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1.
Cette publication présente les résultats d’une étude de 6.263 spécimens de Xylocopinae récoltés en France métropolitaine (France continentale et Corse) et en Belgique et qui proviennent de récoltes personnelles et de 63 institutions et collections privées. Les Xylocopinae de France sont représentées par 11 espèces du genre Ceratina et 4 espèces du genre Xylocopa. Seules deux de ces espèces sont présentes en Belgique : Xylocopa violacea (L.) et Ceratina cyanea (Kirby). Un nouveau sous-genre pour le genre Ceratina est décrit : Dalyatina n. subg. Il comporte l’espèce méditerranéenne Ceratina parvula Smith présente en France, ainsi que six autres espèces d’Afrique subsaharienne. Pour chaque genre, sous-genre et espèce, les auteurs fournissent une diagnose, une diagnose différentielle, la liste des fleurs visitées, la liste des sites de nidification, la carte de distribution en France métropolitaine, un diagramme phénologique et une clé d’identifi cation des genres, sous-genres et espèces. La systématique, la biogéographie, l’écologie et le sexe ratio des espèces sont présentés et discutés. Les Xylocopinae apparaissent comme très largement polylectiques mais montrent une très nette affinité envers les Lamiaceae, les Asteraceae Cardueae et, pour le genre Xylocopa, envers les Fabaceae. Toutes les espèces présentent une phénologie estivale qui s’étend d’avril à septembre. Le sexe-ratio de la plupart des espèces est biaisé vers les femelles. Aucun mâle de C. parvula, pour 120 femelles, n’a été observé ce qui suggère que, en France du moins, l’espèce pourrait se reproduire par parthénogenèse thélytoque comme c’est le cas de C. dallatorreana Friese. La publication comprend 62 dessins au trait, 18 photos au microscope électronique à balayage, 17 cartes, 14 graphiques de phénologie, une liste de 232 espèces de fleurs visitées par les Xylocopinae, dont 176 observations originales, et 171 références.  相似文献   

2.
Randrianasolo, H. 2000. Écologie alimentaire des groupes plurispecifiques d'oiseaux de la foré pluviale du Parc National de Ranomafana, Madagascar. Ostrich 71 (1 & 2): 315.

Le but de cette étude est d'identifier la niche écologique et les recouvrements éventuels des especès d'oiseaux qui rentrent dans la composition des groupes plurispècifiques qui frequentent la strate arbustive de la forêt pluviale du Parc National de Ranomafana, localisé à une altitude moyenne de 1 200 m dans le sud-est de Madagascar. Les espèces les plus communes qui rentrent dans la composition de ces groupes plurispècifiques sont le Bulbul de Madagascar Phyllastrephus madagascariensis, le Bulbul zosterops Phyllastrephus zostemps, I'Oxylabe à gorge blanche Oxyrabes madagascariensis. 1'Eroesse à queue étagee Hartertula flavoviridis, toutes principalement insectivores. L'écologie alimentaire de ces espéces n'a pas encore fait l'objet d'é'tudes detaillees. Cabondance relative des espéces rentrant dans la composition des groupes a été éstimée par la methode des transects par itineraire echantillon realises dans la forê La surface minimale nécessaire à chaque groupe a été éstimée en prenant en consideration le nombre d'individuel de chaque espèce dans chaque groupe. Pour chaque individu les paramétres suivants ont été relevis et comparees avec ceux collectts pour les autres individus, a savoir la hauteur de capture des proies, la nature du substrat utilisk dans le cadre de la capture, le diamttre et la position du substrat et le pourcentage d'ombrage. Un total de 411 observations vient etayer cette etude ecologique. Par ailleurs des mesures morphometretriques ont été réalisées sur différents individus des différentes espéces (bec, tarse, doigt, ongle, aile et queue). La niche Ccologique de chacune de ces esptces forestitres est definie et justifyée par l'analyse conjuguee de ces données écologiques et morphometriques.  相似文献   

3.
H. Thill 《BioControl》1964,9(3):247-251
Résumé Les pruniers présentent des conditions spécialement favorables à l'étude des possibilités de la lutte intégrée, un seul traitement post floral avec des insecticides — sans addition de fongicides — étant nécessaire pour lutter contre les ennemis typiques des arbres à noyaux. L'observation de la biocoenose duran't des périodes plus longues fait para?tre des différences prononcées après l'application des produits chimiques usuels et de celle du Dipterex qui est moins dangereux pour la plupart des espèces d'acariens prédateurs et considéré de ce fait comme utilisable dans la lutte intégrée. Contre les insectes typiques pour les arbres à noyaux, la combinaison Parathion-Métasystémox s'est avérée être la plus efficace parmi les produits chimiques usuels; il en est de même pour le Dipterex. Les différences entre les deux produits précités se manifestent chez les araignées rouges; les produits usuels, après avoir exercé une action assez persistante, permettent vers la fin de l'été une ponte massive d'œufs d'hiver, ce qui entra?ne la menace d'une pullulation permanente pour les arbres. Tout en assurant la destruction des générations printanières de l'araignée rouge, le Dipterex épargne les acariens prédateurs qui, de leur c?té, amènent une diminution des pontes d'œufs d'hiver de cet ennemi. Son application répétée annuellement peut constituer une lutte efficace et être suivie de la disparition graduelle de l'araignée rouge.   相似文献   

4.
C. Alauzet 《BioControl》1987,32(1):39-47
Résumé Cette étude porte sur différents aspects de la biologie deE. semirugosus, C. sordidator etC. abdominalis, se développant surP. notatus, ravageur du Pin maritime: comportement parasitaire à l'égard de ce charan?on, durée du développement, durée de la maturation sexuelle, espérance de vie des adultes, etc. Le cycle biologique de ces parasito?des est étudié ainsi que le problème de la co?ncidence temporelle entre ces braconides et leur h?te dans le cas d'une forêt du sud de la France.   相似文献   

5.
Résumé Le parasitePauesia cedrobii Stary et Leclant, spécifique du puceron du CèdreCedrobium laportei Remaudière, a été récolté dans le Moyen-Atlas, (Maroc) puis introduit dans un peuplement de cèdre (Cedrus atlantica Manetti) du sud-est de la France au printemps 1981. La méthode utilisée a consisté en une introduction directe des parasites, préalablement isolés sur le lieu de récolte (momies) puis mis à éclore en chambre climatisée de fa?on à éliminer les hyperparasites. Après accouplement, 225 adultes ont été introduits dans des manchons installés sur des rameaux abritant des colonies deC. laportei. L'évolution des populations de l'h?te et du parasite a été suivie au niveau des points de lacher d'une part, et dans la parcelle d'autre part. L'installation définitive du parasite dans la parcelle s'est produite, 1 an après le lacher, grace à un automne et à un hiver particulièrement doux, qui ont favorisé la multiplication de l'h?te. Le parasite est définitivement implanté: il est encore présent 4 années après le lacher. Entre temps, il a été étendu à d'autres forêts de cèdre du sud-est de la France. Huit espèces d'hyperparasites autochtones se sont portés surP. cedrobii, mais ceci ne remet pas en cause la réussite de l'introduction de l'aphidiide. Avec la collaboration technique deE. Robert, A. Chalon, J. Chizky.  相似文献   

6.
A. Kiyindou 《BioControl》1989,34(3):409-415
Résumé Le seuil thermique de développement de 3 prédateurs de la famille desCoccinellidae (un exotique et deux locaux) a été étudié. L'équation de la constante thermique a été utilisée pour le calcul du seuil thermique. Les données obtenues ont été comparées entre elles. L'espèce exotiqueHyperaspis raynevali a un seuil thermique de développement plus bas que celui des 2 espèces locales (Hyperaspis senegalensis hottentotta etExochomus flaviventris). Le seuil thermique suivant a été obtenu pour chaque espèce, à savoir: 11,81°C pourH. raynevali; 13,78°C pourH. s. hottentotta; 13,63°C pourE. flaviventris. Des différences de seuil thermique de développement et de mortalité ont été enregistrées entre le prédateur exotique et les espèces indigènes. Des hypothèses explicatives sont évoquées dans la discussion.   相似文献   

7.
Résumé L'étude de la dynamique des populations de la cochenille farineuse des arbres fruitiersRastrococcus invadens Williams [Hom.: Pseudococcidae], avant et après l'introduction accidentelle du parasito?de primaire indo-pakistanaisGyranuso?dea tebygi Noyes [Hym.: Encyrtidae], a été entreprise au Congo, sur 2 de ses plantes h?tes, le manguier (Mangifera indica L.,Anacardiaceae) et le frangipanier (Plumeria alba L.,Apocynaceae). Avant l'introduction du parasito?de exotique, le complexe entomophage local s'est révélé peu abondant et diversifié. Le profil de gradation des populations du ravageur, très différent sur les 2 plantes h?tes, semble davantage lié aux caractéristiques physiologiques et phénologiques du végétal qu'aux facteurs climatiques. La cochenille est capable de développer 5 générations de 70–80 jours par an sur les 2 plantes h?tes. Trois à quatre mois après son introduction, les 50 à 90% de parasitisme développés parG. tebygi ont affecté significativement la dynamique des populations de la cochenille. Huit à neuf mois plus tard, son maintien sur de faibles effectifs du ravageur confirme son acclimatation. Les 50 à 60% de mortalité provoqués par les 8 espèces du complexe hyperparasitaire ne paraissent pas limiter son efficacité. Le complexe parasitaire deR. invadens est comparé à celui de la cochenille du manioc.   相似文献   

8.
Résumé. La leishmaniose cutanée est un important problème de santé publique dans la province de Sidi Kacem au nord-ouest du Maroc. L'incidence de cette affetion, due aussi bien à Leishmania tropica qu'à L. infantum est en augmentation progressive depuis 1997. La présente étude a été menée dans le but d'étudier l'écologie et la dynamique des populations des vecteurs de cette maladie dans les principaux foyers de cette province. Un total de 4504 spécimens appartenant à deux genres et six espèces a été capturé à l'aide de pièges adhésifs et lumineux, dans cinq foyers. Les espèces dominantes sont Phlebotomus sergenti représentant 42,6% du total des phlébotomes capturés et P. longicuspis avec 27,2% des captures. Ces deux espèces sont présentes de mai à novembre et évoluent en deux générations avec deux pics de densité, le premier en juin et le second en septembre. En considérant la grande spécificité vecteur-parasite connue en épidémiologie des leishmanioses ainsi que l'abondance des espèces capturées pendant la saison favorable à la transmission, P. sergenti et P. longicuspis seraient respectivement les vecteurs les plus probables des leishmanioses à L. tropica et à L. infantum dans la région étudiée. Le risque de transmission de la maladie serait plus grand durant le deuxième pic de densité en fin été- début automne.  相似文献   

9.
Resumé

Corrélation entre le nombre des chromosomes et les dimensions des microscopores dans la taxonomie botanique. spectre génétique pollinique.

Le concept de proportion domine dans la nature vivante. L'intéraction du noyau et du cytoplasme détermine sur le volume de ce dernier et en conséquence sur la cellule à l'état jeune, une régulation des dimensions cellulaires.

Non seulement la forme des divers pollens, mais aussi leurs dimensions (en tenant compte des fluctuation possibles), constituent des caractères qui peuvent avoir une importance taxonomique, tant par eux memes que par le fait d'etre mis en rapport avec les nombres des chromosomes.

On a déjà constaté que le numéro diploïde 24 est le plus fréquent, soit dans le règne animal que dans le régne végétal et que les numéros diploïdes compris entre 12 et 32 sont plus fréquents dans les plantes, que les autres numéros. Corrélativement l'A. a constaté que le diamètre équatorial le plus fréquent dans les pollens est celui de 23–25 microns; suivent, avec des fréquences décroissantes, les mesures 16–14–18–32–12 etc. microns.

De même, tandis que les numéros diploïdes éleves (2a = 100–200) sont très rares dans les plantes, les espéces avec des pollens à grains volumineux sont elles aussi en nombre très réduit.

Parmi les Convolvulacées, au nombre chromosomique diploïde 2n = 14 de Cuscuta europaea correspondent des microspores de 18–25 μ à 2n = 50 de Convolvulus arvensis, microspores de 50–70 μ, tandis que les Ipomées ayant un nombre élevé de chromosomes (2n = 60, 2n = 90 ca.) ont des grains de pollen d'un diamètre de 150–210 microns. Parmi les Nyctaginacées, le genre Bougainvillea (2n=20) a des pollens de petites dimensions dont le diamètre equatorial est de 30–40 microns, tandis que le genre Mirabilis (2n = 58) a des graines de pollens de grandes dimensions, de 160–226 microns de diamètre.

Bien d'autres exemples de corrélation semblables, appartenant à plusieurs genres et families de plantes, peuvent être cités, sur la base de l'examen des pollens de plus de 1000 espèces.

Si des espèces de proche parenté et semblables au point de vue de la taxonomie, diffèrent entre elles par le nombre des chromosomes respectifs, elles diffèrent aussi quant aux dimensions des pollens.

Le cardinal diamétrique equatorial des grains de pollens des espèces vraisemblablement élémentaires et de leurs variétés est souvent très proche du cardinal chromosomique diploïde des entités respectives; il est quelquefois un des ses multiples, très rarement un sous-multiple.

Tandis que la proportionalité entre les dimensions des grains de pollen et le nombre des chromosomes est fréquente dans les espèce élémentaires, elle nè se rencontre pas dans beaucoup d'autre cas, à cause de l'interférence de la polyploïdie. Dans les Cucurbitacées, aux pollens avec grains de 20 et 22 μ (Bryonia dioica, Momordica charantia) correspondent 2n = 20 et 2n = 22 respectivement; tandis que dans les espèces à gros grains de pollens (Cucurbita pepo: 170 μ; Cucumis sativus: 72–76 μ) ont a trouvé jusqu'à present: 2n = 40,42 (80) et 2n = 14,28 respectivement.

Une des manifestations de la polyploïdie, est la présence dans les pollens de macro-grains, de grains abortifs, de sillons et de pores aberrants, en somme de grains atypiques par leur forme et parfois aussi par leur coleur, présence qui, outre à indiquer l'origine hybride, peut, dans certains cas, inciter à faire des recherches sur les parents supposés et à tirer un plus grand parti de ces caractères.

Dans bien de cas il est possible de dessiner les spectre des pourcentages selon lesquels les différentes entités on concouru à la constituion de la variété ou de la cultivar.

L'A. propose d'appeler un tel diagramme: spectre génétique pollinique. [Agrave] le définir concourent aussi bien les différences morphologiques et microchimiques, que le pourcentage des grains physiologiquement inactifs (abortifs).

La biométrie est très utile dans l'interprétation des préparations microscopiques hétérogènes des allopolyploïdes.  相似文献   

10.
C. Alauzet 《BioControl》1990,35(1):119-126
Résumé L'étude examine l'influence du cortège parasitaire dans la dynamique des populations deP. notatus dans une forêt de pin maritime du sud-ouest de la France. De 1968 à 1977, le niveau du parasitisme apparent total à l'émergence a varié, mais est resté le plus souvent compris entre 20 et 30%. Les parasito?des les plus abondants appartenant aux genresEubazus etCoelo?des se sont montrés densito-dépendants par rapport à leur h?te et le rapport entre leurs effectifs respectifs est resté assez constant au cours des 10 années d'observation. Un calcul basé sur l'évolution théorique des populations deP. notatus au vours de leur développement a permis d'estimer qu'en moyenne 16% seulement des charan?ons étaient détruits chaque année par l'ensemble des parasito?des alors que dans cet habitat le taux de parasitisme annuel moyen à l'émergence a été de 0,28.   相似文献   

11.
A. Dejean 《BioControl》1991,36(1):29-54
Résumé L'activité prédatrice de 12 sociétés d'Oecophylla longinoda Latreille a été étudiée durant 124 h d'observations pendant lesquelles 2 482 proies ont été capturées. La prédation s'exerce sur les arbres supportant les nids ainsi que sur des territoires ?secondaires? habituellement situés sur le sol. Les 7 situations suivantes sont comparées: 1) En forêt, durant les périodes ?habituelles?; 2) Durant le passage d'une colonne de Magnans; 3) Le territoire de chasse ?secondaire? d'une société installée sur un arbre situé en bordure de rivière correspond à une zone où de nombreux insectes se concentrent pour s'abreuver; 4) L'arbre support est un manguier dont on suit le cycle biologique (inter-saison, floraison, fruits m?rs) et son impact sur la prédation par lesOecophylla; 5) On compare la situation ?habituelle? à ce qui se passe lorsqu'un essaimage de Termites est rabattu sur les territoires d'une société; 6) Le territoire ?secondaire? est situé sous la véranda d'une maison éclairée chaque nuit où de nombreux insectes ailés sont attirés; 7) Les territoires ?secondaires? de 2 sociétés étant contigus, on compare les périodes de combats aux périodes calmes. Les territoires ?secondaires? sont situés sur des zones de concentration en proies (insectes de la litière des forêts, zones où ils viennent s'abreuver, attraction par la lumière, la nuit). LesOecophylla y capturent souvent des insectes aptères, cas relativement rare sur l'arbre support. Ces territoires sont défendus contre les ouvrières d'autres sociétés. Du fait de leur territorialité très marquée avec surveillance permanente du territoire et un recrutement très efficace, lesOecophylla répondent très rapidement à toute prolifération en proies. A cela s'ajoute une grande diversité de proies potentielles de sorte que cette espèce peut être considérée comme très efficace en lutte biologique, les ouvrières réagissant spécifiquement à toute abondance d'un type d'insecte. Pour une société comprenant 12 calies, le nombre de proies capturées par an est de l'ordre de 45 000. Ramené à un nombre équivalent d'individus et de jours d'activité, il est du même ordre que celui desFormica lugubris (Cherix, 1986).   相似文献   

12.
Résumé L'étude des variations d'abondance et des factuers de régulation de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero 5 ans après l'introduction du parasito?de néotropicalEpidinocarsis lopezi (de Santis) révèle la constance des pullulations du ravageur depuis 9 ans. Les pics de pullulations s'observent surtout en début de saison des pluies. Aucune corrélation n'a pu être établie entre les paramètres caractérisant les pluies et les variations du nombre de cochenilles. Nos observations confirment que l'entomophthoraleNeozygites fumosa (Speare) Remaudière et Keller est le principal facteur de régulation de la cochenille au Congo. L'impact des prédateurs de la cochenille ne semble pas s'être modifié depuis 1979: la coccinelleExochomus flaviventris Mader reste le prédateur le plus actif. L'acclimatation du parasito?deE. lopezi s'est traduite par une augmentation du taux de parasitisme par un facteur 2 à 3. Elle n'a cependant pas permis de modifier l'allure et l'ampleur des pullulations de la cochenille. Enfin, la co?ncidence entre les brutales augmentations du nombre de cochenilles et de profondes modifications de la physiologie du manioc laisse à penser que cette dernière joue un r?le important.   相似文献   

13.
G. Reyd  R. Gery  A. Ferran  G. Iperti  J. Brun 《BioControl》1991,36(2):161-171
Résumé Hyperaspis raynevali Muls. est une coccinelle coccidiphage appelée à intervenir en lutte biologique contre la cochenille du manioc:Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero en Afrique. Au laboratoire, ce prédateur est multiplié sur la cochenille du manioc et sur la cochenille farineuse des agrumesPlanoccus citri Risso (proie de substitution). L'étude des aptitudes trophiques d'H. raynevali élevée avec ces 2 espèces de cochenille a été entreprise afin de comparer la valeur alimentaire respective de ces proies. Les résultats montrent que la qualité nutritive deP. manihoti est légèrement supérieure à celle deP. citri pour les larves et les adultes de la coccinelle, à condition de ne pas utiliser le poinsettia, comme végétal de substitution pour élever la cochenille du manioc. De plus,P. citri constitue une proie que l'on peut avantageusement utiliser au Congo afin de produireH. raynevali pour entreprendre une opération de lutte biologique contreP. manihoti.   相似文献   

14.
A. Magnoler 《BioControl》1968,13(4):335-344
Résumé Des expériences de laboratoire et en plein champ ont révélé que le virus de la polyédrose nucléaire deLymantria dispar L. est plus efficace quand on l'emploie sous forme de suspension non purifiée. La virulence plus élevée des préparations non purifiées par rapport aux préparations purifiées, s'est manifestée, suivant l'age des chenilles, par l'augmentation des différences de mortalité avec la diminution de la concentration des suspensions employées. Tandis qu'en laboratoire on a pu observer une différence maximum de la mortalité égale à 43,3%, en plein champ, il n'y a pas eu de différence supérieure à 19%. Avec les doses les plus concentrées, la plus grande eflicacité de la préparation non purifiée a eu l'unique effet d'abréger la période d'incubation de la polyédrie. Bien qu'on ait démontré que, dans des forêts de chênes-lièges, il convient de se servir de préparations non purifiées, au lieu de préparations purifiées, il est nécessaire d'effectuer des recherches ultérieures, afin de distinguer les facteurs responsables de cette activité différente.   相似文献   

15.
Résumé Commencés en 1954, les essais de naturalisation deProspaltella perniciosi Tower pour la lutte biologique contre le Pou de San-José,Quadraspidiotus perniciosus Comstock dans la région Sud-Ouest de l'Allemagne ont conduit aux résultats suivants. Jusqu'en 1965, dans une région d'expérience de plus de 1 000 ha située près de Heidelberg, en moyenne le quart desQ. perniciosus ont été exterminés parProspaltella peerniciosi, tant sur les arbres où ils avaient été lachés, que sur les arbres voisins. Les résultats donnés par les graphiques et les tableaux précédents expliquent l'augmentation des taux de parasitisme, la composition et l'importance des différents éléments de la faune des parasites dans le Baden-Württemberg ainsi que dans la région de Stutgtart où se trouvent des échantillons de pommier du Connecticut. Dans les régions d'expérience,Prospaltella perniciosi est le parasite le plus important. L'origine du parasite joue seulement un r?le secondaire. LesProspaltella bisexués, mis en élevage et lachés depuis 1963 se sonst bien maintenus à c?té des races unisexuées qui avaient été libérées précédemment. Sous le climat des lieux d'expérience, leP. perniciosi parthénogénétique a aussi bien réussi que le bisexué.   相似文献   

16.
Résumé L'Hyménoptère parasito?deEpidinocarsis lopezi (De Santis) a été introduit d'Amérique du Sud au Congo pour le contr?le des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Dans les conditions du laboratoire, les principaux paramètres du développement ont été étudiés: le temps de développement entre la ponte de l'œuf et l'émergence de l'adulte est en moyenne de 15,6 jours; le taux sexuel est de 56% de femelles en maintien de souche, variable selon le stade des h?tes présentés; la longévité des ♀♀ est de 42,26 jours; la fécondité moyenne pour des ♀♀ nourries de miel s'établit autour de 207,6 œufs sur une période de 40 jours (5,2 œufs par jour en moyenne), elle est inférieure en absence d'alimentation (141 œufs au total et 3,8 par jour); le stade h?te choisi pour la ponte est essentiellement la larve L3 (à un moindre degré les jeunes ♀♀ sans ovisac); le superparasitisme peut atteindre 64% en situation de raréfaction de l'h?te, mais il n'est que de 5,7% en présence de fortes proportions de L3. Après des lachers expérimentaux, l'auxiliaire s'est acclimaté dans les champs expérimentaux et a colonisé les champs voisins. Ses taux de parasitisme achevé ont atteint un maximum de 15,4% des stades préférentiels (22% pour le parasitisme en cours) avant le pic de gradation de la cochenille. Ces données présententE. lopezi comme un parasito?de ayant de bonnes qualités intrinsèques mais qui, à l'heure actuelle, ne parvient pas à réguler les populations de la cochenille dans la zone où il a été laché.   相似文献   

17.
M. Ravallec  G. Riba  A. Vey 《BioControl》1989,34(2):209-217
Résumé Le comportement pathogène de l'hyphomycèteMetarhizium anisopliae (Metsch.) Sorokin a été évalué surAedes (Stegomya) albopictus Skuse. Le mode d'action de la souche testée se manifeste de 2 fa?ons, soit par une colonisation de l'hémocoele, soit par une toxémie si la dose de l'inoculum est suffisamment élevée. L'intervention d'un processus toxémique a été confirmée par la mise en évidence du pouvoir pathogène des spores irradiées aux ultra-violets. Ces toxines seraient libérées dans le mésentéron des larves pendant la protéolyse alcaline des spores ingérées, dont le nombre a pu être estimé. Le seuil d'activité toxémique étant évalué à 3.105 spores pour une larve du stade 4. L'analyse du contenu de tubes digestifs étalés sur milieu nutritif et l'examen de coupes semi-fines ont montré que les larves soumises à de fortes doses du germe perdent rapidement leur capacité digestive. Enfin, le r?le de la destruxine E dans ces infections est discuté.   相似文献   

18.
A new virus infecting the pink bollwormPectinophora gossypiella has been detected and purified from dead larvae collected from naturally infested cotton fields. The purified icosahedric virions measured 27±1 nm in diameter and contained RNA genome. Three capsid proteins of 31.7, 32.6 and 47.4 Kd have been separated on polyacrylamide gel. The purified virus was not highly infectious to the host larvae revealed while the pupal period survived from infected larvae was significantly prolonged. The virus particles infecting the midgut cells are grouped in paracrystallin arrays. The virus was vertically transmitted through infected adults. The main characteristics of this virus place are quite relative to the Picornavirus group.
Résumé Un nouveau virus infectant le ver rose du cotonnier,Pectinophora gossypiella, a été isolé et purifié à partir de larves mortes récoltées en champ de coton. Les virions purifiés de 27±1 nm de diamètre, ont une forme icosaédrique et contiennent un génome à ARN. Trois protéines capsidaires de 31,7, 32,6 et 47,4 Kd ont été trouvées dans les virions. Le virus purifié n'est pas hautement infectieux pour les larves, cependant la durée du stade chrysalide est supérieure chez les lots infectés artificiellement. Dans les tissues atteints, les virions sont dispersés dans le cytoplasme des cellules de l'intestin ou bien groupés en amas paracrystallins de même type que chez d'autres insectes infectés avec des picornavirus. Les adultes malades transmettent ce virus à leur descendance. Par sa forme, sa taille et ses caractéristiques chimiques, ce virus libre peut être placé près des Picornavirus d'insectes.
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19.
Prise de nourriture par Sogatella furcifera sur des variétés de riz sensibles ou résistantes Des déterminations des taux d'ingestion et des sites de prise de nourriture par Sogatella furcifera, faites indirectement par des estimations du pH. du contenu en acides aminés libres et de la quantité de miellat excrété par cet Homoptère sur une variété sensible (TN1) et une variété résistante (IR2035-117-3) de riz. Oriza sativa L., suggèrent que le taux d'ingestion de sève est 267 fois plus élevé sur la variété TN1, bien que le site principal de la prise de nourriture sur les 2 variétés semble se situer au niveau de la sève élaborée des tubes criblés du liber (phloème). Ces résultats sont comparés à ceux publiés antérieurement sur la cicadelle du riz. Nephotettix virescens, dont le taux d'ingestion est semblable sur des variétés de riz sensibles ou résistantes, mais dont les sites de prise de nourriture sont différents. Cette cicadelle se nourrirait principalement de la sève élaborée du phloème chez la variété TN1, tandis qu'elle absorberait surtout de la sève brute provenant des vaisseaux du bois (xylème) chez des variétés de riz résistantes aux attaques de ce déprédateur.  相似文献   

20.
Les espèces seychelloises du genre Cratopus Schoenherr 1823 sont révisées, et quatre nouveaux taxons sont décrits. Espèce de grande taille (16–19 mm), C. roberti n. sp. possède dix stries élytrales, des fémurs antérieurs portant de petits denticules, y compris sur la dent, et un revêtement squamuleux vert métallique, avec une bande blanche le long de la base et des côtés des élytres, ainsi que sur les côtés du prothorax. Long de 8–10 mm, C. venustus n. sp. se reconnait à ses téguments noirs et brillants, sa vestiture réduite bleu-vert métallique, ses douze stries élytrales de forts points, ainsi qu’à ses interstries 8 et 9 caréniformes. C. griseovestitus northislandensis n. ssp. diffère de la forme nominative C. griseovestitus griseovestitus Linell 1887 par ses téguments coriacés et sa vestiture métallique du dessus dense, à reflets cuivre doré ou verts, et non gris blanchâtre ou bleuâtre. C. griseovestitus fregata n. ssp. diffère de son côté de la forme nominative par ses téguments bruns plus ou moins foncés, saupoudrés de poils et de squamules très petits. Les synonymies de C. parcesquamosus Fairmaire 1893 et de C. abbotti Linell 1907 avec C. aurostriatus Fairmaire 1892 sont confirmées, et enfin un tableau de détermination des espèces seychelloises du genre est donné. Les Cratopus des Seychelles se divisent en un ensemble de trois espèces du groupe de griseovestitus, à large répartition, habitant les côtes et les îles coralliennes basses et probablement d’arrivée récente, et un ensemble de six espèces limitées aux îles granitiques, où cinq d’entre elles ont une distribution limitée à l’intérieur d’une île ou deux. Elles sont certainement de souche beaucoup plus ancienne. Les Cratopus des Seychelles sont folivores à l’état adulte, et souvent polyphages. Une liste de leurs plantes-hôtes connues est donnée.  相似文献   

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