首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 359 毫秒
1.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
  相似文献   

2.
A fly parasite,Lixophaga diatraeae (Townshend), of the sugarcane borer,Diatraea saccharalis (F.), is currently being produced at our laboratory to determine if it can be released periodically in sugarcane fields and control sugarcane borers. This parasite is reared on sugarcane borers in the laboratory. Frequently more than one parasite develops on a single host insect and host insects vary in size.When several parasites entered the same host some did not develop because of competition between them. This problem was more acute in young host sugarcane borers than in older sugarcane borers. The early 5th stage sugarcane borer larva was the most suitable stage for parasite development.
Résumé Quand des larves deDiatraea saccharalis (Borer de la canne à sucre) sont parasitées par la TachinaireLixophaga diatraeae, la mortalité s'accroît avec l'augmentation du nombre de parasites hébergés par les larves-hôtes et cela, du début du 1er stade jusqu'au 4ème stade larvaire; cependant la mortalité est plus faible chez les larves les plus âgées au moment de l'attaque du parasite. La durée du développement larvaire des asticots de la Tachinaire est plus courte chez les larves hôtes les plus âgées et diminue également en fonction du nombre de parasites par hôte; toutefois la durée du développement nymphal n'est pas affectée par le superparasitisme. Par contre le poids des pupes du parasite décroît avec la densité du parasitisme.La taille des Tachinaires n'influence pas le choix des partenaires lors de l'accouplement, mais le nombre d'ufs pondus s'accroît avec le poids des femelles. Le superparasitisme n'affecte pas la longévité du diptère parasite, mais les femelles vivent plus longtemps que les mâles, qu'elles soient issues d'un hôte faiblement ou fortement parasité.Les asticots deLixophaga muent deux fois à l'intérieur de l'hôte; elles émergent au cours du 3ème stade larvaire pour la pupaison. Une compétition se manifeste entre les asticots, le taux de survie dépendant du nombre de parasites par larve-hôte, de la localisation des asticots sur le tronc trachéen longitudinal de l'hôte, et de la promiscuité entre ces larves endoparasites.
  相似文献   

3.
Crowding larvae of Spodoptera littoralis (Boisd.) [= Prodenia litura F.] shortened the larval period but lengthened the pupal period. Crowding also reduced the pupal weight and the length of the body of the resultant adult, and produced darker coloured larvae. The type of food also affected the time taken to develop. When larvae are reared in isolation they are pale in colour, very inactive and hardly react to other larvae that touch them. Crowded larvae may be pale or darker in colour and show a number of reactions to one another on contact. They are more active than isolated larvae, and darker ones are more active than pale ones.
Résumé Des chenilles de Spodoptera littora is élevées isolément et nourries de feuilles de Patience (Rumex patiencia), ont un développement larvaire plus long que celles élevées sur d'autres plantes à des températures analogues. Le groupement de 20 chenilles, dans une cage de 500 ml, diminue la durée de leur vie larvaire (22,3 jours en moyenne, contre 25,3 jours pour les chenilles témoins élevées isolément), mais accroît la durée de la nymphose (14,7 jours en moyenne, contre 9,7 jours pour les témoins). Toutefois la durée totale du développement larvaire et nymphal demeure semblable: en moyenne 35,0 et 35,6 jours respectivement.Les chrysalides obtenues à partir de chenilles isolées sont plus lourdes et les adultes qui en proviennent ont le corps et les ailes plus longs, par rapport aux chrysalides et adultes des élevages groupés. La mortalité est plus élevée dans les élevages en groupes, surtout pendant les derniers stades, larvaires. A l'éclosion les parties dorsales du corps sont de couleur vert jaune, mais en vieillisant les chenilles prennent dorsalement une coloration jaune — rouge foncé. Les chenilles isolées sont de coloration pâle, celles groupées sont pâles ou sombres; les premières sont les moins actives, les secondes les plus actives.Les chenilles elevées groupées se déplacent beaucoup plus que celles élevées isolement, L'activité varie d'ailleurs avec l'âge, elle est plus grande pour des chenilles âgées de 10 jours que pour celles âgées de 15 jours.II y a quelques similitudes entre le comportement des chenilles groupées de Spodoptera et celui des larves de Criquet, en particulier dans les mouvements de masse et l'aggrégation des chenilles de Spodoptera.


This is a part of post-doctorate research carried out at the Anti-Locust Research Centre, London.  相似文献   

4.
Rates of development ofEpisyrphus balteatus (Diptera: Syrphidae) indicate that three generations are possible during the season. Only one develops in the wheat crop. Feeding activity is highest during the night. Functional response curves for newly hatched larvae, 1 and 5 day-old larvae were determined. The high rate of reproduction and the short feeding period makeE. balteatus an excellent exploiter of a temporary habitat: a cereal aphid colony.
Episyrphus balteatus (Syrphidae), prédateur deSitobion aveane (Aphididae) sur blé d'hiver
Résumé Les durées de développement deE. balteatus dépendent de la température. L'incubation a duré 14.2 jours à 7.5°C et 1.59 jour à 25°C. Le développement larvaire jusqu'à la dernière défécation a demandé 35.8 jours à 7.5°C, et 10.1 jours à 20°C. Seule une génération peut se développer chaque année sur blé d'hiver, car la durée totale de l'ontogenèse, dans les conditions de température des champs, est comprise entre 30 et 45 jours. Les larves s'alimentent surtout la nuit. La prédation maximale à 20°C augmente avec l'âge de la larve, depuis 2.34 pucerons du troisième stade par jour pour une larve de syrphe néonate jusqu'à 5.04 pucerons du troisième stade quand les larves ont un jour. Les consommations les plus élevées, de 38.6 et 42.7 pucerons par nuit de 7 heures, ont été obtenues avec des larves de 4 à 5 jours, élevées à 21/13°C.A 20°C, le temps consacré à l'alimentation par des larves néonates de syrphes augmente avec la taille de la proie; il passe de 63.6 min pour des pucerons du premier stade à 131.2 min pour ceux du second stade. La relation entre le poids de la larve et le nombre de pucerons consommés est linéaire.E. balteatus a besoin, pour son développement, de moins deS. avenae que deA. fabae.
  相似文献   

5.
Laboratory tests with eggs of Diabrotica virgifera virgifera LeConte showed that during a 10-day hatching period, hatch of male eggs predominated on the first and second days, eggs of mixed sex, with ca. 1:1 ratio, hatched on the third and fourth days, and eggs hatching from the fifth to the tenth days were nearly all female. Overall, female eggs hatched a mean of 2.9 days later than male eggs. Not only did female eggs hatch later, but the time for posthatch development to the adult stage was 1.8 days longer for females. The later egg hatch and longer posthatch development for females resulted in female adults emerging a mean of 4.7 days later than male adults. Total adult emergence lasted 14 days; of this, males predominated during the first 5 days, and females predominated during the last 9 days. Males of D. v. virgifera appear to have evolved protandry (the tendency for males to emerge before females) by developing both a postdiapause embryonic stage and a combined larval and pupal stage of shorter duration.
Résumé L'observation, au laboratoire, pendant une période d'éclosion de dix jours, des oeufs de D. v. virgifera LeConte, a montré que les oeufs mâles prédominent les deux premiers jours d'éclosion, que les oeufs des deux sexes, avec des fréquences 0,5/0,5, ont éclos les troisième et quatrième jours, et que les oeufs éclos du cinquième au dixième jour étaient presque tous femelles. Globalement, les oeufs femelles ont éclos en moyenne 2,9 jours plus tard que les oeufs mâles. De plus, la durée du développement post-embryonnaire des femelles a demandé 1,8 jour en plus. Une éclosion plus tardive et un développement post-embryonnaire plus long ont entrainé une émergence des femelles en moyenne 4,7 jours après les mâles. La période d'émergence des adultes s'est étalée sur 14 jours; les mâles ayant dominé pendant les 5 premiers jours et les femelles pendant les 9 derniers. Les mâles de D. v. virgifera semblent avoir évolué vers la protandrie en acquerant, tant une diapause post-embryonnaire que des stades de développements larvaire et nymphal plus brefs.
  相似文献   

6.
The patterns of flight activity of adult Distantiella theobroma were recorded in an actograph placed in the field. Flight activity of virgin females showed a non-linear increase with age, was highest around mid-day and related to sex attraction behaviour. Mated females and males both showed sharp peaks of activity in the late afternoons. Male flight was depressed by low light intensities and all activity declined with falling light intensity in the evenings and ceased entirely during the hours of darkness.
Résumé Un appareil a été conçu pour enregistrer l'activité de vol dans les conditions naturelles et a été utilisé pour étudier le comportement des mâles et des femelles de D. theobroma, aux diverses phases de leur vie imaginale.L'activité de vol de D. theobroma eest exclusivement diurne. Les femelles restent relativement inactives pendant les premiers trois jours de leur vie imaginale. Après le début de maturité et bien que non encore accouplées, on note un accroissement de leur activité qui est maximum vers le milieu du jour, mais s'atténue pendant la fin de l'après-midi, alors qu'elles manifestent un comportement d'appel et se révèlent attractives pour les mâles.Les femelles qui se sont accouplées montrent un début d'activité tôt le matin et qui s'accroît pour atteindre un pic bien marqué en fin de l'après-midi, pour décliner ensuite avec la baisse de l'intensité lumineuse. L'activité des mâles commence plus tard et atteint son maximum vers 16h30. Ceci coïncide avec le moment où le plus grand nombre de femelles manifestent un comportement d'appel. Le vol des mâles n'apparaît qu'au-dessus d'un certain seuil d'intensité lumineuse et est inhibé par la pluie.Le changement avec l'âge de l'activité des femelles vierges présente des modalités caractéristiques qui se révèlent concorder avec les variations du nombre de mâles attirés par les femelles vierges de différents âges.


This work was done as part of the programme of the International Capsid Research Team which was sponsored by the International Office of Cocoa and Chocolate.  相似文献   

7.
The duration of larval and pupal stages of two species of predatory flies was investigated at five constant temperatures. Ilione albiseta (Scopoli): Mean duration of first and second instars was shortest at 23°C and there was 100% survival of first instar larvae at all temperatures. Mean third instar larval duration decreased from 104 days at 17°C to 27.5 days at 26°C. Total percentage larval survival was greatest at 17°C and least at 26°C. Mean pupal duration decreased as temperature increased and this occurred also under outdoor conditions. Pherbellia cinerella (Fallén): As temperature increased mean larval duration decreased but the percentage of larvae pupating also decreased (100% at 14°C, 33.3% at 26°C). There was a trend for shorter mean pupal durations at higher temperatures.
Résumé L'action de la température a été examinée à 14, 17, 20, 23 et 26°C. Les 2 espèces sont prédatrices de L. truncatula, vecteur de la douve du foie en Irlande, où elle provoque à l'àgriculture une perte évaluée à 10 millions de livres par an. Les données recuellies en conditions contrôlées du laboratoire doivent permettre de définir les conditions optimales pour l'élevage continu de ces espèces. Ceci est indispensable pour évaluer, dans la nature leurs potentialités pour la lutte biologique. Ilione albiseta: C'est à 23°C que le développement des larves de premier et second stades sont les plus brefs; la survie du premier stade est totale à toutes les températures constantes examinées. La durée moyenne du 3ème stade décroît de 104 jours à 17°C jusqu'à 27,5 jours à 26°C. Le taux de survie total est plus élevé à 17°C qu'à 26°C. La durée moyenne de la nymphose diminue quand la température croît, et ceci se produit aussi à la température ambiante extérieure. On réduit de moitié la durée du développement de l'éclosion de l'oeuf à l'apparition de l'adulte, entre la nature et le laboratoire, en utilisant respectivement: 23°, 17° et 26°C pour les premier et second stades, le troisième stade, la nymphé. Cela devrait aider à multiplier la souche pour la lutte biologique. Pherbellia cinerella: Avec élévation de la température la durée du développement larvaire diminue, mais aussi le nombre de larves parvenant à la pupaison (100% à 14° et 33,3% à 26°C). La nymphose tendait à être plus brève aux températures les plus élevées.
  相似文献   

8.
A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
  相似文献   

9.
Larvae of the lacewing Nineta pallida (Schneider), collected in the field during two seasons, from September to July, were reared in the laboratory under short- or long-day light conditions at 21°C. In autumn and winter, artificial short days delayed the first ecdysis. The influence on the duration of the first instar was maximal (3.4 times longer) when the short days began at hatching time, and later regularly diminished. In spring, the second and third instars showed a reversed response so that the long days now increased the duration of development, although development took no more than 1.4 time as long as in short days. A similar effect appeared in field-collected third instars on and after mid June, reaching its maximum (1.8 time until the cocoon spinning) in July. This sort of photoperiodic effect on the larval development is new to the seasonal adaptation of the life cycle in insects.
Résumé Des formes préimaginales (oeufs, puis larves) de N. pallida sont récoltées sur des conifères de montagne (Pyrénées), chaque mois depuis septembre jusqu'en juillet en deux saisons (1983/84 et 1985/86). Elles sont ensuite élevées au laboratoire à 21°C, soit en jours longs (JL=L16:D8), soit en jours courts (JC=L8:D16).Le développement embryonnaire est légèrement plus long s'il se fait en JC. Pour les larves de premier stade récoltées en automne et en hiver, les JC retardent considérablement la première mue et prolongent aussi le deuxième stade qui en provient. L'influence retardatrice est maximale (3,4 fois) lorsque les JC agissent dès l'éclosion. Elle diminue ensuite progressivement et devient insignificante pour les larves récoltées à artir de février.Au printemps, les larves récoltées au deuxième stade ainsi que les troisièmes stades qui en découlent présentent une réaction inverse: ce sont alors les JL qui augmentent la durée du dévelopement, toutefois, pas plus de 1,4 fois par rapport aux JC. Un effet de même ordre se manifeste sur les larves de troisième stade récoltées à partir de juin, atteignant son maximum (1,8 fois) dans le lot de larves de juillet, c'est-à-dire peu avant la fin de la croissance pondérale larvaire et le coconnage.Un tel retardement du développement larvaire hivernal, prolongé au printemps et au début de l'été par une inversion de la réponse à la photopériode, est nouveau comme élément d'adaptation saisonnière du cycle naturel chez les insectes.
  相似文献   

10.
The physiological relationships between Ostrinia nubilalis Hübner and its tachinid parasitoid Pseudoperichaeta nigrolineata Walker are described under abiotic conditions which induce development of the host without diapause. The parasitoid lowers the larval growth of the host: the maximal weight attained by the parasitized larvae represented only 78% of that of healthy ones. The duration of the last larval host instar increased to 10.4 days in parasitized O. nubilalis compared to 8.0 days in unparasitized ones. The influence of the host on the parasitoid development was studied experimentally after parasitization of O. nubilalis larvae of instars 2 to 5. When the second larval instar of the host is parasitized, the overall duration of parasitoid larval development lasts twice as long as when the fifth instar is parasitized. The best yield of parasitoid pupariae (50%) is obtained when parasitization occurs in instar 3. We show that good synchronisation exists between the larval development of the host and its parasitoid. There are four phases of parasitoid development which would appear to require a signal from the host: the start of the growth of newly hatched parasitoid larvae and the 3rd to 4th instar ecdysis of the host; the first moulting of the parasitoid and the 4th to 5th instar ecdysis of the host; the growth resumption of the parasitoid instar II (weight about 1 mg) and the small rise of the ecdysteroid level in the middle of host instar 5; and in all probability, the second parasitoid moulting and the larval-pupal apolysis of the host.
Résumé Les relations physiologiques entre O. nubilalis et le tachinidae P. nigrolineata ont été étudiées dans des conditions abiotiques telles que l'hôte présente un développement sans diapause. Le parasitoïde ralentit la prise de poids de l'hôte: le poids maximal des chenilles parasitées ne représente que 78% de celui des chenilles saines. Seule la durée du 5ème stade est significativement plus longue chez les chenilles parasitées que chez les saines (10,4 contre 8,0 jours). L'influence de l'hôte sur le développement du parasitoïde à été expérimentée en parasitant des stades 2 à 5 d'O. nubilalis. Lorsque l'infestation a lieu au stade 2, le développement larvaire complet du parasitoî de dure deux fois plus longtemps que lorsque l'infestation a lieu au stade 5. Le meilleur rendement en pupes (50%) est obtenu lorsque l'infestation a lieu au stade 3. Il a été montré qu'il existe une bonne synchronisation entre le développement de l'hôte et de son parasitoî de. Il y a 4 phases physiologiques du développement larvaire de P. nigrolineata qui semblent nécessiter un signal provenant de l'hôte pour être dépassées. Ainsi peuvent être mis en relation: — le début de la croissance de la larve néonate du parasitoî de et l'ecdysis 3/4 de l'hôte; — la première mue du parasitoïde et l'ecdysis 4/5 de l'hôte; — la reprise de la croissance du stade II du parasitoïde, vers un poids de 1 mg et la remontée des taux d'ecdystéroïdes au milieu du stade 5 de l'hôte. et probablement, — la seconde mue du parasitoïde et l'apolyse nymphale de l'hôte. Les expérimentations vont se poursuivre pour déterminer les facteurs en cause. Ces phénomènes de synchronisation seront aussi étudiés dans le cas de la diapause de l'hôte.
  相似文献   

11.
Chrysopa nigricornis Burm, exhibits a facultative diapause during the third instar within the cocoon. The first, second, and free-living third instars must experience short-day (LD 12 : 12) for diapause to occur; however, the third instar within the cocoon and the egg appear to have no role in diapause induction. As day-lengths decreased from 13 to 12.5 hours. diapause incidence increased from 50% to 100%, whereas at LD 13.5 : 10.5 no diapause resulted.Diapause ended spontaneously under LD 12 : 12 and after 142 days (s.d.±32) larva-pupal ecdysis occurred. Exposure to long-day conditions (LD 16 : 8) 4 or 6 weeks after the beginning of diapause hastened diapause termination; i.e. larval-pupal ecdysis occurred in about 40 days. Apparently during the first 6 weeks of diapause under short-day, little or no diapause development took place.It seems that the short days of late summer-early fall, which act on the three free-living instars, initiate diapause and that subsequent to diapause development, which occurs under short-day conditions, the insect's temperature requirements and temperature summations govern the rate of development and the proper timing of ecdysis in the spring.
Résumé Chrysopa nigricornis qui est prédateur à la fois à l'état larvaire et à l'état adulte, hiverne sous la forme de larve de 3ème stade à l'intérieur du cocon. Une alimentation à base de Myzus persicae assure le développement et la reproduction de cette espèce, tandis que les Pucerons desfèves se révèlent impropres. C. nigricornis montre une diapause facultative induite par des jours courts (LD 12 : 12) agissant sur le premier, le second stade larvaire ainsi que sur la phase libre du 3ème stade. L'exposition d'un quelconque de ces stades larvaires à un jour long (LD 16 : 8) empêche la diapause. Ni le stade uf ni le 3ème stade larvaire inclus dans le cocon ne semblent avoir de rôle dans l'induction ou l'inhibition de la diapause.Les conditions de développement des stades de prédiapause ne sont pas affectées par les régimes de photopériode qu'ils ont subis.Dans les populations de C. nigricornis que nous avons étudiées, et qui proviennent d'Ithaca, New York (42° 27 latitude N) des jours de 13 heures ou moins, provoquaient plus de 50% de diapause, tandis que des jours de 13h.30 ou plus empêchaient la diapause.Sous les conditions d'induction de la diapause (LD 12 : 12), celle-ci se termine spontanément, la mue nymphale du 3ème stade larvaire intervenant 20 semaines après la secrétion du cocon de nymphose. Cependant, si les larves ont subi une LD 16 : 8, la diapause s'achève beaucoup plus tôt, dans un délai de 6 semaines (40 jours) après la secrétion du cocon de nymphose. Durant ces 6 semaines et peut-être plus, peu ou pas développement de diapause ne semble avoir pris place.Nous suggérons que dans la nature les jours courts de la fin de l'été et du début de l'automne agissent sur le ler, le second et le 3ème stade larvaire (phase libre) pour induire la diapause du 3ème stade larvaire inclus dans son cocon de nymphose. Après que le développement de type diapause ait pris place sous l'influence des jours courts, les conditions saisonnières de température et les exigences thermiques de l'insecte interviennent pour régler la vitesse de la morphogénèse et en conséquence le moment même de la mue nymphale.

  相似文献   

12.
The effect of parental age at oviposition on the offspring of diapaused and non-diapaused females of Heliothis zea (Boddie) (Lepidoptera: Noctuidae) was examined under laboratory conditions. Diapause was induced in the laboratory by reducing day lengths and temperatures. The number of eggs per female, duration of the egg stage, percent hatch, duration of the larval stage, percent pupation and four-day pupal weights of progeny from diapaused and non-diapaused adults were determined. Significantly reduced egg production and increased duration of egg and larval stages occurred in offspring of diapaused females, but no effect on hatching and pupation percentages and pupal weights were observed. The possible effects of these differences on reproductive potential and length of generation are discussed.
Résumé Nous avons examiné au laboratoire l'influence de l'age des parents au moment de la ponte sur la descendance des femelles d'Heliothis zea Boddie diapausantes ou non. La réduction de la longueur du jour et de la température avait induit la diapause au laboratoire. L'étude a porté sur le nombre d'oeufs par femelle, la durée de l'incubation des oeufs, le taux d'éclosion, la durée du développement larvaire, le taux de nymphose et le poids des chrysalides de 4 jours chez les descendants d'adultes diapausantes ou non. Chez les descendants des femelles diapausantes, la production d'oeufs est significativement réduite; de même, l'incubation des oeufs et le développement larvaire sont significativement prolongés; mais on n'a observé aucun effet tant sur les taux d'éclosion et de nymphose que sur le poids des chrysalides. La discussion porte sur les influences envisageables de des différences dans le potentiel reproducteur et la durée des générations.
  相似文献   

13.
Planthoppers and leafhoppers (Delphacidae and Deltocephalidae) were reared on a holidic diet for eight generations. On the holidic diet, nymphal stages were prolonged, but they became shorter after the fourth generation. The resulting adults showed no difference in sizes compared with the controls. The survival of nymphs was improved after the third and subsequent generations.
Résumé La Cicadelle Laodelphax striatellus a pu être élevée pendant huit générations successives sur un aliment synthétique de composition chimique connue, dérivé de deux utilisés par divers auterus pour des Aphides. On note un allongement de la durée de développement de chaque stade larvaire, bien qu'après la 4ème génération cette durée diminue, tout en restant plus grande que pour les témoins. Les adultes obtenus ne présentent pas de différence de taille par rapport aux témoins, mais on remarque qu'ils sont tous du type macroptère, alors que quelques brachyptères apparaissent toujours dans les élevages sur pousses de riz, particularité déjà signalée à propos d'Aphides. La mortalité larvaire sur milieu alimentaire synthétique est élevée, mais le pourcentage de survie s'améliore de génération en génération pour égaler ou même surpasser celle des témoins à la 8ème génération. La fertilité des femelles élevées sur aliment synthétique est considérablement amoindrie.D'autres Homoptères, Delphacidae et Deltocephalidae ont été élevés sur ce même milieu de l'éclosion jusqu'au stade adulte.
  相似文献   

14.
The effects of 6, 7-dimethoxy-2, 2-dimethyl chromene (precocene II) on pre-imaginal development in Aedes aegypti were determined by exposure of eggs, larvae and pupae to this botanically derived compound. Precocene II prevented adult emergence when newly hatched larvae were exposed to dosages ranging from 2 to 4 ppm. Pupation was inhibited when early 4th-instar larvae were exposed to dosages ranging between 1 and 10 ppm. Fourth-instar larvae treated at concentrations above 0.1 ppm, also required more time to complete metamorphosis than controls. The pupal and egg stages were insensitive to treatments at concentrations up to 10 ppm.
Les effects du 6, 7-dimethoxy-2, 2-dimethyl chromé sur le développement des stades prémiginaux aegypti, (diptera: Culcicae)
Résumé Les stades préimaginaux d'Aedes aegypti ont été exposés à des concentrations de l'ordre de 0,1 à 10 ppm de 6,7-dimethoxy-2,2-dimethyl chromène un composé extrait des plantes et manifestant des propriétés anti-allatotropes. De telles substances induisent en particulier une métamorphose précoce chez Oncopeltus et pour cette raison ont été appelées «précocènes». Les ufs et le stade nymphal sont insensibles à cette game de doses, mais le ler et le 4ème stade larvaire sont affectés de diverses façons. Les larves nouveaux-nées, soit ne muent pas, soit subissent un assombrissement de leur cuticule quand elles sont exposées à des concentrations de 2 à 6 ppm. La nymphose est empêchée quand les larves du début du 4ème stade larvaire sont exposées à des doses de 1 à 10 ppm. Les individus atteints restent à l'état de larve âgée et ne se transforment pas en nymphe. La durée du développement du ler et du 4ème stade larvaire est accrue de plus de 100% après des expositions à des doses de 4 à 10 ppm, respectivement.A la différence des réponses signalées antérieurement pour Oncopeltus fasciatus, les larves traitées ne subissent pas de métamorphose précoce. Ainsi, il est manifeste que ces composés affectent de façon diverses les processus endocrines associés à la mue, plutôt que d'exercer un effet direct antiallatotrope.
  相似文献   

15.
Un olfactomètre a deux flux d'air parallèles comportant un fil en Y est décrit et utilisé pour édudier l'attraction des larves néonates et de 5ème stade de la teigne du poireau par la plante-hôte, les composés volatils soufrés qu'elle émet et quelques odeurs originaires d'autres végétaux. Le poreau, les disulfures, les thiosulfinates et les thiosulfonates sont attractifs. L'action des composés soufrés dépend de la concentration utilisée et du stade larvaire. Les résultats sont comparés à ceux obtenus antérieurement sur la phagostimulation larvaire et sur l'attraction des adultes.  相似文献   

16.
Several endocrine-mediated processes in insects are influenced by environmental factors including the density and sex ratio of populations. Effects of grouping on total egg production and rate of vitellogenic ovary development were assessed in virgin Acheta domesticus (L.). Females midway through their last nymphal instar were isolated from a stock population of adults and nymphs of both sexes and maintained in groups or as isolates at 26–27°C, 70% relative humidity, on a 12L-12D photoperiod. The number of fully grown oocytes produced during the first 18 days of adult life was lower for animals in groups of 10 or 15 than for isolates, but antennectomy abolished this group effect. By contrast, terminal and penultimate oocyte length and ovary dry weight were greater in 5-day-old - pairs than in isolates. The presence of mature males during the first 21 days of adult life did not affect total egg production. Whether these group effects on cricket ovary development are mediated by the endocrine system is not yet known.
Interaction entre les facteurs sociaux et le développement ovarien d'Acheta domesticus
Résumé L'étude a examiné les effets de groupement sur la production d'oeufs et sur la vitesse de la vitellogenèse chez les femelles vierges d'Acheta domesticus. Des femelles à la moitié de leur dernier stade larvaire, isolées d'une population adulte de base, et des nymphes des deux sexes ont été conservées en groupes ou isolées dans des récipients en plastique de 150 mm de diamètre et de 25 mm de hauteur à 26–27°C, 70% d'humidité relative et avec une photopériode de 12/12. La production totale des oeufs mûrs formés pendant les 18 premiers jours de vie imaginale était plus faible pour les animaux en groupes de 10 ou 15 que pour ceux qui étaient isolés, mais l'antennotectomie a éliminé cet effet de groupe. Au contraire, la longueur des derniers et avant-derniers ovocytes et le poids sec des ovaires étaient supérieurs pour les paires de 2 femelles de 5 jours que chez les individus isolés. La présence de mâles mûrs pendant les 21 premiers jours de vie imaginale n'a pas eu d'effet sur la production totale d'oeufs. L'hypothèse avancée est que ces effets de groupe (négatifs et positifs) sur le développement des ovaires d'Acheta domesticus ont reflété respectivement des accélérations et ralentissements de la vitellogenèse. La dépendance de l'induction de la vitellogenèse chez Acheta domesticus par les hormones juvéniles est connue (Benford, 1983) ainsi que les changements dans la quantité de produits neurosécréteurs, susceptibles d'être colorés dans la pars intercerebralis au cours du cycle reproductif (Bradley et Simpson, 1981). Nous ne savons pas si ces effets de groupement sur le développement des ovaires de grillon sont médiatisés par le système endocrine.
  相似文献   

17.
Observations were made on the calling behaviour of virgin female Epiphyas postvittana, and on associated factors. The amount of calling varied with the age of the female, the longest total durations being on days 2 and 6 of adult life and the shortest on day 4. It is probable that the peak of activity occurs on day 2. The pattern of calling on day 6 was abnormal, probably as a result of the onset of senescence.Total pheromone content and the number of mature eggs in the ovary also varied with age. The pheromone content increased until day 5 and then dropped sharply — probably again due to senescence — and the number of mature eggs increased until days 3 and 4. The number on day 4 was not significantly different from that on day 3, but the high variance on day 4 indicated some females had oviposited. A 2-hour call by day-3 females caused a substantial drop in total pheromone content.
Résumé Des femelles vierges d'Epiphyas postvittana sont étudiées pour déterminer l'influence de l'âge sur les manifestations d'appel sexuel, sur la teneur en phéromone et sur la maturation des ufs. L'appel sexuel qui se reconnaît à l'abaissement et à l'incurvation de l'abdomen vers l'avant ainsi qu'à l'éversion des glandes à phéromone, n'est pas continu chaque nuit mais se répartit en nombreuses périodes dont la durée peut varier de 5 minutes à 2 heures.La manifestation de l'appel sexuel varie avec l'âge; les plus longues durées s'observent au 2e et au 6e jour de la vie imaginale, les plus courtes au 4e jour. Ces variations dans la durée totale résultent des changements qui interviennent d'un jour au suivant dans la longueur des périodes d'appel, dans le nombre de ces périodes et du pourcentage des femelles actives. Il est probable que le pic d'activité se situe à l'âge de 2 jours, l'aspect anormal de l'appel à l'âge de 6 jours étant dû à un début de sénescence.La teneur totale en phéromone de femelles âgées de 1 à 11 jours est étudiée par des tests biologiques utilisant les extraits bruts à l'éther des glandes à phéromone. Cette teneur s'accroît de façon significative jusqu'au 5e jour et diminue brusquement au 6e jour. La teneur en phéromone reste alors approximativement à ce bas niveau. Cette diminution est sans doute une autre indication du début de la sénescence.On a étudié la quantité de phéromone perdue par les femelles pendant une période d'appel. L'activité d'un extrait de femelles âgées de 3 jours et fait au début de leur 1ère période d'appel est comparée avec un extrait réalisé sur des femelles qui ont manifesté un appel sexuel pendant 2 heures. Après 2 heures d'appel la teneur en phéromone est tombée au 1/5 de la teneur initiale.L'examen des ovaires de femelles vierges âgées de 1 à 4 jours montre que le nombre d'ufs mûrs s'accroît jusqu'aux 3e et 4e jour. Bien que le nombre d'ufs pour chacun de ces 2 jours ne diffère pas de façon significative, les variances, elles, le sont. La haute variance observée au 4e jour comparée avec la faible variance du 3e jour, indique que la ponte a commencé. Des observations directes montrent que les femelles vierges commencent à pondre 1e 4e jour.
  相似文献   

18.
Résumé L'Hyménoptère parasito?deEpidinocarsis lopezi (De Santis) a été introduit d'Amérique du Sud au Congo pour le contr?le des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Dans les conditions du laboratoire, les principaux paramètres du développement ont été étudiés: le temps de développement entre la ponte de l'œuf et l'émergence de l'adulte est en moyenne de 15,6 jours; le taux sexuel est de 56% de femelles en maintien de souche, variable selon le stade des h?tes présentés; la longévité des ♀♀ est de 42,26 jours; la fécondité moyenne pour des ♀♀ nourries de miel s'établit autour de 207,6 œufs sur une période de 40 jours (5,2 œufs par jour en moyenne), elle est inférieure en absence d'alimentation (141 œufs au total et 3,8 par jour); le stade h?te choisi pour la ponte est essentiellement la larve L3 (à un moindre degré les jeunes ♀♀ sans ovisac); le superparasitisme peut atteindre 64% en situation de raréfaction de l'h?te, mais il n'est que de 5,7% en présence de fortes proportions de L3. Après des lachers expérimentaux, l'auxiliaire s'est acclimaté dans les champs expérimentaux et a colonisé les champs voisins. Ses taux de parasitisme achevé ont atteint un maximum de 15,4% des stades préférentiels (22% pour le parasitisme en cours) avant le pic de gradation de la cochenille. Ces données présententE. lopezi comme un parasito?de ayant de bonnes qualités intrinsèques mais qui, à l'heure actuelle, ne parvient pas à réguler les populations de la cochenille dans la zone où il a été laché.   相似文献   

19.
As the temperature at which larvae of C. capitata were reared decreased from 30° to 25° to 20° the yield of pupae from eggs increased from 15% to 25% to 30% and the mean weight of pupae decreased. Within each temperature regime the weight of pupae produced on successive days declined and the fat content of those pupae varied.
Résumé On a étudié l'effet de température d'élevage larvaire de 20°, 25° et 30°. La durée du développement s'accroît de 7 à 13 jours pour des températures respectives de 30° et 20°. Lorsque la température d'élevage baisse, le nombre de pupes produites par rapport aux oeufs s'accroîts de 15% à 20% et 30% et le poids moyen des pupes diminue.Pour chaque régime de température il y a une nette réduction du poids des pupes produites au cours des jours successifs et la teneur en lipides de celles-ci varie également. L'émergence moyenne des adultes à partir de pupes produites dans un élevage à 30° est plus élevée que celle obtenue dans des élevages à 25° et 20°.Tandis que la vitesse du développement, le contrôle du métabolisme des graisses et la production de pupes peuvent être des facteurs primaires intervenant dans le choix de la température d'élevage pour la production de masse de la mouche des fruits, il faudrait aussi considérer les effets de cette température d'élevage sur d'autres aspects de la biologie de l'insecte.
  相似文献   

20.
When eggs of wheat bulb fly were added to young winter wheat plants in pots and kept at 5°, 8°, 10°, 12°, 15° and 20°, only 14%–44% of the eggs added produced larvae that succeeded in invading plants, but when newly hatched larvae were added directly 54%–92% were successful. At temperatures from 5° to 25°, the number of days required for larvae to complete their development in well-grown plants ranged from 11–14 days at 25° to 55–80 days at 5°. This corresponds to an accumulated temperature of approximately 286 day degrees C above the developmental threshold of 0.5°.The daily rate of development of larvae was marginally most rapid between 12° and 18°. When larvae were feeding in small, poorly growing plants, development was delayed and more shoots were needed before pupation than for healthy plants.The pupal stage which develops in the field from the end of April to June needs approximately 400 and 420 day degrees for completion in males and females (threshold 5°). Total day degrees required for the hatching of the egg to adult are about 700 (males) and 720 (females).Records of maximum and minimum temperatures from a meteorological screen 1 m above the ground can be used to calculate the number of day degrees accumulated from 1 May to 12 June, from which the dates of peak emergence of wheat bulb fly can be predicted. If 350 day degrees or more accumulate during this period, the peak emergence occurs near 20 June and with 200 or fewer day degrees it occurs near 11 July.The amount of damage to wheat by wheat bulb fly larvae in 1953, 1954, 1965 and 1966 depended largely on the number of eggs laid, the date of sowing, and also on the rate at which temperature accumulated in the autumn and winter; in all years, late sown crops would have had little opportunity to grow beyond the susceptible stage by the time they were attacked.
Résumé Quand des jeunes plants de blé d'hiver en pots sont contaminés avec des oeufs de Delia coarctata et maintenus à des températures respectives de 5°, 8°, 10°, 12°, 15° et 20° C, seulement 14% à 44% de ces oeufs donnent des larves qui parviennent á attaquer les plants, alors que si on utilise directement des larves nouveau-nées on obtient 54 à 92% d'attaques réussies. Aux températures de 5° à 25° le temps nécessaire aux larves pour achever leur développement dans les plants bien développés avant de gagner le sol pour la pupaison, est de 11 à 14 jours à 25° contre 55 à 80 jours à 5°.Une courbe de la vitesse de développement établie à partir de la durée du stade larvaire de l'éclosion à la pupaison aux differentes températures montre que le développement est le plus rapide entre 12° et 18° et que le zéro de développement est aux alentours de 0,5°. Le nombre de degrésjours accumulés par la larve de l'éclosion à la pupaison est d'environ 286. Quand les larves se nourrissent aux dépens de plants petits à croissance faible, leur développement est retardé et exige plus de temps et plus de plantes avant la pupaison que lorsqu'elles se nourrissent sur des plants vigoureux.Le stade pupal qui intervient dans la nature de fin avril à juin, nécessite approximativement 400 à 420 degrés-jours pour le développement du mâle et de la femelle au-dessus d'une supposée température de base de 5°. Le nombre total de degrés-jours de l'oeuf à l'adulte est respectivement de 686 et 706 pour le mâle et la femelle.Les enregistrements des températures maxima et minima dans un abri météorologique à 1 m audessus du sol peuvent être utilisés pour établir le nombre de degrés-jours accumulés du 1 er'mai au 12 juin; à partir de ces données les pics d'émergence de D. coarctata peuvent être prédits. Si 350 degrésjours ou plus sont accumulés durant cette période, le pic d'émergence apparaît vers le 20 juin, mais si 200 degres-jours au moins sont notés le pic sera proche du 11 juillet.L'importance des dégâts occasionnés au bleî d'hiver en Angleterre par les larves de D. coarctata en 1953, 1954, 1965 et 1966 dépend largement du nombre d'oeufs pondus, de la date du semis et de la température accumulée en automne et en hiver; au cours de chacune de ces années les cultures à semis tardif auraient eu peu de possibilité de dépasser le stade sensible avant le moment où elles ont été attaquées.
  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号