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1.
Résumé On compare l'ultrastructure et la localisation des phosphatases acides au niveau des cellules hypophysaires delta et beta, chez des Cailles mâles thyroïdectomisées et maintenues en photopériode courte ou bien castrées, puis placées en photopériode longue. On étudie en outre, dans ces deux cas, les effets d'injections de doses croissantes de thyroxine.La thyroïdectomie provoque la transformation des cellules delta en cellules de thyroïdectomie groupées en îlots à la périphérie du lobe céphalique. Ces cellules sont pauvres en phosphatases acides. La thyroxine (10 g/j pendant 2 jours) provoque la régression de ces cellules et l'apparition de lysosomes. Les cellules beta ne sont pas modifiées par la thyroïdectomie.La castration-photostimulation stimule les cellules beta localisées dans le lobe céphalique. Elle provoque dans les deux lobes de la glande l'hypertrophie et la vacuolisation des cellules delta qui se distinguent des cellules de thyroïdectomie par la présence de nombreux lysosomes. La thyroxine freine simultanément l'activation des cellules delta et des cellules beta, en provoquant la formation de lysosomes, mais la dose efficace chez le mâle photostimulé (20 g et 60 g/j pendant 5 jours) est sans effet chez le castrat photostimulé (dose efficace 180 g/j).Pour interpréter ces faits, on admet que les cellules delta, thyréotropes et les cellules beta, gonadotropes, seraient simultanément soumises à un contrôle freinateur des hormones thyroïdiennes et des stéroïdes mâles.
Thyroidectomy cells and castration cells in the Japanese quail, Coturnix coturnix japonica Ultrastructure and cytoenzymology
Summary The ultrastructure and the localization of acid-phosphatase activity are compared in beta and delta pituitary cells of male Japanese quail, either thyroidectomized and maintained in short days, or castrated then put in long days. Moreover, in these two cases, the effects of brief treatments with increasing doses of thyroxine are studied.Thyroidectomy induces transformation of delta cells into thyroidectomy cells arranged in clumps at the periphery of the cephalic lobe. The acid-phosphatase activity of such cells is low. Thyroxine (10 g per day for two days) causes regression of these cells and the appearance of numerous lysosomes. Beta cells are not modified by thyroidectomy.Castration and exposure to long days stimulate beta cells, localized in the cephalic lobe. It induces, also, in both pituitary lobes, hypertrophy and vacuolization of delta cells which differ from thyroidectomy cells by the presence of numerous lysosomes.Thyroxine in photostimulated quail inhibits both delta- and beta-cell stimulation and increases the frequency of lysosomes but the effective doses on males (20 g or 60 g per day for five days) are inactive on castrates, the response of which is obtained with 180 g per day.In order to explain these data, a hypothesis is suggested: Thyrotropic delta cells and gonadotropic beta cells are both subject to a double inhibiting control by thyroid hormones and male steroids.
Nous remercions très vivement pour leur excellente collaboration technique Mme Renée Picart (préparation des tissus pour la microscopie électronique) et M. Claude Pennarun (photographe).  相似文献   

2.
Experiments are described in which young adult Eurygaster integriceps were kept in cages on various diets including dry wheat ears, ears in the stage of milky ripeness, green camel-thorn (Albagi camelorum) and water in various combinations. The sufficiency of the various diets was compared by estimating the mortality, change in live weight and final fat content of the insects, and by the extent of feeding as shown by feeding scars on the wheat grains.
Resume Des expériences en cage sont décrites, faites dans la région de Varamine près de Téhéran, Iran, avec pour buts de rechercher si les grains de blé mûrs et durs conviennent pour l'alimentation des adultes nouvellement sortis de Eurygaster integriceps (Hemiptera; Scutelleridae), comment on peut les comparer, avec les grains tendres au stade plus précoce de maturité laiteuse et dans quelles circonstances les grains durs peuvent être effectivement ingérés et assimilés.On conclu que les insectes ne peuvent utiliser le blé sec sans eau. Celle-ci peut être fournie sous la forme d'eau ordinaire, ou peut être également obtenue des plantes fraiches, telles que les mauvaises herbes qui poussent dans les champs de blé, le camel-thorn (épine de chameau) Albagi camelorum Fisch. étant utilisé dans ces expériences. Les expériences indiquent que de cette manière, le blé sec fournit de meilleures conditions d'alimenattion que le blé tendre. On obtient également quelques indications que le camel-thorn vert est meilleur que l'eau ordinaire comme addition au blé sec, peut-être parce qu'il fournit des éléments nutritifs aussi bien que de l'eau.L'aptitude des différentes combinaisons alimentaires utilisées dans les différentes cagés a été comparée par l'estimation de la mortalité des insectes, les changements dans leur poids vif, le contenu en graisse des insectes survivants à la fin de l'expérience, et l'activité alimentaire indiquée par le nombre de traces d'alimentation.Les conclusions tirées des expériences sont d'une importance économique du fait qu'elles indiquent, dans les régions où la pluie d'été est inexistante ou négligeable, et où la récolte de blé mûrit avant que les adultes nouvellement sortis aient terminé leur très importante alimentation et leur accumulation de réserves alimentaires, qu'Eurygaster integriceps peut seulement le faire si des plantes sauvages vertes, telles que le camel-thorn sont présentes; l'élimination de ces mauvaises herbes, comme politique à long terme peut de ce fait avoir pour effet de réduire le nombre d'Eurygaster. Les expériences suggèrent aussi que des expériences ultérieures sur les éléments nutritifs les meilleurs pour l'élevage de laboratoire d'Eurygaster, en vue de la propagation de parasites oophages, seraient intéressantes.
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3.
Résumé L'action exercée par le sulfate d'atropine et le méprobamate sur les cellules gonadotropes de la préhypophyse a été étudiée chez des rattes offrant des cycles de 4 jours, dans des conditions où ces 2 substances bloquent les phénomènes de ponte ovulaire. La dégranulation des cellules, qui se produit durant l'après-midi du prooestrus, pendant la phase préovulatoire du cycle, chez des rattes non traitées, est inhibée par ces 2 substances antiovulatoires. De même l'atropine et le meprobamate suppriment les modifications des cellules que l'on observe normalement du matin, 11 h, à la fin de l'après-midi du prooestrus. Chez les femelles soumises à l'action antiovulatoire de ces deux substances, les cellules conservent l'après-midi du prooestrus l'aspect qu'elles offrent le matin de ce même jour, elles ne présentent donc plus les phénomènes, d'abord, de charge granulaire, puis, de dégranulation que l'on observe chez des rattes non traitées. On peut donc admettre que l'atropine et le méprobamate bloquent à la fois l'excrétion de LH et celle de FSH par les cellules respectivement et de la pars distalis et que la ponte ovulaire résulte de l'action synergique de ces deux hormones gonadotropes sur l'ovaire.
Influence of antiovulatory agents in the proestral phase of the ovarian cycle on the excretory gonadotropic aactivity of the - and -cells in the rats anterior hypophysis
Summary Cytological and numerical modifications of the and pituitary gonadotroph cells caused by antiovulatory doses of atropine and meprobamate have been studied in 4-day cyclic female wistar rats. The cells degranulation which normally occurs on the afternoon of prooestrus during the preovulatory stage of the cycle was inhibited in treated animals. Both antiovulatory substances also suppressed the morphological changes of the cells observed in control animals from the morning (11 a.m.) to the late afternoon of prooestrus. The successive stages of secretory and excretory activities of these cells noted in non treated females during the prooestrous period of the cycle were no more observed in blocked animals. The cells of these animals appeared unmodified at 5–6 p. m. with respect to those of females sacrificed earlier at 11 a.m. Atropine and meprobamate may be therefore supposed to prevent the release of both gonadotrophic hormones L. H. and F. S. H. which act synergically in the determinism of ovulation in the Rat.
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4.
The effect of desiccation on the light reactions of Carpophilus dimidiatus and Tribolium castaneum was studied. The results indicated that in C. dimidiatus the light reactions of normal adults of either sex were unaffected by humidity conditions. After desiccation, light responses were found to vary according to humidity conditions and also with respect to the sex of adults examined. In T. castaneum normal adults showed different light reactions according to the humidity test conditions. However at one condition only, i.e. high humidity, the sexes responded differently. After desiccation light responses were still found to vary according to humidity but in both high and low humidities the response varied according to sex.
Résumé On a étudié l'action de la dessiccation sur les réactions à la lumière de Carpophilus dimidiatus et Tribolium castaneum. Les résultats indiquent que les réactions à la lumière des adultes normaux de C. dimidiatus des deux sexes sont indépendantes des conditions d'humidité. Après dessiccation, les réponses à la lumière ont varié suivant les conditions d'humidité et aussi selon le sexe des adultes examinés. Chez Tribolium castaneum, les adultes normaux ont manifesté des réactions différentes à la lumière en fonction des conditions d'humidité. Cependant dans une condition unique, c'est à dire une humidité élevée, les sexes ont répondu différemment. Après dessiccation, les réactions à la lumière ont toujours été trouvées variables selon l'humidité, mais pour les deux humidités élevée et basse la réponse a varié suivant le sexe de l'adulte.
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5.
Summary Sounds produced during prefeeding, feeding and postfeeding behaviour of the tsetse, Glossina m. morsitans Westw. were investigated. Males and virgin very seldom sang before feeding but mated sang in more than 20% of the cases before taking a meal. Sound production during engorgement was negligible among all 3 groups. Postfeeding sounds were the most commonly produced, mated singing significantly more than virgin and both these groups more than . The mean duration of the postfeeding sounds did not differ between the sexes. Within each group, postfeeding sound production did not significantly change with age. There were, however, significant differences in the patterns of postfeeding sound production when were compared to over a period of 8 weeks.Oscillograms of these sounds indicated that the songs differed between the sexes and also varied from time to time. The sounds were composed of frequencies up to 50 kHz with the exception of the prefeeding sounds which did not contain any ultrasonic components. The most dominant frequency was centered between 1.5–2.5 kHz. Peaks were also observed between 0.5–0.8 kHz and around 5 kHz and 9 kHz. Prefeeding songs were of a weaker intensity than postfeeding songs.It is suggested that the sounds associated with feeding behaviour play a role in attracting hungry flies to suitable hosts and that, the low frequency components having higher intensities (30–40 dB) than the ultrasonic frequencies (10 dB) carry the most important part of the acoustic information.
Résumé L'étude a porté sur les sons produits pendant les comportements préalimentaire, alimentaire et postalimentaire de la mouche Tsétsé, Glossina morsitans morsitans.Les mâles et les femelles vierges chantent très rarement avant l'alimentation, mais les femelles fécondées chantent dans plus de 20% des cas avant de prendre un repas. La production de sons pendant la prise de nourriture était négligeable pour les trois catégories. Les sons postalimentaires étaient plus fréquents, les femelles fécondées chantant plus que les femelles vierges et l'ensemble des femelles plus que les mâles. La durée des sons postalimentaires ne différait pas suivant les sexes. Dans chaque catégorie, les sons postalimentaires ne changaient pas significativement avec l'âge. Il y a eu, cependant, des différences significatives dans les caractéristiques de la production de son postalimentaire lorsque les mâles étaient comparés aux femelles pendant une période de 8 semaines.Les oscillogrammes de ces sons différaient suivant le sexe et variaient de temps en temps. Les sons comportaient des fréquences jusqu' à 50 kHz, à l'exception des sons préalimentaires des mâles qui ne contenaient pas d'ultrasons. Les fréquences les plus dominantes étaient concentrées entre 1,5–2,5 kHz. Des pics étaient observés entre 0,5–0,8 kHz et autour de 5 kHz et 9 kHz. Les sons préalimentaires étaient plus faibles que les sons postalimentaires. On en suggère que les sons associés au comportement alimentaire jouent un rôle en attirant les mouches affamées vers un hôte convenable et que la plus grande partie de l'information acoustique est portée par les composantes à basse fréquence qui ont une intensité plus élevée (30–40 dB) que les fréquences ultrasoniques (10 dB).
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6.
Changes in the respiratory rates of standard, overcrowded, and starved fourth-instar Aedes aegypti are compared. The respiratory effects of varying larval densities during and prior to measurement are investigated. In addition, the results of exposure of standard and over-crowded larvae to growth-retarding factors (GRF) at various concentrations are also evaluated.
Résumé Le but de cette étude est d'étudier les modifications de l'activité respiratoire chez des larves du 4ème stade mises respectivement en condition d'élevage standard, en condition de surpeuplement, et en condition de restriction alimentaire.Les conditions de surpeuplement et de restriction alimentaire entrainent un abaissement significatif du niveau du métabolisme respiratoire. L'activité respiratoire des larves élevées en condition standard, prend des valeurs plus élevées quand la mesure est faite sur un plus grand nombre de larves rassemblées dans le tube-test; par contre les conditions de mesure (15, 25 ou 35 larves dans le tube-test) ne modifient pas la valeur de l'activité respiratoire des larves élevées en condition de surpeuplement. Quand des larves élevées en milieu surpeuplé et en milieu standard sont soumises à de fortes concentrations des facteurs retardant la croissance (Growth-retardant factors; GRF de Moore & Fisher 1969) l'activité respiratoire est stimulée. Dans les conditions de surpeuplement et de restriction alimentaire, deux types facteurs pourraient agir sur le métabolisme respiratoire, des facteurs chimiques et des facteurs mécaniques tels que l'agitation des individus dans un espace étroit (par exemple le tube-test).
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7.
Resumé Une epizootie de teigne favique (crête blanche) a été observée chez des dindons provenant d'un élevage près de Toulouse. Les lésions étaient localisées à la région glabre de la tête et du cou. L'examen histopathologique montre un épiderme infiltré par les polynucléaires, couvert de nombreuses microspores et envahi en profondeur par des filaments mycéliens qui pénètrent dans le derme et dans les cones pileux sans attaquer la tige plumale. La maladie expérimentale a été reproduite chez la poule (crête blanche), chez le cobaye et le lapin (lésions érythémato-squameuses et croûteuses) mais non chez la souris. Le dermatophyte isolé, décrit sous le nom deTrichophyton gallopavum n. sp. est une espèce inter-intermédiaire entreT. gallinae etT. quinckeanum.  相似文献   

8.
Larvae of Heliothis zea (Boddie) were fed foliage of the resistant wild tomato Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) and susceptible L. esculentum (cultivar Walter), either with the glandular trichomes removed or with the trichomes intact. Response variables measured included larval mortality, larval weight, consumption rate (CR), and efficiency of conversion of ingested material (ECI). Resistant foliage was found to contain factors in both the trichomes and leaf lamellae which increased larval mortality, reduced larval weight, reduced CR, and, except in second instars, reduced ECI. Susceptible foliage also contained trichome-based factors which increased larval mortality and decreased weight, as well as CR of second instars and ECI of fifth instars. Implications of these findings for breeding resistant tomato cultivars are discussed.
Résumé La tomate sauvage, Lycopersicon hirsutum f. glabratum C. H. Mull (PI 134417) est fortement résistant à Heliothis zea. Les études préalables ont indiqués que la résistance est associée avec la présence de 2-tridécanone dans les extrémités des poils glandulaires de la tomate sauvage, et que les facteurs dans la lamelle des feuilles sont peut-être impliqués. À déterminer la présence des facteurs lamellaires et à caractériser de plus les facteurs de résistance dans les extrémités des poils glandulaires aussi, nous nourrissions les larves du feuillage résistant de PI 134417 et du feuillage susceptible L. esculentum (lignée Walter) les deux avec les extrémités des poils glandulaires enlèvés ou avec les extrémités des poils glandulaires intacts. Nous mesurions la mortalité des larves, les poids des larves, la taux de consommation relative et l'efficacité de conversion de matière mangé.On se trouvait le feuillage résistant à contenir les facteurs, tous deux dans le feuillage lamellaire et dans les extrémités des poils glandulaires, qui causaient l'augmentation de mortalité, les poids plus basses, la taux de consommation relative plus basse, et, hormis dans le cas des larves en phase deuxième, l'efficacité de conversion réduite. Le feuillage susceptible contenait aussi les facteurs dans les extrémités des poils glandulaires qui augmentaient la mortalité, diminuaient les poids et la taux de consommation relative des larves en phase deuxième, et diminuaient l'efficacité de conversion des larves en phase cinquième. Cettes conclusions indiquent la présence des facteurs de résistance en outre de 2-tridécanone et peuvent fournir les indices à l'identité de ces facteurs.
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9.
The seasonal fluctuations in numbers, sex ratios and the changes in the reproductive status of the Mexican fruit fly, Anastrepha ludens, caught in McPhail traps in citrus orchards and the effect of control measures on them, were examined in Belize, Central America. Evidence is presented that the seasonal increase in numbers was derived mainly from infestations in grapefruit and that harvesting played a significant part in controlling numbers by removing infested fruit. In orchards where sprays were not used to control the fruit fly, the sex ratio and the proportion of fecund females were very variable but there were always greater numbers of females — often two to four times as many. During spray programs the sex ratio approached unity and the proportion of fecund females decreased to zero. The sex ratio therefore gave an indication of the mean reproductive status of the female flies in the traps and thus the capacity of a local population to initiate infestations as well as the efficiency of control measures used.
Résumé Effectifs, taux sexuel, périodes de reproduction, ainsi que leurs variations au cours de l'année et après application de mesures de lutte ont été étudiés chez la mouche des fruits mexicaine A. ludens dans des vergers d'agrumes de Belize (Amérique centrale), à l'aide de pièges McPhail.Les effectifs d'A. ludens sont caractérisées par une progression régulière à partir d'un minimum entre juin et septembre, jusqu'à un maximum en février ou mars. Ces variations saisonnières dépendent de la présence de fruits mûrs, de pamplemousses notamment. Le taux sexuel des adultes capturés dans des vergers non traités est très variable, mais les sont toujours plus nombreuses (souvent 2 à 4 fois plus) que les mâles. Pendant la saison des pamplemousses, les peuvent pondre dans les fruits mûrs qui abondent; si la proportion de augmente, celle des fécondes diminue. Après un traitement efficace à l'aide d'un attractif insecticide à base d'hydrolisat de protéines, le taux sexuel tend vers 1 : 1, les fécondes tendant à disparaître et la majorité des caputées étant fraîchement émergées et immatures.Pendant la saison des pamplemousses, le taux sexuel donne des indications sur le potentiel reproducteur des , sur leur aptitude à provoquer une infestation, ainsi que sur l'efficacité et la persistance des attractifs insecticides utilisés pour la lutte contre la mouche des fruits.
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10.
The effect of different host plant diets on the growth dynamics of the large milkweed bug, Oncopeltus fasciatus, was investigated by rearing this specialized seed feeder on the seeds of seven milkweed species occurring in central Missouri. Growth rate, growth efficiency, and : biomass ratio proved to be the most sensitive measures of growth in detecting significant differences between diets. Asclepias syriaca L., A. verticillata L. and A. hirtella (Pennell) Woods, supported the most rapid and efficient growth, while A. incarnata L., A. purpurescens L., A. viridiflora Raf., and A. quadrifolia Jacq. were less suitable host species. In general, O. fasciatus grew best on the host species it utilizes most commonly in the field, thus supporting the proposed host familiarity hypothesis. The most commonly exploited plant species shared three characteristics of seed production and quality which accounted for 87%–96% of the variability in growth dynamics of O. fasciatus. The most important of these was the mean number of pods produced per plant. Seed nitrogen content was the next best parameter in further accounting for variability in growth rate and : biomass ratio but seed cardenolide content was the second parameter for growth efficiency.
Résumé L'élevage d'Oncopeltus fasciatus sur les graines de 7 espèces d'Asclepias de la région centrale du Missouri a permis d'examiner l'influence de l'alimentation sur différentes plantes hôtes sur la dynamique du développement de cet insecte.La survie, la durée du développement, la biomasse des adultes et les calories de l'aliment consommé ou de la biomasse produite, présentent peu de différences significatives suivant les aliments.Par contre, 3 autres paramètres: le taux de croissance, l'efficacité de la croissance, et le rapport des biomasses /, sont plus sensibles pour la mise en évidence de différences. Asclepias syriaca, A. verticillata et A. hirtella permettent la croissance la plus rapide et la plus efficace, tandis que A. incarnata, A. purpurescens, A. viridiflora et A. quadrifolia sont des hôtes moins favorables. En général, O. fasciatus se développe mieux sur la plante qu'il consomme le plus fréquemment dans la nature, ce que était l'hypothèse des hôtes familiers. 87% de la variabilité du développement sur les différents régimes peut être expliquée par 3 paramètres liés à la production et à la qualité des graines. Le nombre moyen de gousses par plante intervient le plus dans la détermination de la variabilité du taux de croissance. La teneur des graines en azote est le paramètre qui intervient ensuite pour le taux de croissance et le rapport de biomasses /, mais la teneur des graines en cardenolide est le second paramètre pour l'efficacité de la croissance.
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11.
The available evidence is in agreement with the postulate that all phytophagous insects require chemotactic (usually gustatory) stimuli to release feeding activity. Some of the soluble nutrients in plants serve this function. In the case of oligophagous insects food selection is further guided by perception of non-nutritive substances (token stimuli) of limited botanical distribution. The food range of all phytophagous insects is circumscribed by the distribution of repellants, rejectants and toxins. These concepts are developed and outlined in symbolic form.
Résumé L'importance des stimulants alimentaires token a été clairement démontrée par exemple chez Plutella maculipennis Curt., Pieris brassicae L. et P. rapae L., lesquels, à l'état larvaire, reconnaissent leur plante-hôte, les Crucifères, au goût de glucosides de l'huile de moutarde tels que la sinigrine et la sinalbine. Bien qu'elles soient presque les seules démonstrations indiscutables de l'action de ces stimulants token parmi les insectes phytophages il a été admis que ce phénomène explique en général la sélection de la plante hôte par les insects oligophages et que la présence de substances désagréables au goût dans les végétaux est suffisant pour expliquer les préférences de plantes alimentaires des insectes polyphages. Cependant, ces vues ne rendent pas compte du fait que ces phagostimulants token peuvent exiger la présence de constituants nutritifs afin d'obtenir une réponse alimentaire chez les insectes oligophages. En outre les insectes polyphages demandent des stimuli chimiotactiques positifs pour déclancher une activité alimentaire. Aucun effet inhibiteur de substances végétales désagréables n'est simplement superposé à ce phénomène de base.Un autre fait significatif est que le saccharose, constituant universellement distribué chez les végétaux, est avidement goûté par de nombreux insectes, et on pourrait penser à priori que son rôle est important dans la nature comme stimulus effecteur d'alimentation chez les insectes phytophages. De récentes investigations ont montré que d'autres substances nutritives variées telles que le glucose, des acides aminés, des amides et des vitamines peuvent aussi déclancher d'une manière indépendante l'activité alimentaire.Une interprétation totale de la connaissance utile à présent est que de nombreuses conditions sont exigées pour rendre compte des phénomènes d'alimentation chez les insectes et de la sélection de l'hôte. Ceci inclut la présence de stimulants alimentaires token (si nécessaires), la présence de certains constituants sapides et l'absence de substances répulsives ou désagréables au goût. Tandis que ces conditions, admettant un substrat ingestible, sont nécessaires et suffisantes pour une alimentation normale un développement satisfaisant exige en plus la présence de constituants nutritifs essentiels autres que les substances sapides déjà mentionnées et l'absence de toxines.Certains constituants végétaux peuvent avoir plusieurs fonctions dans ce schéma et quelques exemples sont considérés.

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12.
The histological structure of the glandula intestini in Porcellio laevis adults is described, and some of the characteristics of the caecal -glucosidase of this isopod are discussed. Evidence is presented to show that the vesiculated cells of the glandular caecum are true extrusion cells. The number of these cells in the caecal epithelium, under conditions of prolonged starvation, is shown to vary with the enzyme activity of the gland. The significance of these findings is discussed.
La physiologie du cloporte Porcellio laevis (Porcellionidae, Peracarida)
Résumé La structure et la fonction des glandula intestini de Porcellio laevis sont décrites. Le rôle de l'épithélium coecal dans la sécrétion de l' -glucosidase est mis en évidence.L'épithélium uni-stratifié qui forme les parois de chaque coecum glandulaire se subdivise en une région antérieure non sécrétrice et une région postérieure sécrétrice. La région non sécrétrice est formé uniquement de cellules de forme cuboïdale, tandis que la région sécrétrice comporte quatre types distincts de cellules: des cellules columnaires, des cellules transitoires, des cellules de régénération et des cellules cupuliformes. La sécrétion d' -glucosidase est rythmique et de nature mérocrine. Une phase cyclique de transformations se manifeste dans les cellules de type columnaire, en rapport avec la sécrétion.Quelques-unes des caractéristiques biochimiques de l' -glucosidase des coeca glandulaires sont discutées et des faits sont exposés, qui montrent que les cellules columnaires de type vésiculé de l'épithélium coecal sont les véritables cellules responsables de la sécrétion. Le nombre de ces cellules dans l'épithélium coecal, sous des conditions de jeûne prolongé, se révèle varier parallèlement avec l'activité enzymatique de la glande. La signification de ces observations est discutée.


Contribution No. 4 from the Biology Department of the Laurentian University at Sudbury.  相似文献   

13.
Larvae of the Southern armyworm Spodoptera eridania Cramer (Lepidoptera:Noctuidae), feeding on perennial ryegrasses (Lolium perenne L.) infected with an endophytic fungus (Acremonium loliae Latch, Christensen and Samuels), had a much lower survival rate (7–13%) than larvae feeding on endophyte-free ryegrasses (82–90%). Death of the larvae on endophyte-infected entries occurred rapidly between 144 h and 168 h of feeding. This corresponded with armyworms feeding on the base of the plant, where endophyte concentration is highest. Twenty-four hours after the start of the bioassay the larval mass and rate of larval development were significantly higher on endophytic entries. From 48–144 h no differences were seen, but after 144 h the mass of larvae on endophyte-infected grasses sharply declined. Observations from this bioassay further substantiate the association between A. loliae-infected ryegrass and antibiosis to several lepidopterous and coleopterous insect pests.
Résumé Le ray-grass vivace (Lolium perenne), contaminé par le champignon endophyte Acremonium loliae Latch, Christensen & Samuels, a présenté une augmentation de la resistance à de nombreux coléoptères et lépidoptères nuisibles. Cette note examine les réactions de Spodoptera eridania Cramer (Lépido., Noctuidae) alimenté sur trois lignées de ray-grass contaminées par le champignon et trois lignées saines. Après 168 h d'alimentation sur ray-grass contaminé, les chenilles presentent une très forte mortalité; la survie n'est que de 7 à 13% contre 82 à 90% pour le ray-grass sain. Le décès brutal des chenilles correspond à leur alimentation sur la base de la plante ou la concentration du champignon est la plus forte. Les chenilles consomment constamment, broutant plus des 2/3 du feuillage du ray-grass; les broutements des six séries ne différaient pas significativement.Au bout de 24 h, la nombre de chenilles passées du 3ème au 4ème stade, et l'augmentation de poids sont plus élevés pour les séries sur plante contaminée, ce qui suggère un avantage initial pour les chenilles en présence de champignon endophyte, l'analyse en poids sec a montré que l'augmentation de poids initial est réel. Entre 48 et 144 h, cependant, le nombre de 4ème stade et le poids des chenilles sont les mêmes dans les deux séries. Après 144 h, le poids des chenilles sur ray-grass contaminé diminue significativement; aucune n'était parvenue au 5ème stade, contre 11% sur ray-grass sain. Nous n'avons pas observé de signes apparents de neurotoxicité. Au lieu de cela, il ya a eu interaction avec un processus physiologique fondamental, ce qui a provoqué une forte perte de poids larvaire et la mort, indiquant l'intervention d'inhibiteurs métaboliques.
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14.
Résumé Nos méthodes expérimentales permettent l'isolement d'une larve de sexe déterminé par hôte de l'ectoparasite grégaire Dinarmus vagabundus et du solaitire, D. basalis. Des hôtes porteurs de 3 à 8 larves par hôte de D. vagabundus sont aussi isolés. Dans ces conditions la quantité de nourriture disponible est la même pour toutes les densités larvaires étudiées.Les larves élevées en solitaire des deux espèces assimilent une quantité de nourriture significativement supérieure à celle assimilée par les . Ceci conduit à des adultes de poids moyen supérieur à celui des . Le poids moyen des et des de D. vagabundus diminue significativement aux fortes densités larvaires. L'intensité de la liaison entre la quantité de nourriture assimilée et la biomasse produite s'affaiblit au fur et à mesure que la densité larvaire par hôte augmente.Les de D. vagabundus de poids moyen (0,42 mg) engendrent deux fois et demi plus de descendants que les lilliputiennes (0,20 mg) émergées d'hôtes à forte densité larvaire. Celles de D. basalis (0,65 g) sont moins prolifiques que les de D. vagabundus.  相似文献   

15.
Zusammenfassung Die ErdrackeUratelornis, einer der seltensten Vögel der Welt, bewohnt nur einen schmalen Streifen zwischen zwei Strömen von Südwest-Madagaskar, dem Mangoky und dem Fiherenana.In diesem Beitrag werden erstmals genaue Angaben über Lebensstätte, Lebensweise und Rufe gemacht. Auch werden zum ersten Mal genaue Beobachtungen über den Nestbau eines Vertreters der Familie Brachypteraciidae mitgeteilt.Die Brutröhre wird im Trockenwalde in sandigem, ganz leicht ansteigendem Boden gegraben, in Richtung des ansteigenden Terrains ganz leicht absteigend. und teilen sich in die Grabearbeit, die mit Schnabel und Füßen verrichtet wird. Maße einer fertigen Nestanlage: Röhre mit Mulde 120 cm lang, Durchmesser der Nestkammer 20 cm, Höhe 11 cm. Mulde leicht mit Nistmaterial (fertig?) ausgelegt. — Zerbrochene Eierschalen waren reinweiß, glänzend. Schon vor Legebeginn wurde das vom gefüttert.Uratelornis bewegt sich hauptsächlich auf dem Erdboden und fliegt wenig. Die Nahrung ist animalisch, besteht wohl vorwiegend aus Insekten und wird fast ausschließlich vom Boden aufgenommen. Diese Vogelart ist nicht nur am Tage, sondern auch in der Dämmerung und zumindest zeitweise in der Nacht aktiv.
Résumé Le rollier terrestre Uratelornis, un des oiseaux les plus rares du monde, n'habite qu'une mince bande de territoire située entre deux fleuves du sudouest de Madagascar, le Mangoky et le Fiherenana.Pour la première fois, des indications précises sur l'habitat, le mode de vie et les appels sont données dans cet exposé.La conduite servant à la couvaison est creusée en forêt sèche dans un sol sablonneux et en légère pente ascendante, en direction du terrain ascendant, cette conduite est légèrement inclinée vers le bas. et se partagent le travail de terrassement qui est entrepris avec le bec et les pattes.Mesures d'une telle construction servant de nid: conduite avec dépression: 120 cm de longueur diamètre de la chambre renfermant le nid: 20 cm 'hauteur de la chambre: 11 cmLa dépression est un peu matelassée avec du matériel végétal. Les coquilles d'oeufs brisées trouvées étaient brillantes et d'un blanc pur. La est nourrie par le déjà avant que la ponte ait commencée. Uratelornis se meut principalement sur le sol et vole peu. La nourriture, presque oxclusivement prise au sol, est d'origine animale et certainement composée pour l'essentiel par des insectes. Cette espèce avienne n'est pas seulement active durant le jour mais également au crépuscule et au moins partiellement durant la nuit.


Mit Unterstützung der Basler Stiftung für biologische Forschung.

Mit 6 Aufnahmen des Verfassers  相似文献   

16.
Groups of Glossina morsitans morsitans Westwood fed at emergence and thereafter daily, every second or third day respectively, up to the end of their first pregnancy cycle, survived well (73–79%) and produced virtually the same number of puparia/ (0.83–0.85) in the same puparial weight class (23–24 mg). However, adult survival (29%), number of puparia/ (0.30) and puparial weight (19 mg) were much lower in the group consistently fed every 4th day after the initial meal at emergence. It is proposed that tsetse colonies could be fed on Mondays, Wednesdays and Fridays without jeopardising adult survival, puparial production/ and the size (weight) of puparia produced.
Performances en Zambie de la mouche Tsé-Tsé (Glossina morsitans morsitans) élevée en utilisant différents régimes alimentaires
Résumé Afin d'estimer si une alimentation quotidienne de G. morsitans morsitans présente un avantage sur une alimentation moins fréquente, nous avons enrigestré la survie des adultes, la production et le poids des pupes chez des individus nourris à l'émergence et, ensuite, tous les jours ou tous les 2, 3 ou 4 jours. Les femelles alimentées quotidiennement, ou tous les 2 ou 3 jours, ont produit le même nombre de pupes (0,83–0,85), avec des poids de même ordre (23–24 mg), et avec une aussi bonne survie (73 à 79%). Alimentées tous les 4 jours, elles ont produit 0,30 pupe/femelle, pesant 19 mg/pupe et avec une plus faible survie (29%). Ces résultats montrent qu'il est inutile de nourrir les mouches chaque jour au lieu de tous les 2 ou 3 jours. Cependant une alimentation à des intervalles supérieurs à 3 jours, a eu des conséquences clairement défavorables. Ainsi, peuvent être considérablement réduits et le travail et le coût des élevages, sans porter préjudice à la production, en alimentant les mouches 3 fois par semaine, par ex. les lundis, mercredis et vendredis.
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17.
Résumé Les auteurs, dans le cadre d'une étude ultrastructurale du foie foetal humain, ont utilisé une méthode directe à pH 8 pour mettre en évidence l'activité de la phosphatase alcaline.L'accumulation du produit final de la réaction histochimique (phosphate de plomb) a pu être observée de façon constante sur les membranes plasmatiques des hepatocytes et des érythroblastes. Dans la lignée érythropoïétique les dépôts sont toujours plus intenses sur les cellules les plus immatures.Les auteurs ont observé également des dépôts importants de phosphate de plomb dans certains granules péribiliaires ainsi que dans des granules des cellules érythropoïétiques.La disposition des dépôts le long des membranes cellulaires et dans certains organites cytoplasmiques est discutée en fonction de la technique de mise en évidence.
Summary A direct lead method for visualization of alkaline phosphatase activity at pH 8 was used in an electron microscope study of the foetal development of human liver.An accumulation of lead phosphate, the final product of the enzymatic reaction, was observed on the cell membranes of hepatocytes and also on those of erythroblasts, especially in immature cells.An intense reaction was observed in peribiliary granules and in granules of the erythropoietic cells.The localization of lead phosphate precipitate along the cell membranes and in some cytoplasmic bodies is discussed in relation to the procedure used.


Ce travail a été effectué avec l'aide du Fonds National Suisse de la Recherche Scientifique .  相似文献   

18.
Résumé G. mellonella infestée au dernier stade larvaire avec 1, 2, 3 ou 5 planidia/hôte (ph/H) produit 1 à 5 pupes/hôte (pu/H). La mortalité des chenilles augmente avec le nombre de pl/H. Le poids des pupes et décroît avec un nombre croissant de pu/H (18,2 à 12,9 mg pour les et 12,5 à 9,7 mg pour les ). Le développement larvaire dure 8,7 j. chez les et 8,3 chez les ; il est peu affecté par le superparasitisme. Avec 1, 2, 3 et 5 pl/H nous obtenons 0,84–1,61–2,17 et 3,43 pu/H et 0,81–1,48–2,10 et 3,11 imagos/H. L'optimum est de 3 pl/H ou 1 à 2=pl/H pour obtenir des parasitoïdes plus lourds.
Summary The influence of superparasitism on larval and pupal development is investigated. Last-larval instar G. mellonella (200±5 mg) were infected with 1, 2, 3 or 5 planidia/host (pl/H) producing 1 to 5 pupae per host (pu/H). Host mortality (8.6–8.3–14.3 and 22.2%) increased with the number of planidia. The planidia may transmit a bacteriosis. Pupal weight ( and ) decreased as number of pu/H increased. pupae were heavier than ones: 12.9 to 18.2 mg for against 9.7 to 12.5 mg for . Larval development lasted slightly longer for (8.7 d.) than for (8.3 d.), and its duration was little affected by superparasitism. 1, 2, 3 or 5 pl/H yielded 0.84–1.61–2.17 and 3.43 pu/H and 0.81–1.48–2.10 and 3.11 adults/H. An optimum was obtained with 3 planidia of L. diatraeae on G. mellonella or 1 to 2 to obtain heavier parasitoids.
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19.
Several commercially available mitosis inhibitors have been studied for their effects on an Acer pseudoplatanus cell suspension culture; these were colchicine, N-(1,1-dimethylpropynyl)3-chlorobenzamide, propyzamide and trifluralin. The last two compounds are known as preemergence herbicides. In the studied cultures, the concentrations necessary to arrest mitosis were between 50 and 100 M for colchicine, and between 10 and 100 M for propyzamide, N-(1,1-dimethylpropynyl)3-chlorobenzamide and trifluralin. However, protein synthesis, plastid and mitochondria division and dry weight increase occurred in the treated cells, leading to the formation of giant cells. These results suggest that mitosis inhibition is the fundamental effect of these compounds at the concentrations studied. At these concentrations, metabolic activities seem unaffected, in contrast with what was found previously in the case of chlorpropham. This phenylcarbamate inhibited mitosis in the same cells at 100 M, but also prevented protein synthesis and weight increase, probably as a result of its uncoupling properties.The effect of another compound, glyphosate, on Acer cell suspension cultures, was studied concurrently. At concentrations between 10 and 100 M, it only slightly decreased protein formation in the culture, and was unable to prevent mitosis from occurring.The formation of giant cells in Acer cell suspension cultures seems to be a good criterion to demonstrate that selective mitosis inhibition has taken place. This criterion might be used in the case of mitosis inhibitors acting on the G 2-phase.
Résumé Les effets de divers inhibiteurs de la division cellulaire ont été étudiés sur des suspensions cellulaires d' Acer pseudoplatanus. Ces produits sont la colchicine, le N-(1,1-diméthylpropynyl)3-chlorobenzamide, le propyzamide et la trifluraline. Les 2 derniers composés sont des herbicides de pré-levée. Les concentrations nécessaires pour bloquer la mitose dans les suspensions cellulaires se situent de 50 à 100 M pour la colchicine et de 10 à 100 M pour les 3 autres composés.Dans les cellules traitées la synthèse protéique, la multiplication des plastes et des mitochondries et l'augmentation de masse sèche ont lieu, entraînant la formation de cellules géantes. Ces résultats suggèrent que, aux concentrations étudiées, le blocage de la mitose est l'effet primaire de ces produits; les activités métaboliques des cellules, à ces concentrations, ne semble pas affecté contrairement à ce que l'on a observé précédemment avec le chlorprophame. Ce phénylcarbamate, en effet, inhibe la mitose des cellules d'Acer á 100 M mais aussi, et probablement du fait de ses propriétés découplantes, empêche la synthèse protéique et l'augmentation de masse sèche. Le glyphosate étudié parallèlement est incapable de bloquer la mitose entre 10 et 100 M; il freine légèrement la synthèse protéique.L'obtention de cellules géantes dans les suspensions cellulaires d'Acer pseudoplatanus semble un bon test pour mettre en évidence une inhibition sélective de la mitose. Ce critère pourrait être utilisé pour les composés antimitotiques agissant sur la phase G 2.
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20.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

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