首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 31 毫秒
1.
Apterous and alate Sitobion avenae (Fab.) were dissected from the third instar onwards and the size and degree of development of their largest embryos recorded. From at least the third instar apterae had larger and more well developed embryos than alatae. Embryos in both morphs showed an exponential increase in volume with time during their mothers' nymphal development, but those in apterous mothers grew faster. Although alatae had a longer pre-reproductive development than apterae, it was not long enough to compensate for the lower embryo growth rates in alatae and as a consequence they initially produced smaller and fewer offspring than apterae. After 4 days of reproduction apterous and alate mothers produced similar sized offspring and at the same rate. The total fecundity of apterae was greater than that of alatae.
Résumé La taille et l'état de développement des plus gros embryons de Sitobion avenae Fab ont été examinés par dissection d'ailés et aptères à partir du troisième stade. La taille des embryons des 2 morphes augmente pendant le développement larvaire des mères, mais ceux des mères aptères grossissent plus vite. Bien que la période précédant la reproduction des alates soit plus longue chez les ailés que chez les aptères, les embryons des ailés sont néanmoins incapables de l'emporter en taille sur les aptères, et les ailés produisent initialement moins de pucerons et plus petits que les aptères. Après 4 jours de reproduction, les mères ailées et aptères produisent des pucerons de même taille au même rythme. La fécondité totale des aptères est supérieure à celle des ailés; la différence est liée à la biologie des 2 morphes.
  相似文献   

2.
The fecundity of asexual and sexual morphs of Sitobion avenae (F.) is compared. The cost of sex is quantified in terms of the reduction in numbers of offspring produced. The cost is much greater than the halving of fecundity that is usually assumed to be associated with the production of males.
Résumé Les fécondités des virginipares ailés, des gynopares ailés et des ovipares d'un même clone de Sitobion avenae ont été déterminées à 12°C. Bien que les types qui ayant donné naissance à des sexués aient eu une fécondité initiale plus élevée que celle de la lignée asexuée, celle-ci a été significativement plus féconde après 15 jours de reproduction.Les résultats du laboratoire ont été utilisés pour évaluer la fécondité de lignées sexuées et asexuées pendant quatre générations à 12°C. La reproduction parthénogénétique a présenté un avantage numérique sur la reproductions sexuée dans le rapport 320/1. La reproduction sexuée a été accompagnée d'une diminution significative de la fécondité potentielle. Bien que la reproduction sexuée de S. avenae soit avantageuse dans les régions où les hivers sont durs, parce que les oeufs sont résistants au froid, les lignées asexuées présentent un avantage considérable en ce qui concerne la fécondité potentielle pour l'augmentation de la population en automne et elles conservent de plus la capacité d'un accroissement numérique ultérieur si l'hiver est doux.
  相似文献   

3.
Alate virginoparae of Cinara pinea occur on Scots pine trees only during June and early July, when population numbers are at their highest. Crowding experience during nymphal life promotes the development of winged adults, but only if the tree is in the stage of active shoot growth. Later in the season when shoots are mature, alatae are suppressed, irrespective of crowding. Changing daylength and temperature do not appear to influence alate production and maternal experience of crowding has no effect on the nymphal response. The possible nature of the host plant effect is discussed in the light of this and previous work.
Résumé Les virginipares ailés de Cinara pinea apparais sent sur Pinus sylvestris L. uniquement en juin et au début juillet, quand les effectifs de la population sont au plus haut. Des expériences de surpeuplement pendant le dernier stade larvaire n'induisent le développement d'adultes ailés que si l'arbre est au stade où la croissance des pousses est active. Plus tard dans la saison, quand les pousses sont mûres, les ailés sont réprimés, quel que soit le surpeuplement. Les modifications de la longueur du jour et de la température ne semblent pas influencer la production d'ailés et le surpeuplement subi par les mères n'a pas d'effet sur la réponse des larves âgées. La nature de cet effet de la plante-hôte est envisagée à la lumière de cette étude et de travaux précédents.
  相似文献   

4.
Apterous virginoparae and alate virginoparae that had flown and not flown of Megoura viciae were crowded and the morphs of the resulting offspring compared. Flying alatae that had flown produced few if any alate offspring whereas alatae which did not fly produced alatae as readily as do apterae.
Résumé Certaines femelles virginipares ailées de Megoura viciae ne volent jamais. Des expériences ont été réalisées en vue de préciser le type de descendants qu'engendrent ces femelles.La descendance de virginipares ailées qui n'ont pas volé, de virginipares ailées qui ont volé, enfin de virginipares aptères, est étudiée et comparée dans des conditions expérimentales strictes.Le pourcentage moyen d'ailés produits par ces divers types de femelles virginipares est de 22,3% par les virginipares aptères, 1,1% par les virginipares ailées qui ont volé et 21,8% par les virginipares ailées qui n'ont pas volé. Ces derniers sont donc susceptibles de produire des ailés au même titre que les aptères. Le vol, d'une façon quelconque, est cause de l'inhibition de la production d'ailés par les virginipares ailées.
  相似文献   

5.
When subjected to high population densities, Psoquilla marginepunctata (Hagen) produced more macropterous females than males. This sex ratio bias was due to the greater sensitivity of female nymphs to crowding. About 50% of the female nymphs, subjected to crowding up to the end of the 4th instar and later, developed into marcropterous adults. In males, macroptery never reached 50% under the conditions studied. If the nymphs were brought under crowding conditions during one of the six instars only, less than 50% macroptery occurred in both sexes.The effect of crowding was probably mediated through physical contacts between nymphs. Nymphs reared under crowded but uncontaminated conditions, responded more strongly than nymphs kept under contaminated conditions. Contamination, especially by excreta, probably reduced the number of contacts between nymphs, while uncontaminated condition increased contacts, and hence promoted macroptery.Periodic shortage of food induced macroptery in isolated nymphs. Starvation possibly reduced the secretory activity of the corpora allata, resulting in juvenile hormone deficiency which in turn led to the development of long-winged forms.
Résumé Aux fortes densités, Psoquilla marginepunctata produit plus de macroptères femelles que mâles. Ce taux sexuel biaisé est provoqué par la plus grande sensibilité des larves femelles au groupement. Environ 50% des larves femelles, groupées jusqu'à la fin du 4ème stade larvaire et plus, donnent des adultes macroptères. Dans ces conditions, la macroptérie des mâles n'atteint jamais 50%. Les larves groupées pendant un seul des 6 stades ne donnent jamais 50% de macroptères dans aucun des sexes. Les effets du groupement sont probablement provoqués par les contacts physiques entre larves. Les larves groupées dans des conditions sanitaires satisfaisantes réagissent plus fortement que lorsque les conditions sont peu satisfaisantes. La contamination, particulièrement par les excréments, réduit probablement le nombre de contacts entre les larves, tandis que la propreté augmente les contacts, et ainsi provoque la macroptérie. L'absence périodique d'aliments induit la macroptérie chez les larves isolées. Il est possible que le jeûne réduise l'activité sécrétrice des corpora allata, provoquant un déficit en hormone juvénile qui, ainsi, entraîne la formation d'individus à ailes longues.
  相似文献   

6.
The development time, survivorship and age-specific fecundity of apterous and alate virginoparae of the sowthistle aphid, Hyperomyzus lactucae (L.) (Homoptera: Aphididae), reared on Sonchus oleraceus L., were measured under various temperature and light regimes. Within the temperature range of daily means of 12.5–24°C, speed of development and reproductive rate increased, while life span and total fecundity decreased, with an increase in temperature. The relationship between temperature and rate of development was nearly linear, with a notional development threshold estimated at about 2°C. The intrinsic rate of increase (rm) was positively correlated with temperature when calculated on a daily basis, but was inversely related to temperature when measured on a physiological time scale. Alatae generally had a longer development time, and achieved a lower reproductive rate and life-time fecundity, than apterae reared under identical conditions.Comparison of aphid performance under constant and alternating temperature regimes, and between successive generations under the same regime, showed that (1) the conditions experienced by the aphid as an embryo within its mother are important in determining survival and development and (2) tolerable temperature limits vary with the pattern and amplitude of the fluctuations of temperature.At 22°C, changes of photoperiod within the range of 12D:12L to 8D:16L had little effect on aphid performance.
Résumé La durée du développement, le taux de survie et la fécondité en fonction de l'âge ont été suivis chez les virginipares aptères et ailés du puceron: Hyperomyzus lactucae L., élevé sur Sonchus oleraceus L., et soumis à différentes conditions de température et de lumière. A l'intérieur de la gamme de températures moyennes de 12,5 à 24°C, la vitesse de développement et le rythme de reproduction augmentent, tandis que la longévité et la fécondité totale diminuent. La relation entre la température et la durée du développement est presque linéaire, avec un seuil théorique de développement évalué à environ 2°C. Le taux intrinsèque d'accroissement est lié positivement à la température calculée sur une base quotidienne, mais la relation est inversée quand la température est mesurée sur une échelle physiologique. Pour des conditions d'élevage identiques, les ailés ont eu, dans l'ensemble, une durée de développement plus longue, un taux de reproduction et une fécondité totale plus faibles que les aptères.La comparaison des performances des pucerons sous thermopériodes ou températures constantes, ou entre les générations en conditions identiques, a montré (1) que les conditions subies par l'embryon dans la mère conditionnent la survie et le développement; (2) que les limites des températures tolérables changent en fonction du type et de l'amplitude des fluctuations de température.A 22°C, des modifications de la photopériode, dans la gamme; 12D:12L à 8D:16L, ont eu peu d'effet sur les performances des pucerons.
  相似文献   

7.
The main permanent habitats of the Red Locust (Nomadacris septemfasciata (Serv.)) in tropical Africa lie between latitudes 7° and 9° S and between 10° and 16° N. Breeding is confined to the rainy season, which occurs during the longest days of the year in these areas. Both north and south of the equator, the adults emerge as day-length is diminishing and undergo a prolonged imaginal diapause until the next rainy season.When reared in the laboratory in London, adults which emerge in spring or early summer become sexually mature within two months; those which emerge in late summer and autumn, although kept at the same temperature and humidity, enter diapause and do not copulate or oviposit until the following spring. By controlling the length of the daily photoperiod, it has been shown that the seasonal differences in day-length are responsible for the onset of diapause. Constant short photoperiods usually induce a rather shorter diapause than photoperiods diminishing so as to simulate autumn day-length at this latitude (51.5° N). The critical constant photoperiod for the establishment of diapause lies between 12 and 13 hours which corresponds approximately to maximum and minimum day-lengths at 7° N or S. It is therefore possible that day-length is responsible for the establishment of the natural diapause.
Resume On a déjà constaté que, quand on élève le criquet rouge, Nomadacris septemfasciata (Serv.), au laboratoire à Londres, les adultes, malgré le fait qu'on les retient dans une ambiance très constante, montrent de grandes différences saisonnières dans la durie du développement qui conduit à la maturité sexuelle. Les adultes qui émergent à partir du mois d'avril jusque'au mois de juillet deviennent matures sexuellement sans diapause en 11/2 à 2 mois; tandis que ceux qui émergent au début de l'automne, à partir de la mi-août approximativement jusqu'à la fin de septembre, ont une diapause prolongée de 7 à 8 mois; et ceux qui émergent encore plus tard dans l'année, du mois d'octobre jusqu'à mi-décembre, ont une diapause plus courte de 41/2 à 51/2 mois. Les périodes de maturation des adultes qui émergent à partir de janvier et plus tard, diminuent progressivement, en se fondant dans les groupes des non-diapause, qui commencent à émerger au début d'avril. Les expériences exposées dans cette thèse indiquent que les différences saisonnières de la longueur des jours, sont responsables des temps de maturation.Certains groupes de criquets, émergeant comme adultes vers la fin de l'été ou en automne, ont été soumis à des journées de longueur artificielle qui correspondait à la durée des jours de printems qui n'exerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce dans les délais semblables à ceux des groupes qui émergent au printemps. La longueur des jours de printemps qui n'excerce son influence que sur la vie adulte, suffit à produire ce résultat.Quelques larves étaient élevées simultanément dans les conditions d'une durée artificielle des jours du printemps, d'une durée artificielle des jours d'automne, et d'une lumière naturelle des jours d'été à Londres. Les adultes qui avaient émergé au mois de juin étaient ou maintenus dans le même régime de longueur de journée que les larves, ou transférés dans une des autres conditions. Tous les temps de maturation étaient appropriés aux saisons qui correspondaient au régime de durée du jour auquel les adultes étaient retenus, et il n'y avait nulle évidence qu'ils étaient influencés par la durée des jours pendant leur vie larvaire.Les groupes diapause, quand ils étaient soumis à la lumière normale du laboratoire, sont devenus matures, au printemps, au moment où les jours s'allongeaient. Pourtant la maturation n'est pas due à la stimulation causée par un accroissement de la longueur du jour, car on à observé qu'elle arrive en même temps si les criquets ne la subissent pas. Ceci est vrai également à l'égard des deux groupes, celui de longue diapause (qui émerge au début de l'automne) et celui de courte diapause (qui émerge vers la fin de l'automne); il s'ensuit que la diapause plus courte du dernier groupe n'est pas attribuable, comme il semblait probable, au fait qu'on l'avait exposé à la longueur des jours du printemps plus tôt dans la vie adulte. On a trouvé que ces groupes de la dernière partie de l'automne étaient devenus matures dans le même temps s'ils étaient retenus aux courtes photo-périodes constantes de 8 ou 11 heures, ou à la durée changeante des jours d'hiver. On a conclu qu'ils répondent comme à la durée de constants jours courts.Les groupes intermédaires (qui émergent à partir de janvier jusqu'a mars) d'autre part, sont exposés aux jours plus longs du printemps et de l'été encore plus tôt dans la vie adulte, et dans leur cas la diapause est empêchée, ou au moins abrégée, par les jours plus longs. Quand ces groupes sont retenus aux constantes photo-périodes courtes, ils deviennent matures plus lentement que s'ils étaient maintenus à la lumière du jour, et ils ont une diapause de la même longueur que les groupes de courte-diapause.On a conclu de ces résultats que, quand les groupes sont retenus dans conditions de jours-courts, les processus de maturation (manifestés par un accroissement du poids du corps, et par le développement de l'ovaire) sont repris à un certain stade indépendamment de la longueur du jour et sous l'action de stimuli internes. L'exposition aux conditions de jours longs n'est effective que pour accélérer la maturation si elle a lieu avant que ce stade soit atteint.L'observation que les adultes émergeant au début de l'automne ont une diapause plus longue que ceux qui émergent vers la fin de l'automne, reste sans explication. Ceux-là sont exposés à la durée de jours qui décroissent rapidement pendant la vie larvaire et du commencement de la vie adulte, et il semble probable que le changement propre des jours longs aux jours courts puisse amener une diapause plus longue que ne le feraient des jours courts dès le début. A présent, on étudie les effets de la variation de durée des jours.Les adultes retenus dans l'obscurité constante sont devenus matures sans diapause.La grande fluctuation de la longueur des jours, caractéristique de la latitude de Londres, n'est pas nécessaire pour induire les deux types de maturation diapause ou non-diapause. Les plus grandes différences de réponse aux photo-périodes constantes ont eu lieu entre les moyennes correspondant à peu près avec les minimum et maximum de longueurs de jour (y compris les périodes de crépuscule) dans les habitats tropicaux du criquet.Il est discuté ici de la probabilité que le cours de la diapause dans l'habitat tropical naturel soit influencé par la faible fluctuation des longueurs de jour de cet habitat.


The author is Mrs O. W. Richards  相似文献   

8.
Several endocrine-mediated processes in insects are influenced by environmental factors including the density and sex ratio of populations. Effects of grouping on total egg production and rate of vitellogenic ovary development were assessed in virgin Acheta domesticus (L.). Females midway through their last nymphal instar were isolated from a stock population of adults and nymphs of both sexes and maintained in groups or as isolates at 26–27°C, 70% relative humidity, on a 12L-12D photoperiod. The number of fully grown oocytes produced during the first 18 days of adult life was lower for animals in groups of 10 or 15 than for isolates, but antennectomy abolished this group effect. By contrast, terminal and penultimate oocyte length and ovary dry weight were greater in 5-day-old - pairs than in isolates. The presence of mature males during the first 21 days of adult life did not affect total egg production. Whether these group effects on cricket ovary development are mediated by the endocrine system is not yet known.
Interaction entre les facteurs sociaux et le développement ovarien d'Acheta domesticus
Résumé L'étude a examiné les effets de groupement sur la production d'oeufs et sur la vitesse de la vitellogenèse chez les femelles vierges d'Acheta domesticus. Des femelles à la moitié de leur dernier stade larvaire, isolées d'une population adulte de base, et des nymphes des deux sexes ont été conservées en groupes ou isolées dans des récipients en plastique de 150 mm de diamètre et de 25 mm de hauteur à 26–27°C, 70% d'humidité relative et avec une photopériode de 12/12. La production totale des oeufs mûrs formés pendant les 18 premiers jours de vie imaginale était plus faible pour les animaux en groupes de 10 ou 15 que pour ceux qui étaient isolés, mais l'antennotectomie a éliminé cet effet de groupe. Au contraire, la longueur des derniers et avant-derniers ovocytes et le poids sec des ovaires étaient supérieurs pour les paires de 2 femelles de 5 jours que chez les individus isolés. La présence de mâles mûrs pendant les 21 premiers jours de vie imaginale n'a pas eu d'effet sur la production totale d'oeufs. L'hypothèse avancée est que ces effets de groupe (négatifs et positifs) sur le développement des ovaires d'Acheta domesticus ont reflété respectivement des accélérations et ralentissements de la vitellogenèse. La dépendance de l'induction de la vitellogenèse chez Acheta domesticus par les hormones juvéniles est connue (Benford, 1983) ainsi que les changements dans la quantité de produits neurosécréteurs, susceptibles d'être colorés dans la pars intercerebralis au cours du cycle reproductif (Bradley et Simpson, 1981). Nous ne savons pas si ces effets de groupement sur le développement des ovaires de grillon sont médiatisés par le système endocrine.
  相似文献   

9.
Aphid size, although generally a good indicator of fecundity is not a good indicator of aphid performance over a wide range of conditions. In general, the greater the mean relative growth rate (MRGR) of apterous morphs of Rhopalosiphum padi (L.), the greater their fecundity. Intrinsic rate of increase (rm) is even more closely correlated with mean relative growth rate than fecundity.Once these criteria are quantified for a morph of a particular species of aphid over a range of conditions the morphs intrinsic rate of increase on a particular host can be estimated by a quick measure of its mean relative growth rate.
Résumé La taille des pucerons, bien que considérée généralement comme un bon indice de la fécondité, n'est pas un bon indice pour leurs performances dans une grande gamme de conditions. En général, plus le taux moyen de croissance relative est élevé chez les types aptères de Rhopalosiphum padi, plus leur fécondité est importante. Le taux intrinsèque de croissance (rm) est encore plus étroitement lié au taux moyen de croissance relative que la fécondité.Une fois que ces critères ont été quantifiés pour un type d'une espèce donnée de puceron dans une gamme de conditions, les taux intrinsèques de croissance des différents types sur un hôte particulier peuvent être estimés par une mesure rapide de leur taux moyen de croissance relative.
  相似文献   

10.
Résumé Des femelles alimentées d'une souche francaise de bruche du haricot, fécondées peu après leur émergence, ne sont mises en présence des grains de la plante-hôte qu'après un délai plus ou moins long: jusqu'à 50 jours de délai, la stimulation de la production ovarienne est aussi forte que chez les femelles mises avec des grains dès la copulation, mais la proportion d'oeufs émis est plus faible.D'autre part, à âge identique, les effets de la stimulation de la production ovarienne sont plus marqués lorsqu'il y a retard simultané de la fécondation et de la présence des grains que lorsque celle-ci est retardée par rapport à la fécondation.Ce n'est pas chez les femelles les plus jeunes que les effects de la stimulation combinée et simultanée de la production ovarienne sont les plus importants, mais chez des femelles âgées de 20 à 30 jours. Cet âge correspond à la fin de la période de mâturation du stock de base d'ovocytes formés à partir du corps gras, mâturation qui s'effectue de toute façon, même en absence de tout stimulus externe.
Regulation of egg production in Acanthoscelides obtectus (Coleoptera: Bruchudae): The change in stimulating effect of grain of females of different ages
Summary Females from a French strain of Acanthoscelides obtectus were mated soon after emergence, and after various lengths of time presented with host plant seeds. Even after a deley of 50 days, stimulation of the ovaries occurred as it did when females were presented with seeds as soon as copulation took place, but fewer eggs were produced. For insects of similar age, the stimulating effect of the seeds was greater if they were present when the females were first mated, than if they were presented after a delay. The stimulating effects were greatest in females aged between 20 and 30 days. This age corresponds to the end of the maturation period of the initial stock of ovocytes. This maturation would normally occur even in the absence of external stimuli.
  相似文献   

11.
Résumé La production des castes, notamment des nymphes, futurs imagos ailés et des ouvriers chez leReticulitermes lucifugus est soumise à un cycle biologique annuel. L'auteur montre que dans les colonies naturelles les nymphes apparaissent quelques semaines après l'essaimage des jeunes imagos, vers la fin du printemps en une fois et en grande quantité. Elles se développent pendant l'été et arrivent en automne à l'avant-dernier ou même au dernier stade avant la mue imaginale. En hiver le développement de la colonie est normalement arrêté par le froid. Au début du printemps les nymphes se transforment en imagos et quittent la colonie. Pendant le repos hivernal les sexuées femelles accumulent beaucoup de corps gras et, au moment où les grandes nymphes se transforment en imagos, une ponte massive se produit dans le nid. Après la disparition des imagos la colonie voit son potentiel nutritif considérablement augmenté, puisqu'il n'y a plus de nymphes à nourrir. Pour cette raison les larves, à leur tour bien alimentées, peuvent se transformer en nymphes. Celles-ci, par leur croissance et leur constant besoin de nourriture, abaissent de nouveau le potentiel alimentaire. En conséquence de cette baisse, les larves qui apparaissent pendant l'été et l'automne sont mal nourries et donnent des ouvriers.Si les colonies deReticulitermes l. santonensis ont leur nid dans une maison bien chauffée en hiver, comme c'est le cas dans quelques immeubles de La Rochelle, lecycle annuel peut se transformer encycle semestriel. Les nymphes formées au printemps arrivent à l'état imaginal en automne et essaiment alors. Quand ils quittent la colonie un nouveau cycle commence qui permet un autre essaimage cinq à six mois plus tard, au printemps.L'auteur suppose que le facteur climatique et le facteur alimentaire jouent le rôle principal dans la formation des nymphes et dans le cycle biologique des Termitières.  相似文献   

12.
Differences were observed in the total fecundity and patterns of reproduction of four morphs of Sitobion avenae (F.). The reproductive rates of apterous and alate exules declined gradually with time but decreased rapidly in gynoparae and oviparae. Under short daylengths apterous exules gave birth in three phases; the first consisting mainly of gynoparae, the second of males and the third of non-gynoparous viviparae. The strategic importance of the sequence of morphs and the reproductive behaviour of each is discussed in relation to the maximization of overwintering population size.
Stratégies reproductives des types ailés et aptères de Sitobion avenae F.
Résumé Des différences ont été observées entre les fécondités totales et les modes de reproduction de quatre types de Sitobion avenae. Les taux de reproduction diminuent graduellement dans le temps chez les aptères et ailés virginopares et rapidement chez les gynopares et ovipares. En photophases courtes, les virginopares aptères donnent naissance à trois types: le premier composé essentiellement de gynopares, le second de mâles et le troisième de vivipares. L'importance stratégique de la succession des types et du comportement reproducteur de chacun est discutée en relation avec l'accroissement maximum de la taille de la population hivernante.
  相似文献   

13.
Groups of females of Glossina austeni and G. morsitans morsitans fed on rabbits with 75 ppm sulphaquinoxaline and 7.5 ppm pyrimethamine in their diets had markedly lower fecundity than other groups fed on rabbits supplied with additive-free diets. There was little effect on the longevity of female flies. Females of G. austeni produced normal numbers of puparia for one reproductive cycle, large numbers of aborted larvae in succeeding reproductive cycles and many females eventually became sterile. The effect on G. m. morsitans was less marked but when the dose rate of the additives in the rabbit diet was quadrupled this species also showed greatly reduced fecundity, with no effect on longevity. In G. austeni, those puparia which were produced in later reproductive cycles were lighter and less viable than those produced in the first cycle.It is concluded that the toxicant in the rabbit diet was sulphaquinoxaline acting as a systemic insecticide but, at these low dose rates, at a sub-lethal level. The possible mode of action of sulphaquinoxaline and the significance of the results for the laboratory rearing of haematophagous arthropods are discussed.
Résumé Des groupes de femelles de Glossina austeni et Gl. morsitans morsitans sont nourris sur des lapins, euxmêmes alimentés avec des aliments artificiels de type commercial, qui ont été ou non additionnés de composés chimiques coccidiostatiques, soit 75 ppm de sulfaquinoxaline et 7,5 ppm de pyrimethamine. Quand les glossines sont nourries sur des lapins ayant reçu l'aliment additionné des substances coccidiostatiques, la fécondité de G. austeni (en termes de production de pupes viables par femelle) est réduite de façon nette, bien que la longévité demeure inaffectée; G. m. morsitans se révèle moins sévèrement touchée.Dans les expériences conçues pour étudier l'effet de la sulfaquinoxaline et de la pyrimethamine, les lapins reçoivent un aliment en poudre auquel sont ajoutées des quantités appropriées de ces substances. Des groupes de femelles de G. austeni nourries sur des lapins ayant reçu un aliment contenant 75 ppm de sulfaquinoxaline et 7,5 ppm pyrimethamine se reproduisent normalement pendant un premier cycle reproducteur, après quoi elles engendrent un grand nombre de larves avortées et beaucoup de femelles deviennent éventuellement stériles. Les pupes produites par G. austeni au cours des cycles reproducteurs plus tardifs sont plus légères et moins viables que celles produites lors du ler cycle. Quand le taux des composés coccidiostatiques est quadruplé dans l'aliment des lapins, la fécondité de Gl. m. morsitans est aussi fortement réduite, sans effet sur la longévité. Quand Gl. morsitans est alimentée artificiellement sur du sang contenant 75 et 300 ppm. de sulfaquinoxaline, la fécondité des femelles est sérieusement réduite. Aucune différence ne se décèle quant aux effets relatifs de ces deux doses du composé coccidiostatique; il est possible que les mouches en absorbent une même petite quantité dans les deux cas, en raison de la faible solubilité du produit, qui n'est soluble que dans des solutions alcalines. La sulfaquinoxaline, aux faibles doses absorbées agit comme un insecticide systémique à des doses sub-létales. Ce coccidiostatique peut agir en interférant avec le métabolisme du folate au niveau des ovaires; les effets sur la fécondité deviennent progressivement plus marqués chez les femelles âgées et chez celles qui ont cessé de se reproduire on observe des ovaires atrophiés.L' incidence de ces faits sur les conditions d'élevage des Glossines, et d'autres arthropodes hématophages, est discuté.
  相似文献   

14.
The hardness (i.e. resistance to penetration) of water-saturated polyporus and of various plant structures, determined by a 0.254 mm diameter needle-penetrometer, ranged from 12–50 and 11–112 g/mm respectively. The isolated mandibular stylets of three species of Homoptera (Typhlocyba rosae, Philaenus spumarius, Macropsis fuscula) possessed tapered but non-curved apices while the maxillaries were incurved to varying extents: this condition was reversed in two Heteroptera (Orthotylus ochrotrichus, Tingis cardui) where the mandibulars were incurved and the maxillaries straight. Insertion of the isolated stylets into wet polyporus produced curved paths closely related to the stylet structure with the average radius of curvature of the path decreasing by half in the hard (50 g/mm) compared with the soft (12 g/mm) polyporus. These results are related to published information on the stylet paths of these and related insects when they are feeding. Directional control of the stylets in plant tissue is considered to be primarily a function of the mandibular stylets in the Heteroptera and of the maxillaries in the Homoptera, for species in which the maxillary stylets are independently-moving.
Résumé La dureté (c'est-à-dire la résistance à la pénétration) de petits morceaux de polypore saturés d'eau est évaluée d'après la force nécessaire pour assurer l'enfoncement d'une aiguille d'un diamètre de 0,254 mm; celle-ci est comprise entre 12 et 50 g/mm. La dureté moyenne ainsi établie est évidemment plus grande que celle obtenue avec une aiguille de 0.142 mm; par ailleurs, si le polypore est remouillé, après avoir été séché, il ne montre aucun changement significatif de sa dureté; celle-ci est inversement proportionnelle à la teneur en eau.La dureté de divers organes des plantes, déterminée avec une aiguille de 0,254 mm, varie de 11,3 g/mm (nervure principale d'une feuille de tabac) à 112,2 g/mm (tige de chèvrefeuille), bien que certains tissus puissent avoir des valeurs moyennes bien au-dessus ou bien audessous de celle de l'organe entier. Comme avec le polypore, il y a une relation inverse entre la dureté et la teneur en eau.L'examen des extrêmités des stylets isolés chez trois espèces d'Homoptères et deux espèces d'Hétéroptères, montre que chez les Homoptères les mandibules sont droites et acérées alors qu'elles sont courbes chez les Hétéroptères; la condition inverse s'observe pour les maxilles. La courbure des stylets qui se voit chez l'insecte vivant quand leur extrémité est prolongée au-dela du faisceau, varie avec les espèces. Pour les maxilles, elle est plus grande chez Typhlocyba rosae que chez Philaenus spumarius et Macropsis fuscula (Homoptères), et pour les mandibules, elle est plus grande chez Tingis cardui que chez Orthylus ochrotrichus (Hétéroptères).Des stylets isolés enfoncés dans du polypore tendre ou dur (12 et 50 g/mm respectivement) suivent des trajets courbes en rapport avec la structure des stylets et avec la dureté du substrat.Des résultats publiés pour d'autres espèces d'Hémiptères au sujet de la pénétration des stylets dans les tissus des plantes sont confrontés aux résultats précédents. On en conclut que les trajets sinueux observés pour les stylets des Hétéroptères (O. ochrotrichus et T. cardui) et de petits Homoptères (Typhlocyba rosae) sont surtout le fait des stylets mandibulaires et maxillaires respectivement présentant une courbure. La courbure moins accentuée des stylets maxillaires de plus grands Homoptères (P. spumarius et M. fuscula) est à rapprocher du trajet plus droit des stylets de ces espèces, avec un changement de direction limité aux tissus vasculaires les plus durs.
  相似文献   

15.
Planthoppers and leafhoppers (Delphacidae and Deltocephalidae) were reared on a holidic diet for eight generations. On the holidic diet, nymphal stages were prolonged, but they became shorter after the fourth generation. The resulting adults showed no difference in sizes compared with the controls. The survival of nymphs was improved after the third and subsequent generations.
Résumé La Cicadelle Laodelphax striatellus a pu être élevée pendant huit générations successives sur un aliment synthétique de composition chimique connue, dérivé de deux utilisés par divers auterus pour des Aphides. On note un allongement de la durée de développement de chaque stade larvaire, bien qu'après la 4ème génération cette durée diminue, tout en restant plus grande que pour les témoins. Les adultes obtenus ne présentent pas de différence de taille par rapport aux témoins, mais on remarque qu'ils sont tous du type macroptère, alors que quelques brachyptères apparaissent toujours dans les élevages sur pousses de riz, particularité déjà signalée à propos d'Aphides. La mortalité larvaire sur milieu alimentaire synthétique est élevée, mais le pourcentage de survie s'améliore de génération en génération pour égaler ou même surpasser celle des témoins à la 8ème génération. La fertilité des femelles élevées sur aliment synthétique est considérablement amoindrie.D'autres Homoptères, Delphacidae et Deltocephalidae ont été élevés sur ce même milieu de l'éclosion jusqu'au stade adulte.
  相似文献   

16.
Ootheca production is here investigated in three species of field-dwelling cockroaches under both field and controlled conditions. Mating is shown to have a significant effect on the length of the pre-oviposition and inter-oviposition periods, fecundity, female longevity and the formation of the ootheca. The occurrence of facultative parthenogenesis is confirmed in Ectobius lapponicus and E. pallidus.
Résumé Les effets de l'accouplement sur certains aspects de la biologie de la reproduction ont été étudiés, pour trois espèces de blattes champêtres du genre Ectobius, à la fois en conditions expérimentales et en conditions naturelles. E. lapponicus et E. pallidus se révèlent être des parthénogénétiques facultatives, bien que ce mode de reproduction entraîne une réduction de la fertilité de ces espèces. Cette parthénogenèse est thélytoque. Quelques ufs non fécondés de E. panzeri se développent partiellement, mais n'éclosent pas. Des différences dans certains aspects de l'oviposition apparaissent chez les 3 espèces entre les femelles vierges et les femelles accouplées. Les périodes de pré-oviposition et d'inter-oviposition sont allongées chez les femelles vierges. La forme des oothèques varie, celles déposées par les femelles accouplées sont plus courtes et plus larges. Des différences spécifiques sont manifestes dans le mode de dépôt et dans le sens de rotation de l'oothèque, ce dernier caractère étant aussi affecté de quelque façon par la copulation. La longévité des femelles vierges est plus grande que celles des femelles accouplées, bien qu'un moindre nombre d'oothèques soit déposé. En général les femelles des trois espèces se comportent de façon semblable dans les conditions expérimentales et en milieu naturel.
  相似文献   

17.
Crowding larvae of Spodoptera littoralis (Boisd.) [= Prodenia litura F.] shortened the larval period but lengthened the pupal period. Crowding also reduced the pupal weight and the length of the body of the resultant adult, and produced darker coloured larvae. The type of food also affected the time taken to develop. When larvae are reared in isolation they are pale in colour, very inactive and hardly react to other larvae that touch them. Crowded larvae may be pale or darker in colour and show a number of reactions to one another on contact. They are more active than isolated larvae, and darker ones are more active than pale ones.
Résumé Des chenilles de Spodoptera littora is élevées isolément et nourries de feuilles de Patience (Rumex patiencia), ont un développement larvaire plus long que celles élevées sur d'autres plantes à des températures analogues. Le groupement de 20 chenilles, dans une cage de 500 ml, diminue la durée de leur vie larvaire (22,3 jours en moyenne, contre 25,3 jours pour les chenilles témoins élevées isolément), mais accroît la durée de la nymphose (14,7 jours en moyenne, contre 9,7 jours pour les témoins). Toutefois la durée totale du développement larvaire et nymphal demeure semblable: en moyenne 35,0 et 35,6 jours respectivement.Les chrysalides obtenues à partir de chenilles isolées sont plus lourdes et les adultes qui en proviennent ont le corps et les ailes plus longs, par rapport aux chrysalides et adultes des élevages groupés. La mortalité est plus élevée dans les élevages en groupes, surtout pendant les derniers stades, larvaires. A l'éclosion les parties dorsales du corps sont de couleur vert jaune, mais en vieillisant les chenilles prennent dorsalement une coloration jaune — rouge foncé. Les chenilles isolées sont de coloration pâle, celles groupées sont pâles ou sombres; les premières sont les moins actives, les secondes les plus actives.Les chenilles elevées groupées se déplacent beaucoup plus que celles élevées isolement, L'activité varie d'ailleurs avec l'âge, elle est plus grande pour des chenilles âgées de 10 jours que pour celles âgées de 15 jours.II y a quelques similitudes entre le comportement des chenilles groupées de Spodoptera et celui des larves de Criquet, en particulier dans les mouvements de masse et l'aggrégation des chenilles de Spodoptera.


This is a part of post-doctorate research carried out at the Anti-Locust Research Centre, London.  相似文献   

18.
Résumé Ce travail a pour objet l'étude de fécondité des reines de la FourmiPlagiolepis pygmæa. Cette fécondité est pour ne grande part contrÓlée par les ouvrières, ainsi qu'on poeut le constater en faisant varier leur nombre, ou les conditions de leur alimentation. Les variations expérimentales de facteurs physiques tels que température, durée de l'hibernation, action du gaz carbonique sont ressenties par les reines dont la ponte est perturbée; nous avons montré que dans ces derniers cas, les facters considérés agissaient en grande paritie par l'intermédiaire des ouvrières dont ils modifient les possibilités physiologiques. La fécondité des reines est un fidèle reflet de l'état ophysiologique des ouvrières.
Summary This work has for subject the study of fecondity of queens of the antPlagiolepis pygmæa. This fecondity is chiefly regulated by workers as can be established when their number or the conditions of feeding are changes. The experimental variations of physical factors such as temperature, duration of hibernation, effect of CO2, are felt by the queens and their laying is disturbed; it has been shown that, in these latter cases the effect of the factors under consideration passes mainly through the workers by changing their physiological possibilities. The fecondity of the queens is a faithful reflection of the physiological conditions of the workers.
  相似文献   

19.
A factor effecting the production of brachypterous adults in Laodelphax striatellus was studied by comparing a diet on which brachypterous adults sometimes developed and a diet on which they never developed. By substituting components distinctive of the latter diet into the former, or by varying the concentration of certain components of the latter diet, the production of brachypterous adults was found to vary with the concentration of a vitamin, folic acid. Brachypterous adults were produced only when the diet contained folic acid at concentrations between 0.5 mg/l and 7.5 mg/l.
Résumé Un facteur efficace pour la production d'adultes brachyptères chez Laodelphax striatellus a été recherché en comparant une nourriture sur laquelle des adultes brachyptères se développent parfois et une nourriture sur laquelle ils ne se développent jamais. En substituant les constituants spécifiques de cette dernière par ceux de la première ou en variant les concentrations de certains des constituants de la dernière on a montré que la production d'adultes brachyptères varie avec la concentration d'une vitamine, l'acide folique. Ceux-ci sont produits seulement lorsque l'alimentation contient de l'acide folique à des concentrations comprises entre 0,5 mg/l et 7,5 mg/l.
  相似文献   

20.
Summary Mated workers have replaced the queen as the functional egg-layers in several species of ponerine ants. In such queenless species, the reproductive status of workers can only be determined through ovarian dissections. However, the presence of yolky oocytes is not necessarily an indication of active egg-laying.InRhytidoponera sp. 12, a substantial proportion of the workers confined underground have many large yolky oocytes in their ovaries. Examination of various details of oogenesis (size and appearance of basal oocytes, ...) revealed that oocytes do not mature in unmated workers, and that they accumulate in the ovaries. In the 21 mated workers found in a colony excavated in October 1985, there were fewer large yolky oocytes, and the dense accumulations of yellow bodies indicated that eggs were laid regularly. Thus reproductive differentiation among the workers is controlled by insemination. The lack of egg-laying activity by unmated workers was confirmed by monitoring brood production in the laboratory. Trophic eggs do not seem to exist. Various characteristics of worker reproduction in ponerine ants are discussed.
La division des rôles reproducteurs chez Rhytidoponera espèce 12, une fourmi Ponérine sans reine
Resume Des ouvrières fécondées ont remplacé la reine (dans sa fonction de pondeuse) chez plusieurs espèces de fourmis ponérines. Dans ces espèces sans reine, l'état reproductif des ouvrières ne peut être déterminé qu'avec la dissection des ovaires. Cependant, la présence d'ovocytes en vitellogenèse n'indique pas nécessairement qu'il y ait ponte d'ufs.ChezRhytidoponera espèce 12, une grande proportion des ouvrières actives à l'intérieur du nid ont beaucoup d'ovocytes en vitellogenèse dans leurs ovaires. L'examen de certains détails de l'ovogenèse (taille et apparence des ovocytes basaux...) a démontré que les ovocytes ne mûrissent pas chez les ouvrières non fécondées, et qu'ils s'accumulent dans les ovaires. Chez les 21 ouvrières fécondées trouvées dans une colonie déterrée en Octobre 1985, il y avait moins de gros ovocytes en vitellogenèse, et les accumulations denses de corps jaunes indiquaient que les ufs étaient pondus régulièrement. Donc la séparation des rôles parmi les ouvrières est contrôlée par la fécondation. L'absence de ponte par les ouvrières non fécondées a été confirmée par l'étude du développement du couvain dans des groupes de fourmis au laboratoire. Les ufs trophiques ne semblent pas exister. Certaines caractéristiques de la reproduction ouvrière chez les fourmis ponérines sont discutées.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号