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1.
E. Thibout 《BioControl》1988,33(4):439-452
Résumé La spécificité deDiadromus pulchellus vis-à-vis de son h?te habituel,Acrolepiopsis assectella, est testée à l'aide de 3 autres espèces de Lépidoptère,Plutella xylostella, Ephestia kuehniella etPlodia interpunctella. D. pulchellus parasite spontanémentA. assectella etP. xylostella, que les chrysalides soient nues ou avec leur cocon et que les larves soient élevées ou non sur leur plante h?te. Les 2 autres espèces ne sont parasitées que si elles sont introduites dans un cocon d'A. assectella ou deP. xylostella. Le cocon est donc un des éléments de la spécialisation deD. pulchellus. Il pourrait s'agir de facteurs physiques liés à la structure du cocon, mais également de composés chimiques insolubles présents dans la soie et les glandes labiales mais absents des glandes mandibulaires. La spécificité deD. pulchellus, essentiellement éthologique, semble renforcée par des facteurs physiologiques nutritionnels, la mortalité deD. pulchellus étant plus élevée dansP. unterpunctella que dans les autres espèces h?tes, en particulierA. assectella etE. kuehniella. La base trophique des larves est donc plus large que la base de ponte des femelles. Les parasito?des entièrement élevés surE. kuehniella ouP. interpunctella étant incapables de pondre spontanément dans les chrysalides des espèces dont ils sont issus, l'hypothèse d'Hopkins est ici infirmée.   相似文献   

2.
Résumé Dans le genreTrichogramma, il existe d'une part un certain nombre d'espèces et, d'autre part, beaucoup de formes biologiques caractérisées seulement par leur comportement. Les espèces bien distinctes par leur morphologie sont:T. evanescens Westwood,T. embryophagum (Hartig),T. semblidis (Aur.,T. minutum Riley,T. japonicum Ash. etT. retorridum (Gir.). La valeur d'une espèce deTrichogramma est établie par le mode de reproduction, la variation de la coloration, la durée du cycle évolutif et les différences des soies des antennes chez les males, et tout cela pour une température haute et constante (30°C). La connaissance des modifications physiologiques et des changements de coloration d'une espèce en fonction de l'habitat est importante pour les études taxonomiques qu'il faut exécuter avec un matériel vivant. La tache d'un taxonomiste deTrichogramma est biologiquement difficile, mais son importance pour l'agriculture est considérable.   相似文献   

3.
Capture efficiency, handling time and functonal response to prey density were studied in larvae ofSyrphus ribesii (L.) andS. corrollae (Fabr.) eatingMyzus persicae Sulz. at 20°C, 16 hrs light. First instar larvae ofS. ribesii had distinctly higher capture efficiency than 1st instar larvae ofS. corollae, both versus 1st instar and adult aphids. Second and 3rd instar larvae of both species seemed to prefer adult rather than 1st instar aphids, but no distinct difference in capture efficiency between the species was found. On comparable stages,S. ribesii always had shorter handling time thanS. corollae and it appeared in both species to be correlated with size of prey and predator. Handling time was thus shortest when 3rd instar larvae consumed 1st instar aphids. During one hour, 3rd instar larvae ofS. ribesii consumed aphids in quantities almost linearly dependent on aphid density (5, 10, 20 and 40 adult aphids/100 cm2), although the response also could roughly be described byHolling's “basic functional response curve”. On the contrary, 3rd instar larvae ofS. corollae soon reached a maximum consumption during one hour, being almost constant (5–7 aphids) at prey densities ≥10 aphids/100 cm2.
Résumé L'efficacité prédatrice (proportion de toutes les rencontres entre larves de syrphes et pucerons se terminant par la capture et la succion de pucerons), la durée d'activité et la relation entre l'absorption de nourriture et la densité des proies (5, 10, 20 et 40Myzus persicae Sulz. aptères au 5e stade larvaire/100 cm2) ont été étudiées chez des larves deSyrphus ribesii (L.) etS. corollae (Fabr.) à 20°C et 16 h de photopériode. Les L1 deS. ribesii présentent une efficacité prédatrice des pucerons des premier et dernier stades nettement plus élevée que les L1 deS. corollae (S. ribesii: 71 et 38%;S. corollae: 42 et 0%). Chez les larves des 2e et 3e stades, on n'a observé aucune différence d'efficacité prédatrice entre les 2 espèces, mais une préférence pour les pucerons adultes. La durée d'activité deS. ribesii est dans tous les cas plus courte que celle deS. corollae pour un même stade de larves et de pucerons. Une corrélation positive semble exister entre la taille des proies et celle des prédateurs. La durée d'activité est la plus courte pour des prédateurs en L3 s'alimentant de pucerons au premier stade (1,3 mn chezS. ribesii et 2,3 mn chezS. corollae). L'absorption de nourriture enregistrée en une heure chezS. ribesii varie presque linéairement avec la densité des pucerons; elle correspond d'autre part assez bien à la formule deHolling. L'absorption de nourriture parS. corollae atteint un maximum de 7 pucerons à l'heure et demeure pratiquement constante à partir d'une densité≥10 pucerons/100 cm2.


The author wishes to thank techn. ass.Bodil Horgen for assistance during the experiments  相似文献   

4.
Les affinités fauniques et la délimitation même du Turkestan en tant qu’entité biogéographique sont mal connues ou controversées. Elles sont discutées ici dans le cadre d’une révision systématique des espèces d’abeilles rubicoles du genre Ceratina. Onze espèces, dont une nouvelle: Ceratina (Euceratina) haladai n. sp., y sont répertoriées. Trois espèces sont redécrites et une clé d’identification est proposée. Toutes ces espèces sont soit présentes dans la région ouest-paléarctique, soit de proches parentes d’espèces méditerranéennes. Aucune espèce ne présente d’affinités notables avec les taxons orientaux ou est-paléarctiques. La carte de distribution de chaque espèce est établie et comparée à la distribution des biomes régionaux. Comme elles sont très largement polylectiques, les plantes butinées ne constituent probablement pas un facteur limitant de leur distribution. A l’inverse, leur nidification rubicole les cantonne à des biotopes riches en ronces (Rubus species) ou en autres plantes à tiges creuses ou médullaires (par ex. Verbascum species). Ceci explique leur implantation plutôt synanthrope en montagne et le long des fleuves.  相似文献   

5.
During observations in soybean fields, 136Neoscona arabesca (Walckenaer) and 46Tetragnatha laboriosa Hentz were collected with prey. Significantly different prey compositions were recorded, withN. arabesca utilizing a large number ofColeoptera whileT. laboriosa captured primarilyHemiptera-Homoptera. Neoscona arabesca was observed to feed primarily in the evening following web construction, whileT. laboriosa fed predominantly in the morning. Although both of these species captured relatively large numbers of homopterans, most of their prey were species which are not considered to be pests in soybean.
Résumé Lors d'observations dans des champs de soja, 136Neoscona arabesca (Walckenauer) et 46Tetragnatha laboriosa Hentz furent recueillies avec leurs proies. Des différences significatives furent notées dans la composition des différents groupes de proies,N. arabesca capturant un grand nombre de Coléoptères tandis queT. laboriosa capture en premier lieu des Hémiptères (Hemiptera-Homoptera). Il fut observé queNeoscona arabesca se nourrit surtout dans la soirée qui suit la construction de la toile, alors queT. laboriosa se nourrit le plus souvent le matin. Bien que ces deux espèces aient capturé un nombre relativement important d'homoptères, la plupart de leurs proies étaient des espèces qui ne sont pas considérées comme nuisibles au soja.


This paper (82-7-20) is in connection with a project of the Kentucky Agricultural Experiment Station and is published with the approval of the Director.  相似文献   

6.
Dasypsyllus picaflori n. sp. est décrit à partir de puces prélevées dans un nid de Trochilidae, Oreotrochilus leucopleurus Gould 1847, au Chili. C’est la deuxième espèce de Puce signalée chez des Colibris. Taxonomie, répartition, spécificité et écologie des espèces et sous-espèces connues dans le genre Dasypsyllus sont rappelées.  相似文献   

7.
Toxicological responses to 10 different pesticides were determined for 3 species of typhlodromid mites,Typhlodromus pyri Scheuten,Amblyseius potentillae Garman, andA. bibens Blommers, in order to investigate whether or notA. bibens might be used as a substitute for the 2 other species as a testing object for measuring adverse effects of pesticides. T. pyri andA. potentillae are important predators in orchards on phytophagous mites. These species can be reared on the common spider mite,Tetranychus urticae Koch, but they seem averse to the webbing of the spider mite. When placed on detached bean leaves on moist cotton wool withT. urticae present as prey, these typhlodromids tend to run off the leaves, especially when in addition such leaves have been treated with pesticides.A. bibens on the other hand will stay on the leaves when prey is present; it seems to be attracted by the webbing of the spider mite. This makesA. bibens an attractive testing object. In the present study the 3 species mentioned were tested comparatively in closed cells to see whether or not there might be differences in intrinsic susceptibility to pesticides. Mortality of adults, the effect on reproduction, and the mortality of eggs and juveniles were determined. It was found thatA. bibens can reasonably well replace other typhlodromids as a testing objeot for obtaining information on adverse effects of pesticides in orchards.
Résumé Les effets toxiques de 10 pesticides sur 3 espèces de typhlodromes,Typhlodromus pyri Scheuten,Amblyseius potentillae Garman etA. bibens Blommers ont été examinés afin de déterminer si on peut employer ou nonA. bibens à la place des 2 autres espèces en tant qu'espèce test pour la mesure des effets nocifs des pesticides. t. pyri etA. potentillae sont d'importants prédateurs d'acariens phytophages en vergers. Ces espèces peuvent être élevées sur l'acarien commun,Tetranychus urticae Koch, mais présentent des réactions de répulsion à la soie de ce tetranyque. Placés sur des feuilles de haricot plantées dans du coton humide avecT. pyri comme proie, ces typhlodromes ont tendance à quitter les feuilles, surtout si elles ont été traitées par des pesticides.A. bibens, par contre, demeure sur les feuilles en présence de la proie et semble attiré par le tissage de l'acarien. Ce fait rend intéressantA. bibens. Dans ce travail les 3 espèces ont été étudiées comparativement dans des cellules fermées, afin de montrer si elles font preuve de différences dans leur sensibilité intrinsèque aux pesticides, d'après la mortalité des adultes, la reproduction et la mortalité des œufs et des jeunes. On a trouvé queA. bibens peut très bien remplacer les autres typhlodromes comme espèce-test.
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8.
Résumé La hauteur préférentielle de ponte a été étudiée chez plusieurs espèces deSyrphidae aphidophages. A cet effet, le nombre d'œufs pondus sur des fèveroles en pot (Vicia faba L.), infestées parAphis fabae Scop. et fixées à hauteur de 180 cm, 120 cm et 30 cm a été enregistré. Des hauteurs préférentielles bien précises ont été trouvées pour les différentes espèces, variant de celle deSyrphus triangulifer (Zett.) qui pond 69% des œufs à 180 cm et seulement 5% à 30 cm, à celle deLeucozona lucorum (L.) qui ne pond que 8% à 180 cm, mais 78% à 30 cm.S. ribesii (L.) préfère initialement 180 cm mais le pourcentage de pontes à 30 cm augmente en fonction de l'age. En ce qui concerne les fèveroles en cage, la couleur de la couche inférieure modifie la hauteur préférentielle de ponte.S. balteatus (Deg.), par exemple, pond de préférence à 30 cm lorsque le fond de la cage est recouvert d'herbe ou de papier vert mais ne montre pas de préférence particulière lorsque le sol est tout simplement de la terre ou est recouvert de tissu brun, argenté ou jaune. Il est possible que la couleur verte serve de point de repère visuel à partir duquel la femelle estime la hauteur de ponte.   相似文献   

9.
10.
B. J. Wood 《BioControl》1963,8(1):67-82
Résumé L'application d'insecticides de contact sur lesCitrus à Chypre a apporté des perturbations à l'équilibre naturel si bien que certains insectes nuisibles ont pris une importance accrue et de sévères infestations d'insectes normalement sans importance sont survenues. Ceci est particulièrement sensible dans le cas des Coccides. La situation dans les cultures non traitées révèle de fa?on évidente que, à partLepidosaphes beckii newm., les cochenilles nuisibles ont des ennemis naturels capables d'assurer un contr?le économique en l'absence de facteurs adverses susceptibles de freiner leur activité. L'équilibre naturel du Pou rouge (Aonidiella aurantii mask) est très facilement bouleversé. Il devient spécialement dangereux quand les insecticides de contact sont utilisés. Les ennemis les plus fréquents des Cochenilles desCitrus sont répertoriés. Dans quelques cas, l'importance relative des espèces attaquant certains insectes nuisibles dans des situations variées, est précisée. L'importation de 5 espèces d'Aphytis est notée. L'intégration de la lutte chimique qui est nécessaire avec la lutte biologique est discutée. Enfin, les moyens de détermination des programmes de traitements sont esquissés.   相似文献   

11.
La perte de la biodiversité est plus accentuée dans les écosystèmes aquatiques continentaux que dans les autres types d‘écosystèmes. L’élaboration d’une stratégie de conservation adéquate de la biodiversité aquatique s’avère donc cruciale. Elle doit cependant être basée sur l’identification des espèces et des habitats nécessitant un plus grand effort de conservation. Dans ce travail, les espèces les plus menacées des coléoptères aquatiques du Rif (Nord du Maroc) sont identifiées en utilisant un système de catégorisation pour classer les espèces selon leur priorité de conservation ou leur degré de vulnérabilité. Haliplus andalusicus, Metaporus meridionalis, Hydrochus obtusicollis, Hydrochus tariqi, Limnebius mesatlanticus, Ochthebius atriceps, Ochthebius extraneus et Ochthebius lanarotis présentent une haute vulnérabilité à une échelle régionale et méritent d’être inscrites sur la future liste rouge des espèces menacées du Rif. Parmi ces espèces Hydrochus obtusicollis et Ochthebius lanarotis sont proposées pour qu’elles soient inscrites, sur la liste rouge IUCN dans la catégorie “Endangered”. Il s’agit de deux espèces endémiques du Maroc, de distribution très restreinte, la première exclusive du Rif, et leurs habitats souffrent de plusieurs impacts. L’état de conservation de ces espèces nécessite que des mesures urgentes soient prises, pour la protection de leurs habitats. Les actions de préservation doivent inclure les habitats aquatiques du Rif comme les sources, les cours supérieurs et moyens des oueds, les cours d’eau salés, les marais et les tourbières.  相似文献   

12.
Intra- and interspecific competition for food (Myzus persicae) in larvae ofSyrphus ribesii andS. corollae were investigated in the laboratory at 20°, 16 hrs light. A competing unit consisted originally of six newly hatched larvae, trhee of each species or six of one species.S. ribesii had a low larval survival (about 35–40%) and a prolonged larval period (about 16–17 days) under both intra- and interspecific conditions, although food consumption was greater when mixed withS. corollae. InS. corollae, larval survival was significantly smaller when mixed withS. ribesii than under intraspecific conditions (25.0% and 73.1%). Larval period was somewhat increased in the mixed series. The results are explained by different sizes, natural food demands, feeding efficiencies and predatory tendencies of the two larval species.
Résumé De jeunes larves deSyrphus ribesii et deSyrphus corollae ont été rassemblées par groupe de 6, toutes de la même espèce ou bien à raison de 3 larves de chaque espèce. Au sein de chaque groupe, les larves pouvaient entrer en concurrence les unes avec les autres en raison de la faible quantité de pucerons, qui étaient offertes chaque jour en nombre dépendant de l’age des larves, les mortes n’étant pas remplacées. Dans le cas d’une concurrence intraspécifique, les larves deS. ribesii ont un taux de survie faible (35–40%) et un long cycle de développement (16–17 jours); par contre,S. corollae a une survie élevée (73,1%) et un cycle de développement normal (9,9 jours). Dans le cas d’une concurrence interspécifique, le développement deS. ribesii n’est pas modifié, mis à part une prise de nourriture un peu plus grande en présence deS. corollae, ce qui se traduit par un poids plus élevé des pupes — par contre, les larves deS. corollae ont un taux de survie sensiblement plus faible (25,0%) et une durée de développement un peu plus longue (11,0 jours), lorsqu’elles sont placées dans les conditions d’un comportement interspécifique. Les résultats peuvent être expliqués par le fait que les larves deS. corollae ont, en présence des larves deS. ribesii, un comportement alimentaire plus mauvais que lorsqu’elles sont placées avec des individus de la même espèce. Cela tient vraisemblablement à ce que les larves deS. ribesii sont plus grosses, ont un besoin alimentaire plus élevé et consomment les pucerons plus rapidement queS. corollae.
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13.
B. D. Burks 《BioControl》1964,9(1):17-20
Résumé L'auteur décrit, dans cette note, deux espèces nord-américaines d'Encyrtides, parasites de cochenilles du genreAclerda: Mayridia ferrierei, obtenue deAclerda xalapenseae Mcconnell, etAenasioidea ferrierei, obtenue deA. andropogonis Mcconnell. Chez les deux espèces d'Encyrtides, les males sont ailés, tandis que les femelles possèdent des ailes plus ou moins réduites.   相似文献   

14.
Résumé Les larves de deux espèces deSystoechus (somali oldroyd etaurifacies greathead), attaquent les œufs du criquet pèlerin (Schistocerca gregaria Forsk?l) en Afrique orientale. La morphologie des larves et des pupes de ces deux espèces et de deux autres a été étudiée en détail. Les larves sont presque identiques; seulement quelques faibles différences ont été observées dans la forme des sclérites céphaliques. Les pupes, d'autre part, présentent des caractères plus distincts. La distribution duSystoechus parmi les lieux d'oviposition duSchistocerca et parmi les oothèques d'une même station est très irrégulière. Chaque larve demande 8–10 œufs (c'est-à-dire un huitième d'une oothèque) pour le développement complet. On trouve souvent plus d'une larve dans l'oothèque, mais il n'en résulte pas la destruction de tous les œufs. Le développement larvaire et le stade de pupe durent chacun à peu près une semaine, mais la larve développée passe dans le sol une période de repos dont la durée varie de plusieurs mois à plusieurs années. Les pluies déclenchent la formation des pupes; toutes les larves ne se transforment pas à la première pluie; en conséquence, l'éclosion des adultes est très échelonnée.   相似文献   

15.
Summary This paper reports on possible effects of selective logging on vegetation structure and its consequences for two tenrec species in a dry forest in western Madagascar. On a small scale semi-mechanized logging of less than 10 m3 per ha alters forest structure significantly. However on a large scale most of these changes are smaller than the variation of forest structure due to natural causes. The most profound ecological effect of logging is a reduction in the number of woody species in the regenerating cohort of trees. Potential longterm consequences of this feature are discussed. Microhabitat variables influencing the habitat utilization of two tenrec species,Echinops telfairi andTenrec ecaudatus, were identified in an area of unlogged forest. The conclusions derived from this analysis were then tested in other parts of the forest which had been modified by selective logging. Logging of the extent described above slightly impairs habitats forE. telfairi but has no effect onT. ecaudatus. Though the latter species is hunted extensively in the logged areas, loggingper se does not threaten the survival of either species.
Résumé Cette étude met en évidence quelques effets de l'exploitation séléctive de la forêt sur la structure de la végétation et les conséquences pour deux espèces de tenrecs dans une forêt sèche à l'ouest de Madagascar. Dans un domaine limité, l'exploitation de bois de moins de 10 m3 par ha change considérablement la structure de la forêt. Mais si on considère une échelle plus grande, ces effets sont inférieurs à la variabilité naturelle. L'effet le plus grave de l'exploitation forestière sélective est la reduction du nombre d'espèces végétales ligneuses dans le processus de regénération naturelle de la forêt. Quelques conséquences possibles de cette réduction pour les animaux sont discutées. Quelques caractères distinctifs de la végétation qui influencent l'utilisation de l'habitat par deux espèces de tenrec,Echinops telfairi etTenrec ecaudatus, ont été identifiés dans une partie de la forêt qui n'a pas encore été exploitée. Les conclusions de cette analyse sont vérifiées dans une autre partie de la forêt qui a été modifiée par l'exploitation du bois. L'exploitation forestière sélective du bois détériore légèrement l'habitat pourE. telfairi, mais elle n'a pas d'effets remarquables surT. ecaudatus. L'exploitation sélective du bois favorise la chasse par l'ouverture de chemins d'accès. La chasse deT. ecaudatus est particulièrement intense, mais cependant ni l'une ni l'autre des espèces de tenrec considérées ne sont en danger d'extinction par cette form d'exploitationper se.
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16.
Résumé L'étude en laboratoire de la biologie du développement deAmblyseius andersoni, Neoseiulus fallacis, Galendromus longipilus etTyphlodromus pyri a permis de calculer les seuils de développement et le taux intrinsèque d'accroissement naturel à 20°C lorsque ces espèces sont nourries avecTetranychus urticae. Le taux de fécondité spécifique à l'age des 4 espèces a été déterminé en utilisant comme proie soitT. urticae, soitPanonychus ulmi. PourA. andersoni et pourT. pyri, P. ulmi constitue une nourriture meilleure queT. urticae, contrairement àN. fallacis etG. longipilus, dont le taux d'accroissement est supérieur quand ils se nourrissent deT. urticae. PourG. longipilus, P. ulmi constitue même une nourriture nettement suboptimale. Pour les femelles de toutes les espèces on a pu mettre en évidence la faculté d'adapter le taux de fécondité et la durée d'oviposition au nombre des proies disponibles. En termes de fécondité, cela permet à ces espèces de réaliser presque tout leur potentiel, indépendamment de la ration quotidienne de nourriture.   相似文献   

17.
Randrianasolo, H. 2000. Écologie alimentaire des groupes plurispecifiques d'oiseaux de la foré pluviale du Parc National de Ranomafana, Madagascar. Ostrich 71 (1 & 2): 315.

Le but de cette étude est d'identifier la niche écologique et les recouvrements éventuels des especès d'oiseaux qui rentrent dans la composition des groupes plurispècifiques qui frequentent la strate arbustive de la forêt pluviale du Parc National de Ranomafana, localisé à une altitude moyenne de 1 200 m dans le sud-est de Madagascar. Les espèces les plus communes qui rentrent dans la composition de ces groupes plurispècifiques sont le Bulbul de Madagascar Phyllastrephus madagascariensis, le Bulbul zosterops Phyllastrephus zostemps, I'Oxylabe à gorge blanche Oxyrabes madagascariensis. 1'Eroesse à queue étagee Hartertula flavoviridis, toutes principalement insectivores. L'écologie alimentaire de ces espéces n'a pas encore fait l'objet d'é'tudes detaillees. Cabondance relative des espéces rentrant dans la composition des groupes a été éstimée par la methode des transects par itineraire echantillon realises dans la forê La surface minimale nécessaire à chaque groupe a été éstimée en prenant en consideration le nombre d'individuel de chaque espèce dans chaque groupe. Pour chaque individu les paramétres suivants ont été relevis et comparees avec ceux collectts pour les autres individus, a savoir la hauteur de capture des proies, la nature du substrat utilisk dans le cadre de la capture, le diamttre et la position du substrat et le pourcentage d'ombrage. Un total de 411 observations vient etayer cette etude ecologique. Par ailleurs des mesures morphometretriques ont été réalisées sur différents individus des différentes espéces (bec, tarse, doigt, ongle, aile et queue). La niche Ccologique de chacune de ces esptces forestitres est definie et justifyée par l'analyse conjuguee de ces données écologiques et morphometriques.  相似文献   

18.
The high altitude grasslands of Zomba Plateau (1900 m) in Malawi are inhabited by at least eleven species of small terrestrial mammals (rodents and shrews), of which nine species were found in pellets of grass owls, Tyto capensis. Dendromus nyikae and Otomys angoniensis were the most numerous species in the pellets, although three large species, O. angoniensis, Dasymys incomtus and Pelomys fallax contributed 91–93% of the biomass of prey. Each pellet contained the remains of one to five mammals, representing a prey-biomass of 33–256 g (x?= 132 g). Data from pellets were compared with data from a 10-month live-trapping programme in the same grasslands. The most commonly trapped species were Mus triton, Lophuromys ftavopunctatus, Praomys delectorum and D. nyikae, whereas O. angoniensis, D. incomtus and P. fallax were very rarely trapped and appear to be extremely trap-shy. Two species: L. flavopunctatus (which is common) and Thamnomys dolichurus (which is uncommon) in the grasslands, were trapped but not found in the pellets. The diet of grass owls from Zomba Plateau was compared with the diets of grass owls from ten localities in South Africa. the comparison suggests that Otomys spp. are the staple prey of grass-owls throughout much of their geographical range in Africa. The diet of the grass owls was also compared with diets of the closely related barn owl (Tyto alba) from two localities in Malawi. The two species of owls prefer habitats at different altitudes, and they prey largely upon different species of small mammals. Résumé Les prairies de haute altitude du Plateau de Zombia (1900m) au Malawi sont habitées par au moins onze espèces de petits mammifères terrestres (rongeurs et insectivores), desquelles neuf espèces furent trouvées dans les pelotes de réjections de la chouette du Cap, Tyto capensis. Dendromus nyikae et Otomys angoniensis sont les espèces les plus représentées dans les pelotes, alors que trois grandes espéces, O, angoniensis, Dasymys incomtus et Pelomys fallax contribuent pour 91 à 93% de la biomasse des proies. Chaque pelote contient les restes de un à cinq mammifèces, ce qui représente une biomasse de proies de 32 à 256 g. (x?= 132 g). Ces données fournies par les pelotes furent comparées avec des données fournies par un programme de capture dans les mêmes prairies. Les espèces les plus communément piégées sont Lophuromys flavopunctatus, Praomys delectorum et D. nyikae, alors que O. angoniensis, D. incomtus et P. fallax sont très rarement piégées et semblent être trés difficiles à capturer. Deux espèces, L. flavopunctatus, quiest commune et Thamnomys dolichurus, qui est peu fréquente dans ces prairies, furent piégées mais pas retrouvées dans les pelotes. Le régime alimentaire de la chouette du Cap sur le Plateau de Zombia fut comparé avec celui de la même espèce dans dix localités différentes d'Afrique du Sud. La comparaison suggère que les Otomys spp. sont les proies favorites de la chouette du Cap sur tout le territoire de sa distribution géographique en Afrique. Ce régime alimentaire fut aussicomparéà celui d'une espèce proche, la chouette effraie (Tyto alba) dans deux localités au Malawi. Les deux chouettes présentent des préférences d'habitats à des altitudes diffèrentes et leurs proies sont constituées par des espéces différentes de petits mammifères.  相似文献   

19.
V. Delucchi 《BioControl》1957,2(2):137-160
Résumé Au cours de nos études sur les Chalcidiens Pteromalides d'Europe nous avons remarqué quelques difficultés dans la séparation des genresC?nacis Foerster etCecidostiba Thomson, ce qui nous a conduit à la révision de ces derniers et à la formation de deux nouveaux genres,Hobbya etAblaxia. Les genresAggelma (auquel nous avons attribué les deux espècespilosella etspiracularis Thomson précédemment incluses dans le genreC?nacis) etApelioma Delucchi ont été présentés dans le premier tome de cette revue.   相似文献   

20.
P. Grison 《BioControl》1962,7(3):269-270
Résumé L'utilisation des germes pathogènes est une solution du problème de la sélectivité. Des solutions concurrentes existent avec certains pesticides chimiques. L'utilisation des germes pathogènes est donc envisagée d'une manière pragmatique en négligeant les problèmes de recherches fondamentales. Pour cette raison les mycoses et les protozoonoses ne sont pas retenues. Les viroses offrent un exemple de la plus grande spécificité d'action. L'application des virus d'insectes a été surtout développée en sylviculture. Une grande difficulté est la multiplication des virus sur organismes vivants. Les bactérioses peuvent être seules retenues pour l'agriculture et l'arboriculture intensives: elles ont un spectre d'action assez étendu mais suffisamment sélectif; les bactéries qui nous intérresent peuvent être multipliées industriellement. Le statut deBacillus thuringiensis Berliner et les propriétés des préparations commerciales ont fait l'objet de développements récents. Dans une revue critique des applications de ces préparations en arboriculture fruitière, on considère d'abord le cas des Mineuses et des Tordeuses. Presque toutes ces chenilles sont susceptibles àB. thuringiensis. Mais la difficulté d'utilisation des préparations est de nature éthologique. De bons résultats sont obtenus au Canada contreArgyrotaenia et en U.R.S.S. contreHyponomcuta. En U.R.S.S. on utilise des produits mixtes à concentration réduite (0,5%) de préparation bactérienne et à concentration extrêmement faible (0,002%) de D.D.T. Les résultats contre le Carpocapse sont négatifs. Les résultats contre les chenilles défoliatrices sont très satisfaisants: en Hollande et au Canada contreMalacosoma; au Canada contre les Géométrides,Operophtera etAlsophila espèces très susceptibles àB. thuringiensis, à la dose de 1 à 2 pounds de préparation (titrant 30×109 spores viables par gramme) pour 100 gallons, soit environ, 1,5%; en France, ces résultats sont confirmés. En conclusion, l'utilisation en verger des prépararations commerciales deBacillus thuringiensis doit être ?intégrée? dans un programme général de protection comprenant à la fois les traitements chimiques et les méthodes culturales. De tels programmes sont actuellement expérimentés dans certains vergers de Pommiers par l'I.P.O. et le T.N.O. en Hollande.  相似文献   

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