin à un régime artificiel, n'a pas différé significativement du poids des chrysalides provenant de chenilles maintenues sur feuillage. Les premiers stades de chenilles de la nature élevées sur régime artificiel ont pris moins de poids en trois semaines que les premiers stades ayant consommé du feuillage.
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14.
The active or dispersing morph of Callosobruchus maculatus, a pest of stored cowpeas, is presumed to infest cowpea plants in the field prior to harvest. In oviposition choice tests, both normal and active females preferred pods that were full-size but still green over younger, smaller pods or older, mature pods. Exposed seeds were usually preferred over intact pods of all stages, although females laid more eggs on green pods than on the rough-coated seeds of one cowpea variety. Egg-to-adult survivorship was highest for eggs laid directly on seeds. On both green and mature pods high mortality occurred because newly hatched larvae failed to penetrate a seed after they drilled through the pod wall. However, since 20–50% of eggs laid on green pods do develop into adults, cowpea plants are susceptible to C. maculatus well before pods dehisce to expose the seeds. The oviposition preferences of C. maculatus may be strongly influenced by the surface texture of potential oviposition sites.
Résumé La forme active de Callosobruchus maculatus, ennemi de Vigna unguiculata stocké, est suspectée d'infester les gousses dans les champs avant la récolte. Lors d'essais sur le choix du lieu de ponte, toutes les femelles, normales et actives, ont préféré les gousses encore vertes mais ayant atteint leur taille définitive aux gousses plus jeunes ou aux gousses plus âgées (jaunes) ou mûres. Les graines étaient presque toujours préférées aux gousses à tous les stades, mais quand les graines étaient rugueuses, elles pondaient de préférence sur les gousses vertes.Le pourcentage le plus élevé d'adultes a été obtenu à partir des oeufs pondus sur les graines. Avec les pontes sur gousses vertes ou mûres, la mortalité élevée se produisait lors de la pénétration dans la gousse. Néanmoins, comme 20 à 50% des oeufs pondus sur des gousses vertes donnent des adultes, V. unguiculata est susceptible d'être attaqué par C. maculatus bien avant la déhiscence des gousses et l'exposition des graines. L'évolution temporelle des propriétés physiques des gousses paraît à l'origine de la relation complexe entre l'âge et l'attractivité des gousses.
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15.
Ovipositional stimulants and diets were tested in vitro using several rearing methods to determine effects on the growth and development of Trichogramma pretiosum Riley. Highest yields of pupae were obtained when Manduca sexta (L.) hemolymph was added to a chicken egg yolk and milk diet. However, this hemolymph based diet (BD) produced low yields (6–7%) of adults. When a similar diet containing 20% M. sexta egg liquid (BDE) was used, the yields of adults increased 7–13 fold to as high as 75.9%. For T. pretiosum reared on the BDE diet in microtiter plates, the adult yields were 46.9 and 63.6%, respectively, when the ovipositional stimulants were either the KCl-MgSO4 solution or the BDE diet. Thus, the harmful effects of the salt oviposition solution were significant but perhaps not so great as to prevent the use of this technique for in vitro mass production of T. pretiosum. Although the ovipositional salt solution reduced adult yields, the effect was much smaller than the nutritional or physiological effect of deleting M. sexta egg liquid from the diet.
Résumé Une faible production de nymphes de Trichogramma pretiosum Riley a été obtenue quand le substrat alimentaire était de l'hémolymphe de Manduca sexta L. Un régime (BD) comprenant de l'hémolymphe, du jaune d'oeuf et du lait a donné une bonne production de nymphes mais une faible production d'adultes. L'addition de 20% de contenu d'oeufs de M. sexta en régime BD a donné jusqu'à 75,9% d'adultes. Quand l'exposition des oeufs de T. pretiosum a une solution stimulant la ponte (0,68% KCl, 0,60% MgSO4, 7H2O) a dépassé 6 h à 27°C, la survie des oeufs a été sérieusement affectée. Des expositions plus courtes ont été indispensables au succès de l'élevage in vitro; cependant l'exposition aux solutions salines a réduit la production d'adultes. Cet effet a été partiellement maîtrisé par l'addition du contenu d'oeufs au régime artificiel. Les effets négatifs de la solution saline ont été faibles en comparaison de la saisissante augmentation de la production d'adultes due à l'addition du contenu d'oeufs de M. sexta au régime à base d'hémolymphe (BD). Nous en concluons (1) que la présence de constituants des oeufs de l'hôte dans les régimes artificiels a provoqué les productions élevées indiquées par les autres auteurs utilisant des régimes à base d'hémolymphe; (2) que T. pretiosum et T. dendrolimi Matsumura ont des besoins nutritifs différents puisque d'autres auteurs ont obtenu des productions élevées de T. dendrolimi adultes avec des régimes alimentaires privés d'extraits d'oeufs. Sur les trois techniques d'élevage in vitro utilisées, la méthode dite de goutte multiple a donné les productions de nymphes et d'adultes de T. pretiosum les plus élevées et présente plusiers autres avantages significatifs. La production de masse in vitro de T. pretiosum dépend maintenant de l'identification et de la synthèse des facteurs de croissance contenus dans l'hémolymphe et les oeufs.
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16.
The effect of parental age at oviposition on the offspring of diapaused and non-diapaused females of Heliothis zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae) was examined under laboratory conditions. Diapause was induced in the laboratory by reducing day lengths and temperatures. The number of eggs per female, duration of the egg stage, percent hatch, duration of the larval stage, percent pupation and four-day pupal weights of progeny from diapaused and non-diapaused adults were determined. Significantly reduced egg production and increased duration of egg and larval stages occurred in offspring of diapaused females, but no effect on hatching and pupation percentages and pupal weights were observed. The possible effects of these differences on reproductive potential and length of generation are discussed.
Résumé Nous avons examiné au laboratoire l'influence de l'age des parents au moment de la ponte sur la descendance des femelles d'Heliothis zea Boddie diapausantes ou non. La réduction de la longueur du jour et de la température avait induit la diapause au laboratoire. L'étude a porté sur le nombre d'oeufs par femelle, la durée de l'incubation des oeufs, le taux d'éclosion, la durée du développement larvaire, le taux de nymphose et le poids des chrysalides de 4 jours chez les descendants d'adultes diapausantes ou non. Chez les descendants des femelles diapausantes, la production d'oeufs est significativement réduite; de même, l'incubation des oeufs et le développement larvaire sont significativement prolongés; mais on n'a observé aucun effet tant sur les taux d'éclosion et de nymphose que sur le poids des chrysalides. La discussion porte sur les influences envisageables de des différences dans le potentiel reproducteur et la durée des générations.
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17.
Preadult development and survival rates for a wild strain of melon fly in Hawaii were examined when reared on six common hosts at 25°C. These data were combined with information gathered on adult survival, fecundity and fertility in order to construct life tables.The duration of the egg stage was slightly over 1 day for this species. Depending on host, larval-to-adult development and survival rates were 17–20 days and 35–85%, respectively. Gross fecundity (total eggs) was 1293 eggs/ while net fertility (total fertile eggs weighted by hatch and adult survival) was 518 fertile eggs/. The finite rate of increase () for the species was conditional on the host on which it was reared and ranged from 1.08 to 1.12. The percent of adults in the stable age distribution averaged around 14% over all hosts.
Démographie d'une souche de Dacus cucurbitae Coquillet, originaire d'Hawaii
Résumé Le développement préimaginal et les taux de survie d'une souche sauvage de D. cucurbitae de Hawaí sur six hôtes courants ont été examinés à 25°C. Ces résultats ont été combinés aux informations récoltées sur la survie des adultes, la fécondité et la fertilité pour réaliser des tables de vie.La durée du stade oeuf est légèrement supérieure à un jour pour cette espèce. La durée de développement de l'éclosion de l'oeuf à l'imago et les taux de survie ont été respectivement de 17 à 20 jours et de 35 à 85% suivant les hôtes. La fécondité brute (ponte totale) a été de 1293 oeufs par femelle, tandis qui la fertilité (nombre total d'oeufs fertiles pondéré par les taux d'éclosion et de survie des adultes) était de 518 oeufs fertiles par femelle.Le taux d'accroissement () variait de 1,08 à 1,12 suivant l'hôte sur lequel D. cucurbitae a été élevé. La proportion d'adultes dans une distribution en âge stable était d'environ 14% sur tous les hôtes.
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18.
In a 1 ha haricot bean (HB) (Phaseolus vulgaris L.) field strip-cropped with 2 rows of maize (MZ) (Zea mays L.) on either side and then at 25 m intervals, the number of African bollworm (ABW) (Heliothis armigera (Hubner) (Lepidoptera: Noctuidae)) eggs + larvae on MZ was higher than that on HB by a factor of nearly 18. In a replicated experiment where five trap crops were compared with HB, as a check, all of them contained significantly greater numbers of ABW eggs + larvae than the check. Among the crops tested, lupin (LP) (Lupinus termis Forsk.) and pigeon pea (Cajanus cajan (L.) Millsp.) followed by hyacinth bean (Dolichos lalab L.) contained the highest ABW egg + larval population while sunflower (Helianthus annuus L.) contained the lowest; MZ was intermediate. On the other hand, HB plots bordered with MZ suffered significantly lower percent pod damage by ABW than did the check. Although grain yield differences among treatments were not significant, MZ-bordered plots gave nearly 22% higher yield than the check during the heavy ABW infestation in 1982. These differences were less obvious during the 1983 season because of low ABW infestation. In hot pepper (Capsicum spp.) strip-cropped with lupin, egg + larval counts on the latter were greater by a factor of nearly four in 1981 and 18 in 1982. It is concluded that trap-cropping has a great potential in the integrated management of ABW.
Résumé En 1981, dans un champ de haricot (Phaseolus vulgaris), des cultures pièges de maïs (Zea mays) ont été semées en rangs doubles tous les 25 m et de chaque côté du champ, soit un total de 5 rangs doubles. Le nombre d'H. armigera (oeufs + chenilles) a été près de 18 fois plus élevé sur maïs que sur haricot.En 1982 et 1983, l'attractivité de 5 cultures pièges: Dolichos lablab, Lupinus termis, Z. mays, Cajanus cajan et Helianthus annuus, a été comparée à celle du haricot. Toutes ces plantes portaient un nombre d'oeufs et de chenilles supérieur au témoin (P. vulgaris). L'ordre décroissant des contaminations était: L. termis, C. cajan, D. lablab, Z. mays et H. annuus. Les rangs de P. vulgaris bordés par des rangs de Z. mays étaient moins contaminés que les témoins. Bien que les différences de rendements en graines suivant les expériences n'aient pas été significatives, les parcelles bordées de maïs ont fourni une récolte supérieure de 22%, pendant l'année 1982, où la contamination par H. armigera a été forte. En 1983, où l'infestation a été faible, les différences étaient moins claires.En 1981 et 1982, 5 rangs de L. tremis à 25 m d'intervalle ont été utilisés comme pièges pour protéger le piment fort (Capsicum spp.). Les décomptes d'oeufs et de chenilles ont été respectivement près de 4 et 18 fois plus élevés.La conclusion est que les cultures pièges ont un grand avenir dans la lutte intégrée contre H. armigera.
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19.
The feeding responses of newly hatched larvae of Papilio demoleus on the diet with preservatives were as high as on the diet without preservatives though less than those on the host lime leaves. However, when the larvae were reared upto the 5th instar on the host lime leaves or the diet with or without preservatives, their feeding responses towards host lime leaves and the diet without preservatives were equally high. The diet with preservatives reared larvae showed 100% response when tested on the same diet. But their response towards diet with preservatives declined to 80% when the larvae were reared on the diet without preservatives and to 10% when they were reared on the host lime leaves. The larvae seem to have an aversion against the preservatives if reared in their absence which was enhanced by their experience of feeding on the host leaves during their ontogeny.
Influence des agents de conservation sur la prise de nourriture par les chenilles de Papilio demoleus
Résumé La prise de nourriture par des chenilles néonates de P. demoleus est aussi élevée sur régime avec agents de conservation qu'en leur absence, bien qu'elle soit inférieure à celle qui est observée sur les feuilles de son hôte Citrus limettioides. Cependant, quand les chenilles ont été élevées jusqu'au 5ème stade sur des feuilles de C. limettioides, ou sur des régimes avec ou sans conservateurs, leur prise de nourriture sur feuilles de C. limettioides, et régime sans conservateur est aussi importante. Toutes les chenilles élevées sur régime avec conservateur ont consommé lorsqu'elles avaient été maintenues sur le même régime. Par contre, leurs réactions face à un régime contenant des conservateurs a entraîné une diminution de près de 20% après élevage sur un régime sans conservateur, et de près de 90% après élevage sur feuilles de C. limettioides. Les chenilles semblent manifester de l'aversion envers les conservteurs si elles ont été élevées en leur absence, aversion renforcée lorsqu'il y avait eu préalablement alimentation sur feuilles de C. limettioides.
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20.
The leaf puncturing, ovipositional and feeding behavior of Liriomyza trifolii was investigated on a preferred and non-preferred host (chrysanthemum and tomato, respectively). The sequence of leaf-puncturing behavior was stereotypic on both hosts, with a high probability of transition from one event to the next once the sequence is initiated. Two types of leaf punctures were made: a large fan-shaped puncture without an egg and tubular-shaped punctures with or without an egg. Regardless of the type of leaf puncture created, the female always backed over the puncture to feed. Therefore, all leaf punctures can be considered as feeding punctures. Fewer slow abdominal thrusts were noted for flies during oviposition compared to leaf puncturing only on chrysanthemum and tomato. The major differences noted between hosts were that L. trifolii fed for a significantly shorter period and spent less time during the leaf puncturing sequence on tomato vs. chrysanthemum. This suggests a repellent/antifeedant present in the former host which is detected through gustatory mechanisms. The deposition of an epideictic pheromone during oviposition was not detected.
Résumé L'étude des comportements de piqûre, de ponte et d'alimentation de Liriomyza trifolii a été réalisée sur hôtes préférés ou non (Chrysanthème ou tomate). Les séquences du comportement de piqûre de feuilles sont stéréotypées sur les deux plantes, avec une forte probabilité de transmission d'une séquence à la suivante quand le comportement a débuté.II y avait deux types de piqûres de feuilles: de larges piqûres coniques sans oeufs et des piqûres tubulaires avec ou sans oeuf. Sans considération du type de piqûre, la femelle retourne sur la piqûre pour s'alimenter. Ainsi, toutes les piqûres peuvent être considérées comme des piqûres alimentaires. Moins de lentes contractions abdominales ont été observées chez les mouches pondant que chez celles piquant uniquement, tant sur chrysanthème que tomate. Les principales différences observées entre hôtes ont été que L. trifolii s'alimentait pendant moins longtemps et passait moins de temps pendant la perforation sur tomate que sur chrysanthème. Ceci suggère la présence d'un répulsif/dissuadant chez la tomate qui serait décelé par la gustation. Aucun dépôt de phéronome épidéictique n'a été mis en évidence pendant la ponte.
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